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![]() ![]() ![]() Pierre Dulau : « Nous entrons dans une société de l'hygiénisme sécuritaire »Port du masque, entrée en vigueur du pass sanitaire, politique de vaccination? Alors que les mesures visant à lutter contre la pandémie de Covid-19 font de plus en plus débat, le philosophe Pierre Dulau, auteur de "Faire face, le visage de la crise sanitaire" avec Martin Steffens, revient pour Aleteia sur ces mesures et leurs conséquences pour la société.Alors que le déconfinement amorcé depuis plusieurs mois se trouve confronté à une recrudescence de cas liés au variant Delta, les Français se retrouvent, une nouvelle fois, dans l'incertitude. Le président de la République, Emmanuel Macron, a annoncé ce vendredi 9 juillet qu'il s'exprimerait lundi à 20h. Le même jour, Malte a annoncé la fermeture de ses frontières aux voyageurs non vaccinés. La veille, la Cnil autorisait la diffusion de la liste des patients non vaccinés auprès des médecins traitants. Depuis plusieurs jours, différentes mesures dont l'extension du champ d'application du pass sanitaire et la vaccination obligatoire pour les soignants sont à l'étude. Autant de mesures qui déroutent et interpellent nombre de personnes. « La virtualisation de l'expérience a largement préparé le terrain à ce qui nous arrive », analyse auprès d'Aleteia le philosophe Pierre Dulau, auteur avec Martin Steffen de Faire face, le visage et la crise sanitaire. « La dématérialisation des rapports humains a rendu possible l'institution d'un nouveau régime : l'hygiénisme sécuritaire. » Entretien. Aleteia : Comment le masque, censé nous protéger et protéger les autres, pourrait-il être un danger pour l'homme ? Pierre Dulau : Le problème n'est pas d'abord d'avoir un masque mais de comprendre ce qu'est un visage. Le visage humain est à la fois ce qui témoigne de notre singularité et ce qui nous dévoile comme êtres de relation. D'une part il exprime ce qui rend chacun insubstituable et incomparable. Mais d'autre part il est aussi ce qui ne nous appartient pas : mon visage est la partie de moi que je ne peux pas voir car elle est immédiatement offerte à autrui. Paradoxalement, mon visage est ainsi ce que j'ai de plus propre et ce que je ne possède pas. Ce qui témoigne de mon être le plus intime et ce qui avoue en même temps mon insuffisance. Que fait le masque ? Il nous dépersonnalise, parce qu'il rend notre singularité invisible, bien sûr, mais ? et c'est sans doute plus grave ? il nous arrache à la communauté des regards. Or ce jeu est constitutif de notre être ! En usant d'un néologisme, on pourrait dire que le masque sanitaire nous « évisage » ! Ainsi, le masque nous protège, certes, mais il nous protège au prix de ce qui fait de nous des hommes. On ne peut pas se féliciter qu'une telle mesure puisse devenir une nouvelle norme sociale. Alors que le masque n'est désormais plus obligatoire en extérieur dans de nombreuses villes, certaines personnes continuent pourtant à le porter? Porter le masque flatte en chacun un désir naturel de soustraction vis-à-vis de l'espace public. Il n'est pas toujours agréable d'être dévisagé, de jouer le jeu de la relation. Ce jeu est forcément risqué car on peut être mal jugé, on peut être nié, on peut traverser une foule dans l'indifférence la plus totale et en être blessé. Ce jeu de la relation nous met dans l'inconfort ! Être un visage, c'est être appelé en dehors de soi, être excentré sans cesse. Il existe donc un certain confort moral à se dire « Je me soustrais à ce jeu, je reste dans mon obscurité privée ». Ce qui est inquiétant, c'est que l'ordre public puisse banaliser cette tentation car on ne peut pas imaginer une société saine dont le principe serait la défiance de chacun vis-à-vis de tous. Si le rapport fondamental à autrui, c'est l'immunité, c'est que nous ne formons plus une communauté. Le masque couvre une partie du visage mais pas l'ensemble du visage, il est quand même possible de communiquer ! Autant dire que parce que l'on n'a besoin que de deux doigts pour porter un sac, une main complète n'a rien de nécessaire. Bien sûr les individus s'adaptent, y compris au pire ! Mais cela reste une mutilation. Le masque s'inscrit dans un ensemble de mesures de « distanciation sociale ». Que vous inspire ce terme ? D'une part, je remarque que cette expression est une contradiction dans les termes. La promesse de la société, à tort ou à raison, est de permettre à chacun de surmonter la distance qui le sépare des autres. Elle est de rendre possible une communication continue par le partage de missions communes, par la mutualisation des efforts dans la satisfaction des besoins etc. de sorte qu'aucune société ne peut être fondée sur la distance. Inscrire la distance au c?ur de la société revient à avouer qu'il n'y a plus de société mais seulement un agrégat d'individus assemblés par la force ou le hasard. C'est la différence entre un corps organique où chaque partie concourt au bien du tout et un tas de cailloux bien rassemblés. D'autre part il faut relever que grammaticalement parlant, le mot « distanciation » est une forme progressive. Il indique quelque chose qui est de l'ordre du processus continu ; un mouvement qui n'a pas vocation à s'arrêter. Et c'est ce qui est à craindre : la dynamique par laquelle la société s'atomise peu à peu et ne tient plus que par l'infrastructure technicienne. D'abord les gestes barrières, ensuite les masques, ensuite les jeux de pistes dans les magasins puis le pass sanitaire, puis les QR codes? Une telle contre-société ne peut tenir debout que par un traçage numérique permanent. Puisque sans visage, elle n'a plus d'âme, elle ne repose que sur son ossature technique. Certains voient dans le pass sanitaire une mesure qui permet de protéger les individus, d'autres une limitation de nos libertés? Ce qui me semble alarmant dans les mesures prises dernièrement, c'est qu'elles prévoient une citoyenneté échelonnée, graduée, « feuilletée » en fonction de l'état médical supposé des individus. Revenons à la définition de l'esclave dans l'Antiquité. Qui est l'esclave ? Celui qui préfère la vie à la liberté. Entre une vie de servitude et la mort, il a préféré la vie. À l'évidence, nos sociétés hyper technicisées ne voient plus dans la liberté un absolu de la condition humaine. Comme les vaincus d'une guerre, comme des prisonniers d'une puissance d'occupation, elles ont fait le choix de conserver leur vie au prix même de ce qui pourtant lui donne un sens. La vraie liberté ne s'exerce-t-elle pas lorsqu'un individu consent « librement » à ce pass sanitaire ? Que veut dire « penser librement » dans un état de sidération médiatique entretenu à dessein ? Depuis un an et demi, chacun vit en étant subjugué et submergé d'informations qui, quotidiennement, pré-fabriquent et orientent son jugement en fonction des réquisits politiques du jour. Dans ces conditions-là, qui sont des conditions de fascination de l'intellect, il est tout à fait évident que l'exercice du libre arbitre, de la prudence, du discernement et de la liberté est altéré. En outre, si beaucoup de gens acquiescent à ces mesures (pass sanitaire, contraintes sociales), c'est parce qu'on leur fait miroiter un gain. Un faux choix leur est proposé du type : « Si vous voulez retrouver votre vie d'avant alors il faut obéir à ces mesures ». C'est une fausse promesse parce que la logique globale de la distanciation et de la contrainte sociale n'a aucune raison de trouver d'elle-même sa propre limite. Tout pouvoir qu'on cède à l'État, l'État n'y renonce jamais. C'est un principe historique. Est-ce la même logique qui anime selon vous la politique de vaccination qui se dessine ? Oui, la même logique d'immunisation et de protection permanente est à l'?uvre. Le vaccin, c'est le masque mais à l'intérieur du corps. Les gens ne se vaccinent pas pour arrêter de se protéger les uns des autres, ils se vaccinent pour ne plus jamais cesser de se protéger les uns des autres. Il y a une conception de la vie bien précise qui travaille ici : la vie doit être immunisée contre la mort. À 95 ans, les gens ne meurent plus de vieillesse. Ils meurent du Covid. Autant dire qu'au fond, la vie devrait pouvoir se poursuivre indéfiniment si nous n'étions pas constamment mis en danger par la menace potentielle que constitue toujours notre voisin. À cela il faut ajouter que la vaccination contre le Covid s'inscrit dans le processus plus global d'externalisation technique et de privatisation des facultés humaines. C'est aujourd'hui le système immunitaire naturel de l'homme qui apparaît comme un nouveau marché exploitable par l'industrie, par l'économie. L'enjeu est de convaincre chacun qu'il ne doit la vie sauve qu'à sa subordination à cet ordre technique. Comme un opérateur téléphonique vous vend un « forfait liberté », il s'agit désormais de vous vendre le « forfait immunité » pour seulement 19,99 euros par mois. La nouveauté est que si l'on refuse, on perd des droits. On notera d'ailleurs que le pouvoir, après avoir joué la carte de la peur, utilise maintenant la carte du ressentiment en affirmant que les vaccinés vont être (ou sont déjà) victimes des non-vaccinés. L'ambition est sans doute par-là de substituer au ressentiment vertical du peuple contre les gouvernants une défiance horizontale du peuple contre lui-même. C'est là, pour tous, un jeu très dangereux. Ne se vaccine-t-on pas pour protéger les autres plus que pour se protéger ? Beaucoup se vaccinent sans conviction, pour qu'on leur fiche la paix, pour partir en vacances. La vaccination est plus profondément un acte d'adhésion à un nouveau contrat social de type technico-sanitaire fondé sur un idéal d'hygiène commune. D'ailleurs on a beaucoup parlé des élections régionales et départementales afin de déplorer l'abstention. Mais je pense que les élections réelles, ce sont les vaccinations. Se faire vacciner, c'est de facto dire « oui » à ce nouveau contrat-social. Rendre la vaccination obligatoire pour certaines tranches d'âge ou certaines professions est-ce de la prévention par souci du bien commun ou une privation de liberté ? Imposer d'abord la vaccination à certaines catégories est probablement une stratégie politique pour fractionner une obligation qui ensuite deviendra plus large. Mais cela ne change rien sur le fond, c'est-à-dire du point de vue de la logique globale de régulation des comportements humains et sociaux. Les gens qui se sont fait vacciner en disant « On va retrouver notre vie d'avant », « Nous montrons l'exemple » n'ont peut-être pas à l'esprit qu'on leur proposera une troisième, puis une quatrième dose, puis un nouveau type de traçage en temps réel de leur métabolisme etc. Encore une fois, il n'y a pas de limite immanente à ce processus. La Cnil vient d'ailleurs d'autoriser la diffusion de la liste des patients non vaccinés auprès des médecins traitants? Dans la série des choses qui ont étrangement disparu ces derniers temps, il y a le secret médical. C'est comme la liberté de mouvement. Mais à partir du moment où l'État se donnait le droit de vérifier combien de personnes étaient à table à Noël, il ne faut plus s'étonner du reste. Ne peut-on malgré tout pas croire, sans être naïf, que le port du masque tout comme le pass sanitaire ou la vaccination obligatoire sont des mesures prises pour protéger les plus fragiles et au service du bien commun ? L'homme agit toujours au nom du bien, de ce qu'il croit être le bien. Que tout cela soit plein de bonnes intentions, que certains le pensent réellement me semble évident. Oui, des personnes agissent réellement par altruisme, pour le bien commun ! C'est pourquoi il est crucial d'élucider les termes du débat et de s'entendre sur ce que des notions comme « bien », « vie », ou « prudence » veulent réellement dire. C'est d'ailleurs ce que nous nous employons à faire, Martin Steffens et moi, dans notre livre Faire face, le visage et la crise sanitaire. Nous n'avons pas vocation à être des militants politiques mais nous avons voulu permettre à chacun de mieux comprendre ce qui nous arrive. Comment notre société a-t-elle pu, selon vous, s'engouffrer aussi facilement dans cette logique ? La virtualisation de l'expérience a largement préparé le terrain à ce qui nous arrive. La dématérialisation des rapports humains a rendu possible l'institution d'un nouveau régime : l'hygiénisme sécuritaire. Ne s'agit-il pas d'une parenthèse ? À événement exceptionnel, mesures exceptionnelles ? L'histoire n'est pas une phrase où l'on peut faire des pauses et revenir à l'objet principal. C'est un chemin. Une fois qu'il est emprunté, il n'y a pas de retour en arrière. ![]() ![]() ![]() ![]() Vidéos explicatives du fonctionnement et à la diffusion des vaccins COVID : le vaccin « modifié » de Moderna neutralise les variantes lors d’un premier essai clinique "War on Africa" - Guerre en Côte d’Ivoire ![]() ![]()
![]() ![]() ![]() Bravo à Driss Ghali pour cet article qui fait la synthèse du projet de l'islamisation et de l'aveuglement progressiste. A se demander si Driss n'est pas caché quelque part sur le forum ![]() Articles à lire sur le village : Progressisme Islamisation Guerre civile --- Le plan stratégique des islamistes consiste à évoluer dans l'ombre des progressistes. Objectif: prendre le contrôle des musulmans du pays. Analyse. La France accueille cinq ou six millions de musulmans. Prendre le contrôle de cette population est essentiel pour les islamistes et ils ont un plan pour y parvenir. En douter serait sous-estimer leur intelligence et leur capacité à mettre en ?uvre une stratégie de long terme. Le plan stratégique des islamistes consiste à évoluer dans l'ombre des progressistes. Ces derniers ouvrent le chemin tel un char qui avance dans une ville dévastée nommée civilisation française. Le char repousse les attaques des résistants à coups de canon et brûle tout ce qui tient encore debout, vestiges insupportables d'un monde qui doit disparaître. La poussière soulevée après chaque détonation couvre les silhouettes de fantassins qui marchent au rythme du blindé, ce sont les islamistes, une troupe bigarrée où se mêlent les insignes et les uniformes : salafistes, djihadistes, frères musulmans. Ce désordre n'empêche en rien la formation d'un front uni que peu d'entre nous perçoivent, les yeux fixés sur le char et les oreilles bouchées par le bruit des explosions. La France: une terre à prendre Passagers clandestins du progressisme, les islamistes se laissent porter par la vague. Le jour venu, ils se retourneront contre le char et ses occupants. Bien malin qui dira quand ce jour adviendra. Les islamistes mènent une guerre asymétrique, ils s'en prennent au « climat » général de la société qu'ils veulent modifier et non aux forces de l'ordre en particulier. Ils savent qu'ils seront écrasés par les policiers et les gendarmes s'ils s'avisent de prendre les armes pour de bon. Leur stratégie est tout aussi brillante que perfide : elle consiste à démobiliser la jeunesse française en la privant de l'esprit guerrier et de l'estime de soi. Un pays privé de sa jeunesse est un pays à genoux : une terre à prendre. Les jeunes détiennent le monopole de la violence spontanée, cruelle et facile à mettre en ?uvre. Toutes les armées du monde le savent. Culte du pacifisme et «pas d'amalgame» La jeunesse française, quand elle est bien commandée, est capable de « mettre une raclée » aux djihadistes les plus aguerris au c?ur du Sahel ou du Levant. L'islamisme n'aime pas la jeunesse version Arnaud Beltrame. Il lui préfère la jeunesse qui rigole et qui ricane des malheurs de la France. Il aime le rap quand il invite à l'inceste (nique ta mère) ou à brûler le drapeau bleu blanc rouge (nique la France). Il tolère le dealer qui empoisonne les âmes et les muscles de ceux qui sont en âge de changer le monde par la force. L'islamisme n'a pas peur de la bourgeoisie, il la méprise car il regarde ses chaînes de télévision et mesure le désarmement moral promu par ses affidés : haine de soi, érotisation permanente du réel, bannissement de la punition, culte béat du pacifisme et de la repentance etc. Il se sert d'elle comme d'une grande machine à déradicaliser la société, un mécanisme implacable qui bannit la violence défensive et tolère celle qui vient d'autrui. C'est ainsi qu'après chaque attentat, les Français posent des fleurs sur les lieux du massacre et chantent en c?ur « pas d'amalgame ». Toute attaque donne lieu à une cérémonie de « déradicalisation » collective démultipliée par les médias et les leaders d'opinion. L'essentiel est de s'injecter ensemble une dose de repentance, de bonne foi (« ne pas stigmatiser ») et de haine de soi (« l'ennemi c'est l'extrême-droite »). Outrages répétés à l'Etat L'usage du terrorisme s'inscrit dans la même logique : atténuer voire annuler les défenses naturelles de la société. Avec Charlie Hebdo, ce sont les journalistes, et plus généralement les intellectuels et les éditeurs, qui ont été condamnés au silence. Personne n'a envie de parler d'islam à moins de raconter des platitudes. L'assassinat du gardien de la paix Ahmed Merabet a humilié la police, l'égorgement d'Arnaud Beltrame a montré à tous que même les militaires ne sont pas tout puissants face à l'islamisme. La majesté de l'Etat qui constitue un attribut essentiel de sa puissance a été outragée. Les massacres commis au Bataclan et à Nice visaient à créer des troubles intercommunautaires. Ils n'ont pas eu lieu et c'est tout à l'honneur de la France. Toutefois, l'attractivité de l'islamisme semble avoir augmenté depuis. La violence est un langage puissant et mystérieux. L'horreur pour la majorité peut représenter un appel ou une injonction à agir pour une petite minorité. Le sang cause le dégoût chez les uns et met en ?uvre des énergies insoupçonnées chez les autres. Le mal-nommé Etat Islamique l'a parfaitement compris : quelques vidéos de décapitation lui ont permis d'attirer des milliers d'Européens au Levant en un temps record, ils ont laissé derrière eux le confort de l'Etat-Providence pour se jeter dans la gueule du loup à cause d'une vidéo de décapitation. La violence a souvent le dernier mot. Renvoyer le peuple historique dans les provinces Le deuxième volet du plan stratégique de l'islamisme est la prise en main totale des musulmans de France. Cette opération de longue haleine est une co-production signée par les progressistes et les islamistes. Les uns croient bien faire, les autres appliquent un plan bien huilé et se mettent en ordre de bataille pour récupérer la mise le moment venu. La « mise à jour » de l'Islam subsaharien, discret et pacifiste, serait une véritable catastrophe pour la France Pour islamiser les banlieues, il faut en retirer d'urgence tous les « petits blancs ». En effet, le Français de souche qui vit dans les « quartiers », au contact des immigrés, fait partie des populations les moins xénophobes du monde. Son mode de vie est un démenti cuisant aux thèse victimaires des islamistes, il offre une chance réelle pour l'intégration des nouveaux venus (un gros mot par les temps qui courent). Tant que les immigrés pourront fréquenter le PMU de Jacky et jouer le foot le dimanche avec Marcel ou Manu, ils auront une échappatoire. Le rêve de l'islamiste est de voir « les petites gens » disparaître dans les profondeurs des provinces françaises. Territoires perdus Le délinquant est investi de la mission de « nettoyer » les lieux de vie de leurs habitants indésirables. Les islamistes, qui méprisent son style de vie décadent, le laissent faire car le délinquant est utile. Et les progressistes le couvrent de toutes les attentions car il est un « damné de la terre » qui mérite toutes les circonstances atténuantes. A lire aussi : Banlieue lyonnaise: il court, il court le communautarisme islamique Et si les « petits blancs » (aussi appelés beaufs par les progressistes) décident de rester dans leurs HLM, ils doivent être décrédibilisés et condamnés au silence parce qu'ils sont descendants de pétainistes, de colonialistes et d'esclavagistes. Ils doivent être suffisamment « apprivoisés » pour accepter les prières de rue et la loi des grands frères. Ils doivent accepter sans rechigner la disparition du postier, du médecin ou même du policier. Les islamistes jouent gros dans les « quartiers » car ils aspirent non seulement à prendre le contrôle des maghrébins mais aussi des subsahariens. Si les Français de souche sont décrédibilisés voire mis à la porte des banlieues, les jeunes d'origine subsaharienne seront des proies faciles pour les islamistes. La « mise à jour » de l'Islam subsaharien, discret et pacifiste, serait une véritable catastrophe pour la France. Des partis politiques musulmans? Bientôt, des partis musulmans feront leur apparition. Ils s'empareront du butin électoral jusqu'à présent aux mains de la gauche. Viendra alors le moment du bras de fer qui se déroulera au sein même du système politique et non en-dehors de lui comme aujourd'hui. Il y aura les conciliateurs face aux sceptiques et autres résistants. Et au rythme où vont les choses, les conciliateurs seront plus nombreux et auront le dernier mot : « c'est soit ça ou la guerre civile? » La mission de la droite, si un jour elle effectue sa refondation, est de sauver les progressistes d'eux-mêmes. Pour cela, il faudrait leur disputer le monopole du changement, devenir la véritable force révolutionnaire, celle qui conduira la civilisation française vers de nouveaux rivages. La droite comme force de changement et non de réaction ou de conservatisme. La mission de la droite La France a changé, elle est multiethnique et musulmane par plus d'un aspect. Il est temps d'en prendre compte, même à droite. L'enjeu est de reprendre les commandes d'un bolide infernal qui roule droit vers le mur. Nous y sommes tous embarqués, malgré nous, quelles que soient nos opinions politiques. La mission de la droite est d'effectuer un atterrissage en douceur qui soit digne de la France et de ses valeurs républicaines. Telle est la responsabilité historique de la génération actuelle. ![]() ![]() ![]() ![]() ![]()
![]() ![]() Cette vidéo met en lumière l'empire Soros de manière factuelle, pour ceux qui me suivent ou qui enquêtez également depuis des années, vous savez à quel point la contre propagande m'importe sur de nombreux sujets. Il s'avère que derrière nombre de ces sujets, il y a un homme dont la signature est très souvent apposée Georges Soros. Soros est un leader de la finance mondiale, parmi les hommes les plus riches du monde, qui finance toutes sortes d'entreprises à travers sa multinationale Open Society Foundations. Des médias de propagandes, aux révolutions colorées, en passant par les ONG de passeurs de migrants et autres mouvements polémiques comme les Femen (il a stoppé le financement des Femen lorsqu'une filiale s'est ouverte en Israël, en bon antisioniste qu'il est), il finance les mouvements Black Lives Matters aux USA qui ont provoqué les émeutes de Charlottesville, des associations pro palestiniennes, etc etc ... Plus grave, à travers ses multiples organisations, il finance des groupes de pressions afin d'augmenter la capacité d'immigrés sur le sol Européen et aux USA, il favorise la montée du racisme et la haine anti-flics aux usa comme en Europe, il finance le CCIF en France, c'est à dire l'organisme de lutte contre l'islamophobie. Il a financé la campagne Démocrate d'Hilary Clinton, bref... C'est le grand magna du progressisme gauchiste ultralibéral, qui finance tous ce qui peut participer à détruire les nations et provoquer une situation de chaos sur les continents. Il aime jouer avec les cons, et ils le lui rendent bien. Parlons peu, parlons bien, voici la liste de certaines organisations financées par Soros, je ne sélectionne que les plus importantes car la liste est trop longue : Amnesty International SOS Racisme Catalugna Podemos Syriza European Parliament Athens LGBT Pride Le Parti Démocrate Américain Black Lives Matters League of Women Voters of the U.S. Human Rights Watch Immigrant Defense Project Immigrant legal ressource center European Network Against Racism - ENAR European Women's Lobby HOPE not hate Ligue des droits de l'Homme CCIF (Collectif Contre l'Islamophobie en France) Proteus Fund AEGEE / European Students' Forum Al-Haq Cattle Farm All of Us or None Migrants' Rights Network Alliance for Justice ALTER-EU Immigrant workers citizenship Project Immigration Advocates Network Arcigay Athena institute Applied research center Arab American institute Foundation The Aspen Institute Migrant Voice Bill of right defense commitee Black Alliance for Just Immigration Bondy Blog Cité en mouvement ResPublica.AL (...) Cela donne un aperçu du champ d'action de ce personnage et de son entreprise colossale, une des personnalités les plus influentes et puissantes du monde en ce début de millénaire. ![]() ![]() ![]() ![]() ![]()
![]() ![]() ![]() Ah oui, un truc sur les enfants intelligents, et les gens intelligents aussi d'ailleurs. L'intelligence n'est rien sans les connaissances, sans le savoir accumulé, et la mise en pratique, comme l'expérience. Un enfant surdoué balancé dans un monde de requins se fera bouffer et manipuler comme un jouet, tout intelligent qu'il fut. Le règne de l'enfant roi à encore de l'avenir avec les nouveaux modèles d'écoles conceptuelles où on laisse les enfants apprendre par eux même en toute autonomie. C'est très bien car ces jeunes ont souvent des problèmes avec un schéma d'apprentissage scolaire classique qui ne leur est pas adapté, mais gare à ne pas faire de ces enfants surdoués des Dieux, des enfants surdoués il y en a de toutes les générations, de tous les âges, et devenus adultes, ils sont aussi sujets aux mêmes dérives que les autres. Attention à ne pas déifier l'enfance, l'intelligence n'est qu'un outil, les « enfants indigos » et autres délires de parents élevés aux mangas et autres supermans sont une arnaque visant à faire croire que ces enfants font partie d'une race à part. Une race de « sur-humains ». Ils ne sont pourtant rien de plus que des humains aux capacités de réflexion, d'association et de conceptualisation plus élevée que la moyenne, une machine bien huilée en somme, et la différence avec une époque révolue, c'est qu'aujourd'hui on apprend à les reconnaitre pour les exploiter le plus tôt possible. Quelle puissante et impitoyable énergie de persuasion que celle d'un enfant surdoué, qui oserait s'en prendre à un enfant et à son innocence, sauf que là les sujets traités sont tout saufs innocents. Alors, que les bobos écolo fengshui vegan raffolent des écoles privées conceptuelles c'est parfait pour pouvoir éviter à leurs gamins de grandir avec des racailles (parce que les parents bobos fengshui ne le diront jamais, mais ils sont prêts à débourser des milliers d'euros pour que leurs « petites têtes blondes » n'aient pas à fréquenter les bas fonds de la société qu'en vérité ils maudissent). Mais croire que vos gosses intelligents sont par essence des Dieux ou des êtres supérieurs est symptomatique d'une société qui érige l'irrationalité et l'utopie en dogme, et cela a toujours ouvert la voie au fascisme le plus froid et meurtrier. Chère Greta, tu es une jeune fille brillante, courageuse, mais comme Jiddu Krishnamurti, tu es un produit marketing. Un siècle après Blavastky la théosophie n'est plus la doctrine, ici rien de spirituel au final, il ne s'agit que d'ouvrir la voie à un juteux commerce, et à permettre aux actionnaires du « capitalisme vert » de profiter de cette crise climatique pour mettre en place des processus politiques et sociaux contraignants et totalitaires, tout en préservant leurs intérêts économiques, et également modeler de nouveaux accords de libre-échanges internationaux, la votation du CETA le jour de ton allocution devrait te mettre la puce à l'oreille. Je sais que tu comprendras cela un jour, car aujourd'hui, tout intelligente, brillante et courageuse que tu sois, tu n'es pas en capacité de connaitre la fourberie et le machiavélisme du monde politique. Le CETA tu ne sais même pas ce que c'est n'est-ce pas? Parce que tout intelligente que tu es, tu n'as pas étudié ce sujet, comme de nombreux autres, et ton intelligence ne remplacera jamais les lacunes d'apprentissages, de connaissances historiques, politiques, littéraires, mathématiques, et surtout l'expérience accumulée que tu ne possèdes pas pour mettre en relation toutes ces informations, relier les points et développer des conclusions objectives. La connaissance, ça ne s'invente pas, ça s'apprend, ça s'accumule. Mais pour ça il faut aller à l'école, ou lire des livres, faire des recherches en confrontant des idées, non pas en récitant le rapport du GIEC apprit par coeur, comme pourrai le faire un enfant musulman à qui l'on imposerait la lecture du Coran comme seule lecture. Chère Greta, je te souhaite bien du courage dans les épreuves que tu vas affronter, en toi-même, car l'exposition que t'ont donnée tes parents et les personnes qui t'utilisent ne te permettra pas d'évoluer et de grandir dans un environnement normal pour une fille de ton âge. Ton combat est juste, mais tu es manipulée. Je te souhaite pendant ton année sabbatique de prendre du recul et de lire d'autres ouvrages que le rapport du GIEC, à commencer par cet auteur que Michel Onfray m'a fait découvrir, et que je citerai pour finir. « Dans Le Principe responsabilité (1979), Jonas fait avoir qu'en matière de survie de la planète, il s'agit d'en finir avec la raison des Lumières qui n'a rien produit, sinon des catastrophes, et qu'il faut désormais opter pour « une heuristique de la peur ». Autrement dit: il faut dramatiser, inquiéter, amplifier, exagérer, faire peur, c'est-à-dire tout le contraire de penser, examiner, réfléchir, débattre. On ne pense plus, on récite; on n'examine plus, on assène; on ne réfléchit plus, on psalmodie; on ne débat plus, on insulte, on excommunie, on anathèmise. On ventile... » Prends soin de toi et courage Greta, le chemin est long et semé d'embuches. ![]() ![]() ![]() ![]() ![]()
![]() ![]() Résumé / Synthèse de la conférence d'Alain Wagner du 2 septembre 2018.
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