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09.01.2019
Le mouvement des Gilets Jaunes

source: Le dauphiné

En Europe

Matteo Salvini et Luigi Di Maio provoquent la colère du gouvernement français en soutenant les gilets jaunes. La querelle vient de loin et est là pour durer.

La querelle est partie comme un feu de prairie. "Plus vite il rentre chez lui, mieux ça vaut !" a lancé lundi le vice-président du Conseil italien Matteo Salvini au président français Emmanuel Macron. C'était là sa manière de soutenir les gilets jaunes, "des citoyens honnêtes protestant contre un président gouvernant contre son peuple".

Et son collègue vice-président Luigi Di Maio a renchéri : "Gilets jaunes, ne faiblissez pas !"Le leader du Mouvement 5 Étoiles a au moins une raison de soutenir les gilets jaunes : c'est la couleur de son mouvement (le vert est celle de son allié la Ligue, d'où la coalition "jaune-vert"). Il en a une autre, plus fondamentale : l'attachement à la démocratie directe, marque de fabrique du mouvement.

En Iitalie l'outil de com est une plateforme internet baptisée Rousseau, sur laquelle sont organisées les rencontres des militants, défini le programme et choisis les candidats. Elle revendique l'inspiration du philosophe français Jean-Jacques Rousseau : "Le peuple soumis aux lois doit en être l'auteur". Luigi Di Maio a dès lundi offert aux gilets jaunes son savoir-faire pour les aider à s'organiser.




gilets, jaunes, Politique, démocratie
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Village / Où allons-nous ? / Du mépris, de l'indifférence, du dédain
24.12.2013
2 ans plus tard . . .

2 ans plus tard, qu'en est il ? Ou allons nous ? Il y a eu les belles révolutions arabes qui se sont transformées en guerres, il y a eu les hommes de pouvoir qui restent au pouvoir même si les présidents changent, impuissant devant l'excitation de la guerre, quand l'Afrique est le terrain de jeu des puissants.
Il y a eu la mort d'un sage. Mandela, un immortel.
Il y a eu des bénéfices doublés, des trilliardaires.
Il y a 0,1 % de croissance, des affamés.
Il y a Noël.
Des milliards de fourmis dans les grands supermarchés.
Il y aura les bons voeux 2014
Tout va bien
Surtout ne rien changer
Et au bout quoi qu'il arrive, c'est la mort
Il y a la nature qui nous alerte.
L'homme méprise la nature.
Mangeons une bonne dinde farcie et tout ira mieux.

Courage, disait l'autre, pour ceux qui ont un soupçon d'humilité.
De neurones miroirs,
De sens spirituel...

Parfois des époques révèlent une signification considérable, nous sommes dans une de ces époques.









3 commentaires
 
Village / Où allons-nous ? / Destruction de l'écosystème
01.04.2013
L'analyse de 20 chercheurs de renomée internationale.

source: Le Monde.fr et France Inter

Cette information a été relayé hier sur France Inter et dans le monde du 7 juin 2012. En dehors de ces 2 fenêtres médiatiques, autant dire invisible, la masse média a totalement censuré l'info.

La biosphère terrestre est à la veille d'une "bascule abrupte et irréversible" du fait de l'ampleur des pressions exercées par l'homme sur la planète. Les écosystèmes qui composent cette biosphère représentent, localement, des bénéfices irremplaçables pour les économies et les sociétés humaines.

C'est, en substance, l'inquiétante leçon à retenir de la publication, jeudi 7 juin, dans les colonnes de la revue Nature, de deux vastes synthèses des connaissances accumulées depuis deux décennies. La première de ces deux études traite de l'importance de la biodiversité dans le fonctionnement et les services rendus par la nature ; la seconde porte un diagnostic sur l'état de santé de celle-ci, à l'échelle mondiale.

Conduite par Anthony Barnosky, chercheur au département de biologie intégrative de l'université de Californie à Berkeley (Etats-Unis), cette dernière est cosignée par une vingtaine de chercheurs issus de plusieurs disciplines, appartenant à une quinzaine d'institutions scientifiques internationales. Elle pointe l'imminence - c'est-à-dire, aux échelles de temps planétaires, d'ici à "quelques générations" - d'une transition brutale vers un état de la biosphère terrestre inconnu d'Homo sapiens depuis l'émergence de l'espèce, voilà quelque 200 000 ans.

SEPT TRANSITIONS

Pour poser ce diagnostic, les auteurs ont analysé l'ensemble des travaux décrivant les bouleversements biologiques et géochimiques intervenus lors des grandes crises planétaires. Sept transitions ont ainsi été examinées. La dernière en date, la "transition glaciaire-interglaciaire", remonte à 11 000 ans. Elle marque le passage, au cours d'un réchauffement qui s'est étalé sur plusieurs millénaires, de la dernière période glaciaire à l'époque actuelle.

Les autres sont l'explosion cambrienne, il y a 540 millions d'années (Ma), qui a vu une grande diversification des formes de vie, et les cinq grandes extinctions, il y a 443 Ma, 359 Ma, 251 Ma, 200 Ma, puis 65 Ma, dont certaines ont vu l'extinction de plus de 90 % des espèces vivantes.

"Toutes ces grandes transitions ont coïncidé avec des contraintes qui ont modifié à l'échelle mondiale l'atmosphère, l'océan et le climat", écrivent les auteurs.

C'est précisément ce qui se produit actuellement, ajoutent-ils. "Il est projeté que, dans le siècle, les climats rencontrés aujourd'hui sur 10 % à 48 % de la superficie de la terre aient disparu et que des conditions climatiques qui n'ont jamais été rencontrées par les organismes actuels règnent sur 12 % à 39 % de la surface de la planète", soulignent les chercheurs.

L'augmentation de la concentration atmosphérique en dioxyde de carbone (CO2) ne bouleverse pas seulement le climat, mais altère aussi la chimie des océans qui "deviennent rapidement plus acides".

De plus, les effluents agricoles et urbains, charriés par les fleuves, créent "une réponse biotique déjà observable près des côtes, dans de vastes "zones mortes"", où la productivité (sa faculté à produire de la biomasse grâce à l'activité planctonique) de l'océan est nulle ou presque.

Les principales pressions exercées sont "la croissance de la population humaine et la consommation de ressources attenante", "la transformation et la fragmentation des habitats naturels", etc. Les auteurs rappellent ainsi que 43 % des écosystèmes terrestres sont aujourd'hui anthropisés, utilisés pour subvenir aux besoins des 7 milliards d'habitants de la Terre. Une règle de trois suggère qu'il faudra faire grimper ce taux à quelque 55 % pour 9 milliards d'humains vers 2050...

EROSION DE LA BIODIVERSITÉ

Mais peut-être en faudra-t-il bien plus. C'est ce que laisse craindre l'étude conduite par Bradley Cardinale (université du Michigan à Ann Arbor, Etats-Unis) et réalisée par dix-sept autres chercheurs internationaux, publiée dans la même édition de Nature. Elle pointe, de son côté, le rôle crucial de la diversité biologique - diversité des espèces et diversité génétique au sein des espèces - dans le fonctionnement des écosystèmes.

"Nous avons passé en revue environ un millier d'études publiées au cours des vingt dernières années, explique Anne Larigauderie, directrice exécutive de l'association scientifique Diversitas et co-auteur de ces travaux. A grands traits, le large consensus auquel nous parvenons est que la perte de biodiversité endommage la stabilité et le fonctionnement des écosystèmes, réduisant ainsi leur capacité à nous fournir des services auxquels nous sommes habitués."

L'érosion de la biodiversité réduira la productivité des pêcheries, de l'agriculture, etc. Et nécessitera d'accroître encore l'empreinte écologique de l'humanité.

A quelques jours de l'ouverture de Rio + 20 sommet mondial consacré au développement durable, la publication de ces deux études largement consensuelles constitue un puissant signal d'alarme.




Vision globale, Civilisations disparues, Gaïa, Environnement
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Village / Où allons-nous ? / Espace de solutions
28.03.2012
Technologie Solar impulse



"Les prochaines aventures seront donc humanitaires et médicales pour combattre l'extrême pauvreté et enrayer les nouvelles épidémies, politiques pour améliorer la gouvernance de la planète, spirituelles pour retrouver des valeurs profondes et bien sûr, technologiques pour répondre durablement aux menaces contre notre environnement.
L'aventure n'est pas forcément un acte spectaculaire, mais plutôt un acte «extra-ordinaire», c'est-à-dire quelque chose qui nous pousse hors de notre façon habituelle de penser et de nous comporter. Quelque chose qui nous oblige à sortir du caisson de nos certitudes dans lequel nous agissons et réagissons de façon automatique. L'aventure est un état d'esprit vis-à-vis de l'inconnu, une façon de concevoir notre existence comme un champ expérimental dans lequel nous sommes obligés de développer nos ressources intérieures, de gravir le chemin de l'évolution personnelle et d'assimiler les valeurs éthiques et morales dont nous avons besoin comme compagnons de voyage.»


Bertrand Piccard

Au-delà du défi de faire voler un avion autour du monde propulsé uniquement à l’énergie solaire, Solar Impulse est un projet de société global, qui vise à promouvoir l’exploitation d’énergies renouvelables dans une logique de durabilité. L’espace Solar Impulse & You est dédié à tous ceux qui ont la volonté d’agir dans le même sens. Il est une invitation à partager notre engagement pour s’affranchir de façon significative des énergies fossiles, réduire notre causalité dans le réchauffement du climat et, ensemble, œuvrer pour le respect de l’environnement.

+ D'infos

http://www.solarimpulse.com/






Village / Le Bar / Le Village Des Motards
26.03.2012
Protection contre la menace !

source: Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen.

Article XI

La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l?Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement. Les infractions de presse (injure, diffamation, etc), sont prescrites au bout de trois mois, c?est-à-dire que leur auteur ne peut plus être ni poursuivi ni condamné. Il n?y a pas de diffamation si la personne poursuivie pour cela parvient à prouver la véracité de ce qu?elle allègue (exception de vérité).

Article XIV

Tous les Citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs Représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d?en suivre l?emploi et d?en déterminer la quotité, l?assiette, le recouvrement et la durée.

Article XV

La Société a le droit de demander compte à tout Agent public de son administration.

Article XVI

Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n?est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n?a point de Constitution.

Il est illégitime de fonder le droit sur la force. Il est légitime de faire respecter ce droit par la force. Nous sommes loin d'avoir épuisés les fondements possibles du droit.


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