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 |  Et maintenant... un extrait de X-Files...
(épisode "Anagramme" de la saison 3)

L'homme à la cigarette (en photo), un agent du pouvoir occulte interroge un autre agent qui est emprisonné pour avoir cessé de soutenir ce pouvoir occulte et son "Projet" pour le controle total et la mise en esclavage de l'humanité...
Spender, l'homme à la cigarette: C'est une lourde responsabilité... Je suis chargé de m'occuper de vous et de régler cette affaire. Je pense que ça ne vous étonnera pas...
Jeremiah Smith: Je n'ai pas honte de mes actions.
S: Honte vous dites? Vous ne pouvez vous offrir le luxe de la faiblesse et du repentir. Vous ne devez rien mettre au dessus de ce qui est notre Objectif Suprême.
JS: Je ne crois plus à votre Objectif Suprême.
S: Alors vous méritez votre sort.
JS: Ce n'est pas à vous de décider de mon sort. Si vous avez des raisons, vous n'avez aucun droit. Et aucun moyen non plus.
S: Vous prétendez me dicter ce que je dois faire, c'est bien ça? Avez-vous une idée des conséquences de vos actes? et de leur prix? De quel droit leur donnez-vous de l'espoir?
JS: Qu'est-ce que vous leur donnez, vous?
S: Nous leur donnons du bonheur. Et ils nous donnent de l'autorité.
JS: L'autorité de leur enlever toute liberté sous couvert de démocratie?
S: Les hommes ne sont jamais libres, parce qu'ils sont faibles, corrompus, indignes et agités.
Les gens ne croient qu'en l'autorité. Ils sont las d'attendre vainement des miracles, des mystères. La science est leur religion. Aucune autre explication n'existe pour eux. C'est pour qu'ils persistent à le croire que notre Projet doit aller de l'avant.
JS: Qu'est-ce qu'il leur en coûtera?
S: Cette question est sans importance.
Et l'issue est inévitable. La date est arrêtée.
JS: Quel prix devront-ils payer pour la satisfaction de votre égoisme? Combien devront mourrir pour préserver vos intérêts dans ce Projet?
(...)
JS: Vous m'avez mis dans une cage, qui est dans une cage... Pourquoi avez-vous si peur de moi?
S: Je n'ai pas peur.
JS: Bien sûr que si ! Vous avez TOUJOURS peur. Votre vie n'est que peur.
S: Vous ne savez rien de moi.
JS: Je sais un tas de choses, presque tout.
S: Vous croyez être Dieu? Vous êtes un faussaire, un escroc, un charlatan.
JS: Ce que vous craignez c'est... qu'ils me prennent vraiment pour Dieu.
S: Aucune importance. La plupart d'entre eux ne croient plus en Dieu.
JS: Pourquoi?
S: Parce que Dieu ne fait plus de miracles pour gagner leur foi.
JS: Vous pensez que l'homme qui cesse de croire aux miracles cesse aussi de croire en Dieu?
S: Bien sûr !
JS: Vous voulez règner sur le monde au nom de Dieu?
S (avec un sourire maléfique): Ils ne croient plus en lui mais... ils en ont toujours peur !
Mais ce qu'ils craignent plus que tout, c'est d'être libres.
JS: Et donc vous leur apportez le bonheur?
S: Nous appaisons leur conscience.
Quiconque sait appaiser la conscience d'un homme peut lui prendre sa liberté.
JS: Et c'est en appaisant leur conscience que vous les tuez...
Mais vous ne les tuerez pas tous. Vous ne pouvez pas tuer leur amour. Or c'est l'amour qui fait d'eux ce qu'ils sont, et qui les rend meilleurs que nous... meilleurs que VOUS.
S: Bavardage !
JS: Tout ce que vous voulez, c'est "en faire partie". Etre parmi les commandants quand le Processus commencera... Mais vous faites fausse route.
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 |  "1984" de George Orwell...
extrait !
"Le ministère de la Vérité - Miniver, en nov-langue - frappait par sa différence avec les objets environnants. C'était une gigantesque construction pyramidale de béton d'un blanc éclatant. Elle étageait ses terrasses jusqu'à trois cents mètres de hauteur. De son poste d'observation, Winston pouvait encore déchiffrer sur la façade l'inscription artistique des trois slogans du Parti :
La guerre c'est la paix
La liberté c'est l'esclavage
L'ignorance c'est la force.
Le ministère de la Vérité comprenait, disait-on, trois mille pièces au-dessus du niveau du sol, et des ramifications souterraines correspondantes. Disséminées dans tout Londres, il n'y avait que trois autres constructions d'apparence et de dimensions analogues. Elles écrasaient si complètement l'architecture environnante que, du toit du bloc de la Victoire, on pouvait voir les voir toutes les quatre simultanément. C'étaient les locaux des quatre ministères entre lesquels se partageait la totalité de l'appareil gouvernemental.
Le ministère de la Vérité, qui s'occupait des divertissements, de l'information, de l'éducation et des beaux-arts. Le ministère de la Paix, qui s'occupait de la guerre. Le ministère de l'amour qui veillait au respect de la loi et de l'ordre. Le ministère de l'Abondance, qui était responsable des affaires économiques. Leurs noms, en nov-langue, étaient : Miniver, Minipax, Miniamour, Miniplein.
Winston fit brusquement demi-tour. Il avait fixé sur ses traits l'expression de tranquille optimisme qu'il était prudent de montrer quand on était en face du télécran."
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 | Le totalitarisme du futur
 Pendant longtemps, on pouvait penser que la société future serait celle du "meilleur des mondes" d'Aldous Huxley.
Mais aujourd'hui, il semble que nous nous rapprochons de plus en plus de ce qu'avait imaginé George Orwell dans "1984", un régime totalitaire, ultra-repressif, et où tout le monde est sous la surveillance électronique de "Big Brother" qui vous épie en permanence, jusque dans votre appartement...
Les slogans du régime de Big Brother:
"La guerre, c'est la paix"
"La liberté, c'est l'esclavage"
"L'ignorance, c'est la force"
On voit là le principe des dictatures fascistes, l'inversion de la réalité.
Très bien illustré aussi par le slogan nazi inscrit à l'entrée de tous les camps de concentration: "Arbeit macht frei", "le travail rend libre"
L'inversion est aussi un principe clé des satanistes, d'où leur symbole du pentagramme renversé.

Toujours dans "1984", le "ministère de la paix" (Minipax en novlangue) s'occupe en fait de la guerre. Le "ministère de la vérité" (Miniver) est le ministère de la propagande et du mensonge. Le "ministère de l'amour" (Miniamour) s'occupe de la torture. Et le ministère de l'abondance" (Miniplein) organise la famine.
La "novlangue" est une simplification du langage destinée à entrainer un appauvrissement de la pensée des gens... avec des mots qui sont chargés du minimum de sens et du minimum de charge affective... afin que l'homme pense le moins possible, se pose le moins de questions, n'ait pas le moindre doute. Les pensées subversives ne peuvent alors même plus se concevoir...
Par exemple, en novlangue, le contraire du mot "bon" est "inbon". Le mot "mauvais", trop compliqué et sujet à réflexion) a disparu des dictionnaires et des livres, tous réécrits en novlangue.
L'Angsoc, régime de l'Océania, divise le peuple en trois classes sociales:
- le "Parti Intérieur", la classe dirigeante
- le "Parti Extérieur", les travailleurs moyens (les exécutants)
- et les "prolétaires", la sous-classe s'entassant dans les quartiers sales.
Ce qui correspond aux 3 grands groupes d'individus qu'on retrouve dans notre société:
"Le monde se divise en trois catégories de gens: un très petit nombre qui fait se produire les événements, un groupe un peu plus important qui veille à leur exécution et les regarde s'accomplir, et enfin une vaste majorité qui ne sait jamais ce qui s'est produit en réalité."
Nicholas Murray Butler
Président de la Pilgrim Society, membre de la Carnegie, membre du CFR (Council on Foreign Relations)
http://fr.wikipedia.org/wiki/1984_(roman)
Le chef suprême du Parti est Big Brother, visage immortel et adulé placardé sur les murs de la ville. Tous les membres du Parti sont constamment surveillés par la Police de la Pensée et chaque geste, mot ou regard est analysé au travers des "télécrans" (assemblage de deux mots comme on en trouve souvent en novlangue) qui balayent les moindres lieux. Winston Smith, membre du Parti extérieur, occupe un poste de rectification d'information au commissariat aux archives, dans le Ministère de la Vérité (Miniver en novlangue). Son travail consiste à supprimer toutes les traces historiques qui ne correspondent pas à l'Histoire Officielle, qui doit toujours correspondre à ce que prédit Big Brother.
En plus de l'anglais classique, langue officielle de l'Océania, l'Angsoc a créé une langue, le novlangue (newspeak en anglais). Cette langue est constituée principalement d'assemblages de mots et est soumise à une politique de réduction du vocabulaire. Le nombre de mots en novlangue diminue sans arrêt. Au début du roman, un membre du Parti Extérieur révèle que la version finale du dictionnaire novlangue était en préparation afin d'éliminer tout autre mode de pensée et idée hérétique.
La double pensée - extrait de "1984"
"Connaître et ne pas connaître. En pleine conscience et avec une absolue bonne foi, émettre des mensonges soigneusement agencés. Retenir simultanément deux opinions qui s'annulent alors qu'on les sait contradictoires et croire à toutes deux. Employer la logique contre la logique. Répudier la morale alors qu'on se réclame d'elle. Croire en même temps que la démocratie est impossible et que le Parti est gardien de la démocratie. Oublier tout ce qu'il est nécessaire d'oublier, puis le rappeler à sa mémoire quand on en a besoin, pour l'oublier plus rapidement encore. Surtout, appliquer le même processus au processus lui-même. Là était l'ultime subtilité. Persuader consciemment l'inconscient, puis devenir ensuite inconscient de l'acte d'hypnose que l'on vient de perpétrer."
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 |  Un autre personnage-clé... Allen Dulles, ex-directeur de la CIA...
Allen Dulles a conduit l'opération Paperclip, par laquelle les USA ont récupéré plus de 800 scientifiques nazis, tous criminels de guerre, pour les faire échapper à la justice et les amener aux USA, en les intégrant au système militaro industriel afin qu'ils y apportent leurs "connaissances" et leur "expérience"...
Il a été avocat et ami intime de la famille Bush. Il fut aussi directeur de la CIA (de 1953 à 1961) où il a piloté de multiples coup d'états dans le monde pour renverser des gouvernements élus démocratiquement et les remplacer par une dictature à la solde des USA (dont le renversement de Mossadeh en Iran qui a amené au pouvoir le Chah, dont la distature sanglante créera les conditions de la révolution islamique et l'avènement de la première république islamique).
Il fut l'un des concepteurs de l'opération Northwoods, et fut à ce titre démis de ses fonctions par Kennedy. Allen Dulles fut probablement l'un des commanditaires de l'assassinat de JFK, et fut ensuite l'un des membres de la commission Warren (chargée du rapport sénatorial sur l'assassinat et dont la conclusion fut qu'il n'y avait qu'un seul assasin, Oswald, et qu'il n'y avait pas de complot)...
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 | Les Maîtres du Monde
 Les Maitres du Monde, leur histoire, leurs buts, leurs stratégies et les infos sur les personnages-clé du Nouvel Ordre Mondial...
On commence avec JP Morgan...
J.P Morgan avait la réputation d'être un carnassier impitoyable et corrompu. C'est le fondateur entre autres de la banque qui porte son nom, la JP Morgan Chase. C'est encore aujourd'hui l'une des principales banque d'affaires américaine, surtput après sa fusion récente avec la banque des Rockefeller, la Chase Manhattan Bank.
Les Rockefeller, les Morgan, et les Harriman sont les 3 plus grandes dynasties capitalistes aux USA, liées aux organisations de contrôle et sociétés secrètes (CFR, Skull & Bones, Bohemian Club, etc).
Voici un excellent article sur le personnage. Vous allez voir, beaucoup de choses se recoupent:
http://mccomber.blogspot.com/2007/04/le-mauvais-sicle-5-les-morgan.html
Son papa, Junius Spencer Morgan, dirigeait la firme J.S. Morgan & Co à Londres. Il offrit à fiston la branche New-Yorkaise de sa compagnie, qui prit éventuellement le nom J.P. Morgan & Co. (aujourd’hui JPMorgan Chase). Au moment de la guerre de sécession, il parvint à éviter la conscription en payant une décharge de 300$.
Il eut l’idée de faire l’acquisition de 5000 fusils défectueux qu’il paya 17 500 $ et de revendre le lot tel quel à l’armée Fédérale pour 110 000 $. Comme les soldats voyaient leurs mains exploser à l’usage, Morgan fut poursuivi, mais un juge confirma la validité du contrat. Il utilisa son profit à bon escient et acquit le contrôle de nombreuses firmes, dont Drexel, Peabody, et Carnegie.
En 1891, Morgan fusionna Edison et Thomson pour former la General Electric. En 1895, il s’empara de la flotte Leyland, ainsi que de nombreuses lignes navales, créant la White Star, constructeurs et opérateurs des vaisseaux Britannic, Olympic et… Titanic. En 1899, J.P. Morgan possédait et/ou contrôlait quatre des cinq principales compagnies de chemin de fer d’Amérique, regroupant, entre autres, les intérêts des Rockefeller, Vanderbilt et… Harriman.
En 1900, Morgan finance les recherches de Nikola Tesla, le véritable inventeur de la radio (mais non, pas Marconi?!), un génie scientifique aujourd’hui méconnu à qui l’on doit notamment le courant alternatif, la distribution polyphase et le moteur AC, ainsi que de fortes contributions à la cybernétique, au contrôle à distance, au radar, à l’informatique, à la balistique, à l’aéronautique (il invente le décollage vertical dans les années 20), à la navigation (le propulseur sans hélices) et à la physique nucléaire. Lorsque Tesla, débordant d’enthousiasme, montre à Morgan qu’il a réussi à créer un système qui permettrait la distribution gratuite d’électricité, sans fils ni câbles, sur toute la planète, le gros J.P. se gratte. Il ne voit absolument pas le profit à tirer d’une telle connerie. Il coupe les vivres au projet.
En 1904, J.P. Morgan fondit neuf aciéries en une seule et monstrueuse United States Steel Corporation, la première entreprise du monde à posséder des actifs d’un milliard. En 1912, le comité Pujo, chargé d’enquêter sur les activités douteuses des banques américaines évalua que les trois groupes que J.P. contrôlait, J.P. Morgan & Co., First National, et National City Bank, possédaient une somme de 22 trillions de dollars, l’équivalent de toutes les possessions et ressources publiques, personnelles et privées des 22 états à l’Ouest du Mississippi.
En 1913 J.P. Morgan réussit un de ses plus grands coups. Après avoir placé son homme à la tête du pays, un certain Woodrow Wilson, Il fait créer par un de ses associés, le sénateur Nelson Aldrich, une entité carrément diabolique, la Federal Reserve Bank. Essentiellement, il s'agit d'une entreprise privée, propriété de quelques grands trusts bancaires (dont le sien), et détenant le pouvoir d'imprimer, distribuer, contrôler, restreindre ou accroître la circulation des devises des États-Unis. Autrement dit, ce petit groupe pourrait (s'ils étaient retors et malhonnêtes) savoir d'avance quand se produiront certaines récessions, inflations, ou crises boursières. Au-delà de celà, il leur revient d'émettre la monnaie, qu'ils louent ensuite au gouvernement américain contre intérêt et profit.
(...)
En août 1914, Morgan Junior signa un contrat avec la Bank of England, lui assurant le monopole de l’émission des obligations de guerre de l’Angleterre et de la France. Tel un devin, il avait fait en sorte que ses firmes investissent massivement dans la fabrication d’armes, dont il détenait maintenant l’exclusivité de l’approvisionnement aux alliés de l’Entente Cordiale (France et Angleterre). Ses banques prêtèrent 12 millions à la Russie et 50 millions à la France pour leur permettre d’acheter des armes… à ses propres armureries?! La totalité des munitions états-uniennes et britanniques achetées durant la première guerre mondiale furent manufacturées par les compagnies de J.P. Morgan. En cours de conflit, Morgan organisa un groupe de 2200 banques et prêta 500 millions supplémentaires aux gouvernements alliés qui s'empressèrent de lui retourner le chèque pour étancher leur soif d'acier, d'explosifs, de plomb, de machines.
En 1920, le président du conseil de W.A. Harriman & Co., un certain George Herbert Walker, arrangea une fusion monstre entre son entreprise et Morton & Co., devanture de Guaranty Trust Co., elle même un vestibule de la J.P. Morgan. Harriman représentait déjà une des plus grandes flottes de navires du monde depuis que le gouvernement des États-Unis lui avait fait cadeau de la gigantesque ligne Hamburg-Amerika, confisquée à l’Allemagne parmi les innombrables compensations aux vainqueurs à la fin du cataclysme.
(...)
Régulièrement embêté par des citoyens ulcérés, le Sénat mena encore une fois une enquête sur les pratiques bancaires, en 1929, pour se rendre compte qu’une longue liste de personnages officiels du gouvernement avaient reçu, à très bas prix, des actions dans les entreprises de J.P. Morgan. Cette liste incluait de gros noms tels que Calvin Coolidge (président des ÉU), William Woodin (secrétaire du trésor sous Roosevelt), McAdoo (secrétaire du trésor sous Wilson), Adams (secrétaire de la Marine), Bernard Baruch (président du conseil des industries militaires de Wilson et Roosevelt), etc. Il y eut très peu de suites.
En cette même année 1929, J.P. Morgan Junior a une inspiration géniale et se retire du marché boursier. D'autres le suivent, tels les Rockefeller, Harriman, et Vanderbilt. Juste à temps. De façon totalement imprévisible, la Banque de la Réserve Fédérale fondée par papa Morgan entreprend de restreindre les devises, ce qui cause un crash boursier sans précédent. C'est une aubaine pour les barons, qui ont l'occasion de racheter pour des cacahuètes la quasi-totalité de l'industrie indépendante américaine qui leur échappait encore, ainsi que les deux tiers des terres agricoles à l'Ouest du Mississippi*. Les pauvres blaireaux qui n'avaient pas été prévenus s'effondrent, se jettent par les fenêtres, c'est la Grande Dépression. La classe moyenne est pratiquement liquidée. La classe ouvrière, jetée à la rue. Les rois rigolent et se construisent des palais fantastiques. Ils ont enfin les budgets pour entreprendre une oeuvre grandiose.
C'est le début des années trente et le soleil brille comme jamais sur Wall Street.
Etonnant, non?
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http://www.syti.net/Topics2.html
"En politique, rien n'arrive par hasard. Chaque fois qu'un évènement survient, on peut être certain qu'il avait été prévu pour se dérouler ainsi."
Franklin D. Roosevelt
Président des Etats Unis de 1932 à 1945
"Le monde se divise en trois catégories de gens: un très petit nombre qui fait se produire les événements, un groupe un peu plus important qui veille à leur exécution et les regarde s'accomplir, et enfin une vaste majorité qui ne sait jamais ce qui s'est produit en réalité."
Nicholas Murray Butler
Président de la Pilgrim Society, membre de la Carnegie, membre du CFR (Council on Foreign Relations)
"Le monde est gouverné par des personnages très différents de ce qui est imaginé par ceux qui ne sont pas derrière le rideau."
Benjamin Disraeli
Premier Ministre Britannique de 1874 à 1880
"Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, Time Magazine et d'autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque 40 ans. Il nous aurait été impossible de développer nos plans pour le monde si nous avions été assujettis à l'exposition publique durant toutes ces années. Mais le monde est maintenant plus sophistiqué et préparé à entrer dans un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d'une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l'autodétermination nationale pratiquée dans les siècles passés."
David Rockefeller
Président et fondateur du Groupe de Bilderberg et de la Commission Trilatérale. Président du CFR.
Propos tenus à la rénion du Groupe de Bilderberg à Baden Baden en 1991
"Quelque chose doit remplacer les gouvernements, et le pouvoir privé me semble l'entité adéquate pour le faire."
David Rockefeller
Interview dans Newseek en février 1999
"Aujourd'hui, l'Amérique serait outrée si les troupes des Nations Unies entraient dans Los Angeles pour restaurer l'ordre. Demain ils en seront reconnaissants! Ceci est particulièrement vrai s'il leur était dit qu'un danger extérieur, qu'il soit réel ou promulgué, menace leur existence. C'est alors que les peuples du monde demanderont à être délivrés de ce mal. L'unique chose que tous les hommes craignent est l'inconnu. Confrontés à ce scénario, les droits individuels seront volontairement abandonnés au profit de la garantie de leur bien-être assuré par le gouvernement mondial."
Henry Kissinger
Membre du Groupe de Bilderberg, de la Commission Trilatérale et du CFR
"Nous aurons un gouvernement mondial, que cela plaise ou non. La seule question sera de savoir si il sera créé par conquête ou par consentement."
Paul Warburg
"Nous sommes à la veille d'une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin est la bonne crise majeure, et les nations vont accepter le Nouvel Ordre Mondial."
David Rockefeller
"Je suis inquiet pour la sécurité de notre belle nation; pas tant à cause d'une quelconque menace de l'extérieur, mais d'avantage à cause des forces incidieuses qui y opèrent de l'intérieur."
Général Douglas MacArthur
Commandant suprême des forces alliées dans le Pacifique durant la Seconde Guerre mondiale
"La direction du Bureau du Président a été utilisée pour fomenter un complot pour anéantir la liberté des Américains, et avant que je ne quitte le Bureau, je dois informer les citoyens de ces conditions."
John Fitzgerald Kennedy
dans un discours fait à l'Université Columbia le 12 novembre 1963, dix jours avant son assassinat
"Le but des Rockefeller et de leurs alliés est de créer un gouvernement mondial unique combinant le Supercapitalisme et le Communisme sous la même bannière, et sous leur contrôle. (...) Est-ce que j'entends par là qu'il s'agit d'une conspiration? Oui, en effet. Je suis convaincu qu'il y a un tel complot, d'envergure internationale, en planification depuis plusieurs générations, et de nature incroyablement maléfique."
Lawrence Patton McDonald
Congressiste américain tué dans l'attaque d'un vol de la Korean Airlines. Message public diffusé en 1976
"Seuls les plus petits secrets ont besoin d'être protégés. Les plus gros sont gardés par l'incrédulité publique."
Marshall McLuhan
Auteur et chercheur canadien (1911-1980)
"Tous les êtres humains trébuchent un jour sur la vérité. La plupart se relèvent rapidement, secouent leurs vêtements et retournent à leurs préoccupations, comme si de rien n'était."
Winston Churchill
Premier Ministre de la Grande-Bretagne de 1940 à 1945 et de 1951 à 1955
"L'ennemi numéro 1 de tout État est l'homme qui est capable de penser par lui-même sans considération de la pensée unique. Presque inévitablement il parviendra alors à la conclusion que l'État sous lequel il vit est malhonnête, insensé et insupportable, ainsi, si cet homme est idéaliste il voudra le changer. S'il ne l'est pas, il témoignera suffisamment de sa découverte pour générer la révolte des idéalistes contre l'État."
Henry Louis Mencken
Journaliste, écrivain et libre penseur, l'un des écrivains américains les plus influents du 20e siècle (1880-1956)
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 | Citations sur le pouvoir et la société
 Envoyez ici vos citations préférées sur le pouvoir et la société...
"Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots."
Martin Luther King
"L'humanité devra mettre un terme à la guerre, ou la guerre mettra un terme à l'humanité."
John Fitzgerald Kennedy
"Il y a suffisamment de ressources sur la planète pour répondre aux besoins de tous, mais pas assez pour satisfaire l'avidité de seulement quelques-uns."
Ghandi
"Vivons tous simplement, pour que tous puissent simplement vivre."
Gandhi
"Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts"
Isaac Newton
"Les lois inutiles affaiblissent les lois nécessaires."
Montesquieu
"Bien informés, les hommes sont des citoyens; mal informés ils deviennent des sujets."
Alfred Sauvy
"Celui qui a le pouvoir de vous faire croire des absurdités a le pouvoir de vous faire commettre des injustices."
Voltaire
"Pour enchaîner les peuples, on commence par les endormir."
Jean-Paul Marat
"Pour triompher, le mal n’a besoin que de l’inaction des gens de bien."
Edmund Burke
"Le monde est dangereux à vivre, non à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire."
Albert Einstein
"L’ennui dans ce monde, c’est que les idiots sont sûrs d’eux
et les gens sensés pleins de doutes."
Bertrand Russell
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