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 | #339 Bernard Werber : Quel pion jouons-nous sur l’échiquier de la vie ?
 source: youtube.com

Speaker 2: Bienvenue dans la saison 4 de Métamorphose. Chaque semaine, je vous invite à la découverte de sujets lumineux avec des personnalités qui portent une voix d'éveil et des consciences.
Speaker 1: Métamorphose, le podcast qui éveille la conscience. Pas Annie Etienne, mais Anne-Yé Thierry. Qui
Speaker 2: n'a jamais été saisie voire emportée par la foule lors d'un confère ou lors d'un match de foot. Qui n'a jamais eu l'impression d'en faire qu'un avec plus grand que lui.
Plus on est de fou, plus on rit, d'une expression d'attention, je crois, du 18e siècle. Le groupe collectif nous donne de la force, nous emmène plus loin et pourtant. Quand nous regardons notre société actuelle, l'individualisme n'a jamais eu autant la part belle.
La foule rentait l'individu plus fort, ou est-ce la singularité de l'individu qui rend la foule plus forte ? C'est cette question qui aborde mon invité dans son 32e roman, 30 ans après son premier opus, les fourmis, quelques mois après son autobiographie, fondée sur les 22 arcs à la majeure du tarot, ils mettent en lumière une autre de ses passions, le jeu d'échec. Dans ce nouveau roman, La Diagonale des Rennes chez Albin Michel, il fait du monde un immense échiquier, voyant l'affrontement violent entre deux femmes que tout oppose.
Un roman à la croisée de l'anthropologie, de la socios, de la psychologie, de la géopolitique mondiale. Avec lui, posons-nous cette question, quel pion, jouons-nous sur l'échiquier de la vie. Jacques, évidemment, vous le rèvres connu, Bernard Werber dans Metamorphose. Bonjour Bernard.
Speaker 3: Bonjour. Ça va ? Toujours un plaisir de vous retrouver. De te retrouver.
Speaker 2: Ouais, on a dit, voilà, c'est quoi ? C'est comme dans la vraie vie.
Speaker 3: Tu nous fais un petit pitch de la trame de ce dernier opus avec ces deux héroïnes dont les prénoms Nicole et Monika, ça déjà portent, même dans leurs prénoms, les tannes du roman. Je trouve que tu le fais
Speaker 3: mieux que moi, on est trop près de notre âme.
Speaker 2: Nicole, ça veut dire quoi, et Monika peut-être ?
Speaker 3: Alors voilà, en effet, le pitch, je peux déjà dire que le fait qu'elle s'appelle Nicole et Monika, c'est pas un hasard. Nicole, ça vient de Nikke, qui a donné le show sur Nike, qui a donné le prénom Nicolas, et Nicole, ça signifie la victoire du peuple. Donc Nicole porte déjà dans son prénom une stratégie de vie qui est misée sur le peuple, misée sur le groupe, misée sur le collectif. Voilà, peut-être qu'on vous regarderait vos chaussures qui portent le mot Nike. Nike, la Nikke, c'est la déesse donc de la victoire. Et Hall, Hallé, ça veut dire le peuple. Et Monika, en fait monokini, monothéiste, ou monoculture, ça signifie seul.
Donc le prénom Monika porte déjà en soi la stratégie de je me débrouille tout seul, j'ai besoin de personne et je suis autonome. Donc c'est deux visions, deux manières de se comporter avec ses congénères, soit on a envie tout le temps qu'il soit nombreux autour de vous, soit vous avez envie qu'il soit à distance et vous avez envie d'être sur une île déserte ou un donjon.
Speaker 2: Alors, ce livre, cette histoire je disais en intro, de deux femmes en apparence peut-être tout aux poses comme ça, et qui vont s'affronter aussi aux échecs, ce sont des grandes jaunes d'échecs. Et sur une trame effectivement où la planète et le monde deviennent cet échiquier mondial, alors quel était le déclencheur de l'écriture formant, tu dis que c'est le récit d'un ami qui t'a conduit là ?
Speaker 3: Oui, c'est un ami suisse qui s'appelle Gilles Melan et qui a pour particularité de ne pas avoir de bras ni de jambes, ce qui me semble une manière d'arriver dans le monde avec beaucoup de handicap. Et c'était un de mes élèves dans ma première masterclass et je suis surpris qu'en ayant pas de bras et pas de jambes, il n'en soit pas pour autant handicapé puisque c'était lui qui proposait le plus d'idées et il tapait ses textes à toute vitesse avec ses moignons. Alors je fais le geste devant le micro, on ne se rend pas compte, d'un coup il y a des demi-bras terminés par des petites asphirités qui lui servent un peu comme des doigts, mais il arrive à taper très vite sur un clavier de téléphone et c'est lui qui était tout le temps de bonne humeur, tout le temps lancé des bonnes idées.
Donc j'ai fini par lui proposer de devenir, chaque fois que je fais une masterclass, lui dire j'ai envie que tu sois là parce que tu dynamises le gros. Puis après on est devenus amis, un jour il me dit comment ça va, il me dit ça va pas parce que j'ai fait une dépression suite à un moment de panique, je suis à Paris, il était dans sa chasse roulante et il y a un mouvement de foule, il apprend une grève, une manif, et il s'est dit je me suis vu renverser et piétiner. Et moi il me l'a dit, je me suis dit quand tu as pas de bras, pas de jambes, et que tu es au milieu d'une foule qui est en train de bouger à toute vitesse et que tu risques de te faire piétiner, c'est quand même la situation la plus terrible qui puisse arriver dans un monde de soi disons, où tout est en sécurité. Et ça m'a tellement perturbé que j'ai voulu écrire une histoire de quelqu'un qui a peur des foules et qui fuit les groupes. Et vu que naturellement je suis plutôt en quelqu'un de solitaire, en fait je suis bizarre chance solitaire qui vient bien être entouré des gens. Donc je vais dans les cafés où il y a plein de gens et là j'aime bien être dans ma petite bulle avec mon casque en train d'écrire mon livre tranquillement. Et je me suis dit j'ai un problème, je ne sais pas si j'ai à mettre seul, si j'ai à mettre avec les autres, quand je suis seul j'ai envie d'être avec les autres, quand je suis avec les autres j'ai envie d'être seul.
Et j'ai inventé cette histoire, c'est deux femmes qui ont les deux visions de la vie idéale, l'une avec le groupe et l'autre avec la solitude. Et j'ai imaginé que ça prenait de plus en plus d'importance puisqu'en effet elles combattent tout d'abord dans des jeux d'échecs alors qu'elles sont toutes jeunes, adolescentes et puis après vont terminer par ce combattre à travers les services secrets. Au niveau mondial c'est ça.
Speaker 2: Quand est-ce que tu as commencé à jouer aux échecs toi ?
Speaker 3: À six ans, en fait mon père apprenait à ma sœur qui a présent de plus à jouer aux échecs et ma sœur n'était pas très intéressée et je me suis mis derrière son épaule, j'écoutais les règles de mouvement des pièces et puis à un point j'ai dit à mon père moi j'aimerais bien que tu m'apprennes. Le fait qu'on ne me l'ait pas proposé a créé un appétit. Et ensuite je devenais en mode de dialogue avec mon père. On se retrouvait tous les deux pour jouer. Mon père travaillait beaucoup, il n'était pas toujours dispo mais je savais qu'il fallait avoir une partie d'échecs et là j'allais l'avoir le temps d'un parti en tête à tête. Donc c'est un moment important et mon père lui-même avait appris de mon grand-père, de son père et c'est une sorte de sable de l'héritage familial donc j'ai aussi enseigné à mes enfants.
Speaker 2: Et une forme chez toi d'un presque d'opsychanalyse du jeu d'échecs, tu dis même que c'était une façon de régler ton audipe, peut-être avec ton père. Ça révèle quelque chose de nos personnalités aussi.
Speaker 3: On est un enfant, un petit garçon à fortiorie de six ans et quand on joue contre un adulte de 30 ans en fait on a autant de pièces l'un de l'autre. Donc ça veut dire qu'on a autant de chances de gagner. Le fait que mon père était en plus très grand et le fait qu'il soit une autorité ça faisait que dans tous les rapports c'était disproportionné mais pas aux échecs. Et même quand je joue avec mon fils Benjamin qui est 11 ans je sais qu'il apprécie ce moment où il peut quelque part m'attaquer, il peut prendre des pièces et il peut me battre. Donc c'est un moment d'égalité. Donc plus aussi récçon de dip avec moi comme j'ai réglé, mais on a dit que il fallait que mon père aient pu être en train de les échanger.
Speaker 2: Il y a un truc transgénérationnel quand même. T'as vécu d'ailleurs une expérience assez exceptionnelle puisque tu as joué contre l'ancien champion du monde Carpov, c'est ça et son attitude était étrange tu as envie de nous raconter un peu ce qui s'est passé ?
Speaker 3: Déjà il faut savoir, je savais avant de venir que Carpov était un des dirigeants des services secrets du KGB. Et c'était je crois que c'était il y a 5 ans la Russie était l'invité d'honneur du Salon du livre de Paris et pour l'occasion ils avaient proposé à 12 personnes auteurs ou champions de jouer contre Carpov. Et donc on était en U en position de former les 12 on était, il y avait 3 tables et il arrivait devant nous et nous on devait jouer notre coup et lui il jouait son coup. J'avais un objectif c'était de ne pas être premier à être éliminé vu que je savais que tous les autres étaient très forts
Speaker 2: T'avais été éthiqueçonné parce que t'avais déjà un niveau ?
Speaker 3: Non parce que j'étais écrivain c'était un mélange écrivain et bon niveau Moi j'ai un niveau assez faible pour les gens qui connaissent je suis 1200 hélo il faut voir qu'un champion est au moins 2000 hélo voilà donc je suis plus qu'un joueur amateur mais moins qu'un joueur régulier d'accord et donc ils avaient le tour chaque fois des joueurs et la deuxième directive que je me suis fixé c'est quoi qu'il arrive sourire et c'est assez intéressant parce que mon voisin qui était Jean Becker au fur et à mesure qu'il recevait le coup de Carpov le recevait comme des blessures personnelles et je voyais qu'il suait et qu'il souffrait et d'ailleurs la plupart des autres personnes autour de moi souffraient une réelle souffrance physique comme si on avait en face de nous quelqu'un qui nous étrangle et lui il était il était avec un côté de cruauté de dureté de l'extérieur on voit juste des gens qui jouent aux échecs mais dans la réalité ça se passe vraiment ailleurs et nous on perçoit quelqu'un qui nous veut du mal quelqu'un qui veut jouer ou quelqu'un c'est une forme de danse d'ailleurs je crois que les échecs c'est un des meilleurs moyens de connaître quelqu'un c'est pourquoi tu en parles avec le canalide exactement et là je sentais un tueur quelqu'un en plus qui n'aime pas les autres enfin de Carpov et quelqu'un qui habituait déjà à faire beaucoup de mal autour de lui et ça se sentait le prédateur le méchant des gènes
Speaker 2: mondes le tout on voit un peu la tête qu'il pourrait avoir mais si on voit pas sa tête en
Speaker 3: vrai il est une mèche comme ça et le tout souriant est très sympathique dans sa conversation d'ailleurs il était avec sa femme il m'en dit qu'il les ai mélivre en Russie parce qu'en Russie il me dit bien que je suis bien donc il me connaissait donc je n'ai pas été le premier éliminé 1000 second en fait j'étais le dernier et quand je m'en suis aperçu parce qu'à un moment vu que j'ai échecé le tour à un moment il joue et au lieu de repartir pour faire le tour il bouge plus et il se remet à rejouer je joue, il rejoue, je joue, il rejoue je dis pourquoi il reste là et je regarde et en fait c'était le seul et je me suis dit bon ben par rapport à un moment des filles qui était resté le plus grand possible j'avais réussi maintenant l'idée même de le battre ne m'a même pas traversé l'esprit c'est peut-être aussi d'ailleurs pour ça que j'ai gagné c'est que je n'ai jamais voulu le battre j'ai juste voulu tenir dans la longueur et l'autre petit anecdote c'est qu'il joue extrêmement défense c'est que je ne me déploie pas ces pièces donc dès que j'ai compris que sa stratégie consistait à ne pas avancer j'ai arrêté d'avancer non plus donc c'est à dire on s'est retrouvé tous les deux à faire deux énormes lignes imaginaux qui se font s'approcher et voilà et ça a tenu ce que ça a tenu mais c'est un jeu en défense contre un jeu en
Speaker 2: défense ouais c'est ça alors dans ton roman tu dis que tout oppose Monika et Nicole c'est dans leur vision du monde ces deux fameux héroïnes et leurs rapports aux autres mais je me suis demandé si au fond c'était pas les revers d'une même médaille est-ce que ce ne se retrouve pas finalement dans leur incapacité à aimer les gens finalement l'une comme l'autre on est aussi dans un jeu miroir comme aux échecs où l'autre me révèle et me révèle ma part de l'hier ou ma part d'ombre
Speaker 3: tu as très bien résumé ça c'est pour ça que je suis embêté d'en parler j'ai l'impression que tu en parles mieux que moi par moment tu fais du pont en oeuf je dis que je connais une poule et tu sais pas en fait quel goût c'est la personne qui va manger le mleut qui sait exactement ce que vaut ton oeuf donc c'est pour ça que je trouve c'est agréable d'entendre que que tu as bien compris ce que je voulais démontrer là dedans c'est que nous avons tous une pardon par moment ça peut être un alter ego c'est à dire quelqu'un qui quelque part une entrainement le livre commence par cette idée que nous avons tous un émésis un adversaire quelqu'un qui nous veut du mal et auquel on veut du mal et qu'au bout d'un moment cette personne va être notre meilleur professeur parce qu'en nous faisant découvrir notre capacité de lute elle va nous permettre de découvrir ce qu'on est par exemple dans la guerre des étoiles Luc Sahlwolker existe parce qu'il y a Dark Vador on enlève Dark Vador Luc Sahlwolker c'est juste un paysan qui fait des cultures sur sa panache je crois que c'est Tatouine et donc il n'y a aucun intérêt ce qui fait le héros c'est le dragon le chevalier héros ce qui fait une intrigue c'est l'adversité donc là les deux sont l'adversité l'une de l'autre les deux sont plus que femme ennemi elles sont complémentaires dans leur volonté de pouvoir de destruction il y a aussi une chose maintenant avec le recul, puisque tu me parles de psychanalyse c'est qu'au final elles veulent le pouvoir mais elles veulent pas être heureuses elles veulent le pouvoir pour elles il n'y a pas d'harmonie, il n'y a pas de spiritualité même si par moment il y a un monique qui va par exemple aller dans un vie pas sana un endroit où elle va faire une sorte de résidence de retraite et en fait même ça pour elle c'est du pouvoir sur son corps son pouvoir sur les autres son côté je me maîtrise, les autres se maîtrise pas et c'est de femmes de pouvoir dans l'arcane de Taroub j'ai évoqué le Taroub, c'est les impératrices
Speaker 2: c'est ça alors il y en a une qui est anthropophobe et l'autre qui est autophobe alors moi je connaissais ni un terme ni l'autre et donc bon l'un peu dit au début celle qui est anthropophobe, qu'est-ce qu'elle ne supporte pas on imagine bien si on connaît
Speaker 3: un peu les autres comme anthropologie alors en fait ces mots on les remplace souvent par misentropes mais misentropes ça signifie pas la même chose anthropophobe ça veut dire qu'on aime pas les autres êtres humains misentropes ça veut dire qui il y en a un c'est juste une
Speaker 1: c'est peut-être la convention humaine ouais on n'aime pas les humains en général en anthropophobe on n'aime pas les avoir autour
Speaker 2: de soi ouais ça c'est la foule c'est ça et de même que pour ne pas aimer être seul on diagore à foam ne pas supporter alors que c'est autophobe c'est-à-dire on ne supporte pas de rester seul ouais c'est ça alors pour reprendre le mot d'une de tes protagonistes il y en a une qui dit je veux comprendre comment avance le troupeau humain et c'est vraiment ce que t'as cherché à faire dans l'écriture de ce livre avec cette image des moutons on peut manipuler des fousles qui peut conduire à une forme d'asservissement aussi au totalitarisme est-ce que c'était une façon pour toi aussi de critiquer toute forme de dictature de par le monde d'une certaine manière de montrer le pouvoir parfois d'un seul homme sur les fousles
Speaker 3: alors il
Speaker 2: y a plusieurs choses voilà voilà d'une ta question le mot dictature l'un des problèmes des humains
Speaker 3: c'est qu'en effet on est des animaux sociaux et des animaux territoriaux ça veut dire quoi ça veut dire que sociaux on se regroupe naturellement et au bout d'un moment on regroupe vu que c'est rapidement le bordel on finit par désigner une administration des chefs et des rois des empereurs, des pharaons et j'ai dit on finit parce que l'idéal serait qu'on n'ait pas besoin de rois, de chefs d'empereurs or j'ai vu ça en Russie on parlait de Kerpov les Russes ont une tradition de Tsar Tsar c'est référence à César donc l'empereur romain et pour eux Poutine représente cette incarnation du chef charismatique donc du berger chez les chinois c'est la petit monnier avec Mao Tse Tung c'est des peuples historiquement quand ils avaient le choix entre des systèmes égalitaires ou des systèmes hiérarchisés on choisit les systèmes hiérarchisés parce que ça les rassure c'est la figure du berger, la figure du papa la figure de l'autorité et aussi de l'ordre nous en France nous avons eu Napoléon c'était quand même, ça suivait la révolution qui était un grand chaos
Speaker 2: peut-être que chez nous on cherche encore un roi, une figure de roi
Speaker 3: évidemment tiens c'est marrant tu parlais de la Suisse tu es habitué en Suisse mais en Suisse je suis incapable de dire qu'il dirige le pays et je pense que c'est un système beaucoup plus dépersonalisé et le plus éloigné du concept de dictature mais en gros il n'y a pas d'incarnation du pouvoir, il n'y a pas le roi de Suisse il n'y a pas d'empeurant de Suisse
Speaker 2: il dit d'ailleurs la confédération dit que c'est pas la personne
Speaker 3: c'est pas incarné et chez nous Macron malgré tout rentre dans une logique celle des Louis XIV avant, on va dire Charlemagne Louis XIV, Napoléon des grandes figures de l'unit d'heures carismatiques de type dictateur mais dans lequel finalement les Français se reconnaissaient et pour lequel ils ont souvent d'un nostalgie
Speaker 2: oui c'est ça, alors t'as fait quand même cette analyse des foules et tu parles aussi d'intelligence collective est-ce qu'il existe justement cette intelligence propre au groupe et puis tu parles évidemment beaucoup aussi des animaux notamment avec les moutons et tu t'es intéressé à la psychologie des foules de Gustave Lebon tu peux nous en parler ?
Speaker 3: ça c'est une vision des années 1800 mais Gustave Lebon déjà s'est intéressé à sa geste des foules à l'idée de avec cette idée des grégors aussi voilà, le groupe avait une sorte d'âme et ça a été poursuivi par toutes sortes de sociologues moi je vous avais dit que quand j'étais en cours de droit je m'ennuiai beaucoup mais le cours qui m'amusait c'était la sociologie je sais pas si tu as fait aussi des études de droit
Speaker 2: si si j'ai fait du droit j'ai fait une année de droit il y avait des gens qui avaient fait 4 endroits qui s'étaient beaucoup ennuyés j'en ai fait qu'une
Speaker 3: mais le cours sympa c'est la sociologie tout de suite il t'explique comment fonctionnent les gens comment fonctionnent les groupes alors du coup je suis allé beaucoup pour écrire ce livre sur internet, sur des tutoriels de sociologie pour voir tout ce qui avait été fait sur les mouvements greggères pourquoi on fait pareil que le voisin ça nous rassure de faire pareil que le voisin pourquoi les gens se mettent à hurler dans des matchs de foot et ils ont l'impression tout d'un coup d'exister pourquoi la guerre pourquoi autant de gens tout d'un coup se disent ah les gars si on est en tout son groupe peter la gueule au voisin en face donc toutes ces choses là ont toujours semblé des thèmes passionnants
Speaker 2: oui d'ailleurs Freud on est aussi inspiré il était je crois adhérateur dégustablement c'est ce que tu dis et dans cette idée aussi qu'une foule comme tu viens de le dire sert à vraiment déverrouiller l'inconscient et moi j'ai vraiment aimé que tu le dises noir sur blanc et ça m'a fait un effet miroir aussi sur moi même ce que peut me faire une foule parce que souvent on ne pense pas forcément automatiquement quand on a un confère tu prends cet exemple où tout le monde se met à chanter à l'unison et le champ se corrige même automatiquement c'est ça ?
Speaker 3: oui on s'aperçut que plus il y a de gens qui chantent en même temps plus ils chantent juste tout simplement parce que entre ceux qui chantent trop éguts et ceux qui chantent trop grave ça se compense, ceux qui chantent trop vite et trop lentement ça se compense et finalement ils trouvent un niveau médian qui est parfait et on le voit sur une sur une vidéo qui est sur Youtube où il y a 100 000 personnes qui chantent Bohemian Rhapsody et qui chantent tous exactement à l'unison avec les bonnes paroles jusqu'au bout le morceau entier tout seul sert la foule toute seule sans aucun support et c'est ça la sagesse des foules il y a des moments où la foule peut faire des choses que des individus isolés ne peuvent pas faire
Speaker 2: on pourrait dire aussi que l'Union fait la force c'est ce qui a permis aussi la survie de l'espèce le
Speaker 3: collectif oui il faudrait imaginer comment serait l'humanité si nous étions des animaux indépendants et autonomes je pense que certes nous n'aurions pas de guerre nous aurions que des combats d'individus et individus mais nous n'aurions pas fait toutes ces inventions toutes ces cités ces grandes cités toute cette culture toutes ces guerres mais aussi ces monuments, ces merveilles mon ami Emile Cervant-Schreiber dit qu'un pays qui n'a pas beaucoup de population ne peut pas avoir beaucoup d'innovation les deux sont vraiment liés plus il y a de gens, plus il y a de chances qu'il y a des gens qui trouvent des idées
Speaker 2: c'est l'idée du mastermind du collectif du cerveau nombre de cerveaux réunis en Suisse il n'y a pas énormément d'innovation il y en a sur certains plans mais c'est vrai qu'il n'y a pas beaucoup de en même temps si on prend les belges on a beaucoup d'acteurs, de chanteurs etc qui viennent de ce petit pays
Speaker 3: parce que les belges ont connu beaucoup de guerre et les suisses n'ont pas connu beaucoup de guerre et les belges sont remués de conflits interne entre notamment les flamands et les walons et visiblement la fédération suisse est arrivée à résoudre ces problèmes même s'il y a je pense un petit côté hauteur entre les ce qui parle allemand, ce qui parle italien et ce qui parle français il y a des rapports de les tensions pour les guerres oui, du mépris le
Speaker 2: règle ça ne reste pas ça ne va pas aussi loin c'est à dire que c'est un pays qui a quelque part réussi une forme de tranquillité ce qui fait qu'il a priori les finances du monde entier, alors que les belles, je n'en passe cette tranquillité, ils ont un petit côté fantastique. C'est vrai que sur le collectif, j'ai eu le sentiment que tu posais aussi en trappe de fond cette question de la disobéissance civile, parce qu'aubeillir oui, mais jusqu'à quel point on suit la foule, on suit cette idée du collectif.
Speaker 3: Je n'ai pas de réponse claire, c'est-à-dire mon principe et de poser des questions, je vous avrais même par moment, je me dis que c'est Monique qui est raison, et par moment je me dis que c'est Nicole qui est raison, parce que je tiens à me l'exemple des fourmis qui est un système collectif qui marche. Et ta question c'était ?
Speaker 2: Oui, sur la disobéissance civile, à quel point on est embarqués, on est embrigadés, on s'embarque dans un mouvement collectif.
Speaker 3: Je crois qu'il y a des réponses par individus et par époque qui sont différents. Je vais te raconter quelque chose qui m'avait donné beaucoup à réfléchir, il y avait un type qui avait fait un film, je crois que c'est un film turbo, un an comme ça je ne m'en veux plus, qui avait fait Tony Gottsies Gunn, qui était un... tu vois ce que c'est ce film ? Oui, il y a un jeu de nom mais je l'ai pas vu un.
Turbo, un an comme ça. Et ce film, c'était pour dénoncer l'horreur de la guerre de 1914-1918, c'est un type justement qui perd tous ses sens et qui perd aussi ses bras et ses jambes et qui se retrouve à servir d'expérience parce que c'est... en gros c'était une dénonciation de la guerre de 1914-1918 et c'était pour alimenter le mouvement pacifiste. Et là-dessus arrive la montée au pouvoir d'Hitler, arrivent les premiers camps de concentration, tous les éléments qu'aux Etats-Unis ils connaissaient même si tout le monde se demandait, c'est sûr. Au final les infos arrivaient. Et puis, mon petit grand grand grand grand grand grand grand grand grand grand grand Ce réalisateur a dit « il faut faire quelque chose, il faut pas laisser faire ce qui est en train de se passer là ». Mais il avait tellement dit, dénoncé la guerre, que tout le monde lui a dit « attendez votre film, vous expliquez bien que la guerre c'est une erreur, il faut pas y aller ». Oui mais là il faut arrêter ce dictateur qui va faire une guerre encore plus grande et plus personne n'a écouté. Et donc c'est pour ça que je dis il y a un moment où le collectif et même la guerre c'est affreux, il faut lutter contre ça.
Mais il y a un moment où heureusement qu'il y a le collectif et la guerre, c'est ce qui a permis aux Etats-Unis quelque part de nous libérer de l'emprise nucléaire, sinon on serait dans un système encore bien pire. Donc il n'y a pas de généralité, ce que je disais c'est que par moment je suis de la vie de Monique et par moment je suis de la vie de Nicole.
Speaker 2: Oui on aussi entre les deux.
Speaker 3: Voilà mais en tout cas la vision communiste qui est tout le monde à égalité, tout le moment un collectif et on s'en fout d'un individu est une vision qui malère créer un enfer et la vision chacun pour sa gueule et on essaie d'écraser l'autre. L'hypercapitalisme.
L'hypercapitalisme malère aussi un enfer. Donc là encore la solution se trouve dans un juste milieu adapté aux circonstants à l'époque, au dieu et par moment il faut tous se regrouper et prendre des armes et faire la guerre et par moment il faut essayer de faire la paix. D'ailleurs sur la deuxième guerre mondiale, si la France est fait envahir aussi facilement, c'est parce qu'il y avait des mouvements pacifistes qui avaient demandé le désarmement.
Donc les Allemands arrivaient avec des matériaux complètement neufs qu'ils avaient mis au point des armées extrêmement entraînées, qu'ils avaient mis au point pendant que nous on était en train de faire la société des nations, de parler de la paix mondiale et du désarmement planétaire, de très belles idées mais qui ont entraîné encore plus de malheur.
Speaker 2: C'est vrai que tu poses aussi cette question du pouvoir du leader, du berger, des shaman, quelque soit son nom du leader de celui qui réunit le troupeau et ça s'apose question sur ces individus effectivement qui sont à la fois des rayons. Il y a beaucoup de biographes, je pense à Nancy Houston avec la biographie de Paul Pot, par exemple, qui est au Hervini à l'homme en psychiatrie qui s'est intéressé à la biographie d'Hitler par exemple sous forme aussi de romans et qui sont des personnes qui sont éminemment intrigantes au niveau de la psyché humaine. Qu'est-ce qui fait qu'à un moment ils hypnotisent, toi qui vraiment le roi aussi des rois de l'hypno, tu apprends qui mais tu fais pas mal de recherches en tout cas ces expériences.
Speaker 3: Et on se demande comment finalement ils peuvent, comme ça, hypnotiser les fous, on disait qu'Hitler avec ses mains par exemple, il hypnotisait beaucoup les gens, l'agence sexuelle.
Speaker 3: Il avait travaillé avec des profs de théâtre, c'est-à-dire qu'il n'est pas arrivé non plus par hasard et puis il cristallisait l'égrégor nationaliste allemand qui à l'époque était extrêmement fort parce qu'il y avait la revanche de 14-18. C'est un enchaînement de malheur qui entraîne des catastrophes et c'est quand même tellement de mort dans des sécompenses tellement atroces. Tout ce collectif est servissant à aboutir, à du malheur. Donc il y a un moment il faut se demander à quel moment on peut arrêter ça. Mais même ce qui se passe actuellement en Ukraine, d'abord, c'est pas fini le moment où nous avons interviewé. Et deux, je vois très bien comment ça pourrait s'emballer pour devenir bien pire. Et je suis aussi de voir ce qui se passe en Chine.
En Chine actuellement, la réunion Xi Jinping de tout le comité central, on a affaire à des systèmes avec des leaders charismatiques qui s'appuient sur l'armée, qui sont dans la peur, qui sont dans le contrôle de la population, qui sont dans l'arrêt de la liberté des médias et de la presse. Et on va devoir à un moment gérer ça. Et je ne sais pas, est-ce que nous, nos démocraties dans lesquelles on communique et dans lesquelles on a encore des libertés et tout, nous pouvons continuer à rester démocratiques face à des dictatures. Surtout quand nous sommes 200 millions, 300 millions pour l'Europe, alors que par exemple en Chine, ils sont 1,7 milliards, on ne fait pas le poids. J'espère que nous ne sommes pas débordés par ces chefs guerriers au discours simple, donc très populaire.
Speaker 2: C'est vrai qu'on parle des égrégors de la guerre, mais il y a aussi des égrégors avec des leaders de la paix. Évidemment, il y a toujours ces deux polarités, parce que l'on est incernement la dualité. Et donc il y a aussi des leaders, on pense toujours eux-mêmes, on ne va pas les renommer, Mandela, etc. qui forment aussi des formes des égrégors pacifistes.
Speaker 3: Oui, mais les égrégors pacifistes sont moins solides que les égrégors biais. Tu dis aussi que le désarmement. Oui, il y a même Gandhi au moment de sa mort, quelques temps avant sa mort, Gandhi, j'ai échoué.
J'ai échoué, pourquoi ? Parce qu'il espérait que le Pakistan joue le jeu et renonce à... c'est-à-dire que le Pakistan qui est un pays musulman, dans lequel c'est assez... c'est-à-dire tout le pouvoir de tous les musulmans randien, renonce à attaquer l'Inde, qui était en train de devenir majoritairement bouddhiste. Et puis il y a eu tous les problèmes avec le Kashmir, savoir... et puis il y a eu des groupes armés musulmans qui ont attaqué et massacré des villages bouddhistes.
Et chaque fois Gandhi disait nous, nous venjons pas, ne tombons pas dans la colère, ils veulent que nous rentrons là. Mais les types avaient de plus en plus de morts et dans des circonstances affreuses. Et c'est pour ça que Gandhi, au final, en effet, il a lancé le mouvement non violent. En effet, il a lancé ce message-là. Mais ce qu'il a vu, c'est qu'il suffit qu'il y ait tout effoutu en l'air et ceux qui sont non violents se font casser la figure par ceux qui sont violents.
Speaker 2: Oui, et en même temps, il y a quand même aussi cette idée qu'un seul individu peut faire la différence. Il y en a d'autres dans l'histoire, pas forcément dans les mouvements de guerre. On pense à... toi tu cites aussi Archimède, etc. qui ont... là on est plus dans les mouvements de foule, mais qui ont proposé...
Speaker 3: Oui, par part, il y a pas l'évaluation de la conscience humaine, même Leonardo de Vinci pour le cas... Des cartes. Pour moi, le premier qui a fait monter la conscience humaine, c'est... Vous faisiez un galilé aussi. Bien avant, c'est Pythagore.
Speaker 2: Ah, c'est Pythagore, que j'aime beaucoup, toi. Oui, c'est un sens avant Jésus-Christ. C'est lui qui a inventé la gamme musicale, c'est lui qui a inventé le mot philosophie, le mot mathématique, c'est lui qui a développé le concept de métham psychose dans la reincarnation, végétarisme, c'est lui aussi. À l'époque, végétarien, jusqu'au Moyen Âge, on disait Pythagoricien, faut parler des végétariens.
Ah oui ? Oui, c'est vraiment un Pythagore, on s'en parlait, bon, de toutes ces découvertes en mathématiques, mais en astronomie, c'est le premier qui indique la Terre et Térande et tourner autour du Soleil. Pythagore, pour moi, c'est le premier message de lumière posé, et après, c'est ces élèves qui ont pas arrêté de diffuser, Socrates et Platon étaient des élèves, hypocrates.
On ne se rend pas compte que cet étincelle de lumière, apparu en moins 500 en Jésus-Christ avec Pythagore, continue de nous inonder par des moyens détournés par moments, par des groupes comme l'inframasonnerie, par moments par des groupes de philosophes, par des courants,
Speaker 3: justement, tout à l'heure, j'évoquais, végétarisme, toutes ces choses-là, la non-violence contre les animaux aussi, c'est passionnant.
Speaker 2: Oui, c'est ça. D'ailleurs, toi, tu en es aussi la provivante, c'est-à-dire que tu as une œuvre littéraire qui a une certaine influence et qui, c'est un individu qui effectivement porte une parole auprès du collectif. On pourrait dire aussi ça de toi, finalement, en éphémiroire.
Speaker 3: Oui, j'essaye de... quand même. Je crois qu'il y a eu longtemps l'aventure de l'intelligence, mais non, c'est l'aventure de la conscience. Mais non, j'essaie déjà, à mon niveau, de devenir plus conscient. Donc tout est sous-posa que j'ai fait des expériences avec l'hypnose, avec les régressions à la vie antérieure, avec la méditation. J'essaie déjà, moi, de m'améliorer et de proposer des moyens de réflexion pour mes lecteurs. Maintenant, je ne peux pas aller plus vite que la chanson, c'est-à-dire, je ne peux pas aller plus vite que le troupeau humain avance. J'ai l'impression qu'il y a de plus en plus de gens qui vont vers la lumière.
Quand je parle maintenant d'hypnose ou de régressions à la vie antérieure de méditation, les gens ne prennent plus pour en allumer ou pour un bouddhiste ou un mystique, ils comprennent que c'est juste à consister, à maîtriser sa pensée et puis à essayer d'explorer ses possibilités.
Speaker 2: Ça montre quand même qu'il y a un temps pour la pensée, effectivement, que le temps d'une idée n'est pas venu, c'est compliqué.
Speaker 3: Exactement, je trouve ça très passionnant. Jamais il y a eu autant de dangers, jamais il y a eu autant d'espoir, jamais il y a eu autant d'outils pour aller de l'avant, jamais il y a eu autant de gens qui donnent un malfond pour venir à des temps obscurs, donc les enjeux sont énormes. Et toi aussi, à ton niveau, tu diffuses en venant des gens ici, tu diffuses de la lumière et après chacun selon son propre trajet, son propre passé, ses propres peurs, ses propres colères avancent sur son chemin de lumière. Mais en gros, je vois trois, on a tous des projets différents d'âme. J'aime bien cette idée qu'on est venu là pour évoluer et donc notre âme a choisi, mon âme a choisi d'incarner en Bernard Verbert pour faire l'expérience d'écrire des livres qui soient diffusés. C'est comme ça que j'imagine. Donc ton âme a peut-être choisi d'incarner dans un pour permettre à des gens de diffuser aussi.
Speaker 2: De gérer de la méniferaure de la morphose intérieure.
Speaker 3: Exactement, chacun. On a une trajectoire différente, mais le seul danger c'est de ne pas avancer, de ne pas être curieux ou de se contenter de sa vie ou de se dire « tiens, telle personne a raison, donc je vais ne faire qu'écouter cette personne ».
Speaker 2: D'être mono-magnac d'une pensée majeure.
Speaker 3: C'est mignon.
Speaker 2: Déjà, tout le système... Tu trouves que c'est ça ?
Speaker 3: Déjà, quand tu es petit, on dit « obéyez à tes parents ». Donc ça veut dire ne réfléchis pas à pas toi même, obéyez à tes parents. Après tu vas à l'écart, on te dit de répéter la rédaction par coeur. Donc, ne te demande pas d'écrire, on te demande de répéter quelque chose qui a été fait par un par coeur. Après, entreprise, on te dit « fais ton boulot, arrive à l'heure et discute pas ». Donc, à aucun moment, la personne va avec des stimulés comme ça, pouvoir découvrir qu'il y a les avancées, réfléchir par elle-même. Donc, à ce moment-là, c'est les livres, c'est les émissions, c'est les podcasts qui vont faire que les gens vont se dire « ok, mais c'est quoi exactement ce que je veux ? Qui je suis ? C'est quoi ma trajectoire personnelle ? C'est quoi mes objectifs ? Et en quoi puis je rayonne ?
Speaker 2: » Alors, à un moment, il y a ton personnage qui dit « dans la vie, il y a que deux sorts de gens, les innovants créatifs et les sueurs passifs ». C'est ce que tu viens de me dire les flignants. C'est comme aux échecs ou dans le rentier fichier du jeu de la vie. Est-ce qu'on a un rôle ? Est-ce qu'on est un pion et on a du mal quand même à sortir de ce rôle ? Est-ce que ceux qui sont passifs ont peut-être des empêchements à devenir actifs ?
Speaker 3: Il faut que tu y aies un peu aucun par cas parce qu'il y en a qui ont des enfants se traumatisés. C'est pas facile de dire à l'autre « sois libre, exprime-toi et férionnez ton cœur ». Alors que tu t'es pris des bannes toute ta vie, ou que tu as été blessé, ou que tu as vécu dans des milieux dans lesquels tu n'as pas pu découvrir les outils de la culture par exemple. C'est pour ça que je ne juge pas les gens. Je dis juste, on n'avance pas tous à la même vitesse. Et il y en a qui ont besoin de l'expérience, de la douleur ou de la souffrance pour comprendre des choses.
J'aimerais bien qu'il y ait cette idée, mais je ne suis pas sûr qu'il existe, qu'on a tous ce qu'on mérite. Et on a tous les outils dont on a besoin, au moment où on a besoin. Mais non, ce n'est pas sûr.
Quand on est né c'est enfant et malade, comme le cas de mon ami Gilles qui n'est sans bras et sans jambes. Est-ce que c'est ça qu'il mérite ? Est-ce que c'est quoi le sens de ça ? Il y a des vies qui peuvent sembler injustes, mais non, j'ai l'impression que la plupart des vies ont des épreuves surmontables. Je sais que ça peut paraître terrible pour des gens qui en sont en cancer et tout. Mais déjà, se demander, est-ce que ça mène cette terrible épreuve, n'est pas là pour me faire avancer ?
Speaker 2: Certains le disent, je me souviens de Bernard Giraudot, même avant sa mort, qui disait que le cancer finalement, il n'avait pas fini par l'emporter, mais il dit qu'il avait compris beaucoup de choses de la vie, et il serait passé à côté de certaines choses s'il n'avait pas eu cette maladie. Donc c'est très fort chez certaines personnes, ce retournement intérieur que ça provoque.
Speaker 3: C'est un peu ce qui est malheureux, c'est que la souffrance et les épreuves, c'est la meilleure manière de se remettre en question et de changer. Quand tout va bien, on se passe pas de questions et on continue de reproduire un système. Or notre système actuellement n'est pas très fin, donc il faut que ça change.
J'ai l'impression qu'on arrive à une époque où il y a une accélération, tu parles d'une émission, ça va être métamorphose, il y a une accélération du phénomène de Choney qui est en train de bouger. Est-ce qu'il va sortir un papillon ? Je l'espère, je fais tout pour qu'il sorte un papillon, mais ça peut aussi que ça tue la Choney. Dans ce cas, l'humanité aura été une expérience temporaire. Ce qu'on voit par exemple avec ce président de Corée du Nord qui s'amuse avec des missiles nucléaires, c'est quand même quelqu'un qui est un peu bizarre.
Speaker 2: Le mot est assez tendre.
Speaker 3: Avec sa mèche, ses discours et ses foules qui sont devant lui.
Speaker 2: Toi qui attends le nucléaire en Corée du Sud pour les voisins.
Speaker 3: Ils sont tellement adorables en Corée du Sud, ils sont tellement dans le scurrentisme en Corée du Nord. Avec le nucléaire, il y a même une histoire, des gens l'ont oublié, il s'appelait de Sare Bomba.
A un moment, Saline a voulu montrer qu'il avait des moyens de faire une bombe atomique plus puissante que les américains. Et c'est Casper. Ce qui a eu le prix Nobel de... Casper ? Non, pas Casper. De physique ? Oui, de physique. Qui vient d'en recevoir, là ? Non, il y a longtemps.
Speaker 2: Il y a 20 ans.
Speaker 3: Il avait fabriqué une bombe atomique, c'est-à-dire la Sare Bombale, donc la grande bombe. Et ils avaient mis dedans tellement de matières officielles que ça devait faire détruire entièrement une île dans le Nord. Et à un moment, ils sont demandé ce qu'il y en avait pas mis trop. Et ils ont enlevé les deux tiers de matière de cette bombe atomique.
Et quand ça a pété, ça a pété 10 fois plus que ce qu'ils estimaient. Et ce sont aperçus que à Sakharov. Le nom est... Donc c'est Sakharov qui avait mis au point cette bombe atomique, qui a pris Nobel de la Paix, quand même, à Sakharov.
Et... ou de... ou de... pris Nobel de physique. Et ils ont enlevé les deux tiers. Et ils sont dit si on avait laissé les deux tiers, ils seraient peut-être détruits entièrement la planète. Donc on est peut-être passé de très peu sans le savoir. Parce que tout ça s'est passé, ça n'a pas été médiatisé. Ça du arriver dans les années 60. On est passé à côté de la destruction de la planète. Ça s'est joué juste un petit peu fait.
Speaker 2: Oh, on va peut-être en enlever un peu. Oui, quand même on va peut-être en enlever un peu. Oui, il a tué, oops.
Speaker 3: Mais on va dire que tous ces films de science fiction dans lequel on est dans l'Apocalypse, on a l'impression que ça n'arrivera pas. Moi, j'ai l'impression que si.
Speaker 2: Ouais, on est souvent proches de la réalité. D'ailleurs, à un moment donné, t'es un personnage qui demande si... un de tes personnages, je crois que c'est... c'est Monika. Qui se demande aussi si être intelligent, réfléchir beaucoup, est une malédiction. Parce qu'on a justement cette prise de conscience de la tragédie de l'existence. Et l'exemple que tu viens de donner, c'est exactement ça. Ah ouais ? Il y a une phrase que j'aime
Speaker 3: bien, c'est les optimistes sont déjà mal informés. Et pourtant, j'essaye optimiste, mais optimiste sur le long terme. Je pense que, malgré toutes les épreuves, et malgré tous les dangers, il y aura toujours un petit groupe de gens, peut-être ceux qui écoutent métamorphoses, ou ceux qui disent mes livres, qui diront, bon, on va essayer de faire quelque chose de mieux maintenant que...
Speaker 2: Ouais, je pense que je vais pas se papillon, moi. Parce que tu restes dans la métamorphose, il faut qu'on sorte, tu l'as dit tout à l'heure. Butterfly Club. Ouais, c'est ça. C'est un club d'échecs. Non mais c'est sûr, c'est sûr. Tu... Tu abordes aussi la question, évidemment, quand on a parlé des égregors, tout à l'heure de la Anosphère, j'avais reçu, et pas très un airfell dans ce podcast. Oui, j'adore. Ouais, moi aussi, c'était un livre remarquable. Et puis, le projet Webbot sur ses prédictions du collectif, justement, puisque tu parles du long terme.
Speaker 3: Voilà. Et tu veux que je t'en parle ? Ah oui.
Speaker 2: Ben... Tout le monde sait pas ce que c'est que la Anosphère, peut-être déjà un peu...
Speaker 3: Alors, la Anosphère, c'est une notion qui a été lancée par un monsieur qui s'appelle Vénonsky avec Péliard de Chardin. Il y a un français et un russe. Et l'idée, c'est que les esprits, par exemple, durant le sommet, les esprits... tous les rêves des hommes se réunissent pour une sorte de nuage, qui ferait une sorte de... d'ensemble, qui s'appelle la Anosphère. Les égregors des... le troupeau de tous les esprits humains réunis dans un... C'est ça. Comme une pensée groupe ? Oui, une pensée collective, mais isolée des individus, sans p't'individu. Je visualise comme un... une nuage de pensées, qui sont les pensées de... de tous les humains qui réfléchissent en même temps.
Et... Péliard de Chardin, qui était vraiment un esprit extraordinaire, disait que les artistes qui dorment se connectent à la Anosphère, et trouvent l'inspiration, ce qui fait que... ou les inventeurs, ce qui fait que par moments, les... des idées apparaissent dans plusieurs endroits de la planète en même temps, notamment... il semble que le feu, ou le tissage, aura apparu... simultanément dans plusieurs endroits de la planète.
Speaker 2: Oui, d'ailleurs, on dit toujours, les idées sont dans l'air du temps.
Speaker 3: Voilà, exactement. Donc, la conscience totulière, à conscience de ça. Les idées sont dans l'air de la Anosphère.
Speaker 2: Oui. C'est ça. Certains les appellent peut-être aussi les annales akashic, dans des visions peut-être plus spirituelles, mais on rentrera pas forcément là-dedans. Et donc, ce webbot, là, qu'est-ce que ce projet, qu'est-ce que...
Speaker 3: Ah, j'ai vu couvertir un éclat en roman. C'est quelqu'un qui s'est dit, tiens, on va voir tout ce qu'on raconte sur Internet, et on va en sortir la synthèse, et on va regarder qu'est-ce qu'il... ça raconte. Et il y a... plusieurs crises, dont notamment des tremblements de terre, il y a... le World Trade Center, ils avaient prévu qu'il y avait une crise politique forte. Et à partir de là, on a... enfin, l'idée du webbot, c'est que le groupe sent les catastrophes qui vont venir, et on peut le voir sur Internet, il suffit juste d'analyser. Oui, c'est ça.
Speaker 2: Alors, je vous ai check, on arrive à la fin de ce podcast, Bernard, c'est censé se projeter dans le coup d'après, quel pourrait être le monde des décédés de nuit à venir, toi qui est joueur? Ah... Et très imaginatif. En fait, des joueurs, quand même.
Speaker 3: Écoute... Là, objectivement, j'ai jamais vu des gens devenir raisonnables d'un coup. Il y a beaucoup d'argent qui a été investi dans l'armement, et qui doit être entabilisé. Donc, je crois qu'on va avoir... On va avoir des guerres, encore, pour un petit moment. Et... ça semble aussi un moyen, en même temps, de faire tourner l'industrie et de défouler les gens. Jusque là, il y avait le football qui suffisait, maintenant, il semble que la guerre soit l'étape suivante. Donc, je pense qu'on va aller par une période dure, et qu'au bout de cette période dure, il va y avoir de plus en plus de gens qui vont se dire, bon, ok... On peut pas continuer comme ça, donc, faut trouver autre chose.
Et c'est de... c'est après être descendu au plus bas qu'on va remonter. Je pense que le monde a évolué en cycle. Des cycles de violence qui sont qui alternent avec des signes de progrès.
Avec des cycles de progrès. Après 14-18, qui a eu la société des nations qui s'avérait complètement inefficaces pour la paix mondiale. Après, vu que la 2ème guerre mondiale était plus meurtrière que la 1ère, il y a eu l'ONU qui commence à avoir un peu de puissance. Peut-être qu'il faut une 3ème guerre mondiale pour avoir un ONU vraiment efficace. Mais l'une des clés du problème, vu que là, je crois que c'est aujourd'hui qu'on a passé le cap des 8 milliards d'individus sur Terre, enfin, 8 milliards officiels, l'une des clés du problème, c'est l'autorégulation de l'espèce. Je pense que puissance sera un nombreux, plus il y aura de problèmes juste du fait de la quantité.
Speaker 2: Tu dis aussi, et on a déjà parlé au début de l'interview, que le fait d'avoir un adversaire peut aussi, et c'était un des thèmes du roman, c'est un moment où tu fais dire ça au commandant Massoud, le vrai commandant Massoud parce que tu t'inspires vraiment de la réalité et des vrais personnages. Donc c'est pas un autre commandant Massoud, c'est bien celui-là que finalement, l'adversité nous révèle aussi. Elle révèle notre conscience et nos choix.
Speaker 3: Ça montre aussi ceux qui sont courageux, ceux qui sont lâches, ou ceux qui collaborent avec les dictatures, parce que finalement c'est le plus confortable. La 2ème Guerre mondiale a révélé plein de héros et plein de salauds. Voilà. Par moment, tu disais que c'est un choix.
Speaker 2: Je disais en fait que vous, elle, l'adversité, je dirais que si il y a quelque chose peut-être de bon dans l'adversité, c'est qu'elle révèle comme tu dis, quand on sera bien descendu aussi dans notre honte, peut-être qu'à ce moment-là une espèce de conscience va s'élever.
Speaker 3: Il faut l'hiver pour que le printemps apparaissent. Il faut descendre au fond des égouts pour se dire qu'il vaut mieux monter vers la lumière et l'air pur. Dans nos propres vies, chacun nous connaissons des cycles.
Je pense que, et toi et moi, Anne, nous sommes retrouvés dans des moments où on s'est dit là je crois que vraiment tout est foutu, je ne m'en sortirai jamais. Et puis, on a quand même trouvé une solution. Et il y a des moments où on se demandait pourquoi tout semble nous empêcher d'avancer, alors qu'on a tout fait comme ça nous semblait correct. Tout ça fait partie d'un cheminement. Quand j'ai ma maladie qui se font lesercites en qui l'osant, en avant.
Speaker 2: Je pense exactement à ça.
Speaker 3: Après l'horizon, j'avais tiré la mauvaise carte et puis j'avais plus qu'à préparer à vivre une vie d'anticapés. Et puis maintenant, avec le recul, je considère que ça faisait partie de mon chemin. Et j'accepte cette maladie non plus comme une épée de Damoclès au-dessus de ma tête, mais comme une motivation pour aller vite avant que ça me tombe dessus et que les crises deviennent difficiles à gérer.
Speaker 2: Et tu l'as partagé avec beaucoup de... c'était vraiment puissant dans ton précédent ouvrage, sur ton autobiographie. Sur le moment où l'écriture arrive dans ta vie, cette maladie disparaît en fait. Ou presque.
Speaker 3: Je crois qu'il faut se forcer à être presque pour des raisons thérapeutiques. Donc, c'est à vers 30 ans, quand j'ai eu la sortie des fourmis, j'étais tellement heureux que le livre marche et que ça devienne mon métier, qu'en effet mon corps a dû comprendre, attend maintenant on est plus dans une phase de malheur, on va passer une phase de bonheur.
Donc mon corps s'est reprogrammé et j'ai arrêté d'avoir des crises. Oui, je crois qu'il faut se forcer à être heureux, de sourire, de prendre tout du bon côté, de être optimiste, même si comme je disais tout à l'heure, les optimistes sont déjà mal informés, tant qu'il y aura toujours une solution. Ne serait-ce que pour ne pas faire des ulcères à l'estomac, ne pas avoir des migraines, ne pas ne pas se laisser porter par une vision négative. Il y a un moment c'est que des lunettes. Est-ce qu'on a des lunettes qui impliquent la lumière, ou des lunettes qui éteignent la lumière, des lunettes de soleil qui font qu'on voit tout noir. Moi, j'ai essayé malgré tout de donner envie à mes lecteurs d'aller vers la lumière, même si il y a des épreuves.
Speaker 2: C'est ça. Alors l'individu, le collectif de Nicole Ounmonica, qui remportera cette partie d'échecs althantes qui revient sur plus de 80 années de l'histoire du monde à vos manants, cher auditeurs, de découvrir si vous vous sentez plus proches des convictions de l'une ou de l'autre des protagonistes. Vous pourriez certainement être surpris. Merci, Bernard Verbert, d'être venu nous parler de cette Diagonale des Reines paru tout juste chez Albin Michel. Merci.
Speaker 3: Merci, Mélanie Morphose. Merci. Avec joie.
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 source: Ouvrage - La diagonale des reines - résumé par chatGPT
 ### Résumé de "La diagonale" par Bernard Werber
#### Partie 1: Deux petites filles méchantes
##### Chapitre 1: Nicole et la souris
- **Nicole O'Connor**: Une jeune fille de 11 ans à Melbourne, Australie, parle à une souris blanche dans une cage. Punie par son professeur de sciences naturelles pour avoir refusé de tuer la souris lors d'une expérience de vivisection, elle décide de la libérer, ainsi que toutes les autres souris du laboratoire. Cela cause un chaos dans l'école alors que 640 souris courent partout, effrayant les étudiants et les enseignants.
##### Chapitre 2: Monica et la bagarre
- **Monica Mac Intyre**: Une autre jeune fille de 11 ans, à New York, est témoin d'une scène de harcèlement scolaire. Cinq étudiants frappent une fille, et Monica intervient en utilisant un extincteur pour les disperser. Elle est critiquée par un professeur mais reste indifférente, trouvant refuge dans les toilettes pour réfléchir.
##### Chapitre 3: Exclusion de Nicole
- **Nicole**: Exclue de son pensionnat, elle rejoint son père dans un ranch en Nouvelle-Galles du Sud. Elle exprime son besoin d'être entourée de gens pour exister et découvre une nouvelle perspective sur la vie collective et l'intelligence des moutons grâce à son père, Rupert O'Connor.
#### Chapitre 4: Le quotidien de Monica
- **Monica**: Début de sa journée à New York, elle est en conflit avec sa mère Jessica au sujet de son comportement violent et sa misanthropie. Jessica lui suggère de contrôler ses émotions en apprenant à jouer aux échecs, une leçon transmise par sa propre mère, Reine.
#### Partie 2: Deux adolescentes terribles
##### Chapitre 1: Nicole O'Connor et les oiseaux
- **Nicole O'Connor**: À douze ans, Nicole observe un vol d'étourneaux avec fascination. Elle demande à son père pourquoi les oiseaux se déplacent ensemble, apprenant que c'est pour se protéger des prédateurs. Nicole découvre également une passion pour les échecs, s'inscrivant dans un club et progressant rapidement jusqu'à la compétition nationale junior en Australie.
##### Chapitre 2: Manifestation à Sydney
- **Nicole et son père**: En route pour la compétition d'échecs, ils se retrouvent pris dans une manifestation pour les droits des Aborigènes. Nicole, excitée par l'ambiance de la manifestation, jette un pavé, déclenchant des confrontations entre les manifestants et la police. Ils réussissent finalement à atteindre la compétition.
##### Chapitre 3: Compétition nationale d'échecs
- **Nicole**: Malgré les retards causés par la manifestation, Nicole parvient à s'inscrire et à participer à la compétition. Elle progresse jusqu'à la finale et remporte le tournoi, gagnant le droit de représenter l'Australie au championnat du monde d'échecs junior en Islande.
#### Chapitre 4: Monica Mac Intyre
- **Monica Mac Intyre**: Monica et sa mère arrivent à temps pour la compétition d'échecs à New York. Monica adopte une stratégie agressive, utilisant sa reine pour déstabiliser ses adversaires. Elle gagne plusieurs matchs et atteint la finale, où elle est invitée à représenter les États-Unis en Islande.
#### Partie 3: Le championnat du monde en Islande
##### Chapitre 1: Reykjavik
- **Nicole et son père en Islande**: Nicole et son père discutent des enjeux géopolitiques du championnat du monde d'échecs entre Bobby Fischer et Boris Spassky, symbolisant la guerre froide entre les États-Unis et l'URSS. Fischer est décrit comme imprévisible et exigeant, tandis que Spassky est présenté comme le champion stable et méthodique.
##### Chapitre 2: Le match Fischer-Spassky
- **Monica et Nicole spectatrices**: Monica et Nicole assistent au championnat du monde d'échecs. Fischer arrive en retard et crée la surprise par sa stratégie audacieuse. Les parties sont marquées par des tensions, des caprices de Fischer, et des soupçons de sabotage électronique.
##### Chapitre 3: Compétition féminine junior
- **Nicole et Monica s'affrontent**: Nicole et Monica se retrouvent en demi-finale de la compétition junior. La partie est intense et Nicole, avec sa stratégie de ligne de pions, réussit à vaincre Monica. Enragée par sa défaite, Monica attaque physiquement Nicole, tentant de l'étrangler. Nicole survit grâce à l'intervention des spectateurs.
#### Partie 3: Deux étudiantes rebelles
##### Chapitre 1: Nicole à l'université
- **Nicole O'Connor**: À 18 ans, Nicole est étudiante en sociologie à l'université de Sydney. Lors d'une conférence, le professeur explique l'évolution des êtres vivants et la formation des communautés humaines. Nicole est intriguée par les concepts de spécialisation et de coopération au sein des groupes humains.
##### Chapitre 2: Fête aborigène
- **Nicole**: Invitée par Tjampitjinpa, un ami aborigène, Nicole assiste à une fête traditionnelle aborigène, la Yanda, qui célèbre les ancêtres. Elle participe activement à la cérémonie, incluant des chants, des danses et la consommation de substances hallucinogènes. Nicole ressent une forte connexion avec les participants et la nature environnante.
##### Chapitre 3: Monica et le centre de méditation
- **Monica Mac Intyre**: Après avoir tenté d'étrangler Nicole six ans plus tôt, Monica vit en ermite à New York. Elle découvre une annonce pour un centre de méditation et décide de s'y rendre. Monica y apprend la méditation, le yoga, et le jeûne. Elle développe une relation intense avec Shanti, l'instructrice, qui prétend que Monica et elle étaient mariées dans une vie antérieure.
##### Chapitre 4: Grossesse et avortement de Nicole
- **Nicole**: À 18 ans, Nicole découvre qu'elle est enceinte de jumeaux après sa première relation sexuelle. Son père, Rupert, réagit positivement, mais Nicole décide d'avorter pour se concentrer sur ses études. Cette décision conduit à la rupture avec Tjampitjinpa, qui se suicide peu après. Nicole sombre dans l'alcoolisme avant de rejoindre les Alcooliques anonymes.
##### Chapitre 5: Rupture de Monica avec Shanti
- **Monica**: Monica décide de quitter le centre de méditation, malgré l'attachement de Shanti. Elle retourne à New York, mais Shanti la suit et tente de la convaincre de revenir. Monica, préférant la solitude, fuit et trouve refuge dans les montagnes.
##### Chapitre 6: Sauvetage de Monica
- **Monica**: Lors d'une randonnée en montagne, Monica tombe dans un ravin. Elle est sauvée par un homme nommé Corentin. Ils passent la nuit dans un refuge, où Monica partage ses pensées sur la solitude et les relations humaines.
#### Partie 4: Confrontations et rivalités
##### Chapitre 1: Nicole et ses origines
- **Nicole O'Connor**: Nicole découvre son histoire familiale en apprenant que son ancêtre, Donovan O'Connor, a fui la famine en Irlande, s'est retrouvé bagnard en Australie, et a finalement prospéré en volant des moutons. Rupert, son père, lui raconte cette histoire pour la préparer à ses compétitions en Angleterre, en insistant sur la méfiance envers les Anglais.
##### Chapitre 2: Monica et Corentin
- **Monica Mac Intyre**: Monica se réveille dans une montagne avec Corentin, un alpiniste français. Ils discutent de leur relation, mais Monica, sentant que Corentin s'attache trop à elle, décide de mettre fin à leur relation et retourne à New York.
##### Chapitre 3: Nicole à Londres
- **Nicole en Angleterre**: Nicole arrive à Londres pour une compétition d'échecs, ressentant un fort dégoût pour la ville et ses habitants. Elle est déterminée à venger ses ancêtres en battant ses adversaires anglaises. Elle commence la compétition avec succès, utilisant sa stratégie habituelle de ligne de pions.
##### Chapitre 4: Confrontation entre Nicole et Monica
- **Quart de finale**: Nicole et Monica se retrouvent face à face en quart de finale. Nicole tente de déstabiliser Monica avec une poignée de main forte, mais Monica reste concentrée et trouve une stratégie pour contrer la ligne de pions de Nicole, en sacrifiant ses cavaliers pour ouvrir une brèche. Monica gagne la partie, provoquant la colère et la frustration de Nicole.
##### Chapitre 5: Panique à l'hôtel
- **Alerte à la bombe**: Lors de la remise des trophées, une alerte à la bombe est annoncée, provoquant une panique générale. Monica et sa mère sont séparées dans la foule. Monica perd connaissance et se réveille à l'hôpital, où on lui annonce que sa mère a été piétinée à mort.
#### Partie 5: Conséquences et révélations
##### Chapitre 1: Deuil de Monica
- **Monica et la perte de sa mère**: Monica, sous le choc de la mort de sa mère, est diagnostiquée comme souffrant de psychose maniaco-dépressive et subit des traitements par électrochocs. Elle ressort de l'hôpital sous traitement, mais reste émotionnellement engourdie.
##### Chapitre 2: Révélations de Rupert
- **Retour de Nicole en Australie**: Nicole retourne en Australie, où son père lui révèle qu'il finance l'IRA pour lutter contre les Anglais. Il lui demande de poursuivre cette activité après sa mort, ce qu'elle accepte.
##### Chapitre 3: Vengeance de Monica
- **Monica à Londres**: Monica, cherchant à venger la mort de sa mère, décide de trouver la personne responsable de l'alerte à la bombe. Elle se rend à Scotland Yard pour obtenir des réponses.
### Résumé de "La Diagonale" par Bernard Werber (à partir de la page 58)
#### Partie 6: Deux jeunes femmes féroces
##### Chapitre 1: Monica et Scotland Yard
- **Monica Mac Intyre**: Monica discute avec un officier de Scotland Yard pour retrouver la personne responsable de l'alerte à la bombe qui a causé la mort de sa mère. Frustrée par l'inefficacité de la police, elle devient violente et est maîtrisée par les agents.
##### Chapitre 2: Réveillon chez Nicole
- **Nicole O'Connor**: Nicole fête le réveillon de 1978 avec ses amis au ranch ROC. Elle note les événements marquants de l'année dans son carnet, réfléchissant à sa vie et à ses expériences passées.
##### Chapitre 3: Isolement de Monica
- **Monica**: Monica vit isolée dans l'appartement de sa mère à New York, obsédée par la mort de cette dernière. Elle se promet de venger sa mère et de trouver la coupable, vivant dans une introspection intense.
##### Chapitre 4: Métaphore des longues cuillères
- **Encyclopédie**: La métaphore des longues cuillères est utilisée pour illustrer la différence entre le paradis et l'enfer, mettant en évidence l'importance de l'entraide.
#### Partie 7: Deux jeunes femmes adultes
##### Chapitre 1: Nicole professeur à Belfast
- **Nicole O'Connor**: À 25 ans, Nicole est professeur de sociologie à Belfast, spécialisée dans l'étude des foules. Elle enseigne les théories d'Aristote, Condorcet, Le Bon et Galton sur la sagesse des foules, utilisant des exemples historiques et des expériences pour illustrer ses propos.
##### Chapitre 2: Rencontre avec Ryan Murphy
- **Nicole et l'IRA**: Nicole rencontre Ryan Murphy, membre de l'IRA, qui lui demande d'intercéder auprès de son père pour obtenir des fonds pour leur organisation. Nicole accepte de participer à une réunion de l'IRA pour mieux comprendre leurs motivations et leurs besoins.
##### Chapitre 3: Monica dans le désert
- **Monica Mac Intyre**: Monica marche seule dans le désert des Mojaves pour surmonter la mort de sa mère et sa maladie maniaco-dépressive. Elle redécouvre son endurance physique et mentale, se purifiant de ses souffrances passées.
##### Chapitre 4: Séance de dédicace à Édimbourg
- **Monica**: Monica organise une séance de dédicace à Édimbourg, où elle rencontre Sophie Wellington, directrice du MI5, qui lui demande de l'aider à neutraliser Nicole O'Connor, désormais membre de l'IRA.
##### Chapitre 5: Sophie Wellington et Monica
- **Collaboration**: Sophie Wellington révèle à Monica que Nicole O'Connor est responsable de l'alerte à la bombe ayant causé la mort de sa mère. Elle propose à Monica de collaborer avec le MI5 pour arrêter Nicole et la punir pour ses actes.
#### Partie 8 : Chaos et tragédie dans le stade
**Chapitre 1 : Description de la panique**
- Sophie reçoit des informations troublantes.
- Les officiers de la police belge ne prennent pas les mesures nécessaires pour éviter un désastre.
- La foule se bat, se pousse, et les gens sont piégés contre les grillages.
- Des scènes de violence et de chaos se déroulent tandis que les autorités restent impassibles.
#### Partie 9 : Interventions et stratégies
**Chapitre 2 : Nicole O'Connor et Ryan Murphy**
- Nicole, déguisée en supporter, avance avec une machette.
- Planification et exécution d'un assassinat dans la foule.
- Nicole utilise le chaos pour accomplir ses objectifs meurtriers.
**Chapitre 3 : Arrestation de Monica**
- Monica est arrêtée et se retrouve en garde à vue avec d'autres spectateurs.
- La tension monte alors que les autorités tentent de contenir la situation.
- L'UEFA décide de continuer le match malgré les incidents.
#### Partie 10 : Conséquences et analyses
**Chapitre 4 : Réactions au match**
- La Juventus remporte le match, mais l'ambiance est tendue.
- Les médias hésitent entre couvrir le match et la tragédie.
- Le bilan des victimes est lourd, avec des morts et des blessés graves.
**Chapitre 5 : Rassemblement de l'IRA**
- Les membres de l'IRA se réunissent dans un pub pour discuter des événements.
- Nicole ressent une satisfaction étrange après l'assassinat.
- Une démonstration de l'unité et de la force de l'IRA se manifeste.
#### Partie 11 : Le concert de U2
**Chapitre 6 : Concert à Dublin**
- Nicole et Ryan assistent à un concert de U2.
- Nicole observe et analyse la foule, notant les comportements de masse.
- Le concert déclenche des émotions fortes et une solidarité parmi les spectateurs.
**Chapitre 7 : Alerte à la bombe**
- Une alerte à la bombe provoque une panique parmi les spectateurs.
- Nicole intervient pour ralentir l'évacuation et éviter un désastre.
- Monica et Sophie, observant la situation, réalisent que Nicole connaît bien les foules mais pas la psychologie individuelle.
#### Partie 12 : Stratagèmes et manipulations
**Chapitre 8 : Réflexions et stratégies**
- Nicole explique ses méthodes pour contrôler les foules et éviter les bouchons lors des évacuations.
- Des discussions sur les jeux d'échecs et les stratégies utilisées pour comprendre et manipuler les événements.
- Nicole et Ryan se réfugient dans une maison à la campagne pour se reposer et planifier leurs prochaines actions.
#### Partie 13 : Deux femmes d'action déterminées
**Chapitre 1 : Nicole en détention**
- Nicole O'Connor se trouve dans une cellule sans fenêtres avec des murs matelassés.
- Elle demande à parler à un avocat mais en est empêchée.
- Les gardiens utilisent des tactiques psychologiques pour la pousser à coopérer.
**Chapitre 2 : Réflexions de Monica**
- Monica Mac Intyre séjourne dans un hôtel près de la prison de Maze.
- Elle écrit un livre sur des figures historiques méconnues ayant eu raison trop tôt.
- Monica ressent une obsession pour Nicole, qu'elle tient pour responsable de la mort de sa mère.
**Chapitre 3 : Le concert et l'alerte à la bombe**
- Monica assiste à un concert et réfléchit sur les événements récents.
- Une alerte à la bombe cause une panique parmi les spectateurs.
- Nicole intervient pour ralentir l'évacuation et éviter un désastre.
**Chapitre 4 : Réflexions et stratégies**
- Nicole explique ses méthodes pour contrôler les foules et éviter les bouchons lors des évacuations.
- Des discussions sur les jeux d'échecs et les stratégies utilisées pour comprendre et manipuler les événements.
- Nicole et Ryan se réfugient dans une maison à la campagne pour se reposer et planifier leurs prochaines actions.
**Chapitre 5 : Évasion de Nicole**
- Nicole planifie et exécute une évasion audacieuse de la prison de Maze.
- Elle est aidée par un gardien complice et réussit à s'échapper en utilisant une corde.
- Son père, Rupert, l'attend à l'extérieur avec une Rolls-Royce rouge et ils s'enfuient ensemble.
**Chapitre 6 : Confrontation à l'aéroport**
- Sophie Wellington et Monica tentent d'intercepter Nicole et son père à l'aéroport de Belfast.
- Un échange de tirs a lieu, Sophie est tuée et Monica parvient à blesser le père de Nicole.
- Nicole réussit à monter à bord d'un avion et s'envole, échappant ainsi à Monica.
#### Partie 14 : Conflits et manipulations
**Chapitre 7 : Torture psychologique**
- Nicole subit une torture psychologique en prison, alternant entre colère et abattement.
- Elle envisage une grève de la faim mais finit par céder à la faim.
**Chapitre 8 : Stratagèmes de Monica**
- Monica poursuit sa vengeance contre Nicole en utilisant des stratagèmes et des manipulations.
- Elle réfléchit aux paroles de Sophie et se prépare pour la prochaine confrontation.
**Chapitre 9 : La bataille continue**
- Monica et Nicole continuent leur bataille psychologique et physique.
- Nicole parvient à s'échapper et Monica jure de la retrouver.
#### Partie 15 : Stratégies et Confrontations
**Chapitre 1 : Rencontre avec Sergueï Lewkowicz** =
- Nicole se souvient de Kim Philby, un espion britannique ayant aidé les Russes.
- Sergueï Lewkowicz teste Nicole en jouant une partie d'échecs avec elle.
- La partie révèle des aspects stratégiques de la personnalité de Nicole.
**Chapitre 2 : Évasion et Formation** =
- Nicole reçoit une formation intensive au Kamtchatka, apprenant diverses compétences de combat et de manipulation.
- Elle est envoyée en Afghanistan pour des missions stratégiques, y compris l'encerclement de Pripyat après l'accident de Tchernobyl.
**Chapitre 3 : Situation en Afghanistan**
- Nicole analyse la situation en Afghanistan, notant la faiblesse et les défections de l'armée pro-russe.
- Elle se rend au point d'observation A75 pour examiner les mouvements des Moudjahidines.
#### Partie 16 : Conflits en Afghanistan
**Chapitre 1 : Affrontement avec les Moudjahidines**
- Nicole et Viktor Kuprienko discutent de la stratégie pour récupérer un lance-missiles Stinger.
- Nicole planifie une attaque d'infanterie utilisant des Pachtouns pour récupérer le lance-missiles.
**Chapitre 2 : Tensions internes**
- Nicole observe les rivalités entre les tribus locales, choisissant les Pachtouns pour leur hostilité envers les Tadjiks.
- Viktor exprime des doutes sur les subtilités locales, mais Nicole reste confiante dans sa stratégie.
#### Partie 17 : Ennemies Intimes
**Chapitre 1 : Rencontre avec Monica Mac Intyre**
- Nicole identifie Monica parmi les Moudjahidines et ordonne de la capturer vivante.
- Monica tente de fuir avec un Stinger, mais Nicole la poursuit et l'affronte dans un tunnel.
**Chapitre 2 : Poursuite dans les montagnes**
- Nicole poursuit Monica, les deux femmes s'affrontent physiquement et stratégiquement.
- Monica utilise des tactiques pour échapper à Nicole, causant des frustrations et des blessures.
**Chapitre 3 : Conséquences de l'affrontement**
- Monica parvient à s'échapper, blessée, tandis que Nicole jure de ne plus hésiter à tuer la prochaine fois.
- Les réflexions de Nicole sur les stratégies de captivité et de torture montrent sa détermination.
#### Partie 18 : Analyse et Préparations
**Chapitre 1 : Réflexions de Massoud**
- Massoud exprime des inquiétudes sur l'avenir de l'Afghanistan et la montée de l'islamisme radical.
- Monica et Massoud discutent des implications géopolitiques et des alliances avec les États-Unis.
**Chapitre 2 : Retour à Moscou**
- Nicole retourne à Moscou et découvre que Sergueï a disparu, remplacé par Viktor Kuprienko.
- Viktor explique que Sergueï est tombé en disgrâce à cause des échecs en Afghanistan.
**Chapitre 3 : Planification stratégique**
- Nicole et Viktor célèbrent la nouvelle année tout en discutant des futures actions contre les Américains.
- Nicole envisage des plans audacieux pour renverser les humiliations subies par l'Union soviétique.
#### Partie 19 : Deux directrices de service sans scrupules
**Chapitre 1 : Monica Mac Intyre et ses missions**
- 9 septembre 2001 : Monica a 41 ans et continue de travailler pour l'armée américaine malgré sa jambe en titane.
- Elle a participé à plusieurs missions délicates à travers le monde, notamment en Angola, au Nicaragua, et en Afghanistan.
- Sa progression au sein du Pentagone est marquée par ses intuitions stratégiques originales et son refus des méthodes bureaucratiques.
**Chapitre 2 : Assassinat de Massoud**
- Monica apprend l'assassinat de Massoud, un leader afghan, par des prétendus journalistes avec des passeports belges.
- Les détails de l'assassinat sont révélés, montrant une préparation minutieuse et une exécution brutale.
- Monica suspecte une implication de Ben Laden et s'inquiète des implications pour la sécurité internationale.
**Chapitre 3 : Planification des attentats**
- Nicole O'Connor, en Russie, coordonne une opération avec des membres d'Al-Qaïda pour assassiner Massoud et planifier des attaques aux États-Unis.
- Elle utilise ses compétences stratégiques pour manipuler et diriger les islamistes radicaux.
- Nicole et Viktor discutent des détails de l'opération, révélant la complexité et l'ampleur du complot.
**Chapitre 4 : 11 septembre 2001**
- Monica, au Pentagone, est alertée par les attaques contre le World Trade Center.
- Elle pressent une attaque imminente contre le Pentagone et tente d'alerter ses supérieurs, mais ses préoccupations sont initialement rejetées.
- Finalement, un avion percute le Pentagone, confirmant ses craintes.
**Chapitre 5 : Réactions et analyses**
- Nicole, en Russie, observe les événements avec satisfaction, ayant réussi à détourner l'attention des Américains vers Ben Laden.
- Elle espère avoir tué Monica dans l'attaque du Pentagone, mais découvre qu'elle a échoué.
- Les manipulations de Nicole sont révélées, ainsi que ses motivations profondes et personnelles.
#### Partie 20 : Répercussions psychologiques et physiques
**Chapitre 1 : Dépression de Monica**
- Monica traverse une période de dépression nerveuse suite aux événements de septembre 2001.
- Elle cherche refuge dans un centre psychiatrique, où elle se rétablit progressivement grâce à la lecture et à la réflexion.
- Monica trouve du réconfort en découvrant les histoires de dépressifs célèbres, ce qui l'aide à relativiser sa propre souffrance.
**Chapitre 2 : Vie en mer et écriture**
- Monica entreprend un tour du monde en solitaire sur un catamaran, cherchant à se distancer de l'humanité.
- Elle écrit plusieurs ouvrages durant son voyage, explorant sa propre existence et ses expériences.
- Sa solitude en mer lui permet d'atteindre des niveaux de conscience élevés et de se recentrer sur elle-même.
**Chapitre 3 : La Reine noire**
- Monica rédige un roman d'espionnage sous le pseudonyme de Kate Phoenix, inspiré de ses propres expériences.
- Son livre, "La Reine noire", décrit l'affrontement entre deux femmes espions, reflet de son propre conflit avec Nicole.
- Le roman connaît un succès limité, mais Monica persévère dans son écriture et continue de se reconstruire.
#### Partie 21 : Évolution des conflits et manipulation
**Chapitre 1 : Accord de Vienne et préoccupations géopolitiques**
- Monica scrute les images du reportage et découvre que Nicole est à Vienne, suspectant son implication dans les négociations pour les Russes.
- Monica réalise que la Corée du Nord pourrait sous-traiter la fabrication de bombes atomiques pour l'Iran avec le soutien de la Russie et de la Chine.
**Chapitre 2 : Évasion de Nicole et nouveaux plans**
- Nicole, âgée de 55 ans, se souvient de ses succès passés, y compris l'attentat du World Trade Center.
- Elle est promue colonel et plus tard général, utilisant des stratégies non orthodoxes pour semer la confusion et manipuler les foules.
- Nicole organise des fêtes spectaculaires pour renforcer la cohésion de son groupe, mélangeant musique et cérémonies chamaniques.
**Chapitre 3 : Rencontre stratégique à Djeddah**
- Nicole rencontre Mohsen Fakhrizadeh, un scientifique iranien clé dans le développement de l'arme nucléaire.
- La discussion tourne autour de la fourniture de pièces nécessaires et de l'élimination d'officiers de la CIA et du Mossad.
**Chapitre 4 : Pèlerinage à La Mecque et tensions**
- Monica et Gary Sullivan surveillent la situation à La Mecque, où Monica prévoit une opération pour éliminer Fakhrizadeh.
- Une bousculade massive se produit, causant des centaines de morts, mais Fakhrizadeh survit avec l'aide de Nicole.
**Chapitre 5 : Duel à l'hôpital**
- Monica tente de terminer le travail en se rendant à l'hôpital où Fakhrizadeh est soigné.
- Un duel intense entre Monica et Nicole se déroule, se terminant par une blessure grave à l'œil pour Nicole.
**Chapitre 6 : Répercussions et réflexions**
- Monica passe en revue les événements marquants de l'année 2015 et décide de se retirer de la poursuite de Nicole.
- Nicole, avec un œil en moins, poursuit ses activités mais finit par accepter l'impossibilité de localiser Monica.
**Chapitre 7 : Vie tranquille et observations stratégiques**
- En 2045, Monica vit paisiblement dans son château écossais, continuant à écrire des romans d'espionnage sous le pseudonyme de Kate Phoenix.
- Elle suit toujours de près la géopolitique mondiale et réfléchit à l'influence des conflits Est-Ouest.
#### Partie 22 : Retrouvailles et confrontations finales
**Chapitre 1 : Rencontre sous la pluie**
- Monica aperçoit une silhouette sous une capuche ruisselante de pluie devant sa porte.
- Elle ouvre la porte avec précaution et reconnaît Nicole O'Connor.
**Chapitre 2 : Confessions et réflexions**
- Nicole, atteinte d'un cancer, révèle à Monica qu'elle voulait la revoir avant de mourir.
- Les deux femmes discutent de leurs vies et des choix qui les ont conduites à ce moment.
- Nicole explique ses motivations et avoue ses crimes passés, y compris l'assassinat de la mère de Monica.
**Chapitre 3 : Partage de souvenirs et révélations**
- Monica et Nicole partagent des souvenirs de leurs affrontements passés, y compris des événements au Heysel et à La Mecque.
- Nicole confesse ses actes de manipulation et de violence, justifiant ses actions par ses idéaux et sa haine envers Monica.
**Chapitre 4 : Proposition de Nicole**
- Nicole propose à Monica une dernière partie d'échecs avec un enjeu mortel : la vie de chacune.
- Elle révèle avoir empoisonné leur whisky et montre l'antidote, promettant de le donner à Monica si elle gagne la partie.
**Chapitre 5 : Déroulement de la partie**
- Les deux femmes commencent une partie d'échecs intense, chacune tentant de prendre l'avantage.
- Nicole triche en utilisant une caméra cachée et des conseils en ligne pour améliorer ses coups.
- La tension monte alors que le temps s'écoule, et Monica doit garder son calme malgré la situation critique.
**Chapitre 6 : Conclusion et conséquences**
- La partie atteint son apogée avec des stratégies complexes et des mouvements calculés.
- Monica parvient à s'adapter aux changements de style de Nicole, restant concentrée malgré la pression.
**Chapitre 7 : Réflexions finales**
- Monica se rend compte de la complexité de leur relation et des sentiments mêlés de haine et de respect mutuel.
- Elle réfléchit à leur passé commun et aux implications de leur affrontement final.
#### Partie 23 : Épilogue et remerciements
**Chapitre 1 : Épilogue**
- Le duel d'échecs symbolise leurs vies de conflits et de luttes de pouvoir.
- La fin de la partie est marquée par une réflexion sur le temps et la mortalité.
**Chapitre 2 : Remerciements**
- L'auteur remercie ses amis, collaborateurs et lecteurs pour leur soutien et inspiration.
- Une réflexion sur la nature des foules et de la psychologie collective est partagée, soulignant les thèmes explorés dans le livre.
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 | #232 Bernard Werber : La Prophétie des abeilles (suite)
 source: youtube.com
 c'est des infos qui viennent directement du gouvernement, donc je sentais intuitivement que j'aimais que quelque chose de faux et j'étais obligé de le mettre. Et en tant qu'écrivain, quand je tente quelque chose d'effaut, je ne le mets pas. Et je peux même afficher mes sources et expliquer pourquoi intuitivement je sens que c'est pas ça la vérité. Et puis tu as cette liberté d'imaginer aussi ce que tu souhaites, sans qu'on puisse te dire ou t'accuser d'être dans les pseudosciences, je ne sais pas quoi.
Je peux parler de la reincarnation, je peux parler des nir, des expériences, je peux parler des anges, je peux parler des dieux, je peux parler de Dieu, sans que ça prenne des proportions ou les gens disent, prouvez que Dieu existe, prouvez que des anges existent, prouvez que ta reincarnation existe, parce qu'il existe le mot roman et que le mot roman, ça veut dire que je propose de nouvelles manières de se questionner. Je n'ai pas de réponse ni de certitude. C'est vous qui allez le trouver tout seul, mais je vous donnez des outils pour vous trouver vos réponses adaptées à votre vie et à votre parcours de évolution. Ah ben ça c'est une super conclusion. Merci infiniment Bernard Verbert.
Bravo pour ce nouveau roman que personnellement j'ai trouvé captivant, extrêmement bien documenté, historiquement engagé pour la sauvegarde du vivant et qui soulève aussi de nombreuses questions philosophiques et de sagesse. Je rappelle son titre, La prophétie des abeilles chez Alma Michel. Alors n'hésitez pas aussi à retrouver Bernard qui est mal à la rencontre de ses lecteurs en librairie, maintenant qu'on peut y aller. Toutes les infos sur son site bernardverbert.com et je rappelle les deux précédents podcasts enregistrés dans Métamorphose avec Bernard, notamment cette méditation guidée, accompagnée par lui pour découvrir ses vieux antérieurs. Et on fera gagner, je l'espère, le livre sur l'Instagram de Métamorphose Podcast.
Merci Bernard. Il y a aussi le spectacle du Poudre et de la Cine. Voilà, le prochain, je ne sais pas si on sera diffusé la première fois sur ce podcast, mais le prochain spectacle est le 20 octobre, donc dans quelques jours. Et après je crois que c'est le 12 novembre. Il reste encore des places ? Il reste quelques places.
Oui, et le prochain ? Alors il faut aller en novembre. Je crois que c'est le 12 novembre et il y en a aussi en décembre. En gros je le fais un mercredi du mois, en général au milieu du mois. Et il y a un accompagnement musical aussi. Un Frankeur, un ESA Frankeur, et une mise en scène qui permet de partir de manière encore plus douce et plus agréable vers le voyage dans sa propre pensée. Alors peut-être on pourra offrir aussi un accès à une soirée à nos auditeurs, auditrices de tes spectacles. Je vais te le dire. Super, merci Bernard.
À bientôt. Découvrez mes invités en avant première sur Instagram à l'adresse Métamorphose Podcast. Si vous aimez ce podcast, favorisez cette diffusion en lui donnant 5 étoiles sur Apple Podcast ou sur votre plateforme préférée. Et surtout abonnez-vous pour suivre tous les épisodes gratuitement. Découvrez aussi en Librairie mon livre, ici du podcast Métamorphose Éveille ta conscience 33 rencontres essentielles pour être soit aux éditions Hérole. Et enfin pour nous soutenir, rejoignez la tribu Métamorphose à l'adresse patreon.com .com. Merci infiniment. GAS qui éveille la conscience. Je remercie chaleureusement notre partenaire Léa Nature, premier fabricant français indépendant de produits bioinaturels en alimentaires, cosmétiques, hiviennes, diététiques et santé. Une entreprise familiale engagée dans une démarche de file entrepies environnementale portée par l'adhésion de leur marque bio au collectif mondial 1% fort de planète et leur fondation d'entreprise.
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 | #232 Bernard Werber : La Prophétie des abeilles
 source: youtube.com
 Ce podcast vous est proposé grâce à Léa Nature, spécialiste français de l'alimentation bio, Senny Gourmand, avec sa marque pionnière, Jardin bio-éthique, lancée en 1995 à retrouver en grande surface.
Jardin bio-éthique, c'est plus de 550 produits bio, du qui déjeuner au dîner, et depuis son lancement, Jardin bio-éthique n'a eu de cesse de participer au développement, de filières bio de qualité, durable et éthique, et à la relocalisation des approvisionnements ou de la fabrication en France. Merci infiniment à notre partenaire pour ces engagements en faveur de notre bien-être et de l'environnement. Bienvenue dans la saison 3 du podcast Métamorphose, le podcast qui éveille la confiance. Je suis Anne Léquière, fondatrice du magazine Félinein bio, auteur de l'oracle de la métamorphose et édite plus de projets engagés pour un nouveau monde. Chaque lundi et jeudi, dès 7h, nous partons ensemble à la découverte d'un sujet lumineux avec une personnalité qui porte une voix d'éveil et des consciences.
Métamorphose, le podcast qui éveille la conscience. Mon invité reprend cette célèbre citation d'Albert Einstein en introduction de son roman et elle donne le ton. Si les abeilles disparaissaient de la surface du globe, l'homme n'aurait plus que quatre années à vivre. Il est l'un des auteurs de roman préféré des Français avec plus de 30 ans de succès depuis son roman Les fourmis. Evidemment, vous voyez tout de suite de qui il s'agit, auteur d'une oeuvre littéraire titanesque. Il va nous parler aujourd'hui d'un métamorphose de son nouveau récit à prophétie des abeilles qui nous entraîne à la suite de ses héros sur la piste des abeilles mais aussi des templiers et de l'évolution de l'humanité. Une magnifique fresque sur fond de pratique d'hypnose régressive. Bref, un grand roman d'aventure bourré de thèmes dont on est fan.
Bienvenue dans Métamorphose, Bernard Verbert. Merci de m'avoir invité. Avec grand joie. Alors on va passer un peu en revue finalement les quatre thématiques. Il y en a plein en fait.
On peut tirer tellement de fils pour une interview. C'est ce que je me suis dit peut-être encore plus que tes deux précédents romans en ce qui me concerne. Et donc je me suis dit on va s'attacher à parler des prophéties, de l'hypnose évidemment, des templiers et puis forcément des abeilles je le disais en introduction. Est-ce que tu as envie de nous faire le pitch de ce nouveau roman en Bernard ? Alors c'est un roman qui mélange trois choses. Comme tu l'as dit, les templiers, les abeilles et les pnoses régressives. Et j'ai un héros qui s'appelle René Tolézano qui est un prof d'histoire qui va se retrouver à remonter ses vies antérieures pour découvrir quel est le secret de cette prophétie des abeilles qui est évidemment liée à ce pain secte. Et donc est-ce que c'est une suite un peu de la boîte de Pandore parce qu'on avait déjà ce héros ? Voilà c'est le même héros que la boîte de Pandore mais évidemment ça peut se lire indépendamment.
Mais c'est un héros qui a appris dans la boîte de Pandore à aller visiter ses vies antérieures et là maintenant il est assez à l'aise là dedans. La seule différence c'est que cette fois-ci il va aussi découvrir ses vies postérieures. Il va faire de l'hypnose de prospective après avoir fait de l'hypnose régressive. C'est ça. Alors justement en parlant d'hypnose est-ce que toi tu écris en auto-hypnose sous forme de trans quelque part ? Alors en auto-hypnose non parce que quand je finis de sens auto-hypnose c'est vraiment fermé c'est-à-dire je mets en position, je ferme les yeux et je ne peux pas écrire en même temps vu que je viens avec quelque chose comme un rêve. Voilà donc qui occupe tout mon cerveau.
Je ne peux pas prendre des notes. Par contre quand j'écris le matin entre 8h et 10h30 je deviens de plus en plus immergé dans mon propre roman et en général entre 11h ou 11h et cas j'ai un moment où je basque le temps et je ne vois plus le temps passer et je suis à fond avec mes personnages. C'est pas tout le temps le cas, des fois c'est plus long, des fois c'est plus court mais quand ça arrive c'est très agréable et ça arrive je vais dire pratiquement 4 jours sur 5. Pas mal quand même. On souhaite ça à tout le monde.
Je crois que tout le monde dans chacun de nos métiers on peut trouver une sorte de joie et de trans à ce qu'on appelle, les américains me n'appellent le flow. Il y a un moment où on se laisse aller et on n'est plus dans un système intellectuel, on est juste dans un système de luisance de pratiquer ce pour lequel on est bon. C'est ça.
Le flow j'adore. Alors en parlant de prophétie puisque c'est le titre aussi de ton nouveau roman, quelle serait la vertu d'une prophétie mais aussi son vice ? Tu dis que les gens aiment être surpris et que ce qui nous fait avancer finalement c'est aussi le mystère, tu fais dire, tes personnages. C'est vrai que ça m'a beaucoup interrogé, je ne m'étais jamais vraiment interrogé sur ce que c'est vraiment en profondeur une prophétie et toi tu nous interroges là-dessus. Alors question, quelle est la vertu ou quel est le défaut d'une prophétie ? Alors j'ai commencé par le défaut, le défaut d'une prophétie c'est si les gens sont avertis de ce qui va se passer, ils peuvent changer leur comportement et la prophétie ne se produit plus. Ça c'est le petit défaut. La vertu c'est qu'elle nous donne un scénario de futur possible qui peut peut-être nous ouvrir des voies de compréhension ou nous prévenir d'un danger. Comment elle tervient du coup le libre arbitre dans tout ça ?
Est-ce qu'à la fois il y a quelque chose selon toi qui est déjà prévu et en même temps il y a quelque chose qui s'écrit ? C'est à dire que les deux cohabitent ? Alors c'est le thème du roman, c'est est-ce que tout est écrit ou est-ce que nous avons un libre arbitre ? À cette question je crois qu'il y a beaucoup de réponses. Je vais vous dire que c'est un peu comme le chat de Schrodinger, c'est les deux en même temps. C'est à dire que tout est probablement écrit et en même temps nous avons notre libre arbitre. Ce qui a l'air complètement contradictoire mais dans le premier livre à la boîte de Pandore, j'expliquais ça par rapport à le tour de magie où avec son libre arbitre on choisit les cartes rouges et cartes noires dans les malenvers sur deux colonnes et au final c'est ce qui a été prévu qu'il se produit, quel que soit les choix qu'on fait.
Donc je crois que c'est un peu ce qui nous arrive, c'est à dire on fait des choix mais ce qui doit se passer va se passer. Et c'est ce dilemme qui est troublant et qui est un thème romanesque fabuleux. Et tiens puisque tu parles de Schrodinger, est-ce que tu peux nous expliquer comme ça l'expérience que je te fais ? C'est la grande expérience de physique antique. C'est mon ami Schrodinger qui ne devait pas être un petit très sympa, si finalement il était pas sympa avec les chats en tout cas. Il mettait un chat dans une boîte avec une ampoule de cyanure et il mettait un rayon qui arrivait dans un trou et il y avait une chance sur deux pour que le rayon déclenche la capsule de cyanure et tue le chat et il disait que tant qu'on n'a pas ouvert la boîte, le chat est, on peut pas savoir si le chat est vivant ou si il est mort, donc on peut considérer que le chat est vivant et mort. C'est-à-dire que les deux scénarios coexistent et c'est en ouvrant la boîte, donc c'est le fait d'observer ce qu'il y a à l'intérieur de la boîte qui va déclencher ou pas la mort du chat. Oui donc ça nous dit que tout est une question du point de vue de l'observateur.
L'observateur modifie ce qu'il observe et tant qu'on n'a pas observé, les choses ne sont pas figées. Alors tu revisites complètement ce que serait une prophétie, un entourement Bernard par moment et je ne veux pas, on ne va pas le dévoiler, mais quand même tu dis que si finalement les gens qui viennent nous visiter pour nous délivrer ces prophéties sont des gens du futur. C'est une thèse plausie pour toi où c'est complètement farcelu ? Ah mais c'est un avantage du roman, j'ai pas obligé de le prouver, mais je trouve par exemple l'idée que Jeanne d'Arc, elle entend des voix qui lui disent va libérer la France et que ce soit quelqu'un du futur, enfin son elle du futur, qui lui donne ce conseil et puis elle prend ça pour la Vierge Marie, je ne sais quelle entité invisible, ça sera quand même quelqu'un du futur qui revient dans le passé, qui utilise ma technique d'hypnose régressive pour faire entendre des voix à un de ces personnages du passé. D'ailleurs un peu le même principe que mon héros René Tolédano va venir dans le passé pour pouvoir à travers les rêves influencer son ancien lui-même.
Et du coup on peut imaginer que ça fasse des sorts de boucles rétroactives sans fin. C'est le grand avantage de la prophétie des abeilles sur les sciences fiction classiques, c'est que je n'utilise pas une machine comme par exemple la machine armante en temps-là, d'Agea Wells, je pense c'est plutôt la machine armante en autant. Ah oui je pense que ça c'est le dernier type, pardon. Mais j'utilise pas de machine donc il n'y a pas de côté technologique, c'est juste on ferme les yeux et on guide sa pensée donc quelque part pour chacun, ça peut raisonner en tant que chose possible ou chose impossible mais je n'ai pas le prouver. Moi même quand je fais des régressions les biens antérieurs je ne suis pas sûr que ça fonctionne réellement mais ce que je vois c'est que j'ai énormément de détails, c'est le seul élément troublant c'est la masse des détails. Et puis des détails que je vérifie souvent avec l'histoire où je regardais est-ce que c'est possible ?
Oui c'est ça et puis finalement c'est assez fabuleux et reconfortant de se dire qu'au-delà de la technologie en qui parfois on a une confiance, en laquelle on a une confiance aveugle, on aurait cette technologie entregumée à l'intérieur de nous. Exactement et ça coûte rien, c'est accessible à n'importe quel moment, si tu fermes les yeux de se concentrer. Je crois que c'est la grande aventure qu'on va avoir bientôt, c'est celle de la pensée.
Là on est en train d'être fasciné par tous les mentes virtuelles mais les mentes spirituelles sont pas mal aussi si il y a ces qui ont longtemps été accaparées par les religions ou des groupes spécifiques qui demandaient de répéter des mantras ou d'adorer telle ou telle personne alors qu'il suffit de fermer les yeux et de visualiser quelque chose pour que cette chose commence à exister qu'on puisse interagir avec elle. C'est ça, ça c'est aussi une bonne nouvelle moi je trouve. Alors un autre sens qui m'a intéressé dans ton roman c'est cette question que tu poses de quelle récit quelle récit fait-on de l'histoire en fait ?
Quel prisme ont choisi pour raconter l'histoire et c'est vrai que ça globalement c'est très interrogant même par rapport à ce qu'on enseigne évidemment dans l'éducation, aux enfants etc. Alors c'est une prise de conscience, je crois qu'il y a des marais à les écoverte, qu'en 115 mariniens c'était une victoire nulle pour la France. J'ai appris à l'école, c'est à la soldat qu'on retient, c'est qu'en 115 mariniens. Je suis allé voir ce qui s'est passé à mariniens parce que je savais pas où était mariniens. Donc c'est en Italie je donne la réponse et je savais pas contre qui on a eu cette grande victoire mais c'est contre des soldats mercenaires suisses et la bataille c'est très mal passé en fait les françois ont été nuls sur toute la bataille, c'est les véniciens qui sont arrivés à vaincre les suisses.
Donc tout m'a semblé extrêmement minable et le tout est glorifié comme notre plus grande gloire nationale, comme superbe victoire et là j'ai compris bon il y a des choses qui nous sont présentées d'une certaine manière mais c'est pas réellement ce qui s'est passé de même que je pense qu'en 14-18 la France a très mal géré la bataille et eu beaucoup trop de morts et c'est parce qu'on avait des mauvais stratégies et après que ces mauvais stratégies étaient annoncées que c'était eux les victorieux et qu'en plus on leur confie la guerre en 1940, ça me semble une erreur. Mais c'est vrai que là c'était intéressant parce que tes personnages se posent cette question Mathias comment est-ce qu'on va raconter finalement histoire du monde, prisme économique, prisme, le prisme des femmes, quel participe spirituel etc. Moi ce que j'ai découvert c'est qu'il y a plusieurs histoires et d'ailleurs en discutant avec des historiens ils ne sont pas d'accord donc on a une version qui est la version officielle qu'on apprend à l'école et après au fur et à mesure qu'on va raffiner on découvre que ces histoires officielles sont liées à des sources et ces sources c'est souvent soit décuré puisque à l'époque c'était eux qui rédigeaient les livres d'histoire, le Moyen Âge, soit des gens qui avaient intérêt à faire des propagandes pour avantageer tel ou tel prince afin qu'ils deviennent rois donc c'était pas des récits objectifs. Dès le moment où j'ai pris conscience que chaque historien étant payé par un roi devait dire certaines choses pour faire plaisir à ce roi j'ai compris que c'est une histoire partiale et qu'il faut avoir plusieurs sources qu'on part pour pouvoir comprendre ce qui fait réellement passer. Alors quand on parle en histoire tu dis que tu aurais eu 111 vies et tu pratiques, tu disais tout à l'heure l'hypnose régressive tu donnes aussi des soirées, des conférences autour de l'hypnose régressive pour ouvrir les portes du passé mais aussi du futur est-ce que c'est devenu de présenter une passion dans le temps ?
On a déjà parlé de ce sujet dans deux podcasts alors je vous invite si vous l'avez pas fait on a fait une méditation régressive accompagnée dans le podcast 10 et aussi le vin sur la boîte de Pandor mais voilà tu creuses encore plus le sujet dans ce nouveau roman. Et la question est ? La question c'est pourquoi est-ce que tu t'intéresses de plus en plus au sujet ? Est-ce que toi même tu aimes de plus en plus voyager ?
Est-ce que tu dis que tu as eu 111 vies donc tu les explore en fait comment tu vis ça ? Déjà parce que je trouve que la première fois où j'ai vécu une de mes vies antérieures j'ai trouvé ça génial c'est comme si je suis en train d'un film, si c'est que je suis l'acteur et en plus je me dis ça s'est peut-être réellement passé je n'aurais jamais la preuve mais je n'aurais jamais la preuve que ça existait tel que il me semble l'avoir vécu mais rien que l'idée de d'être de vie, cette expérience je trouve ça très sympa donc du coup je me suis dit vu que c'est le truc le plus dingue que j'ai fait dans ma vie j'ai envie de l'offrir aux gens après chacun selon ses convictions selon son envie va réussir ou pas ou va découvrir une de ses vies antérieures moi je trouve qu'il faut relativiser ça souvent on a utilisé le principe de l'hypnose régressive pour aller chercher des traumatismes du passé ça me semble complètement inintéressant on a déjà des traumatismes d'enfance de cette vie on va pas en plus rajouter des traumatismes des vies précédentes sinon on ne s'en sort plus à parfois c'est une personne quand même en en besoin pour guérir c'est à dire qu'ils ont une vie qui pourrait être un qui est bloqué à cause de ça j'ai discuté ça avec une thérapeute récemment dans un podcast voilà il dit que parfois il y a des personnes n'arrivent pas à régler et c'est en tombant sur une vie qu'ils arrivent peut-être à le faire je veux bien le croire mais en tout cas je pourrais vraiment le faire avec des gens qui ont sent bienveillant la première chose qu'on doit se poser comme question quand on compte un thérapeute quelque soit la technique c'est ce que cette personne est heureuse et deux est-ce qu'elle nous veut du bien au-delà du on va pas on va payer la séance et elle va nous amener dans un état autre mais ça va de la cuponctur à l'homéopathie à l'énergie à l'hypnose et bien très agressive en tout cas moi ce que je pratique j'appelle ça de l'hypnose régressive touristique c'est à dire on y va pas pour aller voir des traumatismes ni pour les choses on y va juste pour découvrir une de ses vieux antérieurs mais au meilleur moment d'avoir une séviens-térieure sympathique et au moment le plus agréable et ça m'importe énormément de me cantonner à cette zone là parce que je pense qu'il peut y avoir des abus c'est à dire des gens qui proposent des régressions dans les vies à des moments pénibles qui leur disent vous devez réparer vous devez arranger et les gens n'y arrivent pas et donc déjà ils arrivent pas à arranger leur propre vie il doit arranger une des vie antérieures donc ça il peut y avoir en mon avis des des mauvais hypnothérapeutes régressifs quand il peut y avoir des mauvais médecins quand il peut y avoir des mauvais psychanalyse et il faut faut faut pas croire que du moment qu'on fait des hypnose régressive c'est forcément toujours formidable et tout va bien se passer donc j'ai exactement la fongée sous-marine il vous faut quand même un moniteur expérimenté et qui a envie que vous viviez un moment agréable que au moins de remonter vous avez un grand sourire vous avez la banane et vous avez chouette j'ai vécu un truc rigolo pas zut j'ai un décorir que j'étais une sorcière et j'ai volé sur un bûcher c'est des choses pas marrantes il arrive que d'associatif oui puis un traumatisme donc moi ce que je propose dans mon spectacle que je fais au 3vd d'abord c'est des petits plongés de 10 minutes et je leur dis vous vous sélectionnez bien une vie sympathique et un moment sympathique ça dit sympathique et dès qu'il y a le moindre la moindre inquiétude ou la moindre chose qui ne va pas vous remonter tout de suite exactement comme si j'amener des gens en plongée sous-marine et je leur dis dès que vous voyez un requin vous remontez vous commencez pas à essayer d'apprivoiser le requin pour essayer de lui expliquer votre point de vue donc c'est pas anodin comme expérience et j'essaye toujours de dire déjà ne faites pas cet expérience si vous êtes en colère ne faites pas expérience si vous êtes émotionnellement bouleversé si vous avez pris l'alcool ou si vous avez pris des médicaments il faut être propre dans sa tête faut être clair faut être détendu et il faut se dire ça va être quelque chose agréable que je vais commander comme si l'explorer un nouveau pays et je jete un petit coup d'oeil et puis je reviens pas pas plus pas plus donc c'est bien tu prends aussi des précautions etc est ce que toi il le faut non mais c'est important de le redire aussi toi est ce que tu arrives maintenant à dire quand tu fais des régressions pour toi même tiens quand tu n'animes pas une conférence j'aimerais aller plutôt dans telle vie revivre tel seigne qui se passe là pour tes personnages dans le livre c'est à dire précisément ils vont envie d'arriver à plus ou moins à tel moment pour voir ce qui se passe alors dans mes vies moi quand je reviens toujours à la même c'est cette première vie de 12 mn en atlantines parce que c'est la c'est la plus spirituelle volontairement tu retournes dans cette vie oui je retourne volontairement pour les autres vies en fait c'est pas terrible la merde enfin de ce que j'ai vécu la manière mobilée nos ancêtres c'est quand même extrêmement confortable déjà le statut des femmes est abominable et même dans plusieurs pays dans plusieurs continents je vous rappelle quand j'étais en égypte j'étais vendu par mes parents je devais avoir 13 ans on connait même pas son âge parce que je sais pas d'état civil mais enfin j'étais gamine donc vos propres parents qui vous vendent un bonhomme pour son arrême ça part mal déjà j'allais pas pouvoir une carrière professionnelle personnelle et pas nuissante et dans beaucoup de vie une chose qui m'a frappé c'est qu'on se rend nuits mais peut-être parce que je me suis habitué dans cette vie à voir tous les soirs un film ou une série ou à lire un livre ou écouter de la musique dans les vies précédentes bon on regarde un coucher de soleil et c'est ça le spectacle et on observe la nature mais ça se ressemble et maintenant par exemple dans ma vie de harem on était enfermé dans une sorte de bâtiment carré et il y avait tous les jours les mêmes filles qui ont eu une quarantaine bon on se connaissait toutes c'est fini et puis là on va attendre quoi on va attendre de vieillir dans cette sorte de prison dorée il y a eu d'autres vies où j'étais soldat on m'en joue pas bien on... c'est dangereux et quand vous êtes blessés la technique de pour ce fin de soin c'est essentiellement l'amputation donc vous retrouvez rapidement kujat son bras ou son jambes mais paysans c'était épuisant de quelques vies que j'ai la plupart des vies vu que j'avais visité avec mon point de vue moderne sont extrêmement limités par exemple on voyage très peu dans le passé quel que soit le continent les voyages c'est très dangereux même par exemple au Moyen-Âge en France allé de paris à marseille vous aviez une chance sur cinq de survivre parce que sur tout le chemin il y a des forêts et dans ces forêts il y a des brigands donc ça veut dire que vous devez faire un voyage qui va durer plusieurs jours dans lequel il faudrait vraiment avoir de la chance pour que sur la route vous ne t'oubliez pas sur des brigands ou alors que vous ayez... vous soyez capables avec votre arme de vous défendre c'est ça donc les gens sachant le poulet danger du voyage le plus part voyagez pas ton voyage en part en plus les couples se faisaient souvent avec des gens qui étaient nos voisins ou des cousins parce qu'il y a le périmètre est restreint oui le périmètre est restreint et puis en plus c'était des arrangements de famille pour des histoires de terre et je vous dis pas seulement en France ça mais c'est à dire le mariage c'est pas l'amour c'est pas un homme qui trouve une femme bien une femme qui trouve un mec bien et puis ils se mettent ensemble pour faire des enfants c'était deux familles qui s'aperçoivent qui ont des enfants de même âge et qui trouvent que leur terre serait plus large enfin la récolte serait plus rentable si ils unissaient leurs patrimoines et il n'y a que dans les textes ou dans les poésies encore ça concerne vraiment les personnes les plus riches qu'on évoque le sentiment amoureux ou on peut l'utiliser mais même les connaissances sexuelles de nos ancêtres étaient extrêmement limitées il n'y a pas si longtemps finalement chez nous quand on voit tous les tabous d'ailleurs qu'on a encore parfois sur certains sujets vous vous dites qu'on aura encore du chemin à faire presque j'imagine à l'époque et à dos douce le chauffage dans les maisons c'était au tour de la cheminée essentiellement donc c'est à dire que plus vous éloignez de la cheminée plus vous avez froid et puis la difficulté de enfin je vous rappelle dans plusieurs vies la sensation que tout gratte parce qu'on n'est pas propre parce qu'on ne peut pas prendre douche le matin et douche le soir parce qu'on ne savent pas les dents et au final on devient comme des animaux avec des tas de petits parasites et ça c'est des choses que heureusement on n'a plus et puis on n'est pas du tout habitué effectivement un autre détail aussi il y a deux éléments que j'ai découvert en le vivant le premier c'est quand vous entendez une musique vous ne pouvez pas la réécouter parce qu'il n'y a pas de système de fixation de la musique donc vous avez l'intérêt de chanter soit vous connaitre le sol sége pour la noter sur du papier ce qui est rarement le cas puis aussi beaucoup de vies où je ne savais ni lire ni écrire il y a un nombre de mots limités tu dis aussi dans ton roman un vocabulaire finalement restreint c'est un peu un pays pauvre vu qu'ils ne sont pas allés à l'école donc ils se contentent de bien, suivre moi, à l'envie non ils sont dans en fait ils n'ont pas les mots pour exprimer des sentiments complexes ils n'ont pas de livres les livres c'était vraiment l'objet précieux et rare et très cher et puis peu de connaissances aussi sur son propre corps nous savons exactement ce qu'il y a à l'intérieur de notre peau mais par exemple en France on pensait que l'intelligence était au niveau du coeur donc toutes ces expressions, le courage le courage est lié au coeur ça voulait dire la capacité de combattre il ne le voyait pas dans le cerveau et puis l'espérance de vie très réduite plusieurs vies je ne sais pas si rarement 25 ans alors que dans notre génération à la possibilité d'avoir beaucoup plus de recul et de comprendre plus de choses simplement parce qu'on vit plus longtemps d'ailleurs un des enjeux dans le livre c'est de pouvoir garder cette prophétie quelque part et on voit bien que pour l'instant au départ elle n'est pas tellement reproductible non vous voulez dire le livre lui-même ? l'objet se cache, se passe de main en main etc mais au départ il n'est pas reproductible il y a plusieurs enjeux sur une prophétie mais comme il y en a eu sur celle de Nostra Damus comme il y en a eu sur les prophéties de la Bible à savoir que si elles deviennent trop lues elles peuvent influencer l'histoire et puis il y a eu aussi des faux prophètes des gens qui ont prétendu savoir, qui ne savaient rien donc il y a un faux artistique qui fait qu'on ne peut pas savoir exactement qui détient l'information sur le futur puis il y a cette question, comment ils détiennent les infos qui dans le monde invisible peut leur dire attendez nous on sait dans le futur il va se passer ça il y a cette théorie qu'on appelle bibliothèque, akashi qui sont inscrits toutes les informations auxquelles on aurait envie d'avoir accès à un égrégor de toute la matière de connaissance, expérienciel, humaine etc une bibliothèque vous voulez savoir vous avez là-bas mais c'est une hypothèse c'est une hypothèse poétique avec un joli mot, akashi je trouve ça fait rêver mais toutes ces choses là c'est juste des choses qui nous conviennent intuitivement pour certains l'idée que le monde puis tout le scénario du futur sont inscrits dans un endroit où on peut le consulter par notre esprit qui sort de notre corps et une réponse satisfaisante à toutes les peurs du futur et pour d'autres on peut vivre avec l'effet de surprise en se disant ok je ne sais pas ce qui va se passer demain Bernard, d'ailleurs je fais une petite parenthèse au passage ceux qui nous écoutent remarquer que je te tutoie tu me vouvois en retour oui, c'est l'habitude des médias c'est tellement la programmation quand je suis un journaliste dans l'interview, il faut que je vous vois que là on est fait en ce tutoie alors je propose une chose à partir d'une minute peu en temps je tutoie, peu en temps je vous vois et ça n'a plus aucune importance et moi je fais faire pareil c'est juste deux esprits qui sont connectés alors Bernard dans votre encyclopédie du savoir relatif absolu qui se glisse comme à la coutumée entre les pages et qui nous accompagne cette fois-ci depuis l'Egypte antique jusqu'à la disparition des Templiers en passant par l'invention du christianisme romain elle est très riche, une nouvelle fois cette encyclopédie, elle accompagne évidemment comme d'habitude très bien les thématiques qu'est-ce qui t'a vraiment nourri cette fois-ci pour cette encyclopédie ?
alors là c'est vraiment l'histoire c'est-à-dire que je suis un passionné des grands textes historiques et j'ai beaucoup d'amis historiens donc je discute avec eux notamment ce qui m'intéresse c'est une autre version que la version officielle qui pourrait expliquer certaines choses parce qu'il y a un problème avec les versions officielles c'est que par moments du coup on tombe devant des enimes pourquoi alors qu'on nous a présenté comme ça on aboutit un résultat vraiment bizarre et pour moi l'histoire est une source de curiosité permanente alors il y a des sources que j'avais envie de développer comme par exemple le temple de Salomon puis des réflexions sur la Bible puis des réflexions sur Jérusalem et sur les croisades et sur les templiers et ces choses-là n'intéressant pas forcément tout le monde j'ai isolé pour mettre vraiment les indications qui sont les plus probables par exemple sur les templiers on sait quand même qu'elles sont nées on sait qu'elles sont les fondateurs on sait quand ils sont morts on sait comment ils mordent le dernier des templiers il y a différentes interprétations évidemment de tout ce qui s'est passé mais pour décrire le phénomène des templiers du temple de Salomon et même d'Akinaton je me suis dit je vais le faire dans un espace précis où les gens pourront avoir accès à une information très probable Akinaton est un pharaon qui a été renier par les autres pharaons donc on a effacé beaucoup de traces de son existence mais de manière étonnante c'est pourtant le pharaon on a le plus de textes parce qu'ils n'ont pas pu effacer tout ce qu'il y avait sur lui c'est paradoxal mais c'est ce qui est compliqué en histoire c'est que les choses ont l'air d'une certaine manière et en fait elles sont différentes il semble que c'est les... ils avaient effacé tout dans les grandes villes mais dans les campagnes l'arrivée d'Akinaton était une telle révolution que certains textes ont continué à perdurer et voilà ça m'amuse de ramener ça en disant c'est pas blanc ou noir c'est pas... même Akinaton on peut pas dire qu'il est gentil ou méchant il est considéré comme gentil par certains et échant par d'autres après, ce que j'aime bien dans son projet c'est déjà un pharaon qui était proche du peuple c'est un pharaon aussi qui a essayé de démenteler le pouvoir des prêtres qui étaient probablement accessifs à l'époque et c'est un pharaon qui a probablement été empoisonné par ces mêmes prêtres qui trouvaient que c'était... qu'ils giraient mal le pays et qu'ils ont forcé sa femme et son fils à se soumettre donc ça, il y a plusieurs textes qui prompent ça et qui se recouvrent donc on peut imaginer qu'il y ait quelqu'un mieux en complot qu'entre un pharaon qui a essayé de moderniser son pays et son fils est mort aussi très jeune oui c'est vrai que ton roman est aussi une formidable saga sur les Templiers depuis leur fondation, il est très très documenté au point historique, ce roman se réside en forme ensemble notamment la restitution de la prise de Jérizalem qui est historique là dans ton reconstitution alors de manière étonnante, j'ai été surpris de voir la masse de détails qu'on a sur cette journée où les croisés sont arrivés enfin à prendre la citadelle la cité de Jérizalem on connaît le nom de tous les chevaliers qui se sont battus on sait à quel moment de la journée ça s'est passé on sait comment les tours par exemple de Raymond VI qui était le comte de Toulouse, sont tombés dans un fossé et c'est ceux de Godfraud Bouillon qui a pu accoler sa tour contre un flanc de la ville on sait comment les Sarazans à l'époque ils s'appelait tous de manière générique des Turcs mais en fait les défenseurs étaient d'origine égyptienne donc pour tous les Occidentaux un pays à l'Egypte en gros c'est les troupes qui occupaient Jérizalem et comment ils ont été vaincus et comment la bataille a duré et qu'on y a eu de mort alors sur les morts et sur le nombre de combattants par contre il faut relativiser parce que la plupart des historiens sont des Moines et les Moines veulent tout le temps donner l'impression qu'il y avait moins de croisés que de Sarazans et que donc leur victoire est d'autant plus spectaculaire qu'ils étaient en inféro-été numérique mais ça on retrouve sur pratiquement tous les historiens c'est tout le temps les gentils sont moins nombreux que les méchants et puis les gentils gagnent grâce à leur intelligence c'est grave bravo ça a ta X selon la police et sur les manifestants c'est pas changé qu'est ce qui t'a fasciné toi chez les Templiers justement ? déjà c'est des gens qui avaient une connaissance au delà de la référence au temple de Salomon en architecture, en chimie, en gestion agraire en gestion financière en capacité de combat c'est à dire c'était des sortes de surhumains d'ailleurs c'était les héros de l'époque c'est à dire ils avaient rêvé comme de nos jours les super héros des séries américaines il y avait plein de récits en France sur les Templiers qui arrivaient à vaincre les Sarazans qui débloquaient les batailles et les Arabes avaient beaucoup de respect aussi pour les Templiers parce qu'ils savaient que c'était des combattants hors-père qui avaient en plus une connaissance dans les technologies qui étaient supérieures à celle des autres croisés et souvent les Templiers par les plusieurs langues c'était des laitrés c'était des gens qui avaient dédié toutes leurs vies en même temps leur foi et le combat et il a fallu beaucoup de travail de sapre de la part de Philippe Lebel pour les discréditer c'est à dire qu'ils étaient de liens qui crachaient sur la croix qu'ils étaient sodomites Guillaume de Nogaré accumulait les inventions pour arriver à les faire passer pour ce qui n'était pas c'est dur d'ailleurs quand on lit dans ton roman cette fin, cette disparition des Templiers et tu fais de liens d'ailleurs avec la disparition des Abeilles de Nogaré Ce qui s'est passé, c'est que les Templiers étaient plus forts, enfin ils avaient une armée plus puissante que celle du roi Philippe Lebel, et ils se sont laissés arrêter parce qu'ils pensaient qu'il y avait une justice, ils pensaient que le pape allait les soutenir et ils pensaient qu'on verrait bien que tout ça a été inventé. Et donc c'est leur confiance en la justice, en la vérité, qui les a perdu. Il y a un moment, c'est juste qu'ils avaient prêté de l'argent au roi, que le roi ne voulait pas les rembourser, donc il a monté un complot pour tous les arrêter, les torturer, leur faire avouer des choses qu'ils n'ont pas faites, et puis après les brûler pour pas qu'ils puissent donner d'autres versions.
Donc l'ensemble était assez ignoble et leur fin participe à leur légende, les Transfers dans Héro. Quelque part, les Templiers sont un groupe qui a connu un destin christique, c'est-à-dire qu'à un côté ils fusaient de la sagesse, ils voulaient faire avancer leur monde, ils étaient un peu en avant sur leur temps, et d'autre côté, ils meurent en martyr et en essayant de tout faire pour que le monde évolue. Et c'est pour ça aussi qu'ils ont fasciné, qu'on dit tout le temps le secret des Templiers, le trésor des Templiers, parce qu'on a perçu qu'il s'est passé quelque chose de pas bien et qu'ils ne méritaient pas ça.
C'est ça. Alors tu parlais de la mort des Templiers, mais dans ton roman, on parle aussi beaucoup, on s'interroge sur la mort, moi je trouve, ce passage de la mort qui est vécu parfois comme sublime, parfois comme intense, parfois comme abominable, et que en tout cas, à chaque fois comme un passage vraiment initiatique d'un monde à l'autre, c'est important pour toi cet apprentissage de la mort dans la vie. Déjà, si on ne se pose pas de questions sur la mort, ça veut dire qu'on va arriver dans nos derniers jours effrayés. Ensuite, je trouve que quand je lis un roman, j'ai envie de savoir comment le roman va finir. Donc la fin est importante.
S'il n'y a pas de fin, ça veut dire qu'on tourne les pages du roman, ça ne s'arrête jamais. Donc du coup, ce n'est pas vraiment l'objectif à atteindre. Et la mort d'un côté, je crois qu'il faut lui enlever tout l'aspect effrayant.
Si les gens vont voir des films dépouvantes et d'horreurs, c'est pour essayer d'exorciser quelque chose qu'ils veulent repousser. Pourquoi ne pas se dire, bon c'est le moment où tout s'arrête. Ça fait partie d'une évolution un peu comme une chrysalide, va se métamorphoser en papillon. Et la métamorphose est nécessaire pour passer à autre chose.
Donc moi j'imagine volontiers que notre corps, quand il abandonne ses fonctions organiques, libère l'esprit et à ce moment-là, l'esprit, lui, choisit soit de revenir dans le corps, soit de rester à l'état invisible. Et je trouve cette idée sympathique. Maintenant, la seule manière de savoir ce qui va nous arriver après la mort, c'est de mourir.
Et à ce moment-là, on ne peut plus témoigner ce qui participe au mystère et d'où l'intérêt de la mort. Mais en tout cas, déjà dans le tarot, par exemple la carte son nom est une carte qui n'est pas à la fin. C'est pas la dernière carte du jeu, c'est la 13ème. Donc ça veut dire que ça arrive à un moment où quelque chose s'arrête et autre chose va démarrer un peu comme l'hiver.
J'aime bien cette idée que les saisons nous préparent à comprendre le principe de réincarnation. Les choses grandissent, mûrissent, vieillissent, meurent et puis renaissent. Renaisent. Oui, renaissent. On est dans un cycle. Oui, je l'avais vu.
Une forme de yoga qui nous apprenait un champ qui s'appelait Satanama. Est-ce que tu connais ça ? Je te tutoie sur le cou. Ah tiens, ça va venir. Je vais remarquer. Alors ça veut dire je n'ai, enfin naissance, Satanama, on grandit, ma, on meurt. Bon, je n'en ai oublié. Donc Satanama, ça signifie on est, on grandit, on meurt, on renait. Et je trouve que intégrer ces quatre informations, c'est pas si facile que ça.
Parce que soit on ne veut pas la mort, soit on ne veut pas grandir, soit on ne veut pas vieillir, soit on ne veut pas la naissance. Et il y a l'acceptation de ces quatre métamorphoses comme étant juste l'idée que nous sommes là pour transmettre une énergie de vie, une pulsion de vie, mais que cette pulsion de vie n'arrête pas d'évoluer et que nous sommes juste des canaux de transmission de cette énergie qui devra devenir de plus en plus complexe. Et peut-être que l'une des voies d'évolution de la vie est la complexité. Regarde, déjà on parle devant des micros, on peut nous écouter avec des appareils extrêmement complexes.
L'homme préhistorique ne pouvait pas faire ça. Donc on a vraiment trouvé des moyens de diffuser la pensée, d'augmenter notre vocabulaire, d'augmenter notre subtilité, d'augmenter notre sensibilité. Vous avez repris ça pour de la magie effectivement. Mais même je vais raconter une chose, je m'en rappelle la première fois où j'ai découvert la musique stéréo. Vous dire si c'était une excellente fanciète. Je me rappelle c'est Philippe, parce qu'il faisait une démonstration de ce que vous êtes la musique stéréo. Parce que jusque-là avec la musique mono, on avait des tourne-disques avec un seul haut-parleur. Et tout d'un coup il y avait une démonstration à la Sonde Culturelle de musique stéréo. Et je m'en rappelle le moment où j'entendais que les sons étaient différents, l'oreille gauche et l'oreille droite. Et du coup maintenant quand les gens ne entendent pas la musique stéréo, ils trouvent ça plat. Et c'est juste qu'on a augmenté de sensibilité, de subtilité. De même si on regarde les vidéos anciennes à la bande, on trouve que l'image était moche parce qu'on s'est habitué à une image belle avec l'ultra haute définition. Mais en fait on est un monde de plus en plus complexe qui nous offre de plus en plus de possibilités et d'actions et des possibilités de voir de la beauté.
Même les nouveaux casques Oculus nous permettent des immersions totales dans des mondes imaginaires. Après on n'est plus obligé d'y aller. Mais la première fois où j'ai expérimenté ça, je me suis dit voilà une manière de rentrer dans les rêves et de plus avoir aucune limite. Et c'est extraordinaire.
Et moi je ne suis pas du tout blasé de tout ça. Je pense que ce n'est pas normal, c'est miraculeux qu'on puisse bénéficier de temps de technologie et de temps de complexité et que ça oblige notre cerveau à s'adapter et devenir encore plus intelligent, ou en tout cas encore plus capable de gérer des subtilités. Encore plus subtiles, plus sensibles. Plus sensibles, c'est ça. Alors tes personnages, quand ils voyagent là dans le temps, dans ces régressions à travers les différentes époques, c'est vrai qu'on voit qu'il y a des sortes de familles dames, on pourra appeler ça comme ça, qui se retrouvent, sans cesse. Ils rejouent des choses dans la poue d'un père, d'une sœur, d'un amant, d'une femme. Tu crois ça dans la vie, à ces histoires de familles dames ?
Je pense aussi que tu remercies à la fin de ton ouvrage Patrick Burren-Taynas, qui s'attache beaucoup aussi à tout ce qui est symbolique, etc. Comment tu vois les choses par rapport à ces familles dames ? Je trouve les vêtres sympathiques et surtout, j'aime bien le concept de une reconnaissance qu'on fait partie de la même famille. D'ailleurs, c'est une des raisons qui me motive aussi pour faire le spectacle. Je me dis simplement la possibilité que j'ai de rencontrer des gens de la famille dames. Mais je suis tout le temps à la recherche de gens que j'ai déjà connus et avec lequel ça s'est bien passé et avec lequel on peut être vu qu'on a commencé des choses dans d'autres vies, on peut les continuer dans celle-ci.
Mais oui, j'ai eu quelques reconnaissances karmiques, on pourrait dire, ou l'impression ou l'illusion d'avoir un esprit, ce que la fois, je crois que je t'avais raconté ça dans un podcast précédent, où j'ai eu à 13 ans la rencontre d'un autre enfant de 13 ans qui m'a enseigné d'un coup le yoga, la concentration, le voyage astral, la méditation, l'action en prise de conscience, c'est à dire qu'à l'âge de 13 ans, un type, un jeune garçon comme moi, un adolescent comme moi, m'a donné la réponse à toutes les questions que je me posais toute ma vie et avec une seule chose, je me rappelle, je me disais, ça je ne peux pas l'intégrer, c'est qu'il me répétait la clé du bonheur, c'est pas de désir, pas de souffrance. Et je lui ai dit, j'ai quand même envie d'avoir des désirs, il m'a dit, bon, mettre au ral souffrance associé à ces désirs. Voilà, j'ai encore des désirs et j'ai encore des souffrances, mais ça fait partie aussi d'une matière où j'ai besoin pour écrire les romans. Si j'étais insensible, j'ai peur d'être insensible à tout. Donc je cultive ma sensibilité pour pouvoir la retransmer dans les romans. Insensible à tout dans une forme d'hyper sensibilité qui pourrait s'anesthésier émotionnellement du coup à l'inverse, quand tu dis ça ?
Répète. En fait, quand tu dis j'ai peur parfois de me couper en fait, c'est parce que justement, tu serais tellement hyper sensible que parfois tu te coupes de tes émotions. Alors moi-même, je n'arrête pas de régler la machine à émotion dans mon esprit.
Je ne veux pas être ni trop sensible, ni insensible. Donc tous les matins, il y a un petit réglage, je fais une petite méditation pour voir où j'en suis et pour voir comment améliorer ça. Mais je sais que je me messie de tout ce qui ressemble de près ou de loin à la vague d'émotion. C'est-à-dire que ce soit la colère, que ce soit l'envie, la jalousie. C'est des choses qui n'existent pas chez moi. Quand quelque chose ne va pas, j'ai juste envie d'm'isoler ou de partir.
Je suis dans la fuite permanente et l'écriture est une forme de fuite. Mais ce n'est pas une vie de guerrier. C'est une vie pour moi de diffuseur de connaissance. C'est pour ça que j'ai choisi d'être écrivain. C'est pour ça que je suis devenu écrivain, malgré moi, je me fais penser que c'était déjà écrit, que quelque part ma vie était déjà décidée avant que je commence à faire des choix.
Ça me semble même une évidence. Quand je regardais quand j'étais petit, tous les mots où j'écrivais, je n'étais heureux et tous les mots où je n'écrivais pas, je n'étais malheureux. Il y a un moment, c'est comme s'il y avait déjà programmé en moi ça. Mais cette sensibilité, je la régle tellement que je la contrôlais. Ce qui veut dire que je ne me laisse pas non plus emporter par des fous gamoureuses.
Je ne me laisse pas... La notion de tomber amoureux n'est pas pour cette vie. Pour moi, le plus encompliment que je peux faire à une compagne de vie, c'est que je suis bien avec toi. Pour moi, ça veut dire déjà beaucoup.
Mais je ne vais pas dire que je t'aime ma chérie, toi et moi, c'est pour la vie. On donne des emportements. Dans ce cas, ma fille, cette notion n'existe pas. Et je me maissis beaucoup quand je vois des gens qui me disent, j'ai rencontré, ils m'ont dit ou elles m'ont dit que c'était... On était filles pour être ensemble et tout. Je me dis juste, c'est le deux névroses complémentaires. Et il y a un moment, quand ils vont découvrir qu'ils sont vraiment, ils saurissent que de se compliquer.
Et ils vivent chacun dans une illusion, qui ne peut être autre pour qu'il ne met pas. Oui, je me maissis de ces... De ces emportements ? De ces emportements, de ces élains amoureux, de ces enthousiasmes qui montent très vite, très haut. Parce que je me dis, ça monte très vite, trop haut. Ça risque de chuter de la même manière. Et après, j'entends mes amis qui me disent, « Ah, tu veux pas savoir, je suis portable. Ce que je vivais dans le couple était affreux.
» Donc là, je vais dire, c'était trop vite, trop haut, et trop vite, trop bas. Et c'est des gens qui se maîtrisent pareil. Je me maissis beaucoup des gens qui sont emportés comme ça. Et tu les sais vivre à tes personnages, du coup. Oui, à mes personnages, mais je sais bien où c'est.
Mais je viens de cette phrase que je vais découvrir. Les trois raisons de rater sa vie, c'est la colère, la jalousie et l'envie de choses qui ne sont pas pour nous. Et ça aussi, c'est quelque chose qui me semble important, bien comprendre cette idée. La colère, c'est juste que quelqu'un vous a mis dans une situation déjà qui n'est pas agréable. Et en plus, vous allez vous détruire vous-même en vous rongeant de l'intérieur.
Donc c'est double punition. On fait vous recevoir l'agression, et en plus, vous vous détruisez vous-même. Donc ça me semble inintéressant. Je veux dire ça. La jalousie, c'est vous de voir quelque chose qui n'est pas adapté à nous.
Dans cette vie de Bernard Verbert, je n'ai aucune envie de la vie de Brad Pitt ou d'avoir un château ou d'avoir une voiture. C'est ma petite smart électrique qui me convient très bien. J'ai mon petit appart. Et j'ai tout ce dont j'ai besoin. Et je n'ai pas de… J'ai pas envie de manger du caviar, du foin gras tous les jours.
Je mange franchement des fruits et des légumes. Ça me convient très bien. Donc quelque part, j'ai tout ce que je peux souhaiter. Donc je ne suis pas jalous.
Et ça, c'est naturel chez toi ? Je crois que c'était programmé à l'avance. Et puis je ne suis pas en quête de reconnaissance, de gloire, de richesse pour moi, de diffuser mes… Mon plus grand plaisir de diffuser mes idées que d'autres gens, par exemple, partagent. J'ai découvert de leur vie antérieure. Et ils trouvent la même fois que j'ai eu… On en sait, ça coûte rien du tout. C'est juste de fermer les yeux et se concentrer. Et vouloir ce qui n'est pas pour nous, c'est aussi une source de douleur. Il y a ce moment où, par exemple, j'ai renoncé entièrement à ma carrière cinématographique.
J'ai une formation de réalisateur, j'ai une formation de chénariste. Maintenant, j'ai vu le peu de fois où j'ai approché de ce milieu, que ce milieu avait des codes et des règles qui faisaient qu'ils écrasaient ceux qui voulaient vraiment faire leur film. Tout simplement parce que ça demande des sommes tellement importantes qu'il y a des gens qui gèrent ça comme du poker et qu'il faut avoir des nerfs pour pouvoir supporter ça ou séduire ou tirer les pompes de ces gens qui ont les leviers pour déclencher les films. Donc vu que je suis un fainéant et de la séduction et des magouilles et des intrigues et de la diplomatie, je m'en tiens au roman qui ont le privilège de réclamer moins d'investissement au départ. Et du coup, moins de tensions dramatiques. Et puis, je n'ai qu'à interférer avec mon éditeur, donc c'est une personne.
Je n'ai pas un producteur, un distributeur, les acteurs, les cadreurs, les éclairagistes, tous ces gens avec qui il faut négocier parce qu'ils ne sont pas d'accord et qu'on pointe vu. Oui, ça là tu accouches de ta pensée, c'est quand tu es écrit, tu es seul. Après, une fois que j'ai fini le livre, je donne à mon éditerif qui me dit tu vas faire des couples là et là et là, ça fonctionne pas. Mais j'admets cette règle. C'est-à-dire que... C'est le rôle de l'éditeur d'ailleurs.
Voilà, je gère avec elle, mais c'est ce que j'ai besoin en regard extérieur qui me montre là où je me suis peut-être trompé, où il y a des incohérences. Mais il n'y a pas comme ce que j'ai vu dans le film, tout le monde qui donne son avis. Et si je ne suis pas capable d'être et vous imposer par la force et l'autorité votre point de vue, le film parlant de tous les sens et tout le monde veut donner son opinion, et qu'on prie des figurants alors on ne s'en sort plus. Alors tiens, venons-en aux abeilles. D'après Aristote que tu cites, un roi doit s'inspirer de la société La Ruche, qui est un système parfait, tu cites aussi Pitagor, que tu aimes beaucoup, je le sais, qui avait construit son école à Croton en Italie sur le même principe. Les abeilles les fascinait tous les deux. Tu penses ? Je crois que les abeilles ont toujours fasciné l'homme, tous les hommes, que ce soit les grands philosophes comme Aristote et Pitagor, mais imaginez que vous êtes un homme des cavernes, la première fois où vous goûtez du miel, ça doit être une sensation extraordinaire.
Déjà c'est la première sensation de douceur et de sucré, c'est le premier dessert on va dire. Et puis l'idée que pour avoir ce miel, vous devez peut-être vous laisser piquer un petit moment, donc vous payez par votre douleur une récompense, ça donne aux abeilles déjà une importante un avis humaine, une civilisation humaine, et puis il y a dû y avoir quelques humains qui, dès la préhistoire, sont arrêtés pour regarder une Ruche, essayer de voir qu'est-ce qui se passe, comprendre qu'elles vont chercher le pollen des fleurs, et de là commencer à déduire la meilleure manière de se comporter par rapport à la Ruche, pour récupérer ce prix sur aliments. Aristote, au moment où j'ai écrit le roman, je ne savais pas qu'il était fasciné par les abeilles, et je me suis dit, c'est marrant, celui-là je suis passé à côté, c'est-à-dire Platon, Socrates, les grands classiques, Thales, Archimède, Pythagore, je les avais explorés parce qu'il me semblait intéressant.
Mais Aristote, pour moi c'était juste un instructeur d'Alexandre de Grand, c'est une sorte de super professeur, mais j'ai découvert en équivalent le roman, que sa connaissance était liée aux abeilles. D'ailleurs tu dis aussi que toi tu as découvert un peu tardivement les abeilles quelque part, et tu dis, tu sais, c'est curieux, est-ce que je suis passé à côté jusque-là, pourquoi ? Ah mais je sais, pourquoi ? C'est parce que j'étais fasciné par les fourmis, et que je me disais, bon ben... En heure des fourmis pour une salut ! Non mais vu que c'est la même famille, quelque part dans cette catégorie, ça s'appelle les hyménoctères, j'ai choisi mon camps, c'est les fourmis, donc j'ai pas besoin de m'occuper des abeilles. Et puis je sais pas, il y a un moment, c'est la prophétie des templiers, qui m'a amené à aller vers les abeilles. Mais le sujet à la base, c'était quand même les templiers avant d'être les abeilles. Avant d'être les abeilles ?
D'ailleurs c'est un plaid douillé pour les abeilles, tu le dis dans le livre, depuis 2004, le frelons asiatiques détruit les abeilles dans le monde entier, est-ce qu'on s'approche d'une forme de faim, et tu dis 30% des colonies d'abeilles disparaissent chaque année, 80% des espèces végétales se reproduisent grâce aux abeilles, donc on le sait, je dis des choses qu'on entend beaucoup, mais quand même, ça m'a fait du bien de le relire et de le réentendre. Ah c'est une cause qui mérite qu'on s'y attarde, et puis il y a en France ce problème des néonicotinoïdes, qui devrait être interdit, et du fait des bêtraviers qui ont dit, attendez, on ne sait pas comment se débarrasser des pucerons, et du coup on tue tous les insectes, parce que les bêtraviers n'aiment pas les pucerons, il y a un moment, la politique devient débile, il y a un moment, au-delà de la politique, il faut respecter la nature, et ça va bien au-delà de l'écologie, qui est juste un parti, il ne devrait pas y avoir de partis écologiques, tout le monde devrait être écologique, il n'y a pas de partis pour se laver le matin, il n'y a pas un parti pour mettre des vêtements propres, pourquoi il n'y a pas, pourquoi il faut avoir un parti pour avoir une planète respectée, ça me semble déjà une curiosité. Oui, moi je me suis fait cette réflexion en Nouvelle-Zélande il y a 20 ans, où je trouvais que les gens étaient vraiment écologistes par nature, mais pas de manière politique, et ça me semblait être les pas naturels de l'être humain. Pourquoi en Nouvelle-Zélande, c'est mieux ? J'avais trouvé qu'en Nouvelle-Zélande, c'était extrêmement propre, les gens, quand ils parlent dans la forêt, tu vois vraiment que c'est leur forêt, c'est la forêt de tous, donc c'est normal de la respecter.
Il n'y a pas quelque chose qui était politisé en disant, les écolots sont forcément politisés, j'avais l'impression que cette notion de navire collectif était déjà acquis, il y a 20 ans chez eux alors que nous, on n'y était pas. En mieux, il y a des pays nordiques aussi, je crois, la Hollande, la Suède, la Norvège, une pleure de conscience, mais en fait, c'est le mot, c'est mon attention, c'est conscience. Soit on s'en fout, soit on est conscient que les petites choses qu'on fait vont influer sur l'histoire et sur ce qui va se passer dans le monde. Et l'imprise de conscience, on peut la voir en lisant un livre. Moi, il y a de tas de choses que j'ai compris en lisant des livres, dont notamment par exemple, lecture de Dune, c'est comprendre la préciosité de l'eau et la vision de fondation, puisque c'est les deux films qu'on voit actuellement, enfin il y a eu un série de autres films, fondation va se comprendre que le monde avancé par cycles et que ces cycles étaient prévisibles, en tout cas, pouvait être établi en tant que, on dirait courbes mathématiques et avec des probabilités. J'adore cette idée qu'on essaie de regarder un peu plus loin dans le futur pour pouvoir revenir les problèmes. Souvent, les politiciens sont très limités là-dedans, parce qu'ils sont limités à leur quinquennat, et il faudrait leur laisser plus de temps, il faudrait donner la possibilité de dire, écoutez, j'ai une vision, ma vision c'est que dans le futur, si on fait ça, ça, ça, on va aboutir dans dix ans à ça.
Est-ce que vous êtes prêts à ce qu'on fasse ça, sachant que ça sera peut-être inconfortable sur le moment, mais qu'au final ça permettra à nos enfants de vivre mieux, et après, il faut dévoter là-dessus, êtes-vous prêt à renoncer un peu de votre confort dans le présent pour laisser du confort et à nos enfants et à la planète ? Et sinon, on assume, on est des égoïches qui voulons griller des emblages de cartons, de plastique et tout ça pour notre plaisir et qu'on n'a rien à foutre du reste. Mais voter écolo ne protégera rien, d'ailleurs, j'ai pas l'impression que dans les villes où il y a des mers écologistes, les choses changent, c'est surtout une prise de conscience planétaire, donc parler de la Nouvelle-Zélande, c'est un peuple, maintenant il faudrait que tous les peuples prennent conscience de ça.
Je crois qu'il n'y a pas un seul pays qui a une balance carbone négative, c'est le bouton qui produit plus d'air respirable que de pollution, il faudrait qu'on fonctionne tout ce comme ça, mais ça veut dire aussi, peut-être grâce aux technologies, griller moins de pétrole, de charbon et de gaz, c'est chose qui, à mon avis, pollulaire. D'ailleurs, à la fin de ton roman, je ne dirais pas comment, mais tu aboutis à cette belle utopie, qui serait vraiment un système presque idéal, mais dans un monde qui ne l'est pas, qui reste effectivement mouvementé, violent, complexe, et dans lequel effectivement, il y a cette utopie de vie. Je ne crois pas que le monde va devenir gentil, et le fait d'être gentil va aboutir à une forme de société saine. Ce que je dénonce, c'est par exemple le fait que les abeilles ont été sélectionnées pour être précisément gentils, donc le moins agressif possible pour ne pas gêner les apiculteurs, résultat maintenant qu'arrivent les frelons asiatiques et ne savent plus se défendre. Donc si nous venons de bonnes idées, on renonce à notre agressivité, mais on ne sait plus nous défendre, on va se faire défoncer par la moindre, le moins de petits groupes austines. Et si on regarde dans l'histoire, les sociétés pacifiques ont été détruites par les sociétés envahissantes, et justement, vu qu'elles avaient des grands principes de douceur et de non-violence, elles l'ont payé par leur disparition. Donc il y a un moment où il faut comme un organisme vivant, on peut avoir une volonté d'harmonie, mais il ne faut pas baisser les bras et ne pas baisser sa vigilance, il y a des dangers. Tout l'humanité, à tout le temps, tous les humains ont dû gérer des sources de prédation.
Donc au début c'était les lions, les tigres, les ours, après ça a été la peste, après maintenant c'est le Covid, mais ces choses ne sont là pas pour nous ennuyer, mais pour nous tenir éveillés. C'est très initiatique. Oui, il y a une nécessité à affronter nos peurs, à affronter les adversaires pour devenir plus intelligent. Donc c'est pour ça que même dans les ruches sauvages, elles savent un peu mieux se défendre que dans les ruches domestiques, parce qu'elles ont compris que peut arriver un oiseau, peut arriver des ferns-rois asiatiques, et qu'il faut y aller, il faut se stafier, il faut se battre. Je pense que aussi sur la deuxième guerre mondiale, heureusement qu'il y a des gens qui ont été résistants, et pas des gens qui ont dit attendez, peace and love, hors de question, qu'on se défendre parce que ça serait contraire à nos valeurs.
Il y a un moment, il y a un organisme qui devrait être capable de tout en souhaitant la douceur et la paix de ne pas se laisser marcher sur les pieds par un autre organisme. Ça me rappelle cette citation de Gandhi qui disait si je devais choisir entre la lacheté et la violence, je crois que je suis la violence. Elle est pas mal. Tu exprimes ce que tu dis en fait, je trouve.
Oui, il faut préserver notre système. J'avais un ami qui avait rencontré le Dalai Dalamal, je lui avais dit si je sais qu'une personne va tuer mille personnes, qu'est-ce que je dois faire. Dalai Dalamal lui avait dit tu dois la tuer, mais c'est un acte de violence, tu sauveras comme ça les mille personnes. Donc il y a un moment, il faut chercher un équilibre, juste milieu. Et juste milieu, c'est ni la violence pour la violence, ni le pacifisme pour le pacifisme, c'est juste s'adapter à ce qui se passe en face et être capable de se défendre contre une attaque. C'est ça, dans une justesse. Allez, en approche de la fin de ce podcast, Bernard Verbert, à quoi ressemblerait ta prochaine vie idéale pour poursuivre ton œuvre ?
Tiens. Tu as dit pour poursuivre mon œuvre. Oui, oui, il est pas m'en ayant une ma question. Tu aurais dû dire, comment serait ta prochaine vie idéale ?
Alors moi si je pouvais choisir avant de naître, je reprendrais écrivain parce que je trouvais écrivain, c'est la manière la plus douce d'influer le monde. C'est comprenne qui pourra. C'est pour ça que je parle de ton œuvre. Je sais qu'elle est très importante pour toi dans cette vie. J'essaie de diffuser des idées qui vont faire que les gens auront envie de bâtir le monde meilleur.
Il me semble. En tout cas, c'est mon illusion. Maintenant, ce qui me fait plaisir, c'est que les jeunes me lissent. Même souvent, les gens me disent que c'est le premier livre qu'ils ont lu parce qu'ils l'ont appris à l'école. Ça me fait énormément plaisir.
Ça veut dire qu'il y a un moment, ils ont compris qu'un livre, c'est pas juste pour faire joli ou mettre des jolis phrases. Ça peut être un outil pour changer le monde ou en tout cas pour comprendre comment on peut avoir des perspectives nouvelles. Ce sont des nouveaux horizons. Moi, ma pensée a été bâti par des livres. Il y a eu cette rencontre qui m'a appris à la méditation, le yoga et aussi le voyage astral.
Ma pensée, ma conscience a été construite par des livres et par cette rencontre avec Jacques Padovani. Mais il faut continuer encore à faire de nouveaux livres qui fassent encore plus évoluer la pensée. Il y a deux nouveaux enjeux qui sont en apparaître.
D'abord, l'histoire accélère. Si je mourais maintenant, j'aurais envie de renaître dans la peau de quelqu'un qui va être écrivain et qui va gérer ces nouveaux enjeux. Ces nouveaux enjeux, ça sera peut-être au niveau des mondes virtuels. Ça sera peut-être aussi au niveau des mondes en dehors de la Terre. Ces nouveaux enjeux, ça sera peut-être aussi au niveau de la gestion, de la pollution, de la gestion du réchauffement climatique. Ils ont probablement, dans les années à venir, pris des dimensions encore plus... Démoncent.
Oui, dramatiques. Et puis, la surpopulation qui m'a l'air un des plus graves problèmes, l'une des plus grandes sources de pollution, c'est le nombre du vin sur la Terre. Sachant que la Terre ne grandit pas et que nous n'avons pas de planète B. On ne peut pas s'installer encore ni sur la Lune ni sur Mars.
Ça veut dire que si on continue à être de plus en plus nombreux sur une tannette de plus en plus épuisée, dont on aura arraché au sol toutes les ressources, il y a un moment, il n'y en aura plus. Et on va se battre pour avoir de l'air et de l'eau et de la nourriture. Et ça, c'est quelque chose à prévoir dès maintenant. Et il y a une nécessité d'avertir le monde, tel quel si on ne fait rien, on va quand même vers le gouffre. Alors, je n'ai pas trop envie qu'on finisse là-dessus non plus.
Sur le mot de gouffre. Tu vois, je savais que tu voulais poursuivre ton œuvre dans une vie future. Donc, c'était une question qui était individuelle.
Mais tiens, si jamais tu ne poursuis pas ton œuvre. Je trouve que écrivain, c'est le meilleur emplacement pour agir, influencer les gens innovants, donner des idées. Mais c'est aussi le meilleur métier pour une raison, c'est qu'on est autorisé à vieillir. Je vois par exemple tous les métiers d'apparence, les acteurs, les musiciens. C'est beaucoup plus dur pour ce qu'artiste, il dépend de leur physique. Il y a beaucoup de métiers où si on vous oblige à prendre votre retraite, à ne pas tracer un certain âge. Écrivain, tant que le cerveau fonctionne, vous pouvez continuer d'écrire.
On a vu des écrivains qui continuaient à écrire à des âges très avancés. Et ça, je trouve que c'est un énorme privilège de ce métier. Il y a aussi une autre chose qui me plaît dans le métier d'écrivain. Je pense à mon ami, Arvin Yalom, qui est très âgé et qui écrit encore. Là, je l'ai. Je pense qu'il a près de 96 ans.
Voilà. Je crois pas qu'à 96 ans, je serai encore en pleine forme. Il y a aussi une autre chose qui me plaît beaucoup dans ce métier. C'est une fraise qui m'a dit mon fils, il m'a dit, toi au moins, tu gagnes de l'argent sans le prendre sur des gens qui travaillent pour toi.
Ni sans malhonnêteté. C'est-à-dire que tu fabriques quelque chose à partir de rien. C'est un produit de consommation qui après ne force pas les gens à le consommer. Il n'y a aucune malhonnêteté dans le métier d'écrivain. Quand j'étais journaliste, je n'avais pas cette liberté d'esprit.
J'avais l'impression de faire le métier malhonnête parce qu'on était influencé par nos chefs, on était influencé par les politiciens, on ne pouvait pas faire ce qu'on voulait. Et par moment, par exemple, je vous donne le cas de Chernobyl que j'avais eu à gérer. Je voyais bien que les informations qui disaient que le nuage s'était arrêté dans les Alpes, c'était débile, même si c'était l'information d'État. Et j'avais refusé de le faire.
Mes chefs m'ont dit, attends, c'est des infos qui viennent directem
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 source: Ouvrage - La prophétie des abeilles - résumé par chatGPT
 ##### 1. Et maintenant que va-t-il arriver ?
- **Contexte** : 15 juillet de l'année 1099. Une bataille se prépare, les chevaliers sont nerveux et prêts pour l'affrontement. Un des chevaliers se souvient d'un rêve prophétique.
- **Événement** : Une abeille entre dans le casque du chevalier, causant distraction et inquiétude.
- **Action** : Les catapultes lancent des projectiles, mais ne réussissent pas à créer de brèche significative. Les chevaliers se préparent pour l'assaut final.
- **Climax** : L'abeille pique le chevalier au moment crucial, mais il continue à charger malgré la douleur intense.
##### 2. Mnemos : Trois raisons d'exister
- **Introduction** : Renée Toledano, devant un public de 450 spectateurs, propose une méditation guidée pour rencontrer leur futur soi-même.
- **Exercice** : Les participants ferment les yeux et suivent une visualisation pour rencontrer leur futur eux-mêmes dans un jardin printanier.
- **Réactions** : Certains participants ont du mal à se détendre, d'autres témoignent de leur rencontre avec leur futur soi-même et des conseils qu'ils ont reçus.
##### 3. Questions et témoignages
- **Interactivité** : Renée pose des questions au public sur leur expérience, les retours varient : scepticisme, doute, témoignages positifs.
- **Cas particuliers** : Une participante raconte un conseil inattendu de son futur soi-même : changer de partenaire pour éviter l'aigreur.
- **Réalité alternative** : Un jeune homme reçoit un conseil de changer de carrière et de se lancer dans l'agriculture biologique.
##### 4. Séance publique
- **Expérience immersive** : Une participante, Vespa Rochefoucauld, demande à voir non pas un jardin paradisiaque mais le véritable futur de la Terre.
- **Projection dans le futur** : Vespa décrit un Paris surpeuplé et suffocant en 2053, avec des conditions de vie extrêmes et une surpopulation. Elle panique et s'enfuit de la scène.
- **Conséquences** : Une semaine plus tard, Vespa est au tribunal, traumatisée par l'expérience, et des poursuites sont engagées contre Renée et Opale pour manipulation mentale.
#### Acte II : Théorie sur la réincarnation
##### 5. Mnemos : Une théorie concernant la réincarnation
- **Origines** : Les croyances sur la réincarnation remontent à plus de 10 000 ans avant Jésus-Christ, liées aux cycles des saisons observés par les premiers agriculteurs.
- **Symbolisme** : Les cycles de la nature (printemps, été, automne, hiver) sont interprétés comme des cycles de vie, de mort et de renaissance, influençant les croyances sur l'âme humaine.
#### Acte III : Conséquences et réflexions
##### 6. Conséquences juridiques
- **Jugement** : Renée et Opale sont condamnés à trois mois de prison avec sursis et doivent verser 50 000 euros de dommages-intérêts à Vespa Rochefoucauld. Leur théâtre, la Boîte de Pandore, est fermé définitivement.
- **Réactions** : Le public et les journalistes trouvent la sentence sévère, et le procureur les sermonne sur les dangers de l'hypnose et autres pratiques ésotériques.
##### 7. Réflexions et nouveaux départs
- **Retour aux sources** : Renée envisage de reprendre son métier de professeur d'histoire à la Sorbonne, contactant son ancien directeur de thèse, Alexandre Langevin.
- **Hypnose et histoire** : Renée continue de croire en l'hypnose comme un moyen de découvrir d'autres époques et civilisations, malgré les difficultés rencontrées.
##### 8. Et maintenant que va-t-il arriver ?
- **Contexte** : Renée Toledano se souvient de son passé avec son ancien maître, Alexandre Langevin. Ils avaient des séances d'entraînement intense à l'épée.
- **Défi** : Alexandre propose un duel pour décider de l'avenir de Renée à la Sorbonne. Si Renée gagne, il obtient un poste de conférencier.
- **Combat** : Le duel est rude, Alexandre ne retient pas ses coups. Renée est blessé mais parvient à vaincre son ancien maître.
##### 9. Mnemos : Trois raisons d'exister
- **Dîner** : Renée raconte son duel à Opale lors d'un dîner. Opale partage des nouvelles de son propre travail avec un hypnothérapeute nommé Markus.
- **Hypnose** : Opale discute de l'impact psychologique des titres et des apparences dans le succès de l'hypnothérapie.
##### 10. Questions et témoignages
- **Préoccupations** : Renée est préoccupé par les visions du futur qu'il a vues, notamment un monde surpeuplé et en crise.
- **Exploration** : Renée tente de comprendre ces visions en revisitant des techniques de méditation et d'hypnose.
##### 11. Séance publique
- **Découverte** : Renée découvre un futur possible où les abeilles ont disparu, entraînant des catastrophes écologiques et une guerre mondiale.
- **Responsabilité** : Son futur lui-même le blâme pour avoir permis à Vespa Rochefoucauld de voir ce futur, changeant ainsi le cours des événements.
##### 12. Mnemos : Une théorie concernant la réincarnation
- **Origines** : Discussion sur les anciennes croyances agricoles concernant la réincarnation et les cycles de la nature.
- **Récits** : Exploration des différentes vies antérieures de Renée, y compris une vie en Atlantide et des contributions à la construction des pyramides en Égypte.
##### 13. Conséquences juridiques
- **Conférence** : Renée commence ses conférences à la Sorbonne, posant des questions sur la vérité historique et l'importance de la perspective.
- **Prophétie** : Renée recherche un livre intitulé "La Prophétie des abeilles", croyant qu'il contient des réponses à ses questions.
##### 14. Réflexions et nouveaux départs
- **Recherche** : Renée découvre que ce livre est considéré comme un faux, écrit par un auteur du XXe siècle, mais il continue à chercher des réponses.
##### 15. Renée chez lui
- **Réflexion** : Renée Toledano, assis chez lui, est préoccupé par la fausse prophétie et les visions du futur.
- **Événements mondiaux** : Renée observe les nouvelles mondiales sur le réchauffement climatique, les manifestations aux États-Unis, les décisions en Turquie, et un échouement de tanker à Maurice.
##### 16. Mnemos : Les Yahwistes
- **Origines** : Discussion sur les croyances anciennes et la découverte des forges qui ont conduit à la vénération du souffle divin "Yahwé".
- **Archéologie** : Découverte d'une tablette égyptienne mentionnant les adorateurs de Yahwé à Rushalim (Jérusalem).
##### 17. Rencontre avec Alexandre Langevin
- **Hypnose régressive** : Renée explique à Alexandre la technique d'autohypnose pour accéder à ses vies antérieures.
- **Scepticisme et curiosité** : Alexandre, d'abord sceptique, est fasciné par les détails et décide d'essayer l'expérience pour trouver des informations historiques inédites.
##### 18. Déjeuner avec Alexandre
- **Débat philosophique** : Alexandre et Renée discutent de la validité des vies antérieures et de l'impact de l'hypnose régressive.
- **Expérience personnelle** : Renée partage ses expériences vécues lors de régressions, soulignant la différence entre l'appétit et la véritable faim vécue dans des vies passées.
##### 19. Hypnose d'Alexandre
- **Préparation** : Alexandre se prépare à l'hypnose avec Renée dans son bureau, aménagé avec des reconstitutions de batailles historiques.
- **Expérience immersive** : Alexandre, sous hypnose, revit la prise de Jérusalem en 1099, décrivant en détail les sensations et événements.
##### 20. Renée chez lui
- **Contexte** : Renée Toledano surfe sur Internet pour vérifier des détails historiques concernant la prophétie de Salvin de Bienne.
- **Événement** : Renée et Alexandre discutent de la prophétie, qui semble liée à la Troisième Guerre mondiale en 2053 et à la disparition des abeilles.
- **Climax** : Renée retourne chez lui, préoccupé par la prophétie, et s'endort seul, sentant que quelque chose ne va pas dans sa vie actuelle.
##### 21. Mnemos : Les Yahwistes
- **Origines** : Exploration des anciennes croyances et de la découverte des forges qui ont conduit à la vénération du souffle divin "Yahwé".
- **Archéologie** : Découverte d'une tablette égyptienne mentionnant les adorateurs de Yahwé à Jérusalem.
##### 22. Rencontre avec Alexandre Langevin
- **Hypnose régressive** : Renée explique à Alexandre la technique d'autohypnose pour accéder à ses vies antérieures.
- **Scepticisme et curiosité** : Alexandre, d'abord sceptique, est fasciné par les détails et décide d'essayer l'expérience pour trouver des informations historiques inédites.
##### 23. Déjeuner avec Alexandre
- **Débat philosophique** : Alexandre et Renée discutent de la validité des vies antérieures et de l'impact de l'hypnose régressive.
- **Expérience personnelle** : Renée partage ses expériences vécues lors de régressions, soulignant la différence entre l'appétit et la véritable faim vécue dans des vies passées.
##### 24. Hypnose d'Alexandre
- **Préparation** : Alexandre se prépare à l'hypnose avec Renée dans son bureau, aménagé avec des reconstitutions de batailles historiques.
- **Expérience immersive** : Alexandre, sous hypnose, revit la prise de Jérusalem en 1099, décrivant en détail les sensations et événements.
##### 25. Mnemos : Joseph et le Pharaon
- **Récit biblique** : Histoire de Joseph, fils de Jacob, vendu par ses frères, qui devient serviteur en Égypte, interprète des rêves du pharaon, et sauve l'Égypte de la famine.
##### 26. Renée et Opale
- **Conflit personnel** : Renée se réveille seul, constatant qu'Opale n'est pas rentrée. Opale explique qu'elle a passé la nuit avec son patron, Markus, révélant une connexion spirituelle et sexuelle à travers l'hypnose régressive.
##### 27. Conférence à la Sorbonne
- **Thème** : Renée donne une conférence sur l'histoire des historiens, évoquant les premiers historiens et leur quête de vérité.
- **Réflexion** : Renée discute de l'importance de l'histoire et des défis auxquels les historiens sont confrontés dans la diffusion de la vérité.
##### 28. Conversation avec Alexandre
- **Révélation personnelle** : Renée confie à Alexandre que sa femme l'a quitté et qu'il est sous le coup d'une saisie de sa péniche.
- **Support et encouragement** : Alexandre propose une nouvelle séance d'hypnose pour explorer davantage leurs vies antérieures.
##### 29. Mnemos : La chute d'Akhenaton
- **Récit historique** : Chute d'Akhenaton, pharaon réformateur, et restauration du polythéisme par les prêtres d'Amon.
- **Damnatio memoriae** : Effacement systématique du règne d'Akhenaton par Horemheb.
##### 30. Nouvelle séance d'hypnose
- **Exploration du passé** : Alexandre et Renée repartent au Moyen Âge pour découvrir la jeunesse de leurs incarnations respectives, Gaspard Hummel et Salvin de Bienne.
##### 31. Réveil et partage
- **Récits de vies passées** : Alexandre décrit sa vie de voleur devenu chevalier, tandis que Renée raconte son parcours de moine à soldat.
- **Réflexion** : Discussion sur la validité de leurs expériences sous hypnose et leur impact sur leur compréhension du passé et du présent.
##### 32. La rencontre
- **Contexte** : Renée Toledano discute avec Alexandre et sa fille Mélissa, qui est victime de violences conjugales. La conversation met en lumière les difficultés personnelles de chacun.
- **Plan de voyage** : Alexandre propose un voyage en Terre sainte pour explorer leurs vies antérieures sous hypnose. Renée, d'abord sceptique, est convaincu par la passion d'Alexandre.
##### 33. Mnemos : Sauvés des eaux
- **Récit biblique** : Moïse, sauvé des eaux par la fille du pharaon, grandit et découvre ses origines hébraïques. Il conduit son peuple hors d'Égypte après les dix plaies.
- **Libération** : Moïse mène les Hébreux à la Terre promise, mais ne peut y entrer lui-même. Les Hébreux atteignent la Terre promise après quarante ans d'errance.
##### 34. Hypnose et temps plié
- **Hypnose** : En voyage vers Israël, Renée tente d'hypnotiser Mélissa dans l'avion, sans succès. Ils discutent de l'hypnose et de ses effets.
- **Découverte** : Mélissa propose une théorie du "temps plié", expliquant comment l'hypnose permet de voyager à travers le temps et l'espace.
##### 35. Arrivée en Terre sainte
- **Voyage** : Les trois personnages arrivent en Israël et s'installent à l'hôtel King David. Alexandre montre son efficacité et sa détermination à explorer leurs vies antérieures.
- **Réflexions** : Mélissa et Renée discutent de l'importance de vivre dans le présent et d'apprécier le moment.
##### 36. L'ordre des Templiers
- **Découverte historique** : Alexandre et Renée réalisent qu'ils ont peut-être joué un rôle dans la fondation de l'ordre des Templiers. Ils discutent de l'importance de cet ordre et de leur possible implication.
##### 37. La rencontre avec Ménélik
- **Rencontre** : Alexandre, Renée et Mélissa rencontrent Ménélik Ayanou, un érudit éthiopien.
- **Découverte** : Ménélik révèle qu'il parle plusieurs langues anciennes et discute de ses origines juives éthiopiennes.
- **Hypnose régressive** : Discussion sur la possibilité de vérifier des vies antérieures par l'hypnose, avec des exemples concrets donnés par Alexandre et Renée.
##### 38. Exploration de Jérusalem
- **Mur des Lamentations** : Le groupe visite le Mur des Lamentations, en apprenant son histoire et sa signification.
- **Fouilles archéologiques** : Ménélik les emmène visiter des chantiers de fouilles autour de Jérusalem, où ils découvrent des artefacts anciens et discutent de leur signification historique et politique.
##### 39. Découverte archéologique
- **Explication des sites** : Ménélik décrit les couches archéologiques trouvées à Jérusalem, et le groupe explore les galeries souterraines, découvrant des objets de différentes époques.
- **Mystères et révélations** : Renée et Alexandre cherchent à comprendre leurs vies antérieures et à valider leurs intuitions concernant les Templiers et d'autres mystères historiques.
##### 40. Mnemos : L'architecte Hiram et ses trois assassins
- **Récit historique** : Histoire du roi Salomon et de l'architecte Hiram, assassiné par trois compagnons pour obtenir ses secrets. Son corps est retrouvé et enterré avec honneur par les maîtres.
- **Symbolisme** : Le récit explique le symbolisme des colonnes Jakin et Boaz et la signification du temple de Salomon.
##### 41. Voyage souterrain de Salvin
- **Rêve et mission** : Salvin, dans un rêve, reçoit l'ordre d'explorer sous le Temple de Salomon. Il découvre des galeries souterraines et un petit temple caché.
- **Découvertes** : Il trouve des objets sacrés, dont une ruche et un rouleau de parchemin, révélant des instructions pour communiquer avec son ange gardien.
##### 42. Renée à Jérusalem
- **Réflexion** : Renée, après une nouvelle régression, contemple les implications de ses découvertes et réfléchit à la nature des anges et des prophéties.
- **Dîner** : Le groupe se retrouve pour dîner et discute des découvertes de Renée et de la mission prophétique qu'il a confiée à son alter ego du passé.
##### 43. Renée et Alexandre
- **Découverte** : Renée et Alexandre explorent le site archéologique et découvrent des objets gravés de symboles anciens. Renée ressent une forte vibration d'énergie en touchant certaines structures en bronze.
- **Conflit** : Mélissa, préoccupée par l'éthique, conteste la décision d'Alexandre de prendre des objets archéologiques pour les sauver de la destruction.
##### 44. Évasion et capture
- **Fuite** : Renée, Mélissa et Alexandre tentent de s'échapper discrètement du chantier, poursuivis par des gardes jordaniens.
- **Capture** : Ils sont capturés par des hommes armés et emmenés à travers un tunnel clandestin en Palestine, où ils sont finalement remis à la police palestinienne.
##### 45. Confrontation avec le chef de la police
- **Rencontre** : Les Français sont emmenés au commissariat de Ramallah et interrogés par le lieutenant de police Youssef Daoudi.
- **Menace** : La situation devient tendue lorsque les manifestants extérieurs réclament leur extradition. Daoudi protège les Français mais exprime ses propres craintes pour sa sécurité et celle de sa famille.
##### 46. Mnemos : Le colosse aux pieds d'argile
- **Récit historique** : Évocation du roi Nabuchodonosor et de son rêve interprété par le prince hébreu Daniel, symbolisant les futurs royaumes et leur destruction par le Messie.
##### 47. Crise et négociation
- **Escalade** : La tension augmente avec l'arrivée de manifestants de plus en plus violents. La police palestinienne envisage de livrer les Français pour apaiser la foule.
- **Négociation** : Youssef Daoudi tente de contacter le consul français, Gustave de Montbéliard, pour organiser une extraction sécurisée. Le consul, initialement réticent, accepte finalement d'envoyer une voiture diplomatique.
##### 48. Extraction et départ
- **Sauvetage** : Une limousine consulaire arrive pour évacuer les Français du commissariat assiégé.
- **Départ forcé** : Le consul insiste pour que les Français quittent immédiatement Jérusalem afin de prévenir toute future crise diplomatique.
### Partie 49
- **Introduction**
- Les fêtes juives sont résumées par l'idée qu'on célèbre le fait de survivre à des tentatives d'extermination par un repas festif.
- Les trois Français se trouvent dans un kibboutz près de Jérusalem, où ils sont accueillis par Ménélik Ayanou et sa femme.
- **Description du kibboutz**
- Le kibboutz combine agriculture, industrie et technologie de pointe.
- Production d'olives, poires, lait, miel, panneaux solaires et systèmes d'irrigation.
- Les membres vivent en communauté avec des biens communs et sans propriété personnelle.
- **Histoire et organisation du kibboutz**
- Fondé par des pionniers, dont des rescapés des camps nazis, avec l'idée d'une société sans guerre ni argent.
- Tous les besoins individuels sont gérés par la communauté.
- **Visite du kibboutz**
- Les résidents incluent des survivants de l'Holocauste et des jeunes militaires.
- Une vieille dame, le professeur Nadia Volf, est présentée comme une ancienne chercheuse de pointe en médecine.
- **Contextes historiques**
- Référence aux premiers kibboutz israéliens et aux agriculteurs-soldats.
- Discussion sur la légitimité des colonies israéliennes et la coexistence avec la population arabe.
- **Rencontre avec Hodélia**
- Hodélia, la femme de Ménélik, est introduite et partage son histoire de l'opération Salomon qui a sauvé les Juifs éthiopiens.
- Ménélik a été blessé par un attentat suicide, perdant l'usage de ses jambes.
- **Problèmes environnementaux**
- Attaque de frelons asiatiques sur les ruches du kibboutz.
- Hodélia explique les défis de protéger les abeilles et les méthodes de défense mises en place.
### Partie 50
- **Contexte historique**
- Salvin de Bienne écrit sous la dictée de son ange gardien saint René en 1121.
- Discussion sur les prophéties et l'inspiration divine.
- **Relation entre Salvin et son épouse**
- Détails sur la vie de Salvin avec sa femme Déborah et sa vocation prophétique.
### Partie 51: MNEMOS. LA SAGESSE D'ARISTOTE
- **Éducation d'Alexandre le Grand**
- Alexandre est éduqué par Aristote qui utilise l'observation des abeilles pour enseigner la politique et la philosophie.
- Alexandre devient un chef militaire extraordinaire, conquiert la Perse et atteint l'Indus.
### Partie 52
- **René en méditation**
- René médite dans son bungalow, cherchant à dicter des prophéties à Salvin.
- Il lutte avec la difficulté de transmettre des concepts modernes à un homme du XIIe siècle.
### Partie 53
- **Rédaction des prophéties**
- Salvin, dicté par René, écrit des prophéties couvrant divers événements futurs comme la découverte de l'Amérique et les progrès technologiques.
### Partie 54
- **Inventions futures**
- Prévisions de René sur les inventions futures : télescopes, microscopes, imprimerie, ballons, gouvernement sans rois, voitures, avions, etc.
### Partie 55: MNEMOS. LES HÉRITIERS D'ALEXANDRE
- **Héritage d'Alexandre le Grand**
- Division de l'empire d'Alexandre entre ses généraux : Antigone (Grèce), Ptolémée (Égypte), et Séleucos (Perse).
- Influence grecque dans les nouveaux royaumes et tensions entre les dynasties.
### Partie 56
- **Confrontation prophétique**
- Salvin confronte Gaspard Hummel qui présente sa prophétie à Hugues de Payns, le grand maître des Templiers.
- Les deux textes sont comparés et Hugues de Payns les trouve tous les deux impressionnants.
### Partie 57
- **Prophétie de René**
- René continue à dicter ses prophéties, cherchant à surpasser Alexandre et à sauver le monde grâce à ses visions.
### Partie 58
- **Réunion des Templiers**
- Les Templiers se réunissent pour examiner les prophéties de Salvin et de Gaspard.
- Discussions sur la qualité et l'impact des prophéties, avec un focus sur la précision et la poétique des textes.
### Partie 59: La Dynastie Hasmonéenne
- **Révolte des Maccabées**
- Mattathias, prêtre de la famille Hasmonaï, lance la révolte contre les Séleucides en 168 avant J.-C.
- Judas Maccabée reprend le flambeau et reprend Jérusalem en 164.
- **Indépendance et Dynastie**
- Reconnaissance de l'indépendance du royaume d'Israël par les Grecs et les Romains en 142.
- Simon Maccabée devient roi et fonde la dynastie hasmonéenne.
- **Conflits internes et Romains**
- Conflit entre Hyrcan et Aristobule, fils de Salomé Alexandra, après son règne.
- Hyrcan appelle les Romains à l'aide, menant à l'occupation romaine.
### Partie 60: Alarme et Roquettes
- **Attaque de roquettes**
- Renée est alerté par une sirène et une détonation.
- Tous se réfugient dans un abri anti-bombes du kibboutz.
- **Discussion dans l'abri**
- Renée discute avec Ménélik, apprenant que les roquettes proviennent du Hezbollah.
- Alexandre et Renée se disputent sur des accusations de tricherie.
### Partie 61: Dernier Chapitre
- **Mort de Salvin**
- Salvin est attaqué par un homme masqué chez lui.
- Il parvient à sauver ses écrits avant de mourir.
- **Réincarnation**
- Renée, dans un état de méditation, découvre une nouvelle incarnation en 1291.
### Partie 62: Confusion et Colère
- **Retour à la réalité**
- Renée revient à la réalité dans l'abri anti-bombes.
- Il accuse Alexandre de trahison et de meurtre dans une vie antérieure.
- **Mélissa intervient**
- Mélissa tente de calmer Renée, soulignant l'absurdité de tenir Alexandre responsable.
### Partie 63: Mnemos et le Christianisme
- **Origines chrétiennes**
- Histoire de Yohanan (Jean) et Yeshoua (Jésus).
- Saul (Paul) crée une nouvelle secte juive, le christianisme, et diffuse ses idées à travers le bassin méditerranéen.
### Partie 64: Évrard et Guillaume de Beaujeu
- **Initiation d'Évrard**
- Évrard est initié comme Templier par Guillaume de Beaujeu.
- Guillaume explique les défis militaires et politiques de Saint-Jean-d'Acre.
### Partie 65: Dernier Chapitre
- **Conflit intérieur**
- Renée médite sur le sens de ses visions et la prophétie des abeilles.
- Il décide de se rendre à Saint-Jean-d'Acre pour découvrir la vérité.
### Partie 66: Rencontre avec Albert Bitton
- **Départ du kibboutz**
- Les Français quittent le kibboutz avec Ménélik.
- Ils se rendent à un autre kibboutz près d'Akko.
- **Présentation d'Albert Bitton**
- Albert Bitton, ami de Ménélik, les rejoint.
- Albert a une formation de physicien et a travaillé au CERN.
- **Discussions sur le voyage dans le temps**
- Renée et Alexandre expliquent leur méthode d'autohypnose régressive.
- Albert partage son ouverture d'esprit et ses expériences avec la physique quantique.
### Partie 67: Néron, l'Empereur Incendiaire
- **Incendie de Rome**
- Néron décide de détruire des quartiers de Rome pour les reconstruire.
- L'incendie se propage et cause de nombreuses pertes humaines.
- **Réaction de la population**
- Néron accuse les Juifs puis les chrétiens de l'incendie.
- Les chrétiens sont persécutés, torturés et exécutés en grand nombre.
### Partie 68: Assaut des Turcs
- **Bataille de Saint-Jean-d'Acre**
- Évrard participe à la défense de la ville contre les Turcs.
- Les Templiers et Hospitaliers se battent ensemble contre les mamelouks.
- **Mort de Guillaume de Beaujeu**
- Guillaume est blessé et meurt en désignant Thibaud Gaudin comme son successeur.
- Évrard reçoit la mission de protéger un codex précieux et de l'emmener à Chypre.
### Partie 69: Fuite d'Évrard
- **Évasion d'Acre**
- Évrard s'échappe avec le codex et rejoint un bateau en direction de Chypre.
- Il affronte des dangers en mer et réussit à protéger le codex.
- **Arrivée à Chypre**
- Évrard arrive à Chypre et rencontre Thibaud Gaudin.
- Ils planifient une mission pour récupérer le codex volé par les Teutoniques.
### Partie 70: Exploration d'Acre
- **Découverte archéologique**
- Albert Bitton guide les Français dans une exploration archéologique.
- Ils découvrent des tunnels et des salles souterraines des Templiers.
### Partie 71: La Guerre de Judée
- **Conflit contre les Romains**
- La guerre de Judée commence en 66 après J.-C. avec des victoires juives initiales.
- Les Romains, sous Titus, reprennent Jérusalem et détruisent le Temple en 70.
- **Massada**
- Les derniers résistants juifs se réfugient à Massada et résistent jusqu'en 73.
- Massada tombe et les défenseurs préfèrent le suicide à la reddition.
### Partie 72: Voyage vers Chypre
- **Départ pour Chypre**
- Renée, Mélissa, et Alexandre voyagent par mer vers Chypre en raison des tensions politiques.
- Renée réfléchit à ses expériences de régression et aux défis de la communication avec ses anciennes incarnations.
### Partie 73: Mission à Famagouste
- **Plan d'infiltration**
- Évrard et Olivier Bouchard s'infiltrent dans la forteresse teutonique à Famagouste pour récupérer le codex.
- Thibaud Gaudin a choisi une mission de nuit à effectif réduit pour éviter une guerre ouverte entre ordres chrétiens.
### Partie 74: Rencontre avec les lépreux
- **Évasion et Lépreux**
- Évrard et Olivier Bouchard tentent de fuir à travers une foule de lépreux.
- Olivier est attrapé et recouvert par les lépreux, sacrifiant ainsi sa vie pour permettre à Évrard de continuer.
- **Fuite et Rencontre**
- Évrard se réfugie dans la forteresse teutonique où il rencontre Clotilde, la femme de Konrad von Feuchtwangen.
- Clotilde propose de l'aider à trouver le codex volé par son mari.
### Partie 75: La Révolte de Simon Bar Kokhba
- **Origine de la révolte**
- En 132 après J.-C., l'empereur Hadrien ordonne la construction d'un temple dédié à Jupiter sur l'emplacement de l'ancien Temple de Salomon.
- Simon Bar Kokhba organise une révolte contre les Romains, libérant Jérusalem et créant un État indépendant.
- **Défaite et Conséquences**
- Hadrien envoie huit légions pour écraser la révolte, tuant 580 000 Judéens et détruisant 985 villages.
- Bar Kokhba se réfugie dans la forteresse de Betar mais est finalement vaincu en 135.
- L'empereur renomme la Judée en Palestine, entraînant une nouvelle diaspora juive.
### Partie 76: Voyage de Renée, Alexandre et Melissa
- **Départ du ferry**
- Renée et Alexandre méditent, interrompus par une houle secouant le ferry.
- Alexandre révèle qu'il était Clotilde dans une vie antérieure.
- **Arrivée à Nicosie**
- Ils arrivent à Nicosie, ville divisée entre Grecs et Turcs, et s'installent dans un hôtel.
- Ils visitent la maison des Templiers devenue un musée.
### Partie 77: Exploration et Confrontation
- **Infiltration nocturne**
- Renée, Alexandre et Mélissa s'infiltrent dans le musée et découvrent que la cachette du codex est vide.
- Ils sont poursuivis par un véhicule et arrêtés par la police turque.
- **Rencontre avec la police**
- Après un interrogatoire tendu, ils sont relâchés avec leurs épées par un douanier grec.
- Renée se remémore l'histoire de Jacques de Molay, dernier grand maître templier.
### Partie 78: Conflit avec Konrad von Feuchtwangen
- **Lutte pour le codex**
- Clotilde et Évrard sont confrontés à Konrad von Feuchtwangen et ses hommes.
- Clotilde menace de jeter le codex à l'eau, mais Évrard parvient à le récupérer.
- **Intervention des Templiers**
- Les Templiers viennent en aide à Évrard et Clotilde, forçant les Teutoniques à fuir.
- Thibaud Gaudin confie à Évrard la mission de transporter le codex à Paris sans le lire.
### Partie 79: Voyage en bateau
- **Trajet de Clotilde et Évrard**
- Départ du port de Larnaka et long de la côte turque sans escale.
- Tempête en mer Ionienne, réparations en Sicile, attaque par des pirates barbaresques.
- Passage par la Sardaigne, remontée vers la Corse, arrivée à Marseille.
- **Voyage terrestre**
- Passage par Montpellier, Auvergne, Bourgogne.
- Arrivée à Paris, découverte de la capitale et ses différents quartiers.
- Arrivée à la commanderie templière de Paris.
### Partie 80: Assaut des frelons asiatiques
- **Attaque de la ruche**
- Les frelons asiatiques attaquent une ruche d'abeilles, créant la panique.
- Les abeilles tentent de se défendre en formant un bouchon vivant à l'entrée.
- Les frelons décapitent les abeilles, accumulant des cadavres.
- **Combat inégal**
- Les abeilles essayent différentes tactiques pour repousser les frelons.
- Les frelons pénètrent dans la ruche, tuent la reine et se nourrissent des thorax des abeilles mortes.
### Partie 81: Conférence de Hodélia Ayanou
- **Présentation à la Cité des sciences**
- Hodélia parle des abeilles et des frelons asiatiques, montrant des images impressionnantes.
- Discussion sur l'origine des frelons asiatiques en France et leur propagation mondiale.
- **Solutions proposées**
- Utilisation de poules pour lutter contre les frelons.
- Importance des abeilles pour la pollinisation et l'impact de leur disparition.
- Présentation d'une abeille primitive vitrifiée comme espoir pour une nouvelle génération résistante.
### Partie 82: Arrestation des Templiers
- **Avertissement de Clotilde**
- Clotilde avertit Évrard de l'arrestation imminente des Templiers.
- Évrard informe Jacques de Molay, qui reste calme et résigné.
- **Plan d'évasion**
- Jacques de Molay révèle avoir prévu l'évasion de certains trésors et artefacts.
- Évrard reçoit la mission de protéger la prophétie.
#### Partie 83: MNEMOS. LA KABBALE.
1. **Origine et développement de la Kabbale**
- Développement après la deuxième diaspora juive du IIe siècle
- Mouvements spirituels ésotériques
- Textes sur le Temple idéal entre le IIIe et le VIIIe siècle
2. **Corpus kabbalistique médiéval**
- Livres importants : Livre de la Création, Livre de la Clarté
- Association avec l'alchimie et diverses disciplines artistiques
3. **L'Arbre de Vie**
- Inventé par Azriel de Gérone au XIIIe siècle
- Formé de dix points nommés Sephirot, reliés par vingt-deux traits correspondant aux lettres hébraïques
4. **Utilisation de la Kabbale pour prévoir le futur**
- Correspondance des lettres hébraïques à des images symboliques
- Émergence du Tarot de Marseille au Moyen Âge
#### Partie 84: LA PROPHÉTIE EST À LA SORBONNE
1. **René Toledano et Alexandre**
- René informe Alexandre et Mélissa que la prophétie est à la Sorbonne
- Rencontre à la Sorbonne et discussions sur l'histoire de la Sorbonne
2. **Recherche de la prophétie**
- Exploration méthodique de l'université et des archives
- Conflits et tensions entre les personnages
- Détermination à trouver la prophétie malgré les difficultés
#### Partie 85: LES LIVRES BRÛLENT
1. **Autodafés ordonnés par Philippe le Bel**
- Destruction des livres juifs et templiers
- Réflexions d'Évrard sur la violence et la répression
2. **Réfugiés à l'abbaye Saint-Magloire**
- Clotilde et Évrard cherchent refuge
- Discussions sur l'avenir et les prophéties
- Rêveries sur le futur et les innovations possibles
#### Partie 86: MNEMOS. L'INVENTION DU CHRISTIANISME ROMAIN
1. **Conversion de Constantin et concile de Nicée**
- Adaptation du christianisme à la culture romaine
- Introduction de Judas comme traître, exonération des Romains
2. **Problème de la circoncision et solution**
- Déclaration de Jésus comme demi-dieu immatériel
- Imposition de la nouvelle religion catholique
3. **Incidents en Égypte**
- Exécution d'Hypatie et destruction de la Grande Bibliothèque d'Alexandrie
- Sauvetage et circulation clandestine de certains ouvrages
#### Partie 87: LA RÉGRESSION DE RENÉ TOLEDANO
1. **Hypnose et recherches de Mélissa**
- Mélissa exprime son désir de retenter l'hypnose régressive
- Consommation d'hydromel pour faciliter la relaxation
- Mélissa réussit à entrer dans une transe et visualise une vie antérieure
#### Partie 88: MNEMOS. L'INVENTION DU CHRISTIANISME ROMAIN (suite)
1. **Conversion de Constantin et concile de Nicée (suite)**
- Développement du christianisme d'État et persécution des autres cultes
- Sauvetage d'ouvrages par des étudiants courageux
#### Partie 89: Retour de Mélissa
1. **Hypnose et souvenirs**
- Mélissa sous hypnose décrit ses expériences de vies antérieures
- Réminiscences de sa vie en tant que ministre Enguerrand de Marigny
2. **Prophétie dissimulée**
- La prophétie est cachée dans une fausse bible à la Sorbonne
- Exploration et quête de la prophétie dans les archives universitaires
#### Partie 90: Enguerrand de Marigny et ses ennemis
1. **Fuite et capture**
- Enguerrand est pourchassé par les hommes de Charles de Valois
- Tentative de suicide par ciguë échouée, arrestation et emprisonnement
2. **Procès et exécution**
- Procès pour sorcellerie, condamné par Nogaret
- Mort par pendaison au gibet de Montfaucon
- Réflexions sur la prophétie et les Templiers avant son exécution
#### Partie 91: La recherche continue
1. **Retour à la réalité**
- Mélissa se réveille de sa transe avec des révélations sur la prophétie
- Discussion sur les étapes suivantes de la quête avec Alexandre et les autres
2. **Investigation à la Sorbonne**
- Rencontre avec Ibrahim, le bibliothécaire
- Exploration des incunables à la bibliothèque sécurisée de la Sorbonne
#### Partie 92: MNEMOS. LES HÉRITIERS DES TEMPLIERS
1. **Réfugiés en Écosse**
- Templiers survivants trouvent refuge en Écosse après la dissolution de leur ordre.
- Aide militaire aux Écossais et victoire à Bannockburn en 1314.
2. **Développement de la Franc-Maçonnerie**
- Mouvement spirituel des "maçons" se transforme en "franc-maçonnerie" à Londres en 1717.
- Expansion mondiale du mouvement au XVIIIe siècle.
#### Partie 93: Rencontre avec Vespa Rochefoucauld
1. **Confrontation à la Sorbonne**
- Vespa Rochefoucauld apparaît avec un revolver, exigeant la prophétie.
- Tensions et révélations sur les motivations de Vespa.
2. **Les Plans de Vespa**
- Vespa révèle ses actions pour provoquer la Troisième Guerre mondiale et réduire la population humaine.
- Discussion sur la prophétie et l'importance de la reine des abeilles.
#### Partie 94: La Fuite de Vespa
1. **Combat et Évasion**
- Mélissa, Renée et les autres tentent de désarmer Vespa.
- Vespa s'échappe avec la prophétie et la reine des abeilles.
2. **Poursuite**
- Poursuite en moto à travers Paris.
- Vespa se réfugie à la Cité des Sciences, préparant un piège.
#### Partie 95: Affrontement Final
1. **Combat à la Cité des Sciences**
- Vespa libère des frelons asiatiques pour attaquer Renée et Alexandre.
- Mélissa parvient à blesser Vespa et à récupérer la prophétie.
2. **Découverte du Dernier Chapitre**
- Renée lit le dernier chapitre de la prophétie, révélant le futur en 2101.
- Réflexion sur la boucle du temps et l'accomplissement de la prophétie.
#### Partie 96: MNEMOS. PROPHÉTIE AUTORÉALISATRICE
1. **Concept de Prophétie Autoréalisatrice**
- Explication de la manière dont une prophétie peut influencer la réalité.
- Exemples historiques et économiques.
2. **Renaissance des Abeilles**
- Réveil de la reine des abeilles et impact sur l'humanité.
- Transformation de la société et rétablissement de l'équilibre écologique.
#### Partie 97: La Prophétie Autoréalisatrice
1. **Concept de Prophétie Autoréalisatrice**
- La prophétie se réalise parce qu'elle est annoncée.
- Exemple classique : Œdipe.
- Effet similaire dans l'économie moderne, comme les crises de blé.
- Influence des prévisions technologiques, comme la loi de Moore.
- Impact des attentes des enseignants sur les performances des élèves.
2. **Prophétie des Abeilles**
- La reine des abeilles se réveille après un millénaire.
- Événement considéré comme un signe d'espoir malgré la Troisième Guerre mondiale.
- Elle commence à pondre, conduisant à une renaissance des abeilles et de l'écosystème.
3. **Effets de la Renaissance des Abeilles**
- Production alimentaire restaurée, terre redevenant un paradis.
- Population humaine réduite mais stabilisée.
- Émergence d'une nouvelle ère de coopération et de paix mondiale.
- Création d'une ONU efficace imposant un désarmement global.
4. **Prophétie et Société Future**
- Bâtiment ovoïde à Fontainebleau symbolisant une nouvelle manière de vivre.
- Démocratie équilibrée sans augmentation démographique, axée sur l'autosuffisance.
- Éducation, art, et bien-être collectif prioritaires.
- Citoyens inspirés par des voyages dans le passé pour éviter les erreurs.
#### Partie 98: Le Combat Final
1. **Confrontation avec Vespa**
- Mélissa et ses compagnons affrontent Vespa.
- Vespa tente de tuer avec des frelons asiatiques.
- Mélissa réussit à blesser Vespa et à récupérer la prophétie.
2. **Poursuite à la Cité des Sciences**
- Vespa s'échappe en voiture, suivie par Alexandre et Renée en moto.
- Combat final à la Cité des Sciences.
- Vespa est finalement vaincue par les frelons qu'elle a libérés.
#### Partie 99: La Révélation
1. **Lecture de la Prophétie**
- Renée lit le dernier chapitre de la prophétie, révélant le futur en 2101.
- Description d'une société harmonieuse inspirée par la renaissance des abeilles.
2. **Bouclage du Temps**
- Renée envisage de dicter la prophétie à Salvin pour compléter la boucle temporelle.
- Réflexion sur le pouvoir des prophéties et leur impact sur l'avenir.
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 | #10 Bernard Werber : A la découverte de nos vies antérieures ?
 source: youtube.com
 Bonjour et bienvenue dans Métamorphose, le podcast qui éveille la conscience.
Chaque semaine, nous allons partir à la découverte d'une personnalité lumineuse et puis porte une voix d'éveil des consciences. Je suis Anne Ghesiquière, fondatrice du magazine féminin Bio, auteur et évitrice de projets engagés pour un nouveau monde. Dans ce podcast, j'explorerai les thèmes qui m'enchantent et me font cheminer depuis plus de vingt ans autour d'une vision holistique, de l'harmonie du cœur, du corps et de l'esprit. En espérant que ces thèmes seront vous inspirés vous aussi. Le podcast Métamorphose étudie chaque lundi pour bien démarrer votre semaine en conscience. Vous pouvez consulter toutes les informations le concernant sur sémillinbio.com-métamorphose. Pour être informé chaque semaine de sa publication, abonnez-vous au podcast en vous rendant sur votre plateforme de podcast préféré. Bonjour et bienvenue dans Métamorphose. Aujourd'hui, un invité rare et inclassable, tellement son œuvre déborde d'une curiosité noé de science, de philosophie fictionnelle et de spiritualité.
Un julverne contemporain, un compteur du futur, nom du documentaire qui lui est contacté. Avec lui, on entre les deux pieds dans un changement de paradigme qui élève l'âme. Dans le dernier livre, la boîte de Pandore nous emmène à la découverte des vies antérieures. J'ai le bonheur d'accueillir Bernard Werber dans Métamorphose pour parler de Quête de Soie, le rêve d'espastien et du tnose régressif. Tout un programme. Bonjour Bernard.
Bonjour. Dans ton roman, le sujet clé est la régression dans les vies antérieures. À travers ton personnage, René Tolédano, professeur d'histoire à Paris, au lycée Johnny Halliday, qui est invité par Elodie à un spectacle sur l'hypnose sur un paque beau, la boîte de Pandore. Et c'est là qu'il fait la connaissance d'Opal, hypnotiseuse, qui lui fait découvrir une de ses vies antérieures grâce à l'hypnose régressive. Alors d'où devient cette fascination pour le voyage des âmes dans les vies antérieures ? D'abord, je trouve que c'est une idée sympathique, vous nous perspectivez de se dire que notre vie ne commence pas à notre naissance et ne termine pas notre mort. Il y a le concept de vie antérieure offre une perspective.
Nous sommes un épisode d'un feuilleton qui a démarré longtemps avant et qui peut continuer longtemps après. Donc ça relativise les choses. Ensuite, je sens bien qu'il y a des choses que je fais ou des actes que j'accomplis qui prennent leur source ailleurs que dans mon enfance.
C'est comme s'il avait des influences autres. La première fois qu'une médium m'a dit, je peux vous raconter quelques-unes de vos vies antérieures, j'ai écouté ça avec mes fiances et puis après je me suis dit c'est marrant, ça a l'air de rentrer en résonance avec ma vie actuelle. Donc je l'ai écouté sans juger et après je me suis aperçu qu'en effet, ça m'aidait. C'est-à-dire le fait d'avoir entendu ces histoires sur mes vies antérieures me permettait de mieux comprendre pourquoi j'étais comme ça maintenant. Alors qu'est-ce que tu as expérimenté et qui t'as marqué justement dans un voyage par exemple ? Ah, l'un des voyages les plus récents que j'ai fait, je me suis retrouvé soldat anglais durant je pense probablement la guerre de son temps et j'ai pu voir de l'intérieur comment était la vie de cet homme. Il est arrivé, enfin la scène que j'ai vue, s'il est arrivé tôt le matin, il attend des longtemps, longtemps, longtemps et vers la fin d'après-midi, donc on s'est dit qu'il allait que la guerre démarrer et il lançait des flèches, en fait ça rescendait beaucoup à figurants de cinéma. On attend qu'on donne le départ et puis on fait un acte et cette guerre a été gagnée par nous, donc les anglais contre les français je pense. Mais en tant que soldat je ne voyais strictement rien, je suis fait que j'ai lancé les flèches de loin et après il n'y a pas de U.P.
Il n'y a pas de fête, de « on a gagné ». J'avais juste cherché ma solde, en fait c'est vraiment intermettant des spectacles. J'avais jamais pensé à ça, qu'est-ce qui était la vie des soldats avant et après les guerres, parce que nous dans les films on voit tous les instants importants, les chefs qui eut de contre eux. Quand je faisais la guerre je ne connaissais même pas le nom du roi pour lequel je combattais ni même le nom du type en face.
D'ailleurs en tant que soldat anglais je parlais français, ce qui était une langue de l'époque parce que pratiquement dans ce coin là, ça se passait en France, ça devait être des troupes alliées, des anglais, mais le roi d'Angleterre par les français aussi. C'était une période un peu bizarre. Alors de cette villa, j'allais de ville en ville, je n'avais pas de famille, pas de maison et avec mon arc et quand j'ai arrivé dans les villages j'ai assisté à la vie du Moyen-Âge donc ça j'ai souvenir très précis. Ça va je peux développer un peu ? Oui carrément. Et je m'en appelle, il n'y avait évidemment pas de télé, pas de tout ça, donc les seuls spectacles c'était au marché, il y avait les spectacles de théâtre et il y avait autre chose de plus spécial, c'est les gens qui faisaient l'accueil pour monter sur une estrade pour se faire opérer.
Et il y avait deux sortes d'opérations, celle qui était faite par les barbiers parce qu'ils avaient les bons rasoirs et celle qui était faite par les charpentiers parce qu'ils avaient les bonnes scies, mais la stratégie de l'époque c'est qu'on a un bobo quelque part, on coupe. Donc il y avait aussi beaucoup de gens à estropier, c'est quelque chose que je ne ne savais pas avant d'avoir vécu cette ville. Il y avait une autre information que j'ai eue, c'est que Jéréla Tavir me pour essayer de savoir où c'est qu'il y avait des batailles puisque donc mon métier était en soldat, je dois tout le temps savoir où va être la prochaine guerre. Et je me rappelle que dans mon souvenir je savais qu'il fallait pas boire, parce qu'une fois que j'avais bu je m'étais retrouvé dans la rigole du village et on m'avait coupé la bourse dans laquelle je mettais mon or, donc à ce moment là ça veut dire que tout mon futur était remis en question. Ma sécurité c'est cette bourse.
Oui, j'ai l'avez que ça. Et dans cette villa, le moment où j'étais bien c'est quand je tiens à la nature, tout ce qui était vil me semblait rempli d'odeurs et de saleté. Et en un moment quand j'ai eu d'un village, un autre village, ah oui si, je dois rajouter une chose, c'est que je voulais toujours avoir les bonnes informations sur la guerre parce qu'il m'était arrivé souvent que j'étais soit averti trop tard de la bataille et qui osera parler la solitude du soldat qui arrive après la bataille. Et donc, oui c'est jamais mon frère le film non plus, mais le type qui arrive il est arrivé trop tard, j'ai pas de cheval donc j'ai arrivé en courant et bah vu que je suis pas inscrit avant la bataille donc je ne touche pas la solde. Et il y avait un autre élément aussi qui était donc troublant, c'est que je savais qu'il fallait que je méfie de mes collègues parce que quand il n'y avait pas de bataille, les soldats se transformaient en brillants et d'ailleurs c'est comme ça que finalement en voyageant je me suis fait attraper par des brillants qui m'ont tué et moi je devais avoir une vingtaine d'années. Tu vois ta mort à ce moment là ?
Oui mais c'était pas un moment désagréable, c'est juste que je me suis dit bah les collègues ils ont besoin de mon argent donc ils me veulent peut-être que je vous aurais fait pareil parce que je suis les brillants. Il y avait un total fatalisme par contre il y avait une idée très très claire dans mon esprit, ces prochaines vies j'apprends à lire et à écrire parce que en tant que soldat anglais j'avais appris à tirer à l'arc mais j'avais pas appris à lire et à écrire et quand j'arrivais dans une ville il fallait que je trouve quelqu'un pour lui monter la pancarte et lui dire vous pouvez me dire dans quelle ville on est et quand il y avait une pancarte qui annonçait des batailles il fallait que je demande à quelqu'un de lire. Donc dépendre des autres pour lire c'était une angoisse terrible et voilà donc vers 1200 je me suis dit maintenant la lecture et l'écriture c'est deux trucs déterminants je ne fais rien tant que je maîtrise pas bien ces deux éléments. Et pourtant bah depuis tu as pris vécuement à lire et à écrire et combien ? Oui mais on n'y pense pas que dans le passé quand on voit les films tous ces gens c'est roi tout ça ils savent pas lire et à écrire.
A Tila il savait pas lire enfin peut-être à Tila non il avait une formation romaine mais Clovis ou Charlemagne ne devaient pas savoir lire et écrire. J'ai dû voir en tout une cinqui vies précisément dans lequel j'ai vraiment des images de comment on mange comment on vit comment qui sont les gens avec moi parce que des fois je fais une incursion dans une vie et je vois un peu de la vie et je me dis tiens il faut revenir un peu comme un film je vois le trailer et j'y retourne pour aller approfondir c'est ma vie de femme de harem c'est une vie que j'avais entrevue et puis j'y reviens des fois pour approfondir un peu parce que c'est une vie très différente de la mienne donc très surprenante. Surprenante alors comment tu sais justement ces vies antérieures dans les cas que tu voyages ne sont pas des illusions de l'esprit et font vraiment des vies antérieures t'en sais rien peut-être ? Oui je ne sais pas exactement rien. Comment tu fais le sac de tes rêves parce que tu as écrit sur les rêves aussi donc voilà alors si si je vais te répondre un je n'ai aucune preuve que c'est vrai deux je pense qu'il n'y a pas une seule personne qui a une preuve que c'est vrai après c'est le nombre de détails qui est troublant et de détails que je ne pourrais pas connaître autrement. Est-ce que tu as quand même de grandes connaissances un bagage certain donc tu peux pas projeter ça non il y a des détails tu sais que tu les ignorais complètement ?
Oui il y a dans certaines vies il y a des détails que j'ignorais il y a aussi donc depuis que j'ai sorti la boîte de Pandore j'ai fait des j'ai fait des régressions aux gens il y a un certain qui arrive enfin je rappelle avoir leur nom et je me rappelle notamment j'avais fait une expérience de régression un groupe de lecteurs et il y avait une jeune fille qui avait visualisé qu'elle était en table billet en train de faire un tableau et elle voulait faire un tableau très grand avec un motif d'oeil noir et blanc et avec des cornes et à un moment j'ai dit quel est ton nom et elle me dit george j-otrema rge elle était née en 94 donc on a cherché ce qu'il y avait un george peintre qui soit mort avant on a découvert george schultes un peintre suisse allemand pas connu du tout qui peignait qu'en noir et blanc et qu'il y avait des motifs d'oeil avec des cornes ouais ça c'est bluffant quand même là ça c'est bluffant c'est le seul cas où il y a un élément et de la connaissance cette personne elle pouvait pas bluffer ou raconter des trucs non en plus il y a une jeune fille qui a 19 ans et qui faisait son expérience pour la première fois et donc c'était pas du tout le le métier et par la suite elle m'a dit qu'elle est revenue là-bas oui elle fait autre chose qu'elle avait décrit le visage de l'homme il avait une barbe rousse et des petites lunettes rondes et donc quand on va sur internet on a trouvé une image de ce george schultes il y a une barbe rousse et des petites lunettes rondes à chaque fois tu es fasciné par cette je vois ça comme un film j'écoute ça comme un film et je n'ai pas du tout à prouver que c'est vrai ou que c'est faux c'est comme si on disait est-ce que vous pouvez prouver que tous les films qui passent au cinéma sont vrais certains sont vrais d'autres sont faux certains sont peut-être issus de l'imagination peut-être certains issus de mon imagination à vrai dire ça n'a aucune importance mon temps commencé je regarde d'abord est-ce que ça m'inspire de quand je le fais aux autres je regarde ce que ça leur fait du bien est-ce que ça les amuse est-ce que ça leur ouvre des perspectives est-ce que ça leur donne des explications c'est le grand avantage de ne pas être ni un scientifique ni un mystique je n'ai rien à vendre j'ai personne à convaincre ceux qui sont intéressés ils vont ceux qui pensent que c'est du flanc ils vont pas et ceux que ça n'intéresse pas ils ne s'intéressent même pas et tout est parfait tout est juste c'est comprenne qu'il pourra par contre c'est marrant une discussion avec mon fils qui lui maintenant adore faire ça il a 24 ans et il me disait si c'est comme un rêve en tout cas l'avantage c'est que la personne parle en même temps avec le guide donc on peut demander à la personne par exemple pouvez-vous me dire quelle est votre quel est le décor autour de vous regardez vos pieds regardez vos vêtements d'un rêve on peut pas faire ça donc c'est à dire ça serait un mélange cerveau droit celui qui rêve avec le cerveau gauche celui qui décrit et canalise et dans ce cas c'est une expérience de toute façon qui me semble très positive il n'y a pas de risque à faire ça enfin je veux dire il y a si il y en a alors déjà moi je fais une sélection avant de démarrer déjà j'essaie de pas prendre des gens qui regardent avoir des petits problèmes psychologiques les personnalités borderline ou voilà deuxièmement je précise bien ça va être une expérience agréable dans une vie agréable en arrivant au moment le plus agréable ça n'est pas du tout un esprit de la psychothérapie qui fonctionne nous allons dans l'esprit nous allons trouver la source de vos problèmes actuels en cherchant le traumatisme passé moi je cherche pas tous les traumatismes ça m'intéresse pas de que les gens en revenant dans leur vie antérieure se retrouvent au milieu d'une guerre ou prisonniers ou en train de vivre une maladie terrible ou de découvrir ce que il y a quelqu'un qui leur fait mal dans une vie non c'est de la façon que ça fait la boîte de pendants faut pas l'ouvrir n'importe comment mais moi je suis très sélectif c'est pour faire du tourisme dans les vies antérieures et surtout pas pour aller faire du nettoyage nettoyage c'est un autre métier et personnellement je considère qu'on n'a pas à régler des choses du passé le passé c'est le passé il y a comme je dis dans le livre si elle emprunte des anges donc ce chute que fait l'ange avant la naissance de l'enfant c'est possiblement tout ce qu'il faut oublier il y a des choses qu'il faut oublier si tout le monde se rappelait de toutes ces vies antérieures je crois qu'il y aurait beaucoup de gens qui se révaleraient des traumatismes qui ne sont qui n'ont pas lieu de les aider oui en même temps on sait que le fait de connaître nos vies antérieures pour certains et les blessures sous-jacentes à ces vies peuvent régler aussi des choses je me souviens d'avoir étudié ce psychiatre anglais qui était marié à une médium américaine et en fait il a fait faire des régressions sous-hypnose presque au départ sans s'en rendre compte et il s'est aperçu qu'il réglait des problèmes psychiatriques psychiques très forts grâce à ça il faisait un peu de la prose au départ sans le vouloir et bon toi c'est un peu ce que tu expliques quand même aussi dans la boîte de pandore il y a quand même des problèmes qui se règle oui mais ton héros comprend beaucoup de choses à travers ça est découverte de lui à l'étude de savoir qu'il y a des vies antérieures ça ça remet en place nos problèmes comme étant des fruits de choses très anciennes maintenant est-ce qu'on a besoin d'un arbre à aller voir toutes les racines oui ça peut soigner mais en tout cas c'est pas ma fonction à moi moi ma fonction c'est de faire prendre conscience qu'il y a peut-être des des liens entre ce qui nous arrive et ce qui s'est passé après je vous dis je suis pas très fan de aller retrouver des traumatismes passés j'ai fait récemment une conférence à vienne et à vienne pas en autriche mais à vienne en france il y a une dame qui m'a raconté qu'il y a une psychothérapeute hypnothérapeute regassie qui l'a fait revenir dans une vie intérieure où elle a vu quelque chose qui l'a beaucoup troublé et elle lui a dit pour arranger ça maintenant il va falloir que vous reveniez la semaine prochaine et donc elle est revenue systématiquement, chaque fois elle le replongait dans la même scène extrêmement pénible jusqu'à ce que la personne fasse une dépression voilà la limite du système il faut pas faire n'importe quoi avec ce jouet là comme il faut pas faire n'importe quoi avec la psychanalyse comme il faut pas faire n'importe quoi avec hypnose il n'y a pas de pratique qui soit sans risque et il peut toujours y avoir des gens malhonnêtes il n'y a jamais une garantie que tous les hypnothérapeutes sont sont des saints et que tout le monde soit prêt à en profiter donc c'est pour ça que peut-être du fait de ma formation journalique scientifique je pars de l'idée d'abord soyons sceptiques mais soyons pas fermés et après regardons est-ce que ça nous fait du bien mais en tout cas si des gens parmi vos auditeurs se posent la question que dois-je faire si jamais ça va pas ma réponse est vous n'y revenez plus et vous restez pas en train de vous dire à l'alors il faut que j'aille creuser ce problème jusqu'à ce qu'on le réglez d'ailleurs je ne suis pas non plus partisan pour aller revivre les traumatismes d'enfance de type psychanalyse pour arriver à régler les problèmes actuels je crois qu'il y a un moment la phrase est mouvonne il y a eu un passé c'est passé nous a construit maintenant il faut arriver à aller de l'avant sans que ce passé nous bloque et pour ça plus souvent sans construisant un temps heureux qu'on règle le passé ouais tout à fait l'hypnose régressive pour toi c'est une voie d'accès plus rapide et efficace entre conscience il y en a d'autres que soit t'as pu utiliser ou moi j'ai utilisé les rêves j'ai utilisé la hypnose normale l'hypnose régressive la méditation tout ça pour moi c'est juste on va explorer son esprit et c'est des mots l'étiquette même pour moi hypnose c'est pas un bon mot oui c'est une étiquette on est bien d'accord effectivement il faut bien s'entendre sur les mots voilà moi ça proposition acceptation c'est à dire si je vous propose de fermer les yeux vous le faites ou vous le faites pas vous êtes libres sinon je vous propose de fermer les yeux d'imaginer un souvenir d'enfance agréable vous le faites ou vous le faites pas maintenant je vous propose de fermer les yeux et d'imaginer un moment agréable dans une vie antérieure vous le faites ou vous le faites pas et c'est votre choix et ça se peut que ça marche ça se peut que ça marche pas et pour chacun c'est différent hier j'ai fait une masterclass à paris modulant j'aurais proposé que une source d'inspiration pour l'écriture de faire une régression sur 45 participants il y en a eu plus de la moitié qui était capable de raconter une série d'envers la porte sont tombés dans une vie antérieure c'est capable de raconter ce qu'ils ont vu et pour tout le monde ça a été agréable et profitable et donc l'intention en fait voilà mais c'est j'ai envoyé à leur propre capacité à aller voir ça je me rappelle la première fois que j'ai rencontré un hypnotisteur il m'a dit hypnotisteur n'a aucun mérite c'est l'hypnotisé qui fait tout le travail hypnotisteur il propose en fait un hypnotisé de soto hypnotisé quand je dis fermer les yeux et imaginer un lac dans lequel une plage boire dans le lac dans lequel vous bronzé c'est le travail de cinéaste va être fait par hypnotiser pas par hypnotiseur il a 5 guilles voilà du guidage dans une promenade dans l'esprit et comme je dis il y a des gens qui sont beaucoup plus sensibles et qui démarrent en quart de tout il d'autres il faut plusieurs séances où il faut les rassurer où il faut leur donner des gages que ça va marcher donc ça fonctionne pour chacun c'est différent et il n'y a pas de règles c'est bien c'est mal c'est juste est ce que ça la question soudait est ce que ça vous fait du bien ou est ce que ça vous fait pas du bien les états de consensus modifié ont toujours existé pourquoi est ce que c'est pas plus répandu en quelque sorte parce que nous sortons doucement du Moyen Âge et que on a l'impression qu'on est très évolué mais il suffit déjà de quitter les capitales puisque j'étais journaliste localier en la France profonde je peux vous dire que il y a des endroits où ils en sont très très très très très loin et quand vous êtes dans certains pays alors là ils sont carrément à l'antiquité donc il faut pas croire que tout ce qui se passe à paris et tout ce qui se passe dans les des journaux et les nouveaux médias c'est le monde la deuxième guerre mondiale a fini mon père a fait le débarquement avec l'armée américaine donc a fini avec la génération précédente on est dans la tranquillité militaire et la tranquillité de confort on a garantie de manger tous les jours de ne pas mourir d'épidémie de la peste de ne pas avoir de guerre que depuis très peu de temps donc après il y a des angoisses économiques et ce n'est que quand on a résolu les angoisses de survie et les angoisses économiques qu'on peut se poser des questions existentielles comme est ce que j'ai eu des vies antérieures donc vu qu'on est sorti de la peur que depuis deux générations tout au plus il faut un temps pour se dire maintenant qu'on est sorti de la peur quels sont les nouveaux chemins à explorer et en fait c'est une infime minorité de gens sur la planète qui commence à se poser des questions sur qui suis-je ou vège donc les tâchères non d'où viens-je d'où je vais et qui suis-je et c'est pour ça que ta démarche de journaliste participe à diffuser ça comme ma démarche de romancier c'est que nous sommes à une époque de faroueste la spiritualité n'est pas du tout répandue avant c'était la religion que cupez tout l'espace de réflexion on va dire et de gestion de la peur de la mort et des questions non sur la naissance la religion perd un peu de terrain et encore elle perd du terrain mais à ses cris il y a encore plein de guerres de religions ce qui montre que c'est pas du tout on n'a pas encore sorti Il y a ensuite toutes les mauvaises habitudes, ce qu'on appelle les traditions qui font qu'on n'arrive pas à décoller des erreurs de nos parents. Je veux bien cette phrase, il ne faut pas confondre tradition et mauvaises habitudes. L'esclavage était une tradition, on a bien fait de s'arrêter.
Il y a plein de choses anciennes, de scorie anciennes qui nous empêchent d'aller librement vers un monde plus léger. Mais d'ailleurs il suffit de regarder la télévision. Les journalistes ne sont pas spécialement intéressés pour la spiritualité, il n'y a pas de spiritualité présentée au journaux télévisé. Ce qu'on nous montre c'est des crimes, des atrocités, du terrorisme, des gens souvent pour la télé-réalité qui ont un niveau d'éducation et de curiosité très très bas.
Et c'est ça qui intéresse le maximum les gens. Et puis la spiritualité je trouvais vue vraiment comme quelque chose en dehors de la religion entre guillemets officiels comme soit ésotérique, soit dans une secte, soit... Oui, c'est pour ça qu'il y a des gens comme Christophe André qui ont permis d'ouvrir la méditation en dehors de la religion et en dehors de son côté secte et de son côté ésotérique. On fait un travail formidable. Il y a un moment, il faut se dire, ok, la méditation ça consiste juste à fermer les yeux et à essayer de faire le vide.
L'hypnot, ça consiste juste à fermer les yeux et visualiser des choses. Et puis c'est tout, c'est bon. Il n'y a pas besoin de faire des études, il n'y a pas besoin de passer des diplômes et d'être formés par des maîtres extraordinaires. C'est une capacité que nous avons naturellement, donc nous avons oublié. Donc on ne fait que se rappeler qu'on peut le faire, c'est tout. Alors n'en faisant pas tout un point, tu as raison, je suis complètement d'accord avec ça. Tu as 821 ans Bernard, tu étais atlante, les atlantes ont dit l'existé pour toi.
Et je parle beaucoup dans ce roman, est-il un peu autobiographique par certains aspects ? La vie que j'ai le plus visité, c'est ma vie d'Atlante, même si comme toi, je suis passé aussi par la case égyptienne en tant que femme. Ma vie d'Atlante était la vie la plus rigolote, sympathique et qui me met en sourire chaque fois que j'y vais.
Pourquoi ? Parce qu'à d'abord, mon atlante, enfin l'aide qui m'a semblé que j'étais, je ne s'appelle pas les atlantes d'ailleurs. Le mot vient de Platon, rapport à Atlantis, mais selon moi, on s'appelle entre moi, ce que j'appelle Amempta, c'est vraiment le mot qui m'est venu quand je pensais à là-bas. La première fois que j'ai eu un contact, la première régression que j'ai fait dans une vie antérieure, je me suis retrouvé dans la peau d'un homme qui faisait des ricochets dans l'océan avec des galets. Et après, je me suis approché de lui, j'ai senti ce qu'il sentait et j'ai eu la première sensation, ça a été qu'est-ce que ce type est décontracté. Et on imagine parfois des attentes avec des pouvoirs extraordinaires. Moi, je découvre son pouvoir le plus extraordinaire, c'était d'être cool et complètement relaxement, permanence, aucune peur, aucune angoisse, aucune contrariété.
Et je me suis dit qu'est-ce que c'est rafraîchissant d'être dans la peau d'un homme décontracté. La deuxième information que j'ai eu, c'est qu'il a 821 ans. Et là, je me suis dit, je comprends maintenant qu'ils sont aussi décontractés en 800 ans, relativistes tout aussi. Et je prends tout la tête avec des conneries parce qu'on a compris que ce n'est pas si grave que ça. C'est quelque centenaire pour méditer. D'ailleurs, j'en suis arrivé juste après à l'idée qu'on mourrait de manière prématurée, mourant vers un moyen à 85 ans. Ça veut dire qu'au moment où on aurait pu comprendre tout, et parfois d'ailleurs plus en bon état.
Parce que lui, il avait 821 ans, mais il était hyper jeune d'apparence. En fait, il me ressemblait, il avait les cheveux blancs, j'ai les cheveux gris. Et il était beaucoup plus musclé, il avait encore beaucoup plus souple que le mien. En fait, il était en meilleur santé que moi. Lui, il y a 821 ans, il était en meilleur santé que moi à 50 ans. Alors cette question justement sur les Atlantes.
Alors pour toi, les Atlantes sont les plus vieilles âmes et je m'ai déguimé parce qu'on parle des vieux antérieurs, mais on pourrait aussi parler des vieux futurs. J'ai rencontré des personnes, et notamment une femme extraordinaire qui s'est agée aujourd'hui et qui a failli être ministre de la Santé à une certaine époque. Il était une très grande scientifique et qui, elle, avait vu des vies futures et qui avaient pu appréhender des technologies qui n'existaient pas.
Et donc, elle a parlé à des personnes effectivement qui pouvaient connaître ces technologies, qui nous ont dit oui, c'est des choses qu'on pourrait imaginer, qu'elle ne pouvait absolument pas imaginer dans son... Et donc, par rapport à ces vieilles Atlantes, est-ce qu'on pourrait dire que c'est le début de quelque chose ? Comment ça ? De début, la fin. La plante ?
Les Atlantis ? Alors, dans ma vie d'Atlante, j'avais déjà demandé ma vie où j'ai connu ma plus grande histoire d'amour. Donc ma plus grande histoire d'amour, je l'ai connu en Atlantine, à 821 ans.
Donc c'est au moment où j'ai débarqué, c'était le moment... Alors du coup, j'ai retrouvé mon Atlante plusieurs autres fois, c'est une première fois y'ait. Comme je disais, un premier contact et après on y revient, comment on part en vacances d'un pays, quoi. Et vu que je m'extériorisais, donc quand on fait une régression pour ceux qui ne connaissent pas, on place la caméra où on veut, soit on est à l'intérieur, on ressente comme le personnage, mais on peut se mettre aussi à l'extérieur. Et là avec l'Atlante, j'apparais sous ma forme actuelle, là-bas. Donc nous avons un dialogue tous les deux. Lui, visiblement, il m'a aidé à gérer ça.
C'est-à-dire pour lui, c'est normal, c'est lui qui m'a expliqué qu'on peut faire ça et donc je l'ai fait. Donc on se retrouve, je le retrouve un copain, quoi. C'est-à-dire je ne fais pas que retrouver une vie en terre, et je le retrouve un copain. Et on discutait une fois, je lui ai dit, quand même il y a 12 000 ans, j'étais toi.
Donc ça veut dire qu'il y a 12 000 ans, j'étais décontracté, je lui ai vu 821 ans, j'étais en parfaite santé. Et là maintenant, je suis moins bien que toi, c'est-à-dire je ne suis pas décontracté, je ne vais pas vivre longtemps et je ne suis pas en parfaite santé. Et je lui ai dit donc si en plus j'ai envie, il est tout le temps calme et avec de l'humour beaucoup, beaucoup d'humour. Tu sembles calme quand même Bernard quand on te voit comme ça.
Oui, mais par rapport à lui, et j'ai dit en fait, tout ce qui a eu entre lui, entre toi et moi, c'était que pour, c'était en dessous de toi. Et mon objectif de vie, c'est arriver à te ressembler. C'est-à-dire vivre le plus longtemps possible, avoir de l'humour, être décontracté et tout prendre avec cette légèreté qui te caractérise. Il m'a dit que tu te trompes. Si la personne a envié, c'est toi. Moi je t'envie toi, je ne comprends pas parce que tu peux diffuser ta pensée sur des millions de personnes. Moi quand j'ai une idée, je peux en parler à quelques centaines de personnes, quand j'ai mourir, on va oublier même que j'existais. Tandis que toi, quand tu fais des livres, tu peux être relu par des millions de gens dont tu diffuses très, très largement et quand tu mourras, tes livres continueront de vivre. Et me dis voilà ce que je t'envie le plus, c'est l'imprimerie. L'objet livre, qui est quelque chose que nous n'avons pas.
Ils avaient des textes mis de l'écriver à la main sur du papier comme du parchemin, mais ils n'avaient pas l'imprimerie. C'est l'imprimerie qui disait tout ce qui a entre toi et moi, tout ce qui a, tout cette évolution n'a servi qu'à ça, à arriver à une incarnation dans laquelle je peux utiliser ma pensée, transformer en toi, pour utiliser l'imprimerie pour être diffusée. Il est quand même très malin parce qu'il a réussi à traverser tous ses âges pour réussir à traverser toi, à faire ce qu'il usait envie. Il n'y a pas de surprise non plus, il y a un bout de toi. Mais j'ai pris conscience de la chance que j'avais de pouvoir diffuser ma pensée aussi largement. Et c'est vrai que dans toutes mes autres vies précédentes, j'en ai eu son a priori, entre lui et moi, toutes les autres vies, je suis né, j'ai fait des trucs pas spécialement intéressants.
Mais en tout cas, après, je restais en souvenir de mes enfants et de mes petits-enfants, puis la génération suivante, c'est la arrière grand-parents, on était oubliés au mieux. Donc en fait, chaque fois je vivais et j'étais oublié. Et vu que je n'ai pas laissé de trace, je n'ai pas eu de vie célèbre, je n'ai pas été juleverne, je ne crois pas avoir été quelqu'un célèbre en dehors de ça. En fait, je n'ai pour rien, je n'ai pas n'ai pour rien, je n'ai pour évoluer moi, pour mon esprit évolu, mais je n'ai pas laissé d'empreinte marquante.
D'ailleurs, il y a une autre de mes vies qui est claire aussi, mon comportement. J'étais, on va dire, herboriste dans un pays d'Amérique latine, peut-être Perou, peut-être Chili, c'était en montagne. C'est un village, il y a 400 personnes. J'avais été formé par un maître qui m'avait expliqué comment connaître les arbres, les sèvres, les herbes, comment faire des potions. J'étais un potiquaire, pharmacien, on va dire. Mais ça du se passer avant l'arrivée des conquistadors, parce qu'il n'y avait aucune allusion au conquistador. Je dirais 1400, peut-être dans les Andes, au Pérou.
1400 au Pérou. Je précise pour ceux qui ne connaissent pas, quand vous arrivez dans une vauvie précédente, il n'y a pas écrit l'année, il n'y a pas écrit le lieu. Il n'y a pas forcément même votre nom. Vous débarquez au milieu d'un film, dans lequel vous n'avez donné aucune information. Il n'y a pas encore des sacs. Il n'y a pas de sous-tiprage. Et par moment, on voit un décon, ce n'est pas à quelle époque dans quel pays.
Quand j'étais herboriste en Amérique latine, j'avais été formé par un maître, je me rappelle un atelier rempli de plantes qui sentaient très fort. Et il m'a dit, avant de mourir, il m'a dit, il faut que tu aies un disciple comme moi, je t'ai formé et que tu formes quelqu'un. Et j'ai dit oui, et puis il est mort, et puis j'ai cherché un disciple. Mais sur un village de 400 personnes, trouver quelqu'un qui s'intéresse à l'herboristorie, finalement, je n'y suis pas arrivé. Il n'y avait pas. Et je suis mort avec le sentiment de ne pas avoir rempli ma mission, savoir recevoir une connaissance et ne pas l'avoir transmis. Et ça, c'est une des frustrations depuis que je suis petit. C'est pour lui que je puisse transmettre les connaissances que j'ai reçues. Parce que je suis à soi fait de connaissances, mais une fois que je les ai, j'ai envie de tout de suite de les offrir. De les partager.
Voilà. Et quand j'étais petit, quand j'ai commencé avec un tic-toc-toc-toc, ça a un relatif absolu. J'avais envie de le raconter à tout le monde. Je voulais que tout le monde s'en foutait. Je pensais aussi que j'ai écrit des romans. Je me suis dit que les gens qui sont autour de moi, ce n'est pas un cercle assez large.
Il faut que j'ai argis de cercle jusqu'à ce que j'arrive à trouver des gens qui s'intéressent à tout ce que j'ai découvert. Et en même temps, ton toit, Atlante, dans cette vie majeure et très, très lointaine, est-ce qu'il avait besoin de diffuser ce changement de paradigme et cette sagesse ? Parce que quelque part, il a vivé peut-être à ce moment-là plus que nous.
Alors que toi, aujourd'hui, tu arrives dans une époque où le fait de pouvoir démultiplier ton message participe quand même à cette éveil, à ce souquantique déconcience dont le monde a quand même besoin. Alors, c'est vrai qu'il était tous aussi cool que mon Atlante, donc toute la population n'avait pas besoin d'apprendre la spiritualité. Mais par contre, il avait besoin d'apprendre d'autres choses.
Par exemple, il n'y avait quand même pas tous des sages et il n'était pas tous omniscient. Dans la vie que mon Atlante, je me rappelle, il y avait des moments où lui-même découvrait des choses. Il disait, tiens, ça serait bien que j'en fasse bénéficier d'autres genres.
Par exemple, le métier de cet Atlante, enfin l'occupation de cet Atlante, c'était le soin énergétique. Donc il soignait les gens avec les mains. C'est un peu comme de la cuponcture, si ce n'est qu'il n'y a pas d'aiguille. Il est ça en focalisant avec la pomme des mains sur des points précis. Mais des fois, il découvrait de nouveaux points. Ou des fois, il découvrait de nouvelles méthodes, notamment avec de l'eau. Il y avait des soins avec de l'eau qui faisait bon.
Oui, il serait le chat de soul, le magnétisme aujourd'hui. Voilà, des autres choses. Mais quand lui, il fait une découverte, il peut en parler à ces quelques collègues qui sont dans la même ville que lui. Mais il y avait plusieurs villes d'Atlantes. Il ne peut pas diffuser, il ne va pas aller faire le tour des villes d'Atlantes.
Alors dis-en, les gars, j'ai découvert un nouveau truc, on peut soigner en faisant ça. C'est ça qui manque à l'Atlante. Mais dans les autres domaines, dans les autres domaines en dehors des soins énergétiques, il y avait d'autres d'Atlantes qui faisaient d'autres découvertes et qui avaient envie de les diffuser.
Il ne pouvait les diffuser que sur des parchemins avec une très faible diffusion. Dans ton roman, tu parles aussi de Nout et Gheb, qui font dans la mythologie égyptienne et qui font des personnages clés de ton roman. Est-ce que c'est vraiment l'écrivain qui s'imagine tout ça ou c'est pour toi, un scénario possible ? J'aime bien la mythologie égyptienne, elle m'a l'air basée sur des faits réels, après qui ont été comme pour la mythologie grecque en jolie vée et puis on a ajouté du magique dessus. Mais que des Atlantes arriveraient vraiment comme ça en Égypte ? Si une hypothèse romanesque qui me plaît, que je ne pourrais jamais vérifier, il semble en tout cas que la pyramide n'est pas pu être construite par des hommes à cette époque-là. C'est la pyramide de Keops qui est la plus connue à non pas 2500 ans, mais 5000 ans.
Donc ça veut dire qu'elle existait 2500 ans avant la naissance de Keops. Donc ça veut dire qu'il y a des gens il y a 5000 ans qui étaient capables d'avoir une technologie quand même, architecturale, très avancée et ça n'a pas d'explication logique, autre qu'une forme de civilisation, d'intelligence un peu plus avancée que la nôtre, sans parler que ma théorie des géants expliquerait qu'ils avaient déplacé des blocs de pierre aussi, je crois qu'il y avait des blocs de 17 tonnes qui même avec une armée d'estlames on ne peut pas déplacer, en tout cas on ne peut pas les faire venir remonter tout le nid et tout. Donc l'hypothèse des géants, des civilisations de géants venant de l'Atlantine me semble la plus sympathique et c'est celle qui m'amuse chaque fois que je pense.
Donc d'ailleurs mon atlant était probablement en mon avis un géant, il devait faire 17 mètres, comme d'ailleurs dans toutes les mythologies, dans la mythologie grecque on dit avant les premières civilisations humaines il y avait civilisations de titans ou de géants et c'est contre ça que l'hut lisse, contre ça que l'hut zeuse, voilà, c'est-à-dire qu'il y a un moment où il y a des gens qui ont éliminé une civilisation de géants qui édicitaient. Alors moi j'ai déjà signé par ton roman la boîte de Pandore et comme tous tes romans d'ailleurs qui sont juste incroyables, qu'est-ce que tu cherches à faire comprendre aux humains à travers ton œuvre, tes romans Bernard ? Ah, déjà je vous en propose de se questionner sur pourquoi ils sont là. Je crois qu'ils ne se posent pas cette question, on vit juste avec ce que nous ont dit nos parents, l'école, nos professeurs, les journaux, puis on meurt et puis on est peut-être passé à côté de sa vie. Donc j'ai déjà envie de dire aux gens, ne croyez pas uniquement ce que dit le système, posez-vous la bonne question qui êtes-vous ? Qu'est-ce que vous faites là ? Pourquoi le militaire existe ?
Pourquoi la terre y a de la vie sur terre ? Et par rapport à ces questions vont arriver des réponses qui vont vous forcer d'élever en conscience. Élever en conscience ça veut dire tout d'un coup renoncer à accumuler des biens de consommation, renoncer au pouvoir, renoncer au conflit et découvrir les possibilités de son propre cerveau ainsi que notre capacité à nous intégrer dans la nature. Il y a un peu toutes ces idées là, mais au fur et à mesure que j'ai écrit, j'évolue là-dedans et cette idée progresse. Mais le questionnement qui sommes nous est à la base de la sagesse. La plupart des gens sont malheureux ou cassés les pieds de leurs voisins parce qu'ils n'ont pas compris qui ils étaient, ils semblent qu'ils ne sont pas à leur place, alors ils en veulent aux autres de ne pas être à leur place alors que c'est eux qui ont fait les mauvais choix. Donc j'espère que mes livres donneront envie à ceux qui se posent des questions de faire les bons choix et donc à ce moment-là ils n'auront plus envie de faire violence aux autres. Quels sont tes rêves aujourd'hui justement, continuer à poursuivre cette œuvre ? Là tu prépares ton nouveau... Tu veux dire mes objectifs parce que mes rêves, j'en ai beaucoup mais c'est pas forcément mes objectifs. Mes objectifs, qu'est-ce que je vais faire ? Qu'est-ce que tu veux faire pour suivre ton œuvre ? Là tu écris la suite aussi sur les chats, c'est ça ? Le moment où je te parle, je suis dans ton bureau et je vois un magnifique chat sur plusieurs chats sur l'étagère. Celui-ci est le vrai bassetette qui est issu du l'ouvre, c'est une copie du vrai bassetette issu du l'ouvre.
Je suis bim. Et il a étonnamment un emplacement qui ressemble à une clé USB sur le front. Ah oui, effectivement oui. Tu le vois ? Je le vois maintenant. Je ne le voyais pas, il y avait un peu dessus. C'est pour ça que je l'achetais tout de suite. C'est le précédent dans le musée du loup.
Donc le download. Oui, j'écris la suite. Et donc, ta question ? Non, ma question c'était aujourd'hui quelles sont tes objectifs, quelles sont tes rêves en fait par rapport à cette... Moi, d'abord, il y a des rêves artistiques, il y a des rêves non-artistiques. Il y en a plusieurs. Mon rêve le plus fou, ça serait de faire le papier en désétoile, c'est-à-dire un peu de la planète qui fonctionne avec des voiles solaires. Laquelle ? Laquelle quoi ? La planète.
Ah ! La planète qu'on trouvera viable. Pour l'instant, on n'arrête pas d'en trouver des viables, mais la plus viable est toute celle qu'on a trouvé viable. Et ça c'est l'objectif, si vraiment je suis réussi ici et partout, avant ce que j'aimerais dans le désordre. J'aimerais bien avoir une application scématographique pour que j'en puisse voir ce que j'avais imaginé sur un écran. Donc passer des mots au cinéma. Mon autre objectif, c'est de créer une sorte de communauté de gens qui sont dans le même question de moi et qui ont envie de s'entraider. Je fais un peu ça avec les masterclass.
Oui. C'est-à-dire que je leur dis que l'écriture est un outil qui va vous permettre de mieux savoir où vous en êtes dans votre vie. Après, ça peut que ça soit dans un roman ou ça vous donne un métier, mais déjà ça vous apporte une manière de faire le point sur où vous en êtes.
Et ça peut, si ça devient une habitude, vous allez voir que vous n'avez plus besoin de psychanalyste parce que le roman devient votre psychanalyste. Ou l'écriture même, c'est pas vraiment. L'écriture, voilà, écrite au thérapie. Et donc là, je suis dans ces masterclass. Je leur fais au sein de masterclass des régressions. Je leur apprends la méditation. Je leur apprend le tarot.
Je leur apprends quand j'étais en Suisse, je leur appris le tai shi shuan. Pour moi, tout ça est lié à une sorte d'éveil de l'esprit qui peut se manifester par l'écriture, mais qui peut se manifester aussi par d'autres actions artistiques ou sociales. Je suis très dans une envie de créer une fourmillaire, une communauté de gens qui s'entraide et qui soit dans le partage et qui diffuse des idées nouvelles. Et tu le vois, ce changement de paradigme. Tu as écrit les fourmis, tu l'as publié il y a quoi plus d'une vingtaine d'années maintenant. Oui presque un complice.
30 ans. Il y a tout 30 ans là. Oui, ça paraît loin déjà. Et comment tu vois justement l'évolution par rapport à tes lecteurs, par rapport à l'époque, le saut quantique, le saut de conscience que l'on vit ?
Tu le vois ? D'abord, je trouve qu'il y a de plus en plus de gens qui éclaire le chemin. Le fait qu'il est ton journal, le fait qu'il est ce podcast, le fait qu'il y ait des journaux, des supports ou même des applications sur le smartphone qui a de la méditation, des modes New Age qui sont enfin effectifs, ce sont quand même des choses très positives. Ta science était... Comment je vois le... Oui, est-ce que tu as vu cette évolution justement dans les consciences, le changement de paradigme ? Je vois qu'il y a de plus en plus de gens qui bougent. Déjà au niveau de la nourriture, qui a une prise de conscience que manger de la viande qui a souffert, c'est un problème. On le voit apparaître. Il y a une réflexion sur la vie animale.
Il y a une réflexion qui commence à avoir lieu sur la planète, sur le réchauffement climatique parce qu'on en subit les conséquences et qu'on voit de plus en plus de cataclysme et de plus en plus de problèmes comme si la Terre se révoltait. Si je crois que... En fait, je connais de plus en plus nombreux les humains, il va y avoir de plus en plus de gens formidables qui vont à la bonne direction, mais malheureusement, il va y avoir en même temps, simultanément, de plus en plus de cons qui tirent vers le bas. Donc, il va y avoir de plus en plus de gens élevés et de gens qui sont crispés sur les systèmes anciens qui ont déjà montré qu'ils ne marchaient pas. Donc, dans le futur, il devrait y avoir...
Comment dire ? Peut-être un choc entre les gens qui tirent vers le haut et ceux qui tirent vers le bas. J'espère que ce sera ceux qui tirent vers le haut qui gagneront.
C'est une très bonne conclusion. Je t'en remercie, Bernard. Bernard Verbert, pardon, je rappelle le titre de ton dernier livre, La boîte de Pandore, et puis bien entendu à la rentrée prochaine, comme sous les vents, se rendez-vous avec un nouveau roman sur les chats, c'est ça ? Oui, il n'y a pas de titre, mais c'est la suite de demain les chats.
Et je dois avouer qu'à travers les chats, j'arrive à faire passer plein d'informations qu'ils ne pourraient pas être prononcés par des humains, parce que les chats n'ont pas être politiquement corrects, donc ça m'amuse beaucoup. Et puis mon héroïne étant une guiva un peu prétentieuse, elle m'amuse aussi beaucoup. Bastet, elle s'appelle. C'est une sorte d'incarnation de la déesse Bastet, la femme à tête de chat, mais... Quand on avait déjà rencontré dans le... Dans le Demané-Chat. Dans le Demané-Chat. Dans la vie pour octobre, si tout va bien.
Enfin, je m'amuse énormément, je rigole tout seul en éclairant les passages. C'est génial, parce que je peux garder son âme d'enfant, et c'est le cas pour toi, merci beaucoup Bernard. Merci beaucoup. Merci.
Merci de nous avoir écrasés. Je vous donne rendez-vous pour une interview avec une personnalité lumineuse, chaque lundi, pour bien démarrer la semaine en confiance. Vous pouvez retrouver Métamorphose sur de nombreuses plateformes, et bien sûr laisser votre avis, et vous abonner sur Apple Podcast, pour le recevoir chaque semaine.
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 | Entre FB Live avec Bernard Werber sur son livre La Boîte de Pandore
 source: youtube.com
 Bonjour tout le monde et bienvenue à cette entrevue Facebook Live avec l'écrivain, c'est le briquivain français Bernard Werber sur son dernier livre La boîte de Pandore. Et je suis vraiment très heureux de faire cette entrevue avec vous aujourd'hui avec Bernard parce que pour moi c'est vraiment un écrivain que j'apprécie beaucoup, il y a une plume extraordinaire et je l'avais connu plusieurs années avec son livre, bon évidemment les fourmilles, les tannots, un autre qui m'avait vraiment passionné.
Et son dernier livre, ça touche le coeur même de ma profession, les régressions vieillent arrière donc vous pouvez imaginer que c'est vraiment un plaisir pour moi de faire cette entrevue avec lui aujourd'hui. Donc avant de commencer rapidement, juste pour comme d'habitude quelques petits trucs à clarifier avec vous, ben comme vous le savez, je prépare toujours un petit document avant qui contient des liens de référence par rapport à Bernard, certains sites, certains des entrevues qui aient passé, qui aient fait sur le sujet. Donc vous avez juste à écrire le mot lien et vous allez avoir accès à ça et vous pouvez l'écrire dans les commentaires puis je pense que je peux même faire apparaître comme ça ici, voilà comme ça ça devrait apparaître à l'écran. Et évidemment si on a le temps à la fin, je prends tout le temps un petit peu à quelques moments pour prendre des questions donc vous avez des questions, vous pouvez les écrire à la fin quand je vais vous le mentionner. Aussi si vous avez des commentaires pendant, moi après l'entrevue, c'est certain que je n'ai pas le temps de tout voir ce qui passe, mais à la fin je relue tous les commentaires même si il y en a des centaines parce que pour moi c'est passionnant de voir ce que vous en pensez donc si vous avez des commentaires n'hésitez pas. Et évidemment ben si vous voulez que d'autres personnes profitent de cette entrevue-là, ben n'hésitez pas à la partager, liker comme ça un maximum de personnes peuvent bénéficier de cette belle entrevue. Donc sans plus tarder, je vais inviter Bernard à se joindre à nous.
Tch, voilà. Bonjour Bernard, merci beaucoup d'aller aujourd'hui pour cette belle entrevue. Ah ben ça fait plaisir, on avait beaucoup de monde qui avait hâte, on est déjà 152 personnes en direct, c'est vraiment super un début d'entrevue, c'est le fun. Bernard avant de commencer, moi avant d'aborder le thème du livre, j'aimerais ça te poser quelques questions sur la spiritualité de façon générale parce que c'est quand même un thème qui revient assez fréquemment dans tes livres et j'aimerais ça te poser la question, c'est venu quand pour toi dans ta vie, la spiritualité ? Alors, j'ai eu d'une rencontre, il y a un peu d'écho de ma voix, c'est normal.
Ah, on l'interpare, moi je l'interpare. D'une rencontre quand j'avais 13 ans, en colonie de vacances, j'étais ailleurs, et il y a un autre enfant qui avait 13 ans, qui pratiquait du yoga et qui était très calme et qui me semblait complètement bien. Je suis venu, je lui ai demandé c'est quoi son secret, il me dit voilà, je fais du rajya yoga et je lui ai dit bah apprends moi. Et à partir de là, je pensais découvrir du yoga et ce que j'ai découvert c'est une spiritualité, à savoir, il m'a appris à être conscient de ce que je fais, à penser tout le temps à l'énergie de vie qui est en moi, à m'arrêter par moment pour faire le vide, à tenter de maîtriser le battement de mon coeur, il m'a pris à respirer, il m'a appris à marcher, il m'a appris à me lever tôt le matin pour voir le sleigh se lezer, il m'a appris aussi à faire de la décorporation, à sortir de mon corps pour voyager dans l'espace, tout ça en un mois, j'étais son une disciple, je ne comprenais pas que tout le monde ne s'aperçoive pas que ce type était génial.
Après lui il me dit que c'est du yoga, j'ai fait dans les clubs du yoga, il n'est plus du tout ça, il est juste des clubs ou des dazanas ou des postures, il n'y avait pas la puissance de ce qu'on est, il n'y n'avait pas la métuce du coeur. Du coup j'ai continué à chercher cette paradue perdue, cette association perdue de 10 000 manières en étant quand j'ai fait 20 scientifiques que je cherchais tout le temps dans la limite entre le monde connu et irrationnel acceptable. Après j'ai écrit celui notamment à l'État de la Thonoke qui était mon livre qui parlait du lien entre la science et la spiritualité. Ah c'est intéressant et tu m'assoinais contrôler les battements de coeur, tu as réussi à maîtriser les battements de coeur ? J'ai surtout compris que tout était une question de ressenti, il m'a semblé que je le méprisais, maintenant il aurait fallu qu'il y ait une machine qui puisse vérifier ça. Mais une fois, alors comme si on faisait un hélico-cardioprame, j'ai demandé à ce que la personne regarde mes battements et quand j'ai dit, je vais faire une petite petite rituelle pour faire ralentir, la personne m'a dit en effet c'est un ralenti, donc je sens qu'il arrive un peu, mais je ne suis pas capable de les ralentir complètement comme arrive sur un église, il se met pratiquement en état de cette année.
Mais ça reste un de mes objectifs, c'est comme j'arrive à maîtriser ma situation pulmonaire, arriver à maîtriser mes battements cardiaques. Je le sens que ça n'a pas eu un jeu intéressant. Et tu as mentionné aussi qui t'a appris les voyages astraux, tu as eu des expériences de cette éploi ? Alors tant qu'il n'y a pas une machine pour détecter si ça marche, ça marche pas, je dirais si ça ressemble, on était de la côté dans une posture du lotus et lui j'ai bien vu qu'il était plus en son corps parce qu'il y a un moustique qui s'est posé sur sa paupière et qui a planté son dard dans la paupière et il n'a pas freiné. Et là je me suis dit ok, c'est un tas de biandes que j'ai à côté, il n'est plus là-dedans.
Et après il m'a dit d'idée, il m'a semblé que j'arrivais, mais après j'avais pas cru que c'était pas le cas, mais entre trois, que ça s'est passé et que ça se passe vraiment, il y aura toujours une limite floue. Même quand je parle d'hypnose, même quand on parle de visite en l'habitant intérieur, j'ai l'impression que ça marche. Maintenant tant qu'il n'y a pas un détecteur comme un compteur Gégère qui regarde si votre âme et toujours dans votre corps aussi elle est sortie, on est que dans le domaine du ressenti et l'intuition. Et tant mieux. Et parce que toi tu as quand même un côté irrationnel ou scientifique assez développé quand même. Je pense que pour ces choses là, niveau partir du scepticisme que de l'enthousiasme.
Parce qu'une fois qu'on part du côté, on est certain que ça marche, ou on est certain qu'il y a Dieu, ou on est certain qu'il y a des extraterrestres, il n'y a plus rien à couver, il y a juste à confirmer une intuition ou un peu une certitude. Tant mieux si on est dans le doute, il y a un chemin unique. C'est ce qui me fait d'ailleurs un mot spiritualité par rapport à religion. Religion, ça veut dire qu'on est relié à Dieu, donc tout est fini. Une spiritualité, je visualise une spirale qui monte et qui chaque fois essaie de comprendre des choses pour s'élever. La spiritualité me semble une quête sans fin alors que la foi me semble une chose ferme et statique.
Vous allez la fois, vous l'avez partie. Dans de la spiritualité, c'est une quête pour comprendre qui on est, qu'est-ce qu'on peut faire, est-ce qu'on peut explorer des nouvelles zones et ça me semble plus intelligent et plus honnête d'être dans un cheminement plutôt que d'être dans une certitude. Et d'ailleurs tu as eu des expériences spirituelles ou une expérience spirituelle particulièrement significatives ou que tu as réconnecté à plus grand que ce soit d'une certaine façon? Plus grand que soit, non.
L'expérience spirituelle la plus significative que j'ai eue, c'est quand j'ai fait une expérience digneuse régressive dans une des médias intérieurs. J'avais demandé à aller dans la vie où j'ai connu ma plus grande histoire d'amour et c'est avec un monsieur qui s'appelait Philippe Lovon, qui était aussi proble de récits. Et je me suis retrouvé sur une plage à voir un homme qui faisait des ricochets avec un galet, il portait une petite jupette et je savais que cet homme c'était moi, je savais pas où c'était, je savais pas à quelle époque c'était, mais la première impression que j'ai eu en m'approchant de lui en me rappelant que j'ai été cet homme, c'est que ce type était extraordinairement décontracté. Et si il y avait la vraie sensation, c'est pas des lasers, le pouvoir, la délégation, c'est être vraiment con.
Mais il était tellement décontracté que je me suis dit que sur toute sa vie ce garçon n'a pas eu une seule comparité, sa vie n'était que de la joie de sa naissance à cet instant. Et la deuxième information surprenante, c'était son âge 821 ans. Voilà, et ces deux informations me sont arrivées en même temps, ça va pas se faire éclater de rire durant la séance, je me suis dit, tiens j'apprends deux choses en fait complètement cool, beaucoup plus cool que tout ce que j'ai imaginé, et deux en tout fait à vivre 820 ans.
Et après j'ai fait des recherches et je me suis perçu que dans la Bible, Adam a vécu 800 ans, Karin, Abel, enfin, celui qui s'est fait descendre, non, Karin, en se vivant a vécu aussi 800 ans, Noé a vécu 900 ans, je crois, et Mathieu Zalem, 960 ans, donc il s'en va dans la Bible aussi, j'ai l'éloqué le casque que j'ai dit, qu'on vivait longtemps. Bien plus tard, donc la séance a duré une heure et il m'a semblé, parce qu'évidemment il n'y a pas de pancarte et il n'y a pas de calendrier, il m'a semblé que c'était un instantile, le petit primaire m'a appelé ce endroit à même ça. Et l'époque évidemment, vu que le calendrier de l'époque correspond pas au notre, ce n'est pas bon Jésus-Christ, donc je dirais que c'est qu'il y a plusieurs milliers d'années, par la suite j'ai plus ou moins situé ça à 12 millions, mais surtout, cette expérience, c'est la plus forte, parce que je m'y suis aperçu que je pouvais être beaucoup plus décompacté que je ne l'ai fait, et que comme mes objectifs de vie n'étaient pas atteints d'une connaissance ou de réussir ou avoir la gloire, mes objectifs de vie, c'est d'être hyper cool comme l'été ce bonheur. D'ailleurs, je propose ça comme objectif de vie, ceux qui nous écoutent, dites-vous bien que c'est même pas être heureux, c'est être détendu dans un lieu dans lequel on se sent en parfait harmonie, donc il n'y a plus d'ennui, il n'y a plus de top-stache, il n'y a plus de problème, il n'y a plus d'enjeu, il y a juste, on est une structure de vie en connexion avec toutes les autres structures de vie, et c'est très bien et ça suffit, il n'y a même plus du coup, il n'y a plus la peur de la mort, et il n'y a plus l'angoisse, et ça dit, puisque on est toutes les formes de vie, et ça, quand j'ai appris cette note, j'ai senti que lui était comme ça, et je me suis dit, voilà quand je serais de l'un de mes très très sages, je reviendrai comme lui, c'est-à-dire en affront total de peur, et en permanence jouissante de la chance que j'ai d'être venu, c'est tout. Et c'est intéressant, est-ce que tu dirais, parce que pour atteindre justement cet état de relaxation là, de bien-être, il y a certaines compréhensions qui sont en amont de ça, d'une certaine façon, est-ce que tu aurais pu comprendre qu'est-ce qui comprenait, ou comment il percevait le monde, ou c'est à quoi ces croyances qui l'aimentaient justement à vivre comme ça ? Alors justement, il n'y avait pas de croyances.
On est dans une notion qui est aux deux, la croyance, ce que c'est être, est-ce que l'arbre a une croyance dans le soleil, est-ce que la planète a une croyance dans l'univers ? Il y a des entités qui ne sont pas dans la problématique, qu'est-ce qui est la suivante ? C'est une forme de jouissance permanente d'être vivant. C'est ça que j'ai entrevue en présent sur le thème de Nath, plus d'objectifs, plus de possibilités de faire, car je suis déjà dans le présent d'une sorte de miracle qui est le fait que je sois vivant. Et je suis dans la jouissance d'être vivant, et voilà, j'ai à dire ma spiritualité et elle ne s'ressère à aucun Dieu, à aucune croyance, à aucune foi. Elle est juste dans un constat de ici et maintenant, finalement tout est déjà miraculeux. Je sais pas si ça semble pas un peu trop bizarre, que je raconte, mais du coup, un enjeu, je disais, de spiritualité consiste à comprendre ça, mais à fond. J'ai compris un peu, j'ai compris un peu plus devant dans ma vie latente, et peut-être il me fait encore quelques années pour le comprendre complètement à ce moment-là, au moment où je mourrai, je serai complètement sans peur et sans attendre, juste dans cette jouissance d'être vivant.
Mais j'ai crie aussi tout le temps pour me rappeler de ce message, pour le diffuser, et pour appeler les tensions du monde, mes tensions intérieures et les tensions extérieures, et faire régner une forme d'harmonie, une harmonie entre les hommes, une harmonie entre l'homme et l'univers, et une harmonie entre ce monde-ci, le monde du passé, le monde du futur. Ça va ? Arrêtez pas trop à gouverner ? Non, non, c'est bon. Parce que, et pour ceux qui n'ont pas lu le livre, je pense que c'est associé à un des personnages dans le livre et ce personnage-là, et une de ces positions, c'est que rien n'est grave, est-ce que c'est quelque chose que tu aurais ajouté par la suite ou que tu aurais senti dans ce personnage-là, dans ta régression ? Alors, c'est exactement ça, j'ai senti dans ma régression. Parce qu'il s'est créé un dialogue, c'est-à-dire, à un moment, j'ai établi le mois actuel, Bernard Werber dispute avec ce personnage, à l'un de l'extérieur.
C'est-à-dire, j'ai pu entrer dans lui, mais j'ai pu en sortir pour créer une association. Et il s'écrivait un dialogue entre nous, et ça revenait tout le temps dans, quand je disais, les enjeux de ma vie, il nous disait, oui, ben, il n'y a pas de problème, et quand il disait, il y a ça qui ne va pas, il nous dit, non, c'est pas grave. Et au début, je me suis dit, il se fout de ce qui m'arrive, et il a dit non, il a raison. Est-ce que c'est vraiment grave ? Bon, même à la limite, comment dire ? Il faudrait définir qu'est-ce qui est grave. C'est sûr que si je sors, que je me prends un accident de voiture et que je perds à mes jambes, ça va être agaçant.
Et je vais lui dire, c'est grave. Mais il reste à l'apprécier que je n'ai pas encore dans lequel je pourrais arriver à s'emblimer ça. Et sur le moment où j'ai un coup de terre et que je vais mourir bientôt, à un moment, on m'a nancé que j'ai un problème dans le cœur, c'est-à-dire, je suis dans le cœur, que j'ai envie de plus pour qu'elle joue à vivre. Et il faut que j'écrase beaucoup, et je ne peux pas faire des chants avant de mourir. Et à partir de là, je me suis dit, chaque jour qu'il passe, c'est un jour cadeau de gagner. Donc tous les matins de le vent, j'ai une dix chouette, encore une journée de nuit, et bon, ça ne va pas durer éternellement, mais tant que ça dure, j'en profite. Et je crois réellement que rien ne sera. Maintenant, il ne faut pas que ça empêche de faire quoi que ce soit.
Le fait que la planète est en train d'être attaquée par l'activité de l'homme, c'est agaçant, on va dire, et je vais faire tout ce que je sois au niveau pour faire prendre conscience aux gens qu'il vaut mieux renoncer à faire brousse-boum avec sa voiture pour laisser à nos enfants une planète dans laquelle il y a du pétrole et l'air est respirable, et que dans l'eau il y a des poissons. Et c'est intéressant que tu me racontes, parce que Dr Charbonnier, il crée des ateliers de TCH qui ont un objectif similaire, il y a beaucoup de rapports quand il connecte avec une source d'intelligence plus profonde que rien n'est grave. Tu l'as nommé exactement de la façon que je lui le nomme, et c'est intéressant parce que c'est quelque chose que les gens rapportent. Souvent, c'est comme si de ce point de vue-là, ça permet de relativiser plein de choses, donc c'est intéressant que tu en aimes. Un travail qui m'a appris mon ancien moi-même, on va dire l'acclamance au document de la santé, c'est de se manquer de moi-même.
C'est-à-dire qu'il y a une sorte d'attitude qui consiste, chaque fois qu'on commence à se prendre au sérieux, chaque fois qu'on commence à croire qu'on détient une vérité, c'est-à-dire bon, et alors ça ne te confère rien de plus. Une sorte d'auto-dérision permanente qui fait que du coup, quand il arrive un pépin, on ne prend pas de manière dramatique. Les dramatiques, voilà. On a appris les dramatiques. Et dirais-tu qu'aujourd'hui tu as une pratique spirituelle ou quelque chose que tu fais... Bon, tu as appris ces exercices de yoga, mais est-ce qu'il y a quelque chose que tu fais de façon quotidienne ou fréquente ou non ? Alors, déjà, je suis un petit peu successe de ta fréquence, c'est que je fais des interviews avec toi, donc c'est une pratique spirituelle, pratique ici et maintenant, pour faire l'effet qu'une fois, sinon on réveille du que j'ai, en plus, un petit problème carrière, un petit problème, j'ai une maladie qui s'appelle la sonalecite en clasant, qui est que je me suis pensé me suivir entièrement, donc je fais plein de mouvements de déverrouillage, et ces mouvements de déverrouillage, en fait, me rappellent que j'ai un corps et qu'il est articulé de partout et que ce corps est génial.
Donc, il y a une prise de confiance en même temps, on ne va pas laisser la maladie gagner, et qu'il faut à tout prix utiliser ce corps, faire bouger toutes les articulations. La deuxième chose, enfin, la première chose que je sens de le vent, c'est en ouvrant un œil, c'est notre émoral. La deuxième chose, c'est le déverrouillage, la troisième chose, c'est que j'ai fait 3 minutes de méditation, vider, avec les tests de T-70 Break, ça peut être 3 minutes de méditation, et là, je me mets depuis un an, j'arrive à tenir la posture du lotus, et j'arrive à rester immobile avec le dos bien proie, et j'étais s'attraient les matins. Après, juste avant de me coucher, je me rappelle les 3 trucs sympas qui sont touchés à la journée, pour ne pas l'oublier, parce que j'aime du climat qui détruit le bien, ça serait dommage que j'aie l'oublié, donc je revisualise toutes les scènes agréables, et le lendemain matin, je vais aussi noter ces choses-là, et je ne note pas le soir, mais je vais approuver mon petit déjeuner, j'allais le mépris, ça ne serait pas qu'il ne s'en aiguait la peine. Après, ça ne me soit pas arrivé pour rien, il y a cette idée, dans les médias antérieurs, quand j'ai dit que les médias antérieurs, il y a une chose qui ne mémorisait pas ce qui se passait, donc ça soit négatif ou positif, tu es oublié, tout se oublie, et quand tu t'en fies mort, je me l'anciens moi-même, celui que j'avais pas noté, je n'avais pas fait de livre, je n'étais pas exclinin, je n'avais pas de journaux, il s'en va et c'est leurs enfants qui s'appelaient vaguement d'eux, leurs petits-enfants, puis après ils étaient oubliés.
La plupart des livres, les livres précédents, ont été en fait oubliés, on a même oublié que j'étais. Alors que là, dans cette village, j'ai laissé des calbilles dans lesquelles je raconte ma vie, mes rêves, que j'ai laissé des livres, donc j'ai laissé une trace, et quelque part, c'est comme si je regardais ma vie comme un livre, qu'il puisse traverser le temps et ne jamais être oublié. Ça, ma spiritualité, le quotidien, c'est la mémoire, la mémoire de ma vie, et aussi notre notion, c'est le remerciement. Tous les histoires, je remercie d'avoir cette journée, et tous les matins, je me réveille content d'avoir une supplémentaire. Ah, il y a un autre élément aussi, je veux dire, dans ma spiritualité, c'est une notion de gratitude. Regarder tout ce qui m'aide, et me fait du bien, et me dit merci, mais sans permanence. J'essaie de être très attentif à dire merci à ceux qui me font du bien. Je crois que c'est une manière de passer à côté de sa vie, de ne pas s'apercevoir des gens qui nous aiment. C'est-à-dire que l'un-serveur m'a amené une poisson dans un café, je lui dis merci, merci, ça sert.
D'ailleurs, pour moi, toute personne qui m'apporte un petit plus, mérite, je prenne un instant pour que je dérive dans le petit. Ah, bien, c'est intéressant. Mais pas trop si loin. C'est une très belle pratique, et je sais pas si t'es au courant, mais il y a certaines des têtes même au niveau américain qui ont démontré que, justement, de noter ne serait que trois choses pour lesquelles on a de la gratitude, pour lesquelles on était rues à chaque jour, augmentait le niveau de bonheur des gens. Il y a des recherches la petite qui ont été faites, et je trouve ça intéressant. Il y a mon... Dans l'histoire de Louch, lui, il fait trois choses, pour l'idée de lui faire un jour, il y a trois choses négatives. Et donc, il rappelle des trois moments agréables et des trois moments désagréables. Et je me suis toujours demandé à ce que je devais pas ajouter les trois moments désagréables. Je le fais pas parce que j'ai envie de me coucher avec un sourire et des parents qui rend la gueule. Et c'est peut-être une erreur parce que, du coup, il m'arrive de dire bonjour à mes ennemis, parce que je me rappelle plus qu'ils m'ont fait une crache.
C'est le surprendre d'ailleurs beaucoup. Et ce sont les moments agréables, je me suis dit que ce ne sont pas les moments désagréables. Et ma vie est qu'on peut être avec les deux. Si j'étais honnête, il faudrait que je me note les deux.
Mais on disait que les gens qui font ça, ils étaient plus longtemps. Non, il y avait un niveau de bonheur plus élevé, et juste une petite parenthèse, il y a aussi Bruney Brown, qui avait une chercheur américaine qui a étudié justement le bonheur chez les gens. Et elle a dit qu'elle n'a pas rencontré une personne qui apportait à avoir un haut niveau de bonheur, qui ne pratiquait pas la gratitude de façon quotidienne. Et c'est pour ça qu'elle s'est jurée de ne plus jamais parler de bonheur, sans parler de gratitude ensemble, parce que pour elle, ça va ensemble. Donc je trouve ça intéressant de que tu m'en souviens.
Ben on en a ri. Tu crois qu'actuellement, il n'y a jamais eu autant de gens qui me confient. C'est-à-dire que, plus facilement parce qu'on peut manger tous les jours, plus facilement, parce qu'on n'est pas en vieille. Donc on a dépassé des besoins finaires. On peut développer des besoins intellectuels, spirituels, notamment dans les pays développés à sauvage américain du Nord et Europe. Et donc du coup, il n'y a jamais eu autant de communication sur la méditation, sur les outils d'exploration de la conscience. Et en même temps que le monde va mal, le monde n'a jamais été aussi bien. Et c'est bien avec ton initiative, c'est que tu es en train de rebondir, qui dégende bien pour qu'ils communiquent ensemble, ceux que tu sais aussi de faire dans la vie. C'est-à-dire que ceux qui sont déjà d'accord avec moi, puissent avoir son son pas seul et qu'ils puissent se voir. Donc là, je vois, il y a un compteur, je pense, il y a le nombre de gens qui nous écoutent. Je crois pas qu'on peut transformer quelqu'un qui ne s'intéresse pas à ça. On peut le dire tout d'un coup, « Tiens, voyage astral, méditation, réincarnation, s'ils n'y croient pas, ils n'y croient pas, faut pas essayer de leur vendre de trucs.
» Par contre, ceux qui sont déjà un tout petit peu intéressés, c'est là qu'on peut leur dire, regardez, ce n'est pas magique, ce n'est pas, on doit être gourou, on va faire une religion, on doit être payé, il suffit juste de fermer les yeux et de sentir, de sourire et de visualiser. Oui, et il y a quelque chose que t'avais mentionné dans une autre entrevue qui est un pont de titre qui te mentionne là, c'est aujourd'hui de notre vie présente, c'est probablement une des vies que l'on a eu plus de facilité, c'est à dire de l'eau courante, des choses un peu, d'électro-stupe, je pense que c'est du sort qu'on réalise pas. C'est d'autres choses que tu penses qu'ils sont là dans notre vie, qu'on prend pour acquis, mais que par le passé, c'était beaucoup plus difficile. Ah oui, alors là, mais en fait, si on nous vu dans la vie antérieure, parce que la plupart étaient extrêmement inconfortables. Il y a une scène que j'ai revécue dans l'une de mes vie au Moyen-Âge, où je me rappelle quand j'arrivais au marché, le marché était l'endroit où je passais et tout, il n'y a pas de cinéma, il n'y a pas de télévision, donc aller au marché, c'était acquis, il y avait des petits théâtres, et il y avait un endroit où il y avait une sorte d'estrade, où les gens se faisaient soigner, ils se soignaient en fait, ils se soignaient par le barbier, parce que le barbier avait des rasoies, donc ils se découpaient des endroits où il y avait des problèmes, et ils se soignaient par le charpentier, parce que le charpentier, celui qui avait des cils.
Et la médecine à l'époque se faisait essentiellement par un endroit qui est malade, on coupe. Et donc il y avait beaucoup de gens qui étaient en cul de jate, on ne voit pas beaucoup de cul de jate, ni à Montréal, ni à Paris, il y avait beaucoup de mendians partout, et beaucoup de gens qui, quand on le met, ils se sont fait opérer, quand même, il n'y avait pas d'anesthésie, donc lui, il souffrait énormément, et pourtant il n'y avait que des gens qui sont sur l'escalier pour se faire opérer. De nos jours, si on proposait donner au marché de vous faire opérer avec le barbier ou avec le charpentier, c'est pour ça que les gens se fêraient moins pour plutôt que de faire ça.
Oui, c'est clair. Et puis il y avait aussi, autre chose, les dents, c'est d'en tout m'ont tué, parce qu'ils ne l'avaient pas, mais aussi très peu, pas ça un certain âge, très peu avait encore leurs dents, et les vigènes étaient abominables. Par exemple, des rigoles, il n'y avait pas tout à l'aéros, donc tout se passait dans les rigoles, les rigoles, en fait, il y avait les excréments, les ordures, et des cochons qui mangeaient ça. Donc ça, c'était, quand j'ai visé cette vie, c'était un ormande vie, mais je pense que c'était partout dans toute Europe, même en Amérique, ça devait être, non pas en Amérique, mais dans la plupart des pays où il y avait des vies, là, que grandes, il y avait du cerit d'oeil dans lequel il y avait des ordures, et c'était quand même des mines de rats, des mines de insectes, on vit dans un monde plus propre, plus agréable, et plus... qui formait déjà la pression, enfin. Et notre expérience de vie est beaucoup plus longue. À l'époque, on faisait ça longtemps, mais non, on faisait ça depuis 100 ans, ça veut dire qu'on a 50 ans, mais le double de temps de jeu est dans la matière. C'est quand même pression. Ah oui, c'est... Je m'étais mis à réfléchir, je me suis dit, mais on est chanceux, on veut prendre une douche chaude, c'est maintenant, on veut parler à quelqu'un au bout du monde, c'est maintenant, c'est incroyable le niveau de confort qu'on a, mais qu'on ne se rend pas compte.
Donc je suis content de dire ça, parce que ça m'a fait, justement, avoir de la gratitude pour ces choses-là que je prenais pour acquis, en fait. Et puis le fait que les gens voyagaient peu, et ils voyagaient peu parce que les rouges étaient dangereuses, c'est que ils avaient... ils gardaient des papiers du lieu et on essais d'un village dans une ville, on était chauvin de ce village, cette ville, et on savait que dès qu'on sort de son village, on était un peu en danger. Donc les gens, finalement, en vivant dans des mondes étriqués, sans aucun horizon. En Occident, ça n'était pas ce qui passait en orio. Alors que maintenant, quand il y a ce bouchement, on le sait. Et la vision était unique sur un seul système. Moi, je me rappelle, quand j'étais en cours de Shido, un prof, une fois, m'a dit, ben, à l'heure d'air, il nous parlait de la philosophie orientale. J'ai dit, donc là, je devais avoir quand même 15 ans.
J'ai dit, parce que la philosophie orientale, nous sommes d'avoir une chose supplémentaire à la philosophie orientale, c'est de l'écu. Qu'on reste immobile dans une posture en un long moment, et on ressemble ça dans son corps. Et je n'ai vu ça nulle part, ni chez Platon, ni chez Socrat, ni chez Pimosa, ni chez Nietzsche. C'est des bisquots, mais ce n'est pas de l'écu. Et le grand Tilo m'a dit, on a tous mis froid en Occident, on n'a pas besoin d'aller voir en Orient.
Je vous prie dans vos copies de ne plus faire aucune référence aux philosophies orientales. Je n'ai qu'à l'esprit éprité. J'ai continué à faire ça.
Moi, j'ai exploré le tel, j'ai exploré la méditation dans son honte, j'ai sauvé le yoga, j'ai exploré l'étaïisme. Pour moi, toutes ces choses-là sont des complémentaires de la philosophie occidentale. ne s'intéresser qu'à la philosophie occidentale, c'est quand même que je peux chercher avec la moitié du cerveau. Je crois que les deux d'hémispheres du monde correspondent aux deux d'hémispheres du cerveau, il faut à tout prix créer une connexion sur les deux. Comme il faut connecter le monde de la science et le monde de la spiritualité.
Vive que dans la science, c'est limité, et d'ici que la spiritualité, c'est limité aussi. Il faut créer un pont entre les deux. Ce que j'ai fait pour vous. Oui, oui. Et j'ai posé une question que j'ai posée au temps, c'était Phanalyx, Dr. Chavonnier. A quel pourcentage dirais-tu que tu crois qu'il y a vraiment une vie à travers la mort? Ha ha ha!
Ha ha ha! Et bon là actuellement, j'ai été le lit de la boîte de pondors, je me suis encore plus convaincu qu'il y avait une vie après la mort, mais ça fut le plus... En fait, je crois qu'il y a du magique qu'il m'arrive des choses agréables. C'est-à-dire qu'il m'arrive des bonnes nouvelles considérées, que ça a été décidé ailleurs, ou que ça a été... ça participe à un système invisible que je n'ai pas encore compris. Et quand il m'arrive des choses péniles, c'est-à-dire que c'est ma pote et que j'ai dû penser quelque part. Donc je suis à deux vitesses, et d'un jour à l'autre, je suis plus ou moins hiver adorationnel.
Mais la boîte de pondors m'a vraiment... C'est marrant comme le lit qui a convaincu les autres m'a convaincu moi-même. Mais en tout cas que cette vie n'arrivait pas par hasard, il y a quelque chose, et c'est peut-être mes anciens mois qui a souhaité qu'un jour, enfin souhaiter un jour, je m'incarne dans une faute de type écrivain pour mes vaches de spiritualité et la science, qui en plus, a un accès à une communication large afin de diffuser des idées. Je me vois que mon vulgarisateur de sciences et un vulgarisateur de spiritualité. Je n'ai rien inventé, je ne fais que diffuser des choses qui existent déjà qui sont peut-être peu collées.
Et dans la boîte de pondors, je viens à un moment que notre nom est déjà une première information sur notre mission. Et moi, vu que je m'appelle Berber, je me considère que ma mission est de reverberer à savoir de rêver et de reverberer à savoir diffuser la lumière. Je ne suis pas la lumière, mais je suis là pour diffuser et faire que il y ait le maximum de gens qui accès à cette forme d'ouverture d'esprit. A mon sens, tu fais vraiment très bien ton travail à ce niveau-là, vraiment. Tu peux toujours être délice de te lire et ça ouvre des portes et c'est vraiment merveilleux. Je pense que c'est ta mission d'une part. Mais là, je comprends bien ce terme.
J'ai l'impression que je suis dans la mission de vie, mais j'ai l'impression que tout le monde a une mission de vie et dans mes conférences, je leur dis, trouver la vôtre. Trouver votre chemin. Quand on trouve son chemin, il y a plein de petites lignères c'est clair qui me disent, oui, c'est ça le grand chemin. Et si vous ne le savez pas sur votre chemin, il y a plein de petites lignes qui vous disent, attends, attends, attends, je termine tout le temps.
Et ce qui nous semble des catastrophes ou des agressions, c'est souvent l'univers qui cherche, je pense que c'est le principe, que l'univers qui cherche à vous faire dévier parce que c'est l'esprit de l'ensemble. Pour moi, être heureux, c'est la toute place. On peut être sur la bonne route. Et être malheureux, c'est quand on fait plaisir aux autres, on a pris une route qui n'est pas vraiment la nôtre.
Ça sert pas de faire plaisir à nos parents, faire plaisir à nos enfants, parfois, faire plaisir à notre patron, faire plaisir à nos professeurs d'école qui nous ont sécroit que le bonheur était dans le fait d'avoir un bureau, d'avoir un salaire élu, d'avoir des employés, d'avoir de l'argent, d'avoir des vacances. Je crois que je dis que nous disons anciennes qui n'y arrêtent d'être dévotés. Le monde de nos parents et le monde scolaire ne sent que des syndicatifs. La fait réponse sur le centre de notre vie est que nous, qu'il a d'être non. Et après il peut y avoir des gens qui nous aident à vous appeler sur le work que vous, qu'il a déconnus.
Et c'est mon rôle de montrer des personnages comme ça, pour l'experience à un moment de faire la vie pour les autres et si tu es un peu de comprenu que tu as un trajectoire unique et particulier et que cette trajectoire unique et particulier est la seule qui va les rendre osées. Et pour avancer justement le livre un petit peu plus directement maintenant, pour ceux qui ne l'ont pas encore lu, comment tu pourrais décrire l'idée générale ? Bon ça, on parlait des punch mais pour donner une idée aux gens de ce livre, comment tu le décrirais ? La boîte de Pondor, l'histoire d'un professeur d'histoire de l'histoire qui un jour se retrouve dans un spectacle du final et il monte sur scène, il est démonné, il est volontaire et là il ne prend pas quoi de cloche, il va se retrouver à faire l'expérience, il va être prolevé dans une de ses lieux antérieurs et tout d'un coup ça va lui donner accès à l'information, bon sang, on a une machine à remonter le temps dans notre cerveau, on n'a pas besoin d'avoir un mécanique n'importe quelle attirail et il suffit de fermer les yeux, de visualiser un escaquer qui détend dans l'inconscience, ensuite d'ouvrir cette porte et de tomber sans ploir avec ses portes de toutes les lieux antérieurs et quand on ouvre une porte on peut découvrir ou pas une de ses lieux passés, c'est l'expérience qui va faire et là il va s'adresse de voir qu'une de ses lieux passés fait qu'elle est une mission dans le présent, donc il va y avoir une connexion pour sa vie passée et sa vie présente, en écrivant le livre, j'ai pas piqué moi-même ça et ça nourrit les intrigues pères, certains intrigues ont été trouvées en une classe régressive et c'est un livre vraiment fait pour être un thérapie, normalement quand on agira le livre on dira bon est-ce que ça peut marcher et justement je donne le lit érituel que je propose au final, il peut être une perfection à l'extérieur et je laisse quelques pages pour que les gens de notre vie ontérienne.
Et tu dirais que personnellement ça te fait combien d'expérience de régression comme ça? De vie antérieure d'angéosus vient, c'est des fois je reviens dans les vies que j'ai déjà dévité, vous devez en avoir six, la plus ancienne c'est ma vie d'Atlant, donc je situe à 12000 avant Jésus-Christ et la quantité de situations entre Mexique et l'Europe. L'autre c'est femme de harem, c'est pas mon livre, femme de harem un profan avant Jésus-Christ en l'Egypte, c'est un harem de tant de personnes et là il nous dit, j'ai beaucoup l'intérêt de s'interrompre à l'astronomie parce que je m'ennuie énormément dans le harem, il y a une nuit où j'étais soldat anglais en 1200, dans la guerre de St-Pont, j'ai d'archer et j'ai pu visiter le monde médiéval et découvrir à quel point il était sale et violent. Et c'est une nuit où il ressemble beaucoup à un terme de temps et de spectacles, c'est-à-dire soldat arché dans l'armée anglaise, c'est un peu comme figure en cinéma, on est payé par face avec une solde dans chaque bataille, et après il faut trouver des castings où on est engagé. Je me rappelle une information amusante, c'est que des fois j'apprenais qu'il avait une bière quelque part, j'y allais en courant, au moins j'arrivais, la bière était déjà finie. Je me rappelle une solde qui arrive après la bataille, et je me rappelle une vie où j'ai été herboryf, apothiqueur, fabriquant de postins avec des herbes dans les andes, peut-être au Pérou ou au Chili, dans les montagnes, et le décor était de type américain du sud. J'étais un village de 800 personnes, j'étais formé par un maître et il m'a appris les plantes, il m'a appris les arbres, les réveillines, et il m'a dit qu'il faut un disciple avant de mourir, et en fait il n'est jamais trop édifici, c'est-à-dire que lui est mort, c'était le seul à savoir utiliser les plantes, et quand moi je suis mort, mon grand regret, c'est que j'ai prouvé personne qui était intéressé de connaître les plantes, parce que tout ça a l'impression que ça servait à rien, c'est juste du confort, et j'étais très dissué, je sais depuis peut-être que j'ai le présent de 30 mètres de connaissance que je reçois. C'est intéressant justement parce que j'ai justement posé la question, est-ce que tu as fait des liens justement avec certains de ces vies passées là et l'influence avec ta vie présente? Ah oui, alors donc il y a cette vie où j'étais très puissé par le sens de ça voir, et il y a une autre vie aussi, j'ai oublié, c'est une vie de samouraï, je suis curé vers 1600, et tu nous dis que je n'ai fait qu'obéir à mon amio, c'est-à-dire le seigneur, et à la fin de cette vie je me suis en fait, il faut aucun choix personnel, et là j'ai développé un stade qui ne supporte aucun chef, qui ne supporte aucune hiérarchie, depuis que je suis petit, je ne supporte pas que qui que ce soit, et me dise que j'ai à faire, il me dise que moi je n'ai qu'à la vérité, c'est comment je dis, ne réfléchis pas.
Ça c'est pour moi, c'est un support. Donc ma vie d'herborisme m'a donné envie de transmerce mes connaissances, ma vie de samouraï, m'a donné envie de ne respecter aucune hiérarchie, ma vie de femme, ma vie de femme de harem m'a donné envie de m'intéresser à son économie, et ma vie de soldat m'a donné envie de lire et d'écrire, parce que quand je suis mort en tant que soldat anglais, je me suis dit bon sang, il y a plein de trucs que j'ai reçu, il manquait vraiment, c'était lire et écrire, et je peux vous dire, parce que là on ne fait pas ça plus, on se fait lire et écrire, et quand vous n'avez pas lire et que vous, quand vous arrivez dans le contenu, il faut que vous utilisez la pancarte pour savoir si c'est la bonne vie. Ensuite, il y avait des pancarts, c'était, il m'a inscrit les guerres ou les batailles où on refruitait, il faut que je trouve quelqu'un, donc c'est tout en anglais, ce qu'il faut aimer, de lire. Vous voyez, et je peux vous dire, c'est très, très éteint. Je lis et j'écris, parce que oui, il n'y a pas que du gène, il y a aussi le fait d'être un cul.
Et quand j'étais soldat anglais, par exemple, ça n'a même pas mon âge, je ne savais pas l'heure qui l'était, on n'avait pas de monde. L'heure, on l'avait avec les clans d'incendée, les cloches du village. Donc, c'était très imprécis à ne pas donner rendez-vous à l'historique, c'était rendez-vous quand le soleil se lève. Et il m'a dit la tente, cette fascination que j'ai faite pour Yogi de la présence, et ça m'a rappelé, il m'a dit le temps.
Et c'est bien être là, ou cet état de relaxation de la vie à temps, le fait de l'avoir revécu a-tu le sentiment que ça s'est transposé un peu dans ta vie, ou que ça t'a inspiré d'une certaine façon? Ah oui. Déjà, quand j'ai vu ma vie d'attente, j'ai su que vous pouvez être au mieux ma vie actuelle. Vous savez, en gros, quand on a ma frage, on se dit que c'est une sorte de vision idéale de comment on pourrait être vers les derniers jours de sa vie. Et moi, ma vision idéale de ce que comment je peux être dans les derniers jours de ma vie, ça fait souriant, détendu, dans le total de la chéprise, et avec le sentiment que j'ai fait des choses qui vont continuer à vivre après l'endroit.
Et ça me suffit, comme un de l'une fortune, une une de château, juste le sentiment que j'ai continué à diffuser à travers les livres, même si j'ai eu de l'ivent pour commenter en paroles. Comme je le vois, je le vois en un lituil encore après sa mort. Et Albu Seule, Philippe Kabyk, Isaac Alimov, Frank Herbert sont des gens qui sont morts et leurs pensées continuent de vivre.
Voilà, il y avait dans cet objectif d'une pensée immortelle, qu'ils ne soient pas forcément liés à l'épreur organique, le chien avec deux penses, qui lui n'est forcément SNS. Et il y a Florence qui écoute, qui a posé la question que j'ai vu passer. Elle a dit, et le mode d'emploi de comment tu fais, bon, t'as mentionné que tu visualises descendre des marches, mais est-ce que tu as un petit rituel avant, comment tu procèdes exactement, si tu m'en parles? Ah oui, en général, je t'ai négé. Mais régression, quand je fais les uns en demi, en général, tu as 24, en 2h24, je te rennueule, je te reçois un en demi. Donc, il y a une récertité, ça fait partie du rituel, je me laisse, je reviens, et là je me dis, ok, je vais pas arriver à me rendre dormir, et si je faisais une régression. Alors, il y a un petit coussin spécial d'hidétation qui est suffisamment dur et suffisamment mou pour que ce soit s'enfortable. Je me mets, je fais le lotus, et puis là, je visualise l'escalier.
Je vais de plus en plus vite maintenant, l'escalier, la porte, je vois la porte, le couloir, j'aimais mon souhait, genre une vie où j'ai un peu de trucs, une vie où j'ai une histoire, d'amour où j'ai beaucoup d'amis, une vie où je fais quelque chose positive. Jamais une vie chromatisante, je n'utilise pas l'hypnotre agressif pour les nettoyer, les scories du passé, ça ne m'intéresse pas. J'utilise l'hypnotre agressif pour faire des tourines dans les vies sympas et découvrir d'autre monde. Et après, une fois que c'est fini, en fait, c'est selon ce que je vais découvrir, je reste ou je ne reste pas. Mais si c'est vraiment bien, bon, j'ai déjà vu. Et puis sinon, je vais redialoguer mon accent.
Et une autre chose qu'on ne perçoit pas quand je parle de l'accent, il rit beaucoup. C'est-à-dire qu'en parlant tous les deux, ils ont dit trois mots, puis ils déclament de rire, mais ils rient d'une manière, tout ce qui m'arrive, quand je raconte ma vie, notamment, tout ce qui m'arrive, ils trouvent ça extrêmement drôle. Un jour, je lui ai dit, mais en fait, tu as été ce que je rêve de devenir. Il m'a dit que tu te trompes. C'est toi qui es ce que je rêve de devenir. J'ai expliqué pourquoi. Quand moi, j'ai une idée, j'ai une pensée, au mieux, je peux la diffuser sur une centaine de personnes. Quand toi, tu as une idée où tu penses, tu peux la diffuser sur des millions de personnes.
Ça, l'imprimerie, les vies, c'est le truc qui nous manque le plus. La cause de ça, même si j'ai une pensée, une idée, dès le moment où je vais mourir, ça va être perdu, même si j'ai vu longtemps. Alors que toi, ça peut survivre au siècle et au siècle. Et ça, je rêverai d'avoir ça.
C'est vrai, hein. Moi, quand j'ai inventé ça avec mon inconscient, je trouve ça rigolo. Il y a quand même cette possibilité que tout ça, tu as issu de mon imagination, mais ça ne change rien. En fait, je m'en fous.
C'est important si l'histoire apparaît, c'est qu'elle aie beaucoup de détails. Après, je n'aurais jamais eu la preuve que je n'aurais pas eu le délire. Et j'arrive à avoir ça sans aucune preuve. Et justement, ça touche un petit peu la prochaine question que j'avais pour toi.
Est-ce que ça t'est déjà arrivé d'accéder à des informations que tu ne savais pas et que tu n'as pu vérifier d'un point de vue historique ou quelque chose d'une certaine façon ou non? Alors, sur, par exemple, sur le Moyen Âge, ce que j'ai vu, je suis allé le vérifier et tout allait, tout allait bien par rapport à tout ce que je voulais dire. Mais c'est quand j'étais des régressions, parce que là, maintenant, je suis dans un petit spectacle, il m'arrive de faire des régressions en propos de gens. Et j'avais été un grand petit groupe de 24 seuls. Il y avait une jeune souce qui était venue et qui était étendue. Et elle avait visualisé qu'elle était un peintre de bouche grise en train de faire un tableau noir et blanc, en prenant un oeil avec des cornes. Et ce tableau devait être l'œuvre de Sadie.
Et à un moment, j'ai posé là, évidemment, la question « Comment vous appelez? » Elle m'a dit, elle m'appelle George. Et elle a dit J-O, très massur le O-R-G-E. Et vu qu'elle était venue en 1994, il y avait deux gens autour qui ont cherché un homme qui s'appelle George qui soit mort avant 1984. Et il y avait un peintre suisse dans le suisse allemand, qui s'appelle George Schuttef, qui est mort en 1992, donc deux ans avant sa naissance, et qui peignait que les tableaux en noir et blanc représentant des lieux avec des cornes. Et donc, elle l'avait écrit, elle avait dit qu'il y avait une barbe et des vignettes, une barbe rousse. Et donc, on a pu retrouver la photo du bonhomme et tous les tableaux. Ça ne s'appelle pas coller du tout. Et là, maintenant, elle sait qu'elle était reconnectée sur ce personnage et là, elle a dit qu'il y avait une pièce de théâtre pour raconter comment cette régression, elle a mis un contact avec Alex, elle ne s'appelle pas. Et donc, elle décroche sa vie, elle décroche son oeuvre et elle se met à peindre des lieux avec des cornes et c'est assez spectaculaire. Et là, il y a un nom, il y a un lieu, il y a une époque qui est tout coincide.
Oui, oui, oui. Et c'est assez fascinant parce que moi aussi avec certains clients, c'est arrivé qu'il y a un accès à des informations qui vérifient et c'est... compte tenu de tout ça, bon, j'ai reformé de mes questions pour que tu poses au paravent, mais différemment, à combien de pourcentage, direct, tu crois vraiment que ça existe des lieux antérieurs? La question n'a pas de sens. La question n'a pas de sens. Parce que le pourcentage, c'est une notion scientifique. La vie intérieure est une notion non scientifique. Donc c'est que tu veux mesurer de manière scientifique quelque chose de non scientifique. Et c'est vrai que je t'ai dit d'un premier fois, ça fluctue, peut-être que tu en as vu selon ma distatitude, mais je pense aussi que quelqu'un dit 45% ou 32%, ou 63%, ça n'a pas vraiment le sens.
Je crois que pour chaque personne, c'est différent, mais une même personne, ça fluctue. Et vu qu'en plus, au moment où la personne va dire ça, il aura forcément une volonté de convaincre les autres que c'est vrai ou que c'est faux, donc c'est influencé par ça, j'ai envie de dire, je préfère laisser aux gens un choix qui ne m'excuse plus. La seule chose que je dis, c'est que je le pratique, ça m'amuse et je conseille aux gens d'aller voir, d'avoir la curiosité d'aller voir et de pas faire n'importe quoi. Aussi, il y a des gens aussi qui abusent, qui prennent du pouvoir sur les autres. Je me rappelle, tu fais une conférence à Vienne et il y a une dame qui m'a dit un hypnoplasme, un régressif, m'a fait revenir dans une vie chromatisante, et qui est tellement chromatisé, qui m'a dit pour enlever ce chromatisme, il tombe revenue et la personne, donc il a fait une sorte de drogue et chaque fois, il a remetté dans cette vie d'approche et en me disant, vous voyez comme ça, si on est la prochaine fois, on va nettoyer.
Et en fait, elle est allée de plus en plus mal à la fin de la personne, dépression. Donc c'est un outil neutre, c'est si je peux donner un conseil aux gens qui m'écoutent et qui ont envie de faire ça, n'aller que vers des vies agréables. N'aller pas végeter la vie où vous êtes moitié, où vous avez terminé mort à la guerre. Des vies chromatisantes et n'a suffisamment dans le réel, qu'on n'aille pas rajouter en plus de celle du passé.
Et moi je sais que dans mes propres produits, je ne vais pas voir la mort, c'est-à-dire que je m'arrête au dernier moment agréable en fin d'existence du film. Je n'ai pas envie d'aller voir le moment où je meurs dans le temps d'un termin de ma vie, où je meurs en train de me noyer. Mais par contre, tu m'as parlé d'aller voir l'entre-deux-dix et ça, ça me suffit énormément. Mon prochain enjeu, et je crois que tu es la bonne personne, c'est arrivé dans ma vie, c'est interloiriste. Dans mes vies, maintenant, c'est parce que c'est ma prochaine étape. Et cette prochaine étape, c'est sauter le petit passage de la mort, va considérer bon, je suis mort, maintenant, et qui arrive après. Et l'après, qui est tenté des clients étant à la tenote, ou ce que j'ai pensé raconter depuis l'autre-là, c'est encore pour moi un mystère.
Et je n'ai pas pensé utiliser l'outil hypnose régressif pour aller voir l'entre-deux-dix et je compte bien de faire avec toi. Ça me fait plaisir d'être accompagné, je pense, que ça va être très intéressant de faire ça ensemble. Le temps passe déjà, ça fait déjà 50 minutes. On va donner un petit peu de temps. Si vous avez des questions, ceux qui putain en ce moment, j'en ai vu passer une tantôt que Nicole Ries, qui posait la question, bon je ne la retrouve pas, mais la question, c'est quoi pour toi, le bonheur Bernard ? C'est un bonheur qui, je suis assez heureux parce que je jetez le métier qui me plaît. Et le fait de pouvoir coucher des gens, c'est-à-dire que si j'étais écrivant et que je n'avais pas de public, il me manquerait quelque chose.
Le fait de pouvoir diffuser, le fait de pouvoir... Je crois que le bonheur que l'on abeille, c'est le personnel, le bonheur pour l'écrivain, c'est de faire des livres, et qu'il soit lui. À la limite, il manquerait mais dans ma vie, c'est de voir mon travail en image au cinéma. Mais j'ai déjà eu beaucoup, je ne peux pas réclamer ça. Mais je pense en plus que ça arrivera plutôt après ma mort.
Parce que l'actuellement, pour ça, c'est pas encore en phase avec le monde du cinéma et le monde de la télé. Mais tel ciel m'a dit beaucoup mieux. En tout cas, que ce que j'avais réglé quand j'étais jeune, donc moi j'ai apprécié ça en fait maintenant. Je suis relativement heureux. Et il y a ici Claudia qui dit, oh, c'est bizarre, j'ai l'impression que nous n'aurons pas le choix en vie agréable ou pas à visiter lors d'une régression, j'en suis en campagne.
Je me mentionne parce que en fait, c'est vrai que je pense que par soi-même, c'est mieux de ne pas aborder ces villes-là. Mais quand on travaille, parce que, bon, moi, je vais toujours demander à l'inconsert de donner une vie passée, que beaucoup d'influence sur la vie présente, et qu'il serait pour le bien-être global la personne de réaccéder. Et je pense que quand on est avec un thérapeute, que s'il y a une personne qui se noire, parce que peut-être une peur de l'eau qui vient d'un moment où la personne s'est noyée et que de réaccéder, mais de s'assurer d'être bien accompagné pour faire ce travail-là de libération. Mais je suis d'accord avec Bernard que si vous faites un travail par vous même de ne pas aller dans ces endroits-là, parce que c'est justement des ondes un petit peu plus fraigées. C'est pour ça que d'ailleurs, je ne suis pas thérapeute et je crois que je serai très embêté si je suis en régression à quelqu'un et que la personne tout d'un coup me raconte qu'elle est en train de vivre en cauchemar. Je ne me culpabiliserai énormément d'avoir amené là-bas.
Même si je me dis qu'il faut qu'elle aille au bout de ce cauchemar, qu'on comprend pourquoi non ça dit, elle a des phobies. C'est un autre métier. Moi mon métier, c'est plutôt que vous avez fait comprendre aux gens qu'ils ont peut-être probablement à je ne sais combien de % eu autre chose avant et que cette vie n'ait qu'un épisode d'un long feuilleton. Voilà, c'est comme si on passait du format du film avec un début, un feuilleton avec plusieurs épisodes, plusieurs saisons probablement. C'est juste une perspective.
J'ai envie d'offrir aux gens la notion de c'est une vie parmi tant d'autres. Donc ce n'est pas si grave que ça même si vous la ratez. Si vous la réussissez, c'est encore mieux parce qu'il allait monter la barre pour la prochaine vie.
Mais sinon, à la limite, vous pouvez avoir une vie, vous avez compris, comme le bac. Vous avez échoué, vous le repassez. C'est par la fin du monde, ce que vous réussissez. Et on est là pour apprendre. Voilà, je crois qu'une notion qui est importante, c'est une vie ratée, une vie, vous n'avez rien appris.
Vous pouvez avoir une gloire richesse, reconnaissance et honneur et tout, je vous voulais. Si vous n'avez pas progressé, c'est une vie un peu pour rien, une vie de confort. Tu imagines qu'après des vigueuruses, on a envie d'une vie de repos. Donc tu peux y avoir des vies où on fait juste profiter et mourir et attend la suivante personne.
Et il n'y a personne qui a proposé une question sur ton prochain livre. Est-ce que tu veux nous glisser quelques mots à ce que j'ai là ? Oui, alors c'est pas simple, c'est la suite de demain les chats. Tout simplement parce que je m'amuse énormément dans ma vie de chat. Chaque fois que je me le dis, c'est le bas de la tête, comme la déesse égyptienne, la corps de femme et la tête de chat. J'ai énormément de plaisir à me mettre dans cette peau de chat et à parler de l'humanité juste par en chat. Ça me permet de balancer beaucoup de choses par le moment un peu dure sous notre monde, plus on ne devrait pas dire en tant que simple humain. Comme par exemple cette violence dont les hommes nous lisant entre les autres est une violence non naturelle et qu'une espèce peut faire de la violence, mais c'est normalement pour se nourrir, pour se défendre.
Mais le faire au nom de la religion ou le faire au nom de la nation sont des notions hylogiques, en tout cas pour un chat. Donc pour moi. Et on a une question aussi de Samuel Collin. Une bonne question que j'avais notée, je suis content mais Samuel que tu l'avais mentionné, j'avais oublié de la mentionner. Est-ce que tu crois qu'on peut visiter des vies futures ? Parce que tu es allé dans le passé à s'intenter des choses à rapport au futur. C'est ma limite de croyance.
Non. Je ne crois pas qu'on peut aller à un vie futur parce que je crois qu'à chaque seconde on utilise avec mon total du bras arbitre de ses choix. Et total du bras arbitre, ça veut dire que si on veut me suicider dans les cinq minutes, ça veut pas dire que c'est écrit quelque part et qu'on pourra le voir de même que si j'ai envie de couper toute cette conversation maintenant, je peux le faire. Mais ça veut pas dire que ce qu'il faut être écrit. Et si c'était un coup, si notre futur n'a pas pris quelque part, dans ce cas il aurait pu un seul objectif, c'est d'arriver à lire ce quelque part et non pas de faire du bon choix. L'avantage aussi de croire au lieu arbitre, c'est que je crois à ma responsabilité dans les choix.
Ça veut dire que si tu es quelque part, en fait, tu n'as aucune responsabilité, dès que tu es quelque part, tu ne sais que suivre un chemin qui a déjà été tracé par avant. Donc il n'y a pas de suspense, il n'y a pas d'enjeu et mon choix n'a aucune valeur puisque de toute façon je ne sais qu'obéir quelque chose qui a déjà été écrit. Donc même si c'est vrai, ça ne m'intéresse pas. Je préfère considérer que le futur n'est écrit nulle part et que j'ai mon libre arbitre.
Et que c'est moi qui décide à chaque seconde de ce qui va se tracé dans un petit entourage, comme Jean-Charles décide de ce qui se passe autour de toi et comme David, je crois qu'il s'appelle, décide autour de lui et ça nous rend créateur du présent et du futur et j'adore cette idée qu'on est responsable de mon jaque. Et qu'a pensé du destin ? A distance, je crois qu'il y a un chemin très tracé mais qu'on est pas obligé de l'aller. Je vois ça comme avant-mètre, j'aime bien cette idée.
Avant-mètre, on choisit sa prochaine incarnation, comme France, pays, quelque chose, même un maladie, je pense que je l'ai choisi. On choisit peut-être des rencontres amoureuses et amicales et on choisit un chemin idéal. Maintenant, ce chemin est éclairé, non, il faut que j'y ai bien vu. Du coup, on a le livre arbitre. Comme je reviens à cette route à la Cale-Lunaire, il ne pouvait très bien aller sur la route qui n'a pas de lumière, voire aller dans la forêt dans laquelle il n'est même pas de route et pas de lumière.
Ça va être plus compliqué, vous allez faire mal sur des ronces, vous allez avoir peut-être d'être attaqué par des loups, qui a un signe que vous devez revenir sur l'autre route à la Cale-Lunaire, mais il n'y a pas d'obligations. Je crois que le chemin trafait au karma, le karma est moins important que le livre arbitre. Je ne veux même que les réditer et moins important que le livre arbitre.
Ce sera parce que vos parents ont fait un métier, qu'ils sont obligés de faire un métier, parce que votre entier d'incarnation a fait un choix, que vous êtes obligé d'oblir à ce choix. Donc, le livre arbitre existe, ce qui veut dire qu'on est responsable. Et ce qui veut dire l'inclinale, ça veut dire que quand on fait quelque chose, il faut réfléchir aux conséquences négatives ou positives et à partir de là, considérer que ce n'est pas la photoseuse, ce n'est pas la photomonde, ce n'est pas la photalipop, c'est juste qu'on a fait des choix et on s'est compréhés et on a réussi. Et pour compléter par rapport à ça, pour moi, ce que je trouvais intéressant, c'est que oui, effectivement, des choix qui peuvent être faits, peut-être avant l'incarnation, tu parlais de la maladie, parfois même les rencontres, des choses comme ça. Mais la façon que nous, on va le gérer, c'est là que notre livre arbitre est aussi... Si on peut dire, la maladie, on pourrait être en position de victime, dire, ah, pas vrai de moi, ou dire, comment cette maladie peut m'aider, qu'est-ce que je peux en retirer de ça, comment je peux dépasser ça. Donc, c'est là que pour moi, je trouve le livre arbitre, notre façon d'interpréter l'événement, même s'il a été choisi, je pense que c'est entre nos mains et ça, je trouve ça, ça nous donne du pouvoir justement, de ne pas se percevoir comme victime. Si dans un jeu, on fait déjà que qu'il y a le gagnant, il y a le suspect. Exactement. Quand on parle d'un match de football, tu me dis, tu connaisses déjà, aussi une vie qui a déjà le résultat écrit quelque part, bon, ben, on va vous regarder le match, si c'est le directeur.
Exactement. Ce qui est génial dans notre existence, ou que le fait d'être dans la matière, c'est d'être dans le mystère, de ne pas être sûr qu'il y a quelque chose au-dessus et être dans la quête, c'est-à-dire être en petite question et passer sa vie à essayer d'y répondre. Et pour chacun, selon son niveau d'évolution et de compétence, les questions sont différentes et les réponses et les illuminations vont être plus ou moins fortes. Ouais. On arrive déjà à la fin avant de quitter Bernard, est-ce qu'il y a un masterclass bientôt?
Est-ce que ça va nous englisser quelques mots? Alors, le bientôt, c'est demain? C'est demain, ben oui. Alors, en fait, de masterclass, plus ça va, plus ça devient un sort de lieu expérimental. Je suis prêté à prendre les fritures, je leur fais une méditation, je leur sugiètrement. Je leur fais plein d'exercices, en qui ils s'aperçoivent que écrire est une manière de faire, de fixer sa pensée et d'immortaliser son, les mondes qui ont eu. Et surtout, ça rencontre un cours de français, c'est surtout un truc intellectuel, c'est un truc éliorganique. Ce que j'en propose, c'est de faire guéter les histoires vivants, mais crédit.
Dormez-vous aussi des films, qui dit en général, 5 à 6 minutes, et en 5 à 6 minutes, vous devez trouver le plus mauvais sujet de roman possible, donc qui vote pour le plus mauvais, et avec ce plus mauvais sujet de roman, il va arrêter nos histoires d'amour. Et après, ils vont vous chercher leur sujet personnel, et à partir de ce sujet personnel, ils avaient fait un histoire à ce sujet. Et après, ils doivent utiliser leurs voisins comme personnages, donc il faut que vous écoutez leurs voisins de table. C'est très interactif, c'est très ludique, et j'essaie de leur montrer qu'écrire c'est une joie, et c'est une forme de manière de faire sortir la pression intérieure. Il y a beaucoup de fouillir, c'est presque un spectacle. Ça fonctionne avec un pouvoir très interactif, et c'est une manière de montrer qu'ils sont capables de le faire.
Voilà. Et pour l'instant, des gens qui viennent, je crois, sont agréablement sortis, ils se attendent à trouver quelque chose d'une très universitaire, et comme sur quelque chose de très joyeux. Et ceux qui sont à l'aéros, oui. À quoi est-ce que tu as joué la clé de Jacques Rasmé ? Oui, je suis d'accord avec toi.
Et pour ceux qui sont intéressés, comment s'inscrire ? Alors il faut aller sur le Facebook, mon Facebook, Bernard Werber, en piquel. Là, il y a juste un site sur lequel il faut faire un petit texte et on s'inscrit au bas du clip. Sinon, sur mon site officiel, il s'appelle www.vernardWerber .com, il y a aussi un endroit où il y a que l'immasterclass inscrit. Donc Facebook ou Bernard Werber officiel. Il y a peut-être un truc sur Twitter aussi, mais c'est pas moi qui m'en notis, donc je ne suis pas sûr. Et j'espère en faire de plus en plus afin de consommer ça. Justement, peut-être toujours la co-ciète frustration de mon GPR Boris dans les brics latines. J'ai besoin de la co-cilette, mon savoir-faire, et de me dire, je vais te mourir, Franklin et Adopt, qui vont prendre le relais. J'ai envie de donner envie aux gens de développer leur imaginaire, et qu'il apparaît, sans fin, ce qui manque de plus en France et probablement un peu moins au Québec, c'est une littérature d'imaginaire vivante, pas juste réservé à un petit groupe d'articionados, mais qui touchent le grand public, comme on a pu toucher le grand public, et à la fin des belles singes, ou juste vernes, qui ne sont pas restés dans des pubs fermés.
Et pour ceux qui ne pourraient pas assister demain, est-ce que t'as d'autres dates de prévu? Si je n'ai qu'au souvenir sur mon Facebook officiel, c'est dans ma verbe, ou sur mon site dans ma verbe, et c'est là où, chaque fois que j'ai une salle, et que je suis bien organisé, on peut le trouver. Mais il y a une vraie salle en tout partout, si on est fait en suit, si on est fait en suit, en suit de la francophonie, maintenant j'attends les signes, et puis il faut que moi-même, j'évolue pour faire évoluer les autres, et bien s'il faut devenir de plus en plus évolué, conscient, pour pouvoir en évoluer les autres, en poursuivant les consciences, de l'expérience, et de l'endroit où je vais avec toi, pour faire une visite de l'entre-deux-vies. Bon, ça va être super, tu sais. Bernard, je te remercie beaucoup, très apprécié, super belle entrevue, je te remercie de ton temps, c'est vraiment super.
Moi, merci, Jean-Claire. Merci, et merci à tout le monde d'avoir été là, vraiment, je suis très heureux de partager ces moments-là avec vous, c'est vraiment des belles... Je suis pas le conteur de la CINSS de l'Odimenter, donc on va pouvoir le voir en replay après. Oui, c'est ça. Oui. Donc, je vais mettre le lien après sur mon site et mon Facebook.
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 source: Ouvrage - La Boîte de Pandore- résumé par chatGPT
 #### Introduction et Dédicace
- Pour Alice, bienvenue de ce côté du miroir.
#### Citations Initiales
- Paul Éluard: "Nous vivons dans l'oubli de nos métamorphoses."
- Ray Bradbury: "Et quand ils demanderont ce que nous faisons, vous pourrez répondre : nous nous souvenons."
- **Chapitre 1: L'Hypnotiseuse Opale**
- Opale prépare son tour final lors d'un spectacle d'hypnose.
- Elle invite un volontaire du public, choisissant René Toledano, un professeur d'histoire de 32 ans.
- Opale le guide à travers une séance d'hypnose pour découvrir ses "mémoires profondes".
- **Chapitre 2: La Régression**
- René, sous hypnose, explore une vie passée en tant qu'Hippolyte Pélissier, un soldat de la Première Guerre mondiale.
- Il vit des scènes intenses de combats et de survie dans les tranchées pendant l'offensive du Chemin des Dames en 1917.
- René se réveille en sursaut, perturbé par les souvenirs de cette vie antérieure.
- **Chapitre 3: La Fuite**
- René quitte précipitamment la salle de spectacle, agité et en état de choc.
- Il court le long de la Seine, en proie à des flashbacks de la guerre.
- Confronté à un agresseur skinhead, René se défend instinctivement et tue l'homme en légitime défense.
- **Chapitre 4: Retour à la Réalité**
- De retour chez lui, René est hanté par ses actes et les souvenirs ressurgis.
- Il se questionne sur son identité et ses actions sous l'influence de l'hypnose.
- Il cherche des informations sur la bataille du Chemin des Dames et découvre des détails historiques qui corroborent ses visions.
- **Chapitre 5: Mnemos et Léthé**
- Exploration des thèmes de la mémoire et de l'oubli à travers la mythologie grecque.
- Hypnos, dieu du sommeil, et son lien avec l'hypnose.
- Léthé, personnification de l'oubli, et son rôle dans la réincarnation des âmes.
- **Chapitre 6: Le Lendemain Matin**
- René, incapable de dormir, décide de se rendre à la police pour se constituer prisonnier.
- Il change d'avis en route et essaie de rationaliser ses actions.
- Arrivé au lycée Johnny-Hallyday, il tente de reprendre une vie normale malgré le poids de ses souvenirs et de ses actes.
- **Chapitre 7: Au Lycée**
- René arrive au lycée et observe la statue de Johnny Hallyday.
- Il se prépare à affronter la journée tout en essayant de dissimuler son trouble intérieur.
- **Chapitre 8: Première Journée au Lycée**
- René tente de reprendre une vie normale en enseignant.
- Il commence ses cours avec une présentation sur le Big Bang et la formation de la Terre.
- René exprime des doutes sur l'authenticité des récits historiques enseignés.
- **Chapitre 9: Déjeuner avec Élodie**
- Rencontre avec Élodie Tesquet, une collègue et amie proche.
- Élodie partage son expérience de guérison de l'anorexie et la manipulation des faux souvenirs par un psychiatre.
- Elle conseille à René de revoir l'hypnotiseuse pour enlever les souvenirs implantés.
- **Chapitre 10: Retour au Spectacle**
- René retourne au spectacle d'hypnose et insiste pour revivre l'expérience afin de corriger les souvenirs perturbants.
- Il monte sur scène sans y être invité, causant une gêne dans le public.
- Opale, l'hypnotiseuse, finit par accepter de réhypnotiser René après le spectacle.
- **Chapitre 11: La Séance d'Hypnose**
- René choisit de revivre une vie où il est mort de manière naturelle, entouré de sa famille.
- Il se retrouve dans la peau d'une vieille femme riche, Léontine de Villambreuse, sur son lit de mort.
- Léontine confesse ses péchés à un prêtre, révélant des relations charnelles multiples et un mépris pour les bigots.
- **Chapitre 12: La Vie de Léontine**
- Léontine refuse de révéler l'emplacement de ses richesses à sa famille, exprimant son mépris pour eux.
- Elle utilise le mot "Marsout" pour tromper sa famille sur l'emplacement de son trésor.
- René revient à la réalité, troublé par l'expérience et le mot énigmatique "Marsout".
- **Chapitre 13: La Vie d'un Galérien**
- René demande à revivre une vie où il a connu le plus grand plaisir.
- Il se retrouve dans la peau d'un galérien nommé Zeno, subissant des conditions de vie brutales et inhumaines.
- L'expérience se termine avec René ressentant les douleurs physiques des coups de fouet infligés à Zeno.
- **Chapitre 14: Zeno**
- Zeno distingue la mer et les bateaux ennemis carthaginois approchant.
- La bataille commence, les galériens romains rament frénétiquement.
- Un choc indique que le bateau romain a éperonné un bateau ennemi.
- Un incendie éclate, mais Zeno parvient à ouvrir le cadenas des chaînes et éteindre le feu.
- Les galériens sont accueillis par les Carthaginois, et Zeno savoure de la nourriture pour la première fois depuis longtemps.
- **Chapitre 15: Retour à la Réalité**
- René se réveille, encore ravi de l'expérience de Zeno.
- Opale remarque l'amélioration de René dans ses voyages hypnotiques.
- Ils discutent de la différence entre plaisir par contraste et plaisir absolu.
- René exprime le désir de revivre sa plus grande histoire d'amour dans une vie antérieure.
- **Chapitre 16: Rencontre avec Geb**
- René se retrouve sur une plage paradisiaque et rencontre Geb, une incarnation passée.
- Geb explique qu'ils parlent d'âme à âme à travers le temps.
- Ils échangent sur leurs vies respectives, Geb étant un astronome et René un professeur d'histoire.
- Un tremblement de terre interrompt leur discussion, Geb propose de se retrouver le lendemain.
- **Chapitre 17: Réflexions de René**
- René retourne à la réalité, se sentant transformé et apaisé.
- Il réalise que ses différentes incarnations lui offrent des perspectives variées sur la vie.
- Il se sent moins coupable de ses actions présentes.
- **Chapitre 18: La Vie de Geb**
- Geb explique comment contrôler les événements avec l'esprit.
- René apprend que Geb a choisi de dialoguer avec lui pour comprendre les influences sur l'histoire de l'humanité.
- **Chapitre 19: Retour à la Réalité (Suite)**
- René discute avec Opale de ses progrès et de la tranquillité qu'il a ressentie avec Geb.
- Opale décide de modifier son spectacle d'hypnose pour éviter les risques liés à la régression dans les vies antérieures.
- **Chapitre 20: Les Mues Nécessaires**
- Réflexions sur le changement et l'oubli nécessaires à la bonne fonction du cerveau.
- Métaphores avec le serpent et la mue.
- **Chapitre 21: Nouvelle Journée**
- René se réveille reposé et pense à sa mère, réalisant qu'il doit être plus indulgent envers lui-même.
- Il décide de ne plus se sentir coupable pour tout.
- Il cherche des informations sur le corps repêché dans la Seine, mais ne trouve rien.
- **Chapitre 22: Retour au Lycée**
- René se rend au lycée et prépare son cours.
- Il discute des mensonges historiques et de la propagande avec ses élèves.
- **Chapitre 23: Discussion avec Élodie**
- Élodie partage ses expériences et ses conseils avec René, s'inquiétant de son obsession pour l'hypnose régressive.
- Elle lui montre comment les pensées peuvent être manipulées et suggère qu'il coupe les liens avec l'hypnotiseuse.
- **Chapitre 24: Tic à l'œil**
- René ressent de nouveau un tic à l'œil droit.
- Il observe les élèves dans la cour de récréation et médite sur l'oubli et la révolte.
- Il cherche des civilisations anciennes susceptibles de connaître l'astronomie.
- **Chapitre 25: Rencontre avec le Père**
- René visite son père dans une maison de retraite spécialisée en démence.
- Ils discutent des problèmes de mémoire de son père, Émile.
- Le médecin explique que la mémoire est liée aux émotions et que les benzodiazépines aident à détendre son père.
- **Chapitre 26: Autohypnose**
- René se prépare à une séance d'autohypnose pour explorer son inconscient.
- Il descend les marches de son esprit et ouvre la porte numéro 1.
- **Chapitre 27: Rencontre avec Geb (Suite)**
- Sur la plage, René retrouve Geb après un tremblement de terre.
- Ils discutent de leurs époques respectives, révélant un écart de 12 000 ans.
- Geb vit sur une île dans l'océan Atlantique, possiblement l'Atlantide.
- **Chapitre 28: En Classe**
- René, enthousiasmé, enseigne l'Atlantide à ses élèves.
- Un élève, Philippe, conteste l'existence de l'Atlantide, provoquant René.
- Un conflit physique éclate entre René et Philippe, mettant René dans une situation délicate.
- **Chapitre 29: Confrontation avec le Proviseur**
- René est convoqué par le proviseur, Pinel, à cause de son comportement en classe.
- Pinel critique les enseignements de René et ses théories controversées.
- René défend son intérêt pour l'Atlantide mais se voit menacé de suspension.
- **Chapitre 30: Déjeuner avec Élodie**
- Élodie conseille à René d'abandonner ses théories et de cesser de voir l'hypnotiseuse.
- René partage ses expériences et sa conviction sur l'existence de l'Atlantide.
- **Chapitre 31: Rendez-vous avec Opale**
- René rencontre Opale au "Dernier bar avant la fin du monde".
- Ils discutent des régressions hypnotiques et de l'Atlantide.
- Opale exprime son désir d'être guidée en autohypnose par René.
- **Chapitre 32: Histoire de Vie d'Opale**
- Opale raconte son passé: son père magicien et sa mère psychologue.
- Elle décrit son parcours de psychologue à hypnotiseuse, cherchant à soigner les blessures profondes de ses patients.
- Opale combine hypnose thérapeutique et hypnose de spectacle dans ses pratiques.
- **Chapitre 33: Discussions au Dernier Bar avant la Fin du Monde**
- Opale et René discutent dans un bar animé.
- Opale exprime son admiration pour René et explique ses erreurs et ses intentions.
- René et Opale parlent de manipulation mentale et des expériences hypnotiques.
- **Chapitre 34: Nouvelle Hypnose**
- René entreprend une nouvelle séance d'autohypnose.
- Il explore les vies antérieures, cherchant à comprendre l'Atlantide et ses habitants.
- René arrive à la plage de cocotiers mais Geb, son incarnation passée, n'est pas présent immédiatement.
- **Chapitre 35: Visite de Mem-Set**
- Geb guide René à travers la ville de Mem-Set, la capitale de l'Atlantide.
- Description détaillée de la ville, ses habitants et leur mode de vie harmonieux et autonome.
- Discussion sur les différences technologiques et culturelles entre l'Atlantide et le monde moderne.
- **Chapitre 36: Révélation du Déluge**
- René explique à Geb la légende du Déluge et la disparition de l'Atlantide.
- Geb est sceptique mais propose de discuter des moyens de sauver leur civilisation.
- René ressent un mélange d'émerveillement et de culpabilité pour avoir révélé cette sombre prophétie.
- **Chapitre 37: Retour à la Réalité**
- René revient dans le présent et note ses expériences dans un fichier nommé Mnemos.
- Il réfléchit à la mémoire collective et aux leçons tirées de ses vies passées.
- Résolution de sauver l'Atlantide et d'améliorer la civilisation actuelle.
- **Chapitre 38: Enseignement controversé**
- René enseigne le Déluge à ses élèves, suscitant l'intérêt et la controverse.
- Discussion sur les différents récits de déluge dans les cultures anciennes.
- Les élèves expriment leurs inquiétudes concernant le programme scolaire et l'examen final.
- **Chapitre 39: Confrontation avec le Proviseur**
- René est convoqué par le proviseur Pinel pour ses enseignements controversés.
- Pinel menace René de suspension, mais René démissionne de son poste.
- René se sent libéré mais conscient des conséquences de ses actions.
- **Chapitre 40: Déjeuner avec Élodie**
- René annonce à Élodie sa démission et partage ses expériences en Atlantide.
- Élodie est sceptique et préoccupée pour René, suggérant qu'il consulte un psy.
- Discussion sur le mode de vie atlante et ses implications pour le monde moderne.
- **Chapitre 41: Arrestation de René**
- René est arrêté par la police en relation avec le meurtre du skinhead Helmut Krantz.
- La situation s'aggrave, et René réalise les répercussions de ses actions passées.
- **Chapitre 42: Interrogatoire et Garde à Vue**
- René est interrogé par le lieutenant Raziel au sujet de l'incident avec le skinhead.
- Raziel insiste sur le fait que René a peut-être abusé de la légitime défense.
- René tente de justifier ses actions et de manipuler Raziel, mais sans succès.
- René est placé en garde à vue, où il observe les comportements des autres détenus.
- **Chapitre 43: Autohypnose en Cellule**
- René pratique l'autohypnose dans les toilettes de la cellule.
- Il se retrouve dans l'habitation de Geb, où il discute de l'Atlantide.
- Geb lui montre la cité de Mem-Set et discute des sages atlantes et de leur réaction face à la menace du Déluge.
- **Chapitre 44: Retour à la Réalité**
- René est réveillé par un garde et retourne à la cellule.
- Il discute brièvement avec Cécilia, une prostituée détenue, et tente de l'hypnotiser pour l'aider à dormir.
- **Chapitre 45: Histoire de l'Hypnose**
- Description des origines et de l'évolution de l'hypnose, des Sumériens à Milton Erickson.
- Réflexions sur l'importance de l'émotion dans la mémorisation des souvenirs.
- **Chapitre 46: Visite d'Élodie**
- Élodie, l'amie de René, lui rend visite et explique qu'elle a réussi à le faire transférer dans un hôpital psychiatrique.
- Élodie a convaincu la juge que René était sous l'influence d'une hypnose traumatique, ce qui pourrait aider à plaider l'irresponsabilité lors du procès.
- **Chapitre 47: Arrivée à l'Hôpital Marcel-Proust**
- René est transféré à l'hôpital psychiatrique Marcel-Proust, où il rencontre le docteur Maximilien Chob.
- Chob explique à René le fonctionnement de la mémoire et propose un traitement pour supprimer les faux souvenirs.
- René est sceptique et ne souhaite pas subir ce traitement.
- **Chapitre 48: Installation à l'Hôpital**
- René découvre l'environnement de l'hôpital et les autres patients.
- Il est placé à la table des Atlantes lors du repas et discute avec d'autres patients qui se croient aussi atlantes.
- Discussions sur la véritable capitale de l'Atlantide, contrastant avec les délires des autres patients.
#### Chapitre 49 : Confrontation à la réalité
- **Téléportation et hallucinations**
- Discussions des malades sur des expériences étranges et sur l'Atlantide.
- René réfléchit sur la possibilité qu'il soit fou et questionne ses souvenirs.
#### Chapitre 50 : Découverte et réminiscence
- **Découverte d'une scène de torture**
- René découvre le docteur Chob torturant une patiente.
- Il est capturé et menacé par Chob qui lui parle d'électrothérapie.
#### Chapitre 51: Électrothérapie et ses effets
- **Première séance d'électrothérapie**
- Chob explique la technique de l'électrothérapie et ses intentions de "nettoyage" de la mémoire.
- René subit des chocs électriques douloureux.
#### Chapitre 52 : Évasion mentale et aide spirituelle
- **Hypnose et régression**
- René utilise l'auto-hypnose pour se réfugier dans son esprit.
- Il rencontre une réincarnation passée, un moine cambodgien nommé Phirun, qui l'aide à créer une caverne mentale pour échapper à la douleur.
#### Chapitre 53 : Confrontation avec le passé
- **Retour à la Première Guerre mondiale**
- René revisite une de ses vies passées en tant que soldat Hippolyte Pélissier.
- Il utilise les compétences de combat de cette vie passée pour planifier son évasion.
#### Chapitre 54 : Evasion physique
- **Tentative d'évasion de l'asile**
- René-Hippolyte attaque un infirmier et essaie de s'échapper.
- Il se retrouve dans un labyrinthe de couloirs rappelant les tunnels de la guerre.
#### Chapitre 55: Évasion et nouvelle vie
- **Évasion de l'asile**
- René-Hippolyte se déguise en infirmier pour s'échapper de l'asile. Il utilise une carte magnétique pour franchir la porte principale et s'enfuit en ambulance.
- Il se réfugie chez lui, mais réalise que Chob et ses hommes sont à ses trousses. Il commence à organiser sa fuite.
#### Chapitre 56: Confrontation avec Chob
- **Affrontement et préparation à la fuite**
- Chob et ses infirmiers tentent de forcer la porte de René. Il se prépare à quitter son appartement et utilise une technique d'improvisation pour convaincre un voisin de le laisser passer.
- René convainc Émile, son père, de son plan en utilisant une méthode argumentative efficace.
#### Chapitre 57: Réflexions et nouvelles décisions
- **Réflexion intérieure et nouvelles résolutions**
- René réfléchit sur ses expériences passées et décide de trouver un moyen de sauver l'Atlantide du déluge.
- Il décide de poursuivre son voyage et de se préparer pour les défis à venir.
#### Chapitre 58: Nouvelle quête
- **Départ pour une nouvelle aventure**
- René se met en route pour trouver un endroit sûr pour lui et pour sauver l'Atlantide. Il rencontre des défis mais reste déterminé à atteindre son objectif.
- Il réfléchit à son passé et à ses réincarnations, utilisant ses connaissances pour avancer dans sa quête.
#### Chapitre 59 Retour au château de La Villambreuse
- **Observation et infiltration**
- René Toledano et Opale Etchegoyen observent le château de Villambreuse, un joyau architectural du XVIIIe siècle, avant de s'infiltrer pour chercher un trésor caché.
- René se souvient de ses vies passées et utilise ses compétences pour trouver et récupérer des lingots d'or.
#### Chapitre 60 Nuit d'évasion et planification (Pages 251-255)
- **Repos et réflexion**
- Après une nuit agitée, René et Opale se reposent dans un hôtel. René réfléchit à ses réincarnations et à son passé.
- Ils planifient leur prochaine étape : convertir les lingots en argent liquide et préparer leur fuite vers l'Égypte.
#### Chapitre 61 Mnemos: Ces moments qu'on a préféré oublier (Pages 256-264)
- **Réflexion historique**
- Discussion sur des événements historiques méconnus ou oubliés, comme les batailles d'Azincourt et de Poitiers, et la Commune de Paris.
#### Chapitre 62 Tempête en mer et nouvelle mission (Pages 265-267)
- **Départ en mer**
- René et Opale affrontent une tempête en mer à bord de leur voilier, le Poisson volant, tout en se préparant à leur mission en Égypte.
#### Chapitre 63 Retour à l'Atlantide (Pages 267-272)
- **Vision du passé**
- René retourne mentalement à l'époque de l'Atlantide et aide Geb et sa famille à survivre au déluge en construisant un bateau et en fuyant l'île.
#### Chapitre 64 Réflexions post-régression
- **Retour au présent**
- De retour dans le présent, René réfléchit à ses actions passées et discute avec Opale des implications de ses voyages dans le temps. Ils continuent leur voyage en mer vers l'Égypte.
#### Chapitre 65 Effet papillon et magie
- **Explication de l'effet papillon**
- Discussions philosophiques sur l'impact des petits détails sur le cours de l'histoire.
- **Démonstration de magie**
- Opale fait une démonstration d'un tour de cartes où le résultat est prévisible et immuable.
#### Chapitre 66 Traversée de la mer et souvenirs historiques
- **Navigation difficile**
- René et Opale affrontent une tempête en mer.
- **Réflexions sur le passé**
- René utilise ses souvenirs historiques pour aider à naviguer.
#### Chapitre 67 Anankè et la nécessité
- **Mythologie grecque**
- Anankè est discutée comme la déesse du destin nécessaire.
- **Réflexions philosophiques**
- Discussions sur la nécessité d'accepter son destin.
#### Chapitre 68: Dissensions parmi les Atlantes
- **Débats internes**
- Les Atlantes se disputent sur la direction à prendre, révélant des tensions internes.
- **Leadership de Geb**
- Geb apaise les tensions et renforce l'unité parmi les survivants.
#### Chapitre 69 Moments intimes et échanges de savoirs
- **Temps de répit**
- René et Opale partagent des moments de détente et discutent de leurs connaissances respectives.
- **Éducation mutuelle**
- Opale enseigne l'hypnose à René, tandis que René partage des anecdotes historiques.
#### Chapitre 70: Mutinerie et scorbuts
- **Mutinerie à bord**
- Une révolte éclate parmi les Atlantes, mais elle est rapidement maîtrisée.
- **Épidémie de scorbut**
- Plusieurs Atlantes succombent au scorbut, réduisant encore leur nombre.
#### Chapitre 71: Nouvelles tentatives d'hypnose
- **Hypnose approfondie**
- Opale tente à nouveau de pénétrer son inconscient mais échoue initialement.
#### Chapitre 72 Tempête et réparation
- **Affrontement avec la nature**
- Les Atlantes luttent contre une tempête, Nout tombe à l'eau mais est sauvée par des dauphins.
- **Réparation du bateau**
- Le groupe répare les dommages causés à leur navire.
#### Chapitre 73: Moments de complicité
- **Détente et loisirs**
- René et Opale profitent de moments de détente sur le bateau, renforçant leur complicité.
#### Chapitre 74 Collision et réparation de l'arche
- **Collision avec un rocher**
- L'arche de Néhé heurte un rocher et commence à couler, mais les Atlantes parviennent à colmater la brèche.
#### Chapitre 75: Enseignements sur l'hypnose et l'histoire
- **Échanges pédagogiques**
- Opale continue d'enseigner l'hypnose à René, et René partage des faits historiques fascinants.
#### Chapitre 76: Mnemos - Erreurs de l'histoire
- **Corrections historiques**
- René raconte des erreurs courantes de l'histoire, corrigeant plusieurs mythes et malentendus historiques.
#### Chapitre 77: Arrivée en Égypte
- **Accostage en Égypte**
- René et Opale arrivent en Égypte et réussissent à corrompre les douaniers grâce à l'hypnose.
#### Chapitre 78: Régression et révélation
- **Session de régression**
- Opale découvre des souvenirs de vies antérieures, révélant un passé traumatisant.
#### Chapitre 79: Réminiscence des sorcières de Zugarramurdi
- **Souvenirs douloureux**
- Opale revit un traumatisme de la chasse aux sorcières où elle et d'autres femmes sont brûlées vives.
#### Chapitre 80: Mnemos - Les sorcières de Zugarramurdi
- **Contexte historique**
- René documente l'affaire des sorcières de Zugarramurdi, détaillant les injustices et les massacres perpétrés sous le règne de Henri IV.
#### Chapitre 81: Survivants sur la côte africaine
- **Installation en Afrique**
- Les Atlantes, désormais réduits en nombre, commencent à s'installer sur les côtes africaines.
- **Observation de la faune locale**
- Geb et les autres découvrent une nouvelle faune et flore, différentes de leur Atlantide d'origine.
#### Chapitre 82: Communication avec René
- **Contact avec René**
- Geb et René communiquent sur les prochaines étapes et l'adaptation à leur nouvel environnement.
- **Découverte de la différence de taille**
- René découvre que les Atlantes sont beaucoup plus grands que les humains modernes, ce qui explique leurs perceptions et leurs capacités différentes.
#### Chapitre 83: La stratégie de preuve de l'Atlantide
- **Plan pour prouver l'existence de l'Atlantide**
- René propose à Geb de rédiger l'histoire des Atlantes sur des parchemins détaillés et de les cacher dans des jarres dans une grotte inaccessible pour être trouvés et authentifiés dans le futur.
#### Chapitre 84: Révélation des géants
- **Découverte choquante**
- René réalise que les Atlantes sont des géants de 17 mètres.
- Discussions sur les implications de cette découverte et son impact sur l'histoire humaine.
#### Chapitre 85: Recherche de la grotte idéale
- **Planification minutieuse**
- Opale et René recherchent une grotte pour cacher les jarres.
- Exploration de la région et sélection de la "montagne blanche" pour sa sécurité et son inaccessibilité.
#### Chapitre 86: Installation des Atlantes
- **Fondation de Mem-phis**
- Les Atlantes commencent à construire leur nouvelle cité Mem-phis.
- Tensions internes et premières confrontations avec les petits primates locaux.
#### Chapitre 87: Réincarnation et séduction
- **Nouvelle régression**
- René explore une de ses vies passées en Inde pour obtenir des conseils en séduction de Shanti, une ancienne réincarnation bisexuelle.
- Apprentissage des techniques de séduction et des rapports amoureux.
#### Chapitre 88: Manuscrits de la mer Morte
- **Parallèle historique**
- Discussion sur la découverte des manuscrits de la mer Morte et leur importance historique.
- Réflexion sur l'impact potentiel des parchemins atlantes.
#### Chapitre 89: Exploration de la montagne blanche
- **Recherche de preuves**
- Exploration de la montagne blanche et découverte d'une grotte obstruée par un rocher.
- Plan pour cacher les parchemins dans cette grotte.
#### Chapitre 90: Construction et menaces
- **Adaptation et survie**
- Les Atlantes construisent des maisons temporaires et s'adaptent à leur nouvel environnement.
- Observations et inquiétudes croissantes concernant les petits primates.
#### Chapitre 91: Attaque des indigènes
- **Première offensive**
- Les petits humains primitifs attaquent les Atlantes avec des flèches et des lances.
- Les Atlantes repoussent l'attaque mais ressentent une menace croissante.
#### Chapitre 92: Appel à l'aide
- **Recherche de soutien**
- René et Opale tentent de contacter des médias et des scientifiques pour authentifier leur découverte.
- Difficultés à convaincre les autres de l'importance de leur découverte.
#### Chapitre 93: Boîte de Pandore (suite)
- **Mythologie et histoire**
- Discussion sur l'histoire de la boîte de Pandore et ses conséquences sur l'humanité.
- Parallèle avec la situation actuelle des Atlantes et leurs défis.
#### Chapitre 94: Préparation de l'exode
- **Planification de la fuite**
- Geb et Nout préparent les jarres et les parchemins pour les cacher dans la grotte.
- Inquiétudes croissantes concernant les attaques des petits humains.
#### Chapitre 95: Attente et tension
- **Préparatifs et inquiétudes**
- Les Atlantes se préparent à affronter de nouvelles attaques.
- Discussions sur les stratégies de survie et les moyens de préserver leur histoire.
#### Chapitre 96: Nouvelle offensive
- **Conflit inévitable**
- Les petits humains attaquent à nouveau, cette fois en plus grand nombre.
- Les Atlantes doivent trouver des moyens de survivre et de protéger leurs preuves.
### Chapitre 97: Confrontation avec les indigènes
- Une horde d'indigènes attaque les Atlantes.
- Nout et Geb discutent de l'agressivité des indigènes due à la peur.
- Les indigènes développent des stratégies pour renverser les Atlantes.
- Geb encourage les Atlantes à se défendre plus radicalement.
- Les Atlantes repoussent les indigènes, mais ces derniers ne renoncent pas et incendient une maison atlante.
### Chapitre 98: Célébration et réflexion
- Opale et René célèbrent avec du champagne.
- Opale remercie René pour son aide psychologique.
- Discussion sur l'importance des souvenirs et des âmes.
- Opale et René discutent de leur lien profond, évoquant des vies passées.
### Chapitre 99: Légitime défense et stratégie
- René conseille Geb sur la manière de repousser les attaques indigènes.
- Discussion sur l'autorisation de tuer pour la survie.
- René propose d'inventer une religion pour pacifier les indigènes.
- Geb commence à créer une cosmogonie pour les indigènes.
### Chapitre 100: Création d'une religion
- Geb et Nout discutent de l'invention d'une religion pour les indigènes.
- René guide Geb dans la création d'une cosmogonie.
- Geb mémorise et commence à enseigner la nouvelle religion aux indigènes.
### Chapitre 101: Révélation des découvertes
- Une équipe de journalistes rejoint René et Opale pour filmer leur découverte.
- Gauthier Carlson, le journaliste, planifie de filmer la grotte et les artefacts découverts.
- René remarque des traces de pas et de pneus non identifiées dans la grotte.
### Chapitre 102: Déception et frustration
- La grotte est vide, les artefacts et les squelettes ont disparu.
- Gauthier accuse René d'escroquerie en direct à la télévision.
- René et Opale sont arrêtés par la police et accusés de destruction de pièces archéologiques.
### Chapitre 103: Prison et révélations politiques
- René et Opale sont emprisonnés dans une prison de haute sécurité.
- Jean-Charles de Villambreuse, un diplomate, explique à René les enjeux politiques derrière leur arrestation.
- Le ministre de la Culture égyptien aurait ordonné la destruction des artefacts pour éviter une augmentation du tourisme idolâtre.
### Chapitre 104: Renforcement de la sécurité
- Renforcement de la sécurité dans la prison de Scorpio.
- Jean-Charles de Villambreuse, un diplomate français, aide René et ses amis à s'évader.
- Discussion sur les mesures à prendre pour maintenir l'ordre dans la prison.
### Chapitre 105: Évasion et stratégie
- René utilise ses compétences pour orchestrer une évasion audacieuse de la prison.
- Détails de la planification et de l'exécution de l'évasion.
- Utilisation de diverses techniques de combat et de subterfuge.
### Chapitre 106: Libération des compagnons
- René libère ses compagnons emprisonnés.
- Utilisation de stratégies pour éviter les gardes et se faufiler hors de la prison.
- Moments de tension et de danger imminent.
### Chapitre 107: Réflexions et adaptations
- Réflexions de René sur les leçons tirées de ses vies antérieures.
- Adaptation des techniques anciennes aux situations modernes.
- Discussion sur l'importance de l'expérience et de la sagesse accumulée.
### Chapitre 108: Organisation et évasion finale
- Coordination des efforts pour l'évasion finale.
- Utilisation de véhicules pour fuir la prison.
- Moments critiques de l'évasion avec des décisions rapides et des improvisations.
### Chapitre 109: Réflexions sur la liberté
- Moments de contemplation après l'évasion réussie.
- Discussions sur la liberté et la prochaine étape de leur aventure.
- Renforcement des liens entre les membres du groupe.
### Chapitre 110: Stratégies de survie
- Discussion sur les stratégies de survie et de protection contre les futures menaces.
- Mise en place de plans pour éviter d'être capturés à nouveau.
- Préparation pour les défis à venir.
### Chapitre 111: Réintégration et nouvelles alliances
- Plans pour se réintégrer dans la société tout en évitant la capture.
- Établissement de nouvelles alliances pour obtenir de l'aide et des ressources.
- Stratégies pour maintenir un profil bas tout en poursuivant leurs objectifs.
### Chapitre 112: Rencontre avec les vies antérieures
- René fait une démonstration pour expliquer l'importance des émotions et des vies passées.
- Il affirme que chaque âme choisit ses expériences avant de naître.
- Plusieurs personnages partagent leurs expériences de vies difficiles et les leçons qu'ils en ont tirées.
- René conclut que chaque vie est une opportunité d'apprentissage et d'évolution.
### Chapitre 113: Enseignements de Geb
- Geb partage sa perspective sur les vies atlantes et les raisons de leur stagnation dans le bonheur.
- Il souligne l'importance des défis et des risques pour l'évolution de l'âme.
- Discussion sur les contributions et les traces laissées par chaque vie dans l'histoire.
### Chapitre 114: Planification de la mémoire
- Discussion sur la manière de préserver et de transmettre les connaissances atlantes.
- Propositions de stratégies pour immortaliser les leçons apprises à travers les âges.
- Les personnages réfléchissent sur l'importance de leur mission et la meilleure manière de la réaliser.
### Chapitre 115: Évasion et nouveaux horizons
- René et ses compagnons réussissent à s'évader de la prison.
- Ils planifient de nouvelles stratégies pour éviter d'être capturés à nouveau.
- Discussion sur les prochaines étapes de leur mission et les alliances nécessaires pour continuer.
### Chapitre 116: Nouveaux départs
- Le groupe s'installe temporairement dans une nouvelle région pour se reposer et se réorganiser.
- Chaque membre utilise ses compétences uniques pour contribuer à la survie et au bien-être du groupe.
- Ils discutent des leçons apprises et des ajustements nécessaires pour leur mission future.
### Chapitre 117: Confrontation avec les défis
- Le groupe fait face à de nouveaux défis environnementaux et culturels dans leur nouvelle région.
- Ils adaptent leurs stratégies en fonction des nouvelles menaces et opportunités.
- Moments de tension et de coopération renforçant les liens au sein du groupe.
### Chapitre 118: Exploration et découvertes
- Exploration de nouvelles régions et découvertes d'artefacts historiques importants.
- Discussions sur l'interprétation de ces découvertes et leur intégration dans leur mission globale.
- Événements imprévus testant la résilience et la créativité du groupe.
### Chapitre 119: Stratégies pour l'avenir
- Planification détaillée des prochaines étapes de leur mission.
- Discussions sur l'importance de la mémoire collective et des moyens de la préserver.
- Préparation pour de nouvelles aventures et confrontations à venir.
### Chapitre 120: Rencontre avec les vies antérieures
- René utilise l'hypnose régressive pour explorer ses vies passées.
- Il visualise un escalier menant à son inconscient et découvre des portes numérotées représentant différentes vies.
- Chaque vie antérieure est explorée en détail, révélant des leçons importantes.
### Chapitre 121: Enseignements de Geb
- Geb partage ses réflexions sur la stagnation des Atlantes dans le bonheur.
- Discussion sur l'importance des défis et des risques pour l'évolution de l'âme.
- Réflexions sur l'impact des vies passées sur le présent.
### Chapitre 122: Planification de la mémoire
- Discussion sur les stratégies pour préserver et transmettre les connaissances atlantes.
- Propositions de méthodes pour immortaliser les leçons apprises.
- Importance de la mission et des moyens pour la réaliser.
### Chapitre 123: Évasion et nouveaux horizons
- René et ses compagnons réussissent à s'évader de la prison.
- Planification de nouvelles stratégies pour éviter d'être capturés à nouveau.
- Discussion sur les prochaines étapes de leur mission et les alliances nécessaires.
### Chapitre 124: Nouveaux départs
- Installation temporaire dans une nouvelle région pour se reposer et se réorganiser.
- Contribution de chaque membre du groupe à la survie et au bien-être collectif.
- Réflexions sur les leçons apprises et les ajustements nécessaires.
### Chapitre 125: Confrontation avec les défis
- Le groupe fait face à de nouveaux défis environnementaux et culturels.
- Adaptation des stratégies en fonction des nouvelles menaces et opportunités.
- Moments de tension et de coopération renforçant les liens du groupe.
### Chapitre 126: Exploration et découvertes
- Exploration de nouvelles régions et découvertes d'artefacts historiques.
- Discussions sur l'interprétation de ces découvertes et leur intégration dans la mission globale.
- Événements imprévus testant la résilience et la créativité du groupe.
### Chapitre 127: Stratégies pour l'avenir
- Planification détaillée des prochaines étapes de la mission.
- Discussions sur l'importance de la mémoire collective et des moyens de la préserver.
- Préparation pour de nouvelles aventures et confrontations à venir.
### Chapitre 128: Hypnose régressive
- Instructions détaillées pour une séance d'hypnose régressive.
- Processus de relaxation et visualisation pour accéder aux vies antérieures.
- Techniques pour explorer et comprendre les expériences passées.
### Chapitre 129: Discussion sur le destin et le libre arbitre
- Discussion sur l'importance du libre arbitre versus le destin prédéterminé.
- René et son interlocuteur débattent sur l'écriture des événements de la vie.
- Conclusion sur l'équilibre entre les choix personnels et les événements inévitables.
### Chapitre 130: Dernière mission de Geb et Nout
- Geb et Nout, épuisés et assoiffés, atteignent l'oasis de Siwa.
- Ils cachent des artefacts dans une caverne avant de boire du poison pour mettre fin à leurs jours.
- Réflexions finales sur leur vie et leur mission avant de mourir ensemble.
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 | Au pire ça marche ( 2 éme partie )
 une épée de Damocles au-dessus de la tête, et cette épée de Damocles fait que chaque seconde qui passe, pour moi, est une seconde de gagner, et chaque instant qui arrive, et chaque instant apprécié, et chaque matin, je suis heureux d'être vision. Donc, peut-être qu'il faut, par moments, avoir ce genre d'expérience pour apprécier ce qu'on croit qui nous est dû ou qui semble naturel, pour moi, chaque jour qui passe, c'est un miracle. Et cette vision-là, en train de plein d'autres. D'abord, je suis dans un mode de remerciement, la vie, un manqueur qui a fait des progrès, et je suis dans un mode aussi d'appréciation, c'est-à-dire, même là, le fait de vous parler, pour moi, c'est un plaisir. Alors que certains diront, je connais d'autres amis pour lesquels conférences les corvées.
Moi, pour moi, c'est une expérience, je ne vous connais pas, je fais confiance à ce garçon-là qui est à ma gauche, je ne sais pas où j'arrive, là, j'en compte des gens, vous parlez d'un truc que je ne vous connais pas, les barbares. Tout devient un source d'émerveillement. Mais c'est une attitude qui est liée réellement à la prise de conscience, que ça peut s'arrêter, comme ça. Le fait que j'ai eu ce petit problème cardiaque, ça a changé ma vision, c'est-à-dire, pour moi, j'étais au milieu de ma vie, et tout d'un coup, je me suis aperçu que je suis peut-être à la fin de ma vie. Et, Annie, vous pouvez avoir cette prise de conscience sans passer par l'étape, ou la, il faut, c'est terrible, je risque de mourir, si vous pouvez juste vous dire, ok, après ce que j'ai, ça peut s'arrêter, mais d'une manière ouverte, vous commencez à être heureux. Et vous commencez aussi à regarder un peu mieux tout ce qui se passe, parce que vous savez, comme si je me disais, à la dernière seconde, je me dirais, merde, je n'ai pas bien regardé les... j'ai rapide des expériences, je ne me suis pas assez intéressé aux autres, donc là, j'essaie de rentabiliser cette existence. C'est le thème d'ailleurs, depuis l'au-delà, qui démarre par l'histoire d'un crémain qui meurt, et qui se rend compte de tout ce qu'il aurait dû faire, et qui, du coup, essaie de le compenser, mais à l'état de fantôme, d'amérante, et c'est là, il comprend tout, mais il n'est plus dans la matière, donc c'est trop tard. L'expérience de la matière, je me suis poussé un peu, je ne me suis pas dans le temps.
J'en suis arrivé au sujet, mais je me suis demandé pourquoi la vie, pourquoi là, et j'en suis arrivé à une conclusion bizarre, mais c'est au cas où vous n'êtes pas obligé d'adhérer, en gros, on est des esprits qui faisons l'expérience de la matière. Donc on vient sur Terre pour, comme on rentre dans des bagnoles, c'est nos corps, mais l'esprit, c'est le pilote, et par moment, la nuit, il peut quitter la voiture, il peut aller voir d'autres voitures, comme on peut le voyager astral, il peut par moment quitter un peu la voiture et revenir, ça peut être un commun, mais c'est une chose, comme vous voyez, qui se peut bien agréer, c'est le véhicule de mon esprit. En tant que maintenant, j'ai l'impression que je m'en suis convaincu moi-même, en tant qu'est-ce que je me sens beaucoup plus que Bernard Verbert, parce que je peux regarder monsieur qui est au fond, et je peux imaginer à la seconde ce qui voit de moi. C'est juste une projection de mon esprit, donc mon esprit est capable d'aller là-bas et de regarder en arrière. Je peux regarder une fourmi et imaginer ce qu'elle voit, pour regarder mon chat, mon chien, et regarder ce qui voit. Je peux même regarder à vous et essayer de comprendre ce que vous pensez et voir comment vous me voyez. Et ça, c'est une puissance de l'esprit. C'est juste que mon esprit n'est pas un truc enfermé dans ce crâne d'os. Et dès le moment où j'ai pris conscience de ça, je commençais à utiliser le rêve, dans le 6ème sommeil, pour faire des choses rigolotes, mais je peux aussi élargir mon esprit.
C'est présent de pas d'intérêt autre que philosophie, je peux être plus que le bonhomme qui parle là. J'ai fini par me convaincre, en équipement, depuis l'au-delà, qu'en plus quand cette histoire terminera, je devrais me réincarner, ou je devrais continuer à être déré. Mais la réincarnation m'a l'air d'évolution logique de tous les esprits. Ce concept qui est indien, mais qu'on retrouve partout, qui n'est pas qu'indien, mais qui est connu sur le forme d'indien, me semble la réponse satisfaisante à que nous arrêtons après la mort. Après la mort, on revient en essayant d'évoluer. Je ne sais pas du tout votre question, mais c'est ma réponse. Et donc, les oeuvres peut-être aussi se réincarnent. Je vous propose un petit sas avec la prochaine question, ça va être difficile. Il y a un autre secret du bonheur que tu gardes profondément en toi et que tu partages, c'est les soirées loup-garou. Il s'agit d'un essai de partout ce que nous organisons avec Mathieu.
Je ne voulais pas évoquer ce sujet après la licollie, la brosse, les deux balles. Qui sait qui codé les loup-garou ici ? Ah oui, vous avez fait les colonies de vacances. Bon, d'abord, je vais expliquer pourquoi je fais le garou.
C'est lié à Maxime Chatham. Une fois, je lui ai dit pourquoi les gens se réunissent ? Je lui ai dit que soit c'est pour manger, soit c'est pour danser, soit c'est pour... Les raisons pour lesquelles les êtres mal se réunissent me semblent un peu dérisoires. On va écouter un petit pire qui disait Canary dans le micro. Et je lui ai dit qu'il n'y aurait pas ce qu'il peut faire, que les gens s'en passeraient unis. Et il me dit des jeux de rôle. Alors, je lui ai dit des jeux de rôle, le problème, c'est que ça dure une heure pour apprendre les règles, 7 heures pour y jouer et les filles ne veulent pas venir. Ceux qui ont pratiqué le jeu de rôle doivent le savoir.
Il me dit qu'il y a un jeu de rôle dans lequel ça va prendre 3 minutes. Et vu que c'est la psychologie qui va vite, les filles peuvent venir. Et il y a un équilibre ignoble naturel. Il n'y a que des mecs, au moment où c'est un peu la testostérone, c'est pas rigolo. Et là, j'ai commencé à tester ça.
Je me suis aperçu que c'est un excellent laboratoire d'abord pour faire des scénarios, pour créer des suspens, pour découvrir les gens, pour que des gens qui ne se connaissent pas se rencontrent. Et puis au bout d'un moment, vu que je sais venir des écrivains, des scénaristes, des acteurs, des scientifiques, des gens comme toi, au bout d'un moment, et qu'on se entre-tout et tous gentiment autour d'une table à 18, je me suis aperçu que ça a créé en fait une expérience primale temporaire sympathique, au point où le créateur du jeu, Hervé Marly, est venu et vient partir. Il s'est fait abattre super rapidement. Il n'y a pas du tout. Mais les coordonnées sont toujours les plus mal chaussées. Et maintenant, c'est l'exemple de... Il nous amène de nouveaux jeux à tester.
Et je crois que le jeu est une zone importante. C'est à garder notre capacité d'enfant pour imaginer qu'on est un personnage et qu'on vit une aventure. C'est indiscensable pour pas devenir con. Toutes personnes qui vivent que dans son boulot et ça en sont sérieux et ces certitudes, au bout d'un moment, va s'étuler à l'esprit et se scléroser en attendant de la retraite et la mort.
Et les connaissances, les chances de connaissance, celles qu'on peut l'avoir pour Internet, et la pratique de jeux collectifs comme Lugaroo me semblent des moyens de garder l'esprit vif. Moi, j'ai un papa actuellement qui commence à m'amener d'Alzheimer, mais il a plus d'entrements que moi-maman parce qu'il joue au Bridge. Et j'allais dire, le Bridge pour moi, c'est un jeu que je ne connaissais pas, mais visiblement, ça permet de sociabiliser, ça permet de mémoriser, ça permet de travailler. Si vous avez des vieux parents qui commencent à dégrader, pensez à leur proposer le Bridge. Ça peut les sauver.
En tout cas, le naufrage de mon père est moins rapide que le naufrage de ma mère, précisément à cause du jeu. Et je crois que les jeux nous sauvent. Il faut pratiquer ou partir les jeux. En fait, j'ai huité entre deux questions.
Après, je te laisse choisir pour qu'on n'y a pas proposé au gouvernement actuel un ministre du Bonheur. Ça existe au boutan. Oui, et ça existe. Ils en ont mis ça aussi. Je crois dans « Chuffe et Céphose », « Mira Arabes, Unis » ou « Qatar », il y a une ministre du Bonheur. Ça va alors. Mais je pense que ce serait pas mal.
Elle a un budget. La deuxième question, c'est par rapport au fourmi, parce que tu décris ça comme quelque chose d'assez idéal, comme société. Il y a juste un élément qui n'est pas chez eux, c'est l'argent. Il n'y a pas de notion de rémunération. Il n'y a pas tout ça. Comment est-ce que dans notre société, on pourrait... Non, c'est encore plus fort que ça. C'est qu'elles ont développé, et c'est les espèces les plus évoluées.
Parce que toutes les fois, ils ne sont pas évolués. Il y en a qui vivent en tribut, en famille. Il y en a qui ont des comportements similaires à nos pires humains. C'est diversifié. Mais elles ont développé un jabot social.
Le jabot social, c'est comme si on avait deux estomacs, un estoma qui sert à nous nourrir nous, et un estoma dans le clan mais la nourriture au cas où quelqu'un qui est fin nous réclame la nourriture. Et ça, c'est une évolution d'espèces. La question c'était... Il n'y a pas de notion d'argent chez les fourmis. Comment est-ce que nous, on pourrait essayer de... C'est aussi le cas du prochain livre que j'écris. Un des éléments, c'est qu'il faudrait arriver à un système... J'ai vécu et j'ai testé. Mais pour l'instant, on n'est pas encore prêt, c'est vécu, boute.
C'est-à-dire, les gens reçoivent en fonction de leur besoin et non pas en fonction de la récompense de leur travail. Donc j'ai fait ça quand j'avais 20 ans. Je me suis retrouvé trois mois en Israël à Ramad David. Et on cultivait des poires. Enfin, je sais pas, des poires. Et on avait droit, du coup, à toute l'infrastructure du kibou, c'était un kibou de 1200 personnes. Il y avait une zone d'agriculture, une zone industrie, une zone informatique, une zone service. Tout le monde travaillait en commun. Personne n'avait d'argent. Toutes les portes restaient ouvertes.
C'est le vrai socialisme idéal que j'imaginais. Et à côté de ça, du fait que le kibou s'arrivait à avoir un petit patrimoine, ils ont pu acheter une jolie piscine, un terrain de tennis. Il y avait des jeunes qui étaient tous éduqués ensemble, qui parlaient à 9 ans et parlaient trop quatre langues. Et j'ai vu un système qui marchait parfaitement sans argent. Mais quand vous voulez acheter une machine à laver ou quelque chose comme ça, il fallait demander la présorerie du kibou. Et le kibou vous donnait de l'argent.
C'est la présorerie, je considérais, que c'était du superflu ou d'un distanciable. Mais la plupart des gens achetaient tout ce qu'ils voulaient. Mais la notion de rien posséder et de rien pouvoir laisser en héritage à ses enfants est une notion difficile à accepter. Mais à l'intérieur du kibou, il ne posséderait rien. Il y avait une maison à l'intérieur d'un village. Et il y avait une superbe ambiance. Et c'était très très sympathique.
Maintenant, je ne sais pas qui serait capable de supporter ça, de ne pas avoir d'argent et de demander à la présorerie en fonction de la culture des poires. Qu'est-ce qu'on peut avoir comme le nouvel iPhone ou est-ce que c'est superflu ? On y revient. Je pense que je dis ça parce que j'ai entendu un arrivant qui parlait de l'iPhone. Autre question.
Reparses ta réponse. J'ai combien de temps ? Il y aurait un quart d'heure.
Je ne sais pas bien qui est libre. Bonjour. Je vous avais un petit commentaire. Vous parliez des kibouts.
Imaginez une personne qui est dans ces kibouts, qui se sent enfermée par ce système des kibouts. Il n'est pas heureux. Comment il fait pour partir ? Il est librement. Il donne une somme d'argent pour les aider à s'adapter. Au niveau de ce sujet-là, je ne sais pas comment ça fonctionne dans les autres.
Mais ce n'est pas une prison. Il vient de somme et je lui ai demandé. Si ils veulent partir, ils ont une petite somme et ils vont se démerder avec. Mais à tout moment, tous les membres peuvent partir. D'ailleurs, j'en avais qu'il partait d'autres qui arrivaient. Ce n'est pas un système étanche.
On a testé un peu ça aussi en France. C'est les communautés hippies. Mais seulement les communautés hippies, c'est toujours les mêmes qui faisaient la vaisselle. Et les mêmes qui fumaient les pétards. Au bout d'un moment, ça a agacé ce qui faisait la vaisselle. Il y a beaucoup de communautés qui ont explosé.
Mais il existe des communautés, même aux Etats-Unis, des communautés agricoles auto-gérées, sur le principe du kibout. Je pense qu'il va exister en France en cherchant bien. J'ai fait des woofings. Ça ne s'apparaît pas.
Woofings, en gros, c'est des fermes agricoles. Et il y en a certaines qui sont constituées comme de réelles communautés. Et on voyait qu'au bout de quelques mois, il y avait des problématiques irarchiques. Ou finalement, les individus, ça reste des individus qui ont des inégalités d'implication.
Ils disaient que des personnes m'ont voyée ce que je vous ai dit. On n'est pas des fourmis. On n'arrive pas à oublier notre intérêt personnel. Il y avait un élément, c'est que la sexualité est très libre dans le kibout. Et donc je pense qu'il devait y avoir forcément qui se sont effrustrés.
Les rapports humains restent normaux. Donc il peut y avoir des gens, des espérés. Il peut y avoir des chagrins d'amour. Il peut y avoir quelqu'un qui voulait une maison. Il y avait une sorte de groupe de sages qui calmaient tout le monde, qui avaient un petit canaliste.
Et au final, on tombe dans un système tribal moderne. Mais il faut que tout le monde joue le jeu. Et ceux qui sont un peu fragiles, ça va les aider. Mais ça ne peut pas résoudre tous les problèmes. Il y en a qui arrivent avec des névroses. Des poids familiaux et réditaires. On ne peut pas d'un coup faire que tout le monde soit neuf, et que tout le monde soit propre, et que tout le monde soit motivé, et que tout le monde ait envie de bâtir une société meilleure dans l'effort collectif encore.
Alors qu'à la fois moderne et à la fois ancienne, je pense que tous les socialistes utopistes du XIIe siècle, les KW, les KB, les ON, les fourriers ont essayé des communautés. Dans l'Indiana, ils étaient 800. Et ils échouaient toujours pour la même chose, pour la relation sexe et pour la relation à l'argent, qui est la relation d'autorité. Pour ça que dans les groupes utopiques, l'acétisme asexué est une des conditions peut-être de réussite, et encore un moment donné, ça énerve. C'est quand le plumeur, je vais non pas être l'abétialité.
Comment ? C'est le cotéra. C'est-à-dire que... On est entre les fourmis et les rats. Chez les rats, c'est un système le plus fort qu'à sa gueule au plus faible. Même les rats mal dominants, moi, je les trouve faibles, ou malades. On tue les malades, on tue les vieux, on tue les faibles, on tue tous ceux qui traînent, et une compétition sur les rats alpha, qui s'entretue entre eux pour que le plus alpha de tous les rats alpha crée une bonne terreur sur le groupe. Et le système n'est pas inefficace, puisque les fourmis couvrent toute la planète, mais les rats aussi. Et nous, nous aussi, il y a une espèce qui couvrent toute la planète, avoir ce choix, c'est soit la sociabilité des fourmis, soit l'individualisme féroce des rats.
En gros, comment ? C'est surtout les mal, parce qu'il y a des enjeux de sélection de l'espèce. C'est un peu c'est un darwinien, c'est-à-dire les plus fortes et les plus faibles, et se reproduisent le plus, comme ça l'espèce globalement est censée devenir plus forte. Mais les rats femelles, à leur manière, sont aussi dans ce jeu-là, oui. Mais déjà, elles ont le souci quand elles accouchent d'empêcher leur mari de manger les enfants, puis leur copine de manger les enfants, en gros elles sont dans des survies qui font que... C'est autre chose. C'est pas important de le dire, si jamais on voulait faire de bio-imméthisme avec les rats, à mon donné il y a assez limite. Il ne faut pas aimer les enfants des autres. Le rat est un animal intelligent aussi, il faut voir, il n'est pas un animal méchant. Et qui en veut de prolifération. Parce que le fait que par exemple à Paris il y a des égouts, et que le métro lui offre des lieux de reproduction extraordinaire, où personne ne vient les embêter, et j'en parle dans deux mains les chats, puisque les chats sont les serres à dire, mais bon sang ils vont se faire bouffer par les rats, et les humains ils ne se rendent pas compte qu'ils ont à faire un vrai adversaire.
Bonjour. Bon déjà j'avais une mini question, je vais terminer ce que vous avez dit. Du coup, est-ce que les fourmis ont un tas d'asir? Et ensuite ma question c'était totalement différent. Par rapport à la technologie, est-ce que vous pensez qu'on peut, je ne sais pas si ça marche? On ne marche pas. Est-ce que vous pensez qu'on peut gagner cette course contre la montre et contre les ressources?
Parce que depuis le début vous parlez que les fourmis sont plus bien à un endroit avec boule de percité, si nous on veut être mieux on part vers la lune, mais en fait au final tout ça c'est l'avancée de la technologie, est-ce qu'on aura suffisamment de terre rare pour créer les ordinateurs qui vont permettre de faire des recherches qui vont permettre en suite d'avoir des puissances éduciantes pour aller à Rimtlyte habitable. Est-ce que vous pensez qu'on peut gagner ça? Et sinon c'est quoi la suite? Alors, la suite de quoi? De perdre le combat contre la montre, contre le temps et les ressources.
Bon, première question sur le désir. La fourmi il semble bien, n'ayant pas d'ego, on devrait manifester, parce qu'on n'a pas encore intervus de fourmis, à l'air de se réaliser dans le groupe au point de se sacrifier, c'est-à-dire si le fait de mourir permet de ralentir une attaque d'un agresseur, la fourmi ne va pas hésiter. Donc elle considère que le groupe est plus important et à travers le groupe elle considère surtout, pour les espèces que je connais mieux qui a fourmis rousse des bois, la reine.
Donc toutes les fourmis vont se sacrifier pour sauver la reine et God save the Queen, parce que la reine n'est pas une reine, mais elle est le vagin de la cité. Et donc c'est le sexe incarné. Il faut voir aussi une chose, c'est qu'on parlait tout à l'heure de créer d'un groupe asexué. Les fourmis sont asexués.
C'est dans des choix aussi, qui est bizarre, je n'ai pas trop développé, parce que je me suis, ça va y rendre antipathique, mais en gros il y a 80% pour les fourmis des bois qui sont asexués et 20% qui sont asexués et encore la plupart des mâles en général ne servissent pas à la reproduction. Donc il y a un tout petit groupe de femelles qui va survivre, il y a la reine, même pas en groupe de femelles, c'est pratiquement une reine, et tout le reste, pour le cas de celle que je connaissais, c'est tous les asexués et la reine. Donc il n'y a que la reine qui transforme les caractères génétiques, c'est-à-dire s'il y a une fourmi ouvrière très très intelligente qui fait des découvertes, elle ne pourra pas transmettre ça, puisqu'elle ne se refroidit pas. Par contre, la reine va produire des sexués, et ces sexués vont faire un envol initial dans lequel il va y avoir une sélection de ceux qui arrivent à survivre, pas pour aux oiseaux, aux araignées, et au lézard, et à tout le reprédateur. Donc le défi de la fourmilière est préserver la reine, préserver le groupe, se réaliser dans le bonheur du groupe.
Quand le groupe est heureux, il est mis une odeur dans laquelle la fourmi se sent bien, et quand le groupe est stressé, il est mis une odeur dans laquelle la fourmi individue se sent pas bien. En fait, ça ressemble beaucoup à notre propre organisme. Une cellule de votre corps n'a pas d'ambition personnelle, cellule de mon ongle, elle ne dit pas, tiens, voyons, si l'autre main reçoit plus de soins que moi.
Il n'y a pas de dialesie, il n'y a pas de performance, il n'y a pas de compétition. Toutes les cellules de mon corps ne vivent qu'à une chose, c'est une sorte d'harmonie, et quand je suis heureux, tous les cellules sont heureuses. Maintenant, ce qu'elle veut le préserver, c'est de m'assurber les cellules du coeur, les cellules du cerveau, afin qu'elle-même puisse continuer à vivre.
Voilà, c'est le même principe d'un organisme, c'est une société d'organisme. Deuxième question, c'était, que va-t-il se passer si nos ressources disparaissent ? Avant de partir dans l'espace, pour moi, partir dans l'espace me semble la meilleure solution, parce que sur Terre, telle qu'elle, si rien ne bouge, et je ne vois pas pourquoi ça bougerait, parce que les mentalités n'y sont pas encore, c'est aussi pour ça que je viens, c'est pour ça que Mathieu travaille, je pense. C'est-à-dire que, entre les forces qui veulent créer un monde meilleur pour nos enfants, et les forces qui veulent à tout prix, faire monter la consommation, pour augmenter la croissance économique, et faire qu'il y ait du plein d'emplois, et qu'on s'en fout de la pollution, qu'on s'en fout de la météo, et tout, il y a un trop grand déséquilibre.
J'étais en Chine, officiellement, ils sont 1,3 milliard, officieusement, ils sont 1,7 milliard. 1,5 milliard de personnes qui ont progressivement accès à un peu plus de confort avant qu'ils étaient en écampagne, donc ils étaient écologiquement peu polluants, mais maintenant ils veulent tous la télé, la voiture, le réfrigérateur, et puis consommer, comme les occidentaux, et après les américains qui consomment encore plus que nous. Donc quand il y aura 1,7 milliard de Chinois qui se mettront à consommer, comme les américains, je pense que l'air et l'eau vont se rarifier et devenir des choses qui seront vendues. Alors à côté de ça, il y a plein de bonnes volontés pour tirer la planète vers le haut, même en Chine, le président actuel, par exemple il y a un truc en APK, tous les deux roues sont électriques, ça a l'air de rien, non plus les motos qui péterradent, donc il y a une réelle volonté d'arranger des choses, mais 1,7 milliard, donc il faut rappeler, on doit être 300 millions d'euros, 400 ?
500 ? 500 millions d'euros, 1 milliard 700 millions en Chine, c'est à dire à la limite, le président chinois, il dirait juste, on s'installe en Europe, ils en voient tout le monde, même avec une guerre, avec des mitraillettes, des bombes à tenue, ils y arriveront, c'est juste un rapport de force, sans parler qu'actuellement, ils ont plus d'armée que nous, ils ont plus d'argent que nous, donc tout ça pour dire que, pour moi, la seule solution, ça ferait de réunir tous les chefs d'État et de poser une politique d'harmonisation par rapport à la nature et aux ressources, et on sait qu'on a ça comme réserve d'eau, on sait qu'on a ça comme réserve de bois, qu'on a ça comme réserve d'air, bon, on fait des enfants en fonction de ce que peut nous offrir notre planète, et tant qu'on n'a pas trouvé un moyen de quitter cette planète pour coloniser une autre, on s'autorégule, toutes les effets s'autorégulent, il n'y a que les êtres humains qui ne s'autorégulent pas, le problème, c'est que ce message ne touche que les gens raisonnables, mais ceux qui font plein de gosses pour toucher, il y a un film excellent qui s'appelle Idiocracy, vous avez vu, ça explique que les chômeurs, n'ayant rien à perdre et tant tranquille, font plein de gosses pour toucher les acédies, c'est film américain, je ne me parle pas français, et les gens étaient les gens réfléchisant à deux fois pour être sûrs d'avoir une meilleure éducation, finalement les enfants sont très peu de gosses, et les gens bêtes font beaucoup d'enfants, et donc il faut le voir ce film. Je vous le conseille, Idiocracy, c'est faran. Et il montre que vu que les gens stupides font beaucoup de gosses, et les gens ont des gens qui font peu de gosses, ça finit par se ressentir sur toute la planète, et le cuillis baisse planétairement, parce qu'on sait déjà le cas, le cuillis planétaire baisse, et les gens sont plus chrétains, et donc il y a des gens qui se réveillent, qui bernent de nos jours, qui se réveillent, je ne sais pas, quelques centaines d'années plus tard, et il y a eu un monde chrétain, où les gens ne regardent que des films de télé-réalité, où ils ne voient que du coca, ils branchent des hamburgers, ils ont une vie à la con, et puis ils ne savent plus compter, ils savent plus que faire la démocratie, le président c'est un chanteur, c'est un catecheur, si je peux me parler, mais en même temps de nos jours, on a de plus en plus accès à la culture, alors c'est un peu un contre-exemple aussi en France. Il y a plein de contre-exemples, les Chinois ont annoncé la semaine dernière, qui veulent arrêter les voitures à essence, et à diesel, donc quand ils vont arriver, les 1,3 milliards d'années, ils vont consommer autrement, ils ne vont pas consommer comme nous, ils vont consommer l'étape d'après. Les Chinois bougent vite, le projet harmonie, qui sont en train de développer, ça peut être un pro-leader. Ils bougent vite dans les villes, et un enfant par famille, il s'est respecté dans les villes. Mais dès que tu prends une voiture et que tu vas dans les campagnes, là tu comprends le problème.
C'est comme si la préhistoire était à côté de Hong Kong, c'est le cas. C'est pour ça qu'ils envoient tous ces gosses, c'est-il sincère d'ouvrir pour fabriquer nos petits gadgets, et nos smartphones. C'est parce qu'ils ont à faire une masse de gens qui sont en retard, enfin, de masse agricole, qui peuvent facilement abuser, il les paye très peu, il manifeste, il les tue, et c'est réglé. C'est une autre manière de voir. On va en parler au premier. On va prendre une dernière question. Je préviens, c'est femme. Une dernière, c'est là. J'en prends deux, j'ai un stock de réponses de près. Si je peux les recouper. Oui, oui. C'est moi qui vais.
Dans le... entre ce que vous dites aujourd'hui, est-ce que je vais le lire il y a longtemps, le cycle des dieux, justement, où on a l'impression que les schémas se répètent quelle que soit la terre. Qu'est-ce qui vous aura optimiste finalement, aujourd'hui ? Vous. Rappille ma réponse. Vous êtes un agot.
Non, non. Vous, je vais développer un tout petit peu quand même, c'est qu'il n'y a jamais eu autant de gens intelligents qui communiquent et qui travaillent ensemble. Et le fait qu'il y a Internet qui autorise d'affaire des communautés de cerveau connectés, c'est génial. Et ça, nos enfants sont d'autant plus en profité qu'ils ont pour recette naturelle. Mais ça va faire le bien et le mal en même temps. Mais le bien va être fait quand même. C'est-à-dire qu'il va sortir des communautés Internet et des collectivités et des groupes connectés.
Des tas de choses fabuleuses, c'est forcé. Et sinon, je suis optimiste parce que si je regarde le passé, on est quand même à la meilleure période de toute l'histoire de l'humanité. Juste une petite info, essayer de visualiser comment on se soignait les dents au siècle dernier. Il y a un film qui est une série qui s'appelle The Technique. Vous voyez que les gens qui n'avaient pas d'argent se faisaient opérer par le barbier. Et les gens qui ont de l'argent, ils allaient dans les hôpitaux dans lesquels, entre nous, il n'y avait pas une hygiène terrible.
L'usage d'anesthésie était vraiment exceptionnel. Mais même, au Moyen Âge, pour reprendre le cadre de la dentisterie, ça faisait sur les marchés par le barbier. On attachait un petit peu à une planche. Les gens pouvaient voir en tant que spectacle le type se faire arracher des dents ou se faire opérer de la pandysite. Le tout avec des objets rouillés, c'est le barbier.
Et les mains sales. Donc, d'ailleurs, le monde s'en a été anesthésié. J'ai l'impression qu'on a un peu progressé. Et je trouve qu'on est une époque formidable.
On a des outils, des caméras, internet, des lieux comme ça qui existent, qui n'existent pas avant. Donc, voilà ce qui me rend... On ne finira pas non plus sur le barbier qui vous décorche la vie pour trois sous. Avant, c'était pas mieux. Pour l'instant, maintenant c'est bien. Et je crois que dans le futur, ça va être encore mieux. Bonsoir, je fais rapide.
Question rapide. Quels sont les écrivains qui vous inspirent encore et qui vous ont inspirés ? Qu'ils vous ont inspirés et qui vous ont inspiré encore. Ils sont trois.
Ils m'ont traumatisé et je vis nourris par eux. Le premier, c'est Isaac Asimov avec le site de fondation. C'est qu'il y a du ça.
Bon, mais pour les autres, vous avez de la chance de pouvoir le découvrir. Il faut démarrer par le premier, fondation 1. qui est juste l'histoire d'un homme qui prévoit tous les cycles de futur et qui le fait... Il part du principe que, à partir de certain nombre d'habitants, ça doit être plusieurs milliers de milliards, les décisions des hommes n'ont plus... enfin, plusieurs centaines de milliards, les visions des hommes n'ont plus aucune importance, on peut tirer des lois de probabilité mathématiques. Et de là, il déduit toute l'histoire de l'évolution de l'humanité dans le futur, si ça s'est changé de passer en 10 000 ans. Et dans 10 000 ans, disons si on est son milliard, il déduit les groupes.
Donc ça, c'est fondation. Le deuxième, c'est Dune, de Frank Herbert. C'est qu'il y a eu Dune. Qui sait qu'il y a vu Dune. Non, oubliez... oubliez-le, parce que le film n'a pas pu rejoindre l'œuvre.
Et le livre est inadaptable. Donc, Dune m'a fait comprendre une chose, d'abord, que l'eau était un des enjeux principaux de tout. Et le deuxième chose, c'est que le fanatisme religieux peut gagner. Et qu'il ne faut pas sous-estimer le fanatisme religieux. Parce que quand les gens sont juste mourir pour une cause imaginaire irrationnelle, vous ne pouvez plus les raisonner.
Et vous êtes foutus. C'est ce que j'ai compris dans Dune. Et toute la forme de démocratie et de construction sur la logique, et des trucs par une forme de magie irrationnelle. Et le troisième, c'est Philippe Cadique. Philippe Cadique m'a fait comprendre une chose. Il y a deux infos que je vais compris la première. C'est rien ne pouf que ce qu'il y a autour de moi est réel. C'est ce que je suis en train de rêver au moment où je vous parle. Tout ma triche, tout ça, est issu de la pensée de Dique.
Et la deuxième, c'est la différence entre un homme et un robot et entre un homme bien et un homme pas bien. C'est la capacité d'empathie. La capacité d'empathie, c'est pas sympathie, c'est pas compassion. L'empathie, c'est quand quelqu'un souffre vous le percevez et ça ne voit. Et vous n'en êtes pas insensibles. Ça ne veut pas dire que vous allez aider la personne. Ça ne veut pas dire que vous allez rentrer une société caritative pour aider des petits Africains qui soublent la malaria.
C'est juste se dire que c'est plus fort que vous, vous ressentez la douleur des autres. Empathie. Et l'empathie est la différence entre un robot et un homme. Et si un robot arrive à être empathique à ce moment-là, il n'y aura plus de différence entre les hommes et les robots. Et c'est ce que j'ai compris dans notamment Blade Runner que tu devrais voir. En tout cas, tu devrais lire.
Bien sûr. Une dernière question ce sera la dernière. Quel est ton meilleur souvenir de 2040? Ah oui, c'est vrai. Bon, en gros, est-ce que je peux reformuler la question comme comment je vois 2040? T'es en 2050 et tu te retournes. Tu vois qu'en 2040, il s'est passé un truc et ça, ça tremple un obtibus. Alors en 2040, on a cessé la dernière boucherie à fermer. On a cessé de manger de la viande.
Les gens ont pris conscience que manger de la viande non seulement s'a pollué, mais non seulement c'était bouffé de la souffrance et c'était manger un être qui n'a pas été écrit dans la nature pour ça. En 2040, en 2050, on est content qu'en 2040, on ait enfin commencé à discuter avec les extraterrestres, parce que depuis le temps qu'ils tournaient autour de nous sans vouloir nous parler, on a l'impression qu'ils nous snobaient. Bien sûr, c'est une preuve d'intelligence des extraterrestres que ne nous protéguait. Ils attendaient 2040 pour qu'on soit enfin d'une conversation.
D'une conversation. En 2050, on est tard. On est parti sur les 3 romans futures. En 2050, on s'est aperçu que vivre au-delà de 200 ans, c'était pas intéressant. Quand 200 ans, on avait fait le tour du problème, donc on peut accepter de mourir à 200 ans gentiment.
Et puis en 2040, on a décidé de réduire toute la population humaine pour rejoindre le chiffre idéal de 3 milliards qui est le bon chiffre dans lequel l'humanité peut vivre sans déranger la nature qui l'entoure. Merci beaucoup. Merci Merci à vous pour ce moment de partage. Merci à Bernard de nous avoir répondu à des questions qu'on avait pas posées. On se retrouve pour un prochain Empire Samarche le 21 décembre si ça vous intéresse, avec Pascal Pic, paléo-anthropologue, spécialiste de l'évolution des hommes et des grands singes. Et on va voir la différence avec lui entre invention et innovation. Merci
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 | Au pire ça marche ( 1ère partie )

 source: youtube.com
 On est bon ? On finit à 20h45.
Il aime bien. On est à 20h45. On est à 20h45.
On est à 20h45. On est à 20h45. On est à 20h45. On est à 20h45.
On est à 20h45. On est à 20h45. On est à 20h45. On est à 20h45. On est à 20h45. On est à 20h45. On est à 20h45. On est à 20h45. On est à 20h45. On est à 20h45.
On est à 20h45. Je vous propose qu'on commence. Vous pouvez envoyer la vidéo. Merci. Merci.
Boom. C'était 13 dominos. Si j'avais 29 dominos, le dernier domino serait comme le stade. Bienvenue pour cette 8e édition. On a fait un au pire sa marche. On avait pas fait un au pire sa marche. On devait être avec Jean-Pierre. C'était avec toi. Michel m'a fait zoli. Il y a un an et demi.
On a fait des featuring avec les hub-conférences. On a eu le plaisir d'avoir Cédric Villani. On avait demandé où se cache une idée dans la tête d'un mathématicien. C'était à droite, à côté de l'harmonie. On avait fait une featuring avec Hubert Rives. On a pris un peu de hauteur.
On a parlé d'overview effect. C'était avec Bernard. On a le plaisir de relancer le cycle au pire sa marche.
On remercie pour ce partenariat. C'est l'émission des futurs souhaitables. C'est le moyen de donner un peu de ce qu'on a. A chaque voyage dans les futurs confé. On a des explorateurs de demain. Avec un prisme particulier. On fait des voyages vers 2040. On ramène des surprises, des étonnements, des germinations créatives. C'est le moment de faire partager ça. Avec une personnalité inspirante.
Bernard. Un sujet, la métamorphose. 4 questions qui donnent envie d'agir.
On a la moitié du temps d'échanger avec la salle. Bernard, le fait que c'est un ami, j'avais dû te présenter en disant qu'on ne te présente pas. Je me suis fait l'exercice de la biographie.
J'ai découvert des trucs assez remarquables. On le connaît. C'est l'écrivain français.
Il a créé et qualifie de philosophie fiction. C'est un mélange. C'est un cocktail d'hybridation incroyable. Il a eu des difficultés pour le catégoriser. Dans le rayon spiritualité, science-fiction, dans le rayon polar, biologie ou mythologie. Ou dans le rayon patrique. C'est fou ça. Le rayon patrique, c'est incroyable. Il est roulant.
Le rayon, évidemment, c'est fou. Dès son plus jeune âge, où la biographie devient intéressante, tu rédiges des histoires, tu écris notamment un magazine que tu crées euphorie à 13 ans. Tu décides d'étudier la criminologie à l'institut de criminologie Toulouse. Je vais prendre le journal de géographie. Je vais rater mes études de droit. Le journal euphorie, je m'ennuie énormément à l'école.
C'est des compensations de problèmes. J'ai arrêté le droit, parce qu'il y a un prof qui nous a dit, que je dois vous apprendre deux choses. C'est à séduire et à tricher. On apprend les lois précisément pour ne pas les respecter.
Le bon juriste et celui qui arrive à contrôner les lois. C'est tout le travail, c'est dur. C'est les deux trucs qui ne m'intéressent pas du tout. C'est dur un peu plus que tricher. J'ai mis de la mauvaise volonté.
Tous les profs étaient fachos. On avait le good à l'époque. J'étais donc à la face. C'était à Toulouse. On avait les gens du good qui arrivaient avec des casques.
Ils attaquaient les étudiants. J'étais à l'époque plutôt de gauche. Je suis un peu moins de gauche.
On se retrouve à se bagarrer. On se voit des coups, parce qu'on était pas armés. Le droit, je comprends, c'est pas du tout mon truc. La criminaut, un avantage, c'est que ça ne boutit à rien. Les gens sont très motivés, c'est très sympathique.
Les profs ne sont pas fachos. Au final, on a un diplôme qui ne sert à rien. Mais qui est très sympathique.
Entre le droit et la criminaut, il y a un peu la mont et la valle. C'est assez intéressant. C'est ça que j'ai découvert. Une bourse pour un reportage en Afrique que tu as fait en Côte d'Ivoire.
Après, col journaliste. Oui, en fait, ils pensaient que j'aimais déballonner. C'est des fleuves de fourmi qui mangent tout le monde.
J'avais mis des photos. Ils se sont dit qu'il y avait un endroit où tout le monde s'est mangé. Ils ont pris le premier degré. On ne se fait pas manger par les fourmis. Sauf si on marche très lentement.
Si on ne peut pas avancer, ça avance à 4 km. J'ai embarqué en Afrique. J'ai fait ce premier reportage qui m'a servi par la suite de cartes de visite. Et qui m'a permis d'améliorer le roman. Et tu rentres à ce moment-là, au Nouvelle-Observateur. C'est pas ce que je fais. J'avais cru retirer la meilleure des informations. Ce que tu allais à VSD aussi, il me semble.
C'est un journal. La différence entre Nouvelle-Observateur et VSD, c'est que Nouvelle-Obs, pour faire un reportage, tu prends la dépêche à FP, tu changes la dernière phase et tu mets un joli titre. Et à VSD, ils me disent que tu peux aller sur le terrain pour faire les photos. Il y a un endroit où je pratiquais du vrai journalisme, à VSD, qui faisait un énorme complexe d'infériorité par rapport à Nouvelle-Obs. Et le Nouvelle-Obs, c'était fainiant.
Ils recopaient des dépêches à FP. Il n'y a pas du journalisme de l'Obs. Ça a dû changer évidemment.
Mais c'était un beau de fonctionnaire, donc c'était pas du tout rigolo. Du coup, je suis financé moi-même mes reportages. Et j'ai financé un reportage, notamment à Singapour. Je voulais faire un thème sur ce truc. J'aurais dit attendez Singapour, il faut vraiment regarder ce qui se passe là-bas.
C'est une expérience sociale que l'on peut reprendre à parler. C'est-à-dire de l'extérieur ça a l'air une sorte de monaco un peu dictatorial. Et de fait, sur le terrain, c'est un mécanisme qui marche. Parce que ça a été mis au point par un informaticien qui a mis au point... Quoi ? C'est un informaticien qui a mis au point sa ville comme un programme. Et c'est ça que je voulais raconter. Montrez que ça marche pas si mal que ça.
Même si pour nous, c'est pas adaptable. Ce qui frappe, qui arrive, je pense que c'est la question. Il vient de resserrer les colliers d'un cran en prétexte. Je vois exactement ce que vous voulez dire. Est-ce qu'on peut dire à la surprise de pas se répéter dans le micro ? J'adore.
Incroyable. Bref, ça c'est la surprise de dans 7 minutes, tu peux lui dire. Cela dit, je vais te laisser parler aussi. Non, mais c'est moi.
Mais non, tu es journaliste jusqu'en 90, puisqu'en 91, justement, sort ton premier roman, intitulé Les fourmis. Alors là, qui connaît un sujet ? Non, non, je vais préciser aussi une chose. Je suis journaliste en 90 parce que je me suis fait foutre dehors du Nouvel Ops. Parce que j'avais présenté l'article sur Singapore au prix du meilleur journaliste de France et que mon article a été nommé. Donc, de fait, étant meilleur journaliste du Nouvel Ops, ils allaient être forcés de me faire un contrat honnête, ce qui n'était pas le cas.
C'est-à-dire, j'avais un système de reproduction. À l'époque, vu que j'étais le plus jeune du journal, ils ne voulaient surtout pas m'engager. Donc, ils allaient être obligés de m'engager. Et là, il y avait un complot de tous ceux qui n'avaient pas été élus. Et ils ont me retrouvé éjectés sans aucune raison.
Et c'est là où je suis allé. Mais si j'ai arrêté en 90, c'est une raison. Si j'étais viré, licencié, sans aucune raison, autre qu'à gagner un concours du meilleur journaliste de France sans l'autorisation de ses chefs qui y auraient interdit de se présenter de pour qui gagne. Donc, il y a moyen de rectifier dès ce soir le wikipedia. Mais oui, ils ne sont pas au courant. En tout cas, en 80, mais non, les. C'est ça qui est génial.
Masha, si tu veux me prendre les notes, on le fera ce soir. En 90 par contre, ton premier roman sort les fourmis. Alors là, qui connaît un succès international, puisque ton œuvre est traduite dans de nombreux langues et se vend à, moi, j'ai 20 millions d'exemplaires. Ça me paraît peu. Parce que c'est vieux. Et puis wikipedia, je te raconterai. En fait, ils recopient les informations des journaux. Donc, les journaux, si le journal, ils battent dix ans, ils ont l'information du journal dix ans. Et comme je suis historien, j'ai compé des trois sources et qui n'étaient pas du tout d'accord sur les chiffres. Donc c'est pour ça que l'examilion, ça me barraissait assez peu par rapport à ce que tu m'avais raconté.
Donc 35 millions. Et puis après, tu sors le jour des fourmis en 92. Tu termines la trilogie avec la révolution des fourmis en 96. Et là, ça commence à être un peu le succès. 30 langues traduites. Ça aussi, ça me barrait peu.
C'est tout ce que tu as l'antenne. 37. Voilà. Cela dit, ça change. C'est pas mal. Oui, ça change une chose. C'est que j'ai trouvé un langage qui franchit les frontières.
Et quand on a un problème avec la culture française, c'est que souvent elle est tournée sur elle-même, alors qu'il faut vraiment penser à l'international. Et ça, je me bats pour ça. Et évidemment, je ne fais encore pas l'actualité. C'est-à-dire que la plupart des écrivains veulent le bon cours entre l'Académie française. Donc ils vont très franchouillard avec une écriture très faite pour impressionner. Ils ne pensent pas qu'on pourrait diffuser dans le monde entier. Et moi, je n'ai rien à foutre de tes prix. Surtout l'Académie française, le bon cours n'a rien à brer. Mais alors par contre, à l'international, je crois que dans la vie, on a ce qu'on veut. Mais ils entourent de ne pas avider à l'international, parce que l'international, c'est la vraie reconnaissance.
Ce n'est pas les copains. Alors, la France exporte quand même à l'international, notamment elle exporte en Corée du Sud. Et c'est un peu grâce à toi d'ailleurs qu'elle exporte, parce que tu es une star en Corée du Sud. Il s'intéresse au futur aussi. Oui, mais j'allais te demander pourquoi. 8,5 millions d'exemplaires t'as vendu en Corée du Sud, et les Russes aussi, ils sont assez fans de toi. Alors pourquoi ces deux pays ? Deuxièmement parce qu'il y a une jeunesse dans ces deux pays qui est très tournée vers le futur, qui prend une raison simple, c'est qu'ils ont un passé terrible.
Les deux. Vous connaissez mal la Corée du Sud, parce que ce n'est pas une colonie française, tout ce qu'on connaît c'est Samsung, et puis l'histoire est de la Corée du Nord. C'est un pays extraordinaire, mais qui a fait un choix qui est le futur à fond de leur concurrence. C'est le Japon qui a déjà battu. Vous regardez, votre télévision probablement un Samsung et plus un Sony.
Et votre téléphone, smartphone, il y a plus de chance, si ce n'est pas un Apple, que ce soit un Samsung plutôt qu'un Sony aussi. La Corée est un pays qui s'est dit du passé faisant table rase, et inventons maintenant une société moderne. Ils n'ont pas de matière première, ils ont la tension avec un fou au-dessus qui est une bombe atomique, et ils ont tout mis sur l'éducation, sur la lecture des livres, et formé une sorte d'élite de jeunes, qui est extraordinairement douée, sachant que le pays est sorti la pauvreté, au moins la guerre de la Corée, c'était un pays misérable. Sans matière première, juste avec l'éducation, ils se sont hissés dans les nations les plus riches du monde.
Il y a autant d'habitants qu'en France, un peu moins. Et ils ont un tout-suicide énorme, parce qu'ils se mettent une pression énorme dans les écoles, mais du coup ils sont hyper motivés, et contrairement au Japon, où ils sont un peu fermés sur leur île, la Corée est ouverte sur le monde. Donc ils sont motivés d'être les premiers, d'entrer dans le futur, et de sourire sur le monde, et ils adorent la France.
Et du coup ça vaut vraiment le coup de toujours penser à ce pays, pour le soutenir, pour les voir. Quant à la Russie, la Russie, je touche vraiment que les jeunes, parce que les jeunes, ils ont compris que le communisme, ça ne les intéresse pas. Et quand on leur dit, le contraire du communisme, c'est la religion et l'ancien système traditionnel, avec les Mujiks et tout, ça ne les intéresse pas non plus.
Donc si ce n'est pas l'ancien système aristocratique, et si ce n'est pas le communisme, il reste quoi ? En fait, ils ont envie qu'on leur propose des nouveaux scénarios. Et ce que j'ai vu, parce que là, en Russie, je me suis retrouvé dans un endroit, je me suis retrouvé le maximum de gens dans le public, ça devait y avoir 5000 personnes. Et ce que j'ai perçu en faisant un dialogue, malgré tout, avec ces 5000 personnes, c'est que ce qu'ils ont envie, c'est qu'on leur propose autre chose, qui ne soit pas addictateur, ou un système religieux.
Ils ont envie, en fait, d'une spiritualité, une spiritualité qui, pour l'instant, ils le voient un peu dans un système New Age américain, un peu dans les bouquins de spiritualité, mais ils sont en demande. Et la jeunesse en Corée est en demande, mais là, c'est autorisé par l'autorité, alors qu'en Russie, c'est contre l'autorité. Ils disent, ok, routine, c'est pour stabiliser le pays, mais après, il y aura un moment, il faudra bien inventer un nouveau système qui ne sera pas le communisme.
Et c'est ces jeunes-là qui les je m'adressent. C'est la force de tes romans d'extraire des contingences de la réalité pour donner à voir quelque chose qui n'est pas encore, mais comment on s'extraite tout ça ? Comment on s'extraite la réalité pour faire de la nouvelle matière ? Je finis mon géographie. Oui, mais après, j'ai un petit truc. Comment on s'extraie la réalité ? D'abord, je crois que tout artiste doit faire de choses, regarder la nature, dans lequel il y a énormément de leçons, parce que nous sommes une jeune espèce, et de s'oublier lui-même pour laisser profonder quelque chose d'une énergie qui est dans le monde et qui circule partout.
On a l'un qui l'a appelée Saprana, on a l'autre qui l'a appelée Saleuki. Je ne sais pas ce que c'est, mais quand j'écris, il y a un moment, je m'oublie, et je me laisse porter par cette chose qui me traverse, et cette énergie, que comme une lumière, elle éclaire mes personnages, et il y a un moment, je suis aussi némoré, je vais regarder et faire des trucs. Je ne sais pas comment se passe le processus, mais je sais que plus je propose des challenges dans le futur, ou des challenges d'imagination, plus moi, je m'amuse à les regarder et à l'agir.
L'un des livres dans lequel je me suis le plus amusé, c'est Troisième Humanité, même si ce livre n'a pas eu du succès que j'ai ce compter, c'est mon livre de Prospectif du Futur dans lequel j'ai essayé de regarder comment fera le monde dans 10 ans, puis après, dans 20 ans, puis après, dans 30 ans, et ce que j'ai vu, c'est une évolution probabilite mathématique qui est passionnante. Quand j'y allais, j'allais comme je met mes yeux dans un télescope, je ne vais pas en me disant qu'est-ce que je vais créer, moi. C'est plutôt qu'est-ce que vont faire mes personnages. Donc cette action, ça peut être oublier. Maintenant, quand je parle de la nature, j'ai observé une observation, quand j'étais petit, une observation peut-être beaucoup ici, c'est observer une formulaire, mais seulement j'ai fait ça pendant tous les jours, pendant plusieurs mois, enfin plusieurs mois de vacances, en fait, je vais vous expliquer. Je vais vous expliquer. 1. Les colonies de vacances, ça se passait pas très bien parce que je ne suis pas très sociable.
2. Ce que j'aime en colonies de vacances, c'est m'isoler prendre un livre ou jouer de la guitare, parce qu'il y a un colony de vacances. Donc j'ai dit à mes parents, si vous ne mettez pas un colony de vacances, je veux bien aller chez Papy et Manny, ou mes grands-parents qui étaient un peu, je ne sais plus si c'est un bon riz, et une fois que j'étais chez mes grands-parents, mes grands-parents ne faisaient rien de spécial, le seul truc qui est intéressant, c'était le jardin. Et dans le jardin, il y avait, quand on vous observait la nature, le seul endroit où les animaux ne s'enfuient pas quand vous arrivez, parce que les ares se cassent tout de suite, les grenouilles, les escargous se cassent lentement, mais la communication ne va pas dérive. C'est les fourmis. Donc je suis resté des heures à regarder les fourmis, et je crois que n'importe qui qui regarde la nature, vous pouvez regarder un arbre, vous pouvez regarder, au bout d'un moment, il sort une sorte de sagesse qui vient de la nature, et ça m'a entièrement, ça a posé un germe.
Et ce germe, c'est dans cette observation de la fourmière, t'as la réponse à toutes les questions que tu vas te poser plus tard. Maintenant, je dirais ça avec le recul sur le cou, je me suis dit que c'est intéressant. Mais maintenant, je m'aperçois que ça a résolu des tas de questions, et je vois des gens qui t'attonnent, par exemple, le premier élément que j'ai compris, c'est qu'on peut créer une communication collective qui fonctionne.
Ce qu'on a un peu avec Internet, mais si tu n'es que là, on a l'outil, mais on n'a pas les bonnes informations à faire circuler. On peut créer un système de ville qui ne détruise pas la nature. Une cité, c'est une fourmière des bois, c'est 50 millions de personnes, pratiquement en France, avec autant de sous, et l'ensemble n'est plus rien. C'est à dire qu'en contraire, ça air le sol, ça dissemine les germes, le pollen, ça fait nette les plantes, ça fait du bien à la planète. Donc je vois une espèce qui est en toute à l'harmonie avec la nature, qui fonctionne de manière collective satisfaisante, et là, en lisant les livres, je découvre que cette espèce a 120 millions d'années. Nous sommes sur Terre, tout au plus, depuis 3 millions d'années, ce qui veut dire qu'eux, ils ont fait toutes des expériences depuis très longtemps, et ils sont arrivés à cette conclusion qu'il faut faire comme ça, et nous, ça avait 3 millions d'années, on t'attone. Encore 3 millions d'années, si on regarde bien la civilization humaine, le moment où on a vraiment fait des trucs rigolos, c'est plutôt sainte-feminant. Et même si on regarde la agriculture, ça serait plutôt similant.
Donc on est vraiment tous neufs. Il y a que 120 millions d'années, donc ils ont tout fait, ils ont tout testé, ils ont dû avoir leur guératomie, et puis ils sont arrivés à cette formule-là, qui satisfait tout le monde, 50 millions de personnes dans un lieu, et en plus ils bougent leur cité. C'est-à-dire qu'une fois qu'une cité a épuisé le sol, épuisé le gibier, tous en colonne, ils vont se déplacer. C'est comme si on se disait qu'il y a Paris, vu qu'on a trop pollué, que l'air est irrespirable. Allez les gars, on prend toutes les bagnoles, on prend tous chacun de notre bannis, et on va recréer Paris un peu plus loin, vers la Normandie. C'est une vision du futur que je n'aurais pas pu avoir, si ça n'avait pas eu des fourbis. J'ai pas lu de livres de science-fiction, malgré qu'on déplace les villes. Mais ça pourrait être une voie de futur, puisque je sais que ça te passera.
Il y en a d'autres, il y a d'autres choses que je découverte avec ça. La gestion des nouvelles générations, l'agriculture, la synergie avec les autres espèces, la guerre, la gestion de la guerre, le contrôle des naissances, ce qu'on n'a pas toujours, l'harmonie, l'équilibre, il n'y a pas de chômage dans la fourbillière. Et puis cette autre chose que l'on ne connaît pas, c'est une réelle forme de démocratie. On a décidé que la reine, c'était comme la reine angleterre, et que la fourbillière est un système en gros, de robons, de fachos, de totalitaires, pas du tout. Dans la fourbillière, chacun fait ce qui lui plaît.
Et si quelqu'un a envie tout d'en coûter, de se casser parce qu'il y en a marre de vivre avec les autres, et que ça pue dans les couloirs, il le fait. Et ça arrive, d'ailleurs. Donc ça veut dire qu'ils ont du libre armître.
Et que chacun peut proposer des idées. D'ailleurs dans la fourbillière, il y a un tiers qui travaille de manière efficace. Un tiers qui fait des trucs qui gêne tout le monde, qui travaille de manière inefficace. Et un tiers qui fousse strictement rien. Et l'ensemble du système marche très bien. Ce n'est pas très loin de ce qu'on a à nous, mais nous on l'assume pas.
L'âge des fourmis, c'est clair, il y en a qui ne font rien. Puis il y en a qui prennent des décisions, qui vont entraîner des problèmes pour toutes l'ensemble de la communauté. Donc ce qui veut dire en gros, qu'un système social, si un tiers fait le boulot, en gros ça suffit. Et puis les autres, c'est des féniants à des nuls. On les tracte. La fourmillière m'a montré ça. C'est là que tu as depuis le début. Donc c'est là où je mets un pas de côté par rapport à la géographie wikipédiaisque.
Parce que je sais l'histoire du manuscrit des fourmis en fait. Tu as eu cette idée, tu as porté, tu as eu cette intuition. Et tu as écrit le livre après le bac, me semble-t-il. Et tu es allé voir nos maisons d'édition. Et qui est on dit quoi ? Euh...
Non. Mais de toute façon, en fait le vrai miracle c'est que j'ai été publié. C'est pour ça que je suis de jour chez le même éditeur. Je n'en reviens pas, j'ai dit tout le temps, merci, parce que faire ces métiers qui me plais beaucoup. Gagne ma vie en faisant le truc qui m'amuse le plus. Je vous le souhaite à tout ça. Gagne vos vies avec ce qu'il y a pas y a tout. C'est tout aussi, hein. En tout cas, c'est ce que je souhaite à toute l'humanité qui est 7 milliards de personnes qui gagnent leur vie en se disant, je souhaite que j'aille aller au travail et pas, j'espère avoir une augmentation de salaire que vivement que les vacances arrivent. Euh... La question c'était sur les fourmis. 7 ans de non.
Non ? 7 ans de non et puis à un moment, un éditeur a cru que note avait dit oui. Donc du coup, il m'a dit oui. Et puis du coup, ils ont dit tout les deux oui sans avoir lu le manuscrit. Donc si c'est pas de la chance, ça. Et ils sont en train de surencher, parce qu'il voulait vraiment le manuscrit. C'était la fierté de deux coques.
Et puis, euh... Au final, y en a un qui... Même si il avait pas lu, c'était fait faire une fiche qui s'entendait qu'il avait compris le bouquin. Enfin, il m'a semblé lui.
Et donc, j'ai choisi celui-là. Euh... Mais quand il l'a vu, il m'a dit 1 500 pages, c'est trop. Vous m'en ramenez ça à 350 pages. Donc c'est pour ça que je lui ai dit que vous avez lu. C'est la version courte du truc, 2 1 500 pages.
Et... Et après, bah tout d'un coup, je ne savais pas qu'on pouvait gagner sa vie avec ça. C'est un coup, j'ai plus besoin de journalistes. Donc j'ai dit au revoir A.V .S.D. Et puis là, Melops m'a fait un article très gentil. Et puis, euh...
Et tu as arrivé cette phrase que j'ai entendu, c'est « Maman, tout le monde qui quit l'ops, tout le monde qui réussit ». Je dis, bah ouais, c'est pour eux, c'est pour ceux qui restent. Mais sans pas tout ça alcoolique. Faites pas dire ce que j'ai pas dit. Et pourquoi ils t'ont dit non pendant 7 ans ? Bah parce que le sujet ne fait pas partie des sujets ni publiables, ni dans le kébel. Quand je suis rentré chez Albin, mon éditeur, je regardais les bêtes cellaires.
Numéro 1, c'est Dormesson, 2, Robert Sabatier, numéro 3, Edmond Charlerou. Et je me dis, mais c'est avec le déretraité. Et il me dit, c'est le grand problème, c'est qu'on considère en France que les livres, c'est pour les vieux. Parce qu'il n'y a que les vieux, quand la patience de lire des livres, les jeunes, ils regardent la télé, ils ont voulu un jeu vidéo, ils sont sur l'informatique, ils vont au mieux au cinéma, mais ils ne lisent plus de livres.
A priori, donc à l'époque j'avais 30 ans, je suis jeune et je lis des livres, donc j'ai pas l'impression que je suis le seul. Ils me disent oui, mais par rapport au marché, les jeunes en fait ils représentent rien. Je dis, bon, je viens m'essayer de faire des livres pour les gens qui sont comme moi, qui sont jeunes et qui lisent.
Et je vais reparler d'autres choses que mon dormissons était sur sa jeunesse. j'ai une veuve d'Hormann aussi, et Robert Sabati aussi, donc c'est des vieux qui se penchent avec nostalgie sur le thème de c'était mieux avant. Donc moi je leur ai dit, ça va être mieux dans le futur. C'est pas mieux avant, ça va être mieux demain. Et ça a marché. Parce que je crois que ma grande chance c'est que sur le système littéraire, pour un monde de vieux, j'étais visible.
J'étais visible et puis j'ai un coup de chance, Bernard Rapp a lu le livre et il a beaucoup aimé. Et donc je puis passer à 1h du matin sur son émission. Et vu qu'on m'a pas laissé parler, tout le monde s'est demandé ce que j'avais raconté.
Je vous conseille de passer à la télé, de donner l'impression de toute façon. Moi je n'arrivais pas à parler. Mais j'ai eu très peu de temps, il a lu un passage, il a dit quel dommage, le livre est formidable, mais on n'a pas le temps de raconter l'émission. Donc ce livre est vachement bien.
Et le lendemain, les ventes auront décollé. Mais j'ai pratiquement pu parler. D'ailleurs, c'est une anecdote. Oui, parce qu'avant c'était pas des anecdotes du tout.
Non, non. En fait, quand j'étais invité, il y avait à côté de moi, parmi les autres invités, un titre qui a fait un livre sur le futur. Et je faisais partie des neigres qui ont pas réveillé sur son livre. Je vais vous raconter ça.
Et donc, j'avais fait des chapitres, il y avait l'astronomie, l'informatique, la génétique, j'avais dû faire l'astronomie informatique. Je vais vous repartiquer. Je vais l'acheter après. Et donc il arrive, et puis lui il parle avant moi. Et je vois ce qu'il raconte. Non seulement, il n'a pas écrit le livre, parce qu'on a fini les pages déjà à photomonter. Donc il n'a même pas participé.
Il a son nom gros. Mais en plus, il n'a pas lu. Alors, c'est assez embêtant. Déjà, on prendra un neigre, mais le minimum, c'est-à-dire, il travaille qu'il a fait des neigres.
Et il n'a pas lu son propre livre. Je pourrais ça rigolo. Mais en plus, à un moment, donc, Dernarapme dit, est-ce que vous croyez vraiment qu'un jour, les hommes, ils les fournissent. Alors vu que j'avais une oreillette, parce qu'il y avait un futuriste à côté.
C'est un petit peu sur le thème du futur. Et je n'ai pas entendu. Et à Nicole, je lui ai dit, qu'on ne savait pas, il faut toujours dire oui, parce que oui, ça fait plaisir et non, ça énerve tout le monde. Donc j'ai dit oui. Et elle me dit, vous croyez vraiment que les fournés, les hommes, vous croyez ça vraiment. Je me dis, je ne sais pas quelle est la question.
On foutu pour foutu, je dis, bah ouais. Et là, le type, j'avais écrit une partie du bouquin, je crois qu'en Bernard, dit oui, en fait, il pense non. Et d'ailleurs, dans mon livre, il reprend, il remet repique du temps.
Je vais expliquer. En gros, la télé, quand vous arrivez à une émission littéraire, si on est 5, une émission dure 50 minutes, on a droit à 10 minutes chacun. Et il vous dit avant l'émission, vous avez droit à 10 minutes chacun. C'est manqué, il y en a qui débordent. C'est le dernier qui se retrouve en portion restreinte. Le dernier, c'était moi. Donc déjà, au lieu d'avoir 10 minutes, je dois avoir que 5 minutes. Et sur les 5 minutes, le mec pique du temps.
C'est une anecdote. C'est pour ça que j'avais peu de temps. Mais à la fin de l'émission, le type qui avait piqué le temps sort de sa poche en chronomètre. Et chaque fois qu'il piquait du temps aux autres, il lançait le chronomètre. Et il montre, il s'en a taché de frais.
Il dit, regarde tout ce que j'ai piqué. Je lui ai dit, ok, la télé, j'avais pas compris les règles. Les règles du jeu, on m'a pas verti. En tout cas, son livre, il m'a pas marché. Et le mien a marché.
Ce qui montre que le public, quand même, sent à un moment les escrocs. Il fait d'ailleurs financer son livre en partie par la mission de la recherche. C'est le livre, si il était bon. Moi, je me propose de fact-checker. C'est vachement simple. Émission de Bernard Rapp, 1h du matin, la première de Bernard Verbert. Voyez le mec qui parle juste avant lui. Et on aura la fin d'histoire. Est-ce qu'on peut lancer une petite vidéo d'inspiration qui ressemble très bien à ce que tu fais ?
Bien. Le fait, c'est une reprise de The Power of Ten, quelque chose dans les années 70 qui avait beaucoup marqué par les effets spéciaux de l'époque, mais qui nous mettaient à la fois en perspective et en relativité sur ce qu'on est. C'est toi qui mets la musique ? C'est moi qui mets la musique. Oui, parce que c'est ta musique. C'est la musique d'origine, du film. D'origine, je sais pas. Ça fait un peu de musique au kilomètre.
Parce qu'il y avait sur The Power of Ten, la première c'était Bernstein qui avait fait la musique. C'est pas ça. Et elle était très très moche. Là, on a pas mal non plus de moche. Non, elle est calme, elle est douce, elle fait rêver, elle fait nuage.
Non, je trouve bien. En tout cas, dans tes livres, il y a toujours cette oscillation entre le très grand et le très petit, un peu comme les alchimistes qui dans la table des moraux disaient ce qui est en haut et comme ce qui est en bas. Quelque chose qui est constant en toi, ou tu l'as eu pour un livre, j'ai l'impression que c'est en filigrane. Alors, tu as évoqué le mot de philosophie fiction. Pour moi, philosophie, il y a un concept pour comprendre un système, il faut s'en extraire. Donc, tu as très bien choisi ton effet. C'est-à-dire qu'il faut un peu de perspective.
Ce que je sens qui est dommage dans la plupart des romans, c'est que c'est toujours des humains qui parlent à hauteur d'humains, de la vie d'autres humains, d'un milieu humain. Et puis, je pense que c'est un peu de la même chose que la vie de l'homme. Donc, au bout de nos moments, on tourne en rond. Une fois qu'on a fait l'histoire d'amour, la guerre, la violence, la drogue, la prostitution, on refait les mêmes trucs, les bandilles, les revolvers. Et c'est vachement difficile d'innover. Que ce soit le monde du polar, que ce soit l'autofiction, au final, c'est des gens qui ont pas mal à maman, des problèmes avec pas mal à maman, après pour trouver l'amour, après pour gérer les enfants, et puis après qui sont malheureux, et puis qui sont à nouveau heureux.
On l'a vu une fois, on l'a vu deux fois. Donc, à partir de là, je me suis dit comment me démarquer et comment me démarquer c'est changer les objectifs. Les fourmis, c'est l'infiniment petit qui rentre en interaction avec notre dimension, même si le thème c'est l'humain. Après, l'empire des anges, c'est du dessus, une vision du dessus. Nous, les dieux, c'est une vision du système avec le maximum de la vie de l'extérieur, et en imaginant qu'il y a un dieu qui en fait essaie de faire au mieux avec nous, mais c'est très complexe.
Et nous, les dieux, est issu notamment de la pratique d'un jeu qui s'appelle Civilisation, dans lequel je me suis retrouvé plusieurs fois à essayer de sauver mes petits humains, et je me suis dit peut-être qu'il pourrait finir par m'en vouloir s'il finissait par découvrir que c'est moi qui joue. Donc, j'ai fait un report de ça. Après, le prochain, depuis l'au-delà, c'est la vision que pour avoir les morts qui restent sur nous. Et demain, les chasses, c'est la vision que pour avoir les chats sur nous. Mais il y a un moment quand on voit les problèmes des gens, je ne sais pas si vous avez des amis qui ont envie de se suicider, par exemple, vous leur demandez pourquoi.
Bon, c'est un histoire de l'amour. En fait, c'est un problème d'humains à humains, quoi. Ou c'est, je ne sais pas, des gens qui n'ont pas d'argent ou ont un cancer. C'est toujours les mêmes trucs, c'est comme s'ils n'arrivaient pas à s'extraire, pour prendre un peu de recul.
Moi, quand les gens ont des problèmes, je leur dis, partez en voyage. Quitter le lieu, la première résolution est géographique. Après, une fois qu'on change de géographie, on commence à changer d'optique. L'idéal, l'endroit où l'effet thérapeutique est le plus fort, à mon avis, c'est l'Inde. L'Inde, c'est un endroit où on voit tellement de pauvres, tellement de saleté, tellement de gens complètement heureux dans des conditions que nous ne supporterons pas, qu'au bout d'un moment, ça relativise tous les problèmes.
D'ailleurs, quand j'étais en Inde, j'ai vu plein de Français qui étaient arrivés là-bas et qui restaient collés, parce que l'Inde est fascinante. Et... Au revoir. Le système de rester tout le temps comme des lapins qui voient un camion qui vient les écraser, il reste fasciné comme ça. On vous annonce la pollution, on vous annonce la guerre, on vous annonce que les drames, les drames et les dragones et on fait quoi ? On reste comme ça, à la mer, on va peut-être mourir, On a échappé. Il y a eu terrorisme, il y a un camion qui se fout dans la foule. À chaque fois, on ne peut rien faire. Qu'est-ce qu'on fait ?
On attend. À la fois, espérez que ça ne tombe pas sur toi. Ah bon... On émeille une situation où ce que nous proposons de le système, c'est une forme d'ébalissement dans la soumission. Attendre que ça s'arrange tout seul ou que ça ne tombe pas sur notre gueule.
Et ce que j'ai à répondre à ça, c'est 1. Prenez votre vie en main, vous n'êtes pas obligés de rester coincés dans un endroit, vous n'êtes pas obligés de rester coincés ni dans votre famille, ni dans votre boulot, ni dans votre culture. Vous pouvez bouger, aller voir ailleurs. Et ce que je propose dans mes livres, c'est des regards extérieurs.
Regarde chat, regarde mort, regarde d'ange, regarde fourmi. Et puis ce que je propose aussi dans le papier en des étoiles, c'est ok, vous n'êtes pas contents, ça va passer la terre, on a un oncle tout à s'arrêter, construisons un vaisseau et casse-en-nous. On ne va pas rester comme ça, attendre qu'il n'y ait plus d'air, plus d'eau et qu'on s'entre-tut tous. Moi je sais, quand j'avais fait les fourmis, j'avais fait des élevages de fourmis. Mes fourmis, elles essayaient tout le temps de s'évader. Et elles étaient très, très fortes.
J'avais mis un toit en carton et même elles attaquaient le verre, elles attaquaient, c'est un coréum en verre avec un toit en carton, elles attaquaient le carton, voilà. Il y avait quelque chose qui leur plaisait pas, restait enfermé dans un milieu dans lequel elle ne s'est pas nourrissée pas, on s'en va. Moi je ne m'ai pas nourrissée pas à l'autre. Je suis parti, en plus, je m'en ai mis un petit coup de pied. Donc c'est pratique, maintenant je leur dis merci.
Mais globalement, tout ce qui vous arrive, tous les endroits où vous êtes rejetés ou tous les endroits où vous sentez que ça ne va pas, il ne faut pas dire qu'est-ce que je peux faire pour que ça aille mieux. Il faut partir le divorce. Ça fait partie aussi des trucs sympas qu'un utilisation qui n'existait pas avant. Les gens étaient coincés avant, ils se mariaient à 20 ans ou à 16 ans. Et vers 30 ans, ils s'apercevaient que l'autre ronfle plus en plus est très désagréable. Non, t'es obligé, t'as dit, devant le curé, jusqu'à ce que la mort nous sépare.
Ah mince ! Alors je fais quoi ? Ah bah si tu divorces, tu vas être un divorcé, c'est affreux.
Ah bah zut, donc faut que je reste avec la personne. Alors je ne supporte plus que ça, d'en faire de rentrée. Bah ouais, c'est parce qu'à l'époque, il ne pouvait pas encore évoluer. En 2000, il va y avoir le droit de sortir.
Partir, enfin, mince, donc ça, c'est plutôt... Mais tout ça pour dire qu'on a sacrément évolué, mais en tout cas, il ne faut pas rester quand on ne se sent pas bien. Et c'est ce que je dis dans mes livres. C'est prenez de la distance, regardez de l'extérieur, changez de point de vue, et si ça ne va vraiment pas, regardez les étoiles comme ce qu'on a vu là. Et vous verrez, on est sur une petite planète, un petit peuple récent qui fait du mieux qu'il peut, avec des gens qui sont pour la plupart sympas, mais qui se retrouvent avec des mauvaises habitudes, à payer les mauvaises habitudes nos ancêtres.
Tout ce qu'on a comme souffrance actuellement, c'est des trucs qu'on posait nos ancêtres, et que nous subissons, parce qu'il y a un manque d'imagination d'inventer un système meilleur. C'est-à-dire, je le disais, le mariage qui coincait, bah on a... Donc oui, il y a quelqu'un qui a dit, bon, on va faire le divorce, bah du coup les gens sont mieux à avoir plusieurs mariages, tester plusieurs formules, réussir plusieurs couples, mais au moins, ils ne sont pas coincés. Avant, aussi les gens rêvaient d'un métier à vie. Donc ils rentraient à la SNCF, ils rentraient dans... Avalops, on fonctionne, oui, Avalops, et la plupart, ils sont à vie.
Et ils disaient, chouette, comme ça, je peux pour mon loyer, dire, regardez, je salaire qui tombe tous les mois, en plus j'ai eu mes années d'ancienneté, en plus je connais tout le monde, en plus ils ne se rendaient pas compte, je suis en train de se scléroser et de crever dans leur joli trône. Je parlais de l'alcoolisme, tous mes collègues à l'Obs étaient alcooliques. Donc c'est une... Reparlons-en, oui, c'est un peu le sujet de ce soir. Non, mais ça peut changer. Alcoolisme est une nouvelle OBS, c'est ça.
Non, mais ça peut peut-être changer. Ce que je veux dire, c'est que l'alcoolisme et la fuite qui est proposée aux hommes qui sont malheureux dans leur travail. Alors, et un peu aux femmes aussi, mais les femmes ont d'autres stratégies de fuite, ça peut être la dépression, ça peut être le burnout, c'est-à-dire juste le cerveau qui se met à un... Mais si on suit la trajectoire qu'a proposé l'école, on a été un bon élève, on a été en des bonnes études, on a une bonne entreprise, et en faisant un bon couple, en fait on va droit au mur. Donc il y a intérêt à inventer un système autre que celui qui est proposé par nos parents, qui a marché un temps mais qui ne marche plus, en mon avis. Alors, je vais en parlant de système, il y a sur le web récemment un écrit à toi qui, finalement, t'as écrit il y a quelques temps qui a fait grand effet. Le titre c'était « Ne t'attaque pas au système, démodle ».
Ça s'est répandu comme une espèce de... de cri de pas d'espoir, une espèce de philosophie-fiction pour le coup, et ce texte, j'aimerais qu'on le lise, qu'on vous le lise, à devoir, parce que dans la salle il y a deux compteurs. C'est gentil. J'aimerais bien que le premier commence. Il est cubique, titanesque, froid. Il est doté de genoux qui écrasent tout. C'est le système social dans lequel tu es inséré. Sur ces tours, tu reconnais plusieurs têtes. Il y a celle de tes professeurs, de tes chefs hiérarchiques, des policiers, des militaires, des prêtres, des politiciens, des fonctionnaires, des médecins, qui sont censés toujours te dire si tu as agi, bien ou mal. Il y a le comportement que tu dois adopter pour rester dans le troupeau. C'est le système.
Contrais lui, ton épée ne peut rien. Quand tu le frappes, le système de bombardes de feuilles, carnets de notes, PV, formulaire de sécurité sociale, à compléter si tu veux être remboursé, feuilles d'impôts, majorées, pour cause de retard de paiement, formulaire de licenciement, déclaration de fin de droit au chômage, qui tend de loyer, charge allocative, électricité, téléphone, haut, impôts locaux, impôts fonciers, redevance, avis de saisis, du vicierre, menace de fichelage, à la Banque de France, convocation pour éclaircir ta situation familiale, réclamations de fiches d'état civil, datées de moins de deux mois. Le système est trop grand, trop lourd, trop ancien, trop complexe. Derrière lui, tous les insurgétis au système avance, enchaînés.
Ils remplissent activement au stylo des formulaires, certains sont affolés, car à date limite est dépassée, d'autres paniquent, car il leur manque un papier officiel, certains essaient quand c'est trop inconfortable de se dégager un peu le coup, et le système approche. Il tend vers toi un collier de fer qui va te relier à la chaîne de tous ceux qui sont déjà ces prisonniers. Il avance en sachant que tout va se passer automatiquement, et que tu n'as aucun choix, ni aucun moyen de l'éviter. Tu me demandes que faire. Je te réponds que, contre le système, il faut faire la révolution. La quoi ?
La révolution. Tu nous alors un turban rouge sur ton front, tu saisis le premier drapeau qui traîne, et tu le brandis en criant, mort au système. Je crains que tu ne te trompes. En agissant ainsi, non seulement tu n'as aucune chance de gagner, mais tu renforces le système. Regarde, il vient de resserrer les colliers d'un cran, en prête extant que c'est pour se défendre contre ta révolution. Les enchaînés ne te remercient pas. Avant, ils avaient encore un petit espoir d'élargir le métal en le tordant. À cause de toi, c'est encore plus difficile. Désormais, tu as non seulement le système contre toi, mais tous les enchaînés. Ce drapeau que du brandis, est-il vraiment le tien ? Désolé, j'aurais dû t'avertir. Le système se nourrit de l'énergie de ses adversaires. Parfois, ils fabriquent leur drapeau, puis il les leur tend. Tu t'es fait piéger. Ne t'inquiète pas, je n'ai pas le premier. Alors que faire ? Se soumettre ?
Non. Tu es ici pour apprendre à vaincre, et non pour te résigner. Contre le système, il va donc te falloir inventer une autre forme de révolution. Je te propose de mettre entre parenthèses une lettre. R. Au lieu de faire la révolution des autres, c'est ta propre évolution personnelle.
Plutôt que de vouloir que les autres soient parfaits, évolue toi-même. Cherche, explore, inventes. Les inventeurs, voilà les vraies rebelles. Ton cerveau et le seul territoire à conquérir, pose ton épée. Renonce à tout esprit de violence, de vengeance, ou d'envie. Au lieu de détruire ce colosse ambulant sur lequel tout le monde s'est déjà cassé les dents, ramasse un peu de terre, et bâti ton propre édifice dans ton coin. Invente, crée, propose autre chose.
Même si ce n'est pas un cas, si cela ne ressemble au début qu'à un château de sable, c'est la meilleure manière de t'attaquer à cet adversaire. Sois ambitieux. Essaye de faire que ton propre système soit meilleur que le système en place. Automatiquement, le système ancien sera dépassé. C'est parce que le personne ne propose autre chose intéressant que le système écrase les gens. De nos jours, il y a d'un côté les forces de l'immobilisme qui veulent la continuité, et de l'autre, les forces de la réaction qui, par nostalgie du passé, te proposent de lutter contre l'immobilisme en revenant à des systèmes archaïques. Mais si toi de ces deux impasses, il existe forcément une troisième voie qui consiste à aller de l'avant.
Invente-la. Ne t'attaque pas au système des mode le. Allez, construis vite. Appel ton symbole et introduis-le dans ton champ de sable. Mais y, ce que tu es, tes couleurs, tes musiques, les images de tes rêves. Regarde, non seulement le système commence à se lésarder, mais c'est lui qui vient examiner ton travail. Le système s'encourage à continuer. C'est ça qui est incroyable. Le système n'est pas méchant, il est dépassé. Le système est conscient de sa propre vétusté.
Et il attendait depuis longtemps que quelqu'un comme toi ait le courage de proposer autre chose. Les enchaînés commencent à discuter entre eux. Ils se disent, qui peuvent faire de même, soutien les.
Plus il y aura de création originale, plus le système ancien devra renoncer à ses prérogatives. Merci pour ce texte. C'est la première fois que j'entends lui comme ça devant le public.
C'est vrai que j'ai presque l'impression que c'est pas moi qui l'écris tellement que c'est bien. Donc la question dans ces 5 dernières minutes, avec toi et ensuite on passe à la salle, c'est comment on active ces créations originales. Comment on les donne à voir un monde médiatique qui ne veut pas les entendre ? Tu veux dire comment devient un créateur et qu'on finit ça ? Non, comment il y a déjà des créations originales de partout.
Le nouveau monde est déjà là. Tu les fesses souhaitables, on le sait que trop. Comment le donne à voir ? Est-ce que le romancier que tu es a quelques techniques pour nous donner à voir ce qui pourrait être ? Je pense que sans mal ta question, je vais essayer de répondre. D'abord, il y a actuellement internet, Facebook et les réseaux sociaux qui permet à n'importe quelle personne qui a une idée de la présenter à tout le monde ce que je trouve extraordinaire. Et ça serait dommage de dire qu'actuellement les créateurs ne sont pas visibles. Vous faites un petit rond avec des petits points autour et vous dites si c'est une affreau d'art, vous la mettez sur internet et puis il y a des gens qui trouvent ça formidable, ils se manifesteront. Ça, c'était quand même pas possible il y a 30 ans.
Comment on diffuse l'art, c'est si c'est la question maintenant par internet et en utilisant. Je me suis retrouvé il y a 3 jours à Morsche. Il y a une écrivaine qui vient vers moi qui me dit j'ai écrit mon livre grâce à vous et c'est une écrivaine qui a fait un best-seller qui s'appelle Mume dans les horties. Ça s'appelle Valérie Valogne.
Elle me dit j'ai vu votre YouTube et j'ai appliqué toutes les techniques puis j'ai vu votre tutoriel sur votre site et j'ai tout pris à la lettre et j'ai fait ce livre. Après, j'ai mis sur Amazon et sur Amazon, il y avait plein de gens qui sont allés le lire. Je suis arrivé voir un éditeur, j'ai regardé déjà le nombre de gens qui sont intéressés par mon bouquin et j'étais publié.
Et là, il y a eu encore plus de lecteurs. Donc, ce qui montre que ce problème que j'avais à l'époque qui était envoyé à tous les éditeurs et puis à attendre des réponses positives, il est en train de devenir obsolète grâce à Internet qui permet à n'importe quelle personne qu'il y a un projet de le présenter et puis après, c'est la qualité du projet qui fera qu'il y aura des gens qui le suivront pas. Donc pour moi, actuellement, Internet a résolu le problème de la diffusion de l'art et place au talent.
Et d'ailleurs, je trouve que les YouTubers qui se passent des choses extraordinaires, il n'y a vraiment jamais eu autant de connaissances qui est diffusée de gens de talent qui diffusent des informations extraordinaires. Et personnellement, tous les jours, j'apprends d'être vieux, c'est qu'on arrête d'apprendre. Moi, tous les jours, je suis en mécanique d'apprentissage et d'évolution et je ne me dis pas tiens, j'en sais un peu, je peux m'arrêter.
C'est juste continu, mais je pense que tu es un peu pareil aussi, Mathieu. On a des sources, des endroits où on se ressourde, parfois des gens, il y a des gens qui diffusent bien les infos, puis des humains qui savent regarder au bon endroit. Et tout d'un coup, vous utilisez comme référence et vous recevez l'information. Je pense que Jean-Pierre aussi va utiliser des trucs comme ça.
Et au moment entre les gens qui aimons la connaissance et qui aimons la traduire de manière agréable, on s'enrichit tous mutuellement et on forme de faits une formuleur qui envoie ces pheromones et s'enrichit et si des gens arrivent à l'extérieur, ils nous voient et peuvent se connecter à ça. C'est aussi pour ça que j'ai créé sur bernardverber.com, l'arbre est possible et pour ça que j'ai aussi l'insurgé sur la Tiff absolue qui sont des lieux où ceux qui veulent diffuser diffusent et touchent ceux qui veulent écouter. Et après c'est la qualité de l'info puis je file attendre. Mais je crois que les portes sont ouvertes actuellement. Jamais elles ont été aussi ouvertes. Je vais repréciser ma question mais j'ai hâte d'avoir la réponse. J'ai compris que j'avais pas compris la question. Je n'ai pas d'en réponse. Mais c'était pas ma question. En fait la science fiction elle est plus à l'aime d'aimer la dystopie. Ah oui tu veux dire sur les culettes. Un récit positif d'un futur vers lequel on aimerait aller. Comment on inverse en ce moment en science fiction ? Blade Runner va ressortir.
Blade Runner 2049. Je n'ai pas vu je vous fais le scénario. Ça va être un futur noir, anxiogène, game over pour l'environnement.
Et ce qui va rester de l'humanité c'est l'amour d'un homme et d'une femme. Ça va, on l'a vu mille fois depuis 100 ans. Donc comment on donne un récit ? C'est pas ça le scénario. Non j'imagine bien. J'irai quand même le voir. Non non c'est le problème c'est un mec qui chasse un autre mec, je le résume en la manière. Et à la fin, donc c'est un mec qui chasse un robot. Et à la fin, au moment où il tue le robot, le robot lui dit lequel de nous deux le plus jeune.
Et l'humain a persuadé que c'est lui et l'autre il lui dit réfléchir un peu et tu verras que c'est peut-être pas si simple. Voilà, c'est comme ça que j'ai compris Blade Runner si je lui résumais à une phrase. Ça donne pas d'histoire d'amour.
Comment on fait de la science fiction un peu plus... Tu veux dire, qu'est-ce qui m'inspire pour créer pour elle ? Alors d'abord... C'est charme l'est. C'est pas ça la question ? Non mais c'est ta réponse je sens donc vas-y. Non non, c'est qui t'inspire ?
Sachant que Blade Runner est déprimant, comment ça se fait que j'écris une histoire que ça ne soit pas déprimant ? Exactement, c'est quoi ton secret ? C'est ça la question ? Exactement ça.
Ma question est de bien comprendre ta question. D'abord je crois que l'art, la fonction de l'art, c'est de montrer qu'on peut avoir en futur heureux, global. C'est-à-dire même Leonard Vinci qui a mis le pain de Mona Lisa, ce sourire-là est une expression de... Il peut y avoir une humanité sereine qui apparaît sans jour.
Moi je vois ça dans Mona Lisa. Quand je vois le radeau de la méduse, qui est pour moi l'un des tableaux qui me fascine le plus, je vois des gens qui se disent bon ben on a de sérieux problèmes, mais au fond il y a un petit bateau qui fait me zéné. Donc il y a un peu d'espoir, si le bateau est tout petit. La règle, si ça ne me plaît pas, ça ne me rend rien. Et la fonction de l'art est de pas dire on va tous crever. Le phénomène 1984 d'Orwell ou le meilleur des mondes qui sont des livres un peu durs, il y a des risques pour qu'on crève tous, mais il y a aussi des possibilités pour qu'on invente un monde meilleur. Il y avait un film qui s'appelait La Belle Verte de Colin Cero dans lequel il y avait des gens qui vivaient dans un monde meilleur et qui le décrivaient. Je me suis dit bon ben voilà la fonction de l'art montrait que ça peut exister. Maintenant comment la faire ? On a bien compris que les méchants peuvent gagner, maintenant que se passe-t-il si les gentils gagnent ? Et si les gentils c'est nous et qu'on nous dit bon ben maintenant vous allez gagner, vous faites quoi ? Et à ce moment-là souvent les créateurs de révolution efficace se retrouvent dans, on ne sait pas trop, on va filer sur les experts et en fait les experts ils n'ont pas eu la vision.
Il y a un petit déficit, que l'on a extraordinaire n'est pas venu des politiciens, que ce soit l'iphone ou que ce soit ce micro ou que ce soit les voitures électriques, tout ça ça ne vient pas de la politique, c'est encouragé par moment par les politiciens, c'est souvent des êtres humains qui se battent contre le côté archaïque du système pour proposer des choses nouvelles, je pense, notamment Elon Musk avec ses Tesla, mais même l'inventeur du Gine a inventé un système populaire et ça ne vient pas de la politique, du coup les pauvres les riches avaient les mêmes pantalons, et c'est les pantalons de qualité alors ça ne verra rien, mais ça a démodé les anciens pantalons. Donc je n'ai pas du tout répondu à ta question. Non mais quand même j'ai quelques éléments, c'est à vous, ne rigitez pas, interagir, partager, de toute façon il répondra pas à vos questions, donc là au moins ça déchirera. Je vais lancer une mode qui est celle de répondre à une autre question.
Tu réponds à une autre conférence aussi, ça peut être pas mal, un mois, des conférences croisées, il y a un grand tête, il y a un grand tête, un grand tête. Allez-y, vous avez un micro qui se circule ? Oui, j'en profite, le micro t'arrive pour t'expliquer l'angoisse de la première question. C'est sur la dystopie. Notre angoisse, ce n'est pas de première question, donc tant qu'il n'a vu que c'est réglé. Pas mal, les gens se collectivent.
Super, merci. L'angoisse pour celui qui la pose ou pour celui qui... Non pour nous, parce que pour l'instant je touche du bois, il n'y a jamais arrivé, il y a-t-il une première question ? Il y a un gif, mais par contre il y a quelques longues secondes dans lesquelles je sais que tout le monde se regarde et je sais qu'il n'y a pas quelqu'un qui j'aille, les gens vont se dire, « Oh mais si personne n'y va, je ne veux pas y aller moi ». Je vais attendre la deuxième question. Et donc à ce moment-là, il n'y a pas d'aiguis, j'ai vu ça pour d'autres écrivains qui sont retrouvés. Il y a-t-il une première question ?
Personne n'a eu la main. « Fuyance très gênant, allez, faites un effort, faire soin ». Et puis là tout le groupe qui culpabilise, il dit, « Ah ben maintenant que ça a foiré son truc, on va pas y aller ». Là il y a un peu de soucis, on a ramené tous nos familles. Ah ouais, bon voilà.
Du coup l'idéal c'est de préparer une première question avec un compétit, c'est « Tu me pousseras la question ». C'est lui. Ce qui arrive avec un grand défaut, c'est que quand on se trouve dans cette situation-là, j'ai un besoin irrépressible de poser la première question, ça arrive à tous les coups. C'est carrément une pathologie, c'est le petit lan France que j'ai ça. Il y a une question parce qu'effectivement là on est en train de vivre pas mal de choses entre des règlements climatiques, des problèmes climatiques sur les inégalités. Énormément de choses auxquelles on ne la pense pas à perface auparavant. C'est au fait de l'analogie avec les fourmis. Quelles sera peut-être les enseignements qu'on pourrait tirer des fourmières, des civilisations peut-être même de fourmir par rapport à ça ? C'est une chose qui est certainement vécue auparavant.
Que se comprend on en prend, que se comprend on qui rien ? C'était un peu le thème que je voulais développer jusqu'au bout dans la troisième manité, mais je lui ai dit que ce n'est pas assez vendu, je ne pourrais jamais aller faire mes sept volumes, je vais en faire sept volumes, mais ça allait aboutir à cette idée, qui est présentée dès le début mais qui va être retravaillée. C'est qu'on voit qu'à chaque danger d'expansion d'espèces, la nature fait trois choix. Le premier c'est plus petit, c'est à dire qu'on est passé des dinosaures au lézard, des libélules d'un mètre dans vergure, tout petit libélule et aux mammout, aux éléphants. La nature, c'est comme si tu disais, vous faites trop de dégâts, on va un peu plus bas, c'est à dire descendre. Même les fourmis, ils sont plus grosses, ils ont retrécié les fougères, les plantes, tout à retrécié.
Chaque fois qu'il y a eu, il y a eu donc cinq cataclysmes avec cinq cent d'espèces, qui ont tué entre 80 et 90 % de la population, la vie, et au final, c'est les plus petits qui en profitent, qui survisent. Le deuxième, c'est plus féminin. J'ai retrouvé une étude quand je faisais la troisième humanité qui montrait que l'eau des égouts de New York devenant de plus en plus polluée, les espèces animales qui vivent dans les égouts se féminisent.
La féminisation est une forme de résistance à la pollution, mais même chez les plantes. Et puis il y a ces deux cas que je cite, les armes Valzélandes qui n'espirent d'en aller qui font, et donc, si c'est un mal, ils tombent sur une île, ils meurent. Et si c'est une femelle, elle mute et devient un parthénogénétique, c'est-à-dire qu'elle se met à pondre des enfants sans mal. Et d'ailleurs, il y avait un requin qui était dans un hôtel en Arabie Saoudite, qui était tout seul dans son aquarium, qui est un requin femelle et qui est un jour accouché d'un enfant. C'est-à-dire que la nature offre la possibilité aux femelles de s'adapter toute seule sans la présence des mal. Donc c'est le futur. C'est clair.
C'est un, mais le futur est bien. Mais normalement, d'ailleurs, il devrait y avoir... J'en veux être Wikipédia, justement, il y a quelqu'un qui met Bernard Verber, mais des informations scientifiquement fausses. La preuve, c'est que dans les fourmis, il dit qu'il y a plus de femmes que d'hommes sur terre, alors qu'il suffit de regarder les chiffres, il y a plus d'hommes que de femmes. J'ai mis qu'il y avait plus de femmes que d'hommes sur terre en 1991.
Entre temps, il s'avère que la Chine, l'Inde et les pays d'Afrique et les pays d'Orient-Orient, ayant des politiques d'élimination systématique des filles par échographie et par avortement, ça finit par peser sur la balance. Il y a plus d'hommes que de femmes sur terre. Mais c'est juste qu'en 1991, c'était pas le cas.
Mais fiez-vous de Wikipéga aussi, c'est pas fait des conneries. Normalement, il devrait y avoir beaucoup plus de femmes que d'hommes. Ça devrait être de l'ordre de 70 à 30, c'est-à-dire 110 % de femmes pour 30 % d'hommes.
Pour une raison simple, c'est que les sphématozoïdes féminins sont plus dynamiques et plus solides que les sphématozoïdes portant les caractères masculins. Il y a un moyen de faire une fille, pour aussi des femmes enceintes, dans ce retard. Levez la main tant qu'on y est. Si vous voulez avoir une fille, il faut le concevoir l'enfant le plus éloigné possible du pic de ovulation.
Avant et après, c'est un peu plus dur pour les sphématozoïdes. Il y a une sélection qui est faite. Ceux qui transportent les mâles ne tiennent pas et ceux qui transportent les femelles tiennent mieux. Quand vous êtes en pic de ovulation, vous êtes à une chance sur deux.
Avant et après, vous êtes à trois chances sur quatre ou plus. Dans mon moment, il devrait y avoir beaucoup plus de femmes que d'hommes. Mais c'est la culture et cette connerie de dotes, de mariages arrangés, d'héritage culturale qui n'ont rien à voir avec la nature. Ça n'apporte rien de bon. Ils font qu'il y a un mépris des femmes dans les sociétés qui peuvent évoluer. Heureusement, en Europe, a priori aux États-Unis, on a passé ce stade. On voit même des femmes qui travaillent voire qui conduisent des voitures.
Heureusement. Donc, les solutions que l'apporte les fourmis, c'est plus petit, plus féminin. Et le troisième élément, c'est plus social. Oui, j'avais pas fini. Non, on était sur pic et ovulation, une nouvelle observateur, mais c'était une autre conférence.
Plus social. Plus social, c'est-à-dire que les espèces qui fonctionnent non pas en mode autonome et en mode collectif, résistent mieux à toutes les formes... On a vu, par exemple, aux intempéries, les fourmis qui arrivent à former des rados pour survivre. Je vous avais vu ça à la télévision. Mais les fourmis, par leur sociabilité, arrivent à résoudre des problèmes que les autres espèces n'arrivent pas à résoudre, dont notamment, j'en parle encore dans la Président de l'Humanité, les fourmis argentés du désert, qui ne chassent que les animaux tués par la chaleur, qui arrivent à courir sur le désert qui est bouillon comme une poêle. Aucune espèce n'arrive à tenir la chaleur et ils vont chercher les animaux tués par la chaleur et se les passent d'un individu à un individu.
Et ce que, comme ça, la colonie arrive à survivre. Et les scorpions tiennent pas, les serpents tiennent pas, les araignées tiennent pas. Aucun animal ne tient, il n'y a que les fourmis grâce à la sociabilité qui arrive à gérer ce problème. Donc, on est obligé de fonctionner en collectif. Le mode collectif, actuellement, n'est pas au point chez les hommes. Il s'améliore, il y a des choses qui fonctionnent, il y a un d'autres qui ne marchent pas. Mais le jour où on aura compris qu'on se réalise à travers le groupe, on va résoudre nos problèmes personnels et on va résoudre les problèmes du groupe. Mais ça, ça fait partie de l'évolution que nous montrons les fourmis.
J'ai vraiment hâte de la prochaine question, parce que, vu le niveau de la réponse, j'ai vraiment très hâte. Bonsoir. Je voulais vous dire merci de nous offrir cette possibilité de parler à la cool avec Bernard Barber, qui fait des vannes sur les alcooliques de New Wellness. Il n'y a pas que des alcooliques à quelques brogées aussi, mais tu n'en es pas parlé. Je vais essayer de faire court, mais j'ai plein de questions, donc je vais me brider moi-même. D'abord, je voulais savoir si vous connaissiez les barbers, Bernard Barber, parce qu'on fait une soirée mardi 19.
Oui, il y a plein de gens qui réinventent justement et qui inventent comme l'IFS et comme plein de gens qui sont dans cette salle. Le monde d'aujourd'hui et le monde de demain est de 100 barbers. Les 100 barbers ?
100 barbers. On peut s'en reparler après si vous voulez. Mais en tout cas, je voulais juste vous inviter à venir le 19. On va être, je pense, plusieurs centaines à se réunir. Je ne peux pas, c'est mon anniversaire.
Ah merde ! Voilà, c'était juste une invitation. C'était juste une invitation. C'était un important pour moi. C'était 30 ans, oui.
Et la deuxième chose, c'est aussi une invitation et une question. C'est que moi, ce qui m'intéresse, je m'intéresse aux fourmis, mais je m'intéresse beaucoup aux zebras. Et donc, j'ai créé un livre qui s'appelle « Le bonard des zebras ». Et donc, ce qui m'intéresse, c'est d'explorer un peu les liens qui est entre le bonheur, l'intelligence, l'émotion, la créativité. Et franchement, j'essaye de comprendre comment chacun se dépathouille un peu avec ce dont vous parliez tout à l'heure, aussi quand on a lu le texte.
Et je voudrais vous le savoir d'une part, que vous nous disiez un peu, que vous nous partagez, ce qui vous rend heureux, et comment vous le cultivez, et comment vous coltinez-vous cette question de, bien, quand on n'est pas bien quelque part, on bouge. Ce n'est pas si simple que ça, je pense. Et la deuxième chose, c'est est-ce que vous donnez des interviews à des jeunes journalistes qui feront un livre sur le bonheur des aides, par exemple, pour faire un portrait. On peut en parler tout à l'heure. Mais alors, attendez, on va réunir les questions. Alors, la première question, c'est quoi ? La première question, c'est...
Non. Deuxième question. Ah, mais je vous avouerais, je ne suis pas au courant de beaucoup de choses, surtout ce qui se passe, socialement.
C'est-à-dire, ce genre de groupe, là. Je ne vous ai pas fourmis. Non, je suis connecté à d'autres choses, mais pas assez. Ok. La deuxième question. Quel est mon secret de bonheur ?
Ouais. Pour moi, les gens qui sont malheureux, c'est qu'ils ne sont pas à leur place, j'en reviens à cette idée, et être heureux, c'est être à sa place. Dès le moment où on a trouvé sa place, on rayonne. Dès le moment où on n'a pas trouvé sa place, bien, tout nous agresse.
Quand j'étais à l'obs, en repère d'alcoolique, en rangue, j'étais pas ma place, et il m'a signalé, t'es pas à ta place, on te foudre. Donc du coup, j'étais malheureux et qu'un sentiment d'abandon. Mais non, en fait, ils m'ont aidé, ils m'ont aidé à trouver ma place. Et ma place, c'était écrivain. Maintenant, comment trouver sa place ?
La manière de trouver sa place, c'est d'accumuler des expériences. Et notre monde nous dit, les expériences sont dangereuses, ils ne risquent pas d'échouer. C'est ça qu'il faut accepter l'idée, c'est ok, c'est dangereux, ou on risque d'échouer, mais ça nous intéresse quand même, car c'est une expérience. Et le pire qui puisse m'arriver, c'est de ne pas avoir d'expérience. Donc, il faut tâtonner, il faut tester toutes sortes de clés, et puis, au bout d'un moment, on pourra trouver la bonne. Sinon, l'autre secret de bonheur, c'est que Jéphaye crevait il y a quelques années, et depuis, j'ai le sentiment que chaque jour qui arrive, c'est un cadeau par rapport à cette échange.
Donc, c'était il y a 7 ans, parce qu'on a détecté un problème de coeur, j'avais un bouchon dans le coeur. Et je ne me suis pas fait opérer, et donc je suis avec un
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