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30.06.2012 - 13h57   

Ba je t'assure Kilbith que pour faire un site comme ça, il faut être très doué en programmation et avoir du temps à y consacrer.

Pour ce qui concerne la sécurité, c'est un domaine bien particulier du monde IT, et effectivement, il serait bon de s'atteler à sécuriser ce site qui est comme du gruyère.

Apparemment on a un expert, tant mieux! Reste plus qu'à attendre que Sylvain se réveille lol


 
30.06.2012 - 13h43   

Effectivement, le "home-made" artisanal d'un forum ou assimilé, vaut mieux éviter si on est pas expert en programmation...


 
30.06.2012 - 10h18   
Urgent ?

Salut,
en voulant modifier ma page de profil, j'ai pensé à un truc:
"et si j'essayais de faire un upload de fichier ?"

Alors testé plusieurs choses avec du code html (qui, d'ailleurs, est mal filtré). J'en suis venu à copier une petite partie du code de http://village.syti.net/profil_valid.ph en la modifiant (pour essayer de faire passer un fichier plus gros que la taille autorisée). Résultat: dans ma page de profil il y a un formulaire de création de profil, mais pas encore d'upload.

Et je ne peux plus essayer de faire un upload, puisque ma page est toute défoncée ! Lorsque je clique sur "éditer", que j'enlève la partie de code que j'ai mise et que j'enregistre, on me dit que le mot de passe/l'ID/l'image ne sont pas valides, et on m'invite à créer un profil !

De plus, lorsque je modifie ma fameuse page, il y a deux formulaires de modification qui apparaissent, ce qui veut dire que le code que j'ai foutu est même interprété lorsque je veux modifier ma page.

Sérieux les mecs, c'est un vrai bordel. À vrai dire, je ne connais pas vraiment le HTML et PHP, je suis plutôt C. Pourtant, j'ai réussi à flinguer une page, alors va falloir revoir un peu tout ça mes amis, car là c'est clairement vulnérable.

Par exemple, je ne suis pas sûr que le fait de pouvoir faire ça:

soit normal. Mais après tout, je peux me tromper.

PS: Sylvain, peut-être que ce fichier est à toi, mais il me paraît louche: http://village.syti.net/test


 
30.06.2012 - 02h31   
Blue holes

Le "Great Blue Hole" au Belize, 300 mètres de diamètre et 120 de profondeur...



Et le Dean's Blue Hole aux Bahamas, 220 mètres de profondeur...




Le champion de plongée en apnée Guillaume Nery dans le Dean's Blue Hole...




clip vidéo:




 
30.06.2012 - 01h45   

Ah oui, ça serait fun si ça pouvait arriver à Wall Street, en plus d'être hautement symbolique... ou à un lieu de réunion du Bilderberg !

A propos des dolines en milieu naturel, en voici quelques unes...


Le trou de Sarisarinama près de Bolivar au Venezuella:







Le "Devil's Throat" dans le Nevada:





Dans le désert du Nouveau Mexique:



Sur l'ile de Porto Rico, le radiotélescope d'Arecibo a été construit sur une doline:



Enfin le plus beau de tous, le "Great Blue Hole" au Belize, 300 mètres de diamètre et 120 de profondeur...


 
29.06.2012 - 16h39   
Trous vers l'enfer

Les dolines sont ces trous impressionnants qui apparaissent subitement un peu partout dans le monde, absorbant des voitures ou des immeubles entiers quand ça se produit en ville.

Les plus connus sont ceux qui sont apparus en 2007 et 2010 à Guatemala City, environ 20 mètres de diamètre et 70 mètres de profondeur.

Les explications qui sont données par les scientifiques mettent en cause l'érosion souterraine de terrains calcaires par l'eau des sources ou des égouts. La cavité ne devient visible que lorsque son plafond s'effondre. Mais sur ne net, certains y voient un phénomène mystérieux annonciateur de la fin du monde


Le trou de 2010 à Gatemala City:




et celui de 2007:





dans une maison, toujours à Guatemala City:



à Pékin:





dans un jardin à Seattle:



2 autres à Seattle:




à Duluth, dans le Minnesota:



à Los Angeles:



Dans certains cas, ça donne des scènes surréalistes, comme ce camion de pompiers encore à Los Angeles:



Corpus Christi, Texas:



Chevy Chase, Maryland:



New York, dans le quartier de Brooklyn:


 
29.06.2012 - 15h43   

Le studio de Hans Zimmer :

http://www.stuckincustoms.com/2010/04/18/hans-zimmers-studio/



 
28.06.2012 - 18h37   

Oui, ou ça peut être un très bon moyen de s'en rendre compte. Quelqu'un de suffisamment éduqué et conscient peut jouer de façon très saine.


 
28.06.2012 - 18h00   

Totalement d'accord avec toi sur la 1ère phrase, Guiom.

Mais pas seulement : puisqu'il s'agit de faire le maximum de pognon, c'est aussi jouer efficacement sur les instincts primitifs. Stiegler (un philosophe) dit que l'homme est une espèce très visuelle et fondamentalement attirée par deux choses : le cul et la violence.

Ensuite, il est évident que pour moi un tel degré de réalisme graphique et audio puisse, dangereusement et de façon insidieuse dans les couches inconscientes du cerveau humain, se confondre avec des semblants de comportements dans la réalité.

C'est aussi un moyen d'inhiber certaines fonctions plus nobles du cerveau humain, telle que la créativité, l'empathie... et occasionner de la distraction addictive chronophage, stressante, néfaste. Et donc, au final, de couper les gens de la vraie citoyenneté, ses conditions, ses objectifs. Et voilà, des millions d'années d'évolution pour en arriver là, c'est pas faire honneur à ce que nous sommes vraiment.

Jusqu'au jour où ils ne seront plus quoi inventer et là peut-être qu'on se dira que le meilleur jeu de tous les temps, le plus beau, le plus voluptueux, c'est celui de la vie


 
28.06.2012 - 17h27   

Il est évident que pour les plus addictifs, les jeux vidéo permettent de leur faire accepter ce type d'hyper-violence dans leur environnement.
C'est le principe de la mise en abîme sensorielle :
un jeu vidéo est un mécanisme projectif de soi vers une virtualité sensorielle puissante (l'œil et l'oreille sont pour certains totalement mobilisés sur le jeu) qui les habituent à la réalité possible d'une telle situation.
Un jeu de ce type est un excellent moyen d'abaisser la vigilance citoyenne en banalisant l'hyper-violence répressive.
Ce qui fait que l'individu accepte bien plus facilement d'être témoin de telles scènes et donc de ne pas se rebeller et exprimer son désaccord.


 
28.06.2012 - 16h09   

Oh, Half-Life² c'est vieux déjà (2004) et complètement dépassé niveau graphique. Battlefield 3 pour le tien, la 3ème guerre mondiale

Quelques exemples de ce qui se fait de mieux de nos jours (HD si possible) :







Perso, autant de réalisme dans la violence, je trouve ça potentiellement dangereux au niveau psychologique...


 
28.06.2012 - 15h51   

Les jeux semblent effectivement de plus en plus réaliste. Le fils d'un ami joue beaucoup à ce genre de jeux, j'ai pu voir un jeu notamment ou la guerre se déroulait en plein Montmartre dans Paris, totalement remodélisé avec les panneaux de rues, etc etc... Assez ressemblant avec le jeu que tu montre.

je sais plus le nom, call of duty peut être ou un truc dans le genre...


 
28.06.2012 - 11h04   

Comme Half-Life²...






Un état fasciste, hyper-contrôlé, hyper-répressif, hyper-armé, avec à la tête un guide-manipulateur diffusant sa propagande néfaste partout et tout le temps, un enfer sociétal avec tout autour un chaos écologique. Et fort heureusement quelques dissidents...

Pour ceux qui connaissent pas ce grand classique du jeu-vidéo, foncez, le parallèle avec Orwell (voire la réalité...) est assez frappant.

Mais il faut garder en tête que la réalité est encore bien pire que toutes ces œuvres "simplistes", car les évidences de fond sont plus ou moins noyées dans un flot de faux-semblants / mécanismes illusionnistes, entraînant une confusion généralisée et de subtiles chaînes.


 
28.06.2012 - 03h30   
Des drones évoluent au-dessus des Etats-Unis

source: globalpresse.wordpress.com

22 juin 2012

30.000 drones opéreront à partir d’au moins 110 bases militaires situées dans 39 Etats à travers le pays. Des décrets s’accumulent déjà, des pilotes et des équipages sont en train d’être formés et une partie de l’espace aérien est en train d’être réservé.

Ces drones vont de petits avions de surveillance pesant quelques livres à des aéronefs armés transportant des milliers de livres d’équipement et d’armement. Une nouvelle génération de micro-robots volants (« micro air vehicles, MAV ») est en cours de développement qui ne sont guère plus grands que des insectes et capables de pénétrer sans être vus dans des logements et des lieux de travail pour photographier, enregistrer et même tuer.

Des centaines de drones sont d’ores et déjà déployés au-dessus des Etats-Unis avec les agences locales de maintien de l’ordre acquérant également leurs propres drones. Et il ne s’agit là que les drones dont nous avons connaissance.

Selon un rapport d’ABC News, « Des drones peuvent transporter des caméras de reconnaissance faciale, des systèmes de reconnaissance de plaques minéralogiques, des caméras thermiques produisant des images, des renifleurs de WiFi ouvert et autres capteurs. Et, ils peuvent être armés. » Les capacités technologiques exactes de ces drones, développées par des géants de la défense tels Northrop Grumman au prix de milliards de dollars, sont un secret d’Etat hautement gardé.

Néanmoins, le potentiel de surveillance des drones d’aujourd’hui fait ressembler à un jeu d’enfant l’espionnage opéré par les dictatures du siècle dernier. Partout où l’on va, tout ce que l’on dit, tout ce que l’on fait – même chez soi – peut maintenant être secrètement observé, enregistré et compilé dans d’énormes banque de données du gouvernement qui sont secrètement mises en place par le gouvernement Obama. Le développement de ces drones est cohérent avec les efforts entrepris pour militariser, régenter et surveiller de près la vie des Américains ordinaires.

La surveillance omniprésente est la nouvelle normalité. Comment une personne se promenant dans la rue n’importe quel jour de la semaine peut-elle savoir si à ce moment précis un drone, volant à plusieurs kilomètres au-dessus de sa tête, est ou n’est pas en train de suivre ses mouvements?
Outre le potentiel de surveillance orwellien, il va sans dire que les drones peuvent être utilisés pour des meurtres. Des drones ont déjà été utilisés pour assassiner des milliers de gens en Irak, en Afghanistan, au Pakistan, au Yémen et ailleurs, dont des citoyens américains, dans le cadre du programme de « meurtre ciblé » du gouvernement Obama.

Les pilotes des drones, assis en sécurité devant leurs écrans vidéo, parlent de leurs victimes en termes d’« éclaboussures d’insectes » (« bug splats »). Avec des dizaines de milliers de drones déployés au-dessus du territoire national, le potentiel existe de les utiliser pour « supprimer » (« take out ») des personnes non grata des Etats-Unis ou même des rassemblements de telles personnes. Lorsque les 110 bases de drones seront terminées, aucun endroit du pays ne sera plus hors de portée de frappe immédiate.

Les dispositions pour déployer ces dizaines de milliers de drones ont été entièrement prises derrière le dos du peuple américain. Il n’y a pas eu de débat au Congrès et, bien qu’il s’agisse d’une année électorale, aucun des deux principaux partis politiques n’a soulevé la question.

Aucun contrôle n’a été mis en place quant à ces drones. En fait, Obama a signé une loi en février levant des restrictions qui auraient pu faire obstacle à la rapide intégration des drones « dans le système d’espace aérien national. » En dehors de quelques articles épars, les médias qui sont à la botte des grandes entreprises sont restés silencieux.

La consolidation de l’infrastructure d’Etat policier a pour cible les soulèvements sociaux massifs qui se profilent à l’horizon. L’élite dirigeante anticipe que la classe ouvrière américaine ne tolérera pas indéfiniment attaque sur attaque contre son niveau de vie, des coupes dans les programmes sociaux et des guerres incessantes. L’opposition se développera inévitablement. Lorsque ce sera le cas, les drones armés suivront de près cette évolution.

Le déploiement de drones au-dessus des Etats-Unis est plus que la confirmation que les mesures d’Etat policier appliquées dans le cadre de la soi-disant « guerre contre le terrorisme » – une surveillance sans mandat, la torture, des commissions militaires, des détentions secrètes sans procès, et des « listes de personnes à tuer » – cibleront en fin de compte directement le peuple américain.

Ce n’est pas par hasard que les révélations concernant le déploiement des drones coïncident avec le récent coup monté contre des manifestants anti-guerre à Chicago accusés de « terrorisme ». Puisqu’ils sont accusés de « terrorisme », rien en principe ne pourrait empêcher le gouvernement américain de faire « disparaître » ces manifestants dans le camp de détention de la baie de Guantánamo ou, à l’avenir, de les éliminer au moyen d’un drone Predator.

Des protections juridiques démocratiques vieilles de plusieurs siècles et dont on pensait jadis qu’elles pourraient entraver de telles actions du gouvernement américain – tel le quatrième amendement, le droit d’habeas corpus [loi garantissant la liberté individuelle], et la Proclamation des droits (« Bill of Rights ») – ont toutes été substantiellement érodées ces dernières années. D’un point de vue juridique, la voie est maintenant ouverte à l’assassinat de citoyens américains sur ordre secret donné par le président. (Voir : « Des tribunaux militaires et des assassinats »)

Ce qui sous-tend l’effondrement des droits démocratiques c’est l’accroissement spectaculaire de l’inégalité sociale. Cet accroissement a été étayé par des chiffres officiels, telles les récentes statistiques de la Réserve fédérale montrant la chute vertigineuse de 38,9 pour cent entre 2007 et 2010 de la valeur nette médiane des familles américaines alors même que les profits des entreprises ont fortement augmenté. La démocratie est incompatible avec les conditions qui résultent d’une inégalité sociale sans précédent.

Il faut aussi mentionner qu’aucune opposition significative contre le déploiement de ces drones n’a été développée au sein de l’establishment libéral et pseudo-gauche. La raison en est que ces couches sont prêtes à faire campagne et à voter pour Obama lors des élections de 2012.

(...)



Info du jour, les drones peuvent être piratés avec très peu de moyens. Il suffit de tromper son système GPS en lui envoyant de fausses informations, permettant aux pirates de le détourner d’une zone précise, et même de le faire se crasher.

Les spoofers GPS assez puissants pour prendre le pas sur le signal reçu par satellite coûtent 1000 dollars.

infos ici



 
28.06.2012 - 02h59   

Perso j'utilise Ableton Live qui est très polyvalent, simple et intuitif, et comprenant de bons outils pour à peu près tout de base. Je l'utilise surtout pour enregistrer, mixer et faire mes découpage sur le séquenceur qui est très bon je trouve, car faisant penser aux outils de découpages sonores les plus simples et efficaces (Audacity), avec un outil Warp exceptionnel (permettant d'étirer ou de réduire les zones choisies d'un sample presque infiniment).
J'ai déjà bossé sur Fruity Loops et la manière de faire est assez unique et intuitive en ce qui concerne le live. Les outils de mixage sont très moyens de base, et le séquenceur est plutôt chiant.
En ce qui concerne le mastering (donc la phase post-mixage - même si souvent je fais tout en même temps), j'utilise parfois Logic, qui contient de très bons équaliseurs et compresseurs multibande. Puis il est simple. Mais il n'est que sur Mac.
Pro Tools est puissant mais je le trouve complètement anti-intuitif.
Reason j'ai un peu du mal, mais j'ai pas trop poussé.

Généralement, j'évite de me perdre dans l'infinité de VST proposés, et ainsi j'exploite au mieux les outils de base avec quelques exceptions : sur Ableton pour le mixage j'utilise la collection T-Racks, qui sont des outils je trouve très puissants et qui reproduisent bien la chaleur et la profondeur de l'analogique - quand j'ai besoin de Side-chain en revanche j'utilise le compresseur basique de Live qui est pratique ; Amplitube et GuitarRig pour les simulateurs d'amplis/de salles d'enregistrements/de types de micro/d'effets analogiques reproduits ; le Spektral Delay en plus du basique mais très efficace Ping-Pong Delay, pour la profondeur ; parfois un SpectralDroneMaker pour les textures sonores.
J'en teste aussi assez souvent, mais au final tu peux tout faire à partir de rien et de très basique tant que le travail est millimétré grâce au système d'automation (mon principal outil pour la composition).
Pour les claviers pareil, j'utilise les plus basiques sauf que je peux en mélanger jusqu'à 6 simultanément, qui ont été pré-modifiés puis post-traités avec des effets en automation. Les possibilités sont infinies à partir d'un simple "bip".

Avec tout ça, je pense garder le plus pur pour le colorer moi même ; car je trouve que la grande majorité des VST sont déjà colorés donc reconnaissables, ce qui est pour moi un défaut majeur.

Le système live de Ableton est très sympathique car il est très simple et rapide d'enregistrer/mixer et lancer un sample et créer ainsi facilement à partir d'un simple bruit de bouche par exemple.
Pour la musique électronique rythmée, une simple partition MIDI basique avec un sample basique que tu traites toi même fait l'affaire. Après, en procédant comme ça, il serait très compliqué de faire d'un style précis et moderne, car normalisé et codé, ce que je ne fais jamais.

Finalement, je serais peut être mieux avec tout en analogique ! Mais quel travail (et quel coût!). Le numérique est encore loin de l'avoir dépassé en tout cas, étant encore très binaire et très froid...

J'ai bien joué avec le séquenceur plus haut! Mais c'est vieux comme le monde ce truc, seule la forme change.

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