Ben, en fait, pour les docs, il faut se connecter avec l'adresse [email protected] et entrer le mot de passe (armee2gandhi) et on a accès à tout ce que j'y ai mis.
Mais j'avoue que j'aurais préféré un espace de stockage propre au site...
édit : Oui, c'est sur Google Documents qu'il faut se connecter =)
Toshio a écrit:
Je ne suis pas trop d'accord avec cette proposition, car le village global est censé être un ensemble de villages, dont Earth 2.0 fait partie. Ce forum est dédié à ce village (earth2.0) et non à l'ensemble des villages (non ?).
Donc, de mon point de vue, ça ne semble pas être une mesure nécessaire...
(le message est trop formel peut-être, j'en suis désolé)
Rien à voir avec le lien hypertexte qui ne porte pas le même titre. Soit tu cliques sur village et tu ouvres sur village, soit tu cliques sur earth.2 et tu ouvres sur earth.2. Je parle d'interface, pas de contenu.
Désolé, je viens de comprendre... ^^"
Dans ce cas, oui, je suis tout à fait d'accord... A moins que la page d'accueil du village ne soit plus un forum, mais une sorte de carte avec une disposition géographique des villages (représenté chacun par une maison?), de l'Assemblée, ... un vrai village, quoi =)
3722e parole : Les Aires d'Éther sont un ensemble de communautés reliées à la Noosphère. Elles accueillent Esprits et idées.
Tout est pur. Tout comme tout est impur. Le Bien et le Mal n'existent pas dans cette dimension. Chaque chose est faite pour demeurer digne d'attention au même titre qu'une autre.
Esprit : Structure fragmentaire issue de l'Âme. Constituée d'idées, de pensées et d'émotions.
Seul compte l'échange de points de vue, d'informations. Ainsi, rien n'est caché. Tout est potentiellement un objet de discussion.
La violence n'existe pas en Éther, car on communique, on discute. Tout simplement. C'est pour cette raison que les Esprits sont plus évolués que les Corporels. C'est pour cette raison que les Esprits sont proches de l'Âme. Cependant, les Corporels ont un usage double du langage : Communiquer ET Modifier leur corps. La plupart des Corporels n'en sont même pas conscients...
Les Mots sont puissants. Bouddha, 4e du nom, le savait.
Les émotions des Esprits et des Corporels ne sont pas exactement les mêmes :
Lorsqu'un Corporel ressent une émotion, il se laisse envahir entièrement par celle-ci pour la ressentir dans toute son intensité. Sa façon de penser est alors altérée, subjective et donc potentiellement violente.
Les émotions des Esprits sont plus semblables à des Essences sensitives. Un Esprit est parcouru par une sensation, en prélève l'essence et la relâche. L'essence ainsi prélevée est assimilée à ses pensées.
Je le rappelle : Un Esprit est un conglomérat d'idées et d'émotions. Cela ne veut pas dire qu'il ne vit pas. Au contraire, un Esprit est vivant. Il se meut et se nourrit. Oui, les Esprits assimilent les idées et les émotions qui traînent comme les Corporels consomment leur "nourriture".
5912e parole : Tout est Cycle.
Un Esprit peut s'incarner dans un Corps : s'il est avide de sagesse, il s'incarne dans un arbre; s'il est avide d'émotions, il choisit un animal; s'il est avide des 2, il choisit l'Homme, ou le dauphin ou une autre espèce intelligente, sociale,... Une fois le Corps assez usé, l'Esprit incarné se décharne ( on dit qu'il meurt en langage Corporel) et revient en Éther. Là, il fait le point pour enrichir l'Âme. Et ainsi de suite...
Les Esprits peuvent voir le monde des Corporels, mais au ralenti, c'est pourquoi les idées se meuvent largement plus vite que la lumière.
Que faire en pleine nuit, poursuivi par une goule en pyjama et habillé d'un simple caleçon car la surprise a fait que ? Je me le demande. Sauf que dans ce cas précis, je n'ai pas eu le temps de m'habiller et l'immonde créature m'a chassé de ma chambre, me contraignant ainsi à fuir dans les rues du village avec pour seul vêtement un caleçon blanc orné de cœurs rouges à 4h du mat'. Je dois vous le dire, tout cela était assez éprouvant tant pour ma pudeur que pour ma survie...
Je ne sais pas. Je ne sais rien, et pourtant, je sais. J'en sais des choses, mais qu'est-ce qu'elles sont inutiles!!!
Putain d'envie de hurler dans les coins de rue de Londres avec pour témoin notre ami Jack l'éventreur qui nous guidera vers la voie de la moindre perversité. Soupir. Que faire ? Se pendre à cet arbre calciné dont seules deux branches se battent en duel pour affirmer la supériorité de leur camp. Les humains sont pareils. Ils se battent pour s'affirmer alors qu'ils viennent du même arbre !!!
Connerie sur connerie, j'enchaîne les anecdotes incertaines et maladivement maladroites. Que faire ? A part gueuler à Enrik que cela ne sert à rien de crier à tout va que nous l'aurons pas... Qu'il est têtu ce petit, c'est affligeant. Il se bat intérieurement et il croit qu'il s'agit des autres. Il ne fait rien d'autre que de se battre contre lui-même. Le problème est qu'il ne s'en rend pas compte. Il s'acharne à lutter contre lui-même ainsi que Pauline qui lutte contre l'économie préventive de sa mère. J'en peux plus. Soupir.
Ça pique, c'est atroce. J'ai les mains moites, je joue avec mon appareil buccal depuis que je me suis levé ce matin en trombe également. Mais cette fois-ci, ce n'était pas pour m'échapper d'un rêve, non. C'était pour me préparer au plus vite afin de ne pas manquer la réception à quatorze heures : Pauline est arrivée et tout s'est organisé dans mon dos le matin même. Un après-midi hilarant et riche en délires.
Je me sens vide, j'ai mal à la tête. Je crois que j'ai besoin d'une pause...
Il ne suffit pas de penser que l'on souffre pour que cette douleur s'estompe, il faut trouver un moyen, une solution qui la fasse disparaître. Ma peine, je la dois à plusieurs choses, comme la solitude qui me hante lorsque mes amis ne sont pas là. Tout ceci est pitoyable. Pourquoi devrais-je m'apitoyer sur mon sort alors que je vis ? Je n'en sais absolument rien. Ah que nenni ! Il est tant d'horreurs que l'adolescence abrite, c'est insupportable, c'est même intolérable. Certains choisissent la mort plutôt que d'endurer cela. Pour ma part, j'ai choisi, pour le moment, la carte de la vie mais l'option opposée reste tout de même d'actualité. Si un jour je devais mourir, je pense que ce serait d'ennui. En effet, cette plate vie parsemée de brefs rayons lumineux me met le moral à bas.
J'ai faim... Et alors ?!! Ce n'est pas une raison pour aller manger ! Plutôt mourir que de supporter, ne serait-ce qu'un seul instant, ce regard méprisant de la foule pendant qu'on tient son plateau en cherchant désespérément une place où s'asseoir. Mais même en étant assis, la sécurité n'est qu'illusoire et certains regards noirs et sourires jaunes fusent et se moquent éperdument de nous... ou plutôt de moi.
Une autre chose pourrait être la source du prolongement de cette peine qui m'envahit. Je l'aime... Je l'aime tellement que chaque moment passé sans elle m'emplit de tristesse et de mélancolie. Je crois que je redeviens emo, ce qui n'est pas vraiment bon signe... J'ai même repensé si j'allais, hier soir, recommencer à me scarifier les avant-bras. Que de malheur en ce bas monde...
C'est à croire que je suis bel et bien une erreur de la nature, vouée à être repoussée telle un monstre tout au long de sa longue et triste agonie qu'est la vie. Une vie triste, certes, mais parsemée de quelques éclaircies qui m'empêchent de franchir le pas, de ne pas courir à ma perte en la rencontrant, Elle, avec sa faux et son linceul crasseux...
Il fut une fois une petite Violette, aimant à déployer ses jolis pétales sous les doux rayons du soleil. Elle regardait les autres fleurs autour d'elle et, avec un sourire triomphant, se félicitait d'être la plante la plus belle et la plus colorée de la jardinière. Cependant Gros-Doigts mit, un jour, une ravissante Tulipe jaune en terre juste à côté de la petite Violette. Cette dernière, très jalouse de sa nouvelle rivale qui lui souriait d'un air niais, voulut tout d'un coup devenir plus grande, beaucoup plus grande. En effet, sa taille était dérisoire à côté de l'immense Tulipe.
Elle commença donc par puiser plus d'eau dans la terre humide de la jardinière. La situation qui suivit en devint presque comique : les larges pétales de la Tulipe se regroupaient en hauteur alors que la Violette déployait ses tout petits pétales du mieux qu'elle pouvait, si bien qu'on apercevait la totalité de ses étamines. Les jours passèrent et la Violette avait poussé de quelques centimètres. Puis un jour, la Tulipe se courba pour voir sa voisine mais elle ne vit que l'empreinte d'une chaussure de bébé Gros-Doigts.
Il était plutôt grand, mince, avec une grâce à chacun de ses mouvements à en faire pâlir les danseurs de Moscou. Cependant, il n'était pas comme les autres garçons, cela se voyait d'ailleurs au premier coup d'œil. En effet, bien que ses cheveux soient noirs naturellement, des mèches rouges et violettes mettaient en valeur un joli contraste. Ses yeux verts, presque cachés par une longue mèche, étaient soulignés par un fin trait au crayon noir. Ces yeux que l'on devinait à peine à travers une tignasse bien coiffée, lui donnaient un air vif mais triste aussi. A ce moment-là, il fixait le la fenêtre de sa chambre, l'air pensif. Ses piercings, symbole de ce qu'il affirmait être et dispersés à divers endroits du visage, lui démangeaient quelquefois, quand il était gêné... Ses goûts vestimentaires pouvaient paraître étranges aux yeux de la "foule", comme il disait, mais pourtant il n'était pas le seul à porter des slims et des t-shirts "serrés". Même ses chaussures étaient serrées à fond ! Selon les gens soit-disant parfaits, il est vrai que nous parlons ici d'un cas assez spécial. Mais lui. Lui, n'était pas du même rang qu'eux : il était quelqu'un.
La musique résonnait dans la chambre. 15h. Pendant que le beau brun était étalé sur son lit moelleux, les hurlements de son chanteur préféré s'engouffraient dans ses oreilles : cela l'apaisait profondément. Il regarda encore une fois les énormes bleus qu'on lui avait cordialement fait moins d'une heure auparavant et les larmes commencèrent à lui brûler les yeux. Il prit alors une fine lame de rasoir et la sang coula, coula.... Mais le mal était toujours là.
L'espérance est la plus grande de nos folies. [Alfred de Vigny]
Il suffit de lever la tête un instant pour comprendre qu'il vaut mieux la baisser.
Je ne prétends pas être quelqu'un. Je dis juste que je deviens quelque chose. Évidement, je ne suis pas, puisque être est un stade absolu. Je deviens.
Je ne possède rien. Je ne possède personne. Je n'appartiens à personne. Le droit de propriété n'est qu'un concept européen qui n'a ni queue, ni tête. Seuls les autres peuples ont compris qu'ils font partis du monde et non qu'ils le possèdent. L'homme occidental se croit supérieur et tout-puissant. Il y a des risques à vouloir monter aussi haut : il risque de tomber bien bas. Le Meilleur des Mondes en est une illustration. Notre civilisation occidentale a besoin d'apprendre des autres peuples du monde. Nous avons sauté la cinquième étape de la civilisation : l'apprentissage du respect de toutes choses. Il faut agir tant qu'il en est encore temps.
Il était une fois, un garçon
Qui vivait entouré d'abrutis.
Certains, des fois, le tabassèrent
Pour n'avoir commis aucun impair.
D'autres aussi, pour le remercier
D'être malgré lui, leur punching-ball,
Mirent sa tête en bel état.
D'autres enfin, prirent une taule
Et achevèrent son air béat.
Dans ma tête sonne l'amour, Au rythme d'une musique de velours. Dans mon cœur se battent des idées, Qui n'ont pas coutume d'exister... Quand ma tête se perd dans mon cœur, Ma tête tourne, j'ai mal, j'ai peur...
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(lire 1 ligne sur 2)
Un petit garçon se promène,
J'ai peur.
Se croyant en jardin d'Eden
Peur de ne pas être remarquable.
Et se réjouit d'un hymne à la joie.
Peur que tu finisses par me détester.
Dès lors s'interpose une voix
Peur de commettre l'irréparable.
Valsant de mélodie en mélodie
Peur d'aimer ( j'ai tout oublié ).
Pour en démasquer l'auteur ici,
Peur que tu puisse comme un salaud me voir...
Et embellir les yeux d'un amoureux
Je ne suis pas parfait.
Jusqu'à ce qu'il pleuve nuée de pieux
Je m'en excuse...
Transperçant son petit cœur creux,
Je finis ainsi ce poème,
L'anéantissant sans qu'il n'y ait eu de On.
Pour toi ma seule muse...
A l'amour si gracieux ma vie sourit
Pour que j'aille dans tes bras m'endormir,
Humant l'odeur de ton parfum divin
Et tes yeux faisant mon coeur tant grandir.
L'ombre de la nuit m'avait envahi
Et j'ai malgré tout cru en ton amour
Qui a su me redonner des ailes,
Qui a su m'aider à me relever.
Cet amour si fort m'a revigoré.
Je t'aime, sans aucun préjugé sexuel
Que cachent tant ; tu le sais, mon amour
Je me dois d'espérer,
De vivre à tes côtés
Jusqu'à l'éternité...
Là, un joli petit emplacement :
Pour qui, pourquoi, comment ?
Nul ne sait, nul ne prétend
Comprendre ce monde si lent.
Les étoiles filent à vive allure,
Vrombissant d'ondes pures,
Symbioses de musique fine,
Synthétisant la cosmosymphonie.
Que veulent-ils, que veulent-elles ?
Nul ne sait pourquoi sont elles belles,
Par inadvertance, elles s'entrechoquent
Pour réaliser une seule feuille de coke.
Il ne faut pas lutter contre le Mal, il faut le changer... C'est pareil pour le Système, il faut le rendre meilleur au lieu de vouloir le détruire...
Asleep
Je suis fatigué. Fatigué, après cette longue journée d'ennui que j'ai utilisée pour essayer de me motiver. Je n'arrive plus à me concentrer, je ne veux pas travailler. Pas même mon cours de japonais que j'ai découvert la veille sur un site. Mon esprit s'engourdit peu à peu, mes bras se reposent sur le bord de mon bureau. Pourtant, je viens de manger...
-Tes paupières sont lourdes !
Mes yeux se ferment un instant, puis se rouvrent péniblement. J'ai du mal à rester droit, mon buste se penche et ma tête s'alourdit. Le décor de ma chambre s'efface peu à peu, puis le bureau, puis la lampe.
-Dort !
Que dois-je faire pour qu'on me comprenne? C'est pas parce que j'ai des absences pendant que je parle qu'il faut me juger inintéressant.
Je ne veux pas être jugé tout court. Bon, et bien puisque vous m'emmerdez tant que ça avec mon apparence, je vais m'habiller comme je rêve de m'habiller dans mes fantasmes les plus fous. C'est à dire à la mode de 1643.
Voilà !
Et s'il m'arrive de porter un sarouel, et que ça vous plait pas, vous pouvez aller vous planter un ver de terre dans les narines.
Voilà, j'ai fini pour cette semaine...
Les larmes coulent. Quelle heure est-il ? Je ne sais pas... je ne sais plus. Une goutte ruisselle le long de ma joue, tombe et se brise. Mes yeux me brûlent, ma tête me fait mal et mon nez commence à couler. Le néant s'installe peu à peu dans ma tête, des voix hurlent à en faire exploser les tympans. Je m'effondre pitoyablement sur le sol, le front légèrement égratigné.
-Lève-toi !
Les hurlements s'intensifient, deviennent de plus en plus aigus. Ma tête va exploser. Je plaque mes mains contre mes tempes en espérant que la douleur parte. Mais c'est trop tard. Elle est déjà entrée dans cette pièce. Le temps s'est comme arrêté, stoppé. Je lève une dernière fois les yeux avec beaucoup de peine. J'essaye de crier mais il ne se passe rien. Rien.
-Fuis !
La panique s'insinue dans mon cerveau et réveille l'instinct de survie animal au plus profond de moi. Il me dit de me lever. Je me lève vivement, le souffle haletant. Il me dit de courir vers le téléphone. Je me précipite vers la cuisine, le coeur battant à tout rompre. Je trébuche et plonge la tête la première sur le sol. Je me met à quatre pattes, cherchant à tâtons le téléphone. Il devrais pourtant être par là. J'ai trouvé quelque chose. Mais ce quelque chose est glacial. Je relève ma tête et je contemple avec horreur le spectacle macabre qui se joue à moins d'un mètre de moi. Est-ce un main ? Une main humaine ?
Il est 18h35. Enioth se demande ce qu'elle peut bien bien faire. "C'est pourtant bien elle qui a fixé l'heure de rendez-vous à ce que je sache." Le parc était désert. Les arbres murmuraient quelque discussion futile que le vent rendait sifflante.
Le ciel, parsemé de quelques nuages, semblait s'assombrir à mesure que le temps passait. A ce moment-là, il était d'un ton bleu foncé, tel un drap recouvrant une parcelle de terre flottante au milieu de l'univers. 18h59. Enioth s'est assoupi sur les racines du vieux chêne où il avait rencontré, pour la première fois, celle qui serait pour lui un amour inégalé, une confidente, une amie...
Mais si elle ne venait pas, c'est surement que quelque chose l'en avait empêché. Ainsi le jeune garçon aux piercings ferma les yeux, essayant de chasser de sa pauvre tête les tourments que lui causait son imagination et plaquait ses mains sur sa tête, les yeux en larmes. "Suis-je bête, elle ne viendra pas..."
Un homme se promène le long du chemin, dans un parc. Il est 16h, un gros nuage cache momentanément le parc des rayons du soleil. S'ensuit alors une ambiance de semi-obscurité laissant présager une fin d'après-midi sombre et funeste. Le jeune blondinet regarde ostensiblement à gauche, puis à droite à l'aide de ses yeux d'un bleu azur défiant le saphir, et finit par s'arrêter, pétrifié.
Son sang ne fait qu'un tour, une sueur froide court le long de son dos. Son regard azur se porta alors sur son avant-bras: il a la chair de poule. A-t-il réellement vu cette ... chose ? C'est incroyable, incommensurable, indescriptible. Aucun des mots présents dans son vocabulaire ne saurait décrire un tel évènement. Le blondinet essuie son front déjà en sueur et s'assied le dos contre le tronc d'un grand chêne.
Soudain, il sent une forte démangeaison dans le dos. Mécaniquement,, le jeune homme se lève et commence à se gratter le dos. Quelle n'est pas sa surprise lorsqu'il se rend compte qu'il s'agit d'une énorme et dense colonie de fourmis rouges. Pris de panique et dans le feu de l'action, le blondinet enlève rapidement son t-shirt bleu et s'engage dans une course effrénée jusqu'à perdre haleine. Il sait maintenant, qu'il s'agit d'une question de vie ou de mort. Il continue ainsi de courir tout en sachant que quelqu'un ou quelque chose observe attentivement chacun de ses faits et gestes. Par moments, il s'arrête pour reprendre son souffle et regarder si son prédateur n'est pas inaperçu.
A présent, le sourire au lèvres, l'espoir perce jusqu'à son cœur : on peut apercevoir la route nationale qui mène à la ville. Le garçon cligne alors des yeux un bref instant. Bref, mais largement suffisant pour que son décor, source d'espoir, se transforme en véritable cauchemar : en effet, il n'y a pas de bonheur au milieu du cratère d'un volcan en début d'éruption...
Et ma cravate s'est coincée dans sa culotte. Merde, sa mère est en train de monter l'escalier ! Vite, des ciseaux dans le coin ? Ouf, quelle chance qu'elle soit encore étudiante. Maintenant, il nous faut trouver un alibi d'urgence : le jeu d'échecs est à portée. Seulement 3 mètres et le tour est joué... Merde, la poignée tourne ! Je m'empare du jeu et... ouf, ce n'était que le chat. La porte s'ouvre un peu plus jusqu'à être entièrement ouverte : un frisson me parcourt la joue droite et son père s'avance dans l'encadrement de la porte. Finalement, je crois que j'aurais préféré sa mère...
Bon, ben, je lance un appel à se rencontrer n'importe où dans le sud-ouest pendant les vacances d'hiver.
Bien sûr, c'est juste un appel, et j'espère que ceux qui sont intéressés donneront leurs dates pour qu'on puissent resserrer sur 2-3 jours =)
Voilà.
Après, niveau programme, autant regarder quelques films (votre préféré, c'est mieux ^^), et même pourquoi pas, des jeux de société. J'écris ça pour dire qu'on va pas juste parler indéfiniment non-stop. Et sortir se ballader en hiver, faut une bonne préparation... Bref.
Voilà un thème qui n'a pas été abordé dans ce forum. Pourtant, et je m'en excuse, j'aurai du m'en rendre compte il y a bien longtemps, puisque c'est cet univers qui a bercé mon enfance (si on exclut Peter Pan ^^). Je parle bien sûr, de ces reptiles redoutables et légendaires : les Dinosaures.
Pour commencer, je vous invite à feuilleter cette page Wikipédia très détaillée sur le sujet (à mon avis, ça doit servir aux exposés en sciences).
Ensuite, voilà quelques sites d'informations sur ces bêtes légendaires ^^
Je ne suis pas trop d'accord avec cette proposition, car le village global est censé être un ensemble de villages, dont Earth 2.0 fait partie. Ce forum est dédié à ce village (earth2.0) et non à l'ensemble des villages (non ?).
Donc, de mon point de vue, ça ne semble pas être une mesure nécessaire...
(le message est trop formel peut-être, j'en suis désolé)
Et si... on ouvrait les frontières de ce site au grand public ? ça serait bien qu'il y ait un peu plus de monde ici, histoire de créer des ateliers pour faire des synthèses d'article ou autre...
Sinon, je propose qu'on partage tous les documents intéressants qu'on peut trouver pour faire une bibliothèque. De mon côté, j'ai ouvert un compte google pour recueillir mes docs :
l'adresse associée est [email protected]
et le mot de passe, ben y'a qu'à demander par mp...
Les docs sont triés en 4 catégories pour le moment:
- Mdm
- Sei-y-a (cia)
- Marmite (sorte de fourre-tout ^^)
- Bricolage technique (docs sur l'énergie, l'électricité, l'agriculture,...)
Alors comme ça on ne pourrait pas se procurer de biens matériels sans passer par le système en place ? Ben, j'ai envie de dire que c'est tout à fait possible, à condition de chercher !
Évidemment, ça ne se trouve pas dans tous les coins de rues, si j'ose dire... Mais pour ceux qui sont près des producteurs (agriculteurs, menuisiers, forgerons, ...), il leur suffit de se fournir directement chez les producteurs. En ce qui concerne la monnaie, il me semble que certains endroits en France ont créé leur propre monnaie locale afin de sauvegarder et développer le commerce local et l'agriculture locale.
Quant aux banques, de mon point de vue, elles ne devraient pas exister: à comprendre dans le sens où elles servent à stocker l'argent (à la base...) mais qu'ensuite elles jouent au casino mondial (la Bourse donc) pour soit disant, s'enrichir et proposer aux gens de gagner de l'argent d'une année à l'autre... Seulement, pour gagner de l'argent, les banques s'endettent (c'est le principe de l'argent-dette) : donc, certes, les banques ont un énorme capital, mais elles ont endetté les États et les gens de 10x leur capital initial... (en comptant les produits dérivés).
Voilà pourquoi je pense que le seul aspect positif des banques est de conserver l'argent des gens en "sûreté". Ceci dit, cette fonction, pas la peine de la donner aux banques, on peut très bien le faire nous même, non ?
Sinon, pour le système agricole alternatif, il y a les AMAPs, les producteurs Bio, ...
En fait, ce qu'il faut commencer par faire, c'est créer un réseau (de contacts) mêlant producteurs en tous genres, juristes engagés, et journalistes indépendants.
Bien sûr, il en existe des réseaux comme ceux-ci, mais est-ce que tout le monde est vraiment au courant que ça existe ? La plupart des réseaux sont personnels, c'est à dire que ce sont des gens qui se font eux mêmes une liste de contacts intéressants, or, ce que "je voudrais", c'est une liste ouverte, accessible à qui s'y intéresse.