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| Messages et articles de Zyaama Suurya
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| Et ça part en couille dans tous les sens, le désespoir se fait sentir grandement, et pour ceux qui ont la chance de le sentir ils ne peuvent malheureusement que regarder et attendre, tellement l'écoute aussi simple qu'elle soit est devenue une valeur rare en ce monde, de génération en génération, de perspective en perspective nous en oublions d'ou nous venons, nous ne voyons plus ce centre ou il n'y a rien, mais ou tout est encore à construire.
C'est dans l'écoute du silence que le bruit devient harmonique, c'est en observant l'obscurité que l'on découvre sa propre lumière, nos propres ombres nous gouvernent car nous avons réussi à oublier ce qu'elles étaient, et la peur s'installe qui emmène au loin de ses rivages pour nous plonger désespérément vers les plus floue mirage.
Quand on me dit que tout est question de point de vue, ma peau se fletrit, je ressens des nausée et je me pose la question, comment en est on arrivé là? alors que la vérité est une choses si simple pourquoi devraient elle être divisé en plusieurs milliards de subjecitivité? nôtre individualité n'es t'elle pas fruit et arbre du cosmos, qui plonge se racine dans l'éternel unité? Pourquoi avoir un point de vue quand on sait tout ce qu'il se passe et qu'on sait que les mots ne veulent plus rien dire, à force de s'égarer du centre, de l'écoute tel qu'elle est, nous deformons tout, toute dérive devient donc justifiable, mais un jour comme toujours la vérité éclate et fait ravage et plus elle se terre dans les profondeur, plus elle risque de jaillir et d'éclaté brusquement, de là même manière que sûr d'autres plan, l'eau qui se condense produit des pression énorme une fois laché.
Nous avons tout à observer tout à apprendre et pour arriver, nous nous devons de rester en vie, et de ne pas laisser s'envoler cette flamme qui nous nourit tous.
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