Messages et articles de Akasa
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12.11.2013 - 16h23   

Le fait d'utiliser des postures avec ses mains, doigts, et autres comme la langue...
Existe depuis fort longtemps, que l'on nome mudra en sanskrit, qui signifie « signe » ou « sceau », elle se rattache à la culture védique.

Ces positions utilises en partie les méridiens du corps pour favoriser telle ou telle énergies...
Ok, même si tout ce panel d'homme politique ne doivent pas être des adeptes de la culture hindouiste ou quoi, il arrive très souvent que l'on face certains signes de manière totalement inconsciente ou alors par mimétisme.


Mudra de Karana est le mudra qui expulse des démons et enlève des obstacles tels que la maladie ou les pensées négatives.
Il ressemble beaucoup au symbole cornu... et pourtant




Knowledge mudra ou mudra de la connaissances
Ce mudra stimule la capacité d'apprendre et d'enseigner. C'est le mudra de la connaissance. L'utilisation de ce mudra rend plus facile pour les deux parties de votre cerveau pour relier de nouveaux neurones ensemble, (formant ainsi des connexions qui sont la base de l'inspiration et de l'agrégation de nouvelles connaissances). Ces connexions neuronales vous permettent également de communiquer des informations plus facilement et plus efficacement. Le Mudra connaissances est également utile pour l'acquisition de connaissances des Cieux, pour apprendre inconsciemment, et pour permettre à votre Soi Supérieur vous guider. Vous remarquerez que de nombreuses statues de dieux bouddhistes sont indiquées par ce mudra.

Le Mudra connaissances est effectué avec les paumes vers l'avant et les doigts pointant vers le haut. Appuyez votre pouce et l'index ensemble aux conseils, leur permettant de former une courbe douce. Respirez normalement, en se concentrant sur la zone où vos doigts toucher. Videz votre esprit et être en paix."



Et je vous met celui ci car c'est probablement un des plus connu mais c'est pas mal de savoir à quoi il sert.


Il permet de connecter les méridiens du poumon et de l'intestin. Connectant ainsi les éléments bois et métal ( très utile en saison d'automne )

guérison mudra
La guérison Mudra est souvent utilisé par le Bouddha appelé Sange Menla. Sange Menla a la science de la guérison pour les bouddhistes. Il aidera votre corps à créer un environnement propice à la guérison, de sorte que les solutions médicales et alternative que vous employez ont une meilleure chance de travailler. Il n'est pas destiné à être un remplacement pour solutions médicales, il prend en charge ces thérapies.

La position de la main pour la guérison Mudra est le même que pour le Mudra connaissances, mais vos doigts doit être tourné vers le bas. Asseyez-vous avec les jambes croisées, la main gauche posée sur l'endroit où vos jambes croisées, paumes vers le haut en face de votre Dan-tian, pendant que votre main droite est placée dans la forme de la mudra, avec votre poignet droit appuyé sur votre droite genou. Respirez lentement et profondément, et méditer."


source en anglais.

Et si ça branche voici un Pdf sur les mudra
LES MUDRAS. ÉTUDE DES GESTES SACRÉS

08.11.2013 - 13h40   

Super un post sur les plantes Médicinales =)

Pas besoin d'attendre d'avoir quelque chose pour en prendre ( en infusion, Huile Essentiel ( HE ), en salade etc... )

Allez avec l'automne et l'hiver qui arrive je vous passe une " recette " qui vous bouste le système immunitaire en moins de deux et vous remettrait un cheval sur pattes.
Infusion de thym, le thym est une plante fantastique qui agit sur plusieurs front à la fois. Les voies respiratoires, et intestinales ( au top après les lourds repas de fin d'année ).
Avec ça on ajoute, une cuillère de miel ( ou plus pour ceux qui aiment quand c'est bien sucré ) sur laquelle on dépose, une goute d'Huile Essentiel de Pin Sylvestre, et une d'Arbre à thé et une ou deux goutes si on aime quand ça l'emporte de Menthe Poivrée.


Une autre plante super cool en infusion c'est la Sauge ( attention aux femmes enceintes ), elle est Antibactérien ; Anti-inflammatoire ; Antiseptique ; Antispasmodique et cholérétique (augmente la sécrétion biliaire, donc très bien pour digérer en fin de repas ) ; Antioxydant ; Calmante ; Diurétique ; Stimulant général ;
Tonique ; Astringent ; Action sur les glandes sudoripares ; Activité oestrogénique ;

- Traiter les troubles digestifs (spasmes gastriques et intestinaux, ballonnements, flatulences, éructations, digestion difficile) ;

- Traiter l'inflammation des muqueuses de la bouche (aphtes, gingivites), du nez et de la gorge (amygdalites) ;

- Traiter les infections du système respiratoire ;

- Traiter les règles irrégulières et peu abondante, elle va déclencher les contractions, donc attentions aux femmes enceinte. Toute fois elle peut être recommandée avant l'accouchement. Attention pour les règles douloureuses il serait préférable de prendre de l' HE d'Estragon une goutte sous la langue et une goute en massage au niveau des ovaires et c'est radicale, renouveler l'opération plusieurs fois si besoin, l'Estragon aide aussi à la digestion.

- Réduire les bouffées de chaleur de la ménopause ;

- Stopper la lactation ;

- Traiter la transpiration excessive ;

- Améliorer les capacités mémorielles ;


( infusion de Sauge, de Thym citronnée et Verveine citronnée )

La sauge peut aussi aider dans les sevrages du tabac.




Pour préparer une tisane ou une infusion
- Placer les plantes dans une théière ou autre récipient.
- Verser la quantité voulue d'eau bouillante sur les plantes.
- Couvrir hermétiquement pour garder les huiles essentielles et laisser infuser pendant 5 à 10 minutes selon les plantes.
- Filtrer avec un tamis, passoire ou chinois.
Il vaut mieux boire sa tisane non sucrée ou à la rigueur sucrée avec du miel.

Attention ! La décoction est aussi une préparation à base de plantes mais, à la différence de l'infusion, les plantes mises dans l'eau froide vont bouillir durant 5 à 10 minutes selon les plantes. En règle générale, on prépare une décoction avec les racines, tiges ou écorces. "







31.07.2013 - 21h24   
290 000 euros pour un hamburger unique au monde

source: metronews.fr

On parlait de nourriture fabriquée" dans l'aile ou la cuisse, un film français de Claude Zidi sorti en 1976.
Aujourd'hui c'est possible !!
Du steak d'origine éprouvette, vue comme ça plus de mauvaise surprise ah ah ah





BIOTECHNOLOGIE - Un premier hamburger éprouvette réalisé avec un steak créé à partir de cellules souches d'une seule et même vache va être servi dans un restaurant de Londres cette semaine.
Hamburger
Il faut six semaines et 290 000 euros pour fabriquer un hamburger avec un steak composé de cellules souches. Photo : Jason Alden / Rex Features / SIPA

Garanti sans viande de cheval. Un hamburger unique au monde, et au prix à l'avenant (290 000 euros), va être servi cette semaine dans un restaurant de Londres. Il sera réalisé à partir de viande créée en laboratoire et réalisée sur la base des cellules souches d'une seule et même vache. Ce "hamburger éprouvette" sera composé d'un steak d'environ 140 grammes créé à partir de 3 000 petits bouts de viandes fabriqués à partir de cellules souches dans un laboratoire de l'université de Maastricht, en Hollande, rapport le Daily Mail.

Le résultat de cette expérience est un steak qui ne ressemble pas vraiment à un steak. En lieu et place d'une couleur rouge et de sa texture habituelle, le steak créé artificiellement sera plutôt gris et aura la consistance un peu caoutchouteuse d'un calamar ou d'un pétoncle. Avis aux amateurs.

Six semaines pour créer un tel steak

C'est l'équipe du professeur Mark Post, de l'université de Maastricht, qui a créé ce steak unique au monde grâce au mécénat d'un mystérieux businessman qui a versé 300 000 euros au laboratoire de recherche. Cet homme pourrait bien être le premier à goûter au steak dont le prix a été évalué 250 000 livres sterling, soit environ 290 000 euros. Le pain, la feuille de salade, la tranche de tomate, les oignons et les pickles sont offerts.

Il faut compter au total six semaines pour créer cette "pièce de boeuf" unique. Concrètement, le laboratoire a extrait des cellules souches à partir des muscles d'une vache. Celles-ci ont ensuite été placées dans un incubateur pour qu'elles se développent et se multiplient afin de prendre l'apparence d'un tissu un peu collant, assez proche du blanc d'oeuf cru. On étire alors de nombreuses fois cette matière pour la faire "gonfler" pour enfin obtenir 3 000 petits bouts de viande artificielle qui, mélangés à 200 morceaux de graisse animale créée en laboratoire, forment enfin un steak. Bon appétit.

07.07.2013 - 12h48   
Vaccination : La communauté médicale internationale exprime ses doutes


source : Le veilleur _ Vaccination

Un nombre alarmant d'études scientifiques mettent actuellement en lumière les dangers des vaccins. Il ne s'agit plus de mises en garde émanant de mouvements associatifs marginaux ou à tendances sectaires. Non, c'est maintenant la communauté médicale internationale elle-même qui exprime ses doutes, voire ses inquiétudes.

Le British Medical Journal, une revue mondialement connue et respectée pour sa rigueur scientifique, a publié le 30 janvier 2013 une étude démontrant que le vaccin contre la grippe H1N1 Pandermix avait causé des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants, une maladie grave et incurable, sans que cette catastrophe ne soit compensée par des vies sauvées par ailleurs par ce vaccin. (1) Une association, quoique plus faible, a aussi été établie entre le vaccin contre la grippe et la maladie de Guillain-Barré (paralysie). (2)

Le Gardasil, vaccin contre papillomavirus et le cancer cervical, est aujourd'hui au centre d'un scandale qui n'en finit pas. Selon le décompte effectué par l'association Sanevax, ce vaccin est relié à 29.003 effets adverses graves et au moins à 130 décès. (3)

Le vaccin contre l'hépatite B, lui aussi, est fortement critiqué. Il est accusé de tuer les cellules du foie, alors qu'il est précisément supposé protéger contre une maladie du foie. (4) D'autre part, le 21 novembre 2012, le Conseil d'Etat français a reconnu que l'aluminium dans le vaccin hépatite B avait été la cause d'une terrible maladie invalidante, la myofasciite à macrophages, dont souffre depuis 1996 un employé de la ville de Paris, permettant à cette personne d'être indemnisée. (5) Des milliers de personnes, qui n'ont pas eu l'idée de porter plainte, pourraient être dans le même cas.

Les vaccins peuvent en effet contenir diverses substances notoirement toxiques même à faibles doses comme le formaldéhyde (cancérigène), le mercure (neurotoxique), l'aluminium (neurotoxique) ou le phénoxyéthanol. Les jeunes enfants sont particulièrement vulnérables à ces substances, qui peuvent affecter de façon dramatique leurs fonctions nerveuses et immunitaires.

Ces molécules sont employées comme adjuvants pour renforcer l'efficacité des vaccins en stimulant la réponse immunitaire. Ainsi les personnes prédisposées génétiquement peuvent voir leur immunité s'emballer et déclencher alors une maladie auto-immune, comme la fameuse myofasciite à macrophages, le syndrome de Guillain-Barré ou le syndrome des antiphospholipides, des effets secondaires rares et graves mais parfaitement connus.

L'aluminium pourrait aussi être une cause majeure de maladie d'Al zheimer et de cancer du sein, ce qui expliquerait les proportions épidémiques que sont en train de prendre ces maladies dans les générations d'après-guerre.

Un rapport risque/avantage douteux

Ces effets indésirables sont toutefois présentés par les autorités médicales et la grande presse comme bénins par rapport aux « immenses avantages » qu'auraient des vaccins.

L'opinion publique leur prête en effet le mérite de nous protéger de nombreuses maladies infectieuses et d'avoir éradiqué toutes les épidémies qui décimaient autrefois nos pays : typhus, diphtérie, coqueluche, scarlatine, tuberculose, méningite, tétanos et bien entendu les maladies infantiles, rougeole, oreillon, rubéole, etc.

Et pourtant, en dehors du cas particulier de la poliomyélite (qui mériterait un article à elle seule), la vérité scientifique et historique m'oblige à écrire, sans hésiter, qu'il s'agit là d'une pure mythologie.

Les maladies citées ci-dessus avaient cessé de faire des morts à grande échelle bien avant que l'on introduise les vaccins. C'est l'amélioration des conditions de vie, de l'hygiène, de l'eau potable, le recul de la malnutrition et du paupérisme qui expliquent l'effondrement du nombre de morts par ces maladies tout au long du 20e siècle.

Le cas emblématique de la diphtérie

Je ne peux traiter dans cette simple lettre de toutes les maladies et me contenterai d'exemples symboliques. Mais des chiffres similaires à ceux cités ici existent pour les autres maladies pour lesquelles les gouvernements vaccinent à l'échelle industrielle. Les lecteurs qui voudront en savoir plus se reporteront pour cela à l'excellent dossier « Survey on Vaccinations in Europe » dont sont tirés les chiffres suivant. (6)

En Espagne, il y avait chaque année 5000 morts de diphtérie en 1900, mais seulement 81 en 1964, l'année où la vaccination systématique fut introduite.

En France, la vaccination obligatoire contre la diphtérie fut imposée en 1938. L'année suivante, il y eut 15.000 cas de diphtérie puis trois fois plus pendant la Guerre !

En Allemagne, il y avait 100.000 cas de diphtérie par an pendant la Première guerre mondiale. Les Nazis imposèrent le vaccin obligatoire contre la diphtérie en 1939. En 1940, il y avait à nouveau 100.000 cas, et 250.000 en 1945. Après la Guerre, la vaccination obligatoire fut abandonnée et le nombre de malades de la diphtérie baissa régulièrement, jusqu'à 800 annuellement en 1972 (un baisse de 99,2 %).

En Norvège, 555 personnes moururent de diphtérie en 1908, mais seulement 2 en 1939. Le pays fut alors envahi par l'Allemagne, qui imposa le vaccin : le nombre de personnes touchées par la diphtérie monta à 22.787 cas en 1942 et près de 700 morts.

Ces chiffres indiquent que la diphtérie se répand lorsque les conditions de vie se dégradent (guerre), et que les campagnes de vaccination sont malheureusement impuissantes à enrayer le phénomène. En revanche, le retour à la prospérité et à une meilleure hygiène de vie s'accompagnent d'un recul de la maladie, jusqu'à une disparition quasi-totale.

Ils indiquent également que les gouvernements sont capables d'introduire la vaccination systématique de la population pour une maladie quasi-inexistante (cas de l'Espagne en 1964, de l'Allemagne en 1939).

Un phénomène général

Les mêmes phénomènes ont été observés avec les autres grandes maladies infectieuses.

La fièvre typhoïde, qui décimait les armées de Napoléon et fit 5 à 7 000 morts par an pendant la Guerre civile espagnole (à partir de 1937) fut quasiment éradiquée à la fin des années 50, sans qu'il y eut de campagne importante de vaccination.

Le vaccin contre la coqueluche ne commença à être administré que dans les années 40 aux Etats-Unis. En 1953, il fut autorisé en Angleterre. A ce moment-là, la coqueluche faisait 25 morts par million d'enfants de moins de 15 ans, contre 1500 en 1850. Une baisse de 98,5 % sans que le vaccin y soit pour quoi que ce soit.

En Espagne, la coqueluche ne faisait plus que 33 morts par an en 1965 quand furent lancées les campagnes de vaccination DPT (diphtérie, coqueluche, tétanos). La scarlatine ne fait pratiquement plus aucun mort depuis les années 60 bien qu'il n'y ait jamais eu de vaccin.

En France, les campagnes à grande échelle de vaccination ROR (rougeole, oreillons, rubéoles) furent lancées en 1983, alors que le nombre de décès causés par la rougeole était tombé à 20 personnes par an, contre 3756 en 1906, une baisse de la mortalité de 99,5 % sans vaccin ! En Espagne, 18.473 personnes moururent de la rougeole en 1901, contre 19 en 1981. Les campagnes de vaccination nationales commencèrent pourtant en... 1982.

La tuberculose et le BCG

Mais le cas le plus emblématique reste celui de la tuberculose. Censée être prévenue par le vaccin « BCG », cette maladie a en réalité plus vite régressé dans des pays comme la Belgique et les Pays-Bas, qui ne vaccinaient pas leur population, qu'en France, où tous les écoliers se faisaient vacciner.

Aujourd'hui, alors que le BCG n'est plus obligatoire ni en Allemagne, ni en Angleterre, ni en Belgique, ni au Luxembourg, ni aux Pays-Bas, ni en Espagne, et qu'il n'est imposé en Italie qu'à certains adultes à risque (personnel de santé, militaires...), la France continue à vacciner religieusement des millions d'écoliers chaque année.

Les études de l'INSERM sont pourtant sans appel : le nombre de décès par tuberculose avait déjà chuté de 80 % quand fut introduit le BCG obligatoire le 5 janvier 1950, malgré les très difficiles conditions de vie des années d'Après-Guerre. Les campagnes de vaccination n'ont ensuite eu aucun effet notable sur les courbes de la maladie. Celle-ci a continué à régresser au même rythme qu'auparavant, avec l'amélioration de l'hygiène et la généralisation de l'eau courante. Ce qui n'est pas étonnant quand on sait que le fait d'être vacciné contre le BCG ne protège ni de l'infection, ni de la transmission de la maladie. Les personnes qui meurent aujourd'hui de la tuberculose en France ne sont nullement des personnes qui n'ont pas été vaccinées, mais des personnes marginalisées socialement et souffrant de dénutrition.

Le problème est que le BCG comporte des risques importants d'effets secondaires, raison pour laquelle la vaccination obligatoire a été abandonnée dans les années 70 et 80 (sauf en France, où l'obligation a été supprimée en 2007). C'est en effet un vaccin vivant, qui pose des risques, y compris de décès, aux enfants et aux personnes dont le système immunitaire est affaibli. Une étude réalisée à Barcelone a indiqué une baisse significative des cas de méningite chez les jeunes enfants après l'abandon des campagnes de vaccination au BCG.

Ce n'est donc nullement la vaccination qui a permis à nos sociétés de sortir des grandes épidémies mais la prospérité économique. Celle-ci a permis une amélioration de l'hygiène, de l'alimentation et de l'habitat. Si ces conditions devaient se dégrader de façon significative, il est évident que, malgré tous nos vaccins, on assisterait à un retour en force de ces maladies, exactement comme cela fut le cas pendant la Seconde Guerre mondiale.

La vérité soigneusement dissimulée

Actuellement malheureusement, une industrie gigantesque s'est développée pour assurer la vaccination de masse des populations du monde entier. Cette industrie est d'autant plus lucrative qu'elle est totalement financée par les gouvernements, et que les entreprises qui se partagent le marché sont protégées à la fois par des brevets (dont le respect est assuré par les pouvoirs publics) et par une réglementation touffue que seuls quelques grands groupes armés de bataillons de juristes peuvent comprendre et respecter.

Des milliards de vaccins sont administrés chaque année, et des dizaines de milliards d'euros sont encaissés par les multinationales pharmaceutiques. Pour le seul vaccin contre la grippe A, le gouvernement français avait payé 1,5 milliard d'euros pour 94 millions de doses, ce qui fait quasiment deux doses par citoyen.

A l'achat des vaccins, il a fallu ajouter le coût de :

o la campagne de vaccination pour un montant de 35,8 millions d'euros,
o l'acquisition de respirateurs pour 5,8 millions d'euros,
o l'achat d'antiviraux pour 20 millions d'euros,
o 150,6 millions d'euros de masques,
o 41,6 millions d'euros de dépenses logistiques,
o 290 millions afin d'indemniser les personnels de santé réquisitionnés,
o 59,6 millions destinés aux frais d'information et à la campagne de communication,
o 100 millions de « frais liés à l'organisation territoriale de la campagne de vaccination »,
o et encore 375 à 752 millions d'euros de dépenses liées aux consultations de médecins, à la prescription de médicaments.

Finalement, le nombre de vaccins utilisés n'a été que de 4,5 millions, ce qui est une bonne chose, mais cela veut dire que sur les 94 millions de doses, 89,5 millions sont parties à la poubelle, une fois atteinte la date de péremption. (7)

Ce gaspillage révoltant a été dénoncé par le Professeur Bernard Debré et le député et médecin Jean-Marie Le Guen. Mais la presse a traité l'affaire comme un scandale isolé, sans lien avec la surconsommation systématique des autres vaccins, en France et à travers le monde.

Pas de suivi des accidents liés aux vaccins

De même, personne ne se soucie actuellement des risques réels que vous faites courir à vos enfants en les vaccinant. Et s'ils tombent malades juste après la vaccination, vous pouvez être certain qu'on vous expliquera qu'il s'agit d'une pure coïncidence, y compris s'il y a décès.

Le cas arrive tous les ans à des milliers de parents. Leur enfant se fait vacciner et, dans les heures qui suivent, ils déclenchent de graves réactions pouvant aller des maux de tête aux vomissements, en passant par l'eczéma, l'hyperactivité, les perturbations du sommeil et un peu plus tard une maladie auto-immune incurable ou pire, la mort.

Dans la plupart des cas, les professionnels de santé, non seulement nient le lien avec le vaccin, mais ils ne déclarent même pas l'accident aux autorités de pharmacovigilance (agences responsables de surveiller les effets indésirables des médicaments) puisqu'ils considèrent qu'il n'y a pas de lien.

C'est ce qui est arrivé à la petite Christina Richelle, décédée suite au vaccin Gardasil contre le HPV (papillomavirus), et à tant d'autres personnes que l'on retrouve sur les innombrables sites d'information sur la vaccination. (8)

Un témoignage parmi d'autres, recueilli par l'EFVV (European forum for vaccine vigilance) :

« Je ne peux vous dire mon nom et je ne peux pas vous révéler l'identité de mon bébé parce que j'ai peur que cela me retombe dessus, mais j'ai voulu vous contacter en entendant parler de votre projet, parce que je suis si heureuse que quelqu'un entreprenne quelque chose. Mon bébé est mort dans les 24 heures après avoir reçu son premier vaccin DPT (Diphtérie, coqueluche, tetanos), il y a deux mois. Je me sens si horriblement mal, personne ne peut avoir la moindre idée de ce que c'est. Elle était parfaite. Lorsqu'on lui fit l'injection, elle se mit à crier pendant au moins une heure, d'une façon bizarre. Puis elle parut très fatiguée, s'est endormie profondément, et ne s'est plus jamais réveillée. J'ai commencé à m'inquiéter parce qu'elle semblait dormir plus longtemps que d'habitude et lorsque j'ai voulu vérifier, j'ai remarqué qu'elle avait un peu vomi et qu'elle ne respirait plus. Ils ont du faire une autopsie mais ils n'ont pas pu identifier la cause du décès. Je sais que c'est le vaccin qui l'a tuée. Elle n'avait pas été malade une seule fois jusque là. Mais plus je l'ai dit au corps médical, plus ils sont devenus hostiles. Aujourd'hui, j'ai peur qu'ils me prennent mon autre enfant et je ne veux pas qu'ils m'accusent d'avoir tué mon bébé. Je ne devrais pas avoir à vivre comme ça, c'est horrible. Je suis presque trop terrorisée pour pouvoir faire mon deuil correctement. Elle était si belle. »
Mais c'est très souvent le même scénario : officiellement, il ne peut y avoir aucun lien entre le vaccin et les accidents qui s'ensuivent. La plupart des médecins nieront farouchement l'évidence. Rien ne serait plus facile, pourtant, que de donner à chaque personne vaccinée un petit questionnaire, à renvoyer à l'Agence nationale du médicament, sur lequel elle noterait tous les effets anormaux qu'elle constaterait durant, par exemple, les huit jours suivant la vaccination.

Cela permettrait très rapidement d'établir enfin des statistiques globales sur les effets indésirables réels des vaccins. Dans un cas comme cité ci-dessus, il est vraiment trop facile de déclarer que l'enfant est décédé « de cause inexpliquée » ou encore que c'est la « mort subite du nourrisson ». Parce qu'injecter un vaccin, cela consiste à introduire dans l'organisme non seulement des virus potentiellement dangereux (même artificiellement affaiblis) et des adjuvants que les systèmes immunitaires immatures ne supportent pas forcément.

Mais pour des raisons qui n'ont rien à voir avec votre santé ni le bien commun, et tout à voir avec les comptes en banques des industriels et des politiques, ce type de mesures n'est absolument pas envisagé aujourd'hui par les autorités sanitaires.

Que faire ?

Cela veut-il dire qu'il faille à arrêter de vacciner tous les enfants ? Non ! Car même si on a exagéré les bienfaits des vaccins sur la santé publique, et même si les dangers de la vaccination sont minorés, il existe probablement de nombreux cas où il est raisonnable de vacciner.

Le problème est que l'absence d'études sérieuses sur les risques et bénéfices réels des vaccins obscurcit considérablement le débat. Ni les citoyens, ni les professionnels de santé de bonne volonté, ne disposent aujourd'hui d'éléments fiables pour prendre des décisions éclairées.

Nous sommes donc obligés de jouer à la roulette russe avec les vaccins.

Il semble toutefois raisonnable a priori d'éviter tous les vaccins qui ne sont pas obligatoires, lorsqu'on est en bonne santé. Faire du zèle est coûteux, mais plus probablement encore dangereux. Pour toutes les maladies, il y a des personnes « à risque », et d'autres qui le sont moins. Vacciner aveuglément tous les enfants avec tous les vaccins du calendrier vaccinal est dans la plupart des cas, nocif.

De plus, il ne faut pas oublier que même les vaccins obligatoires (DTPolio et BCG en France) ne le sont plus si votre médecin constate des contre-indications. Cela n'est pas théorique car de nombreuses personnes peuvent en fait présenter des contre-indications, en particulier les personnes allergiques, souffrant de maladies auto-immunes, ou ayant d'autres problèmes liés à leur système immunitaire. Un examen médical est donc recommandé avant toute vaccination, même si ce n'est pas prévu par le système.

Une réforme indispensable et urgente

Il est donc indispensable et urgent que les pouvoirs publics prennent des mesures visant à améliorer la connaissance des vaccins et l'information des médecins comme du grand public à ce sujet. Une information transparente doit être donnée sur les dangers de chaque vaccin. S'il y a eu des morts, des personnes gravement handicapées, ou malades à vie, les personnes qui sont sur le point de se faire vacciner doivent en être informées.

Beaucoup de vaccins ont un rapport bénéfices/risques douteux. Une information lisible et facilement compréhensible doit figurer sur l'emballage des vaccins, indiquant clairement ceux qui sont indispensables, ceux qui ne sont nécessaires que dans certains cas, et ceux qui sont inutiles dans la plupart des cas.

Mais même si c'est aux médecins de s'assurer qu'ils ne font pas courir de risque inutile à leurs patients (serment d'Hippocrate), rappelons-nous que nous ne vivons pas dans l'utopie et que ce sera toujours à nous, ultimement, d'être responsable de notre santé.

Les vaccins ont été basés sur une fraude médicale depuis plus de cent ans

Le concept de la vaccination pour immuniser a commencé en 1796, lorsque l'apothicaire britannique (pharmacien) Edward Jenner a inséré du pus contenant le virus cowpox sous la peau d'un enfant âgé de huit ans. Jenner a basé son expérience sur une rumeur sans fondement affirmant que ceux qui avaient connu l'orthopoxvirose bovine serait à l'abri de la variole.

Dans les deux années qui ont suivi, Jenner a vacciné d'autres personnes avec le cowpox pour les immuniser contre la variole. Sans aucune preuve réelle de l'efficacité et de la sécurité, Jenner a suffisamment impressionné le roi George III avec sa fausse vaccination garantie qu'il a reçu l'équivalent de 500.000 $ d'aujourd'hui. Jenner était donc le premier professionnel de la santé à administrer des matières malades comme médicament à une personne en bonne santé et à recevoir une récompense financière substantielle. Il fut également le premier à dénoncer constamment les détracteurs de la vaccination avec succès. Il protégeait à la fois son ego et le Trésor public.

De nombreux professionnels de la santé tout au long du XIXe siècle savaient qu'il y avait eu plusieurs cas de variole parmi ceux ayant des antécédents du cowpox. Le principe de Jenner était erroné. C'était en fait le début d'une tradition qui est exploitée par des vaccinateurs d'aujourd'hui. Une fausse solution pour prévenir une maladie, faire un paquet de fric, et contrer les arguments raisonnables de ceux qui savent que l'immunisation par la vaccination ne marche pas en toute sécurité et efficacement.

En Angleterre les incidents de la variole après vaccination ont augmenté régulièrement, passant de 5% au début à 95% en 1895. Il y a même eu une épidémie grave autour de 1872, un an après que la vaccination contre la variole ait été décrétée obligatoire au Royaume-Uni. Le taux de mortalité parmi les victimes de la variole a aussi était multiplié par cinq à cette époque.

Malgré les protestations intelligentes avec des faits évidents et des chiffres réfutant l'efficacité, et prouvant un dommage à partir de matériaux toxiques et des virus contenus dans les vaccins mettant en danger l'immunité naturelle, le programme d'inoculation de vaccin a été maintenue. Protéger l'industrie contre la vérité en attaquant violemment les dissidents raisonnables a entraîné l'équivalent de 17 milliards de dollars par an de recettes à l'industrie des vaccins. Cela ne comprend pas les recettes provenant des visites des médecins pour la vaccination et la mauvaise santé y résultant.

Les tactiques des vaccinateurs pour supprimer les données scientifiques des professionnels concernés sont devenues dignes de la mafia. Les professionnels de la santé sincères qui inscrivent les problèmes de santé par rapport aux vaccins sont sévèrement punis et calomniés par les médias traditionnels appartenant à la mafia médicale.

La vérité sur les vaccins et les éclosions de maladies cachées à la vue du public

Une étude de 2012 dirigée par le Dr David Witt, un spécialiste des maladies infectieuses du Centre Médical Permanent Kaiser de San Rafael en Californie a conclu que la coqueluche se déclenche plus chez les enfants vaccinés que les enfants non vaccinés.

En 2010, une éruption d'oreillons s'est produite chez les 1000 enfants dans le New Jersey du nord et le sud de l'état de New York. Près de 80 % d'entre eux avaient été vaccinés avec le vaccin ROR (rougeole, oreillons rubéole).

Dans les années 1980, des organismes officiels signalèrent plusieurs vagues de rougeole survenues chez les enfants qui avaient été vaccinés dans divers endroits, y compris un collège et lycée de l'Illinois, un lycée du Massachusetts, une région en France et une région rurale près d'Helsinki en Finlande.

Les écoles aux États-Unis avaient bien plus de 90 % de vaccinés contre la rougeole. Les vaccinateurs proclament qu'un taux de vaccination de 90 % d'une population spécifique garantit l'immunité de la population. Cette revendication fausse sert à créer plus de revenus tout en blâmant les anti-vaccins pour mise en danger de l'humanité.

Par ailleurs, en dépit du fait que seulement 5% d'effets indésirables de vaccins soient signalés au système « volontaire » de report d'effets secondaires des vaccins de la FDA (VAERS), il y a de nombreux effets indésirables graves enregistrés et beaucoup plus qui fuient par les fissures que représentent les sites internet dédiés aux vaccins.

Dieu merci pour les quelques docteurs en médecine et autres qui osent parler malgré le danger potentiel que cela engendre pour eux. C'est à nous d'apprendre d'eux et de dire non à la vaccination.

Notes

(1) Rapport « Survey on Vaccinations in Europe », EFVV, téléchargeable gratuitement sur efvv.org
(2) BMJ 2013;346:f794
(3) Guillain-Barré Syndrome After Influenza Vaccination in Adultsarchive, David N. Juurlink, Therese A. Stukel, Jeffrey Kwong, Alexander Kopp, Allison McGeer, Ross E. Upshur, Douglas G. Manuel, Rahim Moineddin, Kumanan Wilson, Arch Intern Med. 2006;166:2217-2221.
(4) Décompte effectué par Sanevax
(5) PubMed
(6) Que Choisir
(7) Rapport « Survey on Vaccinations in Europe », EFVV, téléchargeable gratuitement sur efvv.org
(8) Gardasiland Unexplained Deaths

Voir également

Meyer, J., & Jensen, K. A. (1954). A fatal case of tuberculosis produced by BCG. Am Rev Tuberc, 70(3), 402 - 412. JAMES E. F., Fatal case of tuberculosis produced by BCG, American review of tuberculosis, 1955, tome 71, pp.321-323 ; Pedersen, F. K., Engbaek, H. C., Hertz, H., & Vergmann, B. (1978). Fatal BCG infection in an immunocompetent girl. Acta Paediatr Scand, 67(4), 519 - 523.

OMS, L'éradication mondiale de la variole - Rapport final de la commission mondiale pour la certification de l'éradication de la variole, éd. OMS, 1980.



Ca fait quelques années maintenant que je suis à jour au niveau de la vaccination uniquement sur papier, les derniers médecins que j'ai été voir à ce sujet étaient eux même pas favorable et se contentaient de signer le carnet de vaccination.
Dans le cadre d'une formation suivie au sein de la croix rouge amenant à effectuer des stages en milieu médicalisé accueillant des personnes " atteintes " d'hépatites et autres ... On nous demandait d'être à jour au niveau des vaccinations sinon nous n'étions pas admis dans le cadre de la formation. Pour trouver un emplois dans ces milieux c'est la même. Et même pour des vaccins non obligatoire ils font un forcing monstrueux, et leur argument préféré ceux qui éveillent à la peur au risque de contamination et compagnie...
Durant un des stages en structure j'ai été amenée à accompagner une personne, je ne pourrais plus dire exactement de quoi cette personne souffrait, à première vue on pourrait parler d'un lourd retard mental et bla blabla... En grattant un peu j'ai découvert que la vie de cette personne avait basculé le jour où son médecin lui a fait une injection, pour le " protéger ". "



Etats unis : Bientôt la fin de l'autorisation parentale pour la vaccination des enfants

Australie : Vaccination bientôt obligatoire pour tous ?

Tchad : la campagne de vaccination tourne au drame, au moins 40 enfants paralysés

Etats-unis : Un Comité consultatif gouvernemental demande la vaccination obligatoire contre la grippe saisonnière


05.07.2013 - 13h09   

En effet l'hypnose commence à faire son entré en médecine en France ( ça fait déjà un moment ) mais de manière un peu plus active en effet pour le cas d'opération pour éviter des anesthésies.

De mon côté j'ai mon oncle ( infirmier Psy depuis pas mal d'années ) qui à la suite de rencontre c'est intéressé et suit une formation dans je sais plus quelle université de Paris.
La méthode Ericksonnienne est pas mal abordé, il m'a raconté quelques truc des cours qu'il suit c'est pas mal... Un mélange théorie pratique.

Il a pus tester certaines choses avec les jeunes qu'il suit et son collègue qui est déjà plus expérimenté, et il y a eu des résultats hallucinant...
C'était dans le cadre d'un traumatisme lié à un accident de moto.


Pour mon cas j'ai déjà testé aussi l'hypnose et en effet on peut rester parfaitement conscient de tout ce qui se passe, l'effet était plus comme si le conscient et l'inconscient était réunit...


03.07.2013 - 16h45   

Dans les plus urgents ça serait un sac à dos militaire d'une contenance 100 Litres.
J'ai trouvé quelque chose de plus adapté à mes besoins.

Je passe en coup de vent, je posterai des photos un peu plus tard.

Sinon je crois que j'ai encore un tas de truc, genre CD / Vinyles / Livres, peut être des DVD aussi à proposer.

03.07.2013 - 16h37   

Ah bas voilà pile quand j'avais besoin de vendre des truc =)

09.05.2013 - 15h55   



Tangerine Dream Phaedra ( 1974 )

Petit voyage cosmique de 38 minutes.

04.05.2013 - 14h31   
ELEVER LA FRÉQUENCE VIBRATOIRE DE NOS CELLULES

Je vous fait partager cet article que l'on m'a envoyé à la suite d'une discussion sur les modifications de d'ADN liée à l'élévation de la conscience.
Un thème qui est également abordé dans l'Ancien Secret de la Fleur de Vie de Drunvalo Melchizedek



La santé, c'est le parfait dialogue entre nos cellules, notre corps et notre environnement. En élevant notre niveau de conscience, nous élevons notre niveau vibratoire et renforçons notre système immunitaire. Tout est Un et rien n'est séparé.

Le problème de notre temps n'est pas la bombe atomique, mais le coeur de l'homme.
Albert Einstein.

La civilisation occidentale a longtemps atrophié le côté droit - sensitif et intuitif - de notre cerveau, au profit du gauche, celui qui dissèque et analyse.

Cette attitude réductrice a eu comme effet de limiter notre compréhension de l'homme et des maladies au seul plan physique, au seul niveau du symptôme et du lésionnel que l'on cherche à supprimer avec l'arsenal médicamenteux de la pharmacopée chimique et des vaccinations. Il est un fait que la médecine moderne et matérialiste est avant tout orientée vers les thérapeutiques "au coup par coup", sans vouloir comprendre réellement la signification de la maladie qui est d'abord un "mal-à-di ® e".

Certes, cette médecine a progressé dans l'analyse et l'exploration de l'organisme humain. Mais toutes ces investigations en profondeur - qui ne sont pas sans danger - ne tiennent pas compte du "Souffle" qui anime l'Etre humain et de ses rythmes propres, de ce Principe subtil précédant la manifestation, par lequel la matière existe, de ces interactions vibratoires qui ont amené l'organisme à s'exprimer au travers d'une pathologie.

Certes, la médecine du corps physique obtient des résultats incontestables dans le domaine de la chirurgie notamment et des réparations plastiques. Toutefois ces résultats restent ponctuels, partiels, car ils ne sont jamais intégrés dans un ensemble où la totalité de l'être humain - corps / âme / esprit - serait appréhendée. Ceci nous explique qu'un grand nombre de maladies organiques ne trouvent pas d'étiologie valable, ni de thérapeutique adéquate, sans parler des maladies fonctionnelles (dysfonctionnement d'un organe, d'un ensemble d'organes). N'oublions pas que 80 à 90 % des malades qui consultent un généraliste sont des "fonctionnels" et que leur "mal-à-dire" n'a rien d'imaginaire !

Transcender l'aspect moléculaire

On soignera une insomnie avec des hypnotiques, une dépression avec des antidépresseurs, une inflammation avec des anti-inflammatoires, une douleur avec des antalgiques, une augmentation du cholestérol avec des anti-cholestérémiants, etc.

Considérer la maladie seulement comme une perturbation moléculaire locale conduit à de graves échecs, comme on peut le constater dans le traitement du cancer, des maladies dites auto-immunes ou mentales. Les perturbations métaboliques telles que les taux de cholestérol, d'urée, de glycémie, l'anémie ne sont que la manifestation de désordres plus profonds, qui correspondent au principe initial de cette manifestation.

La découverte d'innombrables molécules, médiateurs chimiques, ou d'hormones - qui seraient émises par l'intestin - ne permet pas de trouver la parade aux maladies. La médecine psychosomatique, qui s'attache au rapport existant entre le corps et l'esprit, a tenté une approche intéressante, mais n'a guère avancé dans la résolution du problème qui se situe à un autre niveau de réalité.

En fait, ces troubles, aux causes multifactorielles, doivent être intégrés dans un système transcendant l'aspect moléculaire qui permet d'expliquer d'une manière rationnelle leur cause, mais aussi les rapports qu'ils entretiennent avec la Conscience, considérée comme un Champ d'information.

Ces champs qui informent le vivant

L'idée d'information, comme le soulignent les travaux sur les champs du physicien Fritz Albert Popp, du mathématicien Emile Pinel et du biologiste Rupert Sheldrake, est l'une des clés du problème.

Chaque type de cellule, de tissu, d'organe, et d'organisme a son propre champ. Ces champs "morphiques" façonnent et organisent les micro-organismes, les végétaux et les animaux en développement, et stabilisent les formes des organismes adultes. Ils sont en fait des champs d'information, car ils contiennent une "mémoire innée", soutenue par la résonance de la forme qui se fonde sur la similitude.

Les champs morphiques permettent une explication rationnelle du renouvellement des cellules, plus exactement ils expliquent pourquoi les cellules se recomposent toujours de la même manière, pourquoi il y a une invariance des formes (stéréochimie).

Si l'on considère l'origine du "programme génétique", le champ morphique est le logiciel qui fait fonctionner le programme. Mais le "programmeur" est encore ailleurs, au niveau de ce que Régis Dutheil appelle la "conscience superlumineuse" ou le "Champ H3" mis en évidence par Emile Pinel.

Etre conscient de son identité profonde

L'homme s'exprime de différentes manières, en fonction d'un acquis génétique, mais aussi d'une mémoire vibratoire qui est la quintessence d'existences passées et du vécu de l'univers depuis sa création. A chaque sollicitation, de quelque niveau que ce soit, il y aura une réponse qui mettra en jeu un grand nombre de mécanismes.

Ces mécanismes vont se manifester par un mode comportemental en fonction des niveaux référentiels acquis ou reçus génétiquement. Nous sommes, là, en présence du problème fondamental d'identité que l'on retrouve à tous les niveaux de la manifestation de la matière.

L'identité, c'est le référentiel indispensable, l'image enfouie en nous-mêmes, qui peut être un acquis, ou simplement le fruit d'une éducation ou d'un conditionnement. Les réflexions qui nous permettent d'élargir notre champ d'investigation ne peuvent venir que par une prise de conscience de l'environnement dans lequel nous vivons, et de la Création à laquelle nous appartenons.

Pourquoi le malade a-t-il perdu, à un moment donné, son identité, pourquoi ce déficit immunologique est-il apparu et par rapport à quoi ? C'est au médecin à prendre réellement conscience de cette manifestation d'un être qui s'exprime à travers son corps, afin de mettre en évidence les différents paramètres qu'il faut traiter dans des systèmes en connexion étroite les uns avec les autres.

Il est certain que les thérapeutiques actuelles permettent de juguler, de compenser certains états, mais il faut réellement une compréhension beaucoup plus profonde de l'homme dans son existentialité et dans son devenir.

Il faut redonner la place à l'homme dans son environnement, pour qu'il prenne conscience de son identité, qu'il monte son niveau de conscience pour retrouver en lui-même cette parcelle de divin qui ne demande qu'à s'exprimer à travers tout son corps, à travers chaque cellule, à travers chaque atome, à travers chaque électron, chaque proton, chaque éon.

Etre réellement soi-même, c'est prendre conscience de son identité profonde. C'est prendre conscience de sa relation avec la Création. C'est, sur un plan immunologique, être totalement équilibré et avoir chaque organe en totale connexion avec le voisin. Le principe de l'identité est un principe de reconnaissance, c'est-à-dire : reconnaître et se faire reconnaître. L'homme, avec ses organes multiples, peut être considéré comme un système à part entière, totalement sous l'influence des énergies qui animent la matière. Chaque organe qui participe à l'unité de l'individu est en relation avec l'autre dans une harmonie parfaite, sauf si certains éléments qui le guident viennent interférer sur son équilibre.

Il existe une interdépendance continue entre l'homme et la Création, de même qu'il existe une interdépendance permanente entre les cellules et le corps de l'homme. Accéder à la connaissance de l'un, c'est du même coup accéder à la compréhension de l'autre.

La seule approche matérialiste ne peut traduire la réalité du "champ morphique" et informationnel qui contient toute la mémoire, l'hologramme de l'être humain et de l'univers en expansion.

Nos "récepteurs" doivent se mettre en phase avec la nouvelle fréquence des énergies cosmo-telluriques, sinon ces dernières ne feront qu'accentuer les effets iatrogènes inhérents à toute action thérapeutique.

Nouveaux brins d'ADN

Depuis des années, les généticiens savent que des changements se produisent dans l'ADN. Ils ont constaté que des hélices d'ADN se sont ajoutées chez des personnes adultes. Cela irait de pair avec des changements dans la conscience. Praticien de médecine holistique au Centre Avalon de Bien-Etre, au Mount Shasta en Californie, le Dr. Berrenda Fox possède des tests sanguins fournissant la preuve que certaines personnes ont réellement développé de nouveaux brins d'ADN. Lors d'un interview, elle a déclaré : "Des changements ont lieu, des mutations qui, selon les généticiens, ne s'étaient jamais encore produites".

Il y a plusieurs années déjà, à Mexico City, une convention de généticiens venant du monde entier avait pour thème " le changement d'ADN ". Nous sommes en train de faire un saut d'évolution, et pourtant la grande majorité de l'humanité n'est pas informée des changements qui ont lieu ! Tout le monde a une double hélice d'ADN.

Ce que nous découvrons, c'est qu'il y a d'autres hélices qui sont en train de se former. Dans la double hélice, il y a deux brins d'ADN torsadés en spirale. Ces changements ne sont pas publiquement connus, parce que la communauté scientifique a l'impression que cela effraierait la population.

Et cependant, les personnes sont en train de changer au niveau cellulaire. "Je travaille en ce moment avec trois enfants, qui ont trois hélices d'ADN", précisait dans une interview le Dr. Berrenda Fox. "Certains adultes que j'ai testés ont réellement une deuxième hélice d'ADN qui se forme. Certains forment même une troisième hélice. Ces personnes passent à travers des changements majeurs dans leur conscience et dans leur corps physique, parce que tout cela ne fait qu'un. Ainsi, la Terre et les êtres humains élèvent leur vibration".

On sait aujourd'hui que des milliers de personnes, ayant contracté le sida, finissent par s'en débarrasser et se retrouver avec un système immunitaire renforcé, dû probablement aux quatre cordons d'ADN supplémentaires découverts chez elles. Les médecins de l'Université de Californie à Los Angeles (UCLA) ont suivi un garçon né avec le virus du sida. L'enfant a successivement été examiné à sa naissance, à 6 mois et à 1 an. Ensuite encore à 5 ans et, cette fois, il fut constaté que toute trace du virus avait disparu. Médecins et spécialistes se posèrent beaucoup de questions et finirent par examiner l'ADN du jeune garçon.

Ils découvrirent que l'enfant avait 24 cordons de son ADN actifs au lieu de 20 comme chez les êtres humains dits "normaux". On examina ensuite son état immunitaire. Il semblait que l'enfant était préservé contre tout. Et l'on découvrit que son système immunitaire était 3 000 fois plus fort que chez le commun des mortels ! Des recherches s'ensuivirent pour voir s'il y avait d'autres cas de mutation de ce genre.

En effet, on en découvrit 1, puis 100, puis 1 000. A l'Université de Californie, on croit à présent que plus de 1 % de la population mondiale pourrait être dans ce cas. Nous assisterions à un phénomène d'immunité spontanée jamais observé précédemment. Cela expliquerait peut-être aussi les cas, de plus en plus nombreux, de "guérisons inexpliquées" de sidéens qui refusent la chimiothérapie, la tri-thérapie ou autres médicalisations qui affaiblissent le système immunitaire.

Est-il besoin de préciser que certains d'entre eux vivent des années sans inconvénients, bien qu'ils aient été répertoriés séropositifs ?

Un nouveau référentiel cosmique

Aujourd'hui, la découverte de nouveaux ADN chez l'homme témoigne de manière tangible des travaux de chercheurs qui ont perçu le changement vibratoire des énergies cosmiques et leur influence progressive sur les êtres vivants. Dès les années 1980, Etienne Guillé et son équipe de la faculté de Paris-Orsay ont mis en évidence que les énergies cosmiques avaient changé de fréquence, obligeant l'homme à monter son niveau de conscience, et donc à harmoniser ses récepteurs.

Cette science ne se contente pas de chercher désespérément les relations linéaires de cause à effet alors que, dans la majorité des cas, les événements de la vie mettent en jeu un réseau d'interactions branchées, comparables à des parcours labyrinthiques, où le rôle des noeuds est primordial, depuis la molécule d'ADN, jusqu'aux orbites des planètes.

Un nouveau langage, le "langage vibratoire à base moléculaire" a été découvert pour étudier les changements profonds qui se produisent depuis ces dernières années dans l'Univers, plus particulièrement sur notre planète Terre, changements dont tout être vivant subit d'une manière ou d'une autre les conséquences.

Tout cela permet de mieux intégrer une vision cohérente de la réalité de faits aussi disparates que les modifications des actions de nombreux médicaments homéopathiques, les variations surprenantes des points d'acupuncture, le fait que la longueur d'onde de la santé selon l'échelle de "Bovis" se serait déplacée de 6 000 à 8 500 angströms, de sorte que de nombreux médicaments, et pas seulement allopathiques, seraient devenus nocifs depuis une dizaine d'années.

"Notre réceptivité aux énergies vibratoires de notre environnement, proche et lointain, va dépendre essentiellement du système vibratoire auquel nous appartenons et de la nature des interactions que ce système vibratoire est susceptible d'établir avec d'autres systèmes vibratoires", écrit Etienne Guillé.

Ces interactions peuvent être globalement décrites par des processus de résonance ou de dissonance. Ainsi un appareillage, même doté des capacités de l'intelligence artificielle, ne pourra résonner avec de telles infrastructures caractéristiques de la matière vivante puisqu'il n'est pas possible d'y incorporer une âme et un esprit.

En d'autres termes, un outil appartenant exclusivement au monde inerte ne peut servir pour appréhender et comprendre le monde du vivant. Les niveaux vibratoires des êtres humains varient au cours de leur développement de la naissance à la mort : d'une manière générale, tout être humain peut accroître son niveau vibratoire et ultérieurement son niveau de conscience, s'il réussit les phases de renouvellement qui ponctuent sa vie en moyenne tous les sept ans.

Par contre c'est au cours de ces mêmes phases de renouvellement que le cancer, les maladies auto-immunes ou psychiques, qui sont des maladies cosmiques, peuvent progressivement s'installer dans l'être humain et se traduire par une baisse concomitante des niveaux vibratoires. Il en résulte que guérir un patient atteint de ce type de maladie exige obligatoirement une augmentation durable des niveaux vibratoires des différents composants de ce patient (généralement provoquée par un stress positif déclenchant une nouvelle phase de renouvellement provoquée).

Restaurer l'unité corps / âme / esprit

Aujourd'hui il appartient à la médecine d'intégrer cette dimension holistique qui prend en compte la totalité de l'approche du Vivant, dans sa réalité double : biologique et vibratoire. L'homéopathie, l'acupuncture, la géobiologie, la médecine ayurvédique, ou plus encore, récemment, les liens étroits avec la mécanique quantique et les champs morphiques et informationnels, viennent enrichir notre conception de l'homme et de son fonctionnement dans un système unitaire, où le Tout contient chaque partie, et chaque partie le Tout. Ces médecines globales nous rapprochent plus que jamais de cette union corps / âme / esprit, seule garante de notre bien-être, physique, psychique et spirituel. La médecine du troisième millénaire sera celle qui restaure l'unité corps / âme / esprit.

Pour permettre la guérison, il faut atteindre le lieu de la conscience pure - la fréquence vibratoire - qui n'est jamais touché par la maladie, car la maladie n'est qu'un phénomène purement somatique. Rappelons que la maladie n'est pas une agression d'un agent extérieur qu'il convient de combattre, mais l'expression d'un conflit intérieur, un défaut dans le réseau de vibrations dont nous sommes constitués.

La médecine de conscience a pour but de rétablir l'émission correcte des vibrations, par un accès direct au coeur de Vivant. Il y a des milliers d'années, la science et la philosophie orientales ont eu l'intuition de ce que la "Science élargie" est en train de redécouvrir. C'est de la conjugaison de ces deux médecines que naîtra la médecine du futur, celle de l'homme médiateur du Ciel et de la Terre. Car nous sommes entrés dans le "Temps des mutants". Et il y a nécessité de changer de paradigme, d'être conscient de la manifestation, en refusant le "consommer-mourir" pour la voie de la conscience, de la liberté et de la responsabilité. "


Marc J. Pantalacci
Diplômé en acupuncture traditionnelle (CREAT)
Ce document a d'abord été publié par la revue " Biocontact "

source : http://www.eveildelaconscience.ca/frequencevibratoire.htm#debut

03.05.2013 - 19h20   

Merci Sylvain,
Je n'avais pas vue qu'il y avait un sujet spéciale pour les OVNI.

02.05.2013 - 14h10   

Je l'ai regardé hier soir, très bon film !
Et c'est vrai qu'on ne s'attend jamais à la scène suivante.

02.05.2013 - 13h02   

OVNI, extraterrestres : sont-ils vraiment parmi nous ? / OVNI, les nouvelles preuves


Voici un documentaire sur les Objets Volant Non Identifié, beaucoup de témoignages français.
Et pour une fois ( enfin c'est la première fois que je vois dans un documentaire sur ce sujet ) des témoignages de pilotes de l'armée, de Air France... qui se sont tus durant pas mal d'année par peur de ce qu'ils auraient pus leur arriver ( mise au placard ).
Enquête du côté des politiciens, et témoignages intéressant venant d'un ministre au Canada.
( Il n'est pas encore sur Youtube, donc je vous mets le liens de W9 replay )

OVNI, extraterrestres : sont-ils vraiment parmi nous ? / OVNI, les nouvelles preuves


OVNI : objet volant non identifié, l'acronyme prête souvent à sourire, déclenche parfois la moquerie voire même le mépris. Pourtant en France, selon un sondage réalisé par Le Figaro en 2007, 1 français sur 2 (55%) croit à l'existence d'extraterrestres.
Plus incroyable encore, en France, chaque année, plus de 300 personnes affirment avoir été témoin d'un phénomène aérospatial non-identifié.
Alors, s'agit-il d'hallucinations ou de témoignages sincères ? Fantasme ou réalité ? Rêve ou cauchemar ? Les extraterrestres sont-ils déjà parmi nous ?


Durant presque deux heures nous allons tenter de répondre à ces questions à travers deux sujets :

OVNI, extraterrestres : sont-ils vraiment parmi nous ?
Chaque année dans le ciel français on recense près de 500 observations de phénomènes étranges. Mais la grande majorité d'entre-elles, 78 %, trouve une explication rationnelle après analyse scrupuleuse du GEIPAN, Le Groupe d'Études des Phénomènes Non-identifiés, créé par le CNES en 1977.
Reste tout de même une centaine de cas par an où les membres du GEIPAN avouent ne pas être en mesure d'apporter une réponse logique à ces observations.
Pour autant les scientifiques se refusent à parler d'OVNI, même lorsque les témoins sont particulièrement crédibles comme par exemple les pilotes de ligne, des hommes au mental d'acier, suivis psychologiquement, et dont la parole ne peut être mise en doute.
Nous avons rencontré Jack Krine, ancien pilote de chasse dans l'armée et leader de la patrouille de France. Vous entendrez les récits de deux anciens pilotes d'Air France: Jean-Charles Dubocq et Jean-Gabriel Greslé. Tous les trois sont formels, ils se sont retrouvés nez à nez avec une soucoupe volante gigantesque.
Dans ce documentaire inédit, nous avons cherché à savoir quelles étaient aujourd'hui les preuves de l'existence des OVNI ? Les OVNI sont-ils vraiment parmi nous ? Mythe ou réalité ?

OVNI, les nouvelles preuves
De tout temps les témoignages relatifs à l'observation d'OVNI se multiplient sans pour autant qu'aucune preuve scientifique ne soit apportée. Aujourd'hui, les langues se délient surtout de la part de certains responsables politiques.
Les 3 cas dont nous allons faire état sont incroyables, car ils sont corroborés par des personnalités qui habituellement ne s'expriment jamais sur la question des OVNI.
Pour la première fois, des policiers, des généraux et même un gouverneur des États-Unis parlent et racontent ce qu'ils n'avaient jamais dit auparavant. Et nous comprendrons pourquoi les plus hauts responsables américains, belges et britanniques ont tenté pendant des années de minimiser et d'étouffer ces dossiers classés top secrets...

Date de rediffusion de l'émission :
Prochaine diffusion le mercredi 15 mai 2013 à 23:10

Videos, séries et émissions sur W9.fr : Émission du mercredi 01 mai 2013 20:50

30.04.2013 - 21h54   

Gydja & Maru,
Musique hypnotique, qui donne l'impression d'avoir été rétrécie dans la forêt et où chaque sons de la nature seraient amplifiés...
Un vole de libellule.



Kerimas





Htamenmas





tDoorkeepers





Herukas




ritualisticnature

30.04.2013 - 21h40   

De rien !

29.04.2013 - 12h31   







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