Au fil du temps, l'homme s'est de plus en plus coupé de la nature, pour vivre de plus en plus dans des mondes issus de son mental, qui ont occupé une part de plus en plus grande de son temps et de son esprit.
L'écriture, puis de multiples autres moyens, ont permis l'accumulation et la transmission à travers le temps des savoirs, des idées et des créations de l'esprit. L'humanité a ainsi développé une idéosphère de plus en plus foisonnante, une réalité parallèle à celle de la biosphère et du monde réel.
Jusqu'à ce qu'aujourd'hui dans les sociétés modernes, et en particulier pour ceux qui vivent dans les villes, il n'y a plus rien d'autre, nous vivons presque entièrement dans les créations du mental, ouvrant la voie à toutes les dérives, à toutes les folies.
Et depuis 2 décennies, il est devenu de plus en plus évident (mais pas pour tout le monde) que nous sombrons dans une sorte de folie collective, de la base au sommet de la société.
Immergés dans une folie collective, c'est difficile de s'en rendre compte car si tout le monde devient fou en même temps, la "normalité" de référence devient cette folie.
Le seul moyen de s'en rendre compte est de réaliser que ce qui se fait ou ce qui est décidé est contraire à la raison ou à la logique.
Un autre moyen est de prendre du recul dans le temps en se rappelant ce qu'était la "normalité" auparavant.
Quelques manifestations de cette folie collective:
L'écriture inclusive, les débats de "genre", l'écologie hystérique aux actions inutiles (comme asperger de peinture des oeuvres d'art), les crypto monnaies ou les NFT par lesquels des gens achètent très cher du néant, la politique insensée des banques centrales qui ont créé de la monnaie à tout va avec pour résultat l'inflation, ou tout récemment le summum avec la dictature sanitaire et l'injection d'un traitement génétique expérimental à toute la population contre une maladie dont le taux de mortalité était de 0,5%, ou encore l'aveuglement sur la destruction en cours de la biosphère dont dépend pourtant notre survie.
L'écriture, puis de multiples autres moyens, ont permis l'accumulation et la transmission à travers le temps des savoirs, des idées et des créations de l'esprit. L'humanité a ainsi développé une idéosphère de plus en plus foisonnante, une réalité parallèle à celle de la biosphère et du monde réel.
Jusqu'à ce qu'aujourd'hui dans les sociétés modernes, et en particulier pour ceux qui vivent dans les villes, il n'y a plus rien d'autre, nous vivons presque entièrement dans les créations du mental, ouvrant la voie à toutes les dérives, à toutes les folies.
Et depuis 2 décennies, il est devenu de plus en plus évident (mais pas pour tout le monde) que nous sombrons dans une sorte de folie collective, de la base au sommet de la société.
Immergés dans une folie collective, c'est difficile de s'en rendre compte car si tout le monde devient fou en même temps, la "normalité" de référence devient cette folie.
Le seul moyen de s'en rendre compte est de réaliser que ce qui se fait ou ce qui est décidé est contraire à la raison ou à la logique.
Un autre moyen est de prendre du recul dans le temps en se rappelant ce qu'était la "normalité" auparavant.
Quelques manifestations de cette folie collective:
L'écriture inclusive, les débats de "genre", l'écologie hystérique aux actions inutiles (comme asperger de peinture des oeuvres d'art), les crypto monnaies ou les NFT par lesquels des gens achètent très cher du néant, la politique insensée des banques centrales qui ont créé de la monnaie à tout va avec pour résultat l'inflation, ou tout récemment le summum avec la dictature sanitaire et l'injection d'un traitement génétique expérimental à toute la population contre une maladie dont le taux de mortalité était de 0,5%, ou encore l'aveuglement sur la destruction en cours de la biosphère dont dépend pourtant notre survie.
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