
Cette image à très grande échelle de l'univers révèle une structure neuronale, ce qui fait penser que l'univers pourrait être un gigantesque esprit.
Mais pour cela, il faut que ça ne soit pas qu'une analogie de structure, il faut aussi qu'il y ait des échanges de matière, d'énergie, et surtout d'information.
Voici quelques questions posées à ChatGPT...
Sait-on si il y a des échanges de matière ou d'énergie entre les amas de galaxies?
Oui, il existe des échanges de matière et d'énergie entre les amas de galaxies, bien que ces interactions soient souvent complexes et se produisent sur des échelles de temps et d'espace gigantesques. Voici un résumé des principaux processus impliqués :
1. Échanges de matière
• Gaz chaud intracluster : Les amas de galaxies contiennent des quantités massives de gaz chaud (plasma), détectables grâce à l'émission de rayons X. Ce gaz peut s'échapper d'un amas et interagir avec celui d'un autre amas, notamment lors de collisions ou de fusions entre amas.
• Courants de matière noire : Les amas de galaxies sont dominés par la matière noire. Lors des fusions d'amas, des interactions gravitationnelles peuvent redistribuer la matière noire, ce qui modifie la structure globale des amas.
• Pertes de gaz par les galaxies : Les galaxies individuelles au sein des amas peuvent perdre leur gaz par un processus appelé “stripping par pression dynamique”, où le gaz est arraché par le mouvement de la galaxie dans le plasma intracluster. Ce gaz peut être redistribué dans l'environnement intracluster ou intragroupe.
2. Échanges d'énergie
• Ondes de choc : Lors de collisions entre amas ou d'événements tels que l'accrétion de nouvelles galaxies, des ondes de choc se propagent dans le gaz intracluster. Ces ondes de choc peuvent chauffer le gaz et produire des émissions détectables en rayons X.
• Jets des trous noirs supermassifs : Les trous noirs situés au centre des galaxies des amas émettent des jets de particules relativistes et d'énergie. Ces jets peuvent chauffer le gaz environnant et influencer la dynamique énergétique de l'amas.
• Rayonnement cosmique : Les amas de galaxies interagissent également avec les rayons cosmiques et les champs magnétiques, échangeant de l'énergie sous forme de rayonnement synchrotron et d'autres processus énergétiques.
3. Interactions entre amas voisins
• Fusions d'amas : Lorsqu'un amas entre en collision avec un autre, des quantités importantes de matière et d'énergie sont échangées. Ces fusions créent des structures complexes telles que des ponts de gaz chaud ou des queues de matière.
• Filaments cosmiques : Les amas de galaxies sont connectés par des filaments de matière dans la structure à grande échelle de l'univers. Ces filaments permettent le transfert de matière et d'énergie entre les amas, bien qu'à des vitesses relativement faibles.
Ces phénomènes sont étudiés grâce à des observations en rayons X (témoins du gaz chaud), en ondes radio (énergie liée aux rayons cosmiques et aux champs magnétiques), et par des simulations numériques qui permettent de modéliser ces interactions à grande échelle.
Question complémentaire : Pense-t-on que ces échanges pourraient constituer des échanges d'informations ou en être le support?
Excellente question ! Elle touche à des aspects fondamentaux de la physique et de la cosmologie, où matière, énergie et information sont souvent intimement liés. Voici une exploration de cette idée :
1. Matière, énergie et information : un lien fondamental
En physique, on sait que matière et énergie peuvent coder ou transporter de l'information. Par exemple :
• Les particules subatomiques portent des informations sur leurs états quantiques (spin, charge, moment, etc.).
• Les ondes électromagnétiques, comme la lumière ou les rayons X, véhiculent des informations sur les propriétés de leur source (température, composition chimique, mouvements).
Dans ce contexte, les échanges de matière ou d'énergie entre les amas de galaxies pourraient théoriquement être vus comme des vecteurs d'information.
2. Quels types d'informations pourraient être échangés ?
Lors des interactions entre amas, voici les types d'informations qui pourraient circuler
• Informations thermodynamiques : La température, la densité ou la composition chimique du gaz chaud (plasma) intracluster peut se propager d'un amas à un autre, influençant leurs propriétés respectives.
• Informations dynamiques : Les mouvements des galaxies et du gaz, notamment lors de collisions, contiennent des informations sur les forces gravitationnelles et les structures environnantes.
• Traces des processus passés : Les ondes de choc, les courants de gaz et les perturbations gravitationnelles causées par des interactions peuvent coder des informations sur l'histoire des interactions entre amas (fusion, accrétion, etc.).
3. Support d'échanges d'informations dans un sens plus large ?
Pour que ces échanges de matière ou d'énergie puissent être considérés comme des échanges d'information, il faut se poser la question : cette information peut-elle être interprétée ? Voici quelques réflexions :
• Ponts de matière et filaments cosmiques : Ces structures pourraient transporter des informations sur la répartition de la matière noire et l'évolution des grandes structures de l'univers.
• Propagations d'ondes gravitationnelles : Lors de la fusion d'amas, des ondes gravitationnelles se propagent. Ces ondes contiennent des informations précises sur les masses et les dynamiques des amas impliqués.
• Rayonnement fossile et rayons cosmiques : Les particules relativistes ou le rayonnement émis par ces interactions peuvent être vus comme des porteurs d'information sur les événements passés.
4. Lien avec des concepts plus abstraits (entropie et théorie de l'information)
En physique, il existe des liens profonds entre l'entropie et l'information :
• Échange d'énergie = variation d'entropie : Lorsqu'un amas perd ou gagne de l'énergie (chaleur, mouvements, etc.), il modifie son entropie, ce qui est lié à la quantité d'information stockée dans le système.
• Décodage par les observateurs : Les astronomes, en étudiant ces interactions, « décodent » cette information. Cela montre que ces processus transportent bel et bien une forme d'information compréhensible (par exemple, l'histoire de l'univers à grande échelle).
5. Implications philosophiques et physiques
Si l'on considère que l'univers est une « machine à information », alors les interactions entre amas de galaxies pourraient être vues comme des flux d'information à l'échelle cosmique. Cependant :
• Cette idée est davantage spéculative, car il n'existe pas de mécanisme physique ou biologique pour “interpréter” directement cette information à l'échelle des amas eux-mêmes.
• En revanche, pour nous, en tant qu'observateurs, ces échanges sont une source précieuse d'information sur la structure et l'évolution de l'univers.
Conclusion
Oui, les échanges de matière et d'énergie entre les amas peuvent théoriquement être considérés comme des supports ou des vecteurs d'information. Cependant, cette information est brute et liée aux propriétés physiques des systèmes en interaction. Elle prend son sens lorsqu'elle est interprétée par un observateur (comme les astronomes).
Si cela vous intéresse, on peut discuter davantage de concepts comme l'entropie ou l'information dans un cadre cosmologique !
Je connais l'entropie mais comment est vue l'information dans un cadre cosmologique?
Avec plaisir, et merci pour cette question fascinante ! L'information joue un rôle de plus en plus central en cosmologie, en partie grâce à des concepts issus de la physique théorique, de la thermodynamique et de la théorie de l'information. Voici un aperçu des principales façons dont l'information est vue et interprétée dans un cadre cosmologique.
1. Information comme propriété fondamentale de l'univers
De nombreux physiciens et cosmologistes considèrent que l'information est aussi fondamentale que la matière et l'énergie. Selon cette vision :
• L'univers est une machine à traiter l'information : Tout événement cosmologique peut être vu comme un processus qui transforme, conserve ou dissipe de l'information.
• L'information est encodée dans l'état des particules et des champs : La position, l'énergie, le spin, et d'autres propriétés des particules contiennent de l'information sur les événements qui ont mené à cet état.
• Conservation de l'information : Selon la mécanique quantique, l'information ne peut pas être détruite, même lors de processus comme l'effondrement gravitationnel (bien que cela soit débattu dans le cas des trous noirs).
2. L'information et l'entropie cosmologique
En cosmologie, l'entropie est souvent liée à l'information :
• Entropie comme manque d'information : L'entropie mesure le désordre d'un système, ou notre ignorance des micro-états qui composent un macro-état observable. Plus un système est désordonné, moins on a d'information sur ses états internes.
• Expansion de l'univers : À mesure que l'univers s'étend, son entropie totale augmente. Cela reflète une dilution de l'information utilisable, sauf dans des structures locales où des processus gravitationnels (formation des galaxies, étoiles, etc.) concentrent l'information.
• Horizon cosmologique : L'univers observable est limité par l'horizon cosmologique. Cela signifie que l'information sur des événements situés au-delà de cet horizon est inaccessible, ce qui influence notre compréhension de l'entropie globale de l'univers.
3. L'information et les trous noirs : une énigme cosmologique
Les trous noirs sont au cœur de la relation entre cosmologie et information.
• Paradoxe de l'information des trous noirs : Selon la théorie classique, l'information sur la matière tombée dans un trou noir serait perdue, violant le principe de conservation de l'information en mécanique quantique. Stephen Hawking a proposé que l'information pourrait être “radiée” sous forme de rayonnement Hawking, mais la question reste ouverte.
• Entropie de Bekenstein-Hawking : Les trous noirs sont décrits par une entropie proportionnelle à la surface de leur horizon des événements. Cela relie la gravité, la thermodynamique et la théorie de l'information, suggérant que l'information d'un système gravitationnel est stockée sur sa surface, pas dans son volume (principe holographique).
4. Le principe holographique : l'univers comme un “hologramme”
Le principe holographique, développé dans le cadre de la gravité quantique, propose que :
• Toute l'information contenue dans un volume de l'espace peut être encodée sur une surface qui délimite ce volume.
• Cela signifie que l'univers observable pourrait être vu comme un hologramme où toute l'information sur ses lois fondamentales et son évolution est “inscrite” sur son horizon cosmique.
Ce principe a des implications profondes pour la cosmologie, en suggérant que l'information sur l'univers entier pourrait être stockée à une échelle beaucoup plus petite qu'on ne le pense.
5. Information dans la structure cosmologique
À grande échelle, l'information est aussi analysée dans le contexte des structures cosmiques :
• Filaments cosmiques et amas de galaxies : Ces structures contiennent des informations sur la répartition de la matière noire et l'évolution de l'univers à partir des fluctuations initiales du Big Bang.
• Rayonnement fossile (CMB) : La carte du fond diffus cosmologique (CMB) est une source riche d'information sur l'univers primordial. Les variations infimes de température et de densité dans le CMB encodent les propriétés des fluctuations quantiques initiales, qui ont évolué pour former les grandes structures cosmiques.
6. Cosmologie computationnelle : l'univers comme un système d'information
Certains chercheurs explorent des modèles où l'univers est vu comme un gigantesque système computationnel :
• Univers comme ordinateur quantique : Certains théoriciens, comme Seth Lloyd, proposent que l'univers pourrait être décrit comme un ordinateur quantique qui traite l'information depuis le Big Bang. Les lois physiques seraient alors les “algorithmes” de cet ordinateur.
• Information et complexité : Des concepts comme la complexité algorithmique sont utilisés pour décrire comment l'information évolue dans des systèmes cosmologiques complexes, comme les galaxies ou les amas.
7. Observation cosmologique : recueillir et interpréter l'information
En pratique, la cosmologie consiste à collecter et analyser des informations :
• Photons comme messagers : La lumière voyageant depuis les galaxies et les quasars transporte de l'information sur leur position, leur vitesse, leur composition chimique, et leur évolution.
• Ondes gravitationnelles : Les détections récentes d'ondes gravitationnelles (fusées d'amas ou fusions de trous noirs/neutroniques) fournissent une nouvelle source d'information sur l'univers invisible.
• Information manquante : la matière noire et l'énergie sombre : Une grande partie de l'information cosmologique reste cachée dans la nature de la matière noire et de l'énergie sombre, qui représentent 95 % du contenu énergétique de l'univers.
Conclusion
Dans un cadre cosmologique, l'information est vue comme une propriété fondamentale de l'univers, encodée dans ses structures, ses champs et ses interactions. Que ce soit à travers l'entropie, les trous noirs, ou les données que nous recueillons, l'étude de l'univers est autant une quête d'information brute qu'une tentative de donner un sens à cette information pour comprendre ses lois fondamentales.
Mais pour cela, il faut que ça ne soit pas qu'une analogie de structure, il faut aussi qu'il y ait des échanges de matière, d'énergie, et surtout d'information.
Voici quelques questions posées à ChatGPT...
Sait-on si il y a des échanges de matière ou d'énergie entre les amas de galaxies?
Oui, il existe des échanges de matière et d'énergie entre les amas de galaxies, bien que ces interactions soient souvent complexes et se produisent sur des échelles de temps et d'espace gigantesques. Voici un résumé des principaux processus impliqués :
1. Échanges de matière
• Gaz chaud intracluster : Les amas de galaxies contiennent des quantités massives de gaz chaud (plasma), détectables grâce à l'émission de rayons X. Ce gaz peut s'échapper d'un amas et interagir avec celui d'un autre amas, notamment lors de collisions ou de fusions entre amas.
• Courants de matière noire : Les amas de galaxies sont dominés par la matière noire. Lors des fusions d'amas, des interactions gravitationnelles peuvent redistribuer la matière noire, ce qui modifie la structure globale des amas.
• Pertes de gaz par les galaxies : Les galaxies individuelles au sein des amas peuvent perdre leur gaz par un processus appelé “stripping par pression dynamique”, où le gaz est arraché par le mouvement de la galaxie dans le plasma intracluster. Ce gaz peut être redistribué dans l'environnement intracluster ou intragroupe.
2. Échanges d'énergie
• Ondes de choc : Lors de collisions entre amas ou d'événements tels que l'accrétion de nouvelles galaxies, des ondes de choc se propagent dans le gaz intracluster. Ces ondes de choc peuvent chauffer le gaz et produire des émissions détectables en rayons X.
• Jets des trous noirs supermassifs : Les trous noirs situés au centre des galaxies des amas émettent des jets de particules relativistes et d'énergie. Ces jets peuvent chauffer le gaz environnant et influencer la dynamique énergétique de l'amas.
• Rayonnement cosmique : Les amas de galaxies interagissent également avec les rayons cosmiques et les champs magnétiques, échangeant de l'énergie sous forme de rayonnement synchrotron et d'autres processus énergétiques.
3. Interactions entre amas voisins
• Fusions d'amas : Lorsqu'un amas entre en collision avec un autre, des quantités importantes de matière et d'énergie sont échangées. Ces fusions créent des structures complexes telles que des ponts de gaz chaud ou des queues de matière.
• Filaments cosmiques : Les amas de galaxies sont connectés par des filaments de matière dans la structure à grande échelle de l'univers. Ces filaments permettent le transfert de matière et d'énergie entre les amas, bien qu'à des vitesses relativement faibles.
Ces phénomènes sont étudiés grâce à des observations en rayons X (témoins du gaz chaud), en ondes radio (énergie liée aux rayons cosmiques et aux champs magnétiques), et par des simulations numériques qui permettent de modéliser ces interactions à grande échelle.
Question complémentaire : Pense-t-on que ces échanges pourraient constituer des échanges d'informations ou en être le support?
Excellente question ! Elle touche à des aspects fondamentaux de la physique et de la cosmologie, où matière, énergie et information sont souvent intimement liés. Voici une exploration de cette idée :
1. Matière, énergie et information : un lien fondamental
En physique, on sait que matière et énergie peuvent coder ou transporter de l'information. Par exemple :
• Les particules subatomiques portent des informations sur leurs états quantiques (spin, charge, moment, etc.).
• Les ondes électromagnétiques, comme la lumière ou les rayons X, véhiculent des informations sur les propriétés de leur source (température, composition chimique, mouvements).
Dans ce contexte, les échanges de matière ou d'énergie entre les amas de galaxies pourraient théoriquement être vus comme des vecteurs d'information.
2. Quels types d'informations pourraient être échangés ?
Lors des interactions entre amas, voici les types d'informations qui pourraient circuler
• Informations thermodynamiques : La température, la densité ou la composition chimique du gaz chaud (plasma) intracluster peut se propager d'un amas à un autre, influençant leurs propriétés respectives.
• Informations dynamiques : Les mouvements des galaxies et du gaz, notamment lors de collisions, contiennent des informations sur les forces gravitationnelles et les structures environnantes.
• Traces des processus passés : Les ondes de choc, les courants de gaz et les perturbations gravitationnelles causées par des interactions peuvent coder des informations sur l'histoire des interactions entre amas (fusion, accrétion, etc.).
3. Support d'échanges d'informations dans un sens plus large ?
Pour que ces échanges de matière ou d'énergie puissent être considérés comme des échanges d'information, il faut se poser la question : cette information peut-elle être interprétée ? Voici quelques réflexions :
• Ponts de matière et filaments cosmiques : Ces structures pourraient transporter des informations sur la répartition de la matière noire et l'évolution des grandes structures de l'univers.
• Propagations d'ondes gravitationnelles : Lors de la fusion d'amas, des ondes gravitationnelles se propagent. Ces ondes contiennent des informations précises sur les masses et les dynamiques des amas impliqués.
• Rayonnement fossile et rayons cosmiques : Les particules relativistes ou le rayonnement émis par ces interactions peuvent être vus comme des porteurs d'information sur les événements passés.
4. Lien avec des concepts plus abstraits (entropie et théorie de l'information)
En physique, il existe des liens profonds entre l'entropie et l'information :
• Échange d'énergie = variation d'entropie : Lorsqu'un amas perd ou gagne de l'énergie (chaleur, mouvements, etc.), il modifie son entropie, ce qui est lié à la quantité d'information stockée dans le système.
• Décodage par les observateurs : Les astronomes, en étudiant ces interactions, « décodent » cette information. Cela montre que ces processus transportent bel et bien une forme d'information compréhensible (par exemple, l'histoire de l'univers à grande échelle).
5. Implications philosophiques et physiques
Si l'on considère que l'univers est une « machine à information », alors les interactions entre amas de galaxies pourraient être vues comme des flux d'information à l'échelle cosmique. Cependant :
• Cette idée est davantage spéculative, car il n'existe pas de mécanisme physique ou biologique pour “interpréter” directement cette information à l'échelle des amas eux-mêmes.
• En revanche, pour nous, en tant qu'observateurs, ces échanges sont une source précieuse d'information sur la structure et l'évolution de l'univers.
Conclusion
Oui, les échanges de matière et d'énergie entre les amas peuvent théoriquement être considérés comme des supports ou des vecteurs d'information. Cependant, cette information est brute et liée aux propriétés physiques des systèmes en interaction. Elle prend son sens lorsqu'elle est interprétée par un observateur (comme les astronomes).
Si cela vous intéresse, on peut discuter davantage de concepts comme l'entropie ou l'information dans un cadre cosmologique !
Je connais l'entropie mais comment est vue l'information dans un cadre cosmologique?
Avec plaisir, et merci pour cette question fascinante ! L'information joue un rôle de plus en plus central en cosmologie, en partie grâce à des concepts issus de la physique théorique, de la thermodynamique et de la théorie de l'information. Voici un aperçu des principales façons dont l'information est vue et interprétée dans un cadre cosmologique.
1. Information comme propriété fondamentale de l'univers
De nombreux physiciens et cosmologistes considèrent que l'information est aussi fondamentale que la matière et l'énergie. Selon cette vision :
• L'univers est une machine à traiter l'information : Tout événement cosmologique peut être vu comme un processus qui transforme, conserve ou dissipe de l'information.
• L'information est encodée dans l'état des particules et des champs : La position, l'énergie, le spin, et d'autres propriétés des particules contiennent de l'information sur les événements qui ont mené à cet état.
• Conservation de l'information : Selon la mécanique quantique, l'information ne peut pas être détruite, même lors de processus comme l'effondrement gravitationnel (bien que cela soit débattu dans le cas des trous noirs).
2. L'information et l'entropie cosmologique
En cosmologie, l'entropie est souvent liée à l'information :
• Entropie comme manque d'information : L'entropie mesure le désordre d'un système, ou notre ignorance des micro-états qui composent un macro-état observable. Plus un système est désordonné, moins on a d'information sur ses états internes.
• Expansion de l'univers : À mesure que l'univers s'étend, son entropie totale augmente. Cela reflète une dilution de l'information utilisable, sauf dans des structures locales où des processus gravitationnels (formation des galaxies, étoiles, etc.) concentrent l'information.
• Horizon cosmologique : L'univers observable est limité par l'horizon cosmologique. Cela signifie que l'information sur des événements situés au-delà de cet horizon est inaccessible, ce qui influence notre compréhension de l'entropie globale de l'univers.
3. L'information et les trous noirs : une énigme cosmologique
Les trous noirs sont au cœur de la relation entre cosmologie et information.
• Paradoxe de l'information des trous noirs : Selon la théorie classique, l'information sur la matière tombée dans un trou noir serait perdue, violant le principe de conservation de l'information en mécanique quantique. Stephen Hawking a proposé que l'information pourrait être “radiée” sous forme de rayonnement Hawking, mais la question reste ouverte.
• Entropie de Bekenstein-Hawking : Les trous noirs sont décrits par une entropie proportionnelle à la surface de leur horizon des événements. Cela relie la gravité, la thermodynamique et la théorie de l'information, suggérant que l'information d'un système gravitationnel est stockée sur sa surface, pas dans son volume (principe holographique).
4. Le principe holographique : l'univers comme un “hologramme”
Le principe holographique, développé dans le cadre de la gravité quantique, propose que :
• Toute l'information contenue dans un volume de l'espace peut être encodée sur une surface qui délimite ce volume.
• Cela signifie que l'univers observable pourrait être vu comme un hologramme où toute l'information sur ses lois fondamentales et son évolution est “inscrite” sur son horizon cosmique.
Ce principe a des implications profondes pour la cosmologie, en suggérant que l'information sur l'univers entier pourrait être stockée à une échelle beaucoup plus petite qu'on ne le pense.
5. Information dans la structure cosmologique
À grande échelle, l'information est aussi analysée dans le contexte des structures cosmiques :
• Filaments cosmiques et amas de galaxies : Ces structures contiennent des informations sur la répartition de la matière noire et l'évolution de l'univers à partir des fluctuations initiales du Big Bang.
• Rayonnement fossile (CMB) : La carte du fond diffus cosmologique (CMB) est une source riche d'information sur l'univers primordial. Les variations infimes de température et de densité dans le CMB encodent les propriétés des fluctuations quantiques initiales, qui ont évolué pour former les grandes structures cosmiques.
6. Cosmologie computationnelle : l'univers comme un système d'information
Certains chercheurs explorent des modèles où l'univers est vu comme un gigantesque système computationnel :
• Univers comme ordinateur quantique : Certains théoriciens, comme Seth Lloyd, proposent que l'univers pourrait être décrit comme un ordinateur quantique qui traite l'information depuis le Big Bang. Les lois physiques seraient alors les “algorithmes” de cet ordinateur.
• Information et complexité : Des concepts comme la complexité algorithmique sont utilisés pour décrire comment l'information évolue dans des systèmes cosmologiques complexes, comme les galaxies ou les amas.
7. Observation cosmologique : recueillir et interpréter l'information
En pratique, la cosmologie consiste à collecter et analyser des informations :
• Photons comme messagers : La lumière voyageant depuis les galaxies et les quasars transporte de l'information sur leur position, leur vitesse, leur composition chimique, et leur évolution.
• Ondes gravitationnelles : Les détections récentes d'ondes gravitationnelles (fusées d'amas ou fusions de trous noirs/neutroniques) fournissent une nouvelle source d'information sur l'univers invisible.
• Information manquante : la matière noire et l'énergie sombre : Une grande partie de l'information cosmologique reste cachée dans la nature de la matière noire et de l'énergie sombre, qui représentent 95 % du contenu énergétique de l'univers.
Conclusion
Dans un cadre cosmologique, l'information est vue comme une propriété fondamentale de l'univers, encodée dans ses structures, ses champs et ses interactions. Que ce soit à travers l'entropie, les trous noirs, ou les données que nous recueillons, l'étude de l'univers est autant une quête d'information brute qu'une tentative de donner un sens à cette information pour comprendre ses lois fondamentales.




source: droit.developpez.com

Des députés de la majorité proposent que toute création de nouveau compte sur un réseau social fasse l'objet d'une procédure de certification. En français facile, l'objectif est d'associer une carte d'identité à tout compte sur les réseaux sociaux en France dès le 1er janvier 2027. C'est là l'une des propositions du projet de loi SREN qui menace la liberté sur Internet en France. En effet, ce dernier contient des dispositions additionnelles dont l'une vise à transformer les navigateurs web en outils de censure gouvernementale. L'ensemble des mesures vise à empêcher les enfants d'accéder à du contenu pornographique.
Une très mauvaise idée pour les députés Eric Bothorel (Renaissance) et Philippe Latombe (Modem), spécialistes du numérique, qui appellent au rejet de cet amendement lors de son examen à l'Assembléee nationale
Eric Bothorel et Philippe Latombe sont d'avis que l'interdiction de l'anonymat en ligne est un mythe :
« Certains persistent dans leur désir de lutter contre l'anonymat afin de s'opposer au sentiment d'impunité. Ce but de guerre repose sur un mythe, pour trois raisons principales. Premièrement, en France, et uniquement en France, il semblerait que nous devrions exiger l'identification de quiconque souhaite s'inscrire sur un réseau social. Qu'en est-il des enregistrements effectués depuis des pays étrangers ? Et que dire de la possibilité pour toute personne malveillante de contourner cette règle spécifiquement française ?
Combattre tous les stratagèmes que les criminels mettront en œuvre est une vieille idée, bien antérieure à l'avènement de Meta ou du chiffrement. Cela soulève la question de l'application d'une telle mesure, localement, dans un monde où Internet est mondial, où les géants privés tels que les messageries et les réseaux sociaux sont internationaux. Le mythe consiste à prétendre qu'il est possible de résoudre 100% des crimes et délits. En suivant ce raisonnement, je crains fortement que demain nous ne soyons contraints de nous attaquer au chiffrement. Cela serait inacceptable.
certains persistent dans leur désir de lutter contre l'anonymat afin de s'opposer au sentiment d'impunité. Ce but de guerre repose sur un mythe, pour trois raisons principales. Premièrement, en France, et uniquement en France, il semblerait que nous devrions exiger l'identification de quiconque souhaite s'inscrire sur un réseau social. Qu'en est-il des enregistrements effectués depuis des pays étrangers ? Et que dire de la possibilité pour toute personne malveillante de contourner cette règle spécifiquement française ?
Combattre tous les stratagèmes que les criminels mettront en œuvre est une vieille idée, bien antérieure à l'avènement de Meta ou du chiffrement. Cela soulève la question de l'application d'une telle mesure, localement, dans un monde où Internet est mondial, où les géants privés tels que les messageries et les réseaux sociaux sont internationaux. Le mythe consiste à prétendre qu'il est possible de résoudre 100% des crimes et délits. En suivant ce raisonnement, je crains fortement que demain nous ne soyons contraints de nous attaquer au chiffrement. Cela serait inacceptable. »
Ils soutiennent en sus que l'anonymat ne compromet pas l'identification des malfaiteurs :
« Deuxièmement, l'anonymat serait un obstacle insurmontable pour les victimes et un défi complexe pour les enquêteurs dans la résolution des affaires, sans équivalent dans la vie réelle. Cette affirmation est erronée. Combien de cambriolages, par exemple, n'ont pas abouti à l'identification des auteurs ? Ils ne laissent que rarement leur pseudo ou leur plaque d'immatriculation après avoir vidé une maison. Il existe des "cold cases" de crimes ou de délits "dans la vraie vie" tout comme sur la toile.
Aucune statistique ne démontre à ce jour que l'utilisation d'un pseudonyme ou d'un VPN compromet les performances des forces de police ou de gendarmerie dans la résolution des affaires, au point que commettre des délits en ligne serait moins risqué pour les coupables que dans la vie réelle. Chaque jour, de retentissantes affaires nous rappellent que, dans le cadre juridique actuel, les criminels les plus redoutables, prenant de multiples précautions, finissent par être appréhendés par les autorités. Les condamnations liées au réseau Sky ECC en sont un exemple parmi d'autres.
Troisièmement, à un moment où la priorité devrait être la consolidation d'un cadre européen harmonieux, au bénéfice des utilisateurs et des développeurs de solutions souveraines, cette exception française créerait un appel d'air considérable vers les vastes territoires du Far West (ou d'ailleurs), moins réglementés, incitant à recourir à des outils alternatifs non contrôlés. Chassez les extrémistes de Twitter, ils se réfugieront sur Gab, sur VK, nous le savons.
Passons sur ce que cela impliquerait en termes de risques accrus pour les lanceurs d'alerte, les chercheurs en intelligence ouverte qui collectent quotidiennement des preuves numériques dans un territoire virtuel hostile. Cette question est moins technique qu'elle n'y paraît ; sommes-nous prêts à anéantir tout ce qui contribue à la confiance dans nos échanges virtuels, au prétexte fallacieux que les risques encourus en ligne par les criminels ne se matérialisent pas dans le monde réel ? »
Le projet de loi SREN est un recueil de dispositions qui menacent la liberté sur Internet en France
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Le blocage des sites web au niveau du navigateur est inefficace, car il peut être facilement contourné par les utilisateurs qui peuvent changer de navigateur, utiliser un VPN ou un proxy, ou encore accéder aux contenus grâce à des applications mobiles ou des messageries instantanées.
Le blocage des sites web au niveau du navigateur est disproportionné, car il impose aux éditeurs de logiciels une responsabilité qui n'est pas la leur. En effet, les navigateurs web ne sont pas des hébergeurs ni des diffuseurs de contenus, mais des outils permettant aux utilisateurs d'accéder aux contenus qu'ils souhaitent. Les éditeurs de logiciels n'ont pas vocation à être des juges ni des censeurs du web.
Le blocage des sites web au niveau du navigateur est dangereux pour la démocratie, car il ouvre la voie à une surveillance généralisée et à une censure arbitraire du web. En effet, le projet de loi SREN ne prévoit pas de garanties suffisantes quant au respect du contradictoire, du droit au recours ou de la transparence dans la définition et l'application des critères d'illicéité des contenus. De plus, le projet de loi SREN pourrait servir de modèle à d'autres pays qui voudraient imposer leur vision du web aux utilisateurs français ou étrangers.
Mozilla invite d'ailleurs les internautes français à signer une pétition pour empêcher cette disposition du projet de loi d'être adoptée. Mozilla espère sensibiliser les parlementaires français et les citoyens européens à l'enjeu de la liberté sur Internet. La fondation invite également les internautes à partager la pétition sur les réseaux sociaux avec le hashtag #StopSREN.
Source : Assemblée nationale
Une très mauvaise idée pour les députés Eric Bothorel (Renaissance) et Philippe Latombe (Modem), spécialistes du numérique, qui appellent au rejet de cet amendement lors de son examen à l'Assembléee nationale
Eric Bothorel et Philippe Latombe sont d'avis que l'interdiction de l'anonymat en ligne est un mythe :
« Certains persistent dans leur désir de lutter contre l'anonymat afin de s'opposer au sentiment d'impunité. Ce but de guerre repose sur un mythe, pour trois raisons principales. Premièrement, en France, et uniquement en France, il semblerait que nous devrions exiger l'identification de quiconque souhaite s'inscrire sur un réseau social. Qu'en est-il des enregistrements effectués depuis des pays étrangers ? Et que dire de la possibilité pour toute personne malveillante de contourner cette règle spécifiquement française ?
Combattre tous les stratagèmes que les criminels mettront en œuvre est une vieille idée, bien antérieure à l'avènement de Meta ou du chiffrement. Cela soulève la question de l'application d'une telle mesure, localement, dans un monde où Internet est mondial, où les géants privés tels que les messageries et les réseaux sociaux sont internationaux. Le mythe consiste à prétendre qu'il est possible de résoudre 100% des crimes et délits. En suivant ce raisonnement, je crains fortement que demain nous ne soyons contraints de nous attaquer au chiffrement. Cela serait inacceptable.
certains persistent dans leur désir de lutter contre l'anonymat afin de s'opposer au sentiment d'impunité. Ce but de guerre repose sur un mythe, pour trois raisons principales. Premièrement, en France, et uniquement en France, il semblerait que nous devrions exiger l'identification de quiconque souhaite s'inscrire sur un réseau social. Qu'en est-il des enregistrements effectués depuis des pays étrangers ? Et que dire de la possibilité pour toute personne malveillante de contourner cette règle spécifiquement française ?
Combattre tous les stratagèmes que les criminels mettront en œuvre est une vieille idée, bien antérieure à l'avènement de Meta ou du chiffrement. Cela soulève la question de l'application d'une telle mesure, localement, dans un monde où Internet est mondial, où les géants privés tels que les messageries et les réseaux sociaux sont internationaux. Le mythe consiste à prétendre qu'il est possible de résoudre 100% des crimes et délits. En suivant ce raisonnement, je crains fortement que demain nous ne soyons contraints de nous attaquer au chiffrement. Cela serait inacceptable. »
Ils soutiennent en sus que l'anonymat ne compromet pas l'identification des malfaiteurs :
« Deuxièmement, l'anonymat serait un obstacle insurmontable pour les victimes et un défi complexe pour les enquêteurs dans la résolution des affaires, sans équivalent dans la vie réelle. Cette affirmation est erronée. Combien de cambriolages, par exemple, n'ont pas abouti à l'identification des auteurs ? Ils ne laissent que rarement leur pseudo ou leur plaque d'immatriculation après avoir vidé une maison. Il existe des "cold cases" de crimes ou de délits "dans la vraie vie" tout comme sur la toile.
Aucune statistique ne démontre à ce jour que l'utilisation d'un pseudonyme ou d'un VPN compromet les performances des forces de police ou de gendarmerie dans la résolution des affaires, au point que commettre des délits en ligne serait moins risqué pour les coupables que dans la vie réelle. Chaque jour, de retentissantes affaires nous rappellent que, dans le cadre juridique actuel, les criminels les plus redoutables, prenant de multiples précautions, finissent par être appréhendés par les autorités. Les condamnations liées au réseau Sky ECC en sont un exemple parmi d'autres.
Troisièmement, à un moment où la priorité devrait être la consolidation d'un cadre européen harmonieux, au bénéfice des utilisateurs et des développeurs de solutions souveraines, cette exception française créerait un appel d'air considérable vers les vastes territoires du Far West (ou d'ailleurs), moins réglementés, incitant à recourir à des outils alternatifs non contrôlés. Chassez les extrémistes de Twitter, ils se réfugieront sur Gab, sur VK, nous le savons.
Passons sur ce que cela impliquerait en termes de risques accrus pour les lanceurs d'alerte, les chercheurs en intelligence ouverte qui collectent quotidiennement des preuves numériques dans un territoire virtuel hostile. Cette question est moins technique qu'elle n'y paraît ; sommes-nous prêts à anéantir tout ce qui contribue à la confiance dans nos échanges virtuels, au prétexte fallacieux que les risques encourus en ligne par les criminels ne se matérialisent pas dans le monde réel ? »
Le projet de loi SREN est un recueil de dispositions qui menacent la liberté sur Internet en France
L'article 6 du projet de loi SREN, qui vise à lutter contre la fraude en ligne, prévoit d'imposer aux développeurs de navigateurs web de bloquer les sites web figurant sur une liste noire fournie par le gouvernement.
Le blocage des sites web par le navigateur est une mesure technique qui consiste à empêcher l'accès à certains contenus en fonction de leur adresse URL. Contrairement au filtrage par les fournisseurs d'accès à internet (FAI), qui peut être contourné par l'utilisation d'un VPN ou d'un proxy, le blocage par le navigateur rend impossible la consultation des sites web interdits, sauf à changer de navigateur ou à modifier son fichier hosts.
Cette mesure présente plusieurs risques pour l'internet ouvert mondial :
Elle remet en cause le principe de neutralité du net, qui garantit que tous les contenus sont traités de manière égale sur internet, sans discrimination ni interférence. En imposant aux navigateurs de bloquer certains sites web, le gouvernement français se donne le pouvoir de décider quels contenus sont légitimes ou non, sans passer par une autorité judiciaire indépendante ni respecter le droit à un recours effectif.
Elle porte atteinte à la liberté d'expression et au droit à l'information des utilisateurs, qui se voient privés de l'accès à des sources diverses et potentiellement critiques. Le blocage des sites web par le navigateur pourrait avoir un effet dissuasif sur les éditeurs de contenus, qui pourraient s'autocensurer par peur de figurer sur la liste noire du gouvernement. Il pourrait aussi entraîner des erreurs ou des abus, comme le blocage de sites web légitimes par erreur ou pour des raisons politiques.
Elle compromet la sécurité et la confidentialité des utilisateurs qui sont exposés à des risques accrus de piratage, de surveillance ou de censure. Le blocage des sites web par le navigateur implique que les navigateurs doivent communiquer avec le gouvernement pour recevoir la liste des sites web interdits, ce qui crée une faille potentielle dans la protection des données personnelles. Il implique aussi que les navigateurs doivent modifier leur fonctionnement normal, ce qui peut affecter leur performance, leur stabilité ou leur compatibilité avec les standards du web.
Mozilla s'oppose au projet de loi SREN
Mozilla estime que le projet de loi SREN, dans sa forme actuelle, porte atteinte à la liberté d'expression et au droit à l'information des internautes français. La fondation craint que le blocage des sites web au niveau du navigateur ne soit inefficace, disproportionné et dangereux pour la démocratie. Voici ses principaux arguments :
Le blocage des sites web au niveau du navigateur est inefficace, car il peut être facilement contourné par les utilisateurs qui peuvent changer de navigateur, utiliser un VPN ou un proxy, ou encore accéder aux contenus grâce à des applications mobiles ou des messageries instantanées.
Le blocage des sites web au niveau du navigateur est disproportionné, car il impose aux éditeurs de logiciels une responsabilité qui n'est pas la leur. En effet, les navigateurs web ne sont pas des hébergeurs ni des diffuseurs de contenus, mais des outils permettant aux utilisateurs d'accéder aux contenus qu'ils souhaitent. Les éditeurs de logiciels n'ont pas vocation à être des juges ni des censeurs du web.
Le blocage des sites web au niveau du navigateur est dangereux pour la démocratie, car il ouvre la voie à une surveillance généralisée et à une censure arbitraire du web. En effet, le projet de loi SREN ne prévoit pas de garanties suffisantes quant au respect du contradictoire, du droit au recours ou de la transparence dans la définition et l'application des critères d'illicéité des contenus. De plus, le projet de loi SREN pourrait servir de modèle à d'autres pays qui voudraient imposer leur vision du web aux utilisateurs français ou étrangers.
Mozilla invite d'ailleurs les internautes français à signer une pétition pour empêcher cette disposition du projet de loi d'être adoptée. Mozilla espère sensibiliser les parlementaires français et les citoyens européens à l'enjeu de la liberté sur Internet. La fondation invite également les internautes à partager la pétition sur les réseaux sociaux avec le hashtag #StopSREN.
Source : Assemblée nationale






Le télescope spatial James-Webb (JWST) de la NASA aurait détecté des signes de vie sur une planète lointaine. La BBC relaie cette surprenante annonce.
Une molécule de sulfure de diméthyle (DMS) aurait ainsi été repérée sur une planète située à 120 années-lumière de la nôtre. Or, le DMS n'est produit que par les êtres vivants –sur Terre du moins. Les chercheurs auraient également observé des traces de méthane et de CO2 dans son atmosphère, ce qui les pousse à penser que la planète, nommée «K2-18b», posséderait un océan d'eau.
«Sous le choc»
Nikku Madhusudhan, professeur à l'Université de Cambridge et directeur de la recherche, déclare: «Avec mon équipe, nous étions sous le choc lorsque nous avons pris connaissance des résultats.» Il poursuit: «Sur Terre, le sulfure de diméthyle n'est généré que par les êtres vivants. La majeure partie présente dans l'atmosphère terrestre est émise par le phytoplancton des environnements marins.»
Cependant, des recherches approfondies sont nécessaires pour confirmer la découverte, dont les résultats sont attendus d'ici un an: «Si c'est vrai, ce serait une avancée majeure. C'est pourquoi j'ai envie de faire les choses correctement avant d'affirmer quelque chose d'aussi important.»
K2-18b remplit toutes les conditions pour abriter la vie
Cette prudence fait écho à des événements de 2020: des scientifiques avaient annoncé au grand public la présence d'une molécule de phosphine, apparemment produite par des organismes vivants dans les nuages de Vénus, avant de la contester un an plus tard.
La capacité d'une planète à abriter la vie dépend de sa température, de la présence de carbone et probablement d'eau liquide. Les observations du JWST semblent suggérer que K2-18b remplit toutes ces conditions. Mais ce n'est pas parce qu'une planète peut héberger des êtres vivants qu'elle le fait nécessairement.
Robert Massey, directeur adjoint de la Société royale d'astronomie de Londres, reste enthousiaste: «C'est une petite avancée, mais c'est un pas de plus vers le jour où nous serons en mesure de répondre à cette grande question: “Sommes-nous seuls dans l'univers ou non?”»
Une molécule de sulfure de diméthyle (DMS) aurait ainsi été repérée sur une planète située à 120 années-lumière de la nôtre. Or, le DMS n'est produit que par les êtres vivants –sur Terre du moins. Les chercheurs auraient également observé des traces de méthane et de CO2 dans son atmosphère, ce qui les pousse à penser que la planète, nommée «K2-18b», posséderait un océan d'eau.
«Sous le choc»
Nikku Madhusudhan, professeur à l'Université de Cambridge et directeur de la recherche, déclare: «Avec mon équipe, nous étions sous le choc lorsque nous avons pris connaissance des résultats.» Il poursuit: «Sur Terre, le sulfure de diméthyle n'est généré que par les êtres vivants. La majeure partie présente dans l'atmosphère terrestre est émise par le phytoplancton des environnements marins.»
Cependant, des recherches approfondies sont nécessaires pour confirmer la découverte, dont les résultats sont attendus d'ici un an: «Si c'est vrai, ce serait une avancée majeure. C'est pourquoi j'ai envie de faire les choses correctement avant d'affirmer quelque chose d'aussi important.»
K2-18b remplit toutes les conditions pour abriter la vie
Cette prudence fait écho à des événements de 2020: des scientifiques avaient annoncé au grand public la présence d'une molécule de phosphine, apparemment produite par des organismes vivants dans les nuages de Vénus, avant de la contester un an plus tard.
La capacité d'une planète à abriter la vie dépend de sa température, de la présence de carbone et probablement d'eau liquide. Les observations du JWST semblent suggérer que K2-18b remplit toutes ces conditions. Mais ce n'est pas parce qu'une planète peut héberger des êtres vivants qu'elle le fait nécessairement.
Robert Massey, directeur adjoint de la Société royale d'astronomie de Londres, reste enthousiaste: «C'est une petite avancée, mais c'est un pas de plus vers le jour où nous serons en mesure de répondre à cette grande question: “Sommes-nous seuls dans l'univers ou non?”»







Il suffit de lire le texte en photo. La plupart des informations, concernant la sécurité française, transite par les Etats-Unis, via leur serveur. Ce qui est une blague ^^ !






Au fil du temps, l'homme s'est de plus en plus coupé de la nature, pour vivre de plus en plus dans des mondes issus de son mental, qui ont occupé une part de plus en plus grande de son temps et de son esprit.
L'écriture, puis de multiples autres moyens, ont permis l'accumulation et la transmission à travers le temps des savoirs, des idées et des créations de l'esprit. L'humanité a ainsi développé une idéosphère de plus en plus foisonnante, une réalité parallèle à celle de la biosphère et du monde réel.
Jusqu'à ce qu'aujourd'hui dans les sociétés modernes, et en particulier pour ceux qui vivent dans les villes, il n'y a plus rien d'autre, nous vivons presque entièrement dans les créations du mental, ouvrant la voie à toutes les dérives, à toutes les folies.
Et depuis 2 décennies, il est devenu de plus en plus évident (mais pas pour tout le monde) que nous sombrons dans une sorte de folie collective, de la base au sommet de la société.
Immergés dans une folie collective, c'est difficile de s'en rendre compte car si tout le monde devient fou en même temps, la "normalité" de référence devient cette folie.
Le seul moyen de s'en rendre compte est de réaliser que ce qui se fait ou ce qui est décidé est contraire à la raison ou à la logique.
Un autre moyen est de prendre du recul dans le temps en se rappelant ce qu'était la "normalité" auparavant.
Quelques manifestations de cette folie collective:
L'écriture inclusive, les débats de "genre", l'écologie hystérique aux actions inutiles (comme asperger de peinture des oeuvres d'art), les crypto monnaies ou les NFT par lesquels des gens achètent très cher du néant, la politique insensée des banques centrales qui ont créé de la monnaie à tout va avec pour résultat l'inflation, ou tout récemment le summum avec la dictature sanitaire et l'injection d'un traitement génétique expérimental à toute la population contre une maladie dont le taux de mortalité était de 0,5%, ou encore l'aveuglement sur la destruction en cours de la biosphère dont dépend pourtant notre survie.
L'écriture, puis de multiples autres moyens, ont permis l'accumulation et la transmission à travers le temps des savoirs, des idées et des créations de l'esprit. L'humanité a ainsi développé une idéosphère de plus en plus foisonnante, une réalité parallèle à celle de la biosphère et du monde réel.
Jusqu'à ce qu'aujourd'hui dans les sociétés modernes, et en particulier pour ceux qui vivent dans les villes, il n'y a plus rien d'autre, nous vivons presque entièrement dans les créations du mental, ouvrant la voie à toutes les dérives, à toutes les folies.
Et depuis 2 décennies, il est devenu de plus en plus évident (mais pas pour tout le monde) que nous sombrons dans une sorte de folie collective, de la base au sommet de la société.

Le seul moyen de s'en rendre compte est de réaliser que ce qui se fait ou ce qui est décidé est contraire à la raison ou à la logique.
Un autre moyen est de prendre du recul dans le temps en se rappelant ce qu'était la "normalité" auparavant.
Quelques manifestations de cette folie collective:
L'écriture inclusive, les débats de "genre", l'écologie hystérique aux actions inutiles (comme asperger de peinture des oeuvres d'art), les crypto monnaies ou les NFT par lesquels des gens achètent très cher du néant, la politique insensée des banques centrales qui ont créé de la monnaie à tout va avec pour résultat l'inflation, ou tout récemment le summum avec la dictature sanitaire et l'injection d'un traitement génétique expérimental à toute la population contre une maladie dont le taux de mortalité était de 0,5%, ou encore l'aveuglement sur la destruction en cours de la biosphère dont dépend pourtant notre survie.






Zaha Hadid est une architecte visionnaire dont les créations sont tout en courbes et d'une incroyable élégance.
Irakienne de naissance, elle a vécu à Londres dès son adolescence. Elle nous a quitté en 2016 à l'age de 66 ans.
Toujours habillée haute couture, la mode des grands couturiers était probablement l'une de ses sources d'inspirations.
Ses oeuvres sont présentes un peu partout dans le monde, mais surtout en Chine et au Moyen-Orient, car c'est surtout là que le 21è siècle se construit, plutôt que dans les pays occidentaux surendettés et en déclin.
En 2004, elle a obtenu le prix Pritzker, qui est un peu le Nobel de l'architecture. Elle est la seule femme a l'avoir obtenu.
Voici quelques unes de ses créations....
(Cliquer sur les images pour agrandir)
Cultural Centre and Opera House, Dubaï

Performing Arts Centre, Abu Dhabi


King Abdullah II House of Culture and Arts, Amman, Jordanie














En vidéo:
New Dance and Music Centre, La Haye



Elk Grove Civil Center à Center, Sacramento, Californie



Heydar Aliyev Centre, Baku, Azerbaijan











The Opus building, Dubai


Morpheus Hotel, City of Dreams, Macau, Chine










En vidéo:
Beijing Daxing International Airport (nouvel aéroport de Pékin)












En vidéo:
Burnham Pavilion, Chicago
Al Wakrah Stadium, Qatar



En vidéo:
Leeza Soho, Beijing (Pékin)






















En vidéo:
Irakienne de naissance, elle a vécu à Londres dès son adolescence. Elle nous a quitté en 2016 à l'age de 66 ans.
Toujours habillée haute couture, la mode des grands couturiers était probablement l'une de ses sources d'inspirations.
Ses oeuvres sont présentes un peu partout dans le monde, mais surtout en Chine et au Moyen-Orient, car c'est surtout là que le 21è siècle se construit, plutôt que dans les pays occidentaux surendettés et en déclin.
En 2004, elle a obtenu le prix Pritzker, qui est un peu le Nobel de l'architecture. Elle est la seule femme a l'avoir obtenu.
Voici quelques unes de ses créations....
(Cliquer sur les images pour agrandir)
Cultural Centre and Opera House, Dubaï

Performing Arts Centre, Abu Dhabi


King Abdullah II House of Culture and Arts, Amman, Jordanie















En vidéo:
New Dance and Music Centre, La Haye



Elk Grove Civil Center à Center, Sacramento, Californie



Heydar Aliyev Centre, Baku, Azerbaijan











The Opus building, Dubai


Morpheus Hotel, City of Dreams, Macau, Chine










En vidéo:
Beijing Daxing International Airport (nouvel aéroport de Pékin)












En vidéo:
Burnham Pavilion, Chicago
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Al Wakrah Stadium, Qatar



En vidéo:
Leeza Soho, Beijing (Pékin)






















En vidéo:







Les cinq niveaux de l'expérience psychédélique vont de sensations très légères à des hallucinations expansives. Ces niveaux sont un guide utile pour apprendre ce qu'il faut attendre d'une expérience psychédélique. Mais gardez à l'esprit qu'il n'existe a pas vraiment de frontières entre ces niveaux, et vous pouvez facilement glisser entre les états mentionnés ci-dessous. Ils peuvent être utilisés pour indiquer ce à quoi vous devez vous attendre, mais ne vous lancez jamais dans un voyage en pensant : « Aujourd'hui, je vais vivre une expérience de niveau 3 ». La beauté d'un trip, c'est que les plus profonds arrivent souvent par surprise.
EXPÉRIENCE PSYCHÉDÉLIQUE DE NIVEAU 1

C'est une expérience de niveau bas. Elle change rarement la vie et reste souvent très confortable.
Même si votre expérience du monde change dans cet état, vous aurez toujours l'impression de vivre dans le même monde.

EXPÉRIENCE PSYCHÉDÉLIQUE DE NIVEAU 2
C'est là que les choses commencent à devenir intéressantes. C'est la première étape que beaucoup de gens reconnaîtraient comme une « expérience psychédélique ».
De fortes réactions émotionnelles
Hallucinations légères à yeux fermés (CEV)
Dose légères de peyotl
Doses moyennes de MDMA

EXPÉRIENCE PSYCHÉDÉLIQUE DE NIVEAU 3
À ce stade, vous pouvez vous considérer comme « trippant ». C'est à ce stade et au-delà que vous commencerez à avoir des prises de conscience profondes et à remettre en question la réalité.
Pensées profondes sur le soi et l'univers
Boucles de pensée
Grande sensibilité aux stimuli physiques
Troubles visuels et auditifs légers
Rires incontrôlables
Doses normales de LSD
Doses normales de peyotl
Doses normales des « 2C »
Doses faibles ? moyennes de Salvia divinorum

EXPÉRIENCE PSYCHÉDÉLIQUE DE NIVEAU 4
Maintenant, les choses deviennent intéressantes. Quittez le monde tel que vous le connaissez et entrez dans d'autres univers, attendez-vous à revenir changé.
Visions
Dissolution de la réalité
Expériences hors du corps
Profondes prises de conscience

EXPÉRIENCE PSYCHÉDÉLIQUE DE NIVEAU 5
À ce stade, vous aurez transcendé et les choses ne seront plus jamais les mêmes. La réalité ne sera plus qu'un vague souvenir, et vous aurez lâché votre ego. Après cela, vous pourrez vous considérer comme un véritable psychonaute.
Communication avec l'autre monde
Éradication totale de la réalité
Très peu de différence entre avoir les yeux ouverts ou fermés
Propulsion à grande vitesse
Audiences avec des êtres divins
État mental étrangement sobre et rationnel
Doses extrêmement élevées d'autres drogues psychédéliques
EXPÉRIENCE PSYCHÉDÉLIQUE DE NIVEAU 1

C'est une expérience de niveau bas. Elle change rarement la vie et reste souvent très confortable.
Effets du niveau 1
Légère synesthésie (mélange des sens) et sensibilité accrue. Cela sera particulièrement perceptible avec la musique.Même si votre expérience du monde change dans cet état, vous aurez toujours l'impression de vivre dans le même monde.
Drogues psychédéliques de niveau 1
Cannabis
EXPÉRIENCE PSYCHÉDÉLIQUE DE NIVEAU 2
C'est là que les choses commencent à devenir intéressantes. C'est la première étape que beaucoup de gens reconnaîtraient comme une « expérience psychédélique ».
Effets du niveau 2
Déformation, respiration et autres effets visuelsDe fortes réactions émotionnelles
Hallucinations légères à yeux fermés (CEV)
Drogues psychédéliques de niveau 2
Doses légères de psilocybineDose légères de peyotl
Doses moyennes de MDMA

EXPÉRIENCE PSYCHÉDÉLIQUE DE NIVEAU 3
À ce stade, vous pouvez vous considérer comme « trippant ». C'est à ce stade et au-delà que vous commencerez à avoir des prises de conscience profondes et à remettre en question la réalité.
Effets du niveau 3
Fractales, traceurs et fortes hallucinations visuellesPensées profondes sur le soi et l'univers
Boucles de pensée
Grande sensibilité aux stimuli physiques
Troubles visuels et auditifs légers
Rires incontrôlables
Drogues psychédéliques de niveau 3
Doses normales de psilocybineDoses normales de LSD
Doses normales de peyotl
Doses normales des « 2C »
Doses faibles ? moyennes de Salvia divinorum

EXPÉRIENCE PSYCHÉDÉLIQUE DE NIVEAU 4
Maintenant, les choses deviennent intéressantes. Quittez le monde tel que vous le connaissez et entrez dans d'autres univers, attendez-vous à revenir changé.
Effets du niveau 4
Puissantes images d'un autre mondeVisions
Dissolution de la réalité
Expériences hors du corps
Profondes prises de conscience
Drogues psychédéliques de niveau 4
De fortes doses de psilocybine, de LSD, de peyotl, de 2C et de salvia
EXPÉRIENCE PSYCHÉDÉLIQUE DE NIVEAU 5
À ce stade, vous aurez transcendé et les choses ne seront plus jamais les mêmes. La réalité ne sera plus qu'un vague souvenir, et vous aurez lâché votre ego. Après cela, vous pourrez vous considérer comme un véritable psychonaute.
Effets du niveau 5
Mort de l'egoCommunication avec l'autre monde
Éradication totale de la réalité
Très peu de différence entre avoir les yeux ouverts ou fermés
Propulsion à grande vitesse
Audiences avec des êtres divins
État mental étrangement sobre et rationnel
Drogues psychédéliques de niveau 5
DMTDoses extrêmement élevées d'autres drogues psychédéliques






Voici une nouvelle façon d'appréhender le cycle de l'eau. Aux États-Unis, un analyste de données a élaboré une application de cartographie permettant de suivre une goutte d'eau sur des centaines, voire des milliers de kilomètres. Cette application permet ainsi de comprendre l'interconnexion entre les rivières et autres fleuves.
Suivre une goutte d'eau en caméra subjective
Sam Learner est un analyste de données à l'origine de l'application de cartographie River Runner. Celle-ci a été élaborée avec les données et l'aide de l'Institut d'études géologiques des États-Unis (USGS). L'organisation Internet of Water (qui traite de nombreuses données en lien avec l'eau) a également participé au projet. Sur la carte, il suffit de cliquer afin d'obtenir une goutte de pluie qu'il devient possible de suivre en caméra subjective durant son long périple.
Le test que nous avons effectué met en scène une goutte d'eau au départ de Vaud (Suisse) empruntant un premier cours d'eau avant de passer par le lac Léman. Ensuite, notre goutte poursuit son chemin dans le Rhône avant d'arriver dans le golfe du Lion, en mer Méditerranée. Une petite erreur s'est toutefois glissée, puisque la Saône est également mentionnée dans le trajet.
Une application encore imparfaite
Malgré cette petite bévue, le principal est sauf, à savoir permettre à l'utilisateur de comprendre que les cours d'eau sont interconnectés entre eux, et avec les mers et océans. Et surtout, comme l'explique Sam Learner dans un article de Fast Company du 6 janvier 2022, l'application permet également de se rendre compte à quel point la pollution présente dans les eaux peut voyager.
Sam Learner a quant à lui multiplié les essais, en partant de Chengdu (Chine), Cochabamba (Bolivie) ou encore Custer dans le Dakota du Sud (États-Unis). Ainsi, il est possible de cliquer n'importe où sur le globe, même les contrées les plus reculées. Cette application est intéressante et plutôt ludique. Par ailleurs, celle-ci progressé puisqu'à ses débuts, les trajets n'étaient disponibles qu'aux États-Unis.
Enfin, l'erreur que nous avons rencontrée durant notre essai n'est peut-être pas le fruit du hasard. En effet, l'application River Runner est pour l'instant seulement proposée en version Bêta. Bien que très riche en données, la carte comporte ainsi quelques défauts. En effet, les noms de nombreux cours d'eau sont encore manquants. Toutefois, il est possible de contacter les développeurs afin de demander un ajout.
Suivre une goutte d'eau en caméra subjective
Sam Learner est un analyste de données à l'origine de l'application de cartographie River Runner. Celle-ci a été élaborée avec les données et l'aide de l'Institut d'études géologiques des États-Unis (USGS). L'organisation Internet of Water (qui traite de nombreuses données en lien avec l'eau) a également participé au projet. Sur la carte, il suffit de cliquer afin d'obtenir une goutte de pluie qu'il devient possible de suivre en caméra subjective durant son long périple.
Le test que nous avons effectué met en scène une goutte d'eau au départ de Vaud (Suisse) empruntant un premier cours d'eau avant de passer par le lac Léman. Ensuite, notre goutte poursuit son chemin dans le Rhône avant d'arriver dans le golfe du Lion, en mer Méditerranée. Une petite erreur s'est toutefois glissée, puisque la Saône est également mentionnée dans le trajet.
Une application encore imparfaite
Malgré cette petite bévue, le principal est sauf, à savoir permettre à l'utilisateur de comprendre que les cours d'eau sont interconnectés entre eux, et avec les mers et océans. Et surtout, comme l'explique Sam Learner dans un article de Fast Company du 6 janvier 2022, l'application permet également de se rendre compte à quel point la pollution présente dans les eaux peut voyager.
Sam Learner a quant à lui multiplié les essais, en partant de Chengdu (Chine), Cochabamba (Bolivie) ou encore Custer dans le Dakota du Sud (États-Unis). Ainsi, il est possible de cliquer n'importe où sur le globe, même les contrées les plus reculées. Cette application est intéressante et plutôt ludique. Par ailleurs, celle-ci progressé puisqu'à ses débuts, les trajets n'étaient disponibles qu'aux États-Unis.
Enfin, l'erreur que nous avons rencontrée durant notre essai n'est peut-être pas le fruit du hasard. En effet, l'application River Runner est pour l'instant seulement proposée en version Bêta. Bien que très riche en données, la carte comporte ainsi quelques défauts. En effet, les noms de nombreux cours d'eau sont encore manquants. Toutefois, il est possible de contacter les développeurs afin de demander un ajout.







Respectemesdatas.fr est une nouvelle plateforme géniale lancée par l'UFC-que-Choisir, permettant de consulter la liste des données que les GAFAM et autres géants du numérique détiennent à votre sujet. Un formulaire simplifié permet ensuite d'exiger leur suppression. Découvrez tout ce que vous devez savoir sur cet outil, et comment l'utiliser !
Il y a quelques jours, un baromètre révélait que les Français ont baissé les armes face aux GAFAM. La plupart d'entre nous sont conscients de divulguer leurs données sur internet, mais s'y sont résignés face à l'absence de solutions.
Interrogés par TF1 dans le cadre d'un reportage, plusieurs internautes admettent avoir abandonné le combat : « On clique tous sur « tout accepter » en voyant très bien qu'il y a plein de petites choses que l'on ne regarde pas » reconnait l'un d'entre eux.
Une autre femme adopte le même ton fataliste : « Avec tout ce que l'on envoie, tout ce que l'on transmet, c'est sûr que c'est collecté ». Aux yeux de ces consommateurs, il est tout bonnement inutile de se débattre contre les tentacules des géants de la tech?
Une véritable mine d'or pour les GAFAM
De nombreux Français négligent la protection des données par insouciance. Dans leur esprit, la collecte de leurs informations demeure un point de détail sans conséquences dans le monde réel.
En réalité, l'impact potentiel est loin d'être anecdotique. Outre les risques de phishing par des cybercriminels, vos données personnelles peuvent faire augmenter le prix de vos achats en ligne.
Par exemple, un billet d'avion ou une course en taxi peuvent coûter plus cher selon la marque de téléphone utilisé pour passer commande. Il est clair que personne ne souhaite payer à prix fort, mais la majorité présume qu'il n'existe pas d'alternative.
Respectemesdatas : une plateforme lancée par l'UFC-que-Choisir
Pourtant, de nombreux outils existent pour naviguer sur le web de façon confidentielle. Le véritable problème est que ces protections sont méconnues, ou trop difficiles d'utilisation.
Afin de remédier à ce problème, l'UFC-que-Choisir vient de créer un nouvel outil accessible en ligne à l'adresse respectemesdatas.fr. En se rendant sur ce site web, chaque internaute peut « découvrir concrètement quelles sont les données personnelles collectées par les plateformes qu'il utilise, mais aussi et surtout, d'exercer ses droits de rectification, de suppression, et à l'oubli ».
Le président de l'association de consommateurs, Alain Bazot, explique que « les géants du web ont fait de nous des data, mais ça n'est pas une fatalité. Aujourd'hui, il est temps de renverser la tendance, de réagir en reprenant la main sur nos données personnelles. Nous avons des droits, exerçons-les ».
Comment supprimer vos données avec Respectemesdatas ?
Cette plateforme a pour avantage la simplicité d'utilisation. Il suffit de cliquer sur « Récupérer vos données », et sur le nom de l'entreprise de votre choix. Au total, 9 firmes sont passées au crible dont Google, Facebook, TikTok, Uber et Tinder.
Vous n'avez plus ensuite qu'à suivre les instructions. L'outil vous redirige d'abord vers le site de l'entreprise sélectionnée, pour y télécharger un fichier contenant toutes les données collectées à votre sujet depuis de nombreuses années.
Ce processus peut prendre quelques minutes, voire quelques jours selon l'organisme. Une analyse statistique est effectuée par la plateforme. Notons qu'aucune donnée n'est téléchargée sur les serveurs de l'UFC-que-Choisir : le traitement a lieu sur votre propre ordinateur.
Le site affichera ensuite plusieurs graphiques, permettant de visualiser facilement les données détenues par l'organisme choisi à votre sujet et la façon dont elles sont utilisées.
Ceci permet de savoir quel type d'informations est collecté et quelles activités sont pistées. Vous pourrez aussi découvrir quelles publicités ciblées vous sont présentées en fonction de vos données, ou encore vos centres d'intérêt identifiés par l'entreprise.
Pour exercer vos droits à la rectification et à l'oubli, il ne vous reste qu'à remplir un formulaire simplifié au maximum. Comme le conseille le directeur juridique de l'UFC-que-Choisir, Raphaël Bartlomé, « rappelez-vous que vous avez le droit de tout effacer. Ça ne va rien changer à vos habitudes, mais, au moins, ils n'auront pas toutes ces informations sur vous ».
#JeNeSuisPasUneData : une vaste campagne de sensibilisation
Afin d'accompagner le lancement de cet outil, l'UFC-que-Choisir lance aussi une campagne de sensibilisation « #JeNeSuisPasUneData ». L'objectif est « d'éveiller les consciences en révélant quels sites détiennent quelles informations et surtout mobiliser les internautes, en facilitant leur démarche pour exercer leurs droits ».
Aux yeux de l'association, « il est primordial que les consommateurs réalisent l'importance des données qu'ils laissent sur internet et les conséquences que cela peut impliquer sur leur vie ».
Alors que la CNIL vient également de lancer un service dédié à l'IA, il semble que la France ait finalement décidé de se dresser contre l'emprise des GAFAM. C'est une bonne nouvelle, car le numérique va continuer à transformer nos us et coutumes au fil des années à venir?
Outre ce nouvel outil, rappelons qu'il existe d'autres solutions accessibles pour limiter votre partage de données. Vous pouvez utiliser la navigation privée, refuser les cookies en arrivant sur un site web, masquer toutes vos informations sur les réseaux sociaux, mais aussi utiliser un VPN pour déguiser votre adresse IP et votre emplacement géographique !
Il y a quelques jours, un baromètre révélait que les Français ont baissé les armes face aux GAFAM. La plupart d'entre nous sont conscients de divulguer leurs données sur internet, mais s'y sont résignés face à l'absence de solutions.
Interrogés par TF1 dans le cadre d'un reportage, plusieurs internautes admettent avoir abandonné le combat : « On clique tous sur « tout accepter » en voyant très bien qu'il y a plein de petites choses que l'on ne regarde pas » reconnait l'un d'entre eux.
Une autre femme adopte le même ton fataliste : « Avec tout ce que l'on envoie, tout ce que l'on transmet, c'est sûr que c'est collecté ». Aux yeux de ces consommateurs, il est tout bonnement inutile de se débattre contre les tentacules des géants de la tech?
Une véritable mine d'or pour les GAFAM
De nombreux Français négligent la protection des données par insouciance. Dans leur esprit, la collecte de leurs informations demeure un point de détail sans conséquences dans le monde réel.
En réalité, l'impact potentiel est loin d'être anecdotique. Outre les risques de phishing par des cybercriminels, vos données personnelles peuvent faire augmenter le prix de vos achats en ligne.
Par exemple, un billet d'avion ou une course en taxi peuvent coûter plus cher selon la marque de téléphone utilisé pour passer commande. Il est clair que personne ne souhaite payer à prix fort, mais la majorité présume qu'il n'existe pas d'alternative.
Respectemesdatas : une plateforme lancée par l'UFC-que-Choisir
Pourtant, de nombreux outils existent pour naviguer sur le web de façon confidentielle. Le véritable problème est que ces protections sont méconnues, ou trop difficiles d'utilisation.
Afin de remédier à ce problème, l'UFC-que-Choisir vient de créer un nouvel outil accessible en ligne à l'adresse respectemesdatas.fr. En se rendant sur ce site web, chaque internaute peut « découvrir concrètement quelles sont les données personnelles collectées par les plateformes qu'il utilise, mais aussi et surtout, d'exercer ses droits de rectification, de suppression, et à l'oubli ».
Le président de l'association de consommateurs, Alain Bazot, explique que « les géants du web ont fait de nous des data, mais ça n'est pas une fatalité. Aujourd'hui, il est temps de renverser la tendance, de réagir en reprenant la main sur nos données personnelles. Nous avons des droits, exerçons-les ».
Comment supprimer vos données avec Respectemesdatas ?
Cette plateforme a pour avantage la simplicité d'utilisation. Il suffit de cliquer sur « Récupérer vos données », et sur le nom de l'entreprise de votre choix. Au total, 9 firmes sont passées au crible dont Google, Facebook, TikTok, Uber et Tinder.
Vous n'avez plus ensuite qu'à suivre les instructions. L'outil vous redirige d'abord vers le site de l'entreprise sélectionnée, pour y télécharger un fichier contenant toutes les données collectées à votre sujet depuis de nombreuses années.
Ce processus peut prendre quelques minutes, voire quelques jours selon l'organisme. Une analyse statistique est effectuée par la plateforme. Notons qu'aucune donnée n'est téléchargée sur les serveurs de l'UFC-que-Choisir : le traitement a lieu sur votre propre ordinateur.
Le site affichera ensuite plusieurs graphiques, permettant de visualiser facilement les données détenues par l'organisme choisi à votre sujet et la façon dont elles sont utilisées.
Ceci permet de savoir quel type d'informations est collecté et quelles activités sont pistées. Vous pourrez aussi découvrir quelles publicités ciblées vous sont présentées en fonction de vos données, ou encore vos centres d'intérêt identifiés par l'entreprise.
Pour exercer vos droits à la rectification et à l'oubli, il ne vous reste qu'à remplir un formulaire simplifié au maximum. Comme le conseille le directeur juridique de l'UFC-que-Choisir, Raphaël Bartlomé, « rappelez-vous que vous avez le droit de tout effacer. Ça ne va rien changer à vos habitudes, mais, au moins, ils n'auront pas toutes ces informations sur vous ».
#JeNeSuisPasUneData : une vaste campagne de sensibilisation
Afin d'accompagner le lancement de cet outil, l'UFC-que-Choisir lance aussi une campagne de sensibilisation « #JeNeSuisPasUneData ». L'objectif est « d'éveiller les consciences en révélant quels sites détiennent quelles informations et surtout mobiliser les internautes, en facilitant leur démarche pour exercer leurs droits ».
Aux yeux de l'association, « il est primordial que les consommateurs réalisent l'importance des données qu'ils laissent sur internet et les conséquences que cela peut impliquer sur leur vie ».
Alors que la CNIL vient également de lancer un service dédié à l'IA, il semble que la France ait finalement décidé de se dresser contre l'emprise des GAFAM. C'est une bonne nouvelle, car le numérique va continuer à transformer nos us et coutumes au fil des années à venir?
Outre ce nouvel outil, rappelons qu'il existe d'autres solutions accessibles pour limiter votre partage de données. Vous pouvez utiliser la navigation privée, refuser les cookies en arrivant sur un site web, masquer toutes vos informations sur les réseaux sociaux, mais aussi utiliser un VPN pour déguiser votre adresse IP et votre emplacement géographique !







Il est possible de créer son propre moteur de recherche, et de contourner Google et consort, pour devenir indépendant.
Une des solutions s'appelle YaCy, et fonctionne avec le peer to peer.
Le lien en source permet de l'installer sur les différents systèmes d'exploitations.
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