Test de Personnalité
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Spiritualité
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Feed back de 2014 sur les virus
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Merci Jil !
Un sujet magnifique encore sur les insectes :
http://village.syti.net/sujet.php?id=421
Sur la révolution, très clairement d'actualité :
Et j'ajoute,
11e raison
L'organisation de la précarité depuis 3 siecles qui n'a plus aucune justification valable.
(c'est tres facile de se documenter à ce propos)
12e raison
L'enrichissement des grandes familles dirigeantes de ce monde transmis de génération en génération jusqu'a aujourd'hui (né de l'esclavage, né de l'usurpation de la propriété, né de privilège autoproclamé) pour créer des revenus et rentes infinies dans le temps sur le capital.
https://www.syti.net/Revolution.html
La soumission par l'ignorance n'est plus possible.
L'intelligence des végétaux"
http://village.syti.net/sujet.php?id=575
Extrait de l'article "Collapse, l'effondrement" dans "Ou allons nous" publié en 2012.
"Depuis quarante ans, qu'avez-vous raté ?
Nous avons sous-estimé l'impact de la technologie sur les rendements agricoles, par exemple. Nous avons aussi sous-estimé la croissance de la population. Nous n'avions pas imaginé l'ampleur des bouleversements climatiques, la dépendance énergétique. En 1972, nous avions élaboré treize scénarios, j'en retiendrais deux : celui de l'effondrement et celui de l'équilibre. Quarante ans plus tard, c'est indéniablement le scénario de l'effondrement qui l'emporte ! Les données nous le montrent, ce n'est pas une vue de l'esprit.
Le point-clé est de savoir ce qui va se passer après les pics. Je pensais aussi honnêtement que nous avions réussi à alerter les dirigeants et les gens, en général, et que nous pouvions éviter l'effondrement. J'ai compris que les changements ne devaient pas être simplement technologiques mais aussi sociaux et culturels. Or, le cerveau humain n'est pas programmé pour appréhender les problèmes de long terme. C'est normal : Homo Sapiens a appris à fuir devant le danger, pas à imaginer les dangers à venir. Notre vision à court terme est en train de se fracasser contre la réalité physique des limites de la planète."
http://village.syti.net/sujet.php?id=575
Extrait de l'article "Collapse, l'effondrement" dans "Ou allons nous" publié en 2012.
"Depuis quarante ans, qu'avez-vous raté ?
Nous avons sous-estimé l'impact de la technologie sur les rendements agricoles, par exemple. Nous avons aussi sous-estimé la croissance de la population. Nous n'avions pas imaginé l'ampleur des bouleversements climatiques, la dépendance énergétique. En 1972, nous avions élaboré treize scénarios, j'en retiendrais deux : celui de l'effondrement et celui de l'équilibre. Quarante ans plus tard, c'est indéniablement le scénario de l'effondrement qui l'emporte ! Les données nous le montrent, ce n'est pas une vue de l'esprit.
Le point-clé est de savoir ce qui va se passer après les pics. Je pensais aussi honnêtement que nous avions réussi à alerter les dirigeants et les gens, en général, et que nous pouvions éviter l'effondrement. J'ai compris que les changements ne devaient pas être simplement technologiques mais aussi sociaux et culturels. Or, le cerveau humain n'est pas programmé pour appréhender les problèmes de long terme. C'est normal : Homo Sapiens a appris à fuir devant le danger, pas à imaginer les dangers à venir. Notre vision à court terme est en train de se fracasser contre la réalité physique des limites de la planète."
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source: Blogosphère
Bonjour
Ébauche d'article.
Mais que se passe t- il en France ?
Suis je concerné ?
Suis je pauvre ?
Suis je riche ?
Suis je idiot ?
Suis je intelligent ?
Suis je heureux ?
Suis je honnête avec moi même ?
Suis je altruiste ?
Que diraient les médias de moi ?
Mes amis sont ils concernés ?
Est ce que je soutiens 'ces mouvements' ?
Pourquoi cette violence ?
Il y a t-il une idée commune ?
Vont ils se regrouper ?
Vont ils disparaitre ?
Qu'est ce que la résistance ?
Qu'est ce que l'indignation ?
Est ce que j'ai envie de faire quelque chose ?
Est ce une réalité augmenté ?
Est une vraie braise révolutionnaire ?
Qui sont les ennemies ?
Ai je peur de perdre ma zone de confort ?
Ai je encore un idéal ?
Suis je foutu ?
Ai je peur de mourir ? De tomber malade ? De vieillir ?
Ai je envie de renaitre ?
Ai je une âme, un groupe d'âme, un destin ?
Voilà quelques questions qui peuvent faire que des gens inconnus arrivent a "pacter" ensemble parce ce qu'il se reconnaissent à travers des réponses d'ordre philosophique, qui peuvent donc donner un sens commun aux actions envisagées, les différences s'effacent devant des interrogations et réponses communes ou partagées ou l'autre n'est ni derrière vous ni devant vous mais bien a coté de vous.
Je pense qu'une ère de résistance et désobéissance civile est engagée en France.
Je pense que les raisons d'indignation sont nombreuses.
Ce que je pense n'est pas important, c'est une goutte dans le courant, le courant de pensée qui m'anime.
Mieux vaut parler de politique et de stratégie un peu plus tard.
ps: Pour ST je coche événement live pour voir ce qu'il se passe
Ébauche d'article.
Mais que se passe t- il en France ?
Suis je concerné ?
Suis je pauvre ?
Suis je riche ?
Suis je idiot ?
Suis je intelligent ?
Suis je heureux ?
Suis je honnête avec moi même ?
Suis je altruiste ?
Que diraient les médias de moi ?
Mes amis sont ils concernés ?
Est ce que je soutiens 'ces mouvements' ?
Pourquoi cette violence ?
Il y a t-il une idée commune ?
Vont ils se regrouper ?
Vont ils disparaitre ?
Qu'est ce que la résistance ?
Qu'est ce que l'indignation ?
Est ce que j'ai envie de faire quelque chose ?
Est ce une réalité augmenté ?
Est une vraie braise révolutionnaire ?
Qui sont les ennemies ?
Ai je peur de perdre ma zone de confort ?
Ai je encore un idéal ?
Suis je foutu ?
Ai je peur de mourir ? De tomber malade ? De vieillir ?
Ai je envie de renaitre ?
Ai je une âme, un groupe d'âme, un destin ?
Voilà quelques questions qui peuvent faire que des gens inconnus arrivent a "pacter" ensemble parce ce qu'il se reconnaissent à travers des réponses d'ordre philosophique, qui peuvent donc donner un sens commun aux actions envisagées, les différences s'effacent devant des interrogations et réponses communes ou partagées ou l'autre n'est ni derrière vous ni devant vous mais bien a coté de vous.
Je pense qu'une ère de résistance et désobéissance civile est engagée en France.
Je pense que les raisons d'indignation sont nombreuses.
Ce que je pense n'est pas important, c'est une goutte dans le courant, le courant de pensée qui m'anime.
Mieux vaut parler de politique et de stratégie un peu plus tard.
ps: Pour ST je coche événement live pour voir ce qu'il se passe
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2 ans plus tard, qu'en est il ? Ou allons nous ? Il y a eu les belles révolutions arabes qui se sont transformées en guerres, il y a eu les hommes de pouvoir qui restent au pouvoir même si les présidents changent, impuissant devant l'excitation de la guerre, quand l'Afrique est le terrain de jeu des puissants.
Il y a eu la mort d'un sage. Mandela, un immortel.
Il y a eu des bénéfices doublés, des trilliardaires.
Il y a 0,1 % de croissance, des affamés.
Il y a Noël.
Des milliards de fourmis dans les grands supermarchés.
Il y aura les bons voeux 2014
Tout va bien
Surtout ne rien changer
Et au bout quoi qu'il arrive, c'est la mort
Il y a la nature qui nous alerte.
L'homme méprise la nature.
Mangeons une bonne dinde farcie et tout ira mieux.
Courage, disait l'autre, pour ceux qui ont un soupçon d'humilité.
De neurones miroirs,
De sens spirituel...
Parfois des époques révèlent une signification considérable, nous sommes dans une de ces époques.
Il y a eu la mort d'un sage. Mandela, un immortel.
Il y a eu des bénéfices doublés, des trilliardaires.
Il y a 0,1 % de croissance, des affamés.
Il y a Noël.
Des milliards de fourmis dans les grands supermarchés.
Il y aura les bons voeux 2014
Tout va bien
Surtout ne rien changer
Et au bout quoi qu'il arrive, c'est la mort
Il y a la nature qui nous alerte.
L'homme méprise la nature.
Mangeons une bonne dinde farcie et tout ira mieux.
Courage, disait l'autre, pour ceux qui ont un soupçon d'humilité.
De neurones miroirs,
De sens spirituel...
Parfois des époques révèlent une signification considérable, nous sommes dans une de ces époques.
4 commentaires
source: Le Monde.fr et France Inter
Cette information a été relayé hier sur France Inter et dans le monde du 7 juin 2012. En dehors de ces 2 fenêtres médiatiques, autant dire invisible, la masse média a totalement censuré l'info.
La biosphère terrestre est à la veille d'une "bascule abrupte et irréversible" du fait de l'ampleur des pressions exercées par l'homme sur la planète. Les écosystèmes qui composent cette biosphère représentent, localement, des bénéfices irremplaçables pour les économies et les sociétés humaines.
C'est, en substance, l'inquiétante leçon à retenir de la publication, jeudi 7 juin, dans les colonnes de la revue Nature, de deux vastes synthèses des connaissances accumulées depuis deux décennies. La première de ces deux études traite de l'importance de la biodiversité dans le fonctionnement et les services rendus par la nature ; la seconde porte un diagnostic sur l'état de santé de celle-ci, à l'échelle mondiale.
Conduite par Anthony Barnosky, chercheur au département de biologie intégrative de l'université de Californie à Berkeley (Etats-Unis), cette dernière est cosignée par une vingtaine de chercheurs issus de plusieurs disciplines, appartenant à une quinzaine d'institutions scientifiques internationales. Elle pointe l'imminence - c'est-à-dire, aux échelles de temps planétaires, d'ici à "quelques générations" - d'une transition brutale vers un état de la biosphère terrestre inconnu d'Homo sapiens depuis l'émergence de l'espèce, voilà quelque 200 000 ans.
SEPT TRANSITIONS
Pour poser ce diagnostic, les auteurs ont analysé l'ensemble des travaux décrivant les bouleversements biologiques et géochimiques intervenus lors des grandes crises planétaires. Sept transitions ont ainsi été examinées. La dernière en date, la "transition glaciaire-interglaciaire", remonte à 11 000 ans. Elle marque le passage, au cours d'un réchauffement qui s'est étalé sur plusieurs millénaires, de la dernière période glaciaire à l'époque actuelle.
Les autres sont l'explosion cambrienne, il y a 540 millions d'années (Ma), qui a vu une grande diversification des formes de vie, et les cinq grandes extinctions, il y a 443 Ma, 359 Ma, 251 Ma, 200 Ma, puis 65 Ma, dont certaines ont vu l'extinction de plus de 90 % des espèces vivantes.
"Toutes ces grandes transitions ont coïncidé avec des contraintes qui ont modifié à l'échelle mondiale l'atmosphère, l'océan et le climat", écrivent les auteurs.
C'est précisément ce qui se produit actuellement, ajoutent-ils. "Il est projeté que, dans le siècle, les climats rencontrés aujourd'hui sur 10 % à 48 % de la superficie de la terre aient disparu et que des conditions climatiques qui n'ont jamais été rencontrées par les organismes actuels règnent sur 12 % à 39 % de la surface de la planète", soulignent les chercheurs.
L'augmentation de la concentration atmosphérique en dioxyde de carbone (CO2) ne bouleverse pas seulement le climat, mais altère aussi la chimie des océans qui "deviennent rapidement plus acides".
De plus, les effluents agricoles et urbains, charriés par les fleuves, créent "une réponse biotique déjà observable près des côtes, dans de vastes "zones mortes"", où la productivité (sa faculté à produire de la biomasse grâce à l'activité planctonique) de l'océan est nulle ou presque.
Les principales pressions exercées sont "la croissance de la population humaine et la consommation de ressources attenante", "la transformation et la fragmentation des habitats naturels", etc. Les auteurs rappellent ainsi que 43 % des écosystèmes terrestres sont aujourd'hui anthropisés, utilisés pour subvenir aux besoins des 7 milliards d'habitants de la Terre. Une règle de trois suggère qu'il faudra faire grimper ce taux à quelque 55 % pour 9 milliards d'humains vers 2050...
EROSION DE LA BIODIVERSITÉ
Mais peut-être en faudra-t-il bien plus. C'est ce que laisse craindre l'étude conduite par Bradley Cardinale (université du Michigan à Ann Arbor, Etats-Unis) et réalisée par dix-sept autres chercheurs internationaux, publiée dans la même édition de Nature. Elle pointe, de son côté, le rôle crucial de la diversité biologique - diversité des espèces et diversité génétique au sein des espèces - dans le fonctionnement des écosystèmes.
"Nous avons passé en revue environ un millier d'études publiées au cours des vingt dernières années, explique Anne Larigauderie, directrice exécutive de l'association scientifique Diversitas et co-auteur de ces travaux. A grands traits, le large consensus auquel nous parvenons est que la perte de biodiversité endommage la stabilité et le fonctionnement des écosystèmes, réduisant ainsi leur capacité à nous fournir des services auxquels nous sommes habitués."
L'érosion de la biodiversité réduira la productivité des pêcheries, de l'agriculture, etc. Et nécessitera d'accroître encore l'empreinte écologique de l'humanité.
A quelques jours de l'ouverture de Rio + 20 sommet mondial consacré au développement durable, la publication de ces deux études largement consensuelles constitue un puissant signal d'alarme.
La biosphère terrestre est à la veille d'une "bascule abrupte et irréversible" du fait de l'ampleur des pressions exercées par l'homme sur la planète. Les écosystèmes qui composent cette biosphère représentent, localement, des bénéfices irremplaçables pour les économies et les sociétés humaines.
C'est, en substance, l'inquiétante leçon à retenir de la publication, jeudi 7 juin, dans les colonnes de la revue Nature, de deux vastes synthèses des connaissances accumulées depuis deux décennies. La première de ces deux études traite de l'importance de la biodiversité dans le fonctionnement et les services rendus par la nature ; la seconde porte un diagnostic sur l'état de santé de celle-ci, à l'échelle mondiale.
Conduite par Anthony Barnosky, chercheur au département de biologie intégrative de l'université de Californie à Berkeley (Etats-Unis), cette dernière est cosignée par une vingtaine de chercheurs issus de plusieurs disciplines, appartenant à une quinzaine d'institutions scientifiques internationales. Elle pointe l'imminence - c'est-à-dire, aux échelles de temps planétaires, d'ici à "quelques générations" - d'une transition brutale vers un état de la biosphère terrestre inconnu d'Homo sapiens depuis l'émergence de l'espèce, voilà quelque 200 000 ans.
SEPT TRANSITIONS
Pour poser ce diagnostic, les auteurs ont analysé l'ensemble des travaux décrivant les bouleversements biologiques et géochimiques intervenus lors des grandes crises planétaires. Sept transitions ont ainsi été examinées. La dernière en date, la "transition glaciaire-interglaciaire", remonte à 11 000 ans. Elle marque le passage, au cours d'un réchauffement qui s'est étalé sur plusieurs millénaires, de la dernière période glaciaire à l'époque actuelle.
Les autres sont l'explosion cambrienne, il y a 540 millions d'années (Ma), qui a vu une grande diversification des formes de vie, et les cinq grandes extinctions, il y a 443 Ma, 359 Ma, 251 Ma, 200 Ma, puis 65 Ma, dont certaines ont vu l'extinction de plus de 90 % des espèces vivantes.
"Toutes ces grandes transitions ont coïncidé avec des contraintes qui ont modifié à l'échelle mondiale l'atmosphère, l'océan et le climat", écrivent les auteurs.
C'est précisément ce qui se produit actuellement, ajoutent-ils. "Il est projeté que, dans le siècle, les climats rencontrés aujourd'hui sur 10 % à 48 % de la superficie de la terre aient disparu et que des conditions climatiques qui n'ont jamais été rencontrées par les organismes actuels règnent sur 12 % à 39 % de la surface de la planète", soulignent les chercheurs.
L'augmentation de la concentration atmosphérique en dioxyde de carbone (CO2) ne bouleverse pas seulement le climat, mais altère aussi la chimie des océans qui "deviennent rapidement plus acides".
De plus, les effluents agricoles et urbains, charriés par les fleuves, créent "une réponse biotique déjà observable près des côtes, dans de vastes "zones mortes"", où la productivité (sa faculté à produire de la biomasse grâce à l'activité planctonique) de l'océan est nulle ou presque.
Les principales pressions exercées sont "la croissance de la population humaine et la consommation de ressources attenante", "la transformation et la fragmentation des habitats naturels", etc. Les auteurs rappellent ainsi que 43 % des écosystèmes terrestres sont aujourd'hui anthropisés, utilisés pour subvenir aux besoins des 7 milliards d'habitants de la Terre. Une règle de trois suggère qu'il faudra faire grimper ce taux à quelque 55 % pour 9 milliards d'humains vers 2050...
EROSION DE LA BIODIVERSITÉ
Mais peut-être en faudra-t-il bien plus. C'est ce que laisse craindre l'étude conduite par Bradley Cardinale (université du Michigan à Ann Arbor, Etats-Unis) et réalisée par dix-sept autres chercheurs internationaux, publiée dans la même édition de Nature. Elle pointe, de son côté, le rôle crucial de la diversité biologique - diversité des espèces et diversité génétique au sein des espèces - dans le fonctionnement des écosystèmes.
"Nous avons passé en revue environ un millier d'études publiées au cours des vingt dernières années, explique Anne Larigauderie, directrice exécutive de l'association scientifique Diversitas et co-auteur de ces travaux. A grands traits, le large consensus auquel nous parvenons est que la perte de biodiversité endommage la stabilité et le fonctionnement des écosystèmes, réduisant ainsi leur capacité à nous fournir des services auxquels nous sommes habitués."
L'érosion de la biodiversité réduira la productivité des pêcheries, de l'agriculture, etc. Et nécessitera d'accroître encore l'empreinte écologique de l'humanité.
A quelques jours de l'ouverture de Rio + 20 sommet mondial consacré au développement durable, la publication de ces deux études largement consensuelles constitue un puissant signal d'alarme.
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