|
|
|
| |
| Quant à l’autorité, l’homme se trouve pris dans un paradoxe qui se renouvelle éternellement : Tout groupe choisit un chef , selon des critères différents : un homme à fort caractère en temps de crise, un « utopiste » en temps de rébellion, un chef de guerre en temps de conflit. Cela pourrait convenir si le pouvoir accordé ne corrompait pas quasiment systématiquement ce chef qui devient de plus en plus autoritaire chaque fois que ses décisions – c’est-à-dire lui-même – se trouvent contestées.
L’individu votant se retrouve alors au centre d’un dilemme : il a élu et donné du pouvoir à un autre qui peut alors justifier ses exactions au nom de la masse populaire. On le voit dans les débats télévisuels lorsque le porte-parole du pouvoir rappelle que le chef a été élu, ou qu’il fait taire son opposant en rappelant que la majorité se plaint mais qu’elle ne peut nier avoir choisi.
Comme dans l’expérience de Milgram, le « mouton » risque de revoter de la même façon pour justifier son premier choix, son obéissance (et sa perte de liberté) initiale en pariant sur les résultats à venir.
Selon William Golding (Je suis en train de relire Sa Majesté des Mouches) qui met en scène un groupe d’enfants de 6 à 12ans livrés à eux-mêmes sur une île déserte, ce principe est intrinsèque à la nature humaine : les enfants ont choisi – très raisonnablement - le plus fort et le plus charismatique pour organiser (et non diriger) la vie sur l’île. Cependant la nuance est si faible que l’élu est immédiatement proclamé chef.
Le roman montre impitoyablement comme se met en place le pouvoir autoritaire : la première désobéissance du groupe conduit à une catastrophe ce qui « justifie » la violence à venir du chef pour se faire respecter de ces « irresponsables », dans ses bonnes comme dans ses mauvaises décisions. Ne réussissant pas à conserver l’unanimité, le chef se préoccupe alors davantage de garder le pouvoir que d’agir pour le bien de tous.
Personnellement, je n’ai réussi à dépasser ce problème lié à l’autorité : j’ai beaucoup de mal avec l’idée de l’anarchie mais le pouvoir corrompt l’homme… La solution semble se trouver dans le choix et la chance qui offrent des hommes comme Mandela ou Gandhi mais le pouvoir autoritaire déjà en place s’arrange généralement pour les faire taire.
Faut-il alors, lorsque l’on met la main sur un tel homme, balayer le pouvoir en place pour redonner un tel pouvoir à un autre ? C’est le serpent qui se mord la queue.
|
|
| |
| Ouawow !
Kubrick à vraiment fait un film à question ouverte. C'est peut être le seul de lui.
Orange Mécanic à très mal vieilli par exemple.
Pour 2001 : l'évocation de l'œil qui se voit, qui se voit vieillir, l'œil qui transgresse les temps pour "se devenir" (ça va faire plaisir à nos amis Francs-maçons) ; et la renaissance finale qui ressemble à une réincarnation ou un nouveau Big Bang...
Le personnage de Floyd parle dans le film de "nous ne sommes pas autorisés...".... "Nous"...
ça rejoint un peu mes propres perspectives théoriques sur des Big Bangs successifs où nous serions tous des "réincarnés" un peu différents, grâce aux choix que nous faisons et à notre intrication.
Maintenant, en sachant l'existence de la matière noire et de 90 % de matière inconnue, il serait dommageable de se sentir vivant dans une matière qui est à 90 % composée de vide, et à 90 % inconnue !!!!
Soyons réalistes nous ne savons rien (enfiin moi) mais on travaille pour savoir (comme les autres moi)... Pourquoi pas évoquer les outils en os, mais je me projette plutôt dans les outils de masse : les accélérateurs de particules et les moteurs ioniques pour des voyages lointains.
De toutes manières nous avançons et malgré les freins psychologiques.
Rien empêche l'évolution, à part sa trop grande expansion, sélective, qui n'englobe plus la majorité mais créer deux mondes à cause du vide social typique de notre société à double vitesse.
perso : j'aurai préféré une Hale qu'un Hal... une voix féminine douce et sensuelle au lieu d'un castra en sol majeur ça aurait donné une couleur supplémentaire à 2001 !
|
|
| |
| Extrait de paper-Blog :
C'est le mathématicien français Benoît Mandelbrot, inventeur de l'ensemble du même nom, l'une des plus illustres, qui a forgé ce terme dans les années 70. Un objet fractal se caractérise par son autosimilarité (parfaite ou approchée) : il contient des structures homologues, quelle que soit l'échelle d'observation où l'on se place. Le tout est comparable à l'une de ses parties.
Mathématiquement, pour définir l'ensemble de Mandelbrot, on associe à chaque point C du plan complexe (fondé sur les nombres imaginaires où i est la racine carrée de -1... promis je n'insiste pas sur ce sujet ) la suite zn+1 = zn2 + C avec z0 = 0.
Ce qui est intéressant du point de vue néophyte est que cet ensemble est borné par un cercle de rayon 2, et a donc une aire qui est finie. Alors que son périmètre lui, est infini. Ce qui explique pourquoi tout leur attrait est qu'il se passe énormément de choses à leurs frontières (il faut bien que le "périmètre s'étende" : à condition de regarder toujours plus près, dans l'infiniment petit !
L'équation ci-dessus revient à une rotation dans le plan complexe et une translation (un déplacement linéaire). Pour créer l'ensemble de Mandelbrot on répète pour chaque point cette action, jusqu'à ce que la suite diverge (sorte de l'ensemble)... ou plus prosaïquement jusqu'au maximum d'itérations qu'on s'était fixé ! (notre précision a ses limites)
Et dans nos représentations graphiques, on fait varier la couleur selon que la suite a divergé plus ou moins vite (nombre d'itérations effectuées) : les zones concentriques colorées reflètent la distance aux pourtours.
Partant de là, au lieu de procéder à partir d'un plan (des points de coordonnées planes cartésiennes x, y), White s'est servi de coordonnées spatiales sphériques (x,y,z). Un confrère, Paul Nylander, a eu l'idée d'exploiter des puissances supérieures à 2 qui, à partir de 8, ont produit le résultat espéré. Un bon moteur de rendu 3D permet de "naviguer" dans le volume obtenu, comme le montrent les vidéos, certaines impressionnantes..
Pour ceux qui maitrise l'anglais : http://www.skytopia.com/project/fractal/2mandelbulb.html#epilogue
Je vous recommandent chaudement ce site.
En pratique c'est Sylvain et Valérie qui m'ont montré cet univers fabuleux. Je les remercie grandement. Depuis je m'y intéresse et au delà de la beauté visuelle il y a également un charme mathématique, et certainement une frontière sublimée de compréhension dont l'essence se trouve dans une réalité très... heu.. créative et naturelle, presque émotionnelle. En fait il n'y a pas de frontières et les mots ont toujours du mal à définir un principe infini sans le limiter.
Nous avons certainement avec les fractales une "résonance" de l'univers dans son principe fondamental. Je relie le fait mathématique à la théorie quantique qui est active et intuitive, mais encore avec de nombreuses inconnues, pour schématiser à mon niveau une pensée de Notre Univers et de Nous.
Attention aux pièges : Harmoniser la théorie quantique et les fractales n'est jamais donner une prédominance de l'un sur l'autre. La question est donc :
Existe t-il plus que l'ensemble des deux ?
A ce jour on ne pas répondre car ni la Quantique ni les Fractales n'ont développer paradoxalement de frontières à l'infini. C'est ce paradoxe qui est sublime : repousser les limites pour découvrir l'infini...
Si tout ce passe bien pour l'Humanité, dans quelques générations ça devrait le faire !
Il est impossible de perdre toutes ces connaissances dans un simple crash de l'Humanité.
Si nous pouvons faire quelques chose : peut être dans le LAB, c'est de mettre à l'abri toutes ses données et une manière rapide d'apprentissage pour des individus qui vivraient dans une société en construction ou en reconstruction.
Pour nous au cas où la planète subirait une catastrophe, ou pour une exoplanète si nous décidons d'intervenir sur une planète habitée d'êtres organisés (même si je prône la non intervention et l'évolution naturelle, il peux exister des circonstances inédites).
|
|
| |
|
Kaliyuga a écrit: | C'est tres interessant, ....
Je pensais que le seul fait de lire ce topic permet aussi de freiner le mecanisme de conditionnement. Individuellement, notre ignorance volontaire est parfaitement organisée pour que notre temps soit compté. alors plutot que de "réfléchir" de prendre le temps de"réflechir" on nous bassine avec " l'idéologie travail et l'idéologie loisir" 8h de boulot 8h de sommeil 2h de consomation (fruit de ton travail), 2h de de loisirs, 2 h de tv (pseudo info ou culture) 2h a manger.
Aucune place dans notre quotidien, pour un temps de regard de soi, de l'autre, aucune place à la reflexion, la contemplation, l'oisiveté et l'amour...
Une chaîne tyrannique....c'est terrifiant.
Cela faisait un bout de temps que je n'etais pas venu sur le forum, puis comme par manque "d'utopie", par manque "d'oxygene non pollué", par manque d'âme qui réflechissent fallait que j'aille jeter un coup d'oeil.... cela fait du bien.
Cela fait du bien d' "Auto stopper" son propre mécanisme... tyrannique.
Le pire.... c'est l'auto satisfaction de sa journéee. je m'explique...
j'ai bien bossé aujourd'hui (valeur conditionné).... j'ai donc mérité ma dose de "plaisir" (autre valeur conditionné.) = c'est bien ce que je fais (valeur de reconnaissance sociale) la boucle est bouclée, le moule est parfaitement rodé.
Finalement c'est peut etre l'innaction individuel qui permettra l'action collective, parvenir a réfléchir a ce que je ne pourrais pas faire (je n'alimente pas le mécanisme) plutot que s'épuiser a vouloir passer en force.
Des tas de petites choses quotidiennes à ne pas faire, a diminuer, a restreindre, des comportements, des mots, des attitudes....
c'est pas très claire tout ca !!! Aller a bientot !!! |
Ouep, je te rejoins dans ton point de vue. Il faut juste insister sur le fait que nous sommes détournés par le biais même de nos caractéristiques humaines.
D'une part, il est temps de reconnaître notre dynamique: celle de la résolution des problèmes. Nous sommes des créatures faites à la compréhension (intégration) puis à l'amélioration (par analyse, recul, puis élaboration de l'issue).
D'autre part, depuis la sédentérisation des humains, depuis leur regroupement en société, il s'est créé une autorité en charge de la gestion du groupe. Une autorité, qui de sa fonction de gestionnaire, a un regard sur l'ensemble.
Nous sommes rendu à une telle "amélioration" de cette corporation, que les membres de l'autorité en sont venus à se défaire du reste du groupe du fait même du statut de gestion que le groupe leur a attribué.. Ces gens sont devenus des spécialistes de leur fonction, puis tout ceci s'est transformé en travail rémunéré, et surtout en hiérarchie.
Cette autorité sais très bien comment accaparer la masse, puisque très au courant de la manière dont la psyché humaine va concentrer son attention. Aujourd'hui, nous vivons les résultats d'une telle gérance. Nous nous sommes désolidarisés, et notre nature faite à la résolution s'est vue canalisée dans un ensemble de faux débats, de faux problèmes, des préoccupations très individuelles.
"Faux", non ça n'est même pas faux, c'est plutôt artificiel, illusoire, bon à catalyser cette éducation à nous regarder et à analyser individuellement, bon à nous défaire d'une essence pour nous rééduquer à intégrer un paradigme sociétal, même s'il est l'inverse de l'éthique intrinsèque à la sève de l'Homme.
|
|
| |
| C'est tres interessant, ....
Je pensais que le seul fait de lire ce topic permet aussi de freiner le mecanisme de conditionnement. Individuellement, notre ignorance volontaire est parfaitement organisée pour que notre temps soit compté. alors plutot que de "réfléchir" de prendre le temps de"réflechir" on nous bassine avec " l'idéologie travail et l'idéologie loisir" 8h de boulot 8h de sommeil 2h de consomation (fruit de ton travail), 2h de de loisirs, 2 h de tv (pseudo info ou culture) 2h a manger.
Aucune place dans notre quotidien, pour un temps de regard de soi, de l'autre, aucune place à la reflexion, la contemplation, l'oisiveté et l'amour...
Une chaîne tyrannique....c'est terrifiant.
Cela faisait un bout de temps que je n'etais pas venu sur le forum, puis comme par manque "d'utopie", par manque "d'oxygene non pollué", par manque d'âme qui réflechissent fallait que j'aille jeter un coup d'oeil.... cela fait du bien.
Cela fait du bien d' "Auto stopper" son propre mécanisme... tyrannique.
Le pire.... c'est l'auto satisfaction de sa journéee. je m'explique...
j'ai bien bossé aujourd'hui (valeur conditionné).... j'ai donc mérité ma dose de "plaisir" (autre valeur conditionné.) = c'est bien ce que je fais (valeur de reconnaissance sociale) la boucle est bouclée, le moule est parfaitement rodé.
Finalement c'est peut etre l'innaction individuel qui permettra l'action collective, parvenir a réfléchir a ce que je ne pourrais pas faire (je n'alimente pas le mécanisme) plutot que s'épuiser a vouloir passer en force.
Des tas de petites choses quotidiennes à ne pas faire, a diminuer, a restreindre, des comportements, des mots, des attitudes....
c'est pas très claire tout ca !!! Aller a bientot !!!
|
|
| |
| Le 17 mars 2010 à 20h35, France 2 va diffuser "Le jeu de la mort", un jeu de télé réalité basé sur l'expérience de Milgram, en testant jusqu'où les joueurs iront. Un documentaire sur l'expérience de Milgram sera également diffusé.
Présentation sur le site de France 2 par Christophe Nick, l'auteur du documentaire et producteur de l'émission:
Ce site et les documentaires qu’il présente risquent de vous choquer.
Il ne s’agit pourtant que de télévision et de divertissement.
Depuis 10 ans, de nombreuses chaînes de télévision fabriquent des programmes de plus en plus extrêmes. Ils mettent en scène la cruauté, l’humiliation, l’élimination de l’homme par l’homme. Les tabous les plus profonds de nos sociétés sont transgressés. En Grande-Bretagne, on en arrive à disséquer des cadavres humains en direct, chaque samedi soir…
Un des thèmes favoris de la science-fiction devient donc d’actualité : à quand le jeu de la mort en prime time ? Cette question folle ne peut plus être balayée. Que faudrait-il pour qu’un jeu pareil existe ?
1. Des candidats.
2. Un public.
3. Une chaîne qui accepte de le diffuser.
4. Des téléspectateurs qui aient envie de le regarder…
C’est là que vous risquez d’être choqué. Les deux documentaires bientôt à l’antenne vont vous prouver qu’aujourd’hui, ces quatre conditions sont réunies. En s’appuyant sur la transposition d’une célèbre expérience de psychologie sociale, encadrée par une équipe scientifique dirigée par le professeur Jean-Léon Beauvois, nos films prouvent que la télé peut faire faire n’importe quoi à n’importe qui. Que certains diffuseurs n’ont plus aucune limite. Que les mises en scène pulsionnelles déclenchent l’addiction des téléspectateurs.
Il est temps de découvrir cette réalité. Il faut s’interroger sur le pouvoir de la télévision.
|
|
| |
| Voici un bref extrait de Kubrick sur le film :
"Stanley Kubrick évoque lui-même son film dans l’entretien suivant.
Stanley Kubrick : « (...) 2001 est fondamentalement une expérience visuelle, non verbale. Le film évite la formulation verbale en termes conceptuels, et atteint le subconscient du spectateur de manière poétique et philosophique. Il devient ainsi une expérience subjective qui touche le spectateur sur un mode de conscience interne, comme la musique ou la peinture. »
Joseph Gelmis : « Les séquences finales du film semblaient plus métaphoriques que simplement réalistes. Les commenterez-vous ou bien cela fait-il partie des voies toutes tracées que vous essayez d’éviter ? »
Stanley Kubrick : « Non, je ne vois pas d’inconvénients à en parler, au niveau le plus élémentaire : je veux dire en vue d’une simple explicitation de l’intrigue. Elle commence par un artefact laissé sur terre il y a quatre millions d’années par des explorateurs extraterrestres venus observer le comportement des hommes-singes de l’époque, et qui avaient décidé d’influencer le cours de leur évolution.
Puis vous trouvez un second artefact enterré sur la Lune et programmé pour donner le signal des premiers pas de l’homme dans l’univers. C’est une sorte de clairon cosmique.
Et, finalement, vous avez un troisième artefact placé en orbite autour de Jupiter dans l’attente du moment où l’homme aura atteint la limite extrême de son propre système solaire.
Quand l’astronaute qui a survécu, Bowman, finit par atteindre Jupiter, l’artefact l’entraîne dans un champ de forces, à travers des espaces intérieurs et extérieurs, et le transporte finalement dans une autre partie de la galaxie. Là, il est placé dans un zoo humain, en quelque sorte un hôpital, un environnement terrien tiré de ses propres rêves et de son imagination. Le temps n’existe pas : sa vie passe de l’âge mûr à la vieillesse et à la mort. Il renaît en un être amélioré, un enfant-étoile, un ange, un surhomme si vous voulez, et retourne sur terre prêt pour la nouvelle étape de l’évolution et de la destinée humaines. »
Extrait de l’entretien de Stanley Kubrick avec Joseph Gelmis,
in The Film Director as Superstar, 1970,
repris dans Positif, n° 464, octobre 1999. "
source : http://www.sceren.fr/TICE/teledoc/dossiers/dossier_2001odyssee.htm
en fait, ca me fait penser aux guides spirituels qui choisissent de revenir sur terre pour élever le niveau de conscience, chez Werber
J'avais lu le livre juste après le film, et c'est vrai que j'avais été un peu déboussolée !
|
|
| |
| Excellent décodage de 2001, en élargissant la réflexion à des questions essentielles, notamment à propos des Ecoles de Mystères, leurs adeptes, les concepts Lucifer/Satan, et les liens de tout ça avec notre civilisation.
A propos du film, je sèche aussi sur la fin
On pourrait dire qu'il meurt à bord du vaisseau, et son âme entre dans la dimension immatérielle faite d'information et de conscience, où le temps est aboli. Le monotythe est à nouveau présent à cette étape, comme à chacune des étapes-clé précédentes. On pourrait y voir aussi l'étape suivante pour l'humanité, lorsqu'elle aura dépassé le stade matériel, accédant à la connaissance de ce qui sous-tend la réalité, et entrant en contact avec la "conscience de la Création".
Puis, il arrive dans un lieu indéfini, le décor est une projection de son esprit et de la culture occidentale dont il provient. Le monolythe, symbole de la conscience qui sous-tend l'Evolution, est encore là au moment de la nouvelle mort-naissance de Dave, qui le renvoie dans un cycle incarné.
Mais ces interprétations sont très incertaines, et il reste beaucoup de détails mystérieux. Par exemple, pourquoi à un moment casse-t-il un verre qui se brise en tombant sur le sol? C'est un détail mais il n'est certainement pas là par hasard.
C'est dommage que l'auteur de l'article ne parle pas de la fin...
|
|
|
|