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| Messages et articles de karotrapé
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| source: Net-web ; http://www.lanef.com/index.php
La Nouvelle Economie Fraternelle : la NEF
Oui il est temps de se réaproprier nos biens, communs à l'ensemble des citoyens, et surtout l'argent qui aujourd'hui dope un système écrasant le peuple et les plus pauvres...
Car loin d'un souci de déhontologie, l'argent des banque sert à un système de valeur virtuel, en bourse, pour générer des guerres économiques, et affamer des populations entières dans les pays pauvres comme au sein de notre propre nation.
C'est la raison pour laquelle il existe une émergence de nouvelles solutions coopératives, notemment banquaire. Cette solution d'épargne collaboratif, vise à remettre le citoyen au coeur du capital et de la gestion des richesses communes, du revenu du travail et de l'épargne.
Mieux qu'un long discour, je vous propose de visiter le site de cette nouvelle banque - la seule en France pour le moment - et découvrir les solutions fabuleuse d'une gestion intelligente et solidaire de l'argent des citoyens.
Rappellons-nous que l'ARGENT N'A AUCUNE VALEUR EN SOIT, mais c'est le moyen de le gagner et de l'utiliser qui est important !
http://www.lanef.com/index.php
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| Cet espace commencera par un poême...
Procession
Sur les hauteurs d’une montagne ancienne,
Une brûme blanche s’élève à la nuit, par boufées et soupirs,
Tandis que la lune se nacre de cet enssens magique
Et reste des étoiles la brillante gardienne.
Des chants résonnent, éttouffés aux flux du zéphire,
Qui embrasse les feuilles d’hêtres et les échos mélodiques.
Ainsi grimpe la processession à Sélène,
Chaotique randonnée en zébrure et en flambeaux,
Afin d’honorer au plus proche des cieux l’immortalité,
Les villageois gravissant la montagne païenne,
Pour mieux se faire entendre des Dieux,
Et de l’eternité…
Pas à pas initiatiques, nus dans le clair-obscur des torches enflammées,
Par milliers hommes et femmes mélangés sur les sentiers anciens,
Carressent de leurs pas la montagne, sortant tout autour des forêts de hêtres,
Jusqu’à la cime aigûe, Sélène apposant à la pointe son disque nacré,
Et où chaque individu par une dernière marche, enfin,
Tout à tour, dans un dernier pas, en la lune semble disparaître…
Karotrapé
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| Si les technologies avancent rapidement par une évolution presque exponentielle, les avancées sociales n’ont pas le même dévelloppement ni la même diffusion, la même marque d’attention que l’on attend des pouvoirs publiques et des instences mondiales. Il y a même un paradoxe flagrant sur l’évolution sociale et l’organisation internationale de celle-ci qui a une tendence, aujourd’hui, à conforter les sectarismes, les totalitarismes et la repression si le système financier l'exige.
En lieu et place de l’épanouïssement individuel et de l’échange culturel, la mixité des clivages sociaux, l’harmonisation des ententes entre les peuples par le devellopement équilatéral de nouvelles ressources energétiques et artistiques ; le culte de la différence est valorisé, à grand renfort d’esprit ethno-partisants.
La nature même de l’Humanité « humaniste » est dévalorisée systématiquement par la mise en place de reéseaux commerciaux basés sur la compétition et la violence (jeux vidéos, films ultra-violents, valorisation de la drogue dure, des narco-trafficants et de l’argent facile).
La mise en place des « délocalisations » vers les pays pauvres ont également tendence à créer une compétition artificielle entre les peuples : la volonté de créer la rareté du travail pour une division sociale nationale et mondiale et par ailleurs une nouvelle forme d’esclavagisme où le salaire ne correspont pas à la valeur réelle de la marchandise manufacturée ou créee.
La nature même du régime démocratique est – sur le papier –le moyen de mettre le citoyen au cœur du système qui organise et protège l’ensemble des populations d’un pays, et par la même l’ensemble des populations du monde. Citoyens d’un pays et d’une planète, nous avons tous la charge de mettre en place l’avenir de l’Humanité par l’éducation, la protection de l’environnement, la diffusion des technologies comme la médecine et les modes de cultures de la terre sans sur-exploitations, de nouvelles energies plus « propres »…
Nous voyons lors de grandes catastrophes une solidarité internationale se mettre en place, par exemple lors de seïsmes, de Tzunami. Mais cette façade positive cache un système sournois et autoritaire.
Or nous assistons à la mise à l’ecart du citoyens dans les décisions importantes, voire des manipulation (exemple le plus récent le traité simplifié Européen qui est passé même après le « non » massif des populations d’Irlande, de France et des Pays-Bas).
Nous assistons par ailleur à la dévalorisation de l’individu, du citoyen, par un discour alarmiste des autorités sur une crise mondiale, basée sur des valeurs artificielles…
Les autorités politiques mondiales ont tout simplement oublier le plus fondamental du sens de leurs présence : la déonthologie.
Comment harmoniser une planète si « artificiellement » un système prend le pouvoir et veux le garder coûte que coûte au prix de millions de morts sur ce qui est supposé n’être qu’une régulation harmonieuse ?
Nous entendons depuis bien des années déjà des termes militaires, des stratégies de défence à l’offenssive en parlant d’économie de marché. D’ailleurs les politiciens ne s’y trompent pas et flattent le « peuple d’en bas » par des termes imbéciles (pouvoir d’achat, croissance, taux et autres étalons exotiques sur un panier type d’achats qui ne reflète en rien les shèmes sociaux).
Est-il concevable aujourd’hui de voir des millions d’individus mourir de faim ?
Et bien le système dira que oui, et vous expliquera ses rouages sans jamais penser à se reformer ou changer…Il ne parlera pas de la richesse d’une vie qui n’a pas de prix, le système vous parlera de démographie, de choix politiques, de castes bref vous parlera des libertés des peuples alors que ce système en a déjà l’entier contrôle !
Nous auriont peut être tord de parler de système capitaliste : aujourd’hui c’est un système de statistiques, basé sur des valeurs monétaires artificielles avec des échanges complètement fous basés sur des rumeurs…et une croyance en la durée de cette civilisation aux ressources limitées.
C’est un système basé sur la croyance de sa propre pérenité, et pour défendre cette croyance, les outils répressifs, la division, l’abrutissement, l’avilisation et la religion extrême sont utilisés ardamment ! la privatisation est l’instrument actuel privillègié pour détruire le tissu social et un peu plus ploger les peuples dans la « séléctions » par l’argent, c’est à dire la négation de l’esprit Humain et humaniste par la compétition et l’argent.
La révolution ou tout casser ne sert à rien… Nous savons depuis 1789 que l’esprit féodal, resiste à une chute de pouvoir et l’organisation du sysème fonctionne sur des bases identiques mais relativement plus complexes et cachées. Voir les écrits de Sylvain sur les véritables maitres qui ne sont pas élus mais nommés au FMI, Gatt, BCE, ect…
Le citoyen est-il mort ?
Déjà, avec sagesse calme et determination, des individus se rassemblent et créer des structures bénévoles, des collectifs, des associations d’entraides, et de plus en plus d’individus ouvrent les yeux sur un autre monde, d’autres perspéctives, une harmonie solidaire humaine locale et planétaire. La liberté individuelle passe par la liberté de l’autre. L’éducation, la tolérence, l’entraide, le troc, le SEL, les plantations maréchaires collectives, la création de villages…
Peut être que la démocratie reprend tout son sens éthymologique dans la créativité, et l’organisation d’un futur, exempt de compétitions, mais empli d’empathie pour honnorer les lumières : Liberté, Egalité et Fraternité.
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| Oui, magnifique paradoxe humain, certains savent l’émotion d’aimer, dans un ensemble d’échelles du possible, d’autres ont le désir d’aimer sans en atteindre la plénitude et en courant deçi-delà, sur les chemins de leurs propres images égotiques.
Car « aimer » ne semble pas avoir de « je » ; l’amour semble le miroir des « nous » dans la déclinaison merveilleuse des différences…
A l’heure d’un nouveau monde où le conformiste dégorge ses gens normaux ; l’Amour rayonne et éclaire d’avantage les individus hors-normes… il les rassemble sous une esquisse merveilleuse de sens, de partage, de vision sur un monde, un univers, un autre monde…
C’est comme si c’était un élément naturel ; de l’eau, de l’oxygène, de la nourriture, l’amour est là partout et nous naviguons avec… jamais pour. Il nous transperce naturellement, nous baigne quand on l’accepte, quand on accepte de ne plus avoir peur de lui…
Lorsque l’on accepte de voir l’univers dépouillé du « je »… lorsque l’on comprend que respirer ne demande aucun contrôle…
Le monde s’éveille doucement à cette notion, poussé par les chemins esclavagiste d’un système fini et répréssif, angoissant, destructeur.
Le monde s’ouvre peu à peu et ouvre en même temps que les yeux, son cœur et son émotion à un univers bien plus grand que leurs habitudes. Déjà beaucoup ont rejoint l’harmonie d’une vie plus calme et pas "obligatoirement" orienté sur les avoirs et l’argent…
L’Amour c’est trouver une famille planétaire, des individus partout, des sourires , donner naturellement sans vouloir de retour, l’empathie et la gentillesse qui s’épanouïe au grand jour !
Car chaque individu, même conditionné, à cette empathie caché qu’il essaye de taire pour se montrer aux autres fort et compétitif, face à un système ou la rareté créer la richesse…
Et l’Amour, c’est la force de l’abondance dans le partage et la sincèrité…
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| Des plumes et délices d’auteurs
D’entres les amours et les passions vécues il y a "i-celui" (de l'ancien français) qui rafraîchit l’âme de sa douce brise : la plume. Ecrire les lames qui se brisent, des âmes éprises, des larmes de méprises, des armes et des prises… sublimer de l’instant et de l’histoire le temps d’une magie sur les cieux ou sur une terre dont la natalité engendre des images partagées et partageuses.
Ecrire et décrire l’été sur la neige, l’envol d’un sourire au dessus d’une foule, un rayon de compassion sur un astre de cœur, et voilà les mots qui s’entortillent et dessinent des tresses merveilleuses parmis les étoiles…
C’est en pluie de notes et d’harmonies qui imprime un mirage merveilleux sur un desert blanc. C’est aussi le non-temps et sa sublimation dont les conséquences sont d’autres sublimations exponentielles ; des voies ombellées sur des chemins d’existances où tout existe en tout et de tout. De la poésie parfois foudroyée qui frise d’une électricité vivifiante ; les mots sont la magie de la beauté vivante… Sans frontières, sans disciplines, sans pleutreries, mais avec mystère et charme, pour l’explosion des émotions.
Ecrire est un art de vent, qui souffle sur une harpe de muse. Les cordes sont carressées par le mouvement de l’univers sur le temps, ainsi naissent les champs où s’épanouïssent les fleurs de la pensée.
Alors c’est un peu d’âme que l’on deverse ici, ces concentrés d’embrums, cet absolu de fragrance de l’esprit – douce dérive – pour nous lires de nous lire, et de nous aimer.
C’est l’intelligence du plaisir mais sans égotisme, l’érotisme exotique d’une lettre d’écume sur l’océan qu’on laisse deriver doucement jusqu’au lecteur. Dans chaque terme un début ciselé d’extases et de joyaux, la plénitude d’une phrase et d’un « je de vous »…
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| Absolument Eliott !
L'explication scientifique, ou psychologique de ces phénomènes est difficilement possible. la psychologie aura pour tendence à rechercher les liens d'une double personnalité, d'une langue apprise inconsciemment et d'une émotion forte faisant basculer un individu d'un moi à un autre.
Une autre voie est celle de la théorie quantique, où, deux facteurs parmis d'autres pourraient être mis à l'éclairage de tous.
1 - la faculté de transmission de la matière noire : ou l'exact réplication de deux cerveaux compatibles, dans un mouvement de particules noire qui serait porteuse.... d'où la reception du cerveau receveur d'une langue étrangère. 2 - le passage au même instant de deux personnes dans un "arc" produit par 11 dimensions en raisonnances, dans un flux fabuleux émit par des atomes stables ; et dans un possible temporel immédiat.
Il y a une troisième voie : l'intuition : j'ai été sauvé par elle, en freinant machinalement et appuyant de 80 à 20 km h dans un virage - geste significatif - avant même de voir dans un virage une vache sur la route que j'aurai emplaffoné ! La vache va bien, je l'ai conduit dans un pré et moi ça va 15 ans après...
Nous ne savons pas tout, et ce monde n'est qu'une surface de potentiels, à nous de le comprendre et de partager nos connaissances par honnêteté et évitant les dogmatismes.
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