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| Philosophie des peuples premiers
La civilisation occidentale matérialiste et coupée de la nature a collonisé le monde, imposant patout son organisation sociale, ses valeurs, ses dogmes, détruisant sur son passage presque toutes les autres cultures.
La majorité de ces autres cultures étaient animistes ou shamaniques, en harmonie avec la nature. Moins avancés techniquement que les Occidentaux, ils l'étaient sans doute bien davantage dans la connaissance de leur environnement, du monde de l'esprit, des dimensions de la conscience et des liens qui unissent l'homme à la nature et au cosmos.
La diversité des cultures sur notre planète était une formidable chance. En les détruisant, nous avons détruit les connaissances qu'ils détenaient et qui auraient pu nous sauver de notre auto-destruction.
"Nous voyons la main du Grand Esprit dans presque tout: le soleil, la lune, les arbres, le vent et les montagnes; parfois nous l'approchons par leur intermédiaire. (...) Nous croyons en l'Etre Suprême, d'une foi bien plus forte que celle de bien des Blancs qui nous ont traité de païens... Les Indiens vivant près de la nature et du Maître de la nature ne vivent pas d'ans l'obscurité."
Tatanga Mani (ou Walking Buffalo), indien Stoney (Canada)
"Nous le savons: la terre n'appartient pas à l'homme, c'est l'homme qui appartient à la terre. Nous le savons: toutes choses sont liées. Tout ce qui arrive à la terre arrive aux fils de la terre.
L'homme n'a pas tissé la toile de la vie, il n'est qu'un fil de tissu. Tout ce qu'il fait à la toile, il le fait à lui-même."
Seattle, chef indien Suquamish
http://www.syti.net/MessageIndiens.html
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| Big Brother
Un sujet pour parler de la surveillance électronique généralisée et de la traçabilité du bétail... Fichiers policiers ou privés, caméras de surveillance, biométrie, cartes à puces, RFID, implants d'identification et de localisation, etc...
Pour ouvrir la rubrique, cet article...
L'appareil photo à rayons T,
pour voir à travers les vêtements et les murs
Source: LiveScience
Par Robert Roy Britt, Journaliste scientifique en Chef
Un nouveau programme scientifique britannique a pour objectif de fabriquer des appareils-photo pour l'espace tellement sensibles qu’ils percent le brouillard, la fumée et même les murs et les vêtements. Cette technologie permettra de détecter un type de radiation peu connu et pourtant omniprésent, répertorié sous le nom d’ondes TeraHertz, également appelées rayons T. De tels appareils photo devraient également trouver des applications dans la sécurité des aéroports et la médecine.
Un appareil, a déjà été conçu par une société appelée QinetiQ. Il fonctionne dans la gamme des ondes millimétriques et a fait la preuve de son effrayante capacité à percer les vêtements et à révéler une arme qui serait cachée -- ainsi que la quasi totalité de l’anatomie d'une personne. L'image montre bien plus de détails qu'un appareil-photo à infrarouge, qui détecte la chaleur.
Le rayonnement TeraHertz est semblable à l’appareil photo QinetiQ mais il révèle encore plus que ce que QinetiQ peut détecter. Les scientifiques disent que ces ondes T sont émises par à peu près tout. Elles peuvent émaner "de la main humaine, d’une enveloppe, ou d’une personne habillée.
"A la différence de la lumière, les ondes TeraHertz peuvent se propager à travers les nuages et la fumée, procurant un avantage considérable quand il s’agit d’effectuer certaines mesures avec des télécapteurs ," selon des fonctionnaires du Tigre des Etoiles. "Sur un plan pratique, ils peuvent également traverser les vitres, le papier, les vêtements et dans certains cas les murs également."
Les versions basses fréquences des ondes TeraHertz sont connues sous le nom d’ondes millimétriques, et elles se comportent exactement comme les ondes radio, disent les ingénieurs du projet Tigre des Etoiles. À des fréquences plus élevées, les ondes TeraHertz sont à cheval entre les émissions radio et optiques.
Cette technologie, sur laquelle on trouve étonnamment peu de références, est désignée parfois sous le nom de quasi-optique.
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| Et maintenant... un extrait de X-Files...
(épisode "Anagramme" de la saison 3)
L'homme à la cigarette (en photo), un agent du pouvoir occulte interroge un autre agent qui est emprisonné pour avoir cessé de soutenir ce pouvoir occulte et son "Projet" pour le controle total et la mise en esclavage de l'humanité...
Spender, l'homme à la cigarette: C'est une lourde responsabilité... Je suis chargé de m'occuper de vous et de régler cette affaire. Je pense que ça ne vous étonnera pas...
Jeremiah Smith: Je n'ai pas honte de mes actions.
S: Honte vous dites? Vous ne pouvez vous offrir le luxe de la faiblesse et du repentir. Vous ne devez rien mettre au dessus de ce qui est notre Objectif Suprême.
JS: Je ne crois plus à votre Objectif Suprême.
S: Alors vous méritez votre sort.
JS: Ce n'est pas à vous de décider de mon sort. Si vous avez des raisons, vous n'avez aucun droit. Et aucun moyen non plus.
S: Vous prétendez me dicter ce que je dois faire, c'est bien ça? Avez-vous une idée des conséquences de vos actes? et de leur prix? De quel droit leur donnez-vous de l'espoir?
JS: Qu'est-ce que vous leur donnez, vous?
S: Nous leur donnons du bonheur. Et ils nous donnent de l'autorité.
JS: L'autorité de leur enlever toute liberté sous couvert de démocratie?
S: Les hommes ne sont jamais libres, parce qu'ils sont faibles, corrompus, indignes et agités.
Les gens ne croient qu'en l'autorité. Ils sont las d'attendre vainement des miracles, des mystères. La science est leur religion. Aucune autre explication n'existe pour eux. C'est pour qu'ils persistent à le croire que notre Projet doit aller de l'avant.
JS: Qu'est-ce qu'il leur en coûtera?
S: Cette question est sans importance.
Et l'issue est inévitable. La date est arrêtée.
JS: Quel prix devront-ils payer pour la satisfaction de votre égoisme? Combien devront mourrir pour préserver vos intérêts dans ce Projet?
(...)
JS: Vous m'avez mis dans une cage, qui est dans une cage... Pourquoi avez-vous si peur de moi?
S: Je n'ai pas peur.
JS: Bien sûr que si ! Vous avez TOUJOURS peur. Votre vie n'est que peur.
S: Vous ne savez rien de moi.
JS: Je sais un tas de choses, presque tout.
S: Vous croyez être Dieu? Vous êtes un faussaire, un escroc, un charlatan.
JS: Ce que vous craignez c'est... qu'ils me prennent vraiment pour Dieu.
S: Aucune importance. La plupart d'entre eux ne croient plus en Dieu.
JS: Pourquoi?
S: Parce que Dieu ne fait plus de miracles pour gagner leur foi.
JS: Vous pensez que l'homme qui cesse de croire aux miracles cesse aussi de croire en Dieu?
S: Bien sûr !
JS: Vous voulez règner sur le monde au nom de Dieu?
S (avec un sourire maléfique): Ils ne croient plus en lui mais... ils en ont toujours peur !
Mais ce qu'ils craignent plus que tout, c'est d'être libres.
JS: Et donc vous leur apportez le bonheur?
S: Nous appaisons leur conscience.
Quiconque sait appaiser la conscience d'un homme peut lui prendre sa liberté.
JS: Et c'est en appaisant leur conscience que vous les tuez...
Mais vous ne les tuerez pas tous. Vous ne pouvez pas tuer leur amour. Or c'est l'amour qui fait d'eux ce qu'ils sont, et qui les rend meilleurs que nous... meilleurs que VOUS.
S: Bavardage !
JS: Tout ce que vous voulez, c'est "en faire partie". Etre parmi les commandants quand le Processus commencera... Mais vous faites fausse route.
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| "1984" de George Orwell...
extrait !
"Le ministère de la Vérité - Miniver, en nov-langue - frappait par sa différence avec les objets environnants. C'était une gigantesque construction pyramidale de béton d'un blanc éclatant. Elle étageait ses terrasses jusqu'à trois cents mètres de hauteur. De son poste d'observation, Winston pouvait encore déchiffrer sur la façade l'inscription artistique des trois slogans du Parti :
La guerre c'est la paix
La liberté c'est l'esclavage
L'ignorance c'est la force.
Le ministère de la Vérité comprenait, disait-on, trois mille pièces au-dessus du niveau du sol, et des ramifications souterraines correspondantes. Disséminées dans tout Londres, il n'y avait que trois autres constructions d'apparence et de dimensions analogues. Elles écrasaient si complètement l'architecture environnante que, du toit du bloc de la Victoire, on pouvait voir les voir toutes les quatre simultanément. C'étaient les locaux des quatre ministères entre lesquels se partageait la totalité de l'appareil gouvernemental.
Le ministère de la Vérité, qui s'occupait des divertissements, de l'information, de l'éducation et des beaux-arts. Le ministère de la Paix, qui s'occupait de la guerre. Le ministère de l'amour qui veillait au respect de la loi et de l'ordre. Le ministère de l'Abondance, qui était responsable des affaires économiques. Leurs noms, en nov-langue, étaient : Miniver, Minipax, Miniamour, Miniplein.
Winston fit brusquement demi-tour. Il avait fixé sur ses traits l'expression de tranquille optimisme qu'il était prudent de montrer quand on était en face du télécran."
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