Alimentation industrielle

  14.03.2013 - 16h39

Oui et d'ailleurs même lorsqu'on est très malade (grippe, gastro, etc) non seulement l'attitude compte énormément face à cela (ne pas chercher à combattre, laisser couler, en avoir "rien à foutre" en quelques sortes oui!), puis aussi faire comme les animaux : glander, ne pas manger, ne pas boire. Une activité, la nourriture ou l'eau empêcheront le corps et l'esprit de guérir, si ceux-ci sont occupés à faire autre chose. De plus, agir ainsi permet de mieux comprendre la source du problème ; la maladie devient bénédiction !
Le médicament est ce qu'il y a de pire lorsqu'on est malade, sauf en cas très grave évidemment, où la vie est réellement menacée. Le plus dangereux reste l'automatisme qu'entraînent les médocs.

Quant aux plantes, elles sont de très bonnes alliées ; non seulement elles vont agir sur les symptômes, comme les médicaments, mais la grande différence est que c'est un être vivant, c'était une vie organique, ainsi elle va agir en plus sur la psychologie, aider à avoir une attitude plus centrée sur la maladie, et donc aider à changer d'attitude. Bien sûr, il ne faut pas attendre le miracle (sauf quelques plantes très puissantes), car la plante sert d'accompagnement ; on peut très bien les prendre comme on prendrait des médicaments, et là ça fonctionne du coup moins bien qu'un médicament si on compte agir uniquement sur les conséquences de la maladie et non d'essayer d'en trouver la cause.

Je rajouterais que les minéraux sont aussi de très bons alliés à cela, mais c'est encore une autre dimension. Selon moi, cela peut agir à un niveau encore plus interne qu'une plante (avec certaines pierres on peut traiter des maladies très lourdes, des cancers, etc), mais aide aussi à soigner les symptômes. D'après mes expériences, cela n'agit pas directement sur les symptômes mais de manière indirecte (et souvent inconsciente), elles nous amènent à nous même guérir le symptôme puis si on persiste elle nous accompagne pour trouver la racine.
Dans tous les cas, on peut ne rien trouver évidemment, cela dépend toujours de soi ; le médicament est la facilité et nous empêche de voir la nature véritable de la maladie qui est en fait plus un bien qu'un mal.

La plupart du temps je n'ai besoin de rien de tout ça, mais ce sont des connaissances utiles à apporter autour de soi, pour aider et accompagner, soigner l'autre et entretenir un certain rapport intime avec la nature.

Pour le lait carrément, je rajouterai une nouvelle trouvaille c'est le lait de châtaigne ! pour moi le meilleur des laits comme ça ; ils font des mélange châtaigne/riz/avoine qui sont vraiment délicieux et très énergétique.