Messages et articles de Dou²
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28.02.2013 - 22h31   

Tu m'as bien foutu les jetons !-) Bien Joué ^^

27.02.2013 - 20h15   

Olivier Delamarche est comme qui dirait inquiet !


[Olivier Delamarche - 26 février - Intégrale Placements - vidéo supprimée sur le site d'origine]

07.02.2013 - 22h51   

source: forums.france5.fr

Sur le forum de France 5, CF est en train de se faire allumer !

Voyez donc :

L'enquete de caroline fourest est-elle crédible ?



1. OUI : 3.9 % : 121 votes

2. NON : 96.1 % : 3020 votes


Total : 3597 votes (456 votes blancs)
Sondage à 2 choix possibles.
Ce sondage expirera le 10-02-2013 à 19:30

Peut-être le reportage de trop pour notre objective journaliste ?

04.02.2013 - 18h54   

J'allais poster la vidéo! Merci Xo!

N'hésitons pas, elle est couillue Natacha ! Son collègue est bien silencieux pour le coup!

Ockrent est pas spécialement à l'aise, elle rit jaune et tente de donner le change, avec ses éléments de langages : conspirationnistes, complot.

Cette petite vidéo a le mérite de me donner un peu d'espoir !-)




24.01.2013 - 09h39   

Hollande n'ira pas à Davos cette année...

Reste à savoir pourquoi ?

20.01.2013 - 23h50   
Mars-juin 2013 - Débranchement de l'homme-malade du monde

source: leap2020.eu

Le GEAB N°71 est disponible! Mars-juin 2013 - Débranchement de l'homme-malade du monde et dernière phase d'impact de la crise systémique globale

usqu'à présent le déroulement de la crise a été fidèlement décrit suivant les cinq phases identifiées par notre équipe dès mai 2006 (GEAB n°5) et complétées en février 2009 (GEAB n°32) : déclenchement, accélération, impact, décantation et dislocation géopolitique globale, les deux dernières étapes se développant simultanément. Dans les derniers numéros et notamment le GEAB n°70 (décembre 2012), nous avons abondamment commenté les processus en cours des deux dernières phases, une décantation d'où émerge péniblement le monde d'après sur les décombres de la dislocation géopolitique mondiale.

Mais nous avions sous-estimé la durée de la période de décantation que nous traversons depuis plus de quatre ans, période durant laquelle tous les acteurs de la crise ont oeuvré à un but commun, gagner du temps : les Etats-Unis, en faisant tout pour empêcher l'apparition de solutions alternatives au dollar, malgré la situation catastrophique de tous ses fondamentaux systémiques, pour empêcher ses créanciers de les lâcher (décrédibilisation des autres monnaies y compris désormais le Yen, acharnement contre les tentatives de déconnecter le pétrole du dollar, etc...) ; le reste du monde, en mettant en place d'habiles stratégies consistant à la fois à maintenir son assistance vers les Etats-Unis pour éviter un effondrement brutal dont il serait le premier à souffrir, et à bâtir en même temps des solutions alternatives et de découplage.

En conclusion de cette longue période d'apparente « anesthésie » du système, nous estimons nécessaire d'introduire une sixième phase dans notre description de la crise : la dernière phase d'impact qui interviendra en 2013.

Les Etats-Unis ont certes cru que le reste du monde aurait éternellement intérêt à maintenir l'assistance respiratoire artificielle de son économie mais il est probable qu'ils ne le croient plus aujourd'hui. Quant au reste du monde, les derniers chapitres de la crise US (crise politique majeure, paralysie décisionnelle, évitement de justesse de la falaise fiscale, perspective d'un défaut de paiement en mars, et toujours incapacité à mettre en oeuvre la moindre solution structurelle) l'ont convaincu de l'imminence d'un collapsus, et tous les acteurs sont aux aguets du moindre signe de basculement pour se dégager, conscients que ce faisant ils précipiteront l'effondrement final.

Notre équipe estime que dans le contexte des tensions extrêmes induites par le prochain rehaussement du plafond de la dette américaine en mars 2013, tensions à la fois politiques internes et financières mondiales, les signes ne manqueront pas pour provoquer la disparition des derniers acheteurs de bons du trésor américain, disparition que la Fed ne sera plus en mesure de compenser, résultant en une augmentation des taux d'intérêts qui propulsera l'endettement américain à des niveaux astronomiques, ne laissant plus aucun espoir d'être jamais remboursés aux créanciers qui préfèreront jeter l'éponge et laisser le dollar s'effondrer... effondrement du dollar qui correspondra de facto à la première vraie solution, douloureuse certes mais réelle, à l'endettement américain.

C'est pour cette raison aussi que notre équipe anticipe que 2013, An 1 du Monde d'Après, verra se mettre en place cette « apuration » des comptes américains et mondiaux. Tous les acteurs tendent vers cette étape dont les conséquences sont très difficiles à prédire mais qui est aussi une incontournable solution à la crise compte tenu de l'impossibilité structurelle des Etats-Unis à mettre en place de vraies stratégies de désendettement.

Mais afin de prendre la mesure des causes et des conséquences de cette dernière phase d'impact, revenons sur les raisons pour lesquelles le système a tenu si longtemps. Notre équipe analysera ensuite les raisons pour lesquelles le choc aura lieu en 2013.

Gagner du temps : Quand le monde en est à se réjouir du statu-quo américain
Depuis 2009 et les mesures temporaires pour sauver l'économie mondiale, le monde s'attend au fameux « double dip », la rechute, car la situation continue de s'empirer de jour en jour pour les États-Unis : dette publique vertigineuse, chômage et pauvreté de masse, paralysie politique, perte d'influence, etc. Pourtant, cette rechute n'arrive toujours pas. Certes, les « mesures exceptionnelles » d'aide à l'économie (taux d'intérêt au plus bas, dépense publique, rachat de dette, etc.) sont toujours en vigueur. Mais contre toute attente et à l'encontre de tout jugement objectif et rationnel, les marchés semblent toujours faire confiance aux États-Unis. En réalité, le système ne tient plus sur la confiance mais sur le calcul du meilleur moment pour se dégager et les moyens de tenir jusque-là.

Fini le temps où la Chine défiait les États-Unis de faire un second tour de quantitative easing (1) : le monde semble s'accommoder du fait que ce pays creuse encore sa dette et s'oriente inéluctablement vers le défaut de paiement, pourvu qu'il soit debout et ne fasse pas encore trop de vague. Pourquoi les autres pays ne pressent-ils pas les États-Unis à réduire leur déficit, mais au contraire se réjouissent (2) lorsque l'accord sur la fiscal cliff maintient le statu-quo ? Pourtant personne n'est dupe, la situation ne peut pas durer éternellement, et le problème central de l'économie mondiale est bien les États-Unis et leur dollar (3).


La dette publique de différents pays en nombre de mois de recettes publiques (4) - Source : LEAP / European Commission, ONS, FRB

Selon l'équipe de LEAP/E2020, les différents acteurs cherchent à gagner du temps. Pour les marchés, il s'agit de profiter au maximum des largesses de la Fed et du gouvernement américain afin de faire des profits faciles ; pour les pays étrangers, il s'agit de découpler au maximum leurs économies de celle des États-Unis afin de pouvoir se mettre à l'abri au moment du choc à venir. C'est ainsi par exemple que l'Euroland en profite pour se renforcer et que la Chine en profite pour écouler ses dollars dans des infrastructures étrangères (5) qui vaudront toujours mieux que des billets verts lorsque le dollar sera à terre.

Accélération du tempo et accumulation des défis
Mais cette période de mansuétude complice touche à sa fin à cause de pressions intenses. Il est intéressant de remarquer que les pressions ne viennent pas vraiment de l'étranger, confirmant notre analyse ci-dessus ; celles-ci sont plutôt de deux natures, internes et financiaro-économiques.

D'une part, c'est la bataille politique interne qui menace le château de cartes. Si Obama semble traverser une période de grâce politique face à un camp républicain en apparence dompté, la bataille reprendra plus violente que jamais à partir de mars. En effet, si les représentants républicains seront sans doute obligés de voter l'augmentation du plafond de la dette, ils feront payer cher à Obama cette « capitulation », en cela poussés par leur base électorale dont une moitié souhaite en fait un défaut de paiement américain considéré par eux comme la seule solution pour se libérer de l'endettement pathologique du pays (6). Les républicains comptent donc en découdre sur les nombreux dossiers et défis qui s'annoncent : du côté social, régulation des armes à feu (7), remise à plat de l'immigration et légalisation de 11 millions d'immigrés illégaux (8), réforme du système de santé, et plus généralement questionnement du rôle de l'État fédéral ; du côté économique, baisse des dépenses, règlement de la dette (9), fiscal cliff « reloaded » (10), etc... Tous ces dossiers sont au programme des quelques mois qui viennent et le moindre accroc peut s'avérer fatal. Étant donné la pugnacité des républicains et plus encore de leur base, c'est plutôt l'espoir qu'il n'y ait pas d'accroc qui relève de l'utopie.

D'autre part, ce sont les marchés internationaux, Wall Street en tête, qui menacent de ne pas renouveler leur confiance dans l'économie américaine. Depuis l'ouragan Sandy et surtout depuis l'épisode de la fiscal cliff qui n'a réglé aucun problème, les analyses pessimistes et les doutes se font de plus en plus forts (11). Il faut garder à l'esprit que les marchés boursiers sont apatrides et, même domiciliés à New York, n'ont qu'un seul but, le profit. En 2013, le monde est suffisamment vaste pour que les investisseurs et leurs capitaux, telle une volée de moineaux, s'échappent vers d'autres cieux à la moindre alerte (12).

Alors que l'accord sur le plafond de la dette en 2011 réglait la question pour 18 mois (13), celui sur la fiscal cliff ne reporte le problème que de 2 mois. Alors qu'on a senti les effets de QE1 pendant un an, QE3 n'a eu d'effet que quelques semaines (14). Avec en outre l'agenda chargé des négociations à venir, on le voit, le tempo accélère significativement, signe que le précipice approche et la nervosité des acteurs avec.


Performance du S&P500 lors des différentes opérations de quantitative easing - Source : ZeroHedge/SocGen

Mars-juin 2013, tension extrême : la moindre étincelle met le feu aux poudres
Outre ces défis américains, le monde entier a également de nombreuses épreuves à traverser. Là encore, ce sont avant tout des défis économiques. Ce sont notamment le Japon et le Royaume-Uni, éléments clés de la sphère d'influence américaine, qui luttent pour leur survie, tous deux en récession, avec des dettes insoutenables, une épargne des ménages au plancher et sans perspective de solution à court terme. Nous examinerons en détail ces deux pays dans la suite. Mais c'est également une économie brésilienne au ralenti (15), des taux d'inflation difficiles à gérer dans les puissances émergentes, le dégonflement de la bulle immobilière au Canada, en Chine et en Europe (16), etc...

Les défis sont également d'ordre géopolitique : pour ne citer que trois exemples, les conflits africains au nombre desquels bien sûr l'intervention de la France au Mali, les conflits et la confrontation indirecte des puissances au Moyen-Orient autour de la Syrie, d'Israël et de l'Iran, ainsi que les tensions territoriales autour de la Chine que nous examinerons lors de notre analyse du Japon ci-après.

Tous ces facteurs, économiques, géopolitiques, américains, mondiaux, convergent vers le même moment : le deuxième trimestre 2013. Notre équipe a identifié la période allant de mars à juin 2013 comme étant explosive, à l'issue notamment des négociations aux États-Unis sur le plafond de la dette et sur la fiscal cliff. La moindre étincelle mettra le feu aux poudres, enclenchant la seconde phase d'impact de la crise systémique globale. Et des occasions de faire des étincelles, on l'a vu, il y en a beaucoup.

Quels sont alors les conséquences et le calendrier de cette seconde phase d'impact ? Sur les marchés d'abord, une chute significative s'étalera jusqu'à fin 2013. Les économies étant toutes interconnectées, l'impact va se propager à la planète entière et entraîner l'économie mondiale en récession. Néanmoins, grâce au découplage des autres pays que nous mentionnions précédemment, tous les pays ne seront pas affectés de la même manière. Car, bien plus qu'en 2008, des opportunités existent pour les capitaux en Asie, en Europe, en Amérique Latine, notamment. Outre les États-Unis, les pays les plus touchés seront donc ceux de la sphère américaine, à savoir Royaume-Uni et Japon principalement. Et, tandis que ces pays se débattront encore en 2014 avec les conséquences sociales et politiques de l'impact, les autres régions, BRICS et Euroland en tête, verront enfin la sortie du tunnel à cette époque-là.

Afin de comprendre la formation de cette seconde phase d'impact, nous étudions dans la suite les « tendances suicidaires » des quatre puissances du monde d'avant : États-Unis, Royaume-Uni, Japon et Israël. Puis nous présenterons les traditionnels « up&down » du mois de janvier, tendances montantes et descendantes pour l'année 2013, servant également de recommandations pour cette nouvelle année. Enfin, comme chaque mois, nos lecteurs retrouveront aussi le GlobalEuromètre.

----------
Notes:

(1) On se rafraîchira la mémoire ici (Wall Street Journal, 18/10/2010) ou là (US News, 29/10/2010).

(2) « Soulagement après l'épilogue heureux du fiscal cliff » titre ForexPros.fr (02/01/2013), « Relief at fiscal cliff crisis deal » titre la BBC (03/01/2013)...

(3) Comme identifié par LEAP/E2020 depuis 2006 dès le GEAB n°2.

(4) Le renflouement public des banques est compté dans la dette du Royaume-Uni.

(5) Les Chinois étant très actifs dans ce domaine, on en a de nombreux exemples comme le port du Pirée en Grèce, l'aéroport d'Heathrow au Royaume-Uni, en Afrique, mais aussi rachat de fleurons industriels (Volvo par exemple), etc. Voir par exemple Emerging Money (China to invest in Western infrastructure, 28/11/2011).

(6) Lire par exemple ZeroHedge, 14/01/2013.

(7) Source : Fox News, 30/12/2012.

(8) Source : New York Times, 12/01/2013.

(9) Source : New York Times, 15/01/2013.

(10) Le débat sur les coupes budgétaires est simplement repoussé de deux mois. Source : New Statesman, 02/01/2013.

(11) Comme ici (CNBC, 11/01/2013), là (MarketWatch, 14/01/2013) ou là (CNBC, 08/01/2013).

(12) Les États-Unis vont à leur tour goûter à l'ironie de l'Histoire : la dérégulation et la globalisation des marchés financiers qu'ils ont tant promues vont se retourner dramatiquement contre eux.

(13) C'est aussi à ce moment que les coupes automatiques au 01/01/2013 ont été actées pour forcer un accord bipartisan. Source : CNN Money (02/08/2011) ou Wikipédia.

(14) Pour un rappel sur ces opérations de quantitative easing, on pourra se référer à BankRate.com, Financial crisis timeline.

(15) Source : Les Échos, 05/12/2012.

(16) Voir les GEAB précédents.

Mardi 15 Janvier 2013
LEAP/E2020
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05.12.2012 - 00h25   
Nouvelle Icone Illuminati

Après Lady Gaga, voici Kesha, dont la dernière vidéo est un joli florilège à mon avis illuminati ...


16.09.2012 - 22h31   

Sylvain a écrit:
Un bug suite à des modifs hier a été réparé !
Les flèches de navigation des pages ne s'affichait plus en haut des sujets, ce qui faisait croire qu'ils n'avaient qu'une page (sauf si on descendait en bas de la page où là les flèches s'affichaient normalement)


@Dou: Ce sujet a été créé en utilisant l'option de visibilité réservée aux inscrits. Mais normalement tu dois voir le texte de présentation du sujet, l'icone des inscrits et le bouton pour s'inscrire.

La programmation n'est pas tout à fait terminée, encore 1 ou 2 bugs à corriger, mais l'essentiel est en place.



Merci pour ta réponse ^^, vais voir de suite !

13.09.2012 - 23h08   

Soir ^^

Y a un problème avec ce sujet :
Que répondre à l'invective : "toi t'es dans la théorie du complot"

Impossible d'y accéder pour ma page, j’atterris sur une page vide ...

04.09.2012 - 21h01   
L'audit de la Federal Reserve indique $16 trillions de renflouements secrets

source: fr.sott.net

Le tout premier GAO (bureau de responsabilité de gouvernement) Audit de la Federal Reserve a été effectué pendant les derniers mois, à cause de l'amendement de Ron Paul et d'Alan Grayson au projet de loi Dodd-Frank, qui est passé l'année dernière. JIM DeMint, un sénateur républicain, et Bernie Sanders, un sénateur indépendant, ont mené la charge au sénat pour un audit de la Federal Reserve, mais la langue originelle du projet de loi a été édulcorée par la Maison Blanche (HR1207), de sorte qu'un audit complet ne soit pas effectué.

Ben Bernanke Alan Greenspan, et les divers autres banquiers se sont énergiquement opposés à l'audit et ils ont menti au congrès au sujet des effets qu'un audit aurait sur les marchés. Néanmoins, les résultats de ce premier audit, dans l'histoire de presque 100 ans de la Federal Reserve, ont été signalés sur la page Web du sénateur Sander's plus tôt ce matin.

Ce qui a été indiqué dans l'audit était effrayant

$16.000.000.000.000,00 avaient été secrètement donnés aux banques des USA, ainsi qu'à des sociétés et des banques étrangères partout, de la France à l'Écosse. Pendant la période allant de décembre 2007 à juin 2010, la Federal Reserve avait secrètement sauvé plusieurs banques mondiales, sociétés, et gouvernements. La Federal Reserve aime se rapporter à ces renflouements secrets comme un programme inclusif de prêt, mais pratiquement aucun argent n'a été remboursé, et il a été prêté à un taux d'intérêt de 0 %. La raison pour laquelle la Federal Reserve n'a jamais rendu cela public, ou n'a même informé le congrès des État-Unis de ces $16 trillions de dollars de renflouement, est évidente - le public américain aurait été outragé de découvrir que la Federal Reserve a sauvé des banques étrangères, tandis que les Américains luttaient pour trouver du travail.

Pour placer dans la perspective ces $16 trillions, rappelez-vous que le PIB des État-Unis est seulement de $14,12 trillions. La dette nationale entière du gouvernement des États-Unis dans son histoire de plus de 200 ans est de « seulement » $14,5 trillions. Le budget qui est discuté tellement fortement au congrès et au sénat est « seulement » de $3,5 trillions. Prenez en compte tous les outrages et discussions au-dessus de ces $1,5 trillion de déficit, et avalez cette pilule rouge : Il n'y avait aucune discussion au sujet de savoir si $16.000.000.000.000 seraient donnés aux banques et aux sociétés qui échouent à travers le monde.

Fin 2008, le projet de loi de renflouement TARP a été voté et des prêts de $800 milliards ont été accordés aux banques et aux sociétés en faillite. C'était un mensonge flagrant, considérant le fait que Goldman Sachs seul a reçu 814 milliards de dollars. De même qu'il s'avère que la Federal Reserve a donné $2,5 trillions à Citigroup, alors que Morgan Stanley recevait $2,04 trillions. La Royal Bank de l'Ecosse et Deutsche Bank (une banque allemande), se partagent environ un trillion, et de nombreuses autres banques ont reçu des gros morceaux bien lourds de ces $16 trillions.

« C'est un cas clair de socialisme pour les riches et puissants, vous pouvez être votre propre individualisme pour tous les autres. » - Bernie Sanders (I-VT

Quand vous avez des fidèles républicains conservateurs, comme JIM DeMint (RSC) et Ron Paul (R-TX), aussi bien que des socialistes démocrates autodéfinis, comme Bernie Sanders, qui se battent tous contre la Federal Reserve, vous savez que ce n'est plus une question de droite contre la gauche. Quand vous avez chaque simple membre du Parti Républicain dans le congrès et les membres du congrès progressifs, comme Dennis Kucinich, qui commanditent un projet de loi pour auditer la Federal Reserve, vous vous rendez compte que la Federal Reserve est une entité en elle-même, qui n'a aucune supervision et aucune responsabilité.

Les Américains devraient être gonflés par la colère et l'outrage, la situation est épouvantable, quand un groupe de banquiers non élus peut créer l'argent à partir de rien, et le donner aux mégabanques et aux supercorporations, comme des bonbons d'Halloween. Si la Federal Reserve et les banquiers qui la contrôlent croient qu'ils peuvent continuer à dévaluer l'épargne des Américains et à continuer à détruire l'économie des USA, ils devront faire face à la prise de conscience que leurs billions de dollars imprimés finira par le pillage de l'économie mondiale.

La liste des établissements qui ont reçu la plupart de l'argent de la Federal Reserve peut être trouvée à la page 131 de l'audit du GAO, elle est la suivante :

Citigroup : $2,5 trillions ($2.500.000.000.000)
Morgan Stanley : $2,04 trillions ($2.040.000.000.000)
Merrill Lynch : $1,949 trillions ($1.949.000.000.000)
La Banque d'Amérique : $1,344 trillions ($1.344.000.000.000)
Barclays Plc (Royaume-Uni) : $868 milliards ($868.000.000.000)
Bear Sterns : $853 milliards ($853.000.000.000)
Goldman Sachs : $814 milliards ($814.000.000.000)
Royal Bank de l'Écosse (R-U) : $541 milliards ($541.000.000.000)
JP Morgan Chase : $391 milliards ($391.000.000.000)
Deutsche Bank (Allemagne) : $354 milliards ($354.000.000.000)
UBS (Suisse) : $287 milliards ($287.000.000.000)
Crédit Suisse (Suisse) : $262 milliards ($262.000.000.000)
Lehman Brothers : $183 milliards ($183.000.000.000)
Banque de l'Écosse (Royaume-Uni) : $181 milliards ($181.000.000.000)
BNP Paribas (France) : $175 milliards ($175.000.000.000)

et beaucoup, beaucoup plus, ceci comprenant des banques en Belgique, et de tous les lieux.

Regardez l'audit du GAO de 266 pages de Federal Reserve (21 juillet 2011).

12.08.2012 - 22h25   

Une sorte de Center Parcs finalement !-)

05.08.2012 - 22h13   

J'ai dl le questionnaire du Gépan, c'est un vrai sacerdoce de s'y mettre !

Bon en effet, je reconnais qu'il est bien circonstancié et à priori sérieux!

Je reprends le taf demain faut que je me motive donc pour y répondre.

Merci pour vos réponses ^^

05.08.2012 - 08h49   

@ Xo :

La durée d'observation s'élevait à environ 8 / 10 minutes.
Quant aux mouvements, il était géostationnaire quand il a disparu. Quand l'appareil numérique l'a retrouvé, il s'était éloigné de plusieurs kilomètres me semble-t-il car sa taille avait considérablement diminué, comme le montre la première vidéo, sans le zoom, on ne voyait plus qu'un point lumineux. Mais à cette distance lointaine il est resté géostationnaire aussi avant de disparaitre totalement!
Quand à sa forme on s'est demandé si elle ne changeait pas!

@ kilbith :

Je n'ai pas spécialement confiance en le Geipan...

Sinon si vous avez la possibilité de regarder la vidéo en plein écran, on croit distinguer un pilote au centre bas de l'ovni!

04.08.2012 - 17h45   

Comme le savent certains d'entre nous ici, le sujet ovni m'a toujours intéressé!

Eh bien faut-il y voir un signe ou pas, j'ai eu la "chance" d'en filmer un la semaine dernière avec mon petit appareil photo numérique!

La qualité n'est pas terrible donc.

Nous sommes deux à l'avoir vu de la fenêtre de notre appartement.

Mais je retiens deux points au sujet de cette expérience :

1/ Nous avons vu l'ovni se volatiliser sous nos yeux, mais étrangement pas d'un seul coup, c'est à dire par morceaux, mais en l'espace de 5 secondes! Comme si le mode furtif s'actionnait progressivement! Dommage je ne filmais pas à ce moment là! Damned!

2/ Suite à sa disparition, nous ne le voyions plus à l'œil nu, mais quelle surprise de toujours le voir dans l'écran de l'appareil photo numérique!

Voici une petite vidéo, sur laquelle figure quelques clichés puis les 3 vidéos. J'ai substitué la bande son originale par de la musique, car nous entendre nous étonner et surtout accumuler les "oh putain!", n'était pas forcément opportun, d'où une bande son musicale! rires!

Ah dernier détail, en voyant cet ovni, nous avons ressenti tous les deux, un frisson de frayeur, je ne saurai en ce qui me concerne, pouvoir expliquer le pourquoi du comment...

Il me tarde d'avoir vos avis, pour ma part suis convaincu d'avoir vu quelque chose d'étrange!

[vidéo supprimée sur le site d'origine]

05.07.2012 - 00h42   

Ce qui est drôle, d'une certaine manière, c'est que le Leap annonce la crise globale systémique pour la fin de l'année, 2012, la fin d'un monde?

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