Ce qui n'était encore qu'un projet un peu fou il y a quelques mois va devenir bientôt une réalité? digne d'un film de S.F. Aux Emirats Arabes Unis (EAU), des drones équipés de charges électriques tenteront bientôt? de faire tomber la pluie ! La théorie était déjà connue de longue date, mais cette fois, un drone sera utilisé pour le passage à la pratique. L'objectif consiste ici à obtenir la coalescence des gouttelettes d'eau, c'est à dire leur regroupement en gouttes plus grosses, plus lourdes? et donc plus susceptibles de descendre vers le sol.
Pour parvenir à ce résultat, le drone va émettre une décharge électrique directement dans les formations nuageuses très chargées en eau (comme les cumuls par exemple). En circulant dans le nuage, l'électricité va en diminuer la charge, ce qui devrait diminuera les répulsions électrostatiques entre les gouttelettes, et donc favoriser leurs regroupements. Quelques tests concluants ont déjà été effectués au Royaume-Uni, mais pour des raisons évidentes (sécheresse notamment), la seconde phase de tests se déroulera aux Emirats. Le procédé devra cette fois prouver son efficacité dans un environnement beaucoup plus sec et poussiéreux.
A noter que ce procédé basé sur des drones à charges électriques diffère sensiblement d'autres techniques de géo-ingénierie déjà utilisées par certains pays, comme la Chine (ensemencement des nuages avec des particules de sel ou d'iodure d'argent). L'UAE pratique aussi l'ensemencement des nuages, mais les drones à charges électriques pourraient être utilisé pour compléter cette technique et ainsi maximiser les chances de pluie.
Pour parvenir à ce résultat, le drone va émettre une décharge électrique directement dans les formations nuageuses très chargées en eau (comme les cumuls par exemple). En circulant dans le nuage, l'électricité va en diminuer la charge, ce qui devrait diminuera les répulsions électrostatiques entre les gouttelettes, et donc favoriser leurs regroupements. Quelques tests concluants ont déjà été effectués au Royaume-Uni, mais pour des raisons évidentes (sécheresse notamment), la seconde phase de tests se déroulera aux Emirats. Le procédé devra cette fois prouver son efficacité dans un environnement beaucoup plus sec et poussiéreux.
A noter que ce procédé basé sur des drones à charges électriques diffère sensiblement d'autres techniques de géo-ingénierie déjà utilisées par certains pays, comme la Chine (ensemencement des nuages avec des particules de sel ou d'iodure d'argent). L'UAE pratique aussi l'ensemencement des nuages, mais les drones à charges électriques pourraient être utilisé pour compléter cette technique et ainsi maximiser les chances de pluie.
Drone, pluie