Aflorithmic, entreprise de clonage audio, ramène la voix d'Einstein à la vie. Bien que cette entreprise soit à l'origine du deepfake, cet exploit n'a été possible que grâce au partenariat avec UneeQ. En effet, cette société de médias synthétiques est le concepteur du moteur qui, lui, alimente les constituants de cette version d'humain digitalisé. En d'autres mots, c'est l'hébergeur qui prendra en charge le chatbot sur son site internet.
Un aperçu du monde de demain
L'Einstein numérique serait, d'après Aflorithmic, un avant-goût de ce que sera le commerce social conversationnel dans le futur. Effectivement, l'on peut s'attendre à ce que plus tard, ces soi-disant deepfakes ressemblant comme deux gouttes d'eau à des héros ou personnages légendaires nous vendent des pizzas et des burgers. Du moins, c'est ce que prévoient les observateurs de ce secteur.
Un mix entre technologie et capital humain
Toujours selon Aflorithmic, le fait de redonner vie à ces personnages aurait des vertus sur le plan éducatif. Certes, on parle là de vie artificielle. Néanmoins, la voix d'Einstein n'est pas uniquement le fruit de la technologie. Dans le processus de modélisation du chatbot, la startup a collaboré avec un acteur donc une vraie personne. Sans cela, il serait peu probable que le vrai Einstein ait dans son jargon des termes comme « blockchain ». En plus d'un artifice IA, cette invention possède alors un apport humain.
Selon Matt Lehmann, COO d'Aflorithmic : « Il s'agit de la prochaine étape dans la présentation de la technologie permettant de rendre possible le commerce social conversationnel ». Aussi, malgré l'existence de nombreux défauts à aplanir puis des défis technologiques à surmonter, ce serait la meilleure façon de montrer où cela va mener.
Par ailleurs, l'entreprise partage dans un billet de blog les difficultés rencontrées ainsi que les progrès réalisés dans le cadre de la création de la voix d'Einstein. En effet, si le temps de réponse initial entre le retournement de texte d'entrée et l'API apte à rendre une réponse vocale était de 12 secondes, cela a été réduit à 3 secondes. Ce décalage non-négligeable permettra au robot d'être plus réactif.
Aflorithmic se prononce sur leur chatbot
Il est compréhensible que la législation protégeant les données d'une personne constitue un obstacle au développement de ce projet. Cependant, la startup rassure que ces clones numériques n'existent pas dans le but de bafouer l'image des personnages historiques. Cela dit, des droits de licence sont toujours valables. Pour le cas d'Albert Einstein, ces droits sont la propriété de l'Université hébraïque de Jérusalem. Ce dernier étant même un collaborateur dans ce projet.
Lehmann affirme même que la performance de clonage de la voix du scientifique a fait l'objet d'une licence d'artiste. D'après ses propos, Aflorithmic n'a pas cloné la voix d'Einstein en tant que telle. Ils se sont plutôt inspirés des films et enregistrements originaux pour ce faire. L'acteur qui a modélisé sa voix, lui, n'est plus ni moins qu'un grand admirateur du génie d'Einstein.
Un aperçu du monde de demain
L'Einstein numérique serait, d'après Aflorithmic, un avant-goût de ce que sera le commerce social conversationnel dans le futur. Effectivement, l'on peut s'attendre à ce que plus tard, ces soi-disant deepfakes ressemblant comme deux gouttes d'eau à des héros ou personnages légendaires nous vendent des pizzas et des burgers. Du moins, c'est ce que prévoient les observateurs de ce secteur.
Un mix entre technologie et capital humain
Toujours selon Aflorithmic, le fait de redonner vie à ces personnages aurait des vertus sur le plan éducatif. Certes, on parle là de vie artificielle. Néanmoins, la voix d'Einstein n'est pas uniquement le fruit de la technologie. Dans le processus de modélisation du chatbot, la startup a collaboré avec un acteur donc une vraie personne. Sans cela, il serait peu probable que le vrai Einstein ait dans son jargon des termes comme « blockchain ». En plus d'un artifice IA, cette invention possède alors un apport humain.
Selon Matt Lehmann, COO d'Aflorithmic : « Il s'agit de la prochaine étape dans la présentation de la technologie permettant de rendre possible le commerce social conversationnel ». Aussi, malgré l'existence de nombreux défauts à aplanir puis des défis technologiques à surmonter, ce serait la meilleure façon de montrer où cela va mener.
Par ailleurs, l'entreprise partage dans un billet de blog les difficultés rencontrées ainsi que les progrès réalisés dans le cadre de la création de la voix d'Einstein. En effet, si le temps de réponse initial entre le retournement de texte d'entrée et l'API apte à rendre une réponse vocale était de 12 secondes, cela a été réduit à 3 secondes. Ce décalage non-négligeable permettra au robot d'être plus réactif.
Aflorithmic se prononce sur leur chatbot
Il est compréhensible que la législation protégeant les données d'une personne constitue un obstacle au développement de ce projet. Cependant, la startup rassure que ces clones numériques n'existent pas dans le but de bafouer l'image des personnages historiques. Cela dit, des droits de licence sont toujours valables. Pour le cas d'Albert Einstein, ces droits sont la propriété de l'Université hébraïque de Jérusalem. Ce dernier étant même un collaborateur dans ce projet.
Lehmann affirme même que la performance de clonage de la voix du scientifique a fait l'objet d'une licence d'artiste. D'après ses propos, Aflorithmic n'a pas cloné la voix d'Einstein en tant que telle. Ils se sont plutôt inspirés des films et enregistrements originaux pour ce faire. L'acteur qui a modélisé sa voix, lui, n'est plus ni moins qu'un grand admirateur du génie d'Einstein.
Albert Einstein, Voix