Avec la généralisation des portables auxquels s'est ajouté le wifi, nous vivons en permanence dans une sorte de brouillard électromagnétique.
L'image au dessus visualise les signaux des portables, avec le réseau dense de cellules à faible rayon qu'on trouve dans nos villes, ou les antennes à plus grande portée...
En voici quelques autres...
Là, les ondes du Wifi...
Beaucoup d'argent a été dépensé pour en arriver là. En amont, beaucoup de capitaux ont été dirigés vers les multinationales des télécoms et vers les fabricants qui ont produit en masse les téléphones (au départ Nokia, Ericson et Motorola), le plus souvent à perte.
Un but évident derrière tout cela était de mettre en place une surveillance électronique étendue, incluant les communications, la géolocalisation et l'activation à distance du micro et de la caméra. Mais les "maitres du monde" aiment bien faire d'une pierre plusieurs coups et il pourrait y avoir également d'autres buts...
Les fréquences utilisées sont connues pour interférer avec notre métabolisme, au niveau des processus neuronaux comme au niveau des cellules.
Les ondes WIFI sont pulsées à 10 Hz, ce qui est en plein dans la gamme des ondes alpha du cerveau (de 8,5 à 12 Hz).
Quant aux ondes des portables, elles sont à 2,5 GHz, la fréquence de résonance de la molécule d'eau, omniprésente dans notre organisme. La plupart de nos cellules sont constituées à 90% d'eau. De plus, les molécules d'eau sont présentes autour de l'ADN cellulaire qui se trouve déstabilisé par l'agitation par résonance des molécules d'eau, d'où des effets cancérigènes. On sait aussi qu'émises près de la tête, les ondes des portables altèrent la barrière hémato-encéphalique qui protège le cerveau des substance toxiques extérieures.
Tout se passe donc comme si l'objectif était d'affaiblir les esprits et les énergies individuelles, et ces fréquences n'ont probablement pas été choisies par hasard ou sur des critères purement techniques. .
Aucune recherche n'a été faite à ce sujet, mais il est probable que ce brouillard électromagnétique ait aussi pour effet (et pour but) de nous couper des fréquences en provenance de l'univers, et ainsi d'emprisonner les esprits dans la "matrice" en les coupant de la "source" (où se trouve également une partie d'eux-mêmes, la partie intemporelle, la plus essentielle).
L'image au dessus visualise les signaux des portables, avec le réseau dense de cellules à faible rayon qu'on trouve dans nos villes, ou les antennes à plus grande portée...
En voici quelques autres...
Là, les ondes du Wifi...
Beaucoup d'argent a été dépensé pour en arriver là. En amont, beaucoup de capitaux ont été dirigés vers les multinationales des télécoms et vers les fabricants qui ont produit en masse les téléphones (au départ Nokia, Ericson et Motorola), le plus souvent à perte.
Un but évident derrière tout cela était de mettre en place une surveillance électronique étendue, incluant les communications, la géolocalisation et l'activation à distance du micro et de la caméra. Mais les "maitres du monde" aiment bien faire d'une pierre plusieurs coups et il pourrait y avoir également d'autres buts...
Les fréquences utilisées sont connues pour interférer avec notre métabolisme, au niveau des processus neuronaux comme au niveau des cellules.
Les ondes WIFI sont pulsées à 10 Hz, ce qui est en plein dans la gamme des ondes alpha du cerveau (de 8,5 à 12 Hz).
Quant aux ondes des portables, elles sont à 2,5 GHz, la fréquence de résonance de la molécule d'eau, omniprésente dans notre organisme. La plupart de nos cellules sont constituées à 90% d'eau. De plus, les molécules d'eau sont présentes autour de l'ADN cellulaire qui se trouve déstabilisé par l'agitation par résonance des molécules d'eau, d'où des effets cancérigènes. On sait aussi qu'émises près de la tête, les ondes des portables altèrent la barrière hémato-encéphalique qui protège le cerveau des substance toxiques extérieures.
Tout se passe donc comme si l'objectif était d'affaiblir les esprits et les énergies individuelles, et ces fréquences n'ont probablement pas été choisies par hasard ou sur des critères purement techniques. .
Aucune recherche n'a été faite à ce sujet, mais il est probable que ce brouillard électromagnétique ait aussi pour effet (et pour but) de nous couper des fréquences en provenance de l'univers, et ainsi d'emprisonner les esprits dans la "matrice" en les coupant de la "source" (où se trouve également une partie d'eux-mêmes, la partie intemporelle, la plus essentielle).
Black projects, Environnement, Santé
1 commentaire
source: alternativesante.fr
Ne supportant pas les antibiotiques, j'ai souvent recours à l'extrait de pépins de pamplemousse, un antibiotique naturel efficace.
L'extrait de pépin de pamplemousse (EPP) est un antibiotique naturel puissant. L'EPP , un probiotique découvert par le Dr Jacob Harich ,médecin immunologiste de Floride, en 1972..Il se rend compte que les pépins de pamplemousse de son compost ne se décomposent pas. Il analyse en laboratoire les propriétés des flavonoïdes du pépin de pamplemousse ; Ils ont une action anti-bactérienne, anti-mycosique, anti-putride, anti-inflammatoire, anti-allergique, et agissent même sur certains virus.
Cet antibiotique naturel a la particularité d'éliminer environ 800 souches de bactéries et virus, et environ 100 souches de champignons ainsi qu'un très grand nombre de parasites unicellulaires.
Ce Complément Alimentaire contient des Flavonoïdes de pamplemousse et de la vitamine C naturelle.
Garanti sans benzéthonium, ni aucun autre conservateur. Extraction mécanique, sans aucun solvant chimique.
QU'EST CE QUE FAIT L'ANTIBIOTIQUE NATUREL EPP ?
Il est un puissant remède contre les candidas, maladies bactériennes, parasites, problèmes intestinaux, aussi bien que la prévention et l'éclaircissement de la dysenterie et la diarrhée de voyage.
Cet antibiotique naturel contient des minéraux essentiels, du phosphore, du potassium, du fer, du sodium, du magnésium, de la vitamine B Biotine, la vitamine V et E. Un grand nombre d'acides aminés, bioflavonoïdes et hesperidine, combattent les infections et aident le système immunitaire.
L'EPP s'avère aussi très utile pour le coeur, il contient des composés puissants pour diminuer le cholestérol et peut aussi nettoyer certains débris artériels connus comme la plaque.
L'EPP tue et désintoxique les champignons aussi bien que d'autres parasites qui causent l'affaiblissement de notre système immunitaire.L'amélioration arrive rapidement en raison de l'action purifiante de l'EPP dans les intestins. Il est utile pour les victimes d'arthrite, est capable de réduire les douleurs, agit comme un antioxydant et débarasse le corps des substances toxiques.
OU TROUVER CET ANTIBIOTIQUE NATUREL?
L'Extrait de pépin de pamplemousse bio se trouve dans les magasins bio et les bonnes pharmacies. (Préférer les flacons en verre teintés; ils assurent une meilleur conservation du produit).
ANTIBIOTIQUE NATUREL, LES USAGES :
L'EPP présente de plus une action rapide, sans affaiblir le système immunitaire (au contraire, il le soutient).Avant de l'utiliser, rappelez-vous qu'il s'utilise toujours dilué et qu'il doit être évité sur les yeux.
1. Action en interne (pour un entretien quotidien) : 10 gouttes dans un verre d'eau ou de jus de fruit avant les repas, (digestion, ballonnements, flatulences, gastrite, diarrhée, fatigue...).
Efficace aussi bien en prévention qu'en traitement d'attaque pour toutes les infections, particulièrement :
o Les infections du système digestif, intoxications alimentaires, diarrhées, maladies parasitaires...
o Les ulcères de l'estomac et du duodénum (il tue Helicobacter pylori),
o Le Candida albicans, les candidoses et autres mycoses.
o Le rhume, les infections de la sphère ORL en général, la grippe, les affections bronchiques ...
o Les infections urinaires et cystites.
o La fatigue chronique et l'affaiblissement immunitaire.
o Les allergies (car il est aussi hypoallergène).
o En usage externe, l'EPP est aussi un recours dans bien des situations :
o La bouche : aphtes, herpès des lèvres, muguet, gingivite...
o La peau : acné, dermatites, psoriasis mais aussi petites coupures ou brûlures, piqûre d'insectes, verrues, mycoses...
o Les cheveux : pellicules, démangeaisons du cuir chevelu, poux...
o Les pieds : eczéma des orteils, verrues plantaires, infections à champignons.
o Les ongles : onychomycose, panaris.
o Les organes génitaux : vaginite, infections vaginales, parasites...
2. Alicament d'attaque : 20 à 30 gouttes 3 fois par jour dans de l'eau: désinfection interne et externe, soutien des défenses immunitaires, anti-bactérien et parasitaire. Pour maux de gorge, refroidissement et toux, 10 gouttes pures dans la bouche 6 à 9 fois par jour.
3. Action en externe : quelques gouttes pures à plusieurs reprises:
o dans la bouche (aphtes, gingivite, parodontose, ou sur l' herpès des lèvres).
o sur la peau, le cuir chevelu ou sur un tampon intime pour les mycoses, eczéma, psoriasis (diluer dans un peu d'eau pour badigeonner de grandes surfaces de peau.), urticaire, verrues, champignons, piqûres d'insectes, éruption cutanée, échardes (inflammation locale). Renforcer toujours l'action externe en ingérant quelques gouttes d'extrait.
L'EXTRAIT DE PEPIN DE PAMPLEMOUSSE EST-IL UN ANTIBIOTIQUE NATUREL DANGEREUX ?
L'EPP est très sûr, des réactions allergiques n'ont pas été annoncées dans les 25 ans de son utilisation. L'EPP est totalement non-toxique, même pour les personnes allergiques aux agrumes, et celles qui sont en cours de traitement par médicament.
ATTENTION
CE PRODUIT, BIEN QUE TRÈS ACTIF, EST DOSÉ POUR ÊTRE UN COMPLÉMENT ALIMENTAIRE. CE N'EST EN AUCUN CAS UN MÉDICAMENT. UTILISER POUR LES AFFECTIONS BÉNIGNES, PLUS INVALIDANTES ET DOULOUREUSES QUE VRAIMENT GRAVES. NE JAMAIS METTRE PUR DANS LA BOUCHE D'UN NOURRISSON. PAS UTILISATION PROLONGÉE. EN CAS D'ATHSME, OU D'ALLERGIE AUX AGRUMES, COMMENCER AVEC 5 GOUTTES DANS UN VERRE D'EAU, ET AUGMENTER PROGRESSIVEMENT.
A LIRE CE QUI SUIT, CAR IL EXISTE DIFFERENTES QUALITES D'EPP : HTTP://WWW.ALTERNATIVESANTE.FR/EXTRAITPEPIN-DE-PAMPLEMOUSSE/ )
(...) DE NOMBREUSES FRAUDES SIGNALEES
À plusieurs reprises, dans les années 2000, des scientifiques, allemands, suisses et japonais, ont prouvé que certains EPP n'étaient pas si naturels que ça (1) : dans plusieurs d'entre eux a été détecté la présence en quantité non négligeable d'antibiotiques et de conservateurs industriels comme du chlorure de benzéthonium (un ammonium quaternaire toxique), du chlorure de benzalkonium (idem), du triclosan (un composé organochloré) et du methyl paraben.
En Suisse, suite à une étude des laboratoires cantonaux de Bâle mettant en évidence la présence de hautes concentrations de chlorure de benzéthonium dans des EPP (7 produits sur les 9 étudiés étaient contaminés !), plusieurs marques ont même été retirées du marché au début des années 2000.
Avec du chlorure de benzéthonium, vous pouvez remplacer n'importe quel EPP par de la Vache qui Rit ou de la confiture de groseille : le résultat sera aussi époustouflant ! (...)
UNE LEGENDE MERVEILLEUSE... BIEN QU'ECORNEE
Vous connaissez certainement cette histoire désormais légendaire : un jour de 1980, Jacob Harich, médecin et physicien émigré aux Etats-Unis, jardinier à ses heures, remarqua que les pépins de pamplemousse ne pourrissaient pas sur son compost. Il les étudia alors dans son laboratoire où il apparut rapidement que les graines de pamplemousse recélaient une substance biocide à la fois plus puissante et moins nocive que tout antibiotique...
Mais les bricolages frauduleux subis par le produit ont amené les scientifiques officiels à conclure que l'EPP, seul, n'avait aucune activité antibactérienne (2).
Je ne suis pourtant pas le seul à avoir expérimenté avec succès l'EPP et il s'agissait bien d'un authentique EPP, pur, « sans chlorure de benzéthonium » comme indiqué sur le flacon. On ne peut donc pas contester que ce produit possède de vraies vertus.
LES CULTIVATEURS BIO FONT GRAND USAGE DE L'EPP
La preuve en est que ses propriétés sont largement mises à profit en agriculture biologique, en jardinage (on l'utilise contre les moisissures, le mildiou, les limaces, les pucerons) et dans les élevages (on soigne ainsi les animaux souffrant d'infections à champignons, on s'en sert pour nettoyer le pis des vaches, les cages et les stalles...).
Alors si la méfiance s'impose face à la floraison actuelle de marques et sous-marques et face à certaines pratiques, compte-tenu de ces arguments et de nos expériences respectives, l'EPP reste un excellent produit qu'il faut simplement savoir bien choisir.
DES ETUDES RASSURANTES... ENFIN !
Les troublantes constatations d'une partie du monde scientifique ont forcément nourri une trépidante controverse, toujours en cours ; autour de l'ammonium quaternaire (3). Mais il faut savoir que l'EPP n'a pas que des détracteurs chez les chercheurs : de très sérieuses études ont récemment confirmé les premiers travaux menés dans les années 90 (notamment à l'Institut Pasteur) sur les propriétés bactéricides du pépin de pamplemousse (4).
L'étude citée plus haut a ainsi confirmé que l'action de l'EPP s'étend à environ 800 souches de bactéries et virus, une centaine de souches de champignons, ainsi qu'à un très grand nombre de parasites unicellulaires. L'extrait de pépin agit en désorganisant la membrane cytoplasmique et mitochondriale des micro-organismes.
Avantage imparable par rapport aux antibiotiques chimiques : l'EPP inhibe les bactéries nocives au niveau intestinal mais ne touche pas les indispensables bifidus et ne diminue que très peu les lacto-bactéries. Globalement, l'ensemble de la flore s'en trouve améliorée.
(...) ALORS COMMENT CHOISIR SANS SE TROMPER ?
Avant de sortir votre porte-monnaie, avant de craquer sur un prix alléchant, vérifiez autant que possible les points suivants :
la traçabilité du produit : assurez-vous qu'il s'agit bien de pépins de Citrus paradisi.
Privilégiez les extraits ou macérats obtenus sans solvant chimique, sans alcool et de préférence avec de la glycérine végétale, sans pulpe ou péricarpe, sans ajout de bioflavonoïdes ou de vitamine C.
Choisissez de préférence la forme liquide, a priori plus pure et plus efficace que les comprimés.
Vérifiez qu'il n'y ait aucun additif autre qu'un conservateur inoffensif et surtout pas, évidemment, de chlorure de benzéthonium.
Méfiez-vous surtout des importations bon marché, souvent identifiables à leur contenance bizarre (30 ml par exemple) ou à leur goût très amer (l'EPP ne doit être que très légèrement amer voire pas du tout) ou bien des marchands Internet implantés à l'étranger.
Enfin des formules fiables ! (...)
Conclusion : Préférer la qualité au prix et à faire une bonne cure préventive d'EPP. L'authentique EPP a fait ses preuves et il est dépourvu de toute toxicité, même en cas de dépassement des doses conseillées.
C'est en particulier un excellent préventif des maux hivernaux et sa seule contre-indication sérieuse s'adresse aux rares personnes allergiques aux agrumes. (...)
source :
http://www.alternativesante.fr/extraitpepin-de-pamplemousse/
L'extrait de pépin de pamplemousse (EPP) est un antibiotique naturel puissant. L'EPP , un probiotique découvert par le Dr Jacob Harich ,médecin immunologiste de Floride, en 1972..Il se rend compte que les pépins de pamplemousse de son compost ne se décomposent pas. Il analyse en laboratoire les propriétés des flavonoïdes du pépin de pamplemousse ; Ils ont une action anti-bactérienne, anti-mycosique, anti-putride, anti-inflammatoire, anti-allergique, et agissent même sur certains virus.
Cet antibiotique naturel a la particularité d'éliminer environ 800 souches de bactéries et virus, et environ 100 souches de champignons ainsi qu'un très grand nombre de parasites unicellulaires.
Ce Complément Alimentaire contient des Flavonoïdes de pamplemousse et de la vitamine C naturelle.
Garanti sans benzéthonium, ni aucun autre conservateur. Extraction mécanique, sans aucun solvant chimique.
QU'EST CE QUE FAIT L'ANTIBIOTIQUE NATUREL EPP ?
Il est un puissant remède contre les candidas, maladies bactériennes, parasites, problèmes intestinaux, aussi bien que la prévention et l'éclaircissement de la dysenterie et la diarrhée de voyage.
Cet antibiotique naturel contient des minéraux essentiels, du phosphore, du potassium, du fer, du sodium, du magnésium, de la vitamine B Biotine, la vitamine V et E. Un grand nombre d'acides aminés, bioflavonoïdes et hesperidine, combattent les infections et aident le système immunitaire.
L'EPP s'avère aussi très utile pour le coeur, il contient des composés puissants pour diminuer le cholestérol et peut aussi nettoyer certains débris artériels connus comme la plaque.
L'EPP tue et désintoxique les champignons aussi bien que d'autres parasites qui causent l'affaiblissement de notre système immunitaire.L'amélioration arrive rapidement en raison de l'action purifiante de l'EPP dans les intestins. Il est utile pour les victimes d'arthrite, est capable de réduire les douleurs, agit comme un antioxydant et débarasse le corps des substances toxiques.
OU TROUVER CET ANTIBIOTIQUE NATUREL?
L'Extrait de pépin de pamplemousse bio se trouve dans les magasins bio et les bonnes pharmacies. (Préférer les flacons en verre teintés; ils assurent une meilleur conservation du produit).
ANTIBIOTIQUE NATUREL, LES USAGES :
L'EPP présente de plus une action rapide, sans affaiblir le système immunitaire (au contraire, il le soutient).Avant de l'utiliser, rappelez-vous qu'il s'utilise toujours dilué et qu'il doit être évité sur les yeux.
1. Action en interne (pour un entretien quotidien) : 10 gouttes dans un verre d'eau ou de jus de fruit avant les repas, (digestion, ballonnements, flatulences, gastrite, diarrhée, fatigue...).
Efficace aussi bien en prévention qu'en traitement d'attaque pour toutes les infections, particulièrement :
o Les infections du système digestif, intoxications alimentaires, diarrhées, maladies parasitaires...
o Les ulcères de l'estomac et du duodénum (il tue Helicobacter pylori),
o Le Candida albicans, les candidoses et autres mycoses.
o Le rhume, les infections de la sphère ORL en général, la grippe, les affections bronchiques ...
o Les infections urinaires et cystites.
o La fatigue chronique et l'affaiblissement immunitaire.
o Les allergies (car il est aussi hypoallergène).
o En usage externe, l'EPP est aussi un recours dans bien des situations :
o La bouche : aphtes, herpès des lèvres, muguet, gingivite...
o La peau : acné, dermatites, psoriasis mais aussi petites coupures ou brûlures, piqûre d'insectes, verrues, mycoses...
o Les cheveux : pellicules, démangeaisons du cuir chevelu, poux...
o Les pieds : eczéma des orteils, verrues plantaires, infections à champignons.
o Les ongles : onychomycose, panaris.
o Les organes génitaux : vaginite, infections vaginales, parasites...
2. Alicament d'attaque : 20 à 30 gouttes 3 fois par jour dans de l'eau: désinfection interne et externe, soutien des défenses immunitaires, anti-bactérien et parasitaire. Pour maux de gorge, refroidissement et toux, 10 gouttes pures dans la bouche 6 à 9 fois par jour.
3. Action en externe : quelques gouttes pures à plusieurs reprises:
o dans la bouche (aphtes, gingivite, parodontose, ou sur l' herpès des lèvres).
o sur la peau, le cuir chevelu ou sur un tampon intime pour les mycoses, eczéma, psoriasis (diluer dans un peu d'eau pour badigeonner de grandes surfaces de peau.), urticaire, verrues, champignons, piqûres d'insectes, éruption cutanée, échardes (inflammation locale). Renforcer toujours l'action externe en ingérant quelques gouttes d'extrait.
L'EXTRAIT DE PEPIN DE PAMPLEMOUSSE EST-IL UN ANTIBIOTIQUE NATUREL DANGEREUX ?
L'EPP est très sûr, des réactions allergiques n'ont pas été annoncées dans les 25 ans de son utilisation. L'EPP est totalement non-toxique, même pour les personnes allergiques aux agrumes, et celles qui sont en cours de traitement par médicament.
ATTENTION
CE PRODUIT, BIEN QUE TRÈS ACTIF, EST DOSÉ POUR ÊTRE UN COMPLÉMENT ALIMENTAIRE. CE N'EST EN AUCUN CAS UN MÉDICAMENT. UTILISER POUR LES AFFECTIONS BÉNIGNES, PLUS INVALIDANTES ET DOULOUREUSES QUE VRAIMENT GRAVES. NE JAMAIS METTRE PUR DANS LA BOUCHE D'UN NOURRISSON. PAS UTILISATION PROLONGÉE. EN CAS D'ATHSME, OU D'ALLERGIE AUX AGRUMES, COMMENCER AVEC 5 GOUTTES DANS UN VERRE D'EAU, ET AUGMENTER PROGRESSIVEMENT.
A LIRE CE QUI SUIT, CAR IL EXISTE DIFFERENTES QUALITES D'EPP : HTTP://WWW.ALTERNATIVESANTE.FR/EXTRAITPEPIN-DE-PAMPLEMOUSSE/ )
(...) DE NOMBREUSES FRAUDES SIGNALEES
À plusieurs reprises, dans les années 2000, des scientifiques, allemands, suisses et japonais, ont prouvé que certains EPP n'étaient pas si naturels que ça (1) : dans plusieurs d'entre eux a été détecté la présence en quantité non négligeable d'antibiotiques et de conservateurs industriels comme du chlorure de benzéthonium (un ammonium quaternaire toxique), du chlorure de benzalkonium (idem), du triclosan (un composé organochloré) et du methyl paraben.
En Suisse, suite à une étude des laboratoires cantonaux de Bâle mettant en évidence la présence de hautes concentrations de chlorure de benzéthonium dans des EPP (7 produits sur les 9 étudiés étaient contaminés !), plusieurs marques ont même été retirées du marché au début des années 2000.
Avec du chlorure de benzéthonium, vous pouvez remplacer n'importe quel EPP par de la Vache qui Rit ou de la confiture de groseille : le résultat sera aussi époustouflant ! (...)
UNE LEGENDE MERVEILLEUSE... BIEN QU'ECORNEE
Vous connaissez certainement cette histoire désormais légendaire : un jour de 1980, Jacob Harich, médecin et physicien émigré aux Etats-Unis, jardinier à ses heures, remarqua que les pépins de pamplemousse ne pourrissaient pas sur son compost. Il les étudia alors dans son laboratoire où il apparut rapidement que les graines de pamplemousse recélaient une substance biocide à la fois plus puissante et moins nocive que tout antibiotique...
Mais les bricolages frauduleux subis par le produit ont amené les scientifiques officiels à conclure que l'EPP, seul, n'avait aucune activité antibactérienne (2).
Je ne suis pourtant pas le seul à avoir expérimenté avec succès l'EPP et il s'agissait bien d'un authentique EPP, pur, « sans chlorure de benzéthonium » comme indiqué sur le flacon. On ne peut donc pas contester que ce produit possède de vraies vertus.
LES CULTIVATEURS BIO FONT GRAND USAGE DE L'EPP
La preuve en est que ses propriétés sont largement mises à profit en agriculture biologique, en jardinage (on l'utilise contre les moisissures, le mildiou, les limaces, les pucerons) et dans les élevages (on soigne ainsi les animaux souffrant d'infections à champignons, on s'en sert pour nettoyer le pis des vaches, les cages et les stalles...).
Alors si la méfiance s'impose face à la floraison actuelle de marques et sous-marques et face à certaines pratiques, compte-tenu de ces arguments et de nos expériences respectives, l'EPP reste un excellent produit qu'il faut simplement savoir bien choisir.
DES ETUDES RASSURANTES... ENFIN !
Les troublantes constatations d'une partie du monde scientifique ont forcément nourri une trépidante controverse, toujours en cours ; autour de l'ammonium quaternaire (3). Mais il faut savoir que l'EPP n'a pas que des détracteurs chez les chercheurs : de très sérieuses études ont récemment confirmé les premiers travaux menés dans les années 90 (notamment à l'Institut Pasteur) sur les propriétés bactéricides du pépin de pamplemousse (4).
L'étude citée plus haut a ainsi confirmé que l'action de l'EPP s'étend à environ 800 souches de bactéries et virus, une centaine de souches de champignons, ainsi qu'à un très grand nombre de parasites unicellulaires. L'extrait de pépin agit en désorganisant la membrane cytoplasmique et mitochondriale des micro-organismes.
Avantage imparable par rapport aux antibiotiques chimiques : l'EPP inhibe les bactéries nocives au niveau intestinal mais ne touche pas les indispensables bifidus et ne diminue que très peu les lacto-bactéries. Globalement, l'ensemble de la flore s'en trouve améliorée.
(...) ALORS COMMENT CHOISIR SANS SE TROMPER ?
Avant de sortir votre porte-monnaie, avant de craquer sur un prix alléchant, vérifiez autant que possible les points suivants :
la traçabilité du produit : assurez-vous qu'il s'agit bien de pépins de Citrus paradisi.
Privilégiez les extraits ou macérats obtenus sans solvant chimique, sans alcool et de préférence avec de la glycérine végétale, sans pulpe ou péricarpe, sans ajout de bioflavonoïdes ou de vitamine C.
Choisissez de préférence la forme liquide, a priori plus pure et plus efficace que les comprimés.
Vérifiez qu'il n'y ait aucun additif autre qu'un conservateur inoffensif et surtout pas, évidemment, de chlorure de benzéthonium.
Méfiez-vous surtout des importations bon marché, souvent identifiables à leur contenance bizarre (30 ml par exemple) ou à leur goût très amer (l'EPP ne doit être que très légèrement amer voire pas du tout) ou bien des marchands Internet implantés à l'étranger.
Enfin des formules fiables ! (...)
Conclusion : Préférer la qualité au prix et à faire une bonne cure préventive d'EPP. L'authentique EPP a fait ses preuves et il est dépourvu de toute toxicité, même en cas de dépassement des doses conseillées.
C'est en particulier un excellent préventif des maux hivernaux et sa seule contre-indication sérieuse s'adresse aux rares personnes allergiques aux agrumes. (...)
source :
http://www.alternativesante.fr/extraitpepin-de-pamplemousse/
Santé
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Pour compléter l'article très complet de xo sur les ondes, voici un reportage à regarder en prenant son temps.
« Ce film présente la cellule vivante sous un nouvel éclairage.
Capable de capter et d'émettre des ondes électromagnétiques artificielles et naturelles, elle se comporte comme un véritable circuit électronique.
Dans un monde où les ondes sont omniprésentes, ce film va à la rencontre d'experts et de chercheurs qui nous présentent leurs travaux et nous offrent des clefs inédites de compréhension des effets des ondes sur le vivant. »
L'originalité de ce documentaire est qu'il montre non seulement les effets dommageables des ondes électromagnétiques mais aussi les effets positifs constatés dans les recherches médicales et agronomiques sans jamais tomber dans l'ésotérisme. Quelques réflexions philosophiques à la fin mais l'ensemble reste purement scientifique.
[vidéo supprimée sur YouTube]
« Ce film présente la cellule vivante sous un nouvel éclairage.
Capable de capter et d'émettre des ondes électromagnétiques artificielles et naturelles, elle se comporte comme un véritable circuit électronique.
Dans un monde où les ondes sont omniprésentes, ce film va à la rencontre d'experts et de chercheurs qui nous présentent leurs travaux et nous offrent des clefs inédites de compréhension des effets des ondes sur le vivant. »
L'originalité de ce documentaire est qu'il montre non seulement les effets dommageables des ondes électromagnétiques mais aussi les effets positifs constatés dans les recherches médicales et agronomiques sans jamais tomber dans l'ésotérisme. Quelques réflexions philosophiques à la fin mais l'ensemble reste purement scientifique.
[vidéo supprimée sur YouTube]
Environnement, Santé
3 commentaires
source : Le veilleur _ Vaccination
Un nombre alarmant d'études scientifiques mettent actuellement en lumière les dangers des vaccins. Il ne s'agit plus de mises en garde émanant de mouvements associatifs marginaux ou à tendances sectaires. Non, c'est maintenant la communauté médicale internationale elle-même qui exprime ses doutes, voire ses inquiétudes.
Le British Medical Journal, une revue mondialement connue et respectée pour sa rigueur scientifique, a publié le 30 janvier 2013 une étude démontrant que le vaccin contre la grippe H1N1 Pandermix avait causé des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants, une maladie grave et incurable, sans que cette catastrophe ne soit compensée par des vies sauvées par ailleurs par ce vaccin. (1) Une association, quoique plus faible, a aussi été établie entre le vaccin contre la grippe et la maladie de Guillain-Barré (paralysie). (2)
Le Gardasil, vaccin contre papillomavirus et le cancer cervical, est aujourd'hui au centre d'un scandale qui n'en finit pas. Selon le décompte effectué par l'association Sanevax, ce vaccin est relié à 29.003 effets adverses graves et au moins à 130 décès. (3)
Le vaccin contre l'hépatite B, lui aussi, est fortement critiqué. Il est accusé de tuer les cellules du foie, alors qu'il est précisément supposé protéger contre une maladie du foie. (4) D'autre part, le 21 novembre 2012, le Conseil d'Etat français a reconnu que l'aluminium dans le vaccin hépatite B avait été la cause d'une terrible maladie invalidante, la myofasciite à macrophages, dont souffre depuis 1996 un employé de la ville de Paris, permettant à cette personne d'être indemnisée. (5) Des milliers de personnes, qui n'ont pas eu l'idée de porter plainte, pourraient être dans le même cas.
Les vaccins peuvent en effet contenir diverses substances notoirement toxiques même à faibles doses comme le formaldéhyde (cancérigène), le mercure (neurotoxique), l'aluminium (neurotoxique) ou le phénoxyéthanol. Les jeunes enfants sont particulièrement vulnérables à ces substances, qui peuvent affecter de façon dramatique leurs fonctions nerveuses et immunitaires.
Ces molécules sont employées comme adjuvants pour renforcer l'efficacité des vaccins en stimulant la réponse immunitaire. Ainsi les personnes prédisposées génétiquement peuvent voir leur immunité s'emballer et déclencher alors une maladie auto-immune, comme la fameuse myofasciite à macrophages, le syndrome de Guillain-Barré ou le syndrome des antiphospholipides, des effets secondaires rares et graves mais parfaitement connus.
L'aluminium pourrait aussi être une cause majeure de maladie d'Al zheimer et de cancer du sein, ce qui expliquerait les proportions épidémiques que sont en train de prendre ces maladies dans les générations d'après-guerre.
Un rapport risque/avantage douteux
Ces effets indésirables sont toutefois présentés par les autorités médicales et la grande presse comme bénins par rapport aux « immenses avantages » qu'auraient des vaccins.
L'opinion publique leur prête en effet le mérite de nous protéger de nombreuses maladies infectieuses et d'avoir éradiqué toutes les épidémies qui décimaient autrefois nos pays : typhus, diphtérie, coqueluche, scarlatine, tuberculose, méningite, tétanos et bien entendu les maladies infantiles, rougeole, oreillon, rubéole, etc.
Et pourtant, en dehors du cas particulier de la poliomyélite (qui mériterait un article à elle seule), la vérité scientifique et historique m'oblige à écrire, sans hésiter, qu'il s'agit là d'une pure mythologie.
Les maladies citées ci-dessus avaient cessé de faire des morts à grande échelle bien avant que l'on introduise les vaccins. C'est l'amélioration des conditions de vie, de l'hygiène, de l'eau potable, le recul de la malnutrition et du paupérisme qui expliquent l'effondrement du nombre de morts par ces maladies tout au long du 20e siècle.
Le cas emblématique de la diphtérie
Je ne peux traiter dans cette simple lettre de toutes les maladies et me contenterai d'exemples symboliques. Mais des chiffres similaires à ceux cités ici existent pour les autres maladies pour lesquelles les gouvernements vaccinent à l'échelle industrielle. Les lecteurs qui voudront en savoir plus se reporteront pour cela à l'excellent dossier « Survey on Vaccinations in Europe » dont sont tirés les chiffres suivant. (6)
En Espagne, il y avait chaque année 5000 morts de diphtérie en 1900, mais seulement 81 en 1964, l'année où la vaccination systématique fut introduite.
En France, la vaccination obligatoire contre la diphtérie fut imposée en 1938. L'année suivante, il y eut 15.000 cas de diphtérie puis trois fois plus pendant la Guerre !
En Allemagne, il y avait 100.000 cas de diphtérie par an pendant la Première guerre mondiale. Les Nazis imposèrent le vaccin obligatoire contre la diphtérie en 1939. En 1940, il y avait à nouveau 100.000 cas, et 250.000 en 1945. Après la Guerre, la vaccination obligatoire fut abandonnée et le nombre de malades de la diphtérie baissa régulièrement, jusqu'à 800 annuellement en 1972 (un baisse de 99,2 %).
En Norvège, 555 personnes moururent de diphtérie en 1908, mais seulement 2 en 1939. Le pays fut alors envahi par l'Allemagne, qui imposa le vaccin : le nombre de personnes touchées par la diphtérie monta à 22.787 cas en 1942 et près de 700 morts.
Ces chiffres indiquent que la diphtérie se répand lorsque les conditions de vie se dégradent (guerre), et que les campagnes de vaccination sont malheureusement impuissantes à enrayer le phénomène. En revanche, le retour à la prospérité et à une meilleure hygiène de vie s'accompagnent d'un recul de la maladie, jusqu'à une disparition quasi-totale.
Ils indiquent également que les gouvernements sont capables d'introduire la vaccination systématique de la population pour une maladie quasi-inexistante (cas de l'Espagne en 1964, de l'Allemagne en 1939).
Un phénomène général
Les mêmes phénomènes ont été observés avec les autres grandes maladies infectieuses.
La fièvre typhoïde, qui décimait les armées de Napoléon et fit 5 à 7 000 morts par an pendant la Guerre civile espagnole (à partir de 1937) fut quasiment éradiquée à la fin des années 50, sans qu'il y eut de campagne importante de vaccination.
Le vaccin contre la coqueluche ne commença à être administré que dans les années 40 aux Etats-Unis. En 1953, il fut autorisé en Angleterre. A ce moment-là, la coqueluche faisait 25 morts par million d'enfants de moins de 15 ans, contre 1500 en 1850. Une baisse de 98,5 % sans que le vaccin y soit pour quoi que ce soit.
En Espagne, la coqueluche ne faisait plus que 33 morts par an en 1965 quand furent lancées les campagnes de vaccination DPT (diphtérie, coqueluche, tétanos). La scarlatine ne fait pratiquement plus aucun mort depuis les années 60 bien qu'il n'y ait jamais eu de vaccin.
En France, les campagnes à grande échelle de vaccination ROR (rougeole, oreillons, rubéoles) furent lancées en 1983, alors que le nombre de décès causés par la rougeole était tombé à 20 personnes par an, contre 3756 en 1906, une baisse de la mortalité de 99,5 % sans vaccin ! En Espagne, 18.473 personnes moururent de la rougeole en 1901, contre 19 en 1981. Les campagnes de vaccination nationales commencèrent pourtant en... 1982.
La tuberculose et le BCG
Mais le cas le plus emblématique reste celui de la tuberculose. Censée être prévenue par le vaccin « BCG », cette maladie a en réalité plus vite régressé dans des pays comme la Belgique et les Pays-Bas, qui ne vaccinaient pas leur population, qu'en France, où tous les écoliers se faisaient vacciner.
Aujourd'hui, alors que le BCG n'est plus obligatoire ni en Allemagne, ni en Angleterre, ni en Belgique, ni au Luxembourg, ni aux Pays-Bas, ni en Espagne, et qu'il n'est imposé en Italie qu'à certains adultes à risque (personnel de santé, militaires...), la France continue à vacciner religieusement des millions d'écoliers chaque année.
Les études de l'INSERM sont pourtant sans appel : le nombre de décès par tuberculose avait déjà chuté de 80 % quand fut introduit le BCG obligatoire le 5 janvier 1950, malgré les très difficiles conditions de vie des années d'Après-Guerre. Les campagnes de vaccination n'ont ensuite eu aucun effet notable sur les courbes de la maladie. Celle-ci a continué à régresser au même rythme qu'auparavant, avec l'amélioration de l'hygiène et la généralisation de l'eau courante. Ce qui n'est pas étonnant quand on sait que le fait d'être vacciné contre le BCG ne protège ni de l'infection, ni de la transmission de la maladie. Les personnes qui meurent aujourd'hui de la tuberculose en France ne sont nullement des personnes qui n'ont pas été vaccinées, mais des personnes marginalisées socialement et souffrant de dénutrition.
Le problème est que le BCG comporte des risques importants d'effets secondaires, raison pour laquelle la vaccination obligatoire a été abandonnée dans les années 70 et 80 (sauf en France, où l'obligation a été supprimée en 2007). C'est en effet un vaccin vivant, qui pose des risques, y compris de décès, aux enfants et aux personnes dont le système immunitaire est affaibli. Une étude réalisée à Barcelone a indiqué une baisse significative des cas de méningite chez les jeunes enfants après l'abandon des campagnes de vaccination au BCG.
Ce n'est donc nullement la vaccination qui a permis à nos sociétés de sortir des grandes épidémies mais la prospérité économique. Celle-ci a permis une amélioration de l'hygiène, de l'alimentation et de l'habitat. Si ces conditions devaient se dégrader de façon significative, il est évident que, malgré tous nos vaccins, on assisterait à un retour en force de ces maladies, exactement comme cela fut le cas pendant la Seconde Guerre mondiale.
La vérité soigneusement dissimulée
Actuellement malheureusement, une industrie gigantesque s'est développée pour assurer la vaccination de masse des populations du monde entier. Cette industrie est d'autant plus lucrative qu'elle est totalement financée par les gouvernements, et que les entreprises qui se partagent le marché sont protégées à la fois par des brevets (dont le respect est assuré par les pouvoirs publics) et par une réglementation touffue que seuls quelques grands groupes armés de bataillons de juristes peuvent comprendre et respecter.
Des milliards de vaccins sont administrés chaque année, et des dizaines de milliards d'euros sont encaissés par les multinationales pharmaceutiques. Pour le seul vaccin contre la grippe A, le gouvernement français avait payé 1,5 milliard d'euros pour 94 millions de doses, ce qui fait quasiment deux doses par citoyen.
A l'achat des vaccins, il a fallu ajouter le coût de :
o la campagne de vaccination pour un montant de 35,8 millions d'euros,
o l'acquisition de respirateurs pour 5,8 millions d'euros,
o l'achat d'antiviraux pour 20 millions d'euros,
o 150,6 millions d'euros de masques,
o 41,6 millions d'euros de dépenses logistiques,
o 290 millions afin d'indemniser les personnels de santé réquisitionnés,
o 59,6 millions destinés aux frais d'information et à la campagne de communication,
o 100 millions de « frais liés à l'organisation territoriale de la campagne de vaccination »,
o et encore 375 à 752 millions d'euros de dépenses liées aux consultations de médecins, à la prescription de médicaments.
Finalement, le nombre de vaccins utilisés n'a été que de 4,5 millions, ce qui est une bonne chose, mais cela veut dire que sur les 94 millions de doses, 89,5 millions sont parties à la poubelle, une fois atteinte la date de péremption. (7)
Ce gaspillage révoltant a été dénoncé par le Professeur Bernard Debré et le député et médecin Jean-Marie Le Guen. Mais la presse a traité l'affaire comme un scandale isolé, sans lien avec la surconsommation systématique des autres vaccins, en France et à travers le monde.
Pas de suivi des accidents liés aux vaccins
De même, personne ne se soucie actuellement des risques réels que vous faites courir à vos enfants en les vaccinant. Et s'ils tombent malades juste après la vaccination, vous pouvez être certain qu'on vous expliquera qu'il s'agit d'une pure coïncidence, y compris s'il y a décès.
Le cas arrive tous les ans à des milliers de parents. Leur enfant se fait vacciner et, dans les heures qui suivent, ils déclenchent de graves réactions pouvant aller des maux de tête aux vomissements, en passant par l'eczéma, l'hyperactivité, les perturbations du sommeil et un peu plus tard une maladie auto-immune incurable ou pire, la mort.
Dans la plupart des cas, les professionnels de santé, non seulement nient le lien avec le vaccin, mais ils ne déclarent même pas l'accident aux autorités de pharmacovigilance (agences responsables de surveiller les effets indésirables des médicaments) puisqu'ils considèrent qu'il n'y a pas de lien.
C'est ce qui est arrivé à la petite Christina Richelle, décédée suite au vaccin Gardasil contre le HPV (papillomavirus), et à tant d'autres personnes que l'on retrouve sur les innombrables sites d'information sur la vaccination. (8)
Un témoignage parmi d'autres, recueilli par l'EFVV (European forum for vaccine vigilance) :
« Je ne peux vous dire mon nom et je ne peux pas vous révéler l'identité de mon bébé parce que j'ai peur que cela me retombe dessus, mais j'ai voulu vous contacter en entendant parler de votre projet, parce que je suis si heureuse que quelqu'un entreprenne quelque chose. Mon bébé est mort dans les 24 heures après avoir reçu son premier vaccin DPT (Diphtérie, coqueluche, tetanos), il y a deux mois. Je me sens si horriblement mal, personne ne peut avoir la moindre idée de ce que c'est. Elle était parfaite. Lorsqu'on lui fit l'injection, elle se mit à crier pendant au moins une heure, d'une façon bizarre. Puis elle parut très fatiguée, s'est endormie profondément, et ne s'est plus jamais réveillée. J'ai commencé à m'inquiéter parce qu'elle semblait dormir plus longtemps que d'habitude et lorsque j'ai voulu vérifier, j'ai remarqué qu'elle avait un peu vomi et qu'elle ne respirait plus. Ils ont du faire une autopsie mais ils n'ont pas pu identifier la cause du décès. Je sais que c'est le vaccin qui l'a tuée. Elle n'avait pas été malade une seule fois jusque là. Mais plus je l'ai dit au corps médical, plus ils sont devenus hostiles. Aujourd'hui, j'ai peur qu'ils me prennent mon autre enfant et je ne veux pas qu'ils m'accusent d'avoir tué mon bébé. Je ne devrais pas avoir à vivre comme ça, c'est horrible. Je suis presque trop terrorisée pour pouvoir faire mon deuil correctement. Elle était si belle. »
Mais c'est très souvent le même scénario : officiellement, il ne peut y avoir aucun lien entre le vaccin et les accidents qui s'ensuivent. La plupart des médecins nieront farouchement l'évidence. Rien ne serait plus facile, pourtant, que de donner à chaque personne vaccinée un petit questionnaire, à renvoyer à l'Agence nationale du médicament, sur lequel elle noterait tous les effets anormaux qu'elle constaterait durant, par exemple, les huit jours suivant la vaccination.
Cela permettrait très rapidement d'établir enfin des statistiques globales sur les effets indésirables réels des vaccins. Dans un cas comme cité ci-dessus, il est vraiment trop facile de déclarer que l'enfant est décédé « de cause inexpliquée » ou encore que c'est la « mort subite du nourrisson ». Parce qu'injecter un vaccin, cela consiste à introduire dans l'organisme non seulement des virus potentiellement dangereux (même artificiellement affaiblis) et des adjuvants que les systèmes immunitaires immatures ne supportent pas forcément.
Mais pour des raisons qui n'ont rien à voir avec votre santé ni le bien commun, et tout à voir avec les comptes en banques des industriels et des politiques, ce type de mesures n'est absolument pas envisagé aujourd'hui par les autorités sanitaires.
Que faire ?
Cela veut-il dire qu'il faille à arrêter de vacciner tous les enfants ? Non ! Car même si on a exagéré les bienfaits des vaccins sur la santé publique, et même si les dangers de la vaccination sont minorés, il existe probablement de nombreux cas où il est raisonnable de vacciner.
Le problème est que l'absence d'études sérieuses sur les risques et bénéfices réels des vaccins obscurcit considérablement le débat. Ni les citoyens, ni les professionnels de santé de bonne volonté, ne disposent aujourd'hui d'éléments fiables pour prendre des décisions éclairées.
Nous sommes donc obligés de jouer à la roulette russe avec les vaccins.
Il semble toutefois raisonnable a priori d'éviter tous les vaccins qui ne sont pas obligatoires, lorsqu'on est en bonne santé. Faire du zèle est coûteux, mais plus probablement encore dangereux. Pour toutes les maladies, il y a des personnes « à risque », et d'autres qui le sont moins. Vacciner aveuglément tous les enfants avec tous les vaccins du calendrier vaccinal est dans la plupart des cas, nocif.
De plus, il ne faut pas oublier que même les vaccins obligatoires (DTPolio et BCG en France) ne le sont plus si votre médecin constate des contre-indications. Cela n'est pas théorique car de nombreuses personnes peuvent en fait présenter des contre-indications, en particulier les personnes allergiques, souffrant de maladies auto-immunes, ou ayant d'autres problèmes liés à leur système immunitaire. Un examen médical est donc recommandé avant toute vaccination, même si ce n'est pas prévu par le système.
Une réforme indispensable et urgente
Il est donc indispensable et urgent que les pouvoirs publics prennent des mesures visant à améliorer la connaissance des vaccins et l'information des médecins comme du grand public à ce sujet. Une information transparente doit être donnée sur les dangers de chaque vaccin. S'il y a eu des morts, des personnes gravement handicapées, ou malades à vie, les personnes qui sont sur le point de se faire vacciner doivent en être informées.
Beaucoup de vaccins ont un rapport bénéfices/risques douteux. Une information lisible et facilement compréhensible doit figurer sur l'emballage des vaccins, indiquant clairement ceux qui sont indispensables, ceux qui ne sont nécessaires que dans certains cas, et ceux qui sont inutiles dans la plupart des cas.
Mais même si c'est aux médecins de s'assurer qu'ils ne font pas courir de risque inutile à leurs patients (serment d'Hippocrate), rappelons-nous que nous ne vivons pas dans l'utopie et que ce sera toujours à nous, ultimement, d'être responsable de notre santé.
Les vaccins ont été basés sur une fraude médicale depuis plus de cent ans
Le concept de la vaccination pour immuniser a commencé en 1796, lorsque l'apothicaire britannique (pharmacien) Edward Jenner a inséré du pus contenant le virus cowpox sous la peau d'un enfant âgé de huit ans. Jenner a basé son expérience sur une rumeur sans fondement affirmant que ceux qui avaient connu l'orthopoxvirose bovine serait à l'abri de la variole.
Dans les deux années qui ont suivi, Jenner a vacciné d'autres personnes avec le cowpox pour les immuniser contre la variole. Sans aucune preuve réelle de l'efficacité et de la sécurité, Jenner a suffisamment impressionné le roi George III avec sa fausse vaccination garantie qu'il a reçu l'équivalent de 500.000 $ d'aujourd'hui. Jenner était donc le premier professionnel de la santé à administrer des matières malades comme médicament à une personne en bonne santé et à recevoir une récompense financière substantielle. Il fut également le premier à dénoncer constamment les détracteurs de la vaccination avec succès. Il protégeait à la fois son ego et le Trésor public.
De nombreux professionnels de la santé tout au long du XIXe siècle savaient qu'il y avait eu plusieurs cas de variole parmi ceux ayant des antécédents du cowpox. Le principe de Jenner était erroné. C'était en fait le début d'une tradition qui est exploitée par des vaccinateurs d'aujourd'hui. Une fausse solution pour prévenir une maladie, faire un paquet de fric, et contrer les arguments raisonnables de ceux qui savent que l'immunisation par la vaccination ne marche pas en toute sécurité et efficacement.
En Angleterre les incidents de la variole après vaccination ont augmenté régulièrement, passant de 5% au début à 95% en 1895. Il y a même eu une épidémie grave autour de 1872, un an après que la vaccination contre la variole ait été décrétée obligatoire au Royaume-Uni. Le taux de mortalité parmi les victimes de la variole a aussi était multiplié par cinq à cette époque.
Malgré les protestations intelligentes avec des faits évidents et des chiffres réfutant l'efficacité, et prouvant un dommage à partir de matériaux toxiques et des virus contenus dans les vaccins mettant en danger l'immunité naturelle, le programme d'inoculation de vaccin a été maintenue. Protéger l'industrie contre la vérité en attaquant violemment les dissidents raisonnables a entraîné l'équivalent de 17 milliards de dollars par an de recettes à l'industrie des vaccins. Cela ne comprend pas les recettes provenant des visites des médecins pour la vaccination et la mauvaise santé y résultant.
Les tactiques des vaccinateurs pour supprimer les données scientifiques des professionnels concernés sont devenues dignes de la mafia. Les professionnels de la santé sincères qui inscrivent les problèmes de santé par rapport aux vaccins sont sévèrement punis et calomniés par les médias traditionnels appartenant à la mafia médicale.
La vérité sur les vaccins et les éclosions de maladies cachées à la vue du public
Une étude de 2012 dirigée par le Dr David Witt, un spécialiste des maladies infectieuses du Centre Médical Permanent Kaiser de San Rafael en Californie a conclu que la coqueluche se déclenche plus chez les enfants vaccinés que les enfants non vaccinés.
En 2010, une éruption d'oreillons s'est produite chez les 1000 enfants dans le New Jersey du nord et le sud de l'état de New York. Près de 80 % d'entre eux avaient été vaccinés avec le vaccin ROR (rougeole, oreillons rubéole).
Dans les années 1980, des organismes officiels signalèrent plusieurs vagues de rougeole survenues chez les enfants qui avaient été vaccinés dans divers endroits, y compris un collège et lycée de l'Illinois, un lycée du Massachusetts, une région en France et une région rurale près d'Helsinki en Finlande.
Les écoles aux États-Unis avaient bien plus de 90 % de vaccinés contre la rougeole. Les vaccinateurs proclament qu'un taux de vaccination de 90 % d'une population spécifique garantit l'immunité de la population. Cette revendication fausse sert à créer plus de revenus tout en blâmant les anti-vaccins pour mise en danger de l'humanité.
Par ailleurs, en dépit du fait que seulement 5% d'effets indésirables de vaccins soient signalés au système « volontaire » de report d'effets secondaires des vaccins de la FDA (VAERS), il y a de nombreux effets indésirables graves enregistrés et beaucoup plus qui fuient par les fissures que représentent les sites internet dédiés aux vaccins.
Dieu merci pour les quelques docteurs en médecine et autres qui osent parler malgré le danger potentiel que cela engendre pour eux. C'est à nous d'apprendre d'eux et de dire non à la vaccination.
Notes
(1) Rapport « Survey on Vaccinations in Europe », EFVV, téléchargeable gratuitement sur efvv.org
(2) BMJ 2013;346:f794
(3) Guillain-Barré Syndrome After Influenza Vaccination in Adultsarchive, David N. Juurlink, Therese A. Stukel, Jeffrey Kwong, Alexander Kopp, Allison McGeer, Ross E. Upshur, Douglas G. Manuel, Rahim Moineddin, Kumanan Wilson, Arch Intern Med. 2006;166:2217-2221.
(4) Décompte effectué par Sanevax
(5) PubMed
(6) Que Choisir
(7) Rapport « Survey on Vaccinations in Europe », EFVV, téléchargeable gratuitement sur efvv.org
(8) Gardasiland Unexplained Deaths
Voir également
Meyer, J., & Jensen, K. A. (1954). A fatal case of tuberculosis produced by BCG. Am Rev Tuberc, 70(3), 402 - 412. JAMES E. F., Fatal case of tuberculosis produced by BCG, American review of tuberculosis, 1955, tome 71, pp.321-323 ; Pedersen, F. K., Engbaek, H. C., Hertz, H., & Vergmann, B. (1978). Fatal BCG infection in an immunocompetent girl. Acta Paediatr Scand, 67(4), 519 - 523.
OMS, L'éradication mondiale de la variole - Rapport final de la commission mondiale pour la certification de l'éradication de la variole, éd. OMS, 1980.
Ca fait quelques années maintenant que je suis à jour au niveau de la vaccination uniquement sur papier, les derniers médecins que j'ai été voir à ce sujet étaient eux même pas favorable et se contentaient de signer le carnet de vaccination.
Dans le cadre d'une formation suivie au sein de la croix rouge amenant à effectuer des stages en milieu médicalisé accueillant des personnes " atteintes " d'hépatites et autres ... On nous demandait d'être à jour au niveau des vaccinations sinon nous n'étions pas admis dans le cadre de la formation. Pour trouver un emplois dans ces milieux c'est la même. Et même pour des vaccins non obligatoire ils font un forcing monstrueux, et leur argument préféré ceux qui éveillent à la peur au risque de contamination et compagnie...
Durant un des stages en structure j'ai été amenée à accompagner une personne, je ne pourrais plus dire exactement de quoi cette personne souffrait, à première vue on pourrait parler d'un lourd retard mental et bla blabla... En grattant un peu j'ai découvert que la vie de cette personne avait basculé le jour où son médecin lui a fait une injection, pour le " protéger ". "
Etats unis : Bientôt la fin de l'autorisation parentale pour la vaccination des enfants
Australie : Vaccination bientôt obligatoire pour tous ?
Tchad : la campagne de vaccination tourne au drame, au moins 40 enfants paralysés
Etats-unis : Un Comité consultatif gouvernemental demande la vaccination obligatoire contre la grippe saisonnière
Un nombre alarmant d'études scientifiques mettent actuellement en lumière les dangers des vaccins. Il ne s'agit plus de mises en garde émanant de mouvements associatifs marginaux ou à tendances sectaires. Non, c'est maintenant la communauté médicale internationale elle-même qui exprime ses doutes, voire ses inquiétudes.
Le British Medical Journal, une revue mondialement connue et respectée pour sa rigueur scientifique, a publié le 30 janvier 2013 une étude démontrant que le vaccin contre la grippe H1N1 Pandermix avait causé des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants, une maladie grave et incurable, sans que cette catastrophe ne soit compensée par des vies sauvées par ailleurs par ce vaccin. (1) Une association, quoique plus faible, a aussi été établie entre le vaccin contre la grippe et la maladie de Guillain-Barré (paralysie). (2)
Le Gardasil, vaccin contre papillomavirus et le cancer cervical, est aujourd'hui au centre d'un scandale qui n'en finit pas. Selon le décompte effectué par l'association Sanevax, ce vaccin est relié à 29.003 effets adverses graves et au moins à 130 décès. (3)
Le vaccin contre l'hépatite B, lui aussi, est fortement critiqué. Il est accusé de tuer les cellules du foie, alors qu'il est précisément supposé protéger contre une maladie du foie. (4) D'autre part, le 21 novembre 2012, le Conseil d'Etat français a reconnu que l'aluminium dans le vaccin hépatite B avait été la cause d'une terrible maladie invalidante, la myofasciite à macrophages, dont souffre depuis 1996 un employé de la ville de Paris, permettant à cette personne d'être indemnisée. (5) Des milliers de personnes, qui n'ont pas eu l'idée de porter plainte, pourraient être dans le même cas.
Les vaccins peuvent en effet contenir diverses substances notoirement toxiques même à faibles doses comme le formaldéhyde (cancérigène), le mercure (neurotoxique), l'aluminium (neurotoxique) ou le phénoxyéthanol. Les jeunes enfants sont particulièrement vulnérables à ces substances, qui peuvent affecter de façon dramatique leurs fonctions nerveuses et immunitaires.
Ces molécules sont employées comme adjuvants pour renforcer l'efficacité des vaccins en stimulant la réponse immunitaire. Ainsi les personnes prédisposées génétiquement peuvent voir leur immunité s'emballer et déclencher alors une maladie auto-immune, comme la fameuse myofasciite à macrophages, le syndrome de Guillain-Barré ou le syndrome des antiphospholipides, des effets secondaires rares et graves mais parfaitement connus.
L'aluminium pourrait aussi être une cause majeure de maladie d'Al zheimer et de cancer du sein, ce qui expliquerait les proportions épidémiques que sont en train de prendre ces maladies dans les générations d'après-guerre.
Un rapport risque/avantage douteux
Ces effets indésirables sont toutefois présentés par les autorités médicales et la grande presse comme bénins par rapport aux « immenses avantages » qu'auraient des vaccins.
L'opinion publique leur prête en effet le mérite de nous protéger de nombreuses maladies infectieuses et d'avoir éradiqué toutes les épidémies qui décimaient autrefois nos pays : typhus, diphtérie, coqueluche, scarlatine, tuberculose, méningite, tétanos et bien entendu les maladies infantiles, rougeole, oreillon, rubéole, etc.
Et pourtant, en dehors du cas particulier de la poliomyélite (qui mériterait un article à elle seule), la vérité scientifique et historique m'oblige à écrire, sans hésiter, qu'il s'agit là d'une pure mythologie.
Les maladies citées ci-dessus avaient cessé de faire des morts à grande échelle bien avant que l'on introduise les vaccins. C'est l'amélioration des conditions de vie, de l'hygiène, de l'eau potable, le recul de la malnutrition et du paupérisme qui expliquent l'effondrement du nombre de morts par ces maladies tout au long du 20e siècle.
Le cas emblématique de la diphtérie
Je ne peux traiter dans cette simple lettre de toutes les maladies et me contenterai d'exemples symboliques. Mais des chiffres similaires à ceux cités ici existent pour les autres maladies pour lesquelles les gouvernements vaccinent à l'échelle industrielle. Les lecteurs qui voudront en savoir plus se reporteront pour cela à l'excellent dossier « Survey on Vaccinations in Europe » dont sont tirés les chiffres suivant. (6)
En Espagne, il y avait chaque année 5000 morts de diphtérie en 1900, mais seulement 81 en 1964, l'année où la vaccination systématique fut introduite.
En France, la vaccination obligatoire contre la diphtérie fut imposée en 1938. L'année suivante, il y eut 15.000 cas de diphtérie puis trois fois plus pendant la Guerre !
En Allemagne, il y avait 100.000 cas de diphtérie par an pendant la Première guerre mondiale. Les Nazis imposèrent le vaccin obligatoire contre la diphtérie en 1939. En 1940, il y avait à nouveau 100.000 cas, et 250.000 en 1945. Après la Guerre, la vaccination obligatoire fut abandonnée et le nombre de malades de la diphtérie baissa régulièrement, jusqu'à 800 annuellement en 1972 (un baisse de 99,2 %).
En Norvège, 555 personnes moururent de diphtérie en 1908, mais seulement 2 en 1939. Le pays fut alors envahi par l'Allemagne, qui imposa le vaccin : le nombre de personnes touchées par la diphtérie monta à 22.787 cas en 1942 et près de 700 morts.
Ces chiffres indiquent que la diphtérie se répand lorsque les conditions de vie se dégradent (guerre), et que les campagnes de vaccination sont malheureusement impuissantes à enrayer le phénomène. En revanche, le retour à la prospérité et à une meilleure hygiène de vie s'accompagnent d'un recul de la maladie, jusqu'à une disparition quasi-totale.
Ils indiquent également que les gouvernements sont capables d'introduire la vaccination systématique de la population pour une maladie quasi-inexistante (cas de l'Espagne en 1964, de l'Allemagne en 1939).
Un phénomène général
Les mêmes phénomènes ont été observés avec les autres grandes maladies infectieuses.
La fièvre typhoïde, qui décimait les armées de Napoléon et fit 5 à 7 000 morts par an pendant la Guerre civile espagnole (à partir de 1937) fut quasiment éradiquée à la fin des années 50, sans qu'il y eut de campagne importante de vaccination.
Le vaccin contre la coqueluche ne commença à être administré que dans les années 40 aux Etats-Unis. En 1953, il fut autorisé en Angleterre. A ce moment-là, la coqueluche faisait 25 morts par million d'enfants de moins de 15 ans, contre 1500 en 1850. Une baisse de 98,5 % sans que le vaccin y soit pour quoi que ce soit.
En Espagne, la coqueluche ne faisait plus que 33 morts par an en 1965 quand furent lancées les campagnes de vaccination DPT (diphtérie, coqueluche, tétanos). La scarlatine ne fait pratiquement plus aucun mort depuis les années 60 bien qu'il n'y ait jamais eu de vaccin.
En France, les campagnes à grande échelle de vaccination ROR (rougeole, oreillons, rubéoles) furent lancées en 1983, alors que le nombre de décès causés par la rougeole était tombé à 20 personnes par an, contre 3756 en 1906, une baisse de la mortalité de 99,5 % sans vaccin ! En Espagne, 18.473 personnes moururent de la rougeole en 1901, contre 19 en 1981. Les campagnes de vaccination nationales commencèrent pourtant en... 1982.
La tuberculose et le BCG
Mais le cas le plus emblématique reste celui de la tuberculose. Censée être prévenue par le vaccin « BCG », cette maladie a en réalité plus vite régressé dans des pays comme la Belgique et les Pays-Bas, qui ne vaccinaient pas leur population, qu'en France, où tous les écoliers se faisaient vacciner.
Aujourd'hui, alors que le BCG n'est plus obligatoire ni en Allemagne, ni en Angleterre, ni en Belgique, ni au Luxembourg, ni aux Pays-Bas, ni en Espagne, et qu'il n'est imposé en Italie qu'à certains adultes à risque (personnel de santé, militaires...), la France continue à vacciner religieusement des millions d'écoliers chaque année.
Les études de l'INSERM sont pourtant sans appel : le nombre de décès par tuberculose avait déjà chuté de 80 % quand fut introduit le BCG obligatoire le 5 janvier 1950, malgré les très difficiles conditions de vie des années d'Après-Guerre. Les campagnes de vaccination n'ont ensuite eu aucun effet notable sur les courbes de la maladie. Celle-ci a continué à régresser au même rythme qu'auparavant, avec l'amélioration de l'hygiène et la généralisation de l'eau courante. Ce qui n'est pas étonnant quand on sait que le fait d'être vacciné contre le BCG ne protège ni de l'infection, ni de la transmission de la maladie. Les personnes qui meurent aujourd'hui de la tuberculose en France ne sont nullement des personnes qui n'ont pas été vaccinées, mais des personnes marginalisées socialement et souffrant de dénutrition.
Le problème est que le BCG comporte des risques importants d'effets secondaires, raison pour laquelle la vaccination obligatoire a été abandonnée dans les années 70 et 80 (sauf en France, où l'obligation a été supprimée en 2007). C'est en effet un vaccin vivant, qui pose des risques, y compris de décès, aux enfants et aux personnes dont le système immunitaire est affaibli. Une étude réalisée à Barcelone a indiqué une baisse significative des cas de méningite chez les jeunes enfants après l'abandon des campagnes de vaccination au BCG.
Ce n'est donc nullement la vaccination qui a permis à nos sociétés de sortir des grandes épidémies mais la prospérité économique. Celle-ci a permis une amélioration de l'hygiène, de l'alimentation et de l'habitat. Si ces conditions devaient se dégrader de façon significative, il est évident que, malgré tous nos vaccins, on assisterait à un retour en force de ces maladies, exactement comme cela fut le cas pendant la Seconde Guerre mondiale.
La vérité soigneusement dissimulée
Actuellement malheureusement, une industrie gigantesque s'est développée pour assurer la vaccination de masse des populations du monde entier. Cette industrie est d'autant plus lucrative qu'elle est totalement financée par les gouvernements, et que les entreprises qui se partagent le marché sont protégées à la fois par des brevets (dont le respect est assuré par les pouvoirs publics) et par une réglementation touffue que seuls quelques grands groupes armés de bataillons de juristes peuvent comprendre et respecter.
Des milliards de vaccins sont administrés chaque année, et des dizaines de milliards d'euros sont encaissés par les multinationales pharmaceutiques. Pour le seul vaccin contre la grippe A, le gouvernement français avait payé 1,5 milliard d'euros pour 94 millions de doses, ce qui fait quasiment deux doses par citoyen.
A l'achat des vaccins, il a fallu ajouter le coût de :
o la campagne de vaccination pour un montant de 35,8 millions d'euros,
o l'acquisition de respirateurs pour 5,8 millions d'euros,
o l'achat d'antiviraux pour 20 millions d'euros,
o 150,6 millions d'euros de masques,
o 41,6 millions d'euros de dépenses logistiques,
o 290 millions afin d'indemniser les personnels de santé réquisitionnés,
o 59,6 millions destinés aux frais d'information et à la campagne de communication,
o 100 millions de « frais liés à l'organisation territoriale de la campagne de vaccination »,
o et encore 375 à 752 millions d'euros de dépenses liées aux consultations de médecins, à la prescription de médicaments.
Finalement, le nombre de vaccins utilisés n'a été que de 4,5 millions, ce qui est une bonne chose, mais cela veut dire que sur les 94 millions de doses, 89,5 millions sont parties à la poubelle, une fois atteinte la date de péremption. (7)
Ce gaspillage révoltant a été dénoncé par le Professeur Bernard Debré et le député et médecin Jean-Marie Le Guen. Mais la presse a traité l'affaire comme un scandale isolé, sans lien avec la surconsommation systématique des autres vaccins, en France et à travers le monde.
Pas de suivi des accidents liés aux vaccins
De même, personne ne se soucie actuellement des risques réels que vous faites courir à vos enfants en les vaccinant. Et s'ils tombent malades juste après la vaccination, vous pouvez être certain qu'on vous expliquera qu'il s'agit d'une pure coïncidence, y compris s'il y a décès.
Le cas arrive tous les ans à des milliers de parents. Leur enfant se fait vacciner et, dans les heures qui suivent, ils déclenchent de graves réactions pouvant aller des maux de tête aux vomissements, en passant par l'eczéma, l'hyperactivité, les perturbations du sommeil et un peu plus tard une maladie auto-immune incurable ou pire, la mort.
Dans la plupart des cas, les professionnels de santé, non seulement nient le lien avec le vaccin, mais ils ne déclarent même pas l'accident aux autorités de pharmacovigilance (agences responsables de surveiller les effets indésirables des médicaments) puisqu'ils considèrent qu'il n'y a pas de lien.
C'est ce qui est arrivé à la petite Christina Richelle, décédée suite au vaccin Gardasil contre le HPV (papillomavirus), et à tant d'autres personnes que l'on retrouve sur les innombrables sites d'information sur la vaccination. (8)
Un témoignage parmi d'autres, recueilli par l'EFVV (European forum for vaccine vigilance) :
« Je ne peux vous dire mon nom et je ne peux pas vous révéler l'identité de mon bébé parce que j'ai peur que cela me retombe dessus, mais j'ai voulu vous contacter en entendant parler de votre projet, parce que je suis si heureuse que quelqu'un entreprenne quelque chose. Mon bébé est mort dans les 24 heures après avoir reçu son premier vaccin DPT (Diphtérie, coqueluche, tetanos), il y a deux mois. Je me sens si horriblement mal, personne ne peut avoir la moindre idée de ce que c'est. Elle était parfaite. Lorsqu'on lui fit l'injection, elle se mit à crier pendant au moins une heure, d'une façon bizarre. Puis elle parut très fatiguée, s'est endormie profondément, et ne s'est plus jamais réveillée. J'ai commencé à m'inquiéter parce qu'elle semblait dormir plus longtemps que d'habitude et lorsque j'ai voulu vérifier, j'ai remarqué qu'elle avait un peu vomi et qu'elle ne respirait plus. Ils ont du faire une autopsie mais ils n'ont pas pu identifier la cause du décès. Je sais que c'est le vaccin qui l'a tuée. Elle n'avait pas été malade une seule fois jusque là. Mais plus je l'ai dit au corps médical, plus ils sont devenus hostiles. Aujourd'hui, j'ai peur qu'ils me prennent mon autre enfant et je ne veux pas qu'ils m'accusent d'avoir tué mon bébé. Je ne devrais pas avoir à vivre comme ça, c'est horrible. Je suis presque trop terrorisée pour pouvoir faire mon deuil correctement. Elle était si belle. »
Mais c'est très souvent le même scénario : officiellement, il ne peut y avoir aucun lien entre le vaccin et les accidents qui s'ensuivent. La plupart des médecins nieront farouchement l'évidence. Rien ne serait plus facile, pourtant, que de donner à chaque personne vaccinée un petit questionnaire, à renvoyer à l'Agence nationale du médicament, sur lequel elle noterait tous les effets anormaux qu'elle constaterait durant, par exemple, les huit jours suivant la vaccination.
Cela permettrait très rapidement d'établir enfin des statistiques globales sur les effets indésirables réels des vaccins. Dans un cas comme cité ci-dessus, il est vraiment trop facile de déclarer que l'enfant est décédé « de cause inexpliquée » ou encore que c'est la « mort subite du nourrisson ». Parce qu'injecter un vaccin, cela consiste à introduire dans l'organisme non seulement des virus potentiellement dangereux (même artificiellement affaiblis) et des adjuvants que les systèmes immunitaires immatures ne supportent pas forcément.
Mais pour des raisons qui n'ont rien à voir avec votre santé ni le bien commun, et tout à voir avec les comptes en banques des industriels et des politiques, ce type de mesures n'est absolument pas envisagé aujourd'hui par les autorités sanitaires.
Que faire ?
Cela veut-il dire qu'il faille à arrêter de vacciner tous les enfants ? Non ! Car même si on a exagéré les bienfaits des vaccins sur la santé publique, et même si les dangers de la vaccination sont minorés, il existe probablement de nombreux cas où il est raisonnable de vacciner.
Le problème est que l'absence d'études sérieuses sur les risques et bénéfices réels des vaccins obscurcit considérablement le débat. Ni les citoyens, ni les professionnels de santé de bonne volonté, ne disposent aujourd'hui d'éléments fiables pour prendre des décisions éclairées.
Nous sommes donc obligés de jouer à la roulette russe avec les vaccins.
Il semble toutefois raisonnable a priori d'éviter tous les vaccins qui ne sont pas obligatoires, lorsqu'on est en bonne santé. Faire du zèle est coûteux, mais plus probablement encore dangereux. Pour toutes les maladies, il y a des personnes « à risque », et d'autres qui le sont moins. Vacciner aveuglément tous les enfants avec tous les vaccins du calendrier vaccinal est dans la plupart des cas, nocif.
De plus, il ne faut pas oublier que même les vaccins obligatoires (DTPolio et BCG en France) ne le sont plus si votre médecin constate des contre-indications. Cela n'est pas théorique car de nombreuses personnes peuvent en fait présenter des contre-indications, en particulier les personnes allergiques, souffrant de maladies auto-immunes, ou ayant d'autres problèmes liés à leur système immunitaire. Un examen médical est donc recommandé avant toute vaccination, même si ce n'est pas prévu par le système.
Une réforme indispensable et urgente
Il est donc indispensable et urgent que les pouvoirs publics prennent des mesures visant à améliorer la connaissance des vaccins et l'information des médecins comme du grand public à ce sujet. Une information transparente doit être donnée sur les dangers de chaque vaccin. S'il y a eu des morts, des personnes gravement handicapées, ou malades à vie, les personnes qui sont sur le point de se faire vacciner doivent en être informées.
Beaucoup de vaccins ont un rapport bénéfices/risques douteux. Une information lisible et facilement compréhensible doit figurer sur l'emballage des vaccins, indiquant clairement ceux qui sont indispensables, ceux qui ne sont nécessaires que dans certains cas, et ceux qui sont inutiles dans la plupart des cas.
Mais même si c'est aux médecins de s'assurer qu'ils ne font pas courir de risque inutile à leurs patients (serment d'Hippocrate), rappelons-nous que nous ne vivons pas dans l'utopie et que ce sera toujours à nous, ultimement, d'être responsable de notre santé.
Les vaccins ont été basés sur une fraude médicale depuis plus de cent ans
Le concept de la vaccination pour immuniser a commencé en 1796, lorsque l'apothicaire britannique (pharmacien) Edward Jenner a inséré du pus contenant le virus cowpox sous la peau d'un enfant âgé de huit ans. Jenner a basé son expérience sur une rumeur sans fondement affirmant que ceux qui avaient connu l'orthopoxvirose bovine serait à l'abri de la variole.
Dans les deux années qui ont suivi, Jenner a vacciné d'autres personnes avec le cowpox pour les immuniser contre la variole. Sans aucune preuve réelle de l'efficacité et de la sécurité, Jenner a suffisamment impressionné le roi George III avec sa fausse vaccination garantie qu'il a reçu l'équivalent de 500.000 $ d'aujourd'hui. Jenner était donc le premier professionnel de la santé à administrer des matières malades comme médicament à une personne en bonne santé et à recevoir une récompense financière substantielle. Il fut également le premier à dénoncer constamment les détracteurs de la vaccination avec succès. Il protégeait à la fois son ego et le Trésor public.
De nombreux professionnels de la santé tout au long du XIXe siècle savaient qu'il y avait eu plusieurs cas de variole parmi ceux ayant des antécédents du cowpox. Le principe de Jenner était erroné. C'était en fait le début d'une tradition qui est exploitée par des vaccinateurs d'aujourd'hui. Une fausse solution pour prévenir une maladie, faire un paquet de fric, et contrer les arguments raisonnables de ceux qui savent que l'immunisation par la vaccination ne marche pas en toute sécurité et efficacement.
En Angleterre les incidents de la variole après vaccination ont augmenté régulièrement, passant de 5% au début à 95% en 1895. Il y a même eu une épidémie grave autour de 1872, un an après que la vaccination contre la variole ait été décrétée obligatoire au Royaume-Uni. Le taux de mortalité parmi les victimes de la variole a aussi était multiplié par cinq à cette époque.
Malgré les protestations intelligentes avec des faits évidents et des chiffres réfutant l'efficacité, et prouvant un dommage à partir de matériaux toxiques et des virus contenus dans les vaccins mettant en danger l'immunité naturelle, le programme d'inoculation de vaccin a été maintenue. Protéger l'industrie contre la vérité en attaquant violemment les dissidents raisonnables a entraîné l'équivalent de 17 milliards de dollars par an de recettes à l'industrie des vaccins. Cela ne comprend pas les recettes provenant des visites des médecins pour la vaccination et la mauvaise santé y résultant.
Les tactiques des vaccinateurs pour supprimer les données scientifiques des professionnels concernés sont devenues dignes de la mafia. Les professionnels de la santé sincères qui inscrivent les problèmes de santé par rapport aux vaccins sont sévèrement punis et calomniés par les médias traditionnels appartenant à la mafia médicale.
La vérité sur les vaccins et les éclosions de maladies cachées à la vue du public
Une étude de 2012 dirigée par le Dr David Witt, un spécialiste des maladies infectieuses du Centre Médical Permanent Kaiser de San Rafael en Californie a conclu que la coqueluche se déclenche plus chez les enfants vaccinés que les enfants non vaccinés.
En 2010, une éruption d'oreillons s'est produite chez les 1000 enfants dans le New Jersey du nord et le sud de l'état de New York. Près de 80 % d'entre eux avaient été vaccinés avec le vaccin ROR (rougeole, oreillons rubéole).
Dans les années 1980, des organismes officiels signalèrent plusieurs vagues de rougeole survenues chez les enfants qui avaient été vaccinés dans divers endroits, y compris un collège et lycée de l'Illinois, un lycée du Massachusetts, une région en France et une région rurale près d'Helsinki en Finlande.
Les écoles aux États-Unis avaient bien plus de 90 % de vaccinés contre la rougeole. Les vaccinateurs proclament qu'un taux de vaccination de 90 % d'une population spécifique garantit l'immunité de la population. Cette revendication fausse sert à créer plus de revenus tout en blâmant les anti-vaccins pour mise en danger de l'humanité.
Par ailleurs, en dépit du fait que seulement 5% d'effets indésirables de vaccins soient signalés au système « volontaire » de report d'effets secondaires des vaccins de la FDA (VAERS), il y a de nombreux effets indésirables graves enregistrés et beaucoup plus qui fuient par les fissures que représentent les sites internet dédiés aux vaccins.
Dieu merci pour les quelques docteurs en médecine et autres qui osent parler malgré le danger potentiel que cela engendre pour eux. C'est à nous d'apprendre d'eux et de dire non à la vaccination.
Notes
(1) Rapport « Survey on Vaccinations in Europe », EFVV, téléchargeable gratuitement sur efvv.org
(2) BMJ 2013;346:f794
(3) Guillain-Barré Syndrome After Influenza Vaccination in Adultsarchive, David N. Juurlink, Therese A. Stukel, Jeffrey Kwong, Alexander Kopp, Allison McGeer, Ross E. Upshur, Douglas G. Manuel, Rahim Moineddin, Kumanan Wilson, Arch Intern Med. 2006;166:2217-2221.
(4) Décompte effectué par Sanevax
(5) PubMed
(6) Que Choisir
(7) Rapport « Survey on Vaccinations in Europe », EFVV, téléchargeable gratuitement sur efvv.org
(8) Gardasiland Unexplained Deaths
Voir également
Meyer, J., & Jensen, K. A. (1954). A fatal case of tuberculosis produced by BCG. Am Rev Tuberc, 70(3), 402 - 412. JAMES E. F., Fatal case of tuberculosis produced by BCG, American review of tuberculosis, 1955, tome 71, pp.321-323 ; Pedersen, F. K., Engbaek, H. C., Hertz, H., & Vergmann, B. (1978). Fatal BCG infection in an immunocompetent girl. Acta Paediatr Scand, 67(4), 519 - 523.
OMS, L'éradication mondiale de la variole - Rapport final de la commission mondiale pour la certification de l'éradication de la variole, éd. OMS, 1980.
Ca fait quelques années maintenant que je suis à jour au niveau de la vaccination uniquement sur papier, les derniers médecins que j'ai été voir à ce sujet étaient eux même pas favorable et se contentaient de signer le carnet de vaccination.
Dans le cadre d'une formation suivie au sein de la croix rouge amenant à effectuer des stages en milieu médicalisé accueillant des personnes " atteintes " d'hépatites et autres ... On nous demandait d'être à jour au niveau des vaccinations sinon nous n'étions pas admis dans le cadre de la formation. Pour trouver un emplois dans ces milieux c'est la même. Et même pour des vaccins non obligatoire ils font un forcing monstrueux, et leur argument préféré ceux qui éveillent à la peur au risque de contamination et compagnie...
Durant un des stages en structure j'ai été amenée à accompagner une personne, je ne pourrais plus dire exactement de quoi cette personne souffrait, à première vue on pourrait parler d'un lourd retard mental et bla blabla... En grattant un peu j'ai découvert que la vie de cette personne avait basculé le jour où son médecin lui a fait une injection, pour le " protéger ". "
Etats unis : Bientôt la fin de l'autorisation parentale pour la vaccination des enfants
Australie : Vaccination bientôt obligatoire pour tous ?
Tchad : la campagne de vaccination tourne au drame, au moins 40 enfants paralysés
Etats-unis : Un Comité consultatif gouvernemental demande la vaccination obligatoire contre la grippe saisonnière
Contrôle social, Société, Santé
2 commentaires
Bonjour à tous.
Je parlerai ici du Reiki Usui et non pas des nouveaux courants (karuna, verseau etc...) car je ne les connait pas.
Sur la toile et ailleurs, ce sujet est source de conflits et d'opinions diverses, par la multitude des enseignements, des renseignements et la confusion que cela engendre, mais aussi par sa nouveauté (environ une centaine d'année).
Rappelons tout d'abord que Rei = Univers et Ki = Energie
Donc, la pratique du reiki ne signifierai rien de plus que de se connecter à l'énergie universelle, que l'on peut apparenter à la Source de lumière et de vie (je crois), et qui apporte au praticien une possibilité de connexion directe en canal lui permettant de transmettre pour lui et pour le "patient" (j'aime pas trop ce terme ) afin de l'aider à délier les noeuds présents à tous niveaux (nous savons bien que rien n'est séparé, on ne peut donc pas traiter simplement un problème physique sans regarder son interaction avec les autres plans, il faut traiter la cause du symptôme et non pas le symptôme lui même), délier les noeuds que nous avons nous-mêmes créés.
J'ai passé mon premier degré de reiki il y a un an, dans un échange matériel juste (pas de tarif exessif, mon maître reiki estimant que l'énergie universelle est universelle, il n'y a pas lieu de demander des sommes faramineuses pour quelque chose qui ne nous appartient pas) rapellons d'ailleur que nous possédons tous la capacité à canaliser l'énergie, et que nous en soyons conscients ou pas, tout se passe comme cela doit se passer ici et maintenant; et dans un échange ouvert et un respect important.
Pour ma part cette initiation m'a apporté beaucoup pour me réénergiser, purifier les lieux, les objets; mais surtout cela m'a ouvert à une pratique spiritualité quotidienne dans l'acceptation (et pas la résignation) et dans la lumière (mais l'ego est sans cesse là, en constante recréation), en prendre conscience est déjà un travail, l'accepter en est un autre. Cela a ouvert dans ma pratique une recherche intérieure, en étant mon propre maître (aidé bien entendu d'ouvrages de maîtres éveillés car en occident la sagesse se transmet par les livres principalement) tout en mettant en application ce que j'y apprends (car on peut avoir tout lu Eckhart Tolle sans avoir rien intégré réellement) dans toute les situations de la vie (ouah, en relisant, j'ai les chevilles qui enflent ^^)
Bref, c'est du boulot !
L'initiation m'a en plus, je m'en rends compte maintenant, ouvert à d'autres pratiques spirituelles (travail au pendule, kuji-in, litotherapie, et en ce moment je découvre le shiatsu et l'harmonie des énergies) en mettant tout cela ensemble je crois que l'essence (le fond) est le même en fait !
Les 5 principes du reiki (certains écrivent que 50% du travail du reiki est la pratique du soin et 50% le respect dans la vie quotidienne de ces principes) sont les suivants :
ICI ET MAINTENANT
- Je me libère de toute préoccupation
- Je n'entretiens aucune colère, aucun ressentiment
- Je respecte la vie sous toute ses formes
- J'exprime ma reconaissance envers la vie qui m'a été donnée, et envers tout ceux qui m'entourent
- Je vis ma vie honnêtement
Rien que ca, à appliquer dans la vie quotidienne, c'est du boulot héhéhé !
Alors voilà, j'espère que vous y trouverez quelque chose à me renvoyer, de cet article, et surtout j'espère ne pas avoir fait de redite mais je n'ai pas trouvé le sujet en question.
En attendant, je vous souhaite de trouver la lumière sur votre chemin !
Et pour finir, la description de l'idéogramme et 2 sites sur le reiki :
"Au commencement était la Source, le Ciel, la Voûte céleste, l'Infini...
d'où émanèrent des pluies de bénédiction...
qui se transformèrent en trois purs joyaux :
trois trésors de : Sagesse, Amour et Énergie...
Tel un chaman qui étend ses bras et lève ses mains vers les cieux,
recevant des vagues de bénédictions et bénissant le monde...
Dressé entre ciel et terre, reliant l'absolu au relatif,
canalisant sur les êtres humains une Force nouvelle,
un Amour sans limites et une Lumière glorieuse...
Une énergie d'Éveil et de libération spirituelle : Reiki,
Souffle de Vie originel, qui anime les êtres et la création tout entière..."
http://www.reikiforum.com/?zne=1
http://www.reikido-france.com/page_ideogramme-reiki.html
Je parlerai ici du Reiki Usui et non pas des nouveaux courants (karuna, verseau etc...) car je ne les connait pas.
Sur la toile et ailleurs, ce sujet est source de conflits et d'opinions diverses, par la multitude des enseignements, des renseignements et la confusion que cela engendre, mais aussi par sa nouveauté (environ une centaine d'année).
Rappelons tout d'abord que Rei = Univers et Ki = Energie
Donc, la pratique du reiki ne signifierai rien de plus que de se connecter à l'énergie universelle, que l'on peut apparenter à la Source de lumière et de vie (je crois), et qui apporte au praticien une possibilité de connexion directe en canal lui permettant de transmettre pour lui et pour le "patient" (j'aime pas trop ce terme ) afin de l'aider à délier les noeuds présents à tous niveaux (nous savons bien que rien n'est séparé, on ne peut donc pas traiter simplement un problème physique sans regarder son interaction avec les autres plans, il faut traiter la cause du symptôme et non pas le symptôme lui même), délier les noeuds que nous avons nous-mêmes créés.
J'ai passé mon premier degré de reiki il y a un an, dans un échange matériel juste (pas de tarif exessif, mon maître reiki estimant que l'énergie universelle est universelle, il n'y a pas lieu de demander des sommes faramineuses pour quelque chose qui ne nous appartient pas) rapellons d'ailleur que nous possédons tous la capacité à canaliser l'énergie, et que nous en soyons conscients ou pas, tout se passe comme cela doit se passer ici et maintenant; et dans un échange ouvert et un respect important.
Pour ma part cette initiation m'a apporté beaucoup pour me réénergiser, purifier les lieux, les objets; mais surtout cela m'a ouvert à une pratique spiritualité quotidienne dans l'acceptation (et pas la résignation) et dans la lumière (mais l'ego est sans cesse là, en constante recréation), en prendre conscience est déjà un travail, l'accepter en est un autre. Cela a ouvert dans ma pratique une recherche intérieure, en étant mon propre maître (aidé bien entendu d'ouvrages de maîtres éveillés car en occident la sagesse se transmet par les livres principalement) tout en mettant en application ce que j'y apprends (car on peut avoir tout lu Eckhart Tolle sans avoir rien intégré réellement) dans toute les situations de la vie (ouah, en relisant, j'ai les chevilles qui enflent ^^)
Bref, c'est du boulot !
L'initiation m'a en plus, je m'en rends compte maintenant, ouvert à d'autres pratiques spirituelles (travail au pendule, kuji-in, litotherapie, et en ce moment je découvre le shiatsu et l'harmonie des énergies) en mettant tout cela ensemble je crois que l'essence (le fond) est le même en fait !
Les 5 principes du reiki (certains écrivent que 50% du travail du reiki est la pratique du soin et 50% le respect dans la vie quotidienne de ces principes) sont les suivants :
ICI ET MAINTENANT
- Je me libère de toute préoccupation
- Je n'entretiens aucune colère, aucun ressentiment
- Je respecte la vie sous toute ses formes
- J'exprime ma reconaissance envers la vie qui m'a été donnée, et envers tout ceux qui m'entourent
- Je vis ma vie honnêtement
Rien que ca, à appliquer dans la vie quotidienne, c'est du boulot héhéhé !
Alors voilà, j'espère que vous y trouverez quelque chose à me renvoyer, de cet article, et surtout j'espère ne pas avoir fait de redite mais je n'ai pas trouvé le sujet en question.
En attendant, je vous souhaite de trouver la lumière sur votre chemin !
Et pour finir, la description de l'idéogramme et 2 sites sur le reiki :
"Au commencement était la Source, le Ciel, la Voûte céleste, l'Infini...
d'où émanèrent des pluies de bénédiction...
qui se transformèrent en trois purs joyaux :
trois trésors de : Sagesse, Amour et Énergie...
Tel un chaman qui étend ses bras et lève ses mains vers les cieux,
recevant des vagues de bénédictions et bénissant le monde...
Dressé entre ciel et terre, reliant l'absolu au relatif,
canalisant sur les êtres humains une Force nouvelle,
un Amour sans limites et une Lumière glorieuse...
Une énergie d'Éveil et de libération spirituelle : Reiki,
Souffle de Vie originel, qui anime les êtres et la création tout entière..."
http://www.reikiforum.com/?zne=1
http://www.reikido-france.com/page_ideogramme-reiki.html
Spiritualité, Santé
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