Messages et articles de fabioule
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10.09.2021 - 15h52   

Pardon, c'était une erreur dans la balise html
https://www.youtube.com/channel/UC5fzl79Ep4fWSmQnDUI468w

13.08.2021 - 17h49   
Ego non

Chaine sans prétention autour d'auteurs ou d'idées très actuelles.
https://www.youtube.com/channel/UC5fzl79Ep4fWSmQnDUI468w

Le narrateur fait régulièrement référence aux idées qui ont influencé les auteurs abordés.
Bonne découverte.

02.03.2020 - 14h24   

Je te confirme que ton adresse mail à été compromise --> https://haveibeenpwned.com/

Change de mot de passe surtout si tu ne le fais jamais. De plus, ne jamais utiliser le même mot de passe sur des services différents qui à tes yeux sont indispensables.

Utiliser des adresses mails poubelles pour tous ce qui est susceptible d'amener de l'indésirable , de la pub et toutes autres joyeusetées...

edit : et de temps en temps, cela fait du bien de changer le mot de passe. Je dirai grand minimum 1 fois par an, l'idéal tous les mois.

26.04.2019 - 15h51   
Les végans, faux écolos, vrais manipulés (interview Paul Ariès)

source: lalibre.be

Article payant de la libre.

"Les végans, faux écolos, vrais manipulés"

Abonnés Rencontre : Clément Boileau Publié le vendredi 26 avril 2019 à 10h23 - Mis à jour le vendredi 26 avril 2019 à 14h14

Opinions
Si le politologue Paul Ariès semble au premier abord s'adresser aux mangeurs de viande, ce sont surtout ceux qui en produisent - Fugea et la coopérative Paysans Artisans - qui l'ont invité, avec la librairie Point Virgule, à venir défendre son livre ce mardi 16 avril à Namur.

Devant un amphithéâtre bondé et plutôt acquis à sa cause, le politologue altermondialiste n'y va pas avec le dos de la fourchette pour défendre son beefsteak, entamant son discours par un savoureux lapsus d'entrée de jeu : "En vérité , les végans ont tout veau !" Quelques rires fusent, puis très vite le ton redevient sérieux et percutant, surtout quand il s'agit de déboulonner les arguments de l'idéologie végane "abolitionniste" (qui veut mettre fin à toute exploitation animale). Ces végans "radicaux" n'ont visiblement pas souhaité venir assister à la conférence, il est vrai assez véhémente à leur égard? Un jeune homme prenant la parole en toute fin de rencontre le déplore : "J'ai quelques amis végans et ils ne sont pas là ce soir parce qu'ils se sentent agressés par vos propos." Pour le coup, c'est la Fugea qui saisit la balle au bond et répond à la question d'un saignant : "Nous nous faisons traiter de ?viandales' par les végans toute l'année, ils peuvent bien supporter la critique un seul jour !"

Bio express


1959. Naissance à Lyon. Enfant, il assiste à la faillite de ses grands-parents blanchisseurs, ruinés par l'arrivée de la machine à laver. "Forcément la modernité était vue d'un mauvais ?il dans la famille" , déclare-t-il notamment sur son blog. D'abord étudiant en droit, il s'intéresse peu à peu aux sciences sociales, puis à l'économie et aux sciences politiques. Il obtient un doctorat en sciences politiques en 1985.

Écologiste et altermondialiste. Proche de ce mouvement, il publie une série de livres critiques sur la mondialisation : La Fin des mangeurs (1997), Les Fils de McDo , (1997), José Bové, la révolte d'un paysan (2000), No Conso, manifeste pour une grève générale de la consommation (2006).

Décroissant. Collaborateur régulier pour Le Monde diplomatique ou la revue catholique Golias , il est directeur de la rédaction du mensuel Les Z'Indigné(e)s , le "journal des Objecteurs de croissance amoureux du Bien vivre", depuis 2011. Il publie La Décroissance : un nouveau projet politique en 2008, et Décroissance ou récession, la décroissance vue de gauche en 2012.

Lexique


Véganisme. Mode de vie consistant à ne plus consommer de produits issus de l'exploitation des animaux, y compris le miel, le lait, les ?ufs... À ne pas confondre avec le végétarianisme, qui ne concerne que la chair animale.

Antispécisme. Courant de pensée considérant qu'une espèce vivante ne peut se prévaloir d'un droit sur une autre. L'homme ne peut donc pas dominer ou exploiter l'animal par exemple. L'antispécisme met ainsi l'être humain à égalité morale avec toutes les autres espèces, considérant qu'il y a entre elles des différences de degrés et non de nature.

Altermondialisme . Mouvement s'opposant à la mondialisation et au libéralisme.


Interview


Votre livre défend l'idée que les végans "abolitionnistes", qui bannissent l'exploitation animale de leur mode de vie, font, presque malgré eux, le jeu de l'industrie de la malbouffe. Ce n'est pas un peu paradoxal ?

Ce qui est troublant c'est que le développement de ce véganisme arrive au moment où le lobby financier et une partie du lobby de la viande a choisi d'en finir avec l'élevage, y compris l'élevage industriel - qui n'est vraiment pas ma tasse de thé - pour développer ce qu'on appelle le secteur de l'agriculture cellulaire : de la fausse viande, du faux lait, du faux fromage, des faux ?ufs, etc. C'est pour cela que j'ai pu parler d'idiots utiles du capitalisme. Dans le sens où beaucoup de végans ne se rendent pas compte qu'ils sont en train de favoriser le développement de ce que, par ailleurs, ils condamnent, c'est-à-dire l'industrialisation à outrance ; et par là, tout simplement la fin de ce qu'on appelle dans notre jargon l'agriculture paysanne.

Était-il vraiment nécessaire de passer par la dénonciation de l'idéologie végane pour, in fine , défendre le circuit court et l'élevage responsable ?

Ce qui m'a semblé important dans mon livre a consisté d'abord à démonter les arguments traditionnels très largement repris par la grande presse, à savoir que l'élevage serait responsable de la faim dans le monde, de la dégradation du climat, de la crise de l'eau? Après ce démontage des arguties végans, j'ai voulu montrer que ces derniers sont une grande famille, même si on peut les différencier - simples végans, végans conséquents, végans inconséquents, etc. Or, quand on lit les théoriciens du véganisme, qu'on considère ce qui pousse au bout les prémisses de leur pensée, on arrive à des choses inattendues : le culte du transhumanisme, l'idée que la prédation humaine - via l'alimentation carnée - ne serait qu'une goutte d'eau dans l'ensemble de la prédation animale. Si l'on suit cette idée, l'objectif serait donc, à terme, de modifier génétiquement les espèces prédatrices? on a là un fantasme qui est complètement en phase avec des tendances lourdes de la société. Le culte de la technoscience, l'idée d'une nature aseptisée? C'est la raison pour laquelle je m'adresse ainsi aux végans dupés par leur propre idéologie.

Les végans, dites-vous, sont manipulés par l'industrie "4.0". De quelles industries parle-t-on, au juste ?

Quand on regarde qui est derrière ce secteur de la fausse viande, notamment en matière de financement du véganisme, on trouve tout le secteur des Gafa (Google, Amazon, Facebook, etc.), qui ne savent pas trop quoi faire de leurs liquidités et qui investissent dans un secteur particulièrement rentable. Et on trouve parmi une partie des responsables de la malbouffe mondiale, comme la principale entreprise américaine productrice de viande, une volonté de basculer vers un modèle sans viande. Parce que pour les grosses firmes, ce qui est important ce n'est pas de faire de la viande, c'est d'avoir un retour sur investissement considérable. Quand on voit - et les documents qui en attestent sont publics - que L214 (une organisation de défense des animaux, connue pour ses images de maltraitance animale dans l'élevage industriel, NdlR) a reçu plus d'un million de dollars de subventions d'une organisation américaine qui par ailleurs promeut les fausses viandes artificielles, ce n'est pas de la théorie du complot. Cette rencontre entre une idéologie qui a le vent en poupe et les possibilités techniques qui sont aujourd'hui celles des biotechnologies alimentaires, voilà ce qui m'inquiète. En ce moment, le lobby financier le dit ouvertement : il veut en finir avec l'élevage, y compris industriel, parce qu'il n'est pas assez rentable.

Ce que vous fustigez également, c'est la vision écologique des végans et plus généralement des antispécistes. Une vision qui ne serait, en fait, pas vraiment écologique.

Souvent, au regard de l'opinion publique, les végans passent pour de supers écolos? or quand on lit leurs théoriciens, c'est exactement l'inverse ! Ils le disent : ils n'aiment pas l'écologie et encore moins les écolos car pour eux le symbole même de la nature, c'est la prédation. En gros, pour eux, la nature est mauvaise, méchante. Les végans parlent d'ailleurs toujours en termes d'individus : animaux, humains, non-humains? mais jamais en termes d'espèces ! D'où les propos d'un certain nombre de ces théoriciens selon lesquels la biodiversité ne serait pas - en soi - une richesse. Leur point de vue a également évolué avec le développement de la technoscience. On le voit très bien : il y a vingt ans, quand j'ai fait mon premier livre sur ces courants-là, le débat avait surtout lieu autour de la question des OGM ou même des animaux génétiquement modifiés ; aujourd'hui c'est plutôt autour de ce qu'on appelle les biotechnologies, c'est-à-dire cette possibilité nouvelle de fabriquer industriellement de la viande à partir de cellules souches : ?ufs, lait, fromage, mais aussi le cuir. Il y a vingt ans, les végans parlaient peu d'alimentation : ils parlaient surtout de l'expérimentation médicale. Aujourd'hui le véganisme de monsieur et madame Tout-le-monde tourne vraiment autour de la question de l'alimentation. Pourquoi ? Parce que tout simplement il y a une fausse alternative qui tend à se développer et qui est tout simplement ce qui relève des biotechnologies alimentaires.

Très concrètement, en quoi cette alternative des biotechnologies? n'est pas une alternative ?

Si l'on devait prendre au sérieux le véganisme, donc si huit milliards d'humains devenaient végans, l'agriculture végane serait totalement incapable de nourrir cette population. Tout simplement parce que la seule solution pour pouvoir remplacer l'usage de fumier animal, ce serait toujours plus d'engrais chimiques et de produits phytosanitaires : précisément ce qui est responsable de la destruction de l'humus de la Terre. Donc ce qui est en jeu, c'est bien le type d'agriculture que l'on souhaite, mais aussi le type d'alimentation que l'on souhaite. Le discours anti-végan n'est pas réactionnaire : il vient de l'écologie et de la gauche, et des milieux altermondialistes. La formule qui synthétise le mieux cette pensée, c'est de dire que la vraie opposition, n'est pas entre d'un côté les protéines animales et d'un autre côté les protéines végétales? La vraie opposition, c'est d'un côté la production industrielle de protéines végétales ou animales et de l'autre côté l'élevage paysan, c'est-à-dire, à l'échelle mondiale, un milliard et demi de petits paysans. Ce n'est pas réactionnaire ! Il s'agit tout simplement de se demander quels intérêts ont sert : est-ce qu'on sert les intérêts des grandes firmes économiques ou est-ce qu'on sert les intérêts du plus grand nombre ?

Quid des végétariens ? Si l'on suit votre raisonnement, ils servent eux aussi les intérêts des biotechnologies. Et ils sont beaucoup plus nombreux que les végans?

Je suis entouré de gens qui sont végétariens mais qui ne sont pas végans. Le véganisme c'est autre chose. C'est vraiment l'idée de vouloir interdire l'élevage et la consommation de viande. Au nom de la prise en compte des animaux, mais avec un regard voilé, puisqu'on oublie que de toute façon on est obligé de tuer des animaux. Il s'agit donc d'une posture morale, presque religieuse. En revanche, tuer des animaux indirectement (comme des limaces) pour manger des salades, là c'est acceptable. C'est paradoxal.

05.09.2018 - 15h17   

Probablement que l'âge moyen du forum à suivis le cours du temps et effectivement les obligations ne sont plus les mêmes.

Ensuite, depuis l'avènement d'Internet, nous sommes soumis à un amoncellement d'informations qui s'est accentué avec le temps, ce qui nous oblige à filtrer les contenus, à faire des choix culturels, il est compliqué à l'heure actuelle de pouvoir encore s'intéresser à tout ce que l'on souhaiterait...

De plus, je ne suis pas tout à fait d'accord avec vous, je pense que le support de communication a changé, on trouve, par exemple, sur des plateformes de videos des personnes qui partagent leurs savoirs, leurs choix, leurs passions, leurs analyses et n'ont pas peur de débattre avec les personnes qui commentent.

Pour finir, dans la vie réelle, il y a à boire et à manger. Autant dans les espaces publics c'est devenu l'horreur individualiste depuis le smartphone et autant à coté de ça, les moyens de transport alternatif ont fortement évolués ces dernières années où dans les villes, on revoit beaucoup de monde sur un vélo, ce qui a mon sens favorise nettement l'échange, par rapport à la cage d'acier d'une tonne.

01.03.2017 - 16h03   

Oui, c'est l'équation du nénuphar d'Albert Jacquard

08.12.2016 - 16h03   

Sur le même sujet, un épisode de la série Darknet sur l'humain "upgradé"

[Dark Net - Upgrade (2/8) - vidéo supprimée sur le site d'origine]

D'ailleurs, je vous conseil la série, très bien réalisée et parle du coté sombre des nouvelles technologies, relations amoureuses, addictions, pédophilie, ...

26.11.2016 - 08h46   

La résolution vient juste d'être adopté concrètement je ne sais pas ce qui va être fait, il me semble que cela va suivre le cheminement habituel, transposé dans la législation de chaque pays Européen et puis appliqué.

25.11.2016 - 14h02   
Comment le groupe Vinci s’effondre en bourse et perd 7 milliards d’euros

source: lemonde.fr

La mésaventure vécue mardi par le groupe Vinci, victime de fausses informations qui ont fait dévisser le cours de son action et choqué la place financière parisienne, a mis en lumière la vulnérabilité des entreprises face à ce type de fraudes.

Reçu par plusieurs rédactions dont l?AFP, et repris par l?agence Bloomberg, ce document, mis en ligne sur un site Internet miroir ? réplique exacte du vrai site ? mais avec une adresse distincte (vinci.group et non vinci.com), était signé du nom du véritable responsable des relations presse, tout en renvoyant à un faux numéro de téléphone portable.

Une demi-heure plus tard suivaient un faux démenti, ajoutant à la confusion, et un autre, authentique, de Vinci. En Bourse, l?incendie a pris fin mais le titre a tout de même perdu au final 3,76 % à 58,80 euros.

« Les conséquences d?une telle opération peuvent être dramatiques pour la société visée », a déclaré à l?AFP l?analyste de Saxo Banque, Andrea Tuéni, soulignant qu?au « plus fort de la baisse », la capitalisation boursière de Vinci est tombée à 30 milliards d?euros, fondant de près de 6 milliards.

En outre, certains investisseurs ont enregistré des pertes financières. « Un coup aussi élaboré, avec la volonté flagrante de manipuler le marché et d?une ampleur aussi forte, est relativement inédit en France », dit-il.

Réaliser ce type de fraude n?est pas compliqué car « il est extrêmement facile de copier un site Internet », souligne l?expert en cybersécurité du cabinet Wavestone, Gérome Billois.

« Il y a même des logiciels qui permettent d?aspirer tous les contenus et de les transmettre sur un autre site », dit-il.

25.11.2016 - 11h16   
La résolution sur la lutte contre les médias russes, c’est de la sauvagerie

source: fr.sputniknews.com

Jour noir pour la liberté de presse: le Parlement européen vient d'approuver une résolution visant à contrecarrer les médias russes. Selon le journaliste indépendant Julian Jimenez, l'adoption de cette résolution est une atteinte à la liberté des citoyens de l'UE de recevoir des informations.

Dans un commentaire à Sputnik, le journaliste indépendant Julian Jimenez a fortement dénoncé la résolution visant les médias russes :

« La résolution sur la lutte contre les médias comme Sputnik ou RT, c'est de la sauvagerie. C'est non seulement une attaque contre des médias spécifiques, mais aussi une atteinte à la liberté des citoyens de l'UE de recevoir des informations », a-t-il déclaré. Il ne leur suffit pas d'interdire les médias. Ils veulent les humilier aux yeux de la communauté internationale. Voilà pourquoi ils font des parallèles offensifs entre les médias russes et l'activité de Daech. »

Selon lui, Sputnik et RT transmettent à leur public un point de vue alternatif sur les événements, tandis que les terroristes font la promotion de la mort et de la destruction. L'existence de médias russes est extrêmement importante pour ceux qui veulent avoir une image plus complète de la réalité, plutôt que compter sur les médias occidentaux qui couvrent les événements sous le même angle.

Dans ce contexte, le journaliste a rappelé l'incident récent où à l'occasion d'une conférence de presse, le porte-parole du département d'État américain John Kirby a sèchement refusé de répondre à la journaliste de RT Gayane Tchitchakyane, au motif que RT était une télévision d'État. Répondant à la phrase de Kirby qui insistait sur le fait qu'il ne répondrait qu'aux médias « indépendants », un des journalistes a par exemple rétorqué : « Indépendants comme la BBC ? », faisant référence au fait que la BBC est financée par le gouvernement britannique.

« Dans le même temps, ces médias soi-disant "indépendants" n'abordent jamais les sujets qui peuvent nuire à la réputation de l'Occident. Pour cette raison, les lecteurs de ces médias ont une image très incomplète de ce qui se passe, et ils reçoivent tout simplement des informations déformées », souligne-t-il.

Le journaliste a qualifié d'« absurdes » les accusations contre les médias russes selon lesquelles ceux-ci auraient « déstabilisé » la situation dans l'UE et contribueraient à son effondrement. Sont-ils coupables du nombre croissant de personnes pauvres dans l'UE?, s'interroge-t-il.

« Est-ce que c'est eux qui réduisent les salaires et les emplois, qui rendent l'éducation et les soins inaccessibles? Les initiateurs de cette résolution ne pensent-ils pas que les véritables auteurs de cette situation sont beaucoup plus près? Plutôt que lutter contre ces problèmes, les autorités de l'UE luttent contre les médias, qui abordent ces problèmes », conclut-t-il.
Mercredi, le Parlement européen a adopté une résolution intitulée « Communication stratégique de l'Union visant à contrer la propagande dirigée contre elle par des tiers ».

Le document prétend que la Russie financerait des partis politiques d'opposition et des organisations au sein des États membres de l'UE. On accuse notamment Moscou d'utiliser le facteur des relations bilatérales pour séparer les membres de la communauté. Dans le viseur, on trouve notamment Sputnik, RT, le fonds « Le monde russe » et l'agence fédérale subordonné au ministère russe des Affaires étrangères « Rossotrudnichestvo ».



23.11.2016 - 14h05   

Héhé, c'est exactement ce qui se passe chez nous, on a un bon gouvernement de droite, ils ont fait baiser les impots sur les salaires et pour les entreprises, réduisent les dépenses de l'état, détricotent les services publics et l'aide social, malgré cela on se retrouve avec un trou budgétaire encore plus important, sans compter de grands groupes industriels qui délocalisent malgré la baisse des charges.
Après, on fait qqs mesurettes "social" en augmentant les impôts des riches (qui se barrent dans la foulée : https://www.rtbf.be/info/societe/detail_le-multimilliardaire-van-damme-quitte-la-belgique-pour-la-suisse?id=9436598) au lieu de s'attaquer au réel problème, la fiscalité des grandes entreprises mondialisées et la compétition fiscale entre pays européen.

De toute façon, nous connaissons tous (sur ce site) le problème, c'est le 4ème pouvoir qui ne fait plus que retransmettre des infos mâchées à répétitions et qui donnent plus d'importance à des acteurs minoritaires au lieu de la masse silencieuse. Les médias sont devenus "les secrétaires de directions" du pouvoir en place et surtout des représentants des grandes entreprises.

28.10.2016 - 10h03   

Avec apt, tu dois jouer entre apt-cache et apt-get, et chacun à ces propres paramètres ce que je trouve assez lourd, alors qu'avec aptitude tu sais tous gérer avec ce seul logiciel.

Et quand tu installeras manuellement des paquets avec dpkg, cela commencera à mettre ton système dans tous ces états, aptitude gérera beaucoup mieux les dépendances, puisqu'il te ferra des propositions pour tenter de résoudre les conflits.

27.10.2016 - 10h48   

Calamity a écrit:

apt-get install
et c'est fini!



Essaye aptitude pour gérer tes paquets, tu verra il est beaucoup plus flexible et moins "chiant" à utiliser car avec apt-get tu dois faire appel à des "sous-logiciel" si tu veux effectuer des manip plus poussée. Aptitude propose aussi des solutions en cas de conflits de paquets ou de dépendance manquantes et surtout pour des serveurs, il permet d'envoyer des journaux par mail des nouvelles mises à jour avec tous le détail de ces maj (bon évidemment, c'est un peu plus compliqué à mettre en place, vu qu'il faut configurer un petit serveur de mail).

installation :
apt-get install aptitude

aptitude update
aptitude upgrade

aptitude search "le nom du logiciel"

aptitude show "le nom du logiciel"

aptitude install "le nom du logiciel"

...


16.10.2016 - 13h15   

Beau boulot, xo !

Oui, c'est bien LMDE je ne connaissais meme pas ce nom en fait, on a tendance à juste l'appeler Mint.

Debian est très bien mais c'est plutot dédié aux serveurs. La suite logiciel de base est assez pauvre, de plus, j'ai deja eu du mal à installer wine et ses librairies par exemple.

Mint contient plus de logiciel "multimédia" installé par défaut mais évidemment ces logiciels peuvent être installé sur une Debian.

Sinon, quelque soit la distribution, tu peux changer l'environnement graphique pour qu'il prenne moins de ressource si tu as un pc plus ancien.
Par exemple : https://www.xfce.org/ qui à mon sens est un des meilleurs du genre.

13.10.2016 - 11h00   

source: framablog.org

Petit article qui date un peu.

Extraits :

... Ubuntu, distribution influente et largement utilisée, a installé du code de surveillance. Lorsque l'utilisateur effectue une recherche dans ses propres fichiers en utilisant le système de recherche d'Ubuntu desktop, Ubuntu envoie cette recherche à l'un des serveurs de Canonical (Canonical étant la société qui développe Ubuntu)...

...Ubuntu se sert de ces informations sur leurs recherches pour afficher aux utilisateurs des publicités pour des produits vendus par Amazon. Cette société cause beaucoup de tort (voir http://stallman.org/amazon.html) ; en promouvant Amazon, Canonical y contribue. Cependant, les publicités ne sont pas le coeur du problème. Le véritable problème est l'espionnage des utilisateurs. Canonical affirme qu'Amazon ne sait rien de l'origine des recherches. Toutefois, il est tout aussi déplorable de la part de Canonical de collecter vos informations personnelles que cela ne l'aurait été de la part d'Amazon...

L'article en entier, voir source.

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