"L’opération Paperclip (originellement appelée « Opération Overcast ») fut menée à la fin de la Seconde Guerre mondiale par l'état-major de l'armée des États-Unis afin d'exfiltrer et de recruter près de 1 500 scientifiques allemands issus du complexe militaro-industriel allemand pour lutter contre l'URSS et récupérer les armes secrètes du Troisième Reich. Ces scientifiques effectuèrent des recherches dans divers domaines, notamment sur les armes chimiques (Zyklon B), sur l'usage des psychotropesnote, sur la conquête spatiale, sur les missiles balistiques et sur les armes à longue portée (bombes volantes V1 et V2).
Loin de les affecter à des postes subalternes, le Département de la Défense des États-Unis leur confia la direction de ses programmes de recherches. Ils furent affectés aux bases de White Sands, dans le Nouveau-Mexique, et à Fort Bliss, au Texas. Grâce en partie à l'aide de ces scientifiques, l'avancée technologique des États-Unis fut considérable pendant la guerre froide.
Elle est arrêtée en 1957, lorsque l'Allemagne de l'Ouest proteste auprès du gouvernement des États-Unis qui la dépouille de ses compétences scientifiques. L'opération Paperclip sera rendue publique en 1973."
La Joint Intelligence Objectives Agency (JIOA) fut un organe du département de la Guerre américain, créé en 1946 pour récupérer des scientifiques allemands afin qu'ils travaillent pour le compte des États-Unis dans leur lutte contre l'Union soviétique, programme connu sous le nom d'opération Paperclip.
Après l'entrée en guerre des États-Unis, un camp d'internement est créé en 1942 à Fort Hunt, près d'Alexandria (Virginie), pour interroger les prisonniers de guerre allemands ayant des connaissances techniques et scientifiques sur le complexe militaro-industriel allemand et ses systèmes d'armes perfectionnés. Des officiers de U-Boot, de l'Afrika Korps ainsi que des scientifiques capturés sont ainsi interrogés.
La propagande virulente du docteur Goebbels concernant les armes secrètes allemandes au dernier tournant de la guerre avait marqué les esprits.
Près de 3 400 détenus sont ainsi passés par Fort Hunt entre 1942 et 1946 ; 600 interrogateurs avaient pour mission de leur soutirer des informations, en particulier sur les avancées techniques du Reich.
En septembre 1946, le président Harry S. Truman donne son accord pour l'exécution de l'opération Paperclip, programme visant à récupérer des scientifiques allemands afin qu'ils travaillent pour le compte des États-Unis dans leur lutte contre l'Union soviétique. Officiellement, Truman exclut expressément toute personne ayant été membre du NSDAP et ayant été plus qu'un participant nominal dans ses activités [réf. nécessaire]. En fait, de nombreux anciens nazis, dont des criminels de guerre, seront ainsi récupérés.
La Joint Intelligence Objectives Agency mène des enquêtes de fond sur les scientifiques à récupérer dans le cadre de l'opération Paperclip. En février 1947, le directeur de la JIOA Bosquet Wev examine les premiers dossiers aux département d'État et de la Justice. Samauel Klaus, le représentant du Département d'État au comité du JIOA, indique que tous les scientifiques du premier lot de dossiers étaient de « fervents nazis ». Leurs demandes de visa sont refusées.
Bosquet Wev rédige un mémo d'avertissement affirmant que les intérêts des États-Unis seraient passés derrière les efforts consacrés à « battre un cheval nazi mort ». Il déclare également que le retour de ces scientifiques en Allemagne, où ils pourraient alors être enrôlés par le bloc de l'Est, représenterait une « menace à la sécurité nationale » bien plus grande que tout affiliation des États-Unis avec d'anciens nazis ou sympathisants du national-socialisme.
Lorsque la JIOA fut formée pour enquêter sur le fond et la forme des dossiers des scientifiques nazis, le chef du renseignement allemand sur le front de l'Est Reinhard Gehlen rencontra Allen Dulles, directeur de la CIA. Gehlen a été un maître espion pour le Troisième Reich, célèbre pour avoir infiltré l'Union soviétique avec son vaste réseau de renseignement nazi. Dulles promis à Gehlen de protéger son unité de renseignement au sein de la CIA.
Bosquet Wev décida de contourner le problème. Dulles fit falsifier les dossiers des scientifiques afin d'éliminer tout élément incriminant. Comme promis, Dulles livra l'unité de renseignement nazie à la CIA, qui se livra par la suite à de nombreuses procédures de dissimulation de recherches scientifiques nazies ( MK-Ultra / (en) Artichoke, (en) Chatter, tous deux prédecesseurs du projet MKNAOMI, (en) MK-DELTA et l'opération Midnight Climax).
Les champs d'investigation de ces projets secrets étaient le lavage de cerveau, la manipulation mentale et la sujétion par substances chimiques et drogues de synthèse.
Le Renseignement militaire expurgea les dossiers des références nazies. En 1955, plus de 760 scientifiques allemands obtinrent la citoyenneté américaine et des postes éminents dans la communauté scientifique américaine. Nombre d'entre eux avaient été membres du NSDAP et de la Gestapo, ils avaient alors mené des expériences sur des humains dans des camps de concentration, exploité le travail d'esclaves, et commis divers autres crimes de guerre.
Braun, lors de son arrestation.
Braun, Directeur de la Nasa
Dans un exposé de 1985 dans le Bulletin des scientifiques atomistes, Linda Hunt déclara avoir examiné plus de 130 rapports sur des sujets liés à l'opération Paperclip - et chacun d'entre eux avait «été modifié pour éliminer la classification de menace à la sécurité nationale».
Truman, qui avait explicitement ordonné de ne pas admettre de nazis dans le cadre de l'opération Paperclip, n'a apparemment jamais été averti de la violation de cette directive[réf. nécessaire]. Les archives du département d'État et les mémoires d'officiels de l'époque confirment cela. En fait, d'après le livre Opération Paperclip de Clare Lasby, les officiels du projet couvrirent leurs plans d'un tel secret qu'ils abusèrent leur propre président.
Un bon exemple de la manière dont ces dossiers furent modifiés est le cas de Wernher von Braun, scientifique allemand des fusées. Selon un rapport du 18 septembre 1947, ce dernier était perçu comme une menace pour la sécurité nationale par le gouverneur militaire. Mais en février 1948, une nouvelle évaluation de sécurité de von Braun indique qu'aucune information dérogatoire n'est disponible sur le sujet... Le gouvernement militaire considère alors qu'il vaut mieux l'employer que refuser son entrée aux États-Unis.
Le Projet MKULTRA (ou MK-ULTRA), dévoilé en 1975, est le nom de code d'un projet secret illégal de la CIA des années 1950 à 1970 visant à manipuler mentalement certaines personnes par l'injection de substances psychotropes. De 1951 à 1963, il se nommait Projet ARTICHOKE, le Projet BLUEBIRD (1951-1953) lui est apparenté
« Le directeur adjoint de la CIA a révélé que plus de trente universités et institutions avaient participé à un large projet de tests et d'expérimentations qui incluait des tests de médicaments cachés sur des sujets non-volontaires de toutes les catégories sociales, hautes et basses, américains et étrangers. Plusieurs de ces tests consistaient à administrer du LSD sur des sujets ignorants dans diverses situations sociales. Au moins une mort fut enregistrée, celle du Dr. Olson est due à ces activités. L'Agence a elle-même reconnu que ces expériences n'avaient pas de valeur scientifique. Les agents qui faisaient le suivi n'étaient pas des observateurs scientifiques compétents. »
Sénateur Kennedy.
Sénat des États-Unis, le 3 août 1977
COMITÉ SUR LE RENSEIGNEMENT,
SOUS-COMITÉ SUR LA SANTÉ
SERVICE DE RECHERCHE DU COMITÉ DES RESSOURCES HUMAINES
Dirigé par le Dr. Sidney Gottlieb, le projet MKULTRA fut initié sous l'impulsion du directeur de la CIA Allen Dulles en avril 1953, en réponse à des utilisations supposées de techniques de contrôle mental qui auraient été faites par l'Union soviétique, la Chine et la Corée du Nord sur des prisonniers de guerre américains lors de la guerre de Corée. La CIA voulait développer des techniques similaires. L'agence voulait aussi être capable de manipuler des leaders étrangers et tentera d'ailleurs d'utiliser certaines de ces techniques sur Fidel Castro.
En 1964, le projet fut renommé MKSEARCH. Le but était de produire un sérum de vérité (également nommé la sauce) parfait destiné aux interrogatoires de personnes soupçonnées d'être des espions soviétiques et plus généralement d'explorer les techniques de contrôle mental.
En 1972, Richard Helms, directeur de la CIA ordonne la destruction des archives du projet. Il est donc difficile d'avoir une compréhension complète de MKULTRA étant donné que plus de 150 sous-projets différents ont été financés dans le cadre de ce programme. Le projet fut définitivement stoppé en 1988.
L'Agence dépensa des millions de dollars dans des études ayant pour objet de tester littéralement des douzaines de méthodes pour influencer et contrôler l'esprit. Un document MKULTRA de 1955 donne une indication de l'ampleur de l'effort consenti ; ce document fait référence à l'étude d'un assortiment de substances qui altèrent l'esprit comme suit :
1 - Substances provoquant un raisonnement illogique et une impulsivité au point que le sujet se discréditera en public.
2 - Substances augmentant les capacités mentales et les capacités de perception.
3 - Substances empêchant ou contrariant les effets toxiques de l'alcool.
4 - Substances augmentant les effets toxiques de l'alcool.
5 - Substances produisant les signes et symptômes de maladies connues de façon réversible, pouvant être ainsi utilisées pour simuler les malades, etc.
6 - Substances rendant la persuasion de l'hypnose plus facile ou qui augmentent son utilité.
7 - Substances renforçant les capacités de l'individu à supporter privation, torture et coercition pendant un interrogatoire ou lavage de cerveau.
8 - Substances et méthodes physiques produisant l'amnésie des évènements se déroulant avant et pendant leur utilisation
9 - Méthodes physiques pour produire choc et confusion sur de longues périodes et susceptibles d'être utilisées de façon furtive.
10 - Substances provoquant des incapacités physiques comme paralysie des jambes, anémie aigüe, priapisme, etc.
11 - Substance produisant une euphorie « pure », sans « re-descente ».
12 - Substances altérant la personnalité de telle façon que la tendance du sujet à devenir dépendante d'une autre personne est augmentée.
13 - Substances causant une telle confusion mentale que l'individu sous son influence lors d'un interrogatoire trouvera difficile de soutenir une histoire fabriquée.
14 - Substances qui font baisser l'ambition et l'efficacité générale de l'homme lorsque administrées en quantités indétectables.
15 - Substances qui provoquent faiblesse et distorsion visuelle ou auditive, de préférence sans effets permanents.
16 - Pilule assommante qui peut être administrée subrepticement dans la nourriture, les boissons, les cigarettes, ou sous forme d'aérosol, etc., qui peuvent être utilisées en toute sécurité, provoquent une amnésie maximum, et qui pourraient convenir à certains types d'agents sur une base ad hoc.
17 - Substances qui peuvent être administrées subrepticement par les voies supérieures, et qui en très petites quantités rendent impossible toute activité physique.
Lettre d'approbation du Dr. Sidney Gottlieb d'un sous-projet de MKULTRA sur le LSD daté du 9 juin 1953.
"L'opération Midnight Climax (traduction : opération Orgasme de Minuit) est une opération initié par Sidney Gottlieb puis suivi par le Dr. George Hunter White sous le pseudonyme Morgan Hall pour la CIA. Le projet consistait en un réseau d'hôtels de passe dans San Francisco et New York. Le but était d'étudier les effets du LSD sur des sujets non consentants et ces sujets étaient trouvés via ce réseau. Plusieurs techniques opérationnelles ont été développées lors de cette opération, dont des recherches étendues sur le chantage sexuel."
Je n'ai pas fait cet article de manière à faire croire que les USA soit Nazi, ce n'est pas du tout l'idéologie qui sou-tend les USA actuellement, tout du moins en terme d'antisémitisme...
Pour le reste... Tout porte à croire que certains businessmans Américains de l'époque ont été fortement intéressés par les technologies avancées que les Nazis possédaient, ainsi que les capacités de contrôle de la pensée dictatoriale.
Il semblerai que la boite de Pandore scientifique ouverte par les Nazi, aient fortement intéressé les businessmans Américains, qui, sous couvert de l'organisme "CIA", se sont empressés de se l'accaparer.
Ceci en utilisant différentes méthodes illégales, dont la fraude, la destruction de preuve, ...
Ils ont donc poursuivis secrètement le projet scientifique Nazi, et ce, même sous ses aspects les plus criminels, depuis au minimum la fin de la dernière guerre mondiale.
Tout ceci sous le sceaux du secret défense, procédé astucieux, qui permet à ceux qui le contrôle de faire a peu près tout ce qu'ils veulent sur cette planète.
Même un nouvel ordre mondial.
Par ailleurs, les Nazis ne sont pas les seuls à avoir provoqué des génocides, les Américains n'ont pas hésité une seconde à lâcher des bombes nucléaire sur des populations civiles Japonaises. Les Français quant à eux, qui reprochent à l’Arménie leur génocide, ferait bien de se rappeler comme ils se sont conduits pendant la guerre d'Algérie (photo de soldats Français s'amusants avec des têtes décapitées d'Algériens).
Je finirai sur un extrait du film "Le bon, la brute et le truand" qui résume finalement assez bien la triste réalité de l'histoire humaine.
Avez vous entendu parler de la "nazi bell", cette "cloche" qu'avaient construite les nazis en Pologne pendant la WW2, qui d'après mes recherches, était sensée être une expérience de voyage interdimentionel / temporel.
Si vous n'avez pas d'informations la dessus, voir cette vidéo (concernant l'expérience de la cloche, mettre directement à 27m50s):
Et encore dans la vidéo "Ancien aliens" Saison 2 Episode 5.
[vidéo supprimée sur le site d'origine]
On y apprend par exemple que Wernher von Braun à travaillé sur ce projet avant qu'il ne soit arrêté et devienne finalement... Le nouveau directeur de la NASA américaine... (voir plus haut dans l'article "Opération paper clip").
On y voit encore aujourd'hui ce qu'il reste de la cloche, son support, une sorte de cromlech :
Sans rentrer dans des suppositions trop avancées sur l'objet réel de ses expériences, auxquelles les nazis ont voué une importance capitale, au point de les poursuivre jusqu'aux derniers moments de la guerre, comment se fait-il qu'aujourd'hui, nous trouvons exactement le même type de structure aux USA à coté de Salt Lake City (fief des Mormons), proche d'une base de l'US Air Force?
Etrange n'est-ce pas?
Encore plus étrange de voir tout ces mormons en quête de pouvoir aux USA pour les élections présidentielles... (Voir le candidat républicain...)
Mais la je m'égare...
D'autres infos communiquées par Sylvain sur le sujet :
[Igor Witkowski - La cloche nazie - vidéo supprimée sur le site d'origine]
Le Vril est un concept à la base du livre "La race à venir... Celle qui nous exterminera", livre de science fiction écrit en 1870 par Edward Bulwer-Lytton.
Ce roman fiction a été a l'origine (d'après les recherches de Pauwels, ancien disciple de Gurdjieff, dans le livre "Le matin des magiciens") des idées dévellopées dans la loge ésotérique Vril, liée à la Golden Dawn de Crowley, qui auraient fortement influencé les Nazis quant à leurs experiences scientifiques et leur conception sociales et de supprémacie de la race Aryenne (entre autre, mais pas que les nazis, toute la société théosophique de Blavatsky, et la culture new-age en partie, mais également les cercles ésotériques divers ont été influencés par cet écrit, voir même d'après certaines sources, de Tesla.).
Le livre d'EBL, aborde certains concepts, tels que la terre creuse, le vril, l'Agharta... Et ce livre a été écrit 6 ans avant celui de Jules Vernes Voyage au coeur de la terre.
Le Vril serait une énergie que possèderai tout être vivants, et lui permetrait par sa seulle maitrise de nombreux processus inconnu de notre civilisation. Par ailleurs, la connaissance universelle du Vril permetrait de metre fin à toutes les guerres, étant donné que toutes personnes qui utiliserait cette force à des fins guerrieres contre d'autre civilisations qui la possède également provoquerait un anéantissement mutuel, ce qui aténue, sinon anéantie toutes véléitées... Dans le livre d'EBL, une société d'humains très avancés vivraient dans les entrailles de la terre, et utiliserait cette énergie dans des domaines très variés, allant de la propulsion, l'éclairage, etc etc... )
Bref, cette hypothétique Vril vient à la base d'un roman, par lequel les Nazis ont mis en application les concepts, et ont nottament reproduit les moeurs et idées de cette civilisation hypothétique, qui aurait été en contact avec les civlisations terriennes il y a des milliers d'années. Informations dont la source est EBL, un écrivain romancier sur-doué, reconnu par tout les cercles ésotériques comme initié de haut rang.
Cela implique beaucoup de choses. Es-ce que EBL était un initié (ce qu'il s'est toujours refusé d'admettre, et a toujours refusé les propositions qui lui étaient faites en ce sens). Es-ce que le savoir distillé à travers son Roman sont à la base de connaissances ancestrales de l'époque de l'Atlantide et des premières civilisations humaines? Du moins, aussi loin que l'influence qu'elles ont eu nous on laissé des traces? (civilisations indo-aryennes, anatoliennes, égyptiennes, harrapiennes, summeriennes...). Par ailleurs, si les techniques liées au Vril sont réelles, et si on rejoins cette idée aux dévellopement des techniques en ce qui concerne la cosmogonie de Nassim Haramein par exemple sur la structure du vide et de l'atome, l'utilisation de cette puissance universelle pourraient bien être entre des mains peu scrupuleuses, et ne serait donc pas synonyme de paix, car seul certains en connaissent les secrets.
On peut aussi en déduire que, étant donné l'écriture du livre en 1870, et les avancées technologiques liées à l'avancée scientifique au 20eme siècle, le Vril était le nom donné à un composé inefable liée à la structure de la matière et à l'énergie, qui ont donné entre autre l'arme atomique, mais également toutes les connaissances actuelles et futures dans ces domaines.
Si tu as des informations la dessus, n'hésite pas.
http://youtu.be/jWg42jPU-tg
Video sur les plan de la "nazi bell", par une entreprise de l'Arizona, dont les sites internet sont ci dessous.
(intégration de la vidéo retirée sur demande, et commentaires désactivés)
Dont ont apprend que le "docteur Whodini" membre de ce qu'il semble être une sorte de secte aux technologies très avancée, maitriserai les techniques de voyages spatio temporels...
Josef Mengele est le plus célèbre des médecins de la mort. On sait aujourd'hui que dans l'enfer des camps de concentrations nazis, des scientifiques sans scrupules se sont livrés à des expériences sur des êtres humains. Mais Josef Mengele n'a pas été le seul assassin en blouse blanche : avant et après lui, de nombreux chercheurs ont sacrifié des vies humaines au nom de la science. Au Japon, une unité secrète de recherche scientifique a utilisé systématiquement des êtres humains comme cobayes. Dans la Chine occupée, les japonais inoculent la peste à des villages entiers pour créer des armes biologiques ; leur but, s'en servir pour attaquer les états-unis. Après 1945, les héritiers de Mengele se mettent au service des vainqueurs et leurs crimes resteront impunis. La guerre froide leur permet de poursuivre leurs recherches pour le compte des services secrets ; l'objectif s'appelle à présent Mind Control, le contrôle mental. La lutte pour la suprématie mondiale ne laisse pas de place aux scrupules, l'efficacité avant tout ; les chercheurs mettent désormais au point des poisons et des substances psychotropes ; de part et d'autre du rideau de fer, on pratique des expériences criminelles. Josef Mengele est mort, mais d'autres ont pris la relève. Les expériences humaines sont une réalité, encore aujourd'hui.
Fabrizio Calvi et Steeve Baumann se sont plongés dans 250 000 pages de dossiers déclassifiés de la CIA, du FBI et des services secrets de l'armée américaine, le tout recouvrant une période allant de la fin des années 1930 jusqu'au début des années 1980. Les services secrets auraient ainsi entretenu des rapports avec les nazis.
Les Américains ont-ils laissé faire l'inimaginable sans réagir ? Quels ont été les enjeux politiques et humains de cette entreprise sans nom ? Des témoignages de spécialistes et d'anciens responsables viennent étoffer les recherches d'un documentaire explosif sur cette sombre partie de l'Histoire américaine.
Petit retour sur la Nazi Bell, par ce spécialiste des transferts technologiques d'après guerre.
Considéré par wikipedia comme un adepte des "théories du complot".
Et retour sur les photos postés plus haut, de Salt Lake City, qui confirme totalement cette hypothèse. Je précise qu'il ne parle pas de Salt Lake City dans la vidéo, mais ils donne des descriptions sur les effets de la "bell" par le directeur du projet Nazi lors de son procès à Nuremberg. Et ces effets correspondent tout à fait...
Vue de plus près... Avec un peu d'imagination, on distinguerait presque les effets d'un vortex au sol autour de la structure. Quant-aux végétaux les plus proches, ils semblent noircis, presque brulés. Comme le rapporte Farrell dans l'interview précédente, les Nazis avaient constaté les dégradations subies par les plantes et la couleur "marron et grise" que généraient les végétaux en décomposition, et le liquide en rotation "marron rouge". Couleurs assez présentes sur ces clichés.
Edit : D'ailleurs je constate que la photo de l'installation principale a été renouvelée sur google earth. Voici la nouvelle photo actualisée, qui en plus est plus fine :
Et voici des photos des installations similaires dans la même zone, à croire qu'il y a eu plusieurs essais (photos actuelles) :
Sachant que les photos sont de google earth, il n'est pas étonnant que l'ont ai pas le dispositif en entiers. Après ce n'est que des suppositions en ce qui concerne Salt Lake City, mais je n'ai trouvé aucune informations expliquant ce que c'était non plus.
Quant-à Farrell je le trouve plutôt objectif et pragmatique, il émet parfois des hypothèses exagérées, mais il prévient avant et pour préciser que ce ne sont que des suppositions. En tout les cas un exposé intéressant.