Messages et articles de Zkalpalito
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07.08.2020 - 16h48   

xela a écrit:
Au-delà de les déconsidérer, il s'agit bien d'imaginer d'autres choses inédites pour eux à leur proposer. Afin qu'il se projette autrement.


xela a écrit: Mais les origines et les traumas de certains, leurs parcours de vie laissent une idée du travail considérable des éducateurs.


xo a écrit:
Matraque dans la gueule, tir à balle réelle, emprisonnement, expulsion.


xo a écrit:
Les origines des traumas des racailles islamisées et des vendeurs de drogue c'est bien le dernier de mes soucis et celui des Français. La pleurniche en mode "ils ont souffert de problèmes sociaux" ne passe plus


xela a écrit: Ce que je vois dans le regard de ces jeunes ? Une adaptation. Une habituation au système carcéral, à ses codes. Et donc, une crainte de moins en moins dissuasive de transgresser.



Je crois qu'il faut faire la distinction entre les islamo-racailles qui nous détestent, veulent nous détruire, d'un côté, et les ex-délinquants jeunes ou moins jeunes qui ne nous détestent pas, qui veulent vraiment vivre en France et qui demandent à être réhabilités, de l'autre.

Ne nous faisons pas d'illusions : une islamo-racaille véritable, on peut mettre tous les éducateurs et tous les conseillers d'insertion et de probation de France sur son cas, ça ne changera rien.

En revanche, avec certains individus, anciens délinquants, mais de bonne foi, qui veulent réellement être réhabilités, prendre un nouveau départ, et qui ne veulent pas faire la guerre aux Français, alors là, oui, le travail social est utile. Karim Mokhtari, que j'ai découvert dans l'émission "Dans les yeux d'Olivier - Repentis" sur France 2, a été dans cette situation. Ces personnes-là doivent être aidées, ça ne fait aucun doute.

Mais soyons réalistes : il y a plus d'islamo-racailles que de personnes souhaitant réellement être réhabilitées dans les prisons françaises, plus d'Amedy Coulibaly que de Karim Mokhtari. Un tri doit donc être fait : les premiers doivent être expulsés ; seuls les seconds doivent être aidés.

07.08.2020 - 15h29   
Se déconnecter est aussi une liberté : laissez-moi vivre sans smartphone si je le souhaite, ça pollue moins !

xo a écrit:
J'étais à Deauville pour le boulot aujourd'hui, je vais pour payer l'horodateur, il ne prend pas les cartes...


xo a écrit: Donc en gros t'a pas le choix, c'est application ou rien.


xo a écrit: C'est une application qui fonctionne avec la géolocalisation... Donc il faut avoir sa géolocalisation d'activée sur le téléphone, installer une application (pas open-source donc impossible de savoir ce qu'il y a dedans


xo a écrit: Bienvenue chez Big Brother, impossible donc de se garer dans cette putain de ville sans activer la géolocalisation sur son tel et donner ses coordonnées bancaires sur une application à la con.


Ça t'oblige à installer une application et à activer la géolocalisation.

Et pour les gens qui n'ont pas de smartphone ? Rien n'est prévu. Ma mère s'est retrouvée dans la même situation que toi, mais avant d'avoir un smartphone. Résultat : elle n'a pas payé le stationnement parce que c'était impossible. Autre résultat : des gens qui ne voulaient pas acquérir de smartphone en ont quand même acheté un.

Tout est donc fait pour pousser les gens à être géolocalisés en permanence. Ce qui implique que, premièrement, a déjà été fait en sorte qu'on soit connectés en permanence, qu'on possède un smartphone. Cette connexion permanente paraît anodine alors qu'elle ne l'est pas. L'acquisition massive de smartphones et la nécessité artificielle d'être connecté en permanence relèvent bien plus de l'ingénierie sociale que de la liberté du marché.

Critique : On devrait aussi avoir le droit de décider de quand on est connecté et de quand on ne l'est pas. Je respecte le droit à être connectés en permanence de ceux qui veulent l'être mais je ne veux pas qu'on me pousse à être pareil. Je suis connecté quand je suis en face de mon ordinateur, mais quand je sors de chez moi, je veux être déconnecté.

Autre étape en cours : les banques qui commencent à supprimer des distributeurs.

Ce vers quoi tendent ces processus :

- une société de contrôle dans laquelle tout le monde est localisable et mouchardable en permanence
- une marginalisation des personnes ne souhaitant pas utiliser cette technologie
- l'achat d'un smartphone devient une nécessité artificielle (sorte d'achat forcé pour ne pas être marginalisé) augmentant de fait la consommation, l'exploitation des ressources et les pollutions. (Voir à ce sujet l'article "La folie du smartphone, un poison pour la planète")

https://reporterre.net/La-folie-du-smartphone-un-poison-pour-la-planete

20.07.2020 - 09h18   

xo a écrit:
C'EST UN ACTE DE GUERRE.

CEUX QUI ONT DES COUILLES PREPAREZ-VOUS ET ARMEZ-VOUS.


Exact.

20.07.2020 - 09h17   

xela a écrit:
À quoi bon relayer ici ces faits divers, qui ont lieu chaque jour, partout, depuis toujours ?

Des Français qui se font tuer par des islamo-racailles, ça existe depuis toujours et ce ne sont que des "faits divers" ? N'importe quoi.


07.07.2020 - 21h04   
Le ministre écossais de la Justice a un message pour ses collègues : white, white, white, white, white, white, white.


source: youtube.com




06.06.2020 - 04h16   
Un homme non-Noir, non-hispanique...

source: youtube.com



Un homme non-Noir, non-hispanique... tué par la police.

Les USA ont un problème avec la violence, la culture de la violence, et avec certaines de leurs polices locales. Mais quand un non-Noir, Blanc ou autre, meurt, aux USA, tué par la police, les gens ne brûlent pas de voitures, ne saccagent ni ne pillent les magasins.

Et quand un Noir tue un non-Noir, hispanique, Blanc, ou autre, on n'entend personne dire "Le silence noir est une violence". Arrêtons l'hypocrisie et la bien-pensance progressiste à deux balles.

06.06.2020 - 04h06   
Des données du Bureau of Justice Statistics + Lil Wayne : 'No such thing as racism'.

source: bjs.gov

Page 2:

White victims perceived the offender to be black in 15% of violent victimizations and Hispanic in 11%.

Black victims perceived the offender to be white in 11% of violent victimizations and Hispanic in nearly 7%.


Page 2, Table 1:

Total violent victimizations:

White: 43.8%
Black: 22.7%
Hispanic: 14.4%
Other: 2.2%


Page 7, Table 6:

Percent of violent victimizations reported to police, by race/Hispanic origin of victim and offender, 2012-2015. Average annual number:

White victim/Black offender: 540.350

Black victim/White offender: 92.810


Source: Bureau of Justice Statistics, National Crime Victimization Survey, 2012-2015.


05.06.2020 - 23h10   

kaliyuga a écrit:
Bonjour

Attention a l'interprétation des choses !

1- Ce doc date de de 2013, iI faudrait voir l'évolution et les critères d'évaluations des faits.

2- Ce doc prends en compte uniquement les crimes du fbi qui ont fait l'objet d'une enquête pour meurtre officielle.

3- Toutes les agressions diverses a l'encontre des noirs des polices régionales, départementales ou locales ,ne sont évidement pas recensées ici. (Pour celle qui ont fait l'objet d'une plainte, ce qui est très rare)

4- Il y a un nombre important de régime de police différents aux usa rien a voir avec la france gendarmerie ou police qui rends impossible la centralisation de données globales de ce genre.

Conclusion
Je pense que ce graphique n'est absolument pas représentatif de la réalité.
Rien d'exhaustif.


Des statistiques du même genre, on peut en trouver énormément, camarade. Et quand des Noirs tuent des non-Noirs, je n'entends personne se plaindre du racisme des Noirs ou dire que "le silence noir est une violence".

04.06.2020 - 21h58   
All Lives Matter



22.04.2020 - 02h59   



22.04.2020 - 02h37   



22.04.2020 - 02h34   



03.03.2020 - 19h50   

fabioule a écrit:
cela fait du bien de changer le mot de passe. Je dirai grand minimum 1 fois par an, l'idéal tous les mois.


Et si on ne les écrit nulle part, ça fait travailler la mémoire.

03.03.2020 - 19h38   

Ils sont eux-mêmes responsables. Eux et Recep Tayyip Erdogan.

28.02.2020 - 16h30   

La Turquie est clairement un ennemi. Il serait temps que nos autorités s'en rendent compte.

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