17.01.2012
La vie
source: astrosurf.com

Composition et origine de l'humain (Aspect scientifique, donc basé sur la matière uniquement)




Source image : http://astronomie.manche.free.fr/html/supernovae.htm


1) l'oxygène : symbole O environ 65% du poids total du corps,

-> Formation : Coeur d'une étoile lors de la dernière contraction de celle ci lors d'une supernova. Température requise pour la fusion : 2 Milliards de Kelvins.

2) le carbone symbole C environ 18%

-> Formation : Coeur d'une étoile lors de sa contraction en supernova. La fusion du carbone s'amorce quand la température au cœur de l'étoile dépasse le milliard de kelvins.

3) l'hydrogène symbole H environ 10%

-> Formation : Lors du Big Bang. L’atome d'hydrogène est l’atome le plus simple qui soit : il n’est composé que d’un proton associé à un électron. C’est aussi l’atome le plus présent dans l’univers, car il représente environ 92 % de ses atomes et 70 % de sa masse.
Après une minute : comme l’univers continue à se dilater, sa température baisse. Elle atteint 10puissance10 K, si bien que les protons et neutrons finissent par se rapprocher pour former des noyaux. Cependant, les protons étant beaucoup plus nombreux, ils restent en majorité seuls et forment des noyaux d’hydrogène.

4) l'azote symbole N environ 3%

-> Formation : Le cycle Carbone-Azote-Oxygène (CNO) lors de la contraction d'une étoile en supernova.

5) le calcium symbole Ca environ 1,5 %

-> Formation : Le carbone est présent sur terre depuis la formation de celle-ci : il a été produit par nucléosynthèse au cœur des étoiles qui ont explosé avant la formation du système solaire. Il existe sous forme de sédiments, charbon, pétrole, et également sous sa forme pure graphite, diamant. Les diamants naturels pouvant se trouver dans la kimberlite des cheminées d'anciens volcans, notamment en Afrique du Sud et dans l'Arkansas. On peut parfois trouver des diamants microscopiques dans certaines météorites.

6) le phosphore symbole P environ 1%

-> Formation : Lors d'une supernova : A deux milliards de degrés, l’oxygène transmute en soufre, silicium et phosphore plus lourds.

7) le souffre symbole S environ 0,25%

-> Formation : Lors d'une supernova : A deux milliards de degrés, l’oxygène transmute en soufre, silicium et phosphore plus lourds.

8) le potassium symbole K environ 0,2%

-> Formation : Lors d'une supernova : A environ 2 milliards de degrés.

9) le sodium symbole Na environ 0,15%

-> Formation : Lors d'une supernova : A environ 2 milliards de degrés.

10) le chlore symbole Cl environ 0,15%

-> Formation : Lors d'une supernova : A environ 2 milliards de degrés.

11) le magnésium symbole Mg environ 0,05 %

-> Formation : Lors d'une supernova : A environ 2 milliards de degrés.

12) le fer symbole Fe environ 0,0057 %

-> Formation : Juste avant l'explosion d'une supernova, lorsque celle ci commence à fusionner des atomes de Fer, elle signe sont arrêt de mort, l'explosion est imminente. Dans le cadre de supernova de type 1 A par exemple.

13) le cuivre symbole Cu environ 1,4 x 10 exposant moins 4, pour cent ;
14) l'iode symbole I, environ 4,3 x 10 exposant moins 5, pour cent ;
15) le manganèse symbole Mn environ 3 x 10 exposant moins 5, pour cent;
16) le chrome symbole Cr,
17) le cobalt symbole Co,
18) l'étain symbole Sn,
19) le fluor symbole F,
20) le molybdène symbole Mo,
21) le sélénium symbole Se,
22) le silicium symbole Si,
23) le vanadium symbole V,
24) le zinc symbole Zn.



Sciences de la vie


xo  17.01.2012 - 23h33 

Il y aurait plus de 200 milliards d'exoplanètes dans la Voie lactée !



Six années d’observations patientes à la recherche d’effets de microlentille gravitationnelle ont conduit à un résultat qui n’aurait surpris ni Démocrite ni Giordano Bruno. Chaque étoile de notre galaxie aurait au moins une planète : il y aurait donc des centaines de milliards d’exoplanètes. Et la majorité seraient rocheuses !

Presque toutes les exoplanètes découvertes à ce jour l’ont été par la méthode des vitesses radiales ou celle des transits (c’est le cas de Kepler 22b). Mais parmi les plus de 700 connues, une dizaine ont été révélées grâce à la technique des microlentilles gravitationnelles.

Pour comprendre en quoi consiste cette méthode, rappelons que lorsqu’un corps céleste passe devant une source de lumière, son champ gravitationnel courbe les rayons qui en sont issus, à la façon d’une lentille. On savait déjà que la gravitation pouvait dévier des rayons lumineux comme les observations d’Eddington l’avaient montré en 1919, lors de la célèbre éclipse qui servit de test à la relativité générale. Mais il avait fallu plus de quinze années avant que Rudi Mandl ne déduise la conséquence naturelle de cette observation et suggère à Albert Einstein qu'il puisse exister dans l'espace de véritables lentilles gravitationnelles. Ce dernier publia donc une petite note en 1936 avec des calculs simples, en concluant : « Bien sûr, il n'y a aucun espoir d'observer directement ce phénomène ».

L’effet est faible mais le génial père de la théorie de la relativité générale avait été trop pessimiste. Depuis des dizaines d'années en effet, ce phénomène est employé par les astronomes pour percer les mystères de la matière noire, analyser le rayonnement fossile et même détecter des corps célestes ordinairement invisibles.


Source Image "whattoseeinseville.com"


Si l'on parle d'effets de lentille gravitationnelle fort et faible, celui utilisé par des astronomes pour découvrir des exoplanètes, dans le cadre des observations fournies par les équipes Planet et Ogle, est dit de microlentille gravitationnelle, comme il est expliqué dans un article aujourd'hui publié dans Nature.

Lorsqu'un corps céleste massif, comme un trou noir, une naine brune ou tout simplement une étoile peu brillante effectue un transit sur la voûte céleste devant une étoile plus brillante, le champ de gravitation du corps céleste se comporte donc comme si on interposait une lentille entre l'étoile brillante et nous. Comme on le voit sur le premier schéma à gauche ci-dessus, la courbe de lumière de l'étoile brillante montre une brusque augmentation temporaire de la luminosité apparente sur quelques dizaines de jours.

Si une exoplanète tourne autour de l'étoile la moins brillante, on observera un second pic de luminosité durant quelques heures, surimposé sur le premier, comme l'expose le deuxième schéma en partant de la gauche. Ici, le schéma de droite montre une courbe de luminosité durant 30 jours, pour une naine rouge passant devant une étoile jaune, avec une exoplanète en transit conduisant à un pic secondaire de luminosité durant huit heures.

Des milliards de planètes ayant une masse similaire à celle de la Terre

Détecter des exoplanètes avec cette méthode n'est pas facile. En revanche, les intervalles de masses et de distances (planète-étoile) auxquels on a ainsi accès sont assez étendus. Même avec peu d’observations, on peut obtenir des renseignements précieux sur la distribution en masse des exoplanètes dans la Voie lactée.

Des millions d’étoiles ont ainsi été observées, ce qui a conduit Arnaud Cassan (Institut d’astrophysique de Paris), premier auteur de l’article publié dans Nature, à formuler le bilan de cette étude dans les termes suivants : « Nous avons cherché les preuves de la présence d’exoplanètes par la méthode des microlentilles au cours de six années d’observations. Les données que nous avons obtenues montrent de manière remarquable que les planètes sont plus courantes que les étoiles dans notre galaxie. Nous avons également trouvé que les planètes les moins massives, comme les superterres ou les Neptune peu massifs, doivent être plus courantes que les planètes les plus massives. »

Cela conforte de précédentes estimations indiquant qu'il y a probablement des milliards d'exoterres dans notre Voie lactée. Nous avons donc des raisons de plus de partir à la recherche de monolithe noir...

Source futura science
xo  18.01.2012 - 10h50 
MARDI 17 JANVIER 2012

La NASA découvre une nouvelle forme de vie, une bactérie à l'arsenic





Une nouvelle forme de vie a été découverte par des scientifiques de la NASA, au fond du Lac Mono en Californie. Une bactérie aurait la capacité de se développer à l'aide de l'arsenic, un poison naturel très violent.

La découverte a fait le tour du monde et bouleverse littéralement les recherches sur la vie.

La bactérie observée par les chercheurs aurait non seulement les moyens de survire à l'arsenic, mais elle l'aurait également intégrée partiellement dans ses cellules et dans son ADN.

Cette découverte majeure pour la communauté scientifique redéfinirait ce que la science considère comme élémentaire pour le développement d'une forme de vie, car jusqu'à présent les six éléments considérés comme indispensable ne pouvaient pas être autres que l'oxygène, l'hydrogène, le carbone, l'azote, le soufre et le phosphore.

La bactérie nommée souche GFAJ-1 était déjà connue par les scientifiques, la grande nouveauté c'est qu'aucun chercheur n'avait réalisé jusqu'à présent qu'elle avait les moyens de se développer en se basant sur l'arsenic comme bloc de construction pour son organisme.

Le fait que cette bactérie ait la capacité de se développer en ayant intégré l'arsenic laisse entendre que des formes de vies sont possible sur des planètes considérées comme ne pouvant pas accueillir la vie. C'est une découverte majeure pour l'astrobiologie, et qui aura des répercutions sur la recherche de preuve de vie extra-terrestre.

Source: ecologie (??)
Source wikistrike
xo  22.01.2012 - 18h22 
Métaphore


Analogie informatique

L'organisation de ces dimensions de l'univers présente une analogie avec l'informatique.

Le monde matériel que nous appelons la "réalité" correspond à ce que nous voyons sur l'écran de l'ordinateur, avec les objets familiers (icones, menus, fenêtres..) qui constituent l'interface avec l'utilisateur.

La "matrice énergétique" (supercordes, ibozoo uu...) correspond à ce qui génère la réalité que nous voyons sur l'écran: des flux d'électrons dans les microprocesseurs.

Les "attracteurs de probabilités" correspondent aux instructions en langage machine qui orientent et déterminent les flux d'électrons dans les microprocesseurs.

La "mémoire de l'univers" correspond au programme informatique en langage évolué (C++, Pascal, etc) qui produit les instructions en langage machine.

Enfin, la "méta-conscience" de l'univers correspond au programmeur, le créateur du programme informatique.

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