C'est une découverte majeure et pourtant microscopique qui a été réalisée en Écosse : des chercheurs ont mis la main sur le fossile d'un organisme primitif vieux d'un milliard d'années, qui pourrait nous renseigner davantage sur les premières formes de vie sur notre planète.
Le Loch Torridon, situé dans les Northern Highlands écossaises, contient des sédiments abritant de nombreux microfossiles dont certains remontent à plusieurs centaines de millions d'années. Mais la découverte faite par des équipes des universités de Sheffield et du Boston College est exceptionnelle : non seulement le fossile retrouvé dans le Loch remonte à un milliard d'années, mais surtout il pourrait être le témoin d'un moment décisif dans l'histoire de la vie sur Terre.
Structure multicellulaire complexe
Bicellum Brasieri, c'est le nom donné à l'organisme, comprend deux types de cellules distincts qui présentent des mouvements morphogéniques certes simples, mais révélateurs : c'est « le premier pas vers une structure multicellulaire complexe », s'enthousiasment les chercheurs. « C'est quelque chose qui n'a jamais été décrit auparavant dans les archives fossiles », poursuivent-ils.
Cet organisme, qui a évolué en eau douce, semble bel et bien être à la jonction de deux formes de vie : unicellulaire et multicellulaires. Autrement dit, Bicellum Brasieri appartient à une des grandes familles possédant une forme de multicellularité complexe, dont les animaux? et l'homme.
La découverte jette une nouvelle lumière sur les origines de la multicellularité complexe et l'origine des animaux, qui sont considérés comme deux des événements les plus importants de l'histoire de la vie sur notre planète, indique les chercheurs. Ces derniers poursuivent leurs travaux pour trouver d'autres pépites du même genre, et peut-être parviendront-ils à percer le grand mystère de la vie.
Le Loch Torridon, situé dans les Northern Highlands écossaises, contient des sédiments abritant de nombreux microfossiles dont certains remontent à plusieurs centaines de millions d'années. Mais la découverte faite par des équipes des universités de Sheffield et du Boston College est exceptionnelle : non seulement le fossile retrouvé dans le Loch remonte à un milliard d'années, mais surtout il pourrait être le témoin d'un moment décisif dans l'histoire de la vie sur Terre.
Structure multicellulaire complexe
Bicellum Brasieri, c'est le nom donné à l'organisme, comprend deux types de cellules distincts qui présentent des mouvements morphogéniques certes simples, mais révélateurs : c'est « le premier pas vers une structure multicellulaire complexe », s'enthousiasment les chercheurs. « C'est quelque chose qui n'a jamais été décrit auparavant dans les archives fossiles », poursuivent-ils.
Cet organisme, qui a évolué en eau douce, semble bel et bien être à la jonction de deux formes de vie : unicellulaire et multicellulaires. Autrement dit, Bicellum Brasieri appartient à une des grandes familles possédant une forme de multicellularité complexe, dont les animaux? et l'homme.
La découverte jette une nouvelle lumière sur les origines de la multicellularité complexe et l'origine des animaux, qui sont considérés comme deux des événements les plus importants de l'histoire de la vie sur notre planète, indique les chercheurs. Ces derniers poursuivent leurs travaux pour trouver d'autres pépites du même genre, et peut-être parviendront-ils à percer le grand mystère de la vie.
fossile, cellule