Social :
[vidéo supprimée sur le site d'origine]
Reportage sur les communautées tzigane, gitane et rom en France 1973
Journal télévisé, PPDA sur le gang des Lyonnais 1977
Des voitures sur la plage 1973
[vidéo supprimée sur le site d'origine]
(Serge Gainsbourg et son chien 1976)
(la mode de Jacques Esterel 1971)
(rassemblement hippie à Avignon)
[vidéo supprimée sur le site d'origine]
(Les jeunes de l'UDR (avec Sarkozy...))
Musique :
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Reportage sur les communautées tzigane, gitane et rom en France 1973
Journal télévisé, PPDA sur le gang des Lyonnais 1977
Des voitures sur la plage 1973
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(Serge Gainsbourg et son chien 1976)
(la mode de Jacques Esterel 1971)
(rassemblement hippie à Avignon)
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(Les jeunes de l'UDR (avec Sarkozy...))
Musique :
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Culture
signefurax 25.01.2012 - 04h36 |
Voici un extrait du film : Les malheurs d'Alfred (1972) avec Pierre Richard
Et son esprit post-68tard
J'adore la fin de l'extrait
Etrange n'est ce pas le role de Pierre Mondy ... comme quoi les années changent. Joli coup de fusil de Paul Préboist...
"Bravo, vous avez droit au silence, à la rêverie, au repos enfin"
Et son esprit post-68tard
J'adore la fin de l'extrait
Etrange n'est ce pas le role de Pierre Mondy ... comme quoi les années changent. Joli coup de fusil de Paul Préboist...
"Bravo, vous avez droit au silence, à la rêverie, au repos enfin"
Sylvain 26.01.2012 - 13h03 |
Brigitte Bardot dans une scène culte par laquelle commence le film de Jean-Luc Godard, "Le Mépris"...
"Le Mépris", Jean-Luc Godard
Une musique emblématique des années 70 qui n'a pas pris une ride et qui a été reprise par des artistes rap ou techno dans les années 90 et 2000...
Autre musique qui exprime bien l'ambiance de cette époque, bande-son de beaucoup d'histoires d'amour...
Les années 70 furent aussi et surtout les années de Pink Floyd et de toute la vague psychédélique planante, traduction musicale des expériences au LSD et à la marijuana...
Voici un extrait de leur album-concept "Animals" qui était aussi très politique, inspiré par "la ferme des animaux" de George Orwell. Dans ce roman, l'humanité est divisée en 3 castes qui donnent leurs titres aux morceaux de l'album:
- "Pigs": les porcs, la bourgeoisie qui s'engraisse en exploitant les deux autres classes
- "Dogs": les chiens, la petite bourgeoisie, la classe intermédiaire qui encadre le cheptel d'une main de fer, ce que Milgram appelle des "agents".
- "Sheep": les moutons qui suivent et obéissent docilement, aveuglés et impuissants.
Autre morceau qui symbolise ces années est bien sûr "Imagine" de John Lennon, dont le rêve d'un monde uni et sans frontières a depuis été réalisé par les Maitres du Monde, à leur façon...
Enfin, 2 groupes des années 70 finissantes, tout d'abord Supertramp avec leur sens inégalé de la mélodie...
Supertramp, "The logical song"
et Electric Light Orchestra avec leurs violons, leur look 100% "baba cool" et leur inspiration SF spatiale...
Sylvain 27.01.2012 - 20h41 |
Série de SF dans le plus pur style des années 70 (surtout pour les décors et les costumes), "Cosmos 1999"...
Eh oui, dans les années 70, 1999 paraissait un horizon très lointain et on se voyait déjà installés dans des bases sur la Lune !
Sylvain 27.01.2012 - 23h24 |
Impossible de parler des années 70 sans citer Peter Gabriel et son groupe Genesis, monument de la musique planante-psychédélique...
Voici un des morceaux les plus connus du groupe en live...
Genesis, "When the lamb lies down on Broadway"
Et un film de folie, "Phantom of the Paradise", version revisitée du pacte de Faust...
Sylvain 04.02.2012 - 00h39 |
Un grand tube de la fin des années 70, Gerry Rafferty, "Baker street"
Encore la fin des seventies avec Alan Parsons Project, un groupe aux paroles souvent mystiques,
ici avec le clip "Don't answer me"...
Encore la fin des seventies avec Alan Parsons Project, un groupe aux paroles souvent mystiques,
ici avec le clip "Don't answer me"...
signefurax 04.02.2012 - 08h16 |
Autre groupe tant oublié des débuts pops engagés : Triangle
Triangle, Peut être demain
Triangle peut-être demain par antidogme
Martin Circus, ancien groupe de Gerard Blanc
J'irai m'éclater a Sénégal (1971)
[vidéo supprimée sur le site d'origine]
Tres oublié également
ZOO
Triangle, Peut être demain
Triangle peut-être demain par antidogme
Martin Circus, ancien groupe de Gerard Blanc
J'irai m'éclater a Sénégal (1971)
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Tres oublié également
ZOO
xo 04.02.2012 - 17h53 |
"De nombreuses analyses ont été menées sur la décomposition actuelle des États-Unis en termes d’écarts de revenus et de disparités de richesse, ou au sujet de sa militarisation comme de sa tendance belliciste croissante. Mon approche dans cet essai est selon moi inédite : elle consiste à faire valoir que les disparités de revenus – autrement dit, la « plouto-nomie » – autant que les tendances guerrières des États-Unis ont été considérablement favorisées par des événements profonds.
Il faut comprendre que les disparités de revenus dans l’économie US n’ont pas résulté d’une action des forces entrepreneuriales indépendamment de l’intervention politique. Au contraire, ces inégalités furent en grande partie engendrées par un processus politique continuel et délibéré, datant des années 1960 et 1970 – période durant laquelle les individus les plus riches de ce pays craignaient d’en perdre le contrôle.
À cette époque, dans son mémorandum de 1971, le futur juge à la Cour Suprême Lewis Powell avertit que la survie du système de la libre-entreprise dépendait de « la planification et [de] l’application soigneuses, sur le long terme », de réponses abondamment financées contre les menaces incarnées par la gauche. [3] Cette mise en garde engendra une virulente offensive de la droite, coordonnée par quelques cercles de réflexion et généreusement financée par un petit groupe de fondations familiales. [4] Il faut garder à l’esprit que tout cela répondait à de graves émeutes à Newark, à Detroit et dans d’autres villes, et que la gauche lançait alors un nombre croissant d’appels à la révolution (en Europe autant qu’aux États-Unis). Je me concentrerai ici sur la réponse de la droite à ce défi, et sur le rôle des événements profonds dans la facilitation de cette réponse.
Ce qui importait vraiment dans le Manifeste Powell était moins le document en lui-même que le fait qu’il ait été commandé par la Chambre de Commerce des États-Unis, l’un des groupes de pression les plus influents et des plus discrets. Par ailleurs, ce mémorandum était seulement un signe parmi bien d’autres qu’une guerre de classes prenait forme durant les années 1970, un processus plus vaste qui se déroulait à l’intérieur autant qu’à l’extérieur du gouvernement (et qui comprenait ce qu’Irving Kristol qualifia de « contre-révolution intellectuelle »), et mena directement à la soi-disant « Révolution Reagan ». [5]"
Source
Mai 68 en France
Il faut comprendre que les disparités de revenus dans l’économie US n’ont pas résulté d’une action des forces entrepreneuriales indépendamment de l’intervention politique. Au contraire, ces inégalités furent en grande partie engendrées par un processus politique continuel et délibéré, datant des années 1960 et 1970 – période durant laquelle les individus les plus riches de ce pays craignaient d’en perdre le contrôle.
À cette époque, dans son mémorandum de 1971, le futur juge à la Cour Suprême Lewis Powell avertit que la survie du système de la libre-entreprise dépendait de « la planification et [de] l’application soigneuses, sur le long terme », de réponses abondamment financées contre les menaces incarnées par la gauche. [3] Cette mise en garde engendra une virulente offensive de la droite, coordonnée par quelques cercles de réflexion et généreusement financée par un petit groupe de fondations familiales. [4] Il faut garder à l’esprit que tout cela répondait à de graves émeutes à Newark, à Detroit et dans d’autres villes, et que la gauche lançait alors un nombre croissant d’appels à la révolution (en Europe autant qu’aux États-Unis). Je me concentrerai ici sur la réponse de la droite à ce défi, et sur le rôle des événements profonds dans la facilitation de cette réponse.
Ce qui importait vraiment dans le Manifeste Powell était moins le document en lui-même que le fait qu’il ait été commandé par la Chambre de Commerce des États-Unis, l’un des groupes de pression les plus influents et des plus discrets. Par ailleurs, ce mémorandum était seulement un signe parmi bien d’autres qu’une guerre de classes prenait forme durant les années 1970, un processus plus vaste qui se déroulait à l’intérieur autant qu’à l’extérieur du gouvernement (et qui comprenait ce qu’Irving Kristol qualifia de « contre-révolution intellectuelle »), et mena directement à la soi-disant « Révolution Reagan ». [5]"
Source
Mai 68 en France
signefurax 05.02.2012 - 01h17 |
Une video extra, extraite du film "Le Jouet", film de Veber de 1976.
A VOIR ABSOLUMENT "
Film comique mais surtout très engagé ... à l'encontre du patronat et du journalisme.
On remarque à travers certains films à quel point les idées qui voguaient en 70 étaient avançées...
Ils avaient clairement le désir de repousser les limites de la liberté d'opinion.
Nous avons beaucoup perdu aujourd'hui sur ce terrain.
Vous ne verrez jamais ce film dans les programmes TV avant tard dans la nuit... ( j'ai déjà vérifié ), et il est d'ors et déjà banni pour TF1.
Vous vous rendrez compte en visionnant cet extrait ... que les choses n'ont pas changé depuis dans le monde du travail.
La video ci-contre est un montage qui répertorie quelques unes des meilleures scenes critiques ... ces scenes qui font de ce film un chef d'oeuvre.
le journalisme. France Hebdo par nicolacoche
extrait de dialogue :
- Déshabillez vous !
- Pardon !
- Déshabillez vous. Vous allez faire le tour de la salle de rédaction, nous pourrons juger de l'effet comique.
- Monsieur le Président, je ...
- Je vous dis de vous déshabiller ! .... Mais qu'est ce que vous faites Blénac ?
- Je me déshabille , Monsieur le Président
- Si je ne vous avais pas arrêté, vous vous mettiez tout nu, et vous faisiez le tour de la salle de rédaction ?
- C'est vous qui me l'avez demandé, Monsieur le Président
- J'ai une question importante à vous poser, Blénac. Qui de nous deux est le monstre ? Moi qui vous demande d’ôter votre pantalon, ou vous qui acceptez de montrer votre derrière ?
- Je ne sais pas monsieur le Président
A VOIR ABSOLUMENT "
Film comique mais surtout très engagé ... à l'encontre du patronat et du journalisme.
On remarque à travers certains films à quel point les idées qui voguaient en 70 étaient avançées...
Ils avaient clairement le désir de repousser les limites de la liberté d'opinion.
Nous avons beaucoup perdu aujourd'hui sur ce terrain.
Vous ne verrez jamais ce film dans les programmes TV avant tard dans la nuit... ( j'ai déjà vérifié ), et il est d'ors et déjà banni pour TF1.
Vous vous rendrez compte en visionnant cet extrait ... que les choses n'ont pas changé depuis dans le monde du travail.
La video ci-contre est un montage qui répertorie quelques unes des meilleures scenes critiques ... ces scenes qui font de ce film un chef d'oeuvre.
le journalisme. France Hebdo par nicolacoche
extrait de dialogue :
- Déshabillez vous !
- Pardon !
- Déshabillez vous. Vous allez faire le tour de la salle de rédaction, nous pourrons juger de l'effet comique.
- Monsieur le Président, je ...
- Je vous dis de vous déshabiller ! .... Mais qu'est ce que vous faites Blénac ?
- Je me déshabille , Monsieur le Président
- Si je ne vous avais pas arrêté, vous vous mettiez tout nu, et vous faisiez le tour de la salle de rédaction ?
- C'est vous qui me l'avez demandé, Monsieur le Président
- J'ai une question importante à vous poser, Blénac. Qui de nous deux est le monstre ? Moi qui vous demande d’ôter votre pantalon, ou vous qui acceptez de montrer votre derrière ?
- Je ne sais pas monsieur le Président
Sylvain 06.02.2012 - 14h20 |
Les Shadoks
Critique implicite de la France bien-pensante du général De Gaulle et de ses mentalités étriquées, "les Shadoks" est une série de dessins animés qui a marqué la TV française de la fin des années 60 et du début des années 70. Avec la voix de Claude Piéplu, cette série a été diffusée entre 1968 et 1973.
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