Max Planck est un physicien allemand qui est incontestablement considéré comme l'un des plus grands scientifiques de tous les temps. Vu comme étant le pionnier de la mécanique et de la physique quantique, il reçut le prix Nobel de physique de 1918 pour ses travaux sur la théorie des quanta.
En 1900, il découvre la loi spectrale du rayonnement d'un corps noir et ses recherches, qui ont révolutionné notre compréhension du monde atomique, ont permis à Einstein de découvrir la fameuse équation E=mc2, cinq ans plus tard. Une constante physique, la constante de Planck, a même été nommée d'après son nom.
Lors d'un discours en 1944 à Florence en Italie, Max Planck déclara:
« En tant qu'homme qui a consacré toute sa vie à la science la plus lucide et à l'étude de la matière, je peux vous dire ceci en conclusion de mes recherches sur les atomes: Il n'y a pas de matière comme telle. Toute la matière est originaire et n'existe que par la vertu d'une force qui cause les particules d'un atome à vibrer et qui soutient tout ce système atomique ensemble. Nous devons supposer derrière cette force l'existence d'un esprit conscient et intelligent. Cet esprit est la matrice de toute matière. »
(Max plank,“La nature de la matière”, discours à Florence, Italie, 1944;tiré des archives de l'histoire de Max Plank, Rep. 11 N°1797)
source
Extrait de la Bhagavad Gita, texte sacré hindou écrit il y a 2500 ans:
"Tout ce monde vivant est sous-tendu par moi
dans mon état non-manisfesté.
A la fin d'un éon,
tous les êtres vont à cette mienne nature,
puis, au commencement d'un éon,
je les émets à nouveau.
Maîtrisant ma propre nature cosmique,
j'émets encore et encore tout cet ensemble des êtres, malgré eux et par le pouvoir de ma nature.
C'est par moi, son surveillant,
que la nature enfante l'univers.
Et voilà la raison pour laquelle l'univers existe. (...)
Considère que tous les êtres ont cette double nature comme matrice.
Je suis l'origine mais aussi la dissolution de l'univers entier"
"Des créatures je suis le commencement, la fin, et le milieu.
Je suis la mort qui emporte tout, la source des choses à venir.
Je suis le sceptre de ceux qui maîtrisent les peuples, l'art politique des conquérants, le silence des secrets, la connaissance des connaissants.
Et quelle que soit la forme de tout être, je le suis. Il n'est pas d'être, mobile ou immobile, qui existe en dehors de moi.
Je suis le but, le soutien, le seigneur, le témoin, la demeure, le refuge, l'ami, l'origine, la dissolution, la permanence, le réceptacle, le germe, l'immuable.
C'est moi qui réchauffe, retient, ou laisse aller la pluie; je suis l'immortalité et la mort; c'est moi qui suis l'Etre et le Non-Etre."
"Chaque fois qu'il naît un être, animé ou inanimé,
sache que c'est par l'union du champ et du connaisseur du champ."
"Les êtres qui ont une forme, ô fils de Kuntî,
en quelque matrice qu'ils se produisent,
le grand Brahman est leur matrice commune."
plus d'extraits ici
En 1900, il découvre la loi spectrale du rayonnement d'un corps noir et ses recherches, qui ont révolutionné notre compréhension du monde atomique, ont permis à Einstein de découvrir la fameuse équation E=mc2, cinq ans plus tard. Une constante physique, la constante de Planck, a même été nommée d'après son nom.
Lors d'un discours en 1944 à Florence en Italie, Max Planck déclara:
« En tant qu'homme qui a consacré toute sa vie à la science la plus lucide et à l'étude de la matière, je peux vous dire ceci en conclusion de mes recherches sur les atomes: Il n'y a pas de matière comme telle. Toute la matière est originaire et n'existe que par la vertu d'une force qui cause les particules d'un atome à vibrer et qui soutient tout ce système atomique ensemble. Nous devons supposer derrière cette force l'existence d'un esprit conscient et intelligent. Cet esprit est la matrice de toute matière. »
(Max plank,“La nature de la matière”, discours à Florence, Italie, 1944;tiré des archives de l'histoire de Max Plank, Rep. 11 N°1797)
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Extrait de la Bhagavad Gita, texte sacré hindou écrit il y a 2500 ans:
"Tout ce monde vivant est sous-tendu par moi
dans mon état non-manisfesté.
A la fin d'un éon,
tous les êtres vont à cette mienne nature,
puis, au commencement d'un éon,
je les émets à nouveau.
Maîtrisant ma propre nature cosmique,
j'émets encore et encore tout cet ensemble des êtres, malgré eux et par le pouvoir de ma nature.
C'est par moi, son surveillant,
que la nature enfante l'univers.
Et voilà la raison pour laquelle l'univers existe. (...)
Considère que tous les êtres ont cette double nature comme matrice.
Je suis l'origine mais aussi la dissolution de l'univers entier"
"Des créatures je suis le commencement, la fin, et le milieu.
Je suis la mort qui emporte tout, la source des choses à venir.
Je suis le sceptre de ceux qui maîtrisent les peuples, l'art politique des conquérants, le silence des secrets, la connaissance des connaissants.
Et quelle que soit la forme de tout être, je le suis. Il n'est pas d'être, mobile ou immobile, qui existe en dehors de moi.
Je suis le but, le soutien, le seigneur, le témoin, la demeure, le refuge, l'ami, l'origine, la dissolution, la permanence, le réceptacle, le germe, l'immuable.
C'est moi qui réchauffe, retient, ou laisse aller la pluie; je suis l'immortalité et la mort; c'est moi qui suis l'Etre et le Non-Etre."
"Chaque fois qu'il naît un être, animé ou inanimé,
sache que c'est par l'union du champ et du connaisseur du champ."
"Les êtres qui ont une forme, ô fils de Kuntî,
en quelque matrice qu'ils se produisent,
le grand Brahman est leur matrice commune."
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Physique, Spiritualité