Situé sur une ile d'Australie occidentale, le lac Hillier a en permanente une étonnante couleur rose qui reste un mystère. Ce n'est pas le fond du lac qui lui donne cette couleur et lorsqu'on met de son eau dans un verre, elle reste rose. On suppose que l'eau est colorée par des micro algues mais on n'a pas pu identifier lesquelles.
La couleur bleue irréelle d'un lac en Islande...
Le lac Natron en Tanzanie...
Ce lac contient une grande concentration d'un sel particulier. Des micro-organismes adorent ce sel et ils prospèrent en produisant un pigment rouge qui colore l'eau. Le sel est mortel pour les autres animaux et beaucoup se calcifient en se transformant en pierre après avoir pris un bain dans l'eau.
Un lac sur une petite ile volcanique au large de l'Equateur;
Mondialement célèbre, le Grand Prismatic Hot Spring dans le parc de Yellowstone...
Un autre lac aux mêmes couleurs étranges à Yellowtone...
Un lac aux allures extra-terrestres, c'est Mono Lake en Californie, à proximité du Yosemite national park. C'est un lac à l'eau très salée et qui contient de l'arsenic. Seules des petites crevettes et des bactéries peuvent y survivre.
Comme sorti d'un rêve, le Salar De Uyuni en Bolivie, un immense lac de sel qui devient complètement irréel lorsqu'il est rendu humide par la pluie...
Gaïa
Si vous êtes allé sur les pages des articles ces derniers jours, vous avez peut-être remarqué dans la colonne de droite le planisphère en tempe réel de la Terre avec les zones de jour et de nuit...
L'image change imperceptiblement chaque jour en nous montrant à quel moment de l'année on est d'un point de vue astronomique, c'est à dire là où on se trouve sur l'orbite de la Terre autour du Soleil, position dont dépendent les quantités de jour et de nuit pour chaque hémisphère compte tenu de l'inclinaison de l'axe de rotation de la Terre, ce qui se traduit par les saisons.
En ce moment, l'image est remarquable car c'est l'équinoxe. La zone d'ombre dessine un carré. Quel que soit l'endroit où on habite sur Terre, la quantité de jour et de nuit est la même pour tout le monde, 12h/12h. A l'exception d'un petit périmètre autour des 2 pôles où il ne fait jamais totalement nuit, avant que le pôle sud ne plonge dans la nuit permanente, et le pôle nord dans le jour sans fin.
Aux autres moments de l'année, les zones de jour et de nuits dessinent une sinusoïde d'autant plus ample qu'on est proche du solstice.
Voici l'image du solstice d'été...
et celle du solstice d'hiver:
L'image change imperceptiblement chaque jour en nous montrant à quel moment de l'année on est d'un point de vue astronomique, c'est à dire là où on se trouve sur l'orbite de la Terre autour du Soleil, position dont dépendent les quantités de jour et de nuit pour chaque hémisphère compte tenu de l'inclinaison de l'axe de rotation de la Terre, ce qui se traduit par les saisons.
En ce moment, l'image est remarquable car c'est l'équinoxe. La zone d'ombre dessine un carré. Quel que soit l'endroit où on habite sur Terre, la quantité de jour et de nuit est la même pour tout le monde, 12h/12h. A l'exception d'un petit périmètre autour des 2 pôles où il ne fait jamais totalement nuit, avant que le pôle sud ne plonge dans la nuit permanente, et le pôle nord dans le jour sans fin.
Aux autres moments de l'année, les zones de jour et de nuits dessinent une sinusoïde d'autant plus ample qu'on est proche du solstice.
Voici l'image du solstice d'été...
et celle du solstice d'hiver:
Astronomie, Gaïa
(cliquer pour agrandir)
Les nuages noctulescents sont des nuages de très haute altitude, entre 75 et 85 kilomètres (dans la mésosphère, la couche au dessus de la stratosphère) alors que tous les autres nuages ne dépassent pas 12 km. Ils sont constitués de cristaux de glace formés autour de micro particules. Ils sont assez éphémères car à l'altitude où ils se trouvent, ils sont rapidement dissipés par les vents qui peuvent souffler jusqu'à 1000 km:h.
On ne peut les observer qu'à proximité des zones polaires, entre 50 et 70 degrés de lattitude, et on ne peut les voir qu'avant le lever du soleil ou après son coucher.
La présence de plus en plus fréquente de ces nuages pourrait être causée par la vapeur d'eau et les particules émises par les fusées. C'est aussi un résultat de l'effet de serre qui bloque la chaleur plus près de la surface, causant un refroidissement des couches supérieures de l'atmosphère.
Nuages noctulescents vus depuis l'ISS:
Nuages noctulescents et aurores boréales en time lapse...
Les couches de l'atmosphère:
Les nuages noctulescents sont des nuages de très haute altitude, entre 75 et 85 kilomètres (dans la mésosphère, la couche au dessus de la stratosphère) alors que tous les autres nuages ne dépassent pas 12 km. Ils sont constitués de cristaux de glace formés autour de micro particules. Ils sont assez éphémères car à l'altitude où ils se trouvent, ils sont rapidement dissipés par les vents qui peuvent souffler jusqu'à 1000 km:h.
On ne peut les observer qu'à proximité des zones polaires, entre 50 et 70 degrés de lattitude, et on ne peut les voir qu'avant le lever du soleil ou après son coucher.
La présence de plus en plus fréquente de ces nuages pourrait être causée par la vapeur d'eau et les particules émises par les fusées. C'est aussi un résultat de l'effet de serre qui bloque la chaleur plus près de la surface, causant un refroidissement des couches supérieures de l'atmosphère.
Nuages noctulescents vus depuis l'ISS:
Nuages noctulescents et aurores boréales en time lapse...
Les couches de l'atmosphère:
Gaïa
source: au-bout-de-la-route.blogspot.com
L'arbre est un résonateur, il vous permet de vous aligner avec votre propre arbre de Vie, autre nom donné au canal médian de la colonne vertébrale. Ainsi, quand votre Conscience se porte sur l'arbre et indépendamment de divers aspects chamaniques parfaitement décrits au sein de diverses traditions primordiales de la Terre, l'arbre vous permet réellement de vous réaligner et de déclencher les mouvements d'énergie nécessaire à votre élévation de Conscience, mais aussi à votre santé.
La Conscience est collective pour l'ensemble des arbres, mais au sein de ces Consciences collectives émergent des Consciences individuelles, parfois beaucoup plus évoluées que la forme que vous voyez. Ceux-ci sont appelés justement les arbres Maîtres.
Ces arbres Maîtres synthétisent et réunissent l'ensemble des informations, existant au sein d'un périmètre donné, de l'ensemble des autres arbres. Ils sont donc à leur tour des résonateurs et des accumulateurs vous permettant de faire vibrer vos structures de Conscience et vos structures physiques, en accord avec les lois cosmo-telluriques non falsifiées par la matrice.
Les courants telluriques que nous ne percevons pas, sont manifestés en 3 dimensions, par l'intermédiaire des arbres. L'arbre est donc réellement un accumulateur de Lumière, capable si vous rentrez en communication avec lui, de vous le redistribuer.
L'arbre est donc par Essence, un végétal sacré, ainsi que l'ont compris certaines peuplades et certains peuples dits primitifs, que cela soit au niveau des indiens d'Amérique du Nord, comme des peuplades un peu plus anciennes existant en Australie. L'arbre présente un certain nombre de vertus, aussi bien par son tronc, que par ses feuilles, que par son rayonnement, que tout un chacun au niveau de l'Humanité, peut capter et manifester.
Suivez votre ressenti. Certains seront attirés par des hêtres, certains seront par des chênes et d'autres encore par d'autres catégories d'arbres. D'une manière générale, évitez les arbres à feuillage persistant et préférez des arbres à feuillage caduque.
Essayez de choisir un tronc droit, car un tronc droit illustrera une régularité énergétique à l'endroit où l'arbre pousse, ce qui n'est pas le cas au niveau des troncs inclinés ou torsadés ou inclinés et ré inclinés d'un autre niveau, traduisant une altération de la trame magnétique à ce niveau.
Approchez de l'arbre en Conscience, en demandant à établir une communication consciente. Orientez les mains vers l'arbre, mais le plus important est l'orientation de votre Conscience, vers lui. Ensuite, vous pénétrez dans l'arbre, au côté opposé à ce qui est appelé, le Nord. Vous approchez jusqu'à en sentir une perception vibratoire et ensuite vous plaquez tout simplement votre dos contre l'arbre, rien de plus.
La Conscience est collective pour l'ensemble des arbres, mais au sein de ces Consciences collectives émergent des Consciences individuelles, parfois beaucoup plus évoluées que la forme que vous voyez. Ceux-ci sont appelés justement les arbres Maîtres.
Ces arbres Maîtres synthétisent et réunissent l'ensemble des informations, existant au sein d'un périmètre donné, de l'ensemble des autres arbres. Ils sont donc à leur tour des résonateurs et des accumulateurs vous permettant de faire vibrer vos structures de Conscience et vos structures physiques, en accord avec les lois cosmo-telluriques non falsifiées par la matrice.
Les courants telluriques que nous ne percevons pas, sont manifestés en 3 dimensions, par l'intermédiaire des arbres. L'arbre est donc réellement un accumulateur de Lumière, capable si vous rentrez en communication avec lui, de vous le redistribuer.
L'arbre est donc par Essence, un végétal sacré, ainsi que l'ont compris certaines peuplades et certains peuples dits primitifs, que cela soit au niveau des indiens d'Amérique du Nord, comme des peuplades un peu plus anciennes existant en Australie. L'arbre présente un certain nombre de vertus, aussi bien par son tronc, que par ses feuilles, que par son rayonnement, que tout un chacun au niveau de l'Humanité, peut capter et manifester.
Suivez votre ressenti. Certains seront attirés par des hêtres, certains seront par des chênes et d'autres encore par d'autres catégories d'arbres. D'une manière générale, évitez les arbres à feuillage persistant et préférez des arbres à feuillage caduque.
Essayez de choisir un tronc droit, car un tronc droit illustrera une régularité énergétique à l'endroit où l'arbre pousse, ce qui n'est pas le cas au niveau des troncs inclinés ou torsadés ou inclinés et ré inclinés d'un autre niveau, traduisant une altération de la trame magnétique à ce niveau.
Approchez de l'arbre en Conscience, en demandant à établir une communication consciente. Orientez les mains vers l'arbre, mais le plus important est l'orientation de votre Conscience, vers lui. Ensuite, vous pénétrez dans l'arbre, au côté opposé à ce qui est appelé, le Nord. Vous approchez jusqu'à en sentir une perception vibratoire et ensuite vous plaquez tout simplement votre dos contre l'arbre, rien de plus.
Gaïa, Spiritualité
source: Le Monde.fr et France Inter
Cette information a été relayé hier sur France Inter et dans le monde du 7 juin 2012. En dehors de ces 2 fenêtres médiatiques, autant dire invisible, la masse média a totalement censuré l'info.
La biosphère terrestre est à la veille d'une "bascule abrupte et irréversible" du fait de l'ampleur des pressions exercées par l'homme sur la planète. Les écosystèmes qui composent cette biosphère représentent, localement, des bénéfices irremplaçables pour les économies et les sociétés humaines.
C'est, en substance, l'inquiétante leçon à retenir de la publication, jeudi 7 juin, dans les colonnes de la revue Nature, de deux vastes synthèses des connaissances accumulées depuis deux décennies. La première de ces deux études traite de l'importance de la biodiversité dans le fonctionnement et les services rendus par la nature ; la seconde porte un diagnostic sur l'état de santé de celle-ci, à l'échelle mondiale.
Conduite par Anthony Barnosky, chercheur au département de biologie intégrative de l'université de Californie à Berkeley (Etats-Unis), cette dernière est cosignée par une vingtaine de chercheurs issus de plusieurs disciplines, appartenant à une quinzaine d'institutions scientifiques internationales. Elle pointe l'imminence - c'est-à-dire, aux échelles de temps planétaires, d'ici à "quelques générations" - d'une transition brutale vers un état de la biosphère terrestre inconnu d'Homo sapiens depuis l'émergence de l'espèce, voilà quelque 200 000 ans.
SEPT TRANSITIONS
Pour poser ce diagnostic, les auteurs ont analysé l'ensemble des travaux décrivant les bouleversements biologiques et géochimiques intervenus lors des grandes crises planétaires. Sept transitions ont ainsi été examinées. La dernière en date, la "transition glaciaire-interglaciaire", remonte à 11 000 ans. Elle marque le passage, au cours d'un réchauffement qui s'est étalé sur plusieurs millénaires, de la dernière période glaciaire à l'époque actuelle.
Les autres sont l'explosion cambrienne, il y a 540 millions d'années (Ma), qui a vu une grande diversification des formes de vie, et les cinq grandes extinctions, il y a 443 Ma, 359 Ma, 251 Ma, 200 Ma, puis 65 Ma, dont certaines ont vu l'extinction de plus de 90 % des espèces vivantes.
"Toutes ces grandes transitions ont coïncidé avec des contraintes qui ont modifié à l'échelle mondiale l'atmosphère, l'océan et le climat", écrivent les auteurs.
C'est précisément ce qui se produit actuellement, ajoutent-ils. "Il est projeté que, dans le siècle, les climats rencontrés aujourd'hui sur 10 % à 48 % de la superficie de la terre aient disparu et que des conditions climatiques qui n'ont jamais été rencontrées par les organismes actuels règnent sur 12 % à 39 % de la surface de la planète", soulignent les chercheurs.
L'augmentation de la concentration atmosphérique en dioxyde de carbone (CO2) ne bouleverse pas seulement le climat, mais altère aussi la chimie des océans qui "deviennent rapidement plus acides".
De plus, les effluents agricoles et urbains, charriés par les fleuves, créent "une réponse biotique déjà observable près des côtes, dans de vastes "zones mortes"", où la productivité (sa faculté à produire de la biomasse grâce à l'activité planctonique) de l'océan est nulle ou presque.
Les principales pressions exercées sont "la croissance de la population humaine et la consommation de ressources attenante", "la transformation et la fragmentation des habitats naturels", etc. Les auteurs rappellent ainsi que 43 % des écosystèmes terrestres sont aujourd'hui anthropisés, utilisés pour subvenir aux besoins des 7 milliards d'habitants de la Terre. Une règle de trois suggère qu'il faudra faire grimper ce taux à quelque 55 % pour 9 milliards d'humains vers 2050...
EROSION DE LA BIODIVERSITÉ
Mais peut-être en faudra-t-il bien plus. C'est ce que laisse craindre l'étude conduite par Bradley Cardinale (université du Michigan à Ann Arbor, Etats-Unis) et réalisée par dix-sept autres chercheurs internationaux, publiée dans la même édition de Nature. Elle pointe, de son côté, le rôle crucial de la diversité biologique - diversité des espèces et diversité génétique au sein des espèces - dans le fonctionnement des écosystèmes.
"Nous avons passé en revue environ un millier d'études publiées au cours des vingt dernières années, explique Anne Larigauderie, directrice exécutive de l'association scientifique Diversitas et co-auteur de ces travaux. A grands traits, le large consensus auquel nous parvenons est que la perte de biodiversité endommage la stabilité et le fonctionnement des écosystèmes, réduisant ainsi leur capacité à nous fournir des services auxquels nous sommes habitués."
L'érosion de la biodiversité réduira la productivité des pêcheries, de l'agriculture, etc. Et nécessitera d'accroître encore l'empreinte écologique de l'humanité.
A quelques jours de l'ouverture de Rio + 20 sommet mondial consacré au développement durable, la publication de ces deux études largement consensuelles constitue un puissant signal d'alarme.
La biosphère terrestre est à la veille d'une "bascule abrupte et irréversible" du fait de l'ampleur des pressions exercées par l'homme sur la planète. Les écosystèmes qui composent cette biosphère représentent, localement, des bénéfices irremplaçables pour les économies et les sociétés humaines.
C'est, en substance, l'inquiétante leçon à retenir de la publication, jeudi 7 juin, dans les colonnes de la revue Nature, de deux vastes synthèses des connaissances accumulées depuis deux décennies. La première de ces deux études traite de l'importance de la biodiversité dans le fonctionnement et les services rendus par la nature ; la seconde porte un diagnostic sur l'état de santé de celle-ci, à l'échelle mondiale.
Conduite par Anthony Barnosky, chercheur au département de biologie intégrative de l'université de Californie à Berkeley (Etats-Unis), cette dernière est cosignée par une vingtaine de chercheurs issus de plusieurs disciplines, appartenant à une quinzaine d'institutions scientifiques internationales. Elle pointe l'imminence - c'est-à-dire, aux échelles de temps planétaires, d'ici à "quelques générations" - d'une transition brutale vers un état de la biosphère terrestre inconnu d'Homo sapiens depuis l'émergence de l'espèce, voilà quelque 200 000 ans.
SEPT TRANSITIONS
Pour poser ce diagnostic, les auteurs ont analysé l'ensemble des travaux décrivant les bouleversements biologiques et géochimiques intervenus lors des grandes crises planétaires. Sept transitions ont ainsi été examinées. La dernière en date, la "transition glaciaire-interglaciaire", remonte à 11 000 ans. Elle marque le passage, au cours d'un réchauffement qui s'est étalé sur plusieurs millénaires, de la dernière période glaciaire à l'époque actuelle.
Les autres sont l'explosion cambrienne, il y a 540 millions d'années (Ma), qui a vu une grande diversification des formes de vie, et les cinq grandes extinctions, il y a 443 Ma, 359 Ma, 251 Ma, 200 Ma, puis 65 Ma, dont certaines ont vu l'extinction de plus de 90 % des espèces vivantes.
"Toutes ces grandes transitions ont coïncidé avec des contraintes qui ont modifié à l'échelle mondiale l'atmosphère, l'océan et le climat", écrivent les auteurs.
C'est précisément ce qui se produit actuellement, ajoutent-ils. "Il est projeté que, dans le siècle, les climats rencontrés aujourd'hui sur 10 % à 48 % de la superficie de la terre aient disparu et que des conditions climatiques qui n'ont jamais été rencontrées par les organismes actuels règnent sur 12 % à 39 % de la surface de la planète", soulignent les chercheurs.
L'augmentation de la concentration atmosphérique en dioxyde de carbone (CO2) ne bouleverse pas seulement le climat, mais altère aussi la chimie des océans qui "deviennent rapidement plus acides".
De plus, les effluents agricoles et urbains, charriés par les fleuves, créent "une réponse biotique déjà observable près des côtes, dans de vastes "zones mortes"", où la productivité (sa faculté à produire de la biomasse grâce à l'activité planctonique) de l'océan est nulle ou presque.
Les principales pressions exercées sont "la croissance de la population humaine et la consommation de ressources attenante", "la transformation et la fragmentation des habitats naturels", etc. Les auteurs rappellent ainsi que 43 % des écosystèmes terrestres sont aujourd'hui anthropisés, utilisés pour subvenir aux besoins des 7 milliards d'habitants de la Terre. Une règle de trois suggère qu'il faudra faire grimper ce taux à quelque 55 % pour 9 milliards d'humains vers 2050...
EROSION DE LA BIODIVERSITÉ
Mais peut-être en faudra-t-il bien plus. C'est ce que laisse craindre l'étude conduite par Bradley Cardinale (université du Michigan à Ann Arbor, Etats-Unis) et réalisée par dix-sept autres chercheurs internationaux, publiée dans la même édition de Nature. Elle pointe, de son côté, le rôle crucial de la diversité biologique - diversité des espèces et diversité génétique au sein des espèces - dans le fonctionnement des écosystèmes.
"Nous avons passé en revue environ un millier d'études publiées au cours des vingt dernières années, explique Anne Larigauderie, directrice exécutive de l'association scientifique Diversitas et co-auteur de ces travaux. A grands traits, le large consensus auquel nous parvenons est que la perte de biodiversité endommage la stabilité et le fonctionnement des écosystèmes, réduisant ainsi leur capacité à nous fournir des services auxquels nous sommes habitués."
L'érosion de la biodiversité réduira la productivité des pêcheries, de l'agriculture, etc. Et nécessitera d'accroître encore l'empreinte écologique de l'humanité.
A quelques jours de l'ouverture de Rio + 20 sommet mondial consacré au développement durable, la publication de ces deux études largement consensuelles constitue un puissant signal d'alarme.
Gaïa, Civilisations disparues, Vision globale, Environnement
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Souvent pris pour des OVNIs, les nuages lenticulaires sont un type particulier d'altocumulus. Outre leur forme, ils ont la particularité d'être stationnaires au-dessus des sommets montagneux, quelque soit la direction des autres nuages.
En fait il se reforme en permanence du coté du vent ascendant qui remonte la pente de la montagne d'un coté, et il se dissout de l'autre coté, là où le vent redescend de l'autre coté de la montagne. C'est donc un nuage en autopoïèse.
En voici quelques uns particulièrement beaux...
Nuage lenticulaire "en assiette" au-dessus du Mont Fuji...
En empilement d'assiettes au-dessus du Mont Raignier dans l'état de Washington, à l'ouest des Etats-Unis...
Encore au-dessus du Mont Raignier...
En voila un qui ressemble vraiment à un OVNI...
Et quelques autres dans des lieux non identifiés...
En fait il se reforme en permanence du coté du vent ascendant qui remonte la pente de la montagne d'un coté, et il se dissout de l'autre coté, là où le vent redescend de l'autre coté de la montagne. C'est donc un nuage en autopoïèse.
En voici quelques uns particulièrement beaux...
Nuage lenticulaire "en assiette" au-dessus du Mont Fuji...
En empilement d'assiettes au-dessus du Mont Raignier dans l'état de Washington, à l'ouest des Etats-Unis...
Encore au-dessus du Mont Raignier...
En voila un qui ressemble vraiment à un OVNI...
Et quelques autres dans des lieux non identifiés...
Gaïa
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La "noosphère" est un terme inventé par le scientifique russe Vladimir Vernadsky, également inventeur du terme "biosphère".
La noosphère est la sphère de l'ensemble des pensées humaines. ("noos" veut dire "esprit" en grec)
On peut rapprocher cela de la notion de conscience collective, d'inconscient collectif, ou d'idéosphère, qui désigne plus précisément le domaine des idées comme son nom l'indique, alors que la noosphère englobe aussi les émotions et la part d'inconscient.
Pour Vladimir Vernadsky, la lithosphère (ou géosphère), la biosphère, l'atmosphère, la technosphère (les machines crées par l'homme) et la noosphère sont les 5 niveaux successifs d'un organisme global: la Terre.
Vernadsky est l'inspirateur de James Lovelock et de son "hypothèse Gaïa".
L'idée de "noosphère" a été reprise et développée par le scientifique, philosophe et théologien Pierre Teilhard de Chardin pour qui le déploiement de la "noosphère" était la raison d'être de l'homme dans l'Evolution de la vie sur Terre, et plus globalement dans le processus cosmique de la Création.
Grâce aux ordinateurs, il est maintenant possible d'étudier de ce qui se passe dans la noosphère.
C'est ce que fait notamment le "Global Consciousness Project" de l'université de Princeton.
La conscience collective est représentée en temps réel par une couleur qui indique le taux de convergence des pensées humaines. La couleur va du rouge (convergence maximale) eu bleu (convergence minimale) et passant par le vert qui représente la moyenne).
Au début, une pastille de couleur intégrable aux sites et aux blogs montraient la couleur globale de l'humanité en temps réel. Cette pastille a été remplacée par une carte du monde avec différents points de couleur qui correspondent aux capteurs installés dans une vingtaine de pays. Voici l'animation des dernières 24h:
[vidéo supprimée sur le site d'origine]
site officiel du projet
La noosphère est la sphère de l'ensemble des pensées humaines. ("noos" veut dire "esprit" en grec)
On peut rapprocher cela de la notion de conscience collective, d'inconscient collectif, ou d'idéosphère, qui désigne plus précisément le domaine des idées comme son nom l'indique, alors que la noosphère englobe aussi les émotions et la part d'inconscient.
Pour Vladimir Vernadsky, la lithosphère (ou géosphère), la biosphère, l'atmosphère, la technosphère (les machines crées par l'homme) et la noosphère sont les 5 niveaux successifs d'un organisme global: la Terre.
Vernadsky est l'inspirateur de James Lovelock et de son "hypothèse Gaïa".
L'idée de "noosphère" a été reprise et développée par le scientifique, philosophe et théologien Pierre Teilhard de Chardin pour qui le déploiement de la "noosphère" était la raison d'être de l'homme dans l'Evolution de la vie sur Terre, et plus globalement dans le processus cosmique de la Création.
Grâce aux ordinateurs, il est maintenant possible d'étudier de ce qui se passe dans la noosphère.
C'est ce que fait notamment le "Global Consciousness Project" de l'université de Princeton.
La conscience collective est représentée en temps réel par une couleur qui indique le taux de convergence des pensées humaines. La couleur va du rouge (convergence maximale) eu bleu (convergence minimale) et passant par le vert qui représente la moyenne).
Au début, une pastille de couleur intégrable aux sites et aux blogs montraient la couleur globale de l'humanité en temps réel. Cette pastille a été remplacée par une carte du monde avec différents points de couleur qui correspondent aux capteurs installés dans une vingtaine de pays. Voici l'animation des dernières 24h:
[vidéo supprimée sur le site d'origine]
site officiel du projet
Gaïa, Dimensions de la conscience
De récentes études scientifiques montrent que les végétaux sont capables d'éprouver ses sensations et qu'ils ont une mémoire. Ils communiquent entre eux par des signaux chimiques et peuvent se défendre contre des herbivores qui dévorent leurs feuilles. Ils réagissent aussi aux caresses et à la musique, avec en particulier une plante qui est capable de "danser".
C'est ce que montre ce documentaire diffusé par Arte, "L'esprit des plantes"...
Autre chose étonnante: la structure d'un arbre ressemble à celle des neurones qui traitent l'information en échangeant eux aussi des signaux chimiques. Et si une forêt avait une conscience et constituait un "superorganisme" intelligent ? (voir cet article sur le cerveau et les neurones)
C'est ce que montre ce documentaire diffusé par Arte, "L'esprit des plantes"...
Autre chose étonnante: la structure d'un arbre ressemble à celle des neurones qui traitent l'information en échangeant eux aussi des signaux chimiques. Et si une forêt avait une conscience et constituait un "superorganisme" intelligent ? (voir cet article sur le cerveau et les neurones)
Sciences de la vie, Gaïa
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