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| Messages et articles de Sylvain
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| Peut-être une solution serait de faire des stocks d'insuline, reste à savoir combien de temps ça se conserve.
Il faut voir aussi si ça peut être acheté sans ordonnance. Sinon ça nécessite d'aller voir des médecins différents jusqu'à atteindre la quantité voulue.
Il semble que le nombre de cas de diabète est en train d'exploser dans tous les pays industrialisés. Voici ce qu'on peut lire sur wikipedia:
"Le diabète, sans être véritablement classé dans les maladies émergentes, est une maladie chronique et invalidante qui se développe de manière épidémique depuis quelques décennies, et dont la prévalence augmente fortement et rapidement dans tous les pays, surtout avec le mode de vie, l'urbanisation et ses conséquences, laissant supposer qu'outre une composante génétique, cette maladie ait un ou plusieurs facteurs environnementaux.
La maladie s'est d'abord développée dans les pays riches ou dits « développés en rapport avec la sédentarité et l'alimentation », mais de nombreux indices indiquent qu'elle se développe rapidement dans les pays pauvres (la malnutrition, l'ignorance, les infections). (...)
L'Organisation mondiale de la santé évoque une véritable épidémie avec un nombre de cas estimé passé de 30 millions en 1985 à 135 millions en 1995, 10 ans plus tard, et 177 millions en 2000, puis 194 millions en 2003. L'OMS s'attend à un nombre de diabétiques d'environ 300 millions d'ici à 2025."
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Zkalpalito a écrit:
Disons que les pommes ou les tomates, si on ne les mange pas, pourrissent assez rapidement. Fruits et légumes sont des êtres vivants, des végétaux par lesquels se nourrir n'est pas violent.
Manger des fruits ou des graines est entièrement non violent.
Par contre, il y a violence quand on mange la plante elle-même, qu'il s'agisse des feuilles (salades, choux, épinards, herbes aromatiques, etc), de la tige (asperges, poireaux...), des fleurs (choux-fleurs, brocolis...) ou des racines (carottes, pommes de terre...).
Mais comme il faut bien se nourrir aussi d'autre chose que de fruits et de graines, il fat trouver un juste équilibre selon les critères exposés plus haut.
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Zkalpalito a écrit:
Quand t'attrapes un poisson, que tu le sors de l'eau, il se débat, il a l'air flippé aussi... même s'il a une toute petite tête et qu'il n'est pas un mammifère, je ne vois pas comment évaluer son niveau de conscience pour savoir si je peux le bouffer ou pas. Tout ce que je sais, c'est que c'est aussi un animal, et qu'une violence s'exerce aussi contre lui quand on le sort de son milieu naturel pour le bouffer. A mon avis il doit pas être en pleine réjouissance le gazier...
C'est vrai, le poisson souffre aussi. Même une plante souffre aussi à sa façon. Mais nous devons bien nous nourrir. Lle vivant se nourrit du vivant, la vie est un système cannibale. Seules les plantes échappent à cette loi, étant capables de se nourrir directement des minéraux et de la lumière.
Alors où devons-nous placer la limite ?
Un critère scientifique objectif est l'existence d'un cerveau limbique (le cerveau émotionnel). Les mammifères en possèdent un, pas les reptiles ni les poissons qui n'ont qu'un cerveau reptilien, la couche du cerveau qui produit des émotions primaires et une conscience limitée, tandis que la conscience supérieure et les émotions complexes proviennent du cerveau cortical et du cerveau limbique.
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| Ces animaux mutants que la cuisine génétique vous prépare
source: bastamag.net
Des super lapins produisant des médicaments, des cochons "Enviropig" génétiquement modifiés pour moins polluer, des saumons "Frankenfish" qui grandissent deux fois plus vite, des vaches hypermusclées, ou des chèvres dont le lait fabrique de la soie... Des États-Unis à la Chine, les chercheurs s’en donnent à cœur joie pour greffer des gènes et croiser des espèces.
Un croisement génétique entre cochon et souris, avec un gène supplémentaire de la bactérie E.coli. Cela vous ouvre l’appétit? Ce porc transgénique a été créé par des chercheurs de l’université de Guelph au Canada. Baptisé "Enviropig", il rejette 30 à 70 % moins de phosphore dans ses excréments: la modification génétique lui permet de mieux digérer le phosphore du maïs ou du soja dont il se nourrit. Cette modification chromosomique se transmet de manière stable sur huit générations de porcs, affirment les chercheurs. L’élevage à des fins de recherche a déjà été approuvé. Le ministère de la Santé canadien évalue en ce moment l’innocuité d’Enviropig pour autoriser sa vente dans les rayons des supermarchés. Ce porc génétiquement modifié et présenté comme "écolo" pourrait donc arriver un jour dans nos assiettes.
Ce projet a été développé grâce à des fonds gouvernementaux et à un investissement de l’association des producteurs de porcs, Ontario Pork, propriétaire de la marque commerciale Enviropig. (...)
En cas d’autorisation, Enviropig ouvrira la porte à de nombreux autres spécimens d’animaux. Autre projet en attente d’autorisation: AquAdvantage, le saumon transgénique américain. Créé par AquaBounty Technologies, une entreprise de biotechnologies installée au Massachusetts (États-Unis), ce poisson génétiquement modifié est obtenu par l’addition d’un gène d’un autre saumon, et d’un gène d’anguille, agissant sur la croissance. Baptisé par ses détracteurs le "Frankenfish", il a la particularité de grossir deux fois plus vite que son homologue non modifié. (...)
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