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Entre FB Live avec Bernard Werber sur son livre La Boîte de Pandore
source: youtube.com
Bonjour tout le monde et bienvenue à cette entrevue Facebook Live avec l'écrivain, c'est le briquivain français Bernard Werber sur son dernier livre La boîte de Pandore. Et je suis vraiment très heureux de faire cette entrevue avec vous aujourd'hui avec Bernard parce que pour moi c'est vraiment un écrivain que j'apprécie beaucoup, il y a une plume extraordinaire et je l'avais connu plusieurs années avec son livre, bon évidemment les fourmilles, les tannots, un autre qui m'avait vraiment passionné.
Et son dernier livre, ça touche le coeur même de ma profession, les régressions vieillent arrière donc vous pouvez imaginer que c'est vraiment un plaisir pour moi de faire cette entrevue avec lui aujourd'hui. Donc avant de commencer rapidement, juste pour comme d'habitude quelques petits trucs à clarifier avec vous, ben comme vous le savez, je prépare toujours un petit document avant qui contient des liens de référence par rapport à Bernard, certains sites, certains des entrevues qui aient passé, qui aient fait sur le sujet. Donc vous avez juste à écrire le mot lien et vous allez avoir accès à ça et vous pouvez l'écrire dans les commentaires puis je pense que je peux même faire apparaître comme ça ici, voilà comme ça ça devrait apparaître à l'écran. Et évidemment si on a le temps à la fin, je prends tout le temps un petit peu à quelques moments pour prendre des questions donc vous avez des questions, vous pouvez les écrire à la fin quand je vais vous le mentionner. Aussi si vous avez des commentaires pendant, moi après l'entrevue, c'est certain que je n'ai pas le temps de tout voir ce qui passe, mais à la fin je relue tous les commentaires même si il y en a des centaines parce que pour moi c'est passionnant de voir ce que vous en pensez donc si vous avez des commentaires n'hésitez pas. Et évidemment ben si vous voulez que d'autres personnes profitent de cette entrevue-là, ben n'hésitez pas à la partager, liker comme ça un maximum de personnes peuvent bénéficier de cette belle entrevue. Donc sans plus tarder, je vais inviter Bernard à se joindre à nous.
Tch, voilà. Bonjour Bernard, merci beaucoup d'aller aujourd'hui pour cette belle entrevue. Ah ben ça fait plaisir, on avait beaucoup de monde qui avait hâte, on est déjà 152 personnes en direct, c'est vraiment super un début d'entrevue, c'est le fun. Bernard avant de commencer, moi avant d'aborder le thème du livre, j'aimerais ça te poser quelques questions sur la spiritualité de façon générale parce que c'est quand même un thème qui revient assez fréquemment dans tes livres et j'aimerais ça te poser la question, c'est venu quand pour toi dans ta vie, la spiritualité ? Alors, j'ai eu d'une rencontre, il y a un peu d'écho de ma voix, c'est normal.
Ah, on l'interpare, moi je l'interpare. D'une rencontre quand j'avais 13 ans, en colonie de vacances, j'étais ailleurs, et il y a un autre enfant qui avait 13 ans, qui pratiquait du yoga et qui était très calme et qui me semblait complètement bien. Je suis venu, je lui ai demandé c'est quoi son secret, il me dit voilà, je fais du rajya yoga et je lui ai dit bah apprends moi. Et à partir de là, je pensais découvrir du yoga et ce que j'ai découvert c'est une spiritualité, à savoir, il m'a appris à être conscient de ce que je fais, à penser tout le temps à l'énergie de vie qui est en moi, à m'arrêter par moment pour faire le vide, à tenter de maîtriser le battement de mon coeur, il m'a pris à respirer, il m'a appris à marcher, il m'a appris à me lever tôt le matin pour voir le sleigh se lezer, il m'a appris aussi à faire de la décorporation, à sortir de mon corps pour voyager dans l'espace, tout ça en un mois, j'étais son une disciple, je ne comprenais pas que tout le monde ne s'aperçoive pas que ce type était génial.
Après lui il me dit que c'est du yoga, j'ai fait dans les clubs du yoga, il n'est plus du tout ça, il est juste des clubs ou des dazanas ou des postures, il n'y avait pas la puissance de ce qu'on est, il n'y n'avait pas la métuce du coeur. Du coup j'ai continué à chercher cette paradue perdue, cette association perdue de 10 000 manières en étant quand j'ai fait 20 scientifiques que je cherchais tout le temps dans la limite entre le monde connu et irrationnel acceptable. Après j'ai écrit celui notamment à l'État de la Thonoke qui était mon livre qui parlait du lien entre la science et la spiritualité. Ah c'est intéressant et tu m'assoinais contrôler les battements de coeur, tu as réussi à maîtriser les battements de coeur ? J'ai surtout compris que tout était une question de ressenti, il m'a semblé que je le méprisais, maintenant il aurait fallu qu'il y ait une machine qui puisse vérifier ça. Mais une fois, alors comme si on faisait un hélico-cardioprame, j'ai demandé à ce que la personne regarde mes battements et quand j'ai dit, je vais faire une petite petite rituelle pour faire ralentir, la personne m'a dit en effet c'est un ralenti, donc je sens qu'il arrive un peu, mais je ne suis pas capable de les ralentir complètement comme arrive sur un église, il se met pratiquement en état de cette année.
Mais ça reste un de mes objectifs, c'est comme j'arrive à maîtriser ma situation pulmonaire, arriver à maîtriser mes battements cardiaques. Je le sens que ça n'a pas eu un jeu intéressant. Et tu as mentionné aussi qui t'a appris les voyages astraux, tu as eu des expériences de cette éploi ? Alors tant qu'il n'y a pas une machine pour détecter si ça marche, ça marche pas, je dirais si ça ressemble, on était de la côté dans une posture du lotus et lui j'ai bien vu qu'il était plus en son corps parce qu'il y a un moustique qui s'est posé sur sa paupière et qui a planté son dard dans la paupière et il n'a pas freiné. Et là je me suis dit ok, c'est un tas de biandes que j'ai à côté, il n'est plus là-dedans.
Et après il m'a dit d'idée, il m'a semblé que j'arrivais, mais après j'avais pas cru que c'était pas le cas, mais entre trois, que ça s'est passé et que ça se passe vraiment, il y aura toujours une limite floue. Même quand je parle d'hypnose, même quand on parle de visite en l'habitant intérieur, j'ai l'impression que ça marche. Maintenant tant qu'il n'y a pas un détecteur comme un compteur Gégère qui regarde si votre âme et toujours dans votre corps aussi elle est sortie, on est que dans le domaine du ressenti et l'intuition. Et tant mieux. Et parce que toi tu as quand même un côté irrationnel ou scientifique assez développé quand même. Je pense que pour ces choses là, niveau partir du scepticisme que de l'enthousiasme.
Parce qu'une fois qu'on part du côté, on est certain que ça marche, ou on est certain qu'il y a Dieu, ou on est certain qu'il y a des extraterrestres, il n'y a plus rien à couver, il y a juste à confirmer une intuition ou un peu une certitude. Tant mieux si on est dans le doute, il y a un chemin unique. C'est ce qui me fait d'ailleurs un mot spiritualité par rapport à religion. Religion, ça veut dire qu'on est relié à Dieu, donc tout est fini. Une spiritualité, je visualise une spirale qui monte et qui chaque fois essaie de comprendre des choses pour s'élever. La spiritualité me semble une quête sans fin alors que la foi me semble une chose ferme et statique.
Vous allez la fois, vous l'avez partie. Dans de la spiritualité, c'est une quête pour comprendre qui on est, qu'est-ce qu'on peut faire, est-ce qu'on peut explorer des nouvelles zones et ça me semble plus intelligent et plus honnête d'être dans un cheminement plutôt que d'être dans une certitude. Et d'ailleurs tu as eu des expériences spirituelles ou une expérience spirituelle particulièrement significatives ou que tu as réconnecté à plus grand que ce soit d'une certaine façon? Plus grand que soit, non.
L'expérience spirituelle la plus significative que j'ai eue, c'est quand j'ai fait une expérience digneuse régressive dans une des médias intérieurs. J'avais demandé à aller dans la vie où j'ai connu ma plus grande histoire d'amour et c'est avec un monsieur qui s'appelait Philippe Lovon, qui était aussi proble de récits. Et je me suis retrouvé sur une plage à voir un homme qui faisait des ricochets avec un galet, il portait une petite jupette et je savais que cet homme c'était moi, je savais pas où c'était, je savais pas à quelle époque c'était, mais la première impression que j'ai eu en m'approchant de lui en me rappelant que j'ai été cet homme, c'est que ce type était extraordinairement décontracté. Et si il y avait la vraie sensation, c'est pas des lasers, le pouvoir, la délégation, c'est être vraiment con.
Mais il était tellement décontracté que je me suis dit que sur toute sa vie ce garçon n'a pas eu une seule comparité, sa vie n'était que de la joie de sa naissance à cet instant. Et la deuxième information surprenante, c'était son âge 821 ans. Voilà, et ces deux informations me sont arrivées en même temps, ça va pas se faire éclater de rire durant la séance, je me suis dit, tiens j'apprends deux choses en fait complètement cool, beaucoup plus cool que tout ce que j'ai imaginé, et deux en tout fait à vivre 820 ans.
Et après j'ai fait des recherches et je me suis perçu que dans la Bible, Adam a vécu 800 ans, Karin, Abel, enfin, celui qui s'est fait descendre, non, Karin, en se vivant a vécu aussi 800 ans, Noé a vécu 900 ans, je crois, et Mathieu Zalem, 960 ans, donc il s'en va dans la Bible aussi, j'ai l'éloqué le casque que j'ai dit, qu'on vivait longtemps. Bien plus tard, donc la séance a duré une heure et il m'a semblé, parce qu'évidemment il n'y a pas de pancarte et il n'y a pas de calendrier, il m'a semblé que c'était un instantile, le petit primaire m'a appelé ce endroit à même ça. Et l'époque évidemment, vu que le calendrier de l'époque correspond pas au notre, ce n'est pas bon Jésus-Christ, donc je dirais que c'est qu'il y a plusieurs milliers d'années, par la suite j'ai plus ou moins situé ça à 12 millions, mais surtout, cette expérience, c'est la plus forte, parce que je m'y suis aperçu que je pouvais être beaucoup plus décompacté que je ne l'ai fait, et que comme mes objectifs de vie n'étaient pas atteints d'une connaissance ou de réussir ou avoir la gloire, mes objectifs de vie, c'est d'être hyper cool comme l'été ce bonheur. D'ailleurs, je propose ça comme objectif de vie, ceux qui nous écoutent, dites-vous bien que c'est même pas être heureux, c'est être détendu dans un lieu dans lequel on se sent en parfait harmonie, donc il n'y a plus d'ennui, il n'y a plus de top-stache, il n'y a plus de problème, il n'y a plus d'enjeu, il y a juste, on est une structure de vie en connexion avec toutes les autres structures de vie, et c'est très bien et ça suffit, il n'y a même plus du coup, il n'y a plus la peur de la mort, et il n'y a plus l'angoisse, et ça dit, puisque on est toutes les formes de vie, et ça, quand j'ai appris cette note, j'ai senti que lui était comme ça, et je me suis dit, voilà quand je serais de l'un de mes très très sages, je reviendrai comme lui, c'est-à-dire en affront total de peur, et en permanence jouissante de la chance que j'ai d'être venu, c'est tout. Et c'est intéressant, est-ce que tu dirais, parce que pour atteindre justement cet état de relaxation là, de bien-être, il y a certaines compréhensions qui sont en amont de ça, d'une certaine façon, est-ce que tu aurais pu comprendre qu'est-ce qui comprenait, ou comment il percevait le monde, ou c'est à quoi ces croyances qui l'aimentaient justement à vivre comme ça ? Alors justement, il n'y avait pas de croyances.
On est dans une notion qui est aux deux, la croyance, ce que c'est être, est-ce que l'arbre a une croyance dans le soleil, est-ce que la planète a une croyance dans l'univers ? Il y a des entités qui ne sont pas dans la problématique, qu'est-ce qui est la suivante ? C'est une forme de jouissance permanente d'être vivant. C'est ça que j'ai entrevue en présent sur le thème de Nath, plus d'objectifs, plus de possibilités de faire, car je suis déjà dans le présent d'une sorte de miracle qui est le fait que je sois vivant. Et je suis dans la jouissance d'être vivant, et voilà, j'ai à dire ma spiritualité et elle ne s'ressère à aucun Dieu, à aucune croyance, à aucune foi. Elle est juste dans un constat de ici et maintenant, finalement tout est déjà miraculeux. Je sais pas si ça semble pas un peu trop bizarre, que je raconte, mais du coup, un enjeu, je disais, de spiritualité consiste à comprendre ça, mais à fond. J'ai compris un peu, j'ai compris un peu plus devant dans ma vie latente, et peut-être il me fait encore quelques années pour le comprendre complètement à ce moment-là, au moment où je mourrai, je serai complètement sans peur et sans attendre, juste dans cette jouissance d'être vivant.
Mais j'ai crie aussi tout le temps pour me rappeler de ce message, pour le diffuser, et pour appeler les tensions du monde, mes tensions intérieures et les tensions extérieures, et faire régner une forme d'harmonie, une harmonie entre les hommes, une harmonie entre l'homme et l'univers, et une harmonie entre ce monde-ci, le monde du passé, le monde du futur. Ça va ? Arrêtez pas trop à gouverner ? Non, non, c'est bon. Parce que, et pour ceux qui n'ont pas lu le livre, je pense que c'est associé à un des personnages dans le livre et ce personnage-là, et une de ces positions, c'est que rien n'est grave, est-ce que c'est quelque chose que tu aurais ajouté par la suite ou que tu aurais senti dans ce personnage-là, dans ta régression ? Alors, c'est exactement ça, j'ai senti dans ma régression. Parce qu'il s'est créé un dialogue, c'est-à-dire, à un moment, j'ai établi le mois actuel, Bernard Werber dispute avec ce personnage, à l'un de l'extérieur.
C'est-à-dire, j'ai pu entrer dans lui, mais j'ai pu en sortir pour créer une association. Et il s'écrivait un dialogue entre nous, et ça revenait tout le temps dans, quand je disais, les enjeux de ma vie, il nous disait, oui, ben, il n'y a pas de problème, et quand il disait, il y a ça qui ne va pas, il nous dit, non, c'est pas grave. Et au début, je me suis dit, il se fout de ce qui m'arrive, et il a dit non, il a raison. Est-ce que c'est vraiment grave ? Bon, même à la limite, comment dire ? Il faudrait définir qu'est-ce qui est grave. C'est sûr que si je sors, que je me prends un accident de voiture et que je perds à mes jambes, ça va être agaçant.
Et je vais lui dire, c'est grave. Mais il reste à l'apprécier que je n'ai pas encore dans lequel je pourrais arriver à s'emblimer ça. Et sur le moment où j'ai un coup de terre et que je vais mourir bientôt, à un moment, on m'a nancé que j'ai un problème dans le cœur, c'est-à-dire, je suis dans le cœur, que j'ai envie de plus pour qu'elle joue à vivre. Et il faut que j'écrase beaucoup, et je ne peux pas faire des chants avant de mourir. Et à partir de là, je me suis dit, chaque jour qu'il passe, c'est un jour cadeau de gagner. Donc tous les matins de le vent, j'ai une dix chouette, encore une journée de nuit, et bon, ça ne va pas durer éternellement, mais tant que ça dure, j'en profite. Et je crois réellement que rien ne sera. Maintenant, il ne faut pas que ça empêche de faire quoi que ce soit.
Le fait que la planète est en train d'être attaquée par l'activité de l'homme, c'est agaçant, on va dire, et je vais faire tout ce que je sois au niveau pour faire prendre conscience aux gens qu'il vaut mieux renoncer à faire brousse-boum avec sa voiture pour laisser à nos enfants une planète dans laquelle il y a du pétrole et l'air est respirable, et que dans l'eau il y a des poissons. Et c'est intéressant que tu me racontes, parce que Dr Charbonnier, il crée des ateliers de TCH qui ont un objectif similaire, il y a beaucoup de rapports quand il connecte avec une source d'intelligence plus profonde que rien n'est grave. Tu l'as nommé exactement de la façon que je lui le nomme, et c'est intéressant parce que c'est quelque chose que les gens rapportent. Souvent, c'est comme si de ce point de vue-là, ça permet de relativiser plein de choses, donc c'est intéressant que tu en aimes. Un travail qui m'a appris mon ancien moi-même, on va dire l'acclamance au document de la santé, c'est de se manquer de moi-même.
C'est-à-dire qu'il y a une sorte d'attitude qui consiste, chaque fois qu'on commence à se prendre au sérieux, chaque fois qu'on commence à croire qu'on détient une vérité, c'est-à-dire bon, et alors ça ne te confère rien de plus. Une sorte d'auto-dérision permanente qui fait que du coup, quand il arrive un pépin, on ne prend pas de manière dramatique. Les dramatiques, voilà. On a appris les dramatiques. Et dirais-tu qu'aujourd'hui tu as une pratique spirituelle ou quelque chose que tu fais... Bon, tu as appris ces exercices de yoga, mais est-ce qu'il y a quelque chose que tu fais de façon quotidienne ou fréquente ou non ? Alors, déjà, je suis un petit peu successe de ta fréquence, c'est que je fais des interviews avec toi, donc c'est une pratique spirituelle, pratique ici et maintenant, pour faire l'effet qu'une fois, sinon on réveille du que j'ai, en plus, un petit problème carrière, un petit problème, j'ai une maladie qui s'appelle la sonalecite en clasant, qui est que je me suis pensé me suivir entièrement, donc je fais plein de mouvements de déverrouillage, et ces mouvements de déverrouillage, en fait, me rappellent que j'ai un corps et qu'il est articulé de partout et que ce corps est génial.
Donc, il y a une prise de confiance en même temps, on ne va pas laisser la maladie gagner, et qu'il faut à tout prix utiliser ce corps, faire bouger toutes les articulations. La deuxième chose, enfin, la première chose que je sens de le vent, c'est en ouvrant un œil, c'est notre émoral. La deuxième chose, c'est le déverrouillage, la troisième chose, c'est que j'ai fait 3 minutes de méditation, vider, avec les tests de T-70 Break, ça peut être 3 minutes de méditation, et là, je me mets depuis un an, j'arrive à tenir la posture du lotus, et j'arrive à rester immobile avec le dos bien proie, et j'étais s'attraient les matins. Après, juste avant de me coucher, je me rappelle les 3 trucs sympas qui sont touchés à la journée, pour ne pas l'oublier, parce que j'aime du climat qui détruit le bien, ça serait dommage que j'aie l'oublié, donc je revisualise toutes les scènes agréables, et le lendemain matin, je vais aussi noter ces choses-là, et je ne note pas le soir, mais je vais approuver mon petit déjeuner, j'allais le mépris, ça ne serait pas qu'il ne s'en aiguait la peine. Après, ça ne me soit pas arrivé pour rien, il y a cette idée, dans les médias antérieurs, quand j'ai dit que les médias antérieurs, il y a une chose qui ne mémorisait pas ce qui se passait, donc ça soit négatif ou positif, tu es oublié, tout se oublie, et quand tu t'en fies mort, je me l'anciens moi-même, celui que j'avais pas noté, je n'avais pas fait de livre, je n'étais pas exclinin, je n'avais pas de journaux, il s'en va et c'est leurs enfants qui s'appelaient vaguement d'eux, leurs petits-enfants, puis après ils étaient oubliés.
La plupart des livres, les livres précédents, ont été en fait oubliés, on a même oublié que j'étais. Alors que là, dans cette village, j'ai laissé des calbilles dans lesquelles je raconte ma vie, mes rêves, que j'ai laissé des livres, donc j'ai laissé une trace, et quelque part, c'est comme si je regardais ma vie comme un livre, qu'il puisse traverser le temps et ne jamais être oublié. Ça, ma spiritualité, le quotidien, c'est la mémoire, la mémoire de ma vie, et aussi notre notion, c'est le remerciement. Tous les histoires, je remercie d'avoir cette journée, et tous les matins, je me réveille content d'avoir une supplémentaire. Ah, il y a un autre élément aussi, je veux dire, dans ma spiritualité, c'est une notion de gratitude. Regarder tout ce qui m'aide, et me fait du bien, et me dit merci, mais sans permanence. J'essaie de être très attentif à dire merci à ceux qui me font du bien. Je crois que c'est une manière de passer à côté de sa vie, de ne pas s'apercevoir des gens qui nous aiment. C'est-à-dire que l'un-serveur m'a amené une poisson dans un café, je lui dis merci, merci, ça sert.
D'ailleurs, pour moi, toute personne qui m'apporte un petit plus, mérite, je prenne un instant pour que je dérive dans le petit. Ah, bien, c'est intéressant. Mais pas trop si loin. C'est une très belle pratique, et je sais pas si t'es au courant, mais il y a certaines des têtes même au niveau américain qui ont démontré que, justement, de noter ne serait que trois choses pour lesquelles on a de la gratitude, pour lesquelles on était rues à chaque jour, augmentait le niveau de bonheur des gens. Il y a des recherches la petite qui ont été faites, et je trouve ça intéressant. Il y a mon... Dans l'histoire de Louch, lui, il fait trois choses, pour l'idée de lui faire un jour, il y a trois choses négatives. Et donc, il rappelle des trois moments agréables et des trois moments désagréables. Et je me suis toujours demandé à ce que je devais pas ajouter les trois moments désagréables. Je le fais pas parce que j'ai envie de me coucher avec un sourire et des parents qui rend la gueule. Et c'est peut-être une erreur parce que, du coup, il m'arrive de dire bonjour à mes ennemis, parce que je me rappelle plus qu'ils m'ont fait une crache.
C'est le surprendre d'ailleurs beaucoup. Et ce sont les moments agréables, je me suis dit que ce ne sont pas les moments désagréables. Et ma vie est qu'on peut être avec les deux. Si j'étais honnête, il faudrait que je me note les deux.
Mais on disait que les gens qui font ça, ils étaient plus longtemps. Non, il y avait un niveau de bonheur plus élevé, et juste une petite parenthèse, il y a aussi Bruney Brown, qui avait une chercheur américaine qui a étudié justement le bonheur chez les gens. Et elle a dit qu'elle n'a pas rencontré une personne qui apportait à avoir un haut niveau de bonheur, qui ne pratiquait pas la gratitude de façon quotidienne. Et c'est pour ça qu'elle s'est jurée de ne plus jamais parler de bonheur, sans parler de gratitude ensemble, parce que pour elle, ça va ensemble. Donc je trouve ça intéressant de que tu m'en souviens.
Ben on en a ri. Tu crois qu'actuellement, il n'y a jamais eu autant de gens qui me confient. C'est-à-dire que, plus facilement parce qu'on peut manger tous les jours, plus facilement, parce qu'on n'est pas en vieille. Donc on a dépassé des besoins finaires. On peut développer des besoins intellectuels, spirituels, notamment dans les pays développés à sauvage américain du Nord et Europe. Et donc du coup, il n'y a jamais eu autant de communication sur la méditation, sur les outils d'exploration de la conscience. Et en même temps que le monde va mal, le monde n'a jamais été aussi bien. Et c'est bien avec ton initiative, c'est que tu es en train de rebondir, qui dégende bien pour qu'ils communiquent ensemble, ceux que tu sais aussi de faire dans la vie. C'est-à-dire que ceux qui sont déjà d'accord avec moi, puissent avoir son son pas seul et qu'ils puissent se voir. Donc là, je vois, il y a un compteur, je pense, il y a le nombre de gens qui nous écoutent. Je crois pas qu'on peut transformer quelqu'un qui ne s'intéresse pas à ça. On peut le dire tout d'un coup, « Tiens, voyage astral, méditation, réincarnation, s'ils n'y croient pas, ils n'y croient pas, faut pas essayer de leur vendre de trucs.
» Par contre, ceux qui sont déjà un tout petit peu intéressés, c'est là qu'on peut leur dire, regardez, ce n'est pas magique, ce n'est pas, on doit être gourou, on va faire une religion, on doit être payé, il suffit juste de fermer les yeux et de sentir, de sourire et de visualiser. Oui, et il y a quelque chose que t'avais mentionné dans une autre entrevue qui est un pont de titre qui te mentionne là, c'est aujourd'hui de notre vie présente, c'est probablement une des vies que l'on a eu plus de facilité, c'est à dire de l'eau courante, des choses un peu, d'électro-stupe, je pense que c'est du sort qu'on réalise pas. C'est d'autres choses que tu penses qu'ils sont là dans notre vie, qu'on prend pour acquis, mais que par le passé, c'était beaucoup plus difficile. Ah oui, alors là, mais en fait, si on nous vu dans la vie antérieure, parce que la plupart étaient extrêmement inconfortables. Il y a une scène que j'ai revécue dans l'une de mes vie au Moyen-Âge, où je me rappelle quand j'arrivais au marché, le marché était l'endroit où je passais et tout, il n'y a pas de cinéma, il n'y a pas de télévision, donc aller au marché, c'était acquis, il y avait des petits théâtres, et il y avait un endroit où il y avait une sorte d'estrade, où les gens se faisaient soigner, ils se soignaient en fait, ils se soignaient par le barbier, parce que le barbier avait des rasoies, donc ils se découpaient des endroits où il y avait des problèmes, et ils se soignaient par le charpentier, parce que le charpentier, celui qui avait des cils.
Et la médecine à l'époque se faisait essentiellement par un endroit qui est malade, on coupe. Et donc il y avait beaucoup de gens qui étaient en cul de jate, on ne voit pas beaucoup de cul de jate, ni à Montréal, ni à Paris, il y avait beaucoup de mendians partout, et beaucoup de gens qui, quand on le met, ils se sont fait opérer, quand même, il n'y avait pas d'anesthésie, donc lui, il souffrait énormément, et pourtant il n'y avait que des gens qui sont sur l'escalier pour se faire opérer. De nos jours, si on proposait donner au marché de vous faire opérer avec le barbier ou avec le charpentier, c'est pour ça que les gens se fêraient moins pour plutôt que de faire ça.
Oui, c'est clair. Et puis il y avait aussi, autre chose, les dents, c'est d'en tout m'ont tué, parce qu'ils ne l'avaient pas, mais aussi très peu, pas ça un certain âge, très peu avait encore leurs dents, et les vigènes étaient abominables. Par exemple, des rigoles, il n'y avait pas tout à l'aéros, donc tout se passait dans les rigoles, les rigoles, en fait, il y avait les excréments, les ordures, et des cochons qui mangeaient ça. Donc ça, c'était, quand j'ai visé cette vie, c'était un ormande vie, mais je pense que c'était partout dans toute Europe, même en Amérique, ça devait être, non pas en Amérique, mais dans la plupart des pays où il y avait des vies, là, que grandes, il y avait du cerit d'oeil dans lequel il y avait des ordures, et c'était quand même des mines de rats, des mines de insectes, on vit dans un monde plus propre, plus agréable, et plus... qui formait déjà la pression, enfin. Et notre expérience de vie est beaucoup plus longue. À l'époque, on faisait ça longtemps, mais non, on faisait ça depuis 100 ans, ça veut dire qu'on a 50 ans, mais le double de temps de jeu est dans la matière. C'est quand même pression. Ah oui, c'est... Je m'étais mis à réfléchir, je me suis dit, mais on est chanceux, on veut prendre une douche chaude, c'est maintenant, on veut parler à quelqu'un au bout du monde, c'est maintenant, c'est incroyable le niveau de confort qu'on a, mais qu'on ne se rend pas compte.
Donc je suis content de dire ça, parce que ça m'a fait, justement, avoir de la gratitude pour ces choses-là que je prenais pour acquis, en fait. Et puis le fait que les gens voyagaient peu, et ils voyagaient peu parce que les rouges étaient dangereuses, c'est que ils avaient... ils gardaient des papiers du lieu et on essais d'un village dans une ville, on était chauvin de ce village, cette ville, et on savait que dès qu'on sort de son village, on était un peu en danger. Donc les gens, finalement, en vivant dans des mondes étriqués, sans aucun horizon. En Occident, ça n'était pas ce qui passait en orio. Alors que maintenant, quand il y a ce bouchement, on le sait. Et la vision était unique sur un seul système. Moi, je me rappelle, quand j'étais en cours de Shido, un prof, une fois, m'a dit, ben, à l'heure d'air, il nous parlait de la philosophie orientale. J'ai dit, donc là, je devais avoir quand même 15 ans.
J'ai dit, parce que la philosophie orientale, nous sommes d'avoir une chose supplémentaire à la philosophie orientale, c'est de l'écu. Qu'on reste immobile dans une posture en un long moment, et on ressemble ça dans son corps. Et je n'ai vu ça nulle part, ni chez Platon, ni chez Socrat, ni chez Pimosa, ni chez Nietzsche. C'est des bisquots, mais ce n'est pas de l'écu. Et le grand Tilo m'a dit, on a tous mis froid en Occident, on n'a pas besoin d'aller voir en Orient.
Je vous prie dans vos copies de ne plus faire aucune référence aux philosophies orientales. Je n'ai qu'à l'esprit éprité. J'ai continué à faire ça.
Moi, j'ai exploré le tel, j'ai exploré la méditation dans son honte, j'ai sauvé le yoga, j'ai exploré l'étaïisme. Pour moi, toutes ces choses-là sont des complémentaires de la philosophie occidentale. ne s'intéresser qu'à la philosophie occidentale, c'est quand même que je peux chercher avec la moitié du cerveau. Je crois que les deux d'hémispheres du monde correspondent aux deux d'hémispheres du cerveau, il faut à tout prix créer une connexion sur les deux. Comme il faut connecter le monde de la science et le monde de la spiritualité.
Vive que dans la science, c'est limité, et d'ici que la spiritualité, c'est limité aussi. Il faut créer un pont entre les deux. Ce que j'ai fait pour vous. Oui, oui. Et j'ai posé une question que j'ai posée au temps, c'était Phanalyx, Dr. Chavonnier. A quel pourcentage dirais-tu que tu crois qu'il y a vraiment une vie à travers la mort? Ha ha ha!
Ha ha ha! Et bon là actuellement, j'ai été le lit de la boîte de pondors, je me suis encore plus convaincu qu'il y avait une vie après la mort, mais ça fut le plus... En fait, je crois qu'il y a du magique qu'il m'arrive des choses agréables. C'est-à-dire qu'il m'arrive des bonnes nouvelles considérées, que ça a été décidé ailleurs, ou que ça a été... ça participe à un système invisible que je n'ai pas encore compris. Et quand il m'arrive des choses péniles, c'est-à-dire que c'est ma pote et que j'ai dû penser quelque part. Donc je suis à deux vitesses, et d'un jour à l'autre, je suis plus ou moins hiver adorationnel.
Mais la boîte de pondors m'a vraiment... C'est marrant comme le lit qui a convaincu les autres m'a convaincu moi-même. Mais en tout cas que cette vie n'arrivait pas par hasard, il y a quelque chose, et c'est peut-être mes anciens mois qui a souhaité qu'un jour, enfin souhaiter un jour, je m'incarne dans une faute de type écrivain pour mes vaches de spiritualité et la science, qui en plus, a un accès à une communication large afin de diffuser des idées. Je me vois que mon vulgarisateur de sciences et un vulgarisateur de spiritualité. Je n'ai rien inventé, je ne fais que diffuser des choses qui existent déjà qui sont peut-être peu collées.
Et dans la boîte de pondors, je viens à un moment que notre nom est déjà une première information sur notre mission. Et moi, vu que je m'appelle Berber, je me considère que ma mission est de reverberer à savoir de rêver et de reverberer à savoir diffuser la lumière. Je ne suis pas la lumière, mais je suis là pour diffuser et faire que il y ait le maximum de gens qui accès à cette forme d'ouverture d'esprit. A mon sens, tu fais vraiment très bien ton travail à ce niveau-là, vraiment. Tu peux toujours être délice de te lire et ça ouvre des portes et c'est vraiment merveilleux. Je pense que c'est ta mission d'une part. Mais là, je comprends bien ce terme.
J'ai l'impression que je suis dans la mission de vie, mais j'ai l'impression que tout le monde a une mission de vie et dans mes conférences, je leur dis, trouver la vôtre. Trouver votre chemin. Quand on trouve son chemin, il y a plein de petites lignères c'est clair qui me disent, oui, c'est ça le grand chemin. Et si vous ne le savez pas sur votre chemin, il y a plein de petites lignes qui vous disent, attends, attends, attends, je termine tout le temps.
Et ce qui nous semble des catastrophes ou des agressions, c'est souvent l'univers qui cherche, je pense que c'est le principe, que l'univers qui cherche à vous faire dévier parce que c'est l'esprit de l'ensemble. Pour moi, être heureux, c'est la toute place. On peut être sur la bonne route. Et être malheureux, c'est quand on fait plaisir aux autres, on a pris une route qui n'est pas vraiment la nôtre.
Ça sert pas de faire plaisir à nos parents, faire plaisir à nos enfants, parfois, faire plaisir à notre patron, faire plaisir à nos professeurs d'école qui nous ont sécroit que le bonheur était dans le fait d'avoir un bureau, d'avoir un salaire élu, d'avoir des employés, d'avoir de l'argent, d'avoir des vacances. Je crois que je dis que nous disons anciennes qui n'y arrêtent d'être dévotés. Le monde de nos parents et le monde scolaire ne sent que des syndicatifs. La fait réponse sur le centre de notre vie est que nous, qu'il a d'être non. Et après il peut y avoir des gens qui nous aident à vous appeler sur le work que vous, qu'il a déconnus.
Et c'est mon rôle de montrer des personnages comme ça, pour l'experience à un moment de faire la vie pour les autres et si tu es un peu de comprenu que tu as un trajectoire unique et particulier et que cette trajectoire unique et particulier est la seule qui va les rendre osées. Et pour avancer justement le livre un petit peu plus directement maintenant, pour ceux qui ne l'ont pas encore lu, comment tu pourrais décrire l'idée générale ? Bon ça, on parlait des punch mais pour donner une idée aux gens de ce livre, comment tu le décrirais ? La boîte de Pondor, l'histoire d'un professeur d'histoire de l'histoire qui un jour se retrouve dans un spectacle du final et il monte sur scène, il est démonné, il est volontaire et là il ne prend pas quoi de cloche, il va se retrouver à faire l'expérience, il va être prolevé dans une de ses lieux antérieurs et tout d'un coup ça va lui donner accès à l'information, bon sang, on a une machine à remonter le temps dans notre cerveau, on n'a pas besoin d'avoir un mécanique n'importe quelle attirail et il suffit de fermer les yeux, de visualiser un escaquer qui détend dans l'inconscience, ensuite d'ouvrir cette porte et de tomber sans ploir avec ses portes de toutes les lieux antérieurs et quand on ouvre une porte on peut découvrir ou pas une de ses lieux passés, c'est l'expérience qui va faire et là il va s'adresse de voir qu'une de ses lieux passés fait qu'elle est une mission dans le présent, donc il va y avoir une connexion pour sa vie passée et sa vie présente, en écrivant le livre, j'ai pas piqué moi-même ça et ça nourrit les intrigues pères, certains intrigues ont été trouvées en une classe régressive et c'est un livre vraiment fait pour être un thérapie, normalement quand on agira le livre on dira bon est-ce que ça peut marcher et justement je donne le lit érituel que je propose au final, il peut être une perfection à l'extérieur et je laisse quelques pages pour que les gens de notre vie ontérienne.
Et tu dirais que personnellement ça te fait combien d'expérience de régression comme ça? De vie antérieure d'angéosus vient, c'est des fois je reviens dans les vies que j'ai déjà dévité, vous devez en avoir six, la plus ancienne c'est ma vie d'Atlant, donc je situe à 12000 avant Jésus-Christ et la quantité de situations entre Mexique et l'Europe. L'autre c'est femme de harem, c'est pas mon livre, femme de harem un profan avant Jésus-Christ en l'Egypte, c'est un harem de tant de personnes et là il nous dit, j'ai beaucoup l'intérêt de s'interrompre à l'astronomie parce que je m'ennuie énormément dans le harem, il y a une nuit où j'étais soldat anglais en 1200, dans la guerre de St-Pont, j'ai d'archer et j'ai pu visiter le monde médiéval et découvrir à quel point il était sale et violent. Et c'est une nuit où il ressemble beaucoup à un terme de temps et de spectacles, c'est-à-dire soldat arché dans l'armée anglaise, c'est un peu comme figure en cinéma, on est payé par face avec une solde dans chaque bataille, et après il faut trouver des castings où on est engagé. Je me rappelle une information amusante, c'est que des fois j'apprenais qu'il avait une bière quelque part, j'y allais en courant, au moins j'arrivais, la bière était déjà finie. Je me rappelle une solde qui arrive après la bataille, et je me rappelle une vie où j'ai été herboryf, apothiqueur, fabriquant de postins avec des herbes dans les andes, peut-être au Pérou ou au Chili, dans les montagnes, et le décor était de type américain du sud. J'étais un village de 800 personnes, j'étais formé par un maître et il m'a appris les plantes, il m'a appris les arbres, les réveillines, et il m'a dit qu'il faut un disciple avant de mourir, et en fait il n'est jamais trop édifici, c'est-à-dire que lui est mort, c'était le seul à savoir utiliser les plantes, et quand moi je suis mort, mon grand regret, c'est que j'ai prouvé personne qui était intéressé de connaître les plantes, parce que tout ça a l'impression que ça servait à rien, c'est juste du confort, et j'étais très dissué, je sais depuis peut-être que j'ai le présent de 30 mètres de connaissance que je reçois. C'est intéressant justement parce que j'ai justement posé la question, est-ce que tu as fait des liens justement avec certains de ces vies passées là et l'influence avec ta vie présente? Ah oui, alors donc il y a cette vie où j'étais très puissé par le sens de ça voir, et il y a une autre vie aussi, j'ai oublié, c'est une vie de samouraï, je suis curé vers 1600, et tu nous dis que je n'ai fait qu'obéir à mon amio, c'est-à-dire le seigneur, et à la fin de cette vie je me suis en fait, il faut aucun choix personnel, et là j'ai développé un stade qui ne supporte aucun chef, qui ne supporte aucune hiérarchie, depuis que je suis petit, je ne supporte pas que qui que ce soit, et me dise que j'ai à faire, il me dise que moi je n'ai qu'à la vérité, c'est comment je dis, ne réfléchis pas.
Ça c'est pour moi, c'est un support. Donc ma vie d'herborisme m'a donné envie de transmerce mes connaissances, ma vie de samouraï, m'a donné envie de ne respecter aucune hiérarchie, ma vie de femme, ma vie de femme de harem m'a donné envie de m'intéresser à son économie, et ma vie de soldat m'a donné envie de lire et d'écrire, parce que quand je suis mort en tant que soldat anglais, je me suis dit bon sang, il y a plein de trucs que j'ai reçu, il manquait vraiment, c'était lire et écrire, et je peux vous dire, parce que là on ne fait pas ça plus, on se fait lire et écrire, et quand vous n'avez pas lire et que vous, quand vous arrivez dans le contenu, il faut que vous utilisez la pancarte pour savoir si c'est la bonne vie. Ensuite, il y avait des pancarts, c'était, il m'a inscrit les guerres ou les batailles où on refruitait, il faut que je trouve quelqu'un, donc c'est tout en anglais, ce qu'il faut aimer, de lire. Vous voyez, et je peux vous dire, c'est très, très éteint. Je lis et j'écris, parce que oui, il n'y a pas que du gène, il y a aussi le fait d'être un cul.
Et quand j'étais soldat anglais, par exemple, ça n'a même pas mon âge, je ne savais pas l'heure qui l'était, on n'avait pas de monde. L'heure, on l'avait avec les clans d'incendée, les cloches du village. Donc, c'était très imprécis à ne pas donner rendez-vous à l'historique, c'était rendez-vous quand le soleil se lève. Et il m'a dit la tente, cette fascination que j'ai faite pour Yogi de la présence, et ça m'a rappelé, il m'a dit le temps.
Et c'est bien être là, ou cet état de relaxation de la vie à temps, le fait de l'avoir revécu a-tu le sentiment que ça s'est transposé un peu dans ta vie, ou que ça t'a inspiré d'une certaine façon? Ah oui. Déjà, quand j'ai vu ma vie d'attente, j'ai su que vous pouvez être au mieux ma vie actuelle. Vous savez, en gros, quand on a ma frage, on se dit que c'est une sorte de vision idéale de comment on pourrait être vers les derniers jours de sa vie. Et moi, ma vision idéale de ce que comment je peux être dans les derniers jours de ma vie, ça fait souriant, détendu, dans le total de la chéprise, et avec le sentiment que j'ai fait des choses qui vont continuer à vivre après l'endroit.
Et ça me suffit, comme un de l'une fortune, une une de château, juste le sentiment que j'ai continué à diffuser à travers les livres, même si j'ai eu de l'ivent pour commenter en paroles. Comme je le vois, je le vois en un lituil encore après sa mort. Et Albu Seule, Philippe Kabyk, Isaac Alimov, Frank Herbert sont des gens qui sont morts et leurs pensées continuent de vivre.
Voilà, il y avait dans cet objectif d'une pensée immortelle, qu'ils ne soient pas forcément liés à l'épreur organique, le chien avec deux penses, qui lui n'est forcément SNS. Et il y a Florence qui écoute, qui a posé la question que j'ai vu passer. Elle a dit, et le mode d'emploi de comment tu fais, bon, t'as mentionné que tu visualises descendre des marches, mais est-ce que tu as un petit rituel avant, comment tu procèdes exactement, si tu m'en parles? Ah oui, en général, je t'ai négé. Mais régression, quand je fais les uns en demi, en général, tu as 24, en 2h24, je te rennueule, je te reçois un en demi. Donc, il y a une récertité, ça fait partie du rituel, je me laisse, je reviens, et là je me dis, ok, je vais pas arriver à me rendre dormir, et si je faisais une régression. Alors, il y a un petit coussin spécial d'hidétation qui est suffisamment dur et suffisamment mou pour que ce soit s'enfortable. Je me mets, je fais le lotus, et puis là, je visualise l'escalier.
Je vais de plus en plus vite maintenant, l'escalier, la porte, je vois la porte, le couloir, j'aimais mon souhait, genre une vie où j'ai un peu de trucs, une vie où j'ai une histoire, d'amour où j'ai beaucoup d'amis, une vie où je fais quelque chose positive. Jamais une vie chromatisante, je n'utilise pas l'hypnotre agressif pour les nettoyer, les scories du passé, ça ne m'intéresse pas. J'utilise l'hypnotre agressif pour faire des tourines dans les vies sympas et découvrir d'autre monde. Et après, une fois que c'est fini, en fait, c'est selon ce que je vais découvrir, je reste ou je ne reste pas. Mais si c'est vraiment bien, bon, j'ai déjà vu. Et puis sinon, je vais redialoguer mon accent.
Et une autre chose qu'on ne perçoit pas quand je parle de l'accent, il rit beaucoup. C'est-à-dire qu'en parlant tous les deux, ils ont dit trois mots, puis ils déclament de rire, mais ils rient d'une manière, tout ce qui m'arrive, quand je raconte ma vie, notamment, tout ce qui m'arrive, ils trouvent ça extrêmement drôle. Un jour, je lui ai dit, mais en fait, tu as été ce que je rêve de devenir. Il m'a dit que tu te trompes. C'est toi qui es ce que je rêve de devenir. J'ai expliqué pourquoi. Quand moi, j'ai une idée, j'ai une pensée, au mieux, je peux la diffuser sur une centaine de personnes. Quand toi, tu as une idée où tu penses, tu peux la diffuser sur des millions de personnes.
Ça, l'imprimerie, les vies, c'est le truc qui nous manque le plus. La cause de ça, même si j'ai une pensée, une idée, dès le moment où je vais mourir, ça va être perdu, même si j'ai vu longtemps. Alors que toi, ça peut survivre au siècle et au siècle. Et ça, je rêverai d'avoir ça.
C'est vrai, hein. Moi, quand j'ai inventé ça avec mon inconscient, je trouve ça rigolo. Il y a quand même cette possibilité que tout ça, tu as issu de mon imagination, mais ça ne change rien. En fait, je m'en fous.
C'est important si l'histoire apparaît, c'est qu'elle aie beaucoup de détails. Après, je n'aurais jamais eu la preuve que je n'aurais pas eu le délire. Et j'arrive à avoir ça sans aucune preuve. Et justement, ça touche un petit peu la prochaine question que j'avais pour toi.
Est-ce que ça t'est déjà arrivé d'accéder à des informations que tu ne savais pas et que tu n'as pu vérifier d'un point de vue historique ou quelque chose d'une certaine façon ou non? Alors, sur, par exemple, sur le Moyen Âge, ce que j'ai vu, je suis allé le vérifier et tout allait, tout allait bien par rapport à tout ce que je voulais dire. Mais c'est quand j'étais des régressions, parce que là, maintenant, je suis dans un petit spectacle, il m'arrive de faire des régressions en propos de gens. Et j'avais été un grand petit groupe de 24 seuls. Il y avait une jeune souce qui était venue et qui était étendue. Et elle avait visualisé qu'elle était un peintre de bouche grise en train de faire un tableau noir et blanc, en prenant un oeil avec des cornes. Et ce tableau devait être l'œuvre de Sadie.
Et à un moment, j'ai posé là, évidemment, la question « Comment vous appelez? » Elle m'a dit, elle m'appelle George. Et elle a dit J-O, très massur le O-R-G-E. Et vu qu'elle était venue en 1994, il y avait deux gens autour qui ont cherché un homme qui s'appelle George qui soit mort avant 1984. Et il y avait un peintre suisse dans le suisse allemand, qui s'appelle George Schuttef, qui est mort en 1992, donc deux ans avant sa naissance, et qui peignait que les tableaux en noir et blanc représentant des lieux avec des cornes. Et donc, elle l'avait écrit, elle avait dit qu'il y avait une barbe et des vignettes, une barbe rousse. Et donc, on a pu retrouver la photo du bonhomme et tous les tableaux. Ça ne s'appelle pas coller du tout. Et là, maintenant, elle sait qu'elle était reconnectée sur ce personnage et là, elle a dit qu'il y avait une pièce de théâtre pour raconter comment cette régression, elle a mis un contact avec Alex, elle ne s'appelle pas. Et donc, elle décroche sa vie, elle décroche son oeuvre et elle se met à peindre des lieux avec des cornes et c'est assez spectaculaire. Et là, il y a un nom, il y a un lieu, il y a une époque qui est tout coincide.
Oui, oui, oui. Et c'est assez fascinant parce que moi aussi avec certains clients, c'est arrivé qu'il y a un accès à des informations qui vérifient et c'est... compte tenu de tout ça, bon, j'ai reformé de mes questions pour que tu poses au paravent, mais différemment, à combien de pourcentage, direct, tu crois vraiment que ça existe des lieux antérieurs? La question n'a pas de sens. La question n'a pas de sens. Parce que le pourcentage, c'est une notion scientifique. La vie intérieure est une notion non scientifique. Donc c'est que tu veux mesurer de manière scientifique quelque chose de non scientifique. Et c'est vrai que je t'ai dit d'un premier fois, ça fluctue, peut-être que tu en as vu selon ma distatitude, mais je pense aussi que quelqu'un dit 45% ou 32%, ou 63%, ça n'a pas vraiment le sens.
Je crois que pour chaque personne, c'est différent, mais une même personne, ça fluctue. Et vu qu'en plus, au moment où la personne va dire ça, il aura forcément une volonté de convaincre les autres que c'est vrai ou que c'est faux, donc c'est influencé par ça, j'ai envie de dire, je préfère laisser aux gens un choix qui ne m'excuse plus. La seule chose que je dis, c'est que je le pratique, ça m'amuse et je conseille aux gens d'aller voir, d'avoir la curiosité d'aller voir et de pas faire n'importe quoi. Aussi, il y a des gens aussi qui abusent, qui prennent du pouvoir sur les autres. Je me rappelle, tu fais une conférence à Vienne et il y a une dame qui m'a dit un hypnoplasme, un régressif, m'a fait revenir dans une vie chromatisante, et qui est tellement chromatisé, qui m'a dit pour enlever ce chromatisme, il tombe revenue et la personne, donc il a fait une sorte de drogue et chaque fois, il a remetté dans cette vie d'approche et en me disant, vous voyez comme ça, si on est la prochaine fois, on va nettoyer.
Et en fait, elle est allée de plus en plus mal à la fin de la personne, dépression. Donc c'est un outil neutre, c'est si je peux donner un conseil aux gens qui m'écoutent et qui ont envie de faire ça, n'aller que vers des vies agréables. N'aller pas végeter la vie où vous êtes moitié, où vous avez terminé mort à la guerre. Des vies chromatisantes et n'a suffisamment dans le réel, qu'on n'aille pas rajouter en plus de celle du passé.
Et moi je sais que dans mes propres produits, je ne vais pas voir la mort, c'est-à-dire que je m'arrête au dernier moment agréable en fin d'existence du film. Je n'ai pas envie d'aller voir le moment où je meurs dans le temps d'un termin de ma vie, où je meurs en train de me noyer. Mais par contre, tu m'as parlé d'aller voir l'entre-deux-dix et ça, ça me suffit énormément. Mon prochain enjeu, et je crois que tu es la bonne personne, c'est arrivé dans ma vie, c'est interloiriste. Dans mes vies, maintenant, c'est parce que c'est ma prochaine étape. Et cette prochaine étape, c'est sauter le petit passage de la mort, va considérer bon, je suis mort, maintenant, et qui arrive après. Et l'après, qui est tenté des clients étant à la tenote, ou ce que j'ai pensé raconter depuis l'autre-là, c'est encore pour moi un mystère.
Et je n'ai pas pensé utiliser l'outil hypnose régressif pour aller voir l'entre-deux-dix et je compte bien de faire avec toi. Ça me fait plaisir d'être accompagné, je pense, que ça va être très intéressant de faire ça ensemble. Le temps passe déjà, ça fait déjà 50 minutes. On va donner un petit peu de temps. Si vous avez des questions, ceux qui putain en ce moment, j'en ai vu passer une tantôt que Nicole Ries, qui posait la question, bon je ne la retrouve pas, mais la question, c'est quoi pour toi, le bonheur Bernard ? C'est un bonheur qui, je suis assez heureux parce que je jetez le métier qui me plaît. Et le fait de pouvoir coucher des gens, c'est-à-dire que si j'étais écrivant et que je n'avais pas de public, il me manquerait quelque chose.
Le fait de pouvoir diffuser, le fait de pouvoir... Je crois que le bonheur que l'on abeille, c'est le personnel, le bonheur pour l'écrivain, c'est de faire des livres, et qu'il soit lui. À la limite, il manquerait mais dans ma vie, c'est de voir mon travail en image au cinéma. Mais j'ai déjà eu beaucoup, je ne peux pas réclamer ça. Mais je pense en plus que ça arrivera plutôt après ma mort.
Parce que l'actuellement, pour ça, c'est pas encore en phase avec le monde du cinéma et le monde de la télé. Mais tel ciel m'a dit beaucoup mieux. En tout cas, que ce que j'avais réglé quand j'étais jeune, donc moi j'ai apprécié ça en fait maintenant. Je suis relativement heureux. Et il y a ici Claudia qui dit, oh, c'est bizarre, j'ai l'impression que nous n'aurons pas le choix en vie agréable ou pas à visiter lors d'une régression, j'en suis en campagne.
Je me mentionne parce que en fait, c'est vrai que je pense que par soi-même, c'est mieux de ne pas aborder ces villes-là. Mais quand on travaille, parce que, bon, moi, je vais toujours demander à l'inconsert de donner une vie passée, que beaucoup d'influence sur la vie présente, et qu'il serait pour le bien-être global la personne de réaccéder. Et je pense que quand on est avec un thérapeute, que s'il y a une personne qui se noire, parce que peut-être une peur de l'eau qui vient d'un moment où la personne s'est noyée et que de réaccéder, mais de s'assurer d'être bien accompagné pour faire ce travail-là de libération. Mais je suis d'accord avec Bernard que si vous faites un travail par vous même de ne pas aller dans ces endroits-là, parce que c'est justement des ondes un petit peu plus fraigées. C'est pour ça que d'ailleurs, je ne suis pas thérapeute et je crois que je serai très embêté si je suis en régression à quelqu'un et que la personne tout d'un coup me raconte qu'elle est en train de vivre en cauchemar. Je ne me culpabiliserai énormément d'avoir amené là-bas.
Même si je me dis qu'il faut qu'elle aille au bout de ce cauchemar, qu'on comprend pourquoi non ça dit, elle a des phobies. C'est un autre métier. Moi mon métier, c'est plutôt que vous avez fait comprendre aux gens qu'ils ont peut-être probablement à je ne sais combien de % eu autre chose avant et que cette vie n'ait qu'un épisode d'un long feuilleton. Voilà, c'est comme si on passait du format du film avec un début, un feuilleton avec plusieurs épisodes, plusieurs saisons probablement. C'est juste une perspective.
J'ai envie d'offrir aux gens la notion de c'est une vie parmi tant d'autres. Donc ce n'est pas si grave que ça même si vous la ratez. Si vous la réussissez, c'est encore mieux parce qu'il allait monter la barre pour la prochaine vie.
Mais sinon, à la limite, vous pouvez avoir une vie, vous avez compris, comme le bac. Vous avez échoué, vous le repassez. C'est par la fin du monde, ce que vous réussissez. Et on est là pour apprendre. Voilà, je crois qu'une notion qui est importante, c'est une vie ratée, une vie, vous n'avez rien appris.
Vous pouvez avoir une gloire richesse, reconnaissance et honneur et tout, je vous voulais. Si vous n'avez pas progressé, c'est une vie un peu pour rien, une vie de confort. Tu imagines qu'après des vigueuruses, on a envie d'une vie de repos. Donc tu peux y avoir des vies où on fait juste profiter et mourir et attend la suivante personne.
Et il n'y a personne qui a proposé une question sur ton prochain livre. Est-ce que tu veux nous glisser quelques mots à ce que j'ai là ? Oui, alors c'est pas simple, c'est la suite de demain les chats. Tout simplement parce que je m'amuse énormément dans ma vie de chat. Chaque fois que je me le dis, c'est le bas de la tête, comme la déesse égyptienne, la corps de femme et la tête de chat. J'ai énormément de plaisir à me mettre dans cette peau de chat et à parler de l'humanité juste par en chat. Ça me permet de balancer beaucoup de choses par le moment un peu dure sous notre monde, plus on ne devrait pas dire en tant que simple humain. Comme par exemple cette violence dont les hommes nous lisant entre les autres est une violence non naturelle et qu'une espèce peut faire de la violence, mais c'est normalement pour se nourrir, pour se défendre.
Mais le faire au nom de la religion ou le faire au nom de la nation sont des notions hylogiques, en tout cas pour un chat. Donc pour moi. Et on a une question aussi de Samuel Collin. Une bonne question que j'avais notée, je suis content mais Samuel que tu l'avais mentionné, j'avais oublié de la mentionner. Est-ce que tu crois qu'on peut visiter des vies futures ? Parce que tu es allé dans le passé à s'intenter des choses à rapport au futur. C'est ma limite de croyance.
Non. Je ne crois pas qu'on peut aller à un vie futur parce que je crois qu'à chaque seconde on utilise avec mon total du bras arbitre de ses choix. Et total du bras arbitre, ça veut dire que si on veut me suicider dans les cinq minutes, ça veut pas dire que c'est écrit quelque part et qu'on pourra le voir de même que si j'ai envie de couper toute cette conversation maintenant, je peux le faire. Mais ça veut pas dire que ce qu'il faut être écrit. Et si c'était un coup, si notre futur n'a pas pris quelque part, dans ce cas il aurait pu un seul objectif, c'est d'arriver à lire ce quelque part et non pas de faire du bon choix. L'avantage aussi de croire au lieu arbitre, c'est que je crois à ma responsabilité dans les choix.
Ça veut dire que si tu es quelque part, en fait, tu n'as aucune responsabilité, dès que tu es quelque part, tu ne sais que suivre un chemin qui a déjà été tracé par avant. Donc il n'y a pas de suspense, il n'y a pas d'enjeu et mon choix n'a aucune valeur puisque de toute façon je ne sais qu'obéir quelque chose qui a déjà été écrit. Donc même si c'est vrai, ça ne m'intéresse pas. Je préfère considérer que le futur n'est écrit nulle part et que j'ai mon libre arbitre.
Et que c'est moi qui décide à chaque seconde de ce qui va se tracé dans un petit entourage, comme Jean-Charles décide de ce qui se passe autour de toi et comme David, je crois qu'il s'appelle, décide autour de lui et ça nous rend créateur du présent et du futur et j'adore cette idée qu'on est responsable de mon jaque. Et qu'a pensé du destin ? A distance, je crois qu'il y a un chemin très tracé mais qu'on est pas obligé de l'aller. Je vois ça comme avant-mètre, j'aime bien cette idée.
Avant-mètre, on choisit sa prochaine incarnation, comme France, pays, quelque chose, même un maladie, je pense que je l'ai choisi. On choisit peut-être des rencontres amoureuses et amicales et on choisit un chemin idéal. Maintenant, ce chemin est éclairé, non, il faut que j'y ai bien vu. Du coup, on a le livre arbitre. Comme je reviens à cette route à la Cale-Lunaire, il ne pouvait très bien aller sur la route qui n'a pas de lumière, voire aller dans la forêt dans laquelle il n'est même pas de route et pas de lumière.
Ça va être plus compliqué, vous allez faire mal sur des ronces, vous allez avoir peut-être d'être attaqué par des loups, qui a un signe que vous devez revenir sur l'autre route à la Cale-Lunaire, mais il n'y a pas d'obligations. Je crois que le chemin trafait au karma, le karma est moins important que le livre arbitre. Je ne veux même que les réditer et moins important que le livre arbitre.
Ce sera parce que vos parents ont fait un métier, qu'ils sont obligés de faire un métier, parce que votre entier d'incarnation a fait un choix, que vous êtes obligé d'oblir à ce choix. Donc, le livre arbitre existe, ce qui veut dire qu'on est responsable. Et ce qui veut dire l'inclinale, ça veut dire que quand on fait quelque chose, il faut réfléchir aux conséquences négatives ou positives et à partir de là, considérer que ce n'est pas la photoseuse, ce n'est pas la photomonde, ce n'est pas la photalipop, c'est juste qu'on a fait des choix et on s'est compréhés et on a réussi. Et pour compléter par rapport à ça, pour moi, ce que je trouvais intéressant, c'est que oui, effectivement, des choix qui peuvent être faits, peut-être avant l'incarnation, tu parlais de la maladie, parfois même les rencontres, des choses comme ça. Mais la façon que nous, on va le gérer, c'est là que notre livre arbitre est aussi... Si on peut dire, la maladie, on pourrait être en position de victime, dire, ah, pas vrai de moi, ou dire, comment cette maladie peut m'aider, qu'est-ce que je peux en retirer de ça, comment je peux dépasser ça. Donc, c'est là que pour moi, je trouve le livre arbitre, notre façon d'interpréter l'événement, même s'il a été choisi, je pense que c'est entre nos mains et ça, je trouve ça, ça nous donne du pouvoir justement, de ne pas se percevoir comme victime. Si dans un jeu, on fait déjà que qu'il y a le gagnant, il y a le suspect. Exactement. Quand on parle d'un match de football, tu me dis, tu connaisses déjà, aussi une vie qui a déjà le résultat écrit quelque part, bon, ben, on va vous regarder le match, si c'est le directeur.
Exactement. Ce qui est génial dans notre existence, ou que le fait d'être dans la matière, c'est d'être dans le mystère, de ne pas être sûr qu'il y a quelque chose au-dessus et être dans la quête, c'est-à-dire être en petite question et passer sa vie à essayer d'y répondre. Et pour chacun, selon son niveau d'évolution et de compétence, les questions sont différentes et les réponses et les illuminations vont être plus ou moins fortes. Ouais. On arrive déjà à la fin avant de quitter Bernard, est-ce qu'il y a un masterclass bientôt?
Est-ce que ça va nous englisser quelques mots? Alors, le bientôt, c'est demain? C'est demain, ben oui. Alors, en fait, de masterclass, plus ça va, plus ça devient un sort de lieu expérimental. Je suis prêté à prendre les fritures, je leur fais une méditation, je leur sugiètrement. Je leur fais plein d'exercices, en qui ils s'aperçoivent que écrire est une manière de faire, de fixer sa pensée et d'immortaliser son, les mondes qui ont eu. Et surtout, ça rencontre un cours de français, c'est surtout un truc intellectuel, c'est un truc éliorganique. Ce que j'en propose, c'est de faire guéter les histoires vivants, mais crédit.
Dormez-vous aussi des films, qui dit en général, 5 à 6 minutes, et en 5 à 6 minutes, vous devez trouver le plus mauvais sujet de roman possible, donc qui vote pour le plus mauvais, et avec ce plus mauvais sujet de roman, il va arrêter nos histoires d'amour. Et après, ils vont vous chercher leur sujet personnel, et à partir de ce sujet personnel, ils avaient fait un histoire à ce sujet. Et après, ils doivent utiliser leurs voisins comme personnages, donc il faut que vous écoutez leurs voisins de table. C'est très interactif, c'est très ludique, et j'essaie de leur montrer qu'écrire c'est une joie, et c'est une forme de manière de faire sortir la pression intérieure. Il y a beaucoup de fouillir, c'est presque un spectacle. Ça fonctionne avec un pouvoir très interactif, et c'est une manière de montrer qu'ils sont capables de le faire.
Voilà. Et pour l'instant, des gens qui viennent, je crois, sont agréablement sortis, ils se attendent à trouver quelque chose d'une très universitaire, et comme sur quelque chose de très joyeux. Et ceux qui sont à l'aéros, oui. À quoi est-ce que tu as joué la clé de Jacques Rasmé ? Oui, je suis d'accord avec toi.
Et pour ceux qui sont intéressés, comment s'inscrire ? Alors il faut aller sur le Facebook, mon Facebook, Bernard Werber, en piquel. Là, il y a juste un site sur lequel il faut faire un petit texte et on s'inscrit au bas du clip. Sinon, sur mon site officiel, il s'appelle www.vernardWerber .com, il y a aussi un endroit où il y a que l'immasterclass inscrit. Donc Facebook ou Bernard Werber officiel. Il y a peut-être un truc sur Twitter aussi, mais c'est pas moi qui m'en notis, donc je ne suis pas sûr. Et j'espère en faire de plus en plus afin de consommer ça. Justement, peut-être toujours la co-ciète frustration de mon GPR Boris dans les brics latines. J'ai besoin de la co-cilette, mon savoir-faire, et de me dire, je vais te mourir, Franklin et Adopt, qui vont prendre le relais. J'ai envie de donner envie aux gens de développer leur imaginaire, et qu'il apparaît, sans fin, ce qui manque de plus en France et probablement un peu moins au Québec, c'est une littérature d'imaginaire vivante, pas juste réservé à un petit groupe d'articionados, mais qui touchent le grand public, comme on a pu toucher le grand public, et à la fin des belles singes, ou juste vernes, qui ne sont pas restés dans des pubs fermés.
Et pour ceux qui ne pourraient pas assister demain, est-ce que t'as d'autres dates de prévu? Si je n'ai qu'au souvenir sur mon Facebook officiel, c'est dans ma verbe, ou sur mon site dans ma verbe, et c'est là où, chaque fois que j'ai une salle, et que je suis bien organisé, on peut le trouver. Mais il y a une vraie salle en tout partout, si on est fait en suit, si on est fait en suit, en suit de la francophonie, maintenant j'attends les signes, et puis il faut que moi-même, j'évolue pour faire évoluer les autres, et bien s'il faut devenir de plus en plus évolué, conscient, pour pouvoir en évoluer les autres, en poursuivant les consciences, de l'expérience, et de l'endroit où je vais avec toi, pour faire une visite de l'entre-deux-vies. Bon, ça va être super, tu sais. Bernard, je te remercie beaucoup, très apprécié, super belle entrevue, je te remercie de ton temps, c'est vraiment super.
Moi, merci, Jean-Claire. Merci, et merci à tout le monde d'avoir été là, vraiment, je suis très heureux de partager ces moments-là avec vous, c'est vraiment des belles... Je suis pas le conteur de la CINSS de l'Odimenter, donc on va pouvoir le voir en replay après. Oui, c'est ça. Oui. Donc, je vais mettre le lien après sur mon site et mon Facebook.
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