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10.04.2015 - 22h25

yab léo a écrit:

Tout le monde devrais faire quelque chose pour l'écologie.
Ceux qui s'en foute sont soit des inconscients, soit des fous.



Ouais... qu'est-ce que tu fais pour l'écologie, toi?

11.04.2015 - 04h25

Quatre post de plus pour dire de la merde...

Je ne peux rien de plus pour ce forum qui est incapable d'auto-discipline.

Vous me faite perdre mon temps.

Des trolls en veux tu en voila.

L'anarchie n'est pas faite pour les enfants, j'en ai encore la preuve.

Comme les infos de TF1...noyer l'essentiel dans de l'anecdotique.

11.04.2015 - 14h11

yab léo a écrit:
Tout le monde devrais faire quelque chose pour l'écologie.
Ceux qui s'en foute sont soit des inconscients, soit des fous.


Pour être plus juste...

Tout le monde devrais se sentir concerné l'écologie.
Ceux qui s'en foute sont soit des inconscients, soit des fous.

02.05.2015 - 08h33


L'océan rencontre la terre... Deux hommes d'exception au service de notre Planète. Quand Paul Watson rencontre Pierre Rabhi
Le 12 juin prochain, Paul et Pierre interviendront ensemble à Paris dans une conférence sur le thème de la violence.

10.05.2015 - 14h47



C'est un reportage de Rob Stewart, biologiste et photographe sous-marin, qui s'est embarqué sur le bateau de Paul Watson.
Il offre un point de vue splendide du requin et une approche carrément immersive de l'association qui permet de mieux comprendre le contexte dans lequel évolue sea shepherd.

20.06.2015 - 23h54

Pour ceux que ça intéresse il y a une série TV "Sea Shepherd : les justiciers des mers". Vous pouvez retrouver les 4 saisons de Sea Shepherd ici:

http://justiciersdesmers0.wix.com/justiciersdesmers

03.08.2015 - 14h05

Traqué, acculé: la fin du pire braconnier des mers

source: lesoir.be

L'info date un peu et en plus est dispo via un article payant que je vous met en entier.



Deux navires de l'organisation écologique ont pourchassé le chalutier de l'Antarctique au golfe de Guinée. Récit.


Un magistrat de São Tomé-et-Principe, minuscule république insulaire du golfe de Guinée, a récemment signifié aux trois officiers du Thunder - un chalutier qui avait sombré, le 6 avril dernier, au large de l'archipel - les chefs d'accusation retenus contre eux après trois mois d'enquête. Il y en a une kyrielle. Et pour cause : jusqu'à son naufrage, le Thunder était considéré comme l'un des pires navires de braconnage du monde, épinglé en tête sur la liste écarlate (« Most wanted ») d'Interpol - un statut qu'il partageait avec cinq autres navires seulement. On estime qu'au cours de la dernière décennie, la valeur marchande des prises illégales du Thunder a dépassé les 75 millions de dollars.

La valse des pavillons
Sa spécialité : la pêche à la légine, un poisson des mers froides australes à forte valeur commerciale - 30 dollars le filet à la carte des restaurants new-yorkais. Le Thunder était le navire amiral de la pêche illégale, un pillage qui rapporterait dix milliards de dollars par an.

Ce chalutier de 202 pieds de long continuait sans vergogne à laisser traîner ses filets dérivants, transpondeur éteint, dans des zones de l'Antarctique régies par la Convention sur la Conservation de la faune et de la flore maritimes (CCAMLR).

Que l'on sache, il avait changé six ou sept fois de nom, avait battu six pavillons différents - dont celui de la très continentale Mongolie - avant de devenir apatride, et opérait pour le compte d'une société immatriculée au Panama dont l'actionnariat n'a toujours pas été identifié : il se dilue dans des sociétés fictives égaillées partout dans le monde, des Seychelles au Panama en passant par le Nigeria. Des campagnes juteuses et sans grands risques : rares sont les pays qui font respecter la réglementation maritime internationale en dehors de leurs eaux territoriales.

Ce rôle de garde-pêche, c'est la puissante organisation Sea Shepherd - des « éco-justiciers » dont les méthodes musclées, comme l'abordage et l'éperonnage, ont déjà été condamnées en justice - qui a résolu de l'endosser, forte de l'expérience qu'elle s'est forgée dans la guérilla féroce qu'elle mène contre les baleiniers (lire par ailleurs). Le Thunder était la cible principale de Sea Shepherd lors de la 11e campagne - baptisée « opération Icefish » - lancée par l'organisation, en décembre dernier, dans les mers australes.

Le 17 décembre dernier, deux des navires de sa flottille - le Bob Barker et le Sam Simon, aux proues pareillement peintes de crocs intimidants - ont surpris le Thunder en pleine prédation entre les icebergs qui encombrent le Banzare Bank, un bras de mer parmi les plus inhospitaliers de l'Antarctique, à deux semaines de navigation du port le plus proche.

Ce fut le début d'une traque ahurissante de 110 jours, à travers deux mers et trois océans : une poursuite de plus de 10.000 milles nautiques dont le New York Times a récemment livré le récit épique. Un jeu du chat et de la souris entre les glaces flottantes de l'Antarctique, les lames démontées des Quarantièmes rugissants et des Cinquantièmes hurlants, puis une course d'usure dans l'océan Indien et l'Atlantique.

Sabordage en pleine mer
Ravitaillé par le Sam Simon, son navire d'escorte, le Bob Barker ne lâcherait jamais sa proie qui tenterait, à plus d'une reprise, d'éperonner ses poursuivants. Le 6 avril, au large de l'archipel de São Tomé-et-Principe, le Thunder - dont la hauteur sur l'eau indiquait depuis des jours qu'il avait épuisé l'essentiel de son carburant - lançait un appel de détresse : « Nous coulons ! ». Le capitaine chilien, les officiers espagnols et les trente matelots indonésiens du Thunder furent secourus par les deux navires qui étaient à ses trousses.

Le naufrage du chalutier fut rapide - c'est tout juste si les hommes du Bob Barker eurent le temps de prendre à son bord tout ce qui pourrait attester des activités illégales du Thunder : l'enquête semble indiquer que l'équipage a sabordé le navire pour détruire les preuves de ses prédations dans une région régie par la CCAMLR.

Les officiers du Thunder sont actuellement assignés à résidence à São Tomé. L'équipage, lui, a été relaxé : il semble que leurs conditions de vie et de travail sur le Thunder faisaient de ces Indonésiens des victimes de la traite des êtres humains.

« Quand l'opération Icefish a débuté, nous avions juré de bouter ces braconniers hors de l'Antarctique et de les traîner en justice, a déclaré Peter Hammanstedt, le commandant suédois du Bob Barker. C'est désormais chose faite ».

Selon le New York Times, l'organisation Sea Shepherd a dépensé plus de 1,5 million de dollars pour mettre le Thunder hors d'état de nuire.



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«Il faut être pirate pour attraper les pirates»>


En février 2013, une cour d'appel de San Francisco a estimé que Sea Shepherd était une organisation « pirate », laissant ainsi aux baleiniers japonais la possibilité de poursuivre leurs actions en justice contre elle - Sea Shepherd a d'ailleurs fini par accepter, en juin dernier, de payer 2,55 millions de dollars aux opérateurs baleiniers japonais pour avoir négligé une interdiction judiciaire d'approcher leurs navires.

Pirate ? C'est un titre que l'organisation, basée à Friday Harbor (Etat de Washington, USA), est tout près de revendiquer : son pavillon n'est du reste rien d'autre qu'une variation du célèbre Jolly Roger et ses membres professent volontiers qu'« il faut être pirate pour attraper les pirates ».

Fondée en 1977 par l'écologiste canadien Paul Watson - un ex-militant de Greenpeace -, Sea Shepherd est une organisation non gouvernementale qui lutte pour la défense internationale des océans et de la vie marine. Ses méthodes sont musclées - abordages, sabotages, sabordages... : le FBI a parlé à son propos d'« écoterrorisme » - et ses moyens sont considérables : son budget annuel avoisine les 20 millions de dollars, financé par des donations provenant de particuliers, d'entreprises, de fondations ou de célébrités comme Brigitte Bardot, Richard Dean Anderson, Sean Connery, Martin Sheen, le groupe Red Hot Chili Pepers, Bob Barker, producteur et animateur-vedette de la télé américaine, ou Sam Simon, l'un des créateurs (récemment décédé) de la série « Les Simpson ».

Ses moyens lui permettent d'entretenir une flotte de 9 navires (dont un trimaran, un ancien baleinier et deux ex-patrouilleurs de la marine US remis à neuf) qui opèrent sur toutes les mers du globe, un hélicoptère et des drones.

L'organisation mène des campagnes résolues, violentes au besoin - en 1986, elle a coulé deux des quatre baleiniers islandais dans le port de Reykjavik - sous les ordres de Paul Watson que ses détracteurs peignent en gourou. Pour l'organisation, la fin justifie les moyens : ses actions, dit-elle, sont légitimées par les conventions internationales de protection de la nature et par les décisions de la Commission baleinière internationale (où ses méthodes lui ont valu de perdre, dès 1986, son statut d'observateur).

Dans un article que Le Monde lui consacrait en septembre 2012, Paul Watson - qui se présente comme « un humble fanatique » - expliquait à ceux qui veulent le rejoindre dans son combat que « pour sauver les baleines, il faut être prêt à mourir ».


03.08.2015 - 22h57

manicas a écrit:
Pour ceux que ça intéresse il y a une série TV "Sea Shepherd : les justiciers des mers". Vous pouvez retrouver les 4 saisons de Sea Shepherd ici:

http://justiciersdesmers0.wix.com/justiciersdesmers


Apparemment le site ne fonctionne plus pour regarder les épisodes Sea Shepherd, les justiciers des mers???

Comme je voulais en regarder, voici un nouveau lien:

http://www.sauvons-les-animaux.com/sea-shepherd-la-serie-whale-wars-en-vf.php



12.11.2015 - 01h51

Ce que pense Paul Watson de sa lutte contre les autorités protégeant la Pêche à la baleine par la flotte Japonaise?

http://www.seashepherd.fr/news-and-media/sea-shepherd-news.html

21.08.2020 - 20h21

SEA SHEPHERD CREW - Documentaire



Plus que jamais...
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