Il existe maintenant un robot qui apprends tout seul, ce n'est pas le premier me direz vous mais là ou je trouve la chose inquiétante c'est il n'à pas été programmé pour le faire, il fait des expériences et des déductions et donc des choix.
Donc nous voilà en présence d'un robot qui évolue et porte des jugements.
Ce que je trouve inquiétant c'est que cette forme d'intelligence va assurément ce retrouver confronté à un moment ou à un autre à considérer l'humain comme un obstacle dans la tache qu'il aura entrepris et sa réaction sera des plus logique.
Ces robot pourraient être très utile dans l'assistance au personnes handicapées ou en robots ménagés mais leur intelligence devrait être bridée afin qu'ils se cantonnent uniquement aux taches que l'on leur à assigné.
L'androïde le plus "humain" à ce jour, c'est Jules, un androïde incroyablement expressif, capable de toute une palette d'émotions transmises par son visage avec une finesse proche de l'humain...
Les émotions de Jules sont synthétiques, elles résultent d'un état psychologique simulé qui s'établit en fonction de ses perceptions.
Voici d'autres androïdes un peu moins avancés mais pouvant être pris au premier abord pour des humains. Contrairement à Jules qui est américain, ceux là viennent tous du Japon.
Tout d'abord, Actroid Der qui parle chinois à l'occasion d'une exposition à Guangzhou...
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Les 3 lois de la robotique imaginées par l'écrivain de SF Isaac Asimov en 1950 sont destinées à être profondément ancrés dans la programmation de chaque robot pour ne pas qu'il puisse se retourner contre son créateur...
Première loi : un robot ne peut porter atteinte à un être humain ni, en restant passif, laisser cet être humain exposé au danger.
Seconde Loi : un robot doit obéir aux ordres donnés par les êtres humains, sauf si de tels ordres entrent en contradiction avec la première loi.
Troisième loi : un robot doit protéger son existence dans la mesure où cette protection n'entre pas en contradiction avec la première ou la deuxième loi.