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| Messages et articles de Sylvain
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| Et voila, on sait donc maintenant la vérité: les OGM sont toxiques et hautement cancérigènes.
Des millions de personnes ont été contaminées par leur alimentation, surtout dans les pays où il n'existe aucune entrave à la commercialisation des OGM. C'est une bombe à retardement qui se traduira par une explosion du nombre de cas de cancer dans les prochaines années.
C'est donc un nouveau scandale sanitaire qui dépasse de loin tous les précédents.
Plus grave encore, du fait de la dissémination des gènes OGM vers les espèces naturelles, c'est l'information génétique du vivant qui a commencé à être contaminée.
Les agences de sécurité alimentaire et sanitaire ont dissimulé la vérité, étant sous le contrôle des multinationales biotechnologiques, pharmaceutiques et agro-alimentaires, et ce avec la bénédiction des gouvernements, comme toujours au service d'intérêts privés plutôt que l'intérêt général.
Monsanto a également tout fait pour dissimuler la vérité en empêchant toute étude indépendante et en finançant de multiples études biaisées pour faire croire que les OGM étaient sans danger.
Il faut donc stopper immédiatement toute culture et toute commercialisation des OGM au niveau mondial.
Si on laisse Monsanto et les autres réussir à généraliser les OGM et contaminer ce qu'il restera d'espèces naturelles, on se retrouvera bientôt sur une planète ou toute nourriture sera toxique et cancérigène.
Quant aux coupables et à leurs complices, ils doivent être jugés pour empoisonnement à grande échelle, en d'autre terme un génocide contre l'humanité toute entière.
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| "Tous cobayes": l'enquête-choc qui révèle le scandale sanitaire des OGM
source: terrafemina.com
Il s'agit d'une véritable bombe : la revue Food and Chemical Toxicology publie une étude qui révèle les impacts désastreux des OGM à long terme sur la santé. Menée de manière quasiment clandestine par l'équipe du Français Gilles-Éric Séralini, cette enquête réalisée depuis 2006 a porté sur 200 rats nourris exclusivement au maïs génétiquement modifié. Les résultats sont glaçants.
Tout commence en 2006, lorsque Gilles-Éric Séralini, professeur de biologie moléculaire à l'université de Caen, lance une étude quasiment clandestine sur les OGM qui pulvérisera une vérité officielle : celle de l’innocuité du maïs génétiquement modifié. Sous le nom de code In Vivo, l’équipe de chercheur va mener cette enquête, visant à démontrer les effets lourdement toxiques et souvent mortels sur les rats. Les résultats sont divulgués par Gilles-Éric Séralini dans un ouvrage à paraître la semaine prochaine ("Tous cobayes !", Flammarion, parution le 26 septembre) et sont d’ores et déjà publiés dans la très sérieuse revue américaine "Food and Chemical Toxicology". Des révélations détonantes, qui arrivent après plusieurs années de recherches menées dans le plus grand secret, où toute conversation téléphonique entre chercheurs était proscrite et où les mails étaient cryptés. L’équipe a d’abord dû récupérer des semences de maïs OGM NK 603, propriété brevetée de Monsanto, avec la complicité d’un lycée agricole canadien, avant de les rapatrier en 2007 et de les transformer en croquettes destinées à nourrir les 200 rats du laboratoire.
"Après moins d’un an de menus différenciés au maïs OGM, confie le professeur Séralini au Nouvel Observateur, c’était une hécatombe parmi nos rats, dont je n’avais pas imaginé l’ampleur". Dès le 13e mois de l’expérience, tous les groupes de rats étudiés sont touchés par des pathologies lourdes et de multiples tumeurs. Les chiffres sont clairs : les rats nourris aux OGM déclenchent de deux à trois fois plus de tumeurs que les rats "non OGM" quel que soit leur sexe. Par ailleurs, au début du 24e mois, soit la fin de vie pour un rat, entre 50% et 80% des femelles sont touchées par des tumeurs, contre un tiers des non OGM. Autant de révélations glaçantes dont compte bien s’emparer Corinne Lepage, ex-ministre de l’Écologie, qui se bat depuis quinze ans au sein du Criigen (Comité de recherche et d’information indépendantes sur le génie génétique) avec Joël Spiroux et Gilles-Éric Séralini pour avoir le droit de mener des études de longue durée sur l'impact physiologique des OGM. La première vice-présidente de la commission Environnement, Santé publique et Sécurité alimentaire à Strasbourg publie un livre à paraître le 21 septembre où elle exige des comptes auprès des politiques et des experts des agences sanitaires et de la Commission de Bruxelles.
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| 100 milliards
source: slate.fr
J’aime ces questions naïves et redoutables, que tous les enfants du monde s’entêtent à poser à leurs parents et dont la réponse est presque impossible à exprimer en termes simples, non scientifiques. Ainsi de: "Pourquoi le ciel est-il bleu?" Ou encore: "Si Dieu peut tout, peut-il décider qu’il n’existe pas?"
Parmi celles-ci, l’une, venue à l’esprit de bien des enfants et à laquelle peu de parents ont su fournir une réponse exacte, même approximativement: "Combien d’êtres humains ont vécu sur la Terre, depuis le premier?"
Question doublement redoutable. Parce qu’il faut d’abord définir qui est "le premier homme" (l’humanité commence quand? Avec Adam et Eve? Avec le Rudolphensis? Avec le sapiens sapiens? Avec le Neandertal?). Parce qu’il faut ensuite faire le total des centaines ou des milliers de générations qui se sont succédées sur la planète. En langage mathématique, on appellerait cela la sommation d’une suite, si longue et si complexe (il faudrait, pour être exact, tenir compte avec précision de chaque vie) qu’elle se rapproche plutôt de la résolution d’une intégrale.
Le consensus des scientifiques aujourd’hui est que ce nombre tourne autour de 100 milliards. Et que, compte tenu de la lenteur du démarrage de la croissance démographique de l’espèce humaine, le point de départ compte assez peu.
100 milliards d’êtres humains ont donc vécu jusqu’aujourd’hui. Que leur vie ait été brève ou longue, qu’ils aient été esclaves ou puissants, routiniers ou créatifs, pacifiques ou violents, ils ont tous, d’une façon ou d’une autre, façonné le monde où nous sommes: les scientifiques s’accordent à dire que, en raison des rapports de pouvoir et des progrès techniques, moins de 15% du potentiel de l’humanité a pu être jusqu’aujourd’hui valorisé.
D’une certaine façon, le monde actuel n’est que le résultat de ces cent milliards de vies. Auquel il faudrait ajouter le rôle d’un nombre infiniment plus vertigineux de tous les êtres vivants, végétaux et animaux, qui s’y sont succédé aussi.
Coïncidence? Cent milliards, c’est aussi le nombre de neurones de chacun de nos cerveaux. C’est par eux, que mystérieusement, s’organise la mémoire, l’apprentissage, la lecture, l’écriture, l’intuition, la création. Autre coïncidence: 15% c’est aussi le nombre de nos neurones qui sont actifs.
Une façon de se souvenir que chaque être humain est une humanité à lui tout seul, qu’il en contient les forces et les faiblesses; toutes les grandeurs, et toutes les monstruosités. Qu’il doit donc être traité aussi sérieusement, aussi précieusement.
On pourrait être plus vertigineux encore: chaque neurone peut avoir 10.000 connexions avec d’autres neurones. Soit un million de milliards de connexions pour chaque être humain, qui peut lui-même avoir des connexions avec quelques 1.000 êtres humains aujourd’hui et plus encore demain. Soit au total dix puissances 18 (1 suivi de 18 zéros) relations entre êtres humains depuis la naissance de l’humanité; et ce nombre va croître de plus en plus vite, avec la croissance démographique, l’amélioration de l’éducation et les réseaux de communication.
Il arrivera même un jour, bientôt, où le nombre de relations entre les êtres vivant au même moment sur la Terre sera supérieur au nombre de relations totales qu’auront eu entre eux tous les êtres humains de toutes les générations précédentes.
Qu’en feront-ils? Qu’en ferons-nous?
L’humanité commence. N’en gaspillons rien.
Jacques Attali
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Depuis le début, les généticiens ont proclamé que seulement 2% de l'ADN déterminait notre métabolisme, et que par conséquent, les 98% restants ne servait à rien. On supposait qu'ils étaient une sorte de rebus de l'évolution, des gênes actifs chez des espèces dont nous descendons mais qui étaient désactivés chez l'homme. C'est ce qu'on appelait l'ADN "non codant", vite qualifié "d'ADN poubelle" (ou "junk ADN").
Mais cet ADN non codant est quand même unique à chaque individu (c'est d'ailleurs cet ADN non codant qui est utilisé par les fichiers et tests ADN). Cette unicité est en contradiction avec l'idée de gênes totalement inactifs.
Par ailleurs, l'idée d'un ADN "non codant" est également en contradiction avec le principe d'économie de la nature. Rien n'y est totalement inutile.
Pendant longtemps, ces contradictions n'ont semble-t-il pas effleuré les généticiens officiels. Et leur ignorance de ce à quoi servait 98% de l'ADN ne les a pas empêché de se livrer à des manipulations génétiques multiples en parfaite inconscience des conséquences.
Mais depuis quelques années, les chercheurs ont été de plus en plus nombreux à douter, et en 2003 le Projet ENCODE (ENCyclopaedia Of Dna Elements) a été lancé pour étudier de plus près cet ADN "non codant".
En fait, il s'avère tout simplement que cet ADN non-codant joue un rôle de régulateur des 2% d'ADN codant, en y activant, renforçant ou inhibant des gênes.
C'est donc tout le contraire d'un ADN non-codant.
Pour l'instant, des observations ont mis en évidence cette fonction de régulation, mais ce n'est sans doute qu'un début. Seuls quelques gênes de l'ADN non-codant ont été étudiés pour l'instant. Il y a peut-être d'autres fonctions encore. L'ADN ex-non codant pourrait aussi être une mémoire, ou encore un instrument de communication qui relierait chaque cellule aux dimensions "informationnelles" de l'univers d'où proviendraient les "sauts de l'évolution" que la théorie de Darwin (autre dogme de la génétique) ne parvient pas à expliquer.
Le plus fou serait que l'ADN non codant renferme un message à l'intention des êtres vivants qui parviendraient à le décoder, ou encore l'équation universelle qui unifierait l'ensemble des lois physiques et biologiques...
Pour en savoir plus sur le projet ENCODE:
http://sciencesetavenir.nouvelobs.com/fondamental/20120910.OBS1821/genome-pour-en-finir-avec-l-adn-poubelle.html
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yab léo a écrit:
Salut...
On est prévenu quand on est pas autorisé a lire un article ou qu'on est indesirable
Quand on n'est pas autorisé à voir un contenu, il n'apparait tout simplement pas.
Mais au minimum, les articles sont visibles par tous les membres du village d'où provient l'article. Vu que pour l'instant il n'y a qu'un seul village, tous les articles sont donc visibles par tous les membres.
Idem pour les sujets de forum, sauf les sujets à inscription où l'auteur du sujet peut avoir limité la participation ou la visibilité aux personnes inscrites au sujet. Ces paramètres sont définis en bas du formulaire d'envoi quand on poste le 1er message du sujet (le message qui crée le sujet et en défini donc les paramètres).
Pour l'instant, il n'existe que 2 sujets à inscription dont la visibilité est réservée aux inscrits, ce sont 2 articles collectifs en préparation créés hier, et qui ont été visibles un moment suite à une mauvaise manip de ma part quand j'étais en train de modifier le code
Pour les indésirables, contrairement aux ajouts dans les favoris ou les "j'aime", quand on met une personne (ou un sujet) dans nos indésirables, cela n'apparait pas dans la page Activité et cela ne génère pas non plus de notification à la personne (ou à l'auteur du sujet).
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