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source: wikistrike.com
Les statues de l'île de Paques déjà mystérieuses possèdent un corps !
La découverte ne date pas d’hier mais depuis quelques semaines refait surface sur internet : les statues de l’ile de Pâques ont un corps ! Alors qu’elles sont vraisemblablement connues pour avoir une grosse tête, ces statues recèlent visiblement de nombreux secrets puisque plus de la moitié de leur taille est enfouie sous terre et révèle l’existence d’un corps et de mains.
Si on attribue au couple Routledge la découverte des parties enterrées des statues de l’ile de Pâques, un groupe privé de recherches a récemment excavé une des statues pour y découvrir de nombreuses écritures sur le corps.
Située dans l’océan Pacifique, cette ile volcanique a été découverte par le navigateur néerlandais Jakob Roggeveen, le jour de Pâques de l’an 1722, et est devenue ensuite possession Chilienne en 1888. Si de nombreux mystères entourent l’ile de Pâques, la découverte de ces écritures enfouies sous terre risquent de relancer de nombreux débats.
En effet, si les scientifiques sont presque tous d’accord pour dire que c’est à la suite d’un écocide que la population (environ 4000) de l’ile a disparue, qu’en est-il de ces géants de Pierre enfouis sous terre ? L’ont-ils été dès le départ par les Rapanui (premières civilisations de l’île) ou bien le temps a t’il eu raison de ceux-ci ?
L'hypothèse la plus vraisemblable est qu'un raz de marée ancien a balayé l'île et sa civilisation ancienne, qui se perd dans la nuit des temps, est là, sous nos pieds de touristes inconscients du trésor caché qui nous attend. Les statues n'ont pas été enterrées, mais le déluge a du transporté et amené tant de débris, de poussières et de terre que la civilisation a disparue comme effacée d'un seul coup. On pense ici au mythe de l'Atlantide et du continent de Mu dont les légendes refont surface avec cette découverte exceptionnelle.
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source: wikistrike.com
Göbekli Tepe: le plus ancien temple de l'humanité
Un temple de 12.000 ans, qui est l'objet de fouilles en Turquie, a donné lieu à la réouverture du dossier historique concernant la période du néolithique que l’on croyait close et semble appartenir à une plus grande civilisation, jusqu'alors inconnue, qui est en train d'être découverte.
Cinq millénaires nous séparent de la naissance de l'Egypte ancienne vers - 3100 av JC. Ajouter encore cinq millénaires et nous sommes en -8100, ajouter un autre millénaire et demi, et nous avons la date de Göbekli Tepe, située dans les hautes terres de la Turquie près des frontières irakienne et syrienne, voilà l’endroit précis où cette civilisation encore inconnue a été construite.
Sur le plan archéologique, classé comme un site du Néolithique précéramique, (une période située entre 9600-7300 av JC), le plus ancien temple du monde se trouve dans la première partie de cette époque et jusqu'à présent, il a été datée au carbone à 9500 av JC. C'est le laps de temps où la civilisation de Platon connu sous le nom Atlantis aurait disparu. Ainsi il a été construit 5000 ans avant l'avènement de ce que beaucoup considèrent comme la «civilisation la plus ancienne", Sumer, pas très loin au sud de Göbekli Tepe que l'on descend par l'Euphrate, laissant les hauts plateaux des montagnes du Taurus en Turquie.
Göbekli Tepe est un site incroyable. David Lewis-Williams, professeur d'archéologie à l'Université de Witwatersrand à Johannesburg, dit que «Göbekli Tepe est le site archéologique le plus important dans le monde". Il s'agit d'une petite colline à l'horizon, à 15 kilomètres au nord-ouest de la ville de Sanliurfa, plus communément connu sous le nom d'Urfa, qui a été liée à l'Abraham biblique (certains prétendent que Urfa était la ville d'Ur mentionnée dans la Bible). Aussi connue sous le nom d'Edesse, Urfa est sur le bord de la zone des pluies des montagnes du Taurus, source de la rivière qui traverse la ville et rejoint l'Euphrate. Urfa était (et est toujours) une oasis, ce qui pourrait expliquer pourquoi Göbekli Tepe a été construit à proximité. Une statue grandeur nature en pierre calcaire qui a été trouvé à Urfa, à l'étang connu sous le nom Balikli Gol, a été datée au carbone 10,000-9000 av JC, ce qui en fait la plus ancienne sculpture de pierre connue jamais trouvé. Ses yeux sont en obsidienne.
Un vieux berger kurde, Savak Yildiz, a découvert la vraie nature de Göbekli Tepe en Octobre 1994, lorsque, ayant repérer quelque chose, il essuya la poussière d'une grande pierre de forme oblongue. Une enquête du site avait été effectuée par l'archéologue américain Peter Benoît en 1963, mais il a identifié la région comme un cimetière byzantin, désinformation quand tu nous tiens… Lorsque l'archéologue allemand Harald Hauptmann, accompagné d’ Adnan Misir et d’Eyüp Bucak du Musée d'Urfa, a commencé des fouilles en 1995, ils se sont vite aperçus que le site était bien plus ancien. Göbekli Tepe est une série de structures essentiellement circulaire et de forme ovale située sur les pentes d'une colline, connue sous le nom Göbekli Tepe Ziyaret. "Ziyaret» signifie «visite», mais cela est souvent laissé de côté. Certains traduisent «Göbekli Tepe» comme «Nombril du Monde» car «Gobek" signifie "nombril" ou "ventre" et "Tepe» signifie «colline». Les médias sensationnalistes ont fait des tentatives pour lier Göbekli Tepe avec le biblique Jardin d'Eden. Göbekli Tepe est bien vieux, mais il n'est pas unique et n’a jamais été un jardin. L’imprégnation de la Bible dans l’inconscient collectif est parfois pénible, à croire que les lobbys religieux pourraient être à l’origine de l’occultation de découvertes dérangeantes et ce à travers le monde. Toutefois, au cours des 50 dernières années, le début de cette nouvelle civilisation a été légèrement repoussé, faisant encore reculer le mythe de Sumer comme berceau de la civilisation.
Repousser la naissance de la civilisation
La découverte de la ville biblique de Jéricho, de ses tours et de ses murs en pierre de taille cyclopéenne, datant de -8000 avant JC, fut le premier site découvert à repousser la date de la naissance de la «civilisation». Ain Ghazal est souvent considéré comme un site gémellaire de Jéricho, avec sa superficie de 15 hectares, c’est le plus grand site néolithique au Moyen-Orient et est quatre fois plus grande que Jéricho. L’américain Gary O. Rollefson, son principal archéologue, a prouvé que la ville remonte à 7250 avant JC, et il existe des preuves de l'agriculture dans la région remontant à 6000 ans avant JC. À son apogée, on estime que 20.000 personnes vivaient à Ain Ghazal. Cependant, en 5000 avant JC la ville a été complètement abandonnée. Trente statues ont été retrouvées, mesurant entre 35 et 90 centimètres, elles représentent des êtres humains, mais peuvent aussi représenter des divinités tutélaires ou des mânes d’ancêtres incarnées dans la pierre. La découverte de Jéricho a ajouté du poids à l'argument selon lequel la Bible est l'histoire, pas un mythe. Mais quand on a appris que des sites bien plus anciens que Jéricho lui-même ne se trouvaient "malheureusement" pas en Palestine, mais plus au nord, en Anatolie, au sud la Turquie, l'intérêt des médias dans ces nouvelles découvertes semblait faiblir. AMENez un mouchoir pour le Pape ! sniff…
Le plus célèbre de ces sites est Çatal Höyük. Il a été découvert en 1958 par l'archéologue britannique James Mellaart, qui a commencé des fouilles en 1961 et a daté le site d’une période comprise entre -7500 et -5700 av JC. Il est le plus grand site, et le mieux préservé, du néolithique découvert à ce jour. Mellaart l'a décrit comme "une Rome néolithique», et il est en effet digne de ce nom de "Rome". Ses constructions montrent des signes évidents que ses habitants possédaient une religion très développée identifiée comme un culte de la Déesse Mère, bien que cette théorie ait fait l'objet de nombreuses controverses. On sait par ailleurs que les morts étaient enterrés sous le sol des bâtiments, et que plusieurs de ces structures contiennent des représentations de taureaux. Certaines personnes sont même allées jusqu'à suggérer qu'il y aurait probablement une origine commune entre Çatal Höyük et la civilisation minoenne de Crète.
Çatal Höyük a été le premier prodrome de plusieurs découvertes qui ont peu à peu dévoiler l'histoire ancienne de la région turque. Göbekli Tepe est l'un des nombreux sites extrêmement vieux et le plus ancien découvert à ce jour. Toutefois, l'existence de ces sites n'a jamais été signalée dans la presse spécialisée, bien qu’elle soit admise par le monde archéologique et que la datation du lieu n’ait jamais été remise en cause.
Le site de Çayönü, situé à environ 96 kilomètres de Göbekli Tepe, conforme à un modèle qui est connu comme un «plan de grille», révèle qu’une planification minutieuse préalable à sa construction témoigne d’une science architecturale particulièrement développée. Les américains Linda et Robert Braidwood, en collaboration avec l'archéologue turc Halet cambel, ont commencé à fouiller Çayönü en 1964 et ont constaté que les étages des bâtiments ont été faits à base de terrazzo (chaux et argile écrasés puis brulés), cela leur a d'abord fait penser à la méthode de construction utilisée par les Romains. Le site a également révélé l'utilisation de métaux et la première preuve de la fusion du cuivre, même si certains font toutefois valoir que le cuivre a été martelé à froid plutôt que fondu. L'utilisation du cuivre ne doit pas être une surprise totale, car le site est à portée de gisements de minerai de cuivre (ainsi que l'obsidienne) à Ergani dans les environs de Diyarbakir. Et tout cela dans un site daté de 7500-6600 av JC.
Çayönü a aussi révélé un trésor de crânes humains, on en a trouvé sous l'autel où des sortes de dalles étaient tachées de sang humain. Certains se sont précipités sur l’hypothèse d’un quelconque rituel de sacrifice humain, tandis que d'autres n'ont pas voulu aller jusque là, refusant de se baser uniquement sur un seul type d'artefact.
D’autres preuves archéologiques récentes suggèrent que certaines personnes ont été tuées dans des fosses énormes, tandis que les enfants ont été enterrés vivants dans des pots ou rôties dans de grands bols de bronze. Çayönü est donc une civilisation, mais peut-être pas comme nous aimerions nous l’imaginer, c'est-à-dire comme une sorte d’âge d’or. Ou peut-être que ces morts sans nombre révèlent une guerre terrible qui a conduit à la fin de cette civilisation. Il est toujours très difficile de reconstituer l’histoire sur quelques objets et ossements.
Un autre site important est Nevali Cori, dans la province de Hilvan entre Diyarbakir et Sanliurfa. Ici, Harald Hauptmann a commencé des fouilles en 1979 et a été en mesure de découvrir des statues de calcaire importantes. En 1991, le site a été submergé par la construction du lac du barrage Atatürk. Il partage de nombreuses similitudes avec Göbekli Tepe et est daté de 8400-8000 av JC. Tous les objets récupérés sont maintenant dans les musées, y compris une statue énorme savamment sculptée, trouvée dans une niche au centre d'un mur nord-ouest. Fait intéressant, c’est un long serpent qui se termine en forme de champignon. L'archéologue allemand Klaus Schmidt croit qu'elle a été adoré comme une divinité. Beaucoup de gens ont fait le lien entre les piliers en forme de T de Göbekli Tepe qui est la même"signature" entre les différents sites de la région. Ces piliers en forme de T ont été également sur le site de Nevali Cori. Nevali Çori est plus carré circulaire, même si une enceinte carrée a aussi été trouvée à Göbekli Tepe. Bien qu'il existe plusieurs similitudes entre les deux sites, les piliers de Nevali Cori sont néanmoins plus petits et son sanctuaire est situé dans un village.
L'auteur britannique Andrew Collins a comparé la taille de Göbekli Tepe à celle de "trois courts de tennis". Les principaux archéologues du site sont Klaus Schmidt et Harald Hauptmann de l'Institut archéologique allemand à Istanbul. Tous les complexes de Göbekli Tepe qu'ils ont mis au jour jusqu'ici sont caractérisés par des structures contenant des piliers en T.
Ces piliers ont été utilisés comme «planches à dessin» et plusieurs d’entre elles représentent des animaux, avec une préférence marquée pour les sangliers, les renards, mais aussi des reptiles, des lions, des crocodiles et des oiseaux, ainsi que les insectes et les araignées. La plupart d'entre eux étaient creusés dans les surfaces planes des piliers. Toutefois, certains sont des sculptures en trois dimensions, y compris une trouvée au cours de la saison 2006 d'excavation, celle d'une créature reptilienne descendant sur le côté d'un pilier en T, ce qui démontre une maitrise de l'art de la sculpture sur pierre parfois bien supérieur à ce que nous verrions des milliers d'années plus tard, à Sumer et en Egypte.
Jusqu'à présent, quatre temples circulaires complexes ont été fouillés. Les murs sont faits de pierres sèches et les planchers de terrazzo. L'intérieur des murs ont habituellement plusieurs piliers en T. Un petit banc longe tout le mur extérieur de chaque complexe.
Les structures sont situées sur le versant sud de la colline, orientée à peu près nord-sud avec leur entrée au sud. Tous les piliers en T ont été exhumés d'une carrière de pierre sur la pente inférieure sud-ouest de la colline. Un pilier demeure in situ dans la carrière, il est de sept mètres de long et trois mètres de large, et s’il était entièrement excavé il aurait pesé environ 50 tonnes, on soulignera ici que la construction de pierres qui pèsent plusieurs tonnes n'a pas commencé en Egypte ou en Angleterre avec Stonehenge.
Un complexe, la première structure circulaire à excaver, est surnommé «le bâtiment de la colonne serpent», car les représentations du serpent dominent les sculptures sur le pilier en T. Un autre pilier, cependant, représente une «triade» avec un taureau, un renard et une grue, positionnés l'un au-dessus des autres. Certains piliers seulement disposent d'un taureau, d'autres seulement d’un renard, et ainsi de suite.
Mesures du complexe B : neuf mètres de diamètre mesuré d'est en ouest, et 10 à 15 mètres du nord au sud (dont une partie est encore à creuser). Il est néanmoins le seul complexe creusé au niveau du sol, révélant une surface du plancher en terrazzo. Deux piliers portent en eux la figure d’un renard. Un pilier central, no. 9, est de 3,4 m de haut; le pilier no. 10 est de 3,6 m de haut; leur poids est de 7,1 et 7,2 tonnes respectivement. Le complexe a été clairement construit pour "maison" de ces piliers monolithiques, qui prouvent l’immense connaissance de bâtisseur de nos ancêtres, lesquels savaient parfaitement travailler avec des pierres gigantesques, non seulement dans les carrières, mais dans la conception et la décoration aussi.
Les archéologues croient que 200 piliers T se trouvaient à l'origine de Göbekli Tepe, piliers T symbolisant un serpent qui finit en chapeau de champignon. Les formes circulaires seraient apparues alors comme pour symboliser le chapeau d’un champignon. Une espèce de champignon hallucinogène serait à l’origine de leur spiritualité comme chez les mayas et les autres peuples amérindiens. Sur tous les continents la forme de spiritualité la plus ancienne est le chamanisme, ici on voit comment émerge la civilisation à partir de « totem », dolmen, pierre levée représentant des ancêtres illustres ou l’esprit de certains animaux protecteurs. Plusieurs d’entre eux s’associent au fil du temps pour signifier la fusion de plusieurs tribus.
Comme en Chine ou les tribus anciennes furent unies par Huangdi, l’empereur à la chevelure d’or, probablement d’origine tokharienne selon certains archéologues chinois. Chaque tribu chinoise possède son totem-animal, une fois unie aux autres va naitre le dragon chinois dont le corps est composé d’une partie de l’animal de chaque tribu. Ainsi naît la nation chinoise. Il en fut probablement de même dans cette partie du monde.
Ici, à Göbekli Tepe, chaque pilier T ne pèse "que" cinq tonnes, il suffit de faire le calcul pour s’apercevoir que 1.000 tonnes de piliers ont été excavées et décorées, et soulignons encore l'importance de l'emplacement et
l'exploit fabuleux qu'il a fallu pour créer cet ensemble architectural.
Le complexe C est surnommé "le cercle du sanglier", car il décrit différents cochons sauvages. Il reste neuf piliers autour de la paroi, mais plusieurs ont été retirés à un moment donné dans le passé. Un pilier montre une niche d'oiseaux. Comme plus tard des cultures sont connues pour avoir pris connaissance du parcours des grues migratrices, cela pourrait être une coutume qui a été pratiquée beaucoup plus tôt que prévu. Certains piliers semblent avoir été des repères de l’année propices à la chasse. Le complexe est également intéressant car une pierre en forme de U a été trouvé et est réputée avoir été la pierre d'accès. Cette pierre a un passage central de 70 centimètres de largeur, et un côté de l'U est surmonté d'une représentation d'un sanglier; de l'autre côté des symboles sont malheureusement disparus. Encore une fois, la forme en U et le sanglier soulignent la technique experte des artisans dans la sculpture, qui est encore mieux représentée sur le pilier no. 27, mettant en vedette la première créature reptilienne au-dessus en trois dimensions. Cette sculpture complexe pouvait être considérée comme étant sur un pied d'égalité avec la statue de Michel-Ange de David.
Le complexe D est surnommé "le zoo Stone Age". Sur le pilier 43 figure des scorpions, et certains piliers sont en effet si abondamment décorés, beaucoup plus intensément que dans les autres, que le terme « zoo » pour ce complexe est tout à fait approprié. Une fois de plus, il y a deux piliers (n ° 18 et 31), bien que les autres piliers révèlent des symboles, comme celui de la forme de la lettre H ainsi que l'une avec un H tourné de 90 degrés. Le site a révélé d'autres symboles, en particulier une croix, une demi-lune et des barres horizontales ou entremêlées, preuve que l'origine de l'écriture est probablement beaucoup plus importante que l’on pensait. Le pilier 33 est la "star" du complexe. Les formes sur ce pilier se rapprochent des hiéroglyphes égyptiens, d'où il est loisible de
postuler l'existence d'une langue pictographique dans le 10e millénaire avant JC.
Ensemble, ces quatre complexes et d'autres, demeurés intacts, sont une série d'ovales et ressemblent à la disposition des complexes de forme ovale datant de l’âge de pierre trouvés sur Malte. Cela est d'autant plus remarquable que les formes ovales de Malte ont été considérés comme unique, bien que certains des mégalithes en Sardaigne affichent également des tendances ovale identiques à ceux de Göbekli Tepe.
Un "temple de pierre" au bas de la pente est également de forme ovale et on y remarque une ouverture à une "chambre funéraire". Considérant que sur d'autres sites ces ouvertures sont si étroites que l'homme ne pouvait pas s’y acheminer vers l'intérieur, ici en revanche il est assez large pour entrer.
Ailleurs sur le site, sur le versant nord de la colline, il y a un bâtiment rectangulaire nommé «le bâtiment à la colonne lion". Ses quatre piliers sont des représentations de créatures léonines, qui pourraient également être les tigres ou les léopards. Un pilier a un graffiti de 30 cm de haut d'une femme accroupie, qui semble donner naissance.
La spéculation sur Tepe Göbekli
Les fouilles à Göbekli Tepe sont toujours en cours, mais seulement un quart des 200 piliers T ont été découverts jusqu'à présent, et toutes les structures importantes n’ont pas été déterrées. En bref, d'autres surprises peuvent être en magasin. Il est donc trop tôt pour tirer des conclusions importantes, mais que signifie tout cela? Le site démontre définitivement que les choses qui nous paraissaient beaucoup plus récentes sont beaucoup plus anciennes et toutes les personnes présentes sur ce seul site en sont les premiers témoins. Qui aurait osé imaginer il y a encore quelques décennies que, dans cette région, une civilisation digne de ce nom existait dans le 10e millénaire avant J.-C.
Klaus Schmidt considère Göbekli Tepe comme "le premier temple de l’humanité» et «un sanctuaire du chasseur de l'âge de pierre". Il voit le site dans le cadre d'un culte de la mort, pas spécifiquement lié à un groupe sédentaire, mais plutôt comme un type de sanctuaire central pour plusieurs tribus vivant dans la région. Les animaux sculptés sont soupçonnés d'avoir été là pour protéger les morts. Au Çayönü, comme décrit précédemment, il y a une structure protégeant une sorte de cave pour contenir des crânes et des ossements humains. Jusqu'à présent, cependant, Göbekli Tepe n’a donné aucune preuve d’une quelque habitation et semble donc avoir été purement un centre religieux.
Une fois de plus, il semble que, tout comme les anciens Égyptiens, la civilisation qui a construit Göbekli Tepe a beaucoup plus tenu compte de leurs édifices religieux que pour toutes les structures de nature "pratique" ou plus matérialiste. Pourtant, sur le site du complexe B, malgré les fouilles au niveau du sol, aucun tombeau ni de sépultures n’ont été trouvés à ce jour.
Certains ont exprimé des critiques quant à savoir si les chasseurs-cueilleurs ont pu créer une telle structure dans Göbekli Tepe. Et pourtant les faits sont là.
Schmidt soutient que les chasseurs-cueilleurs étaient convoqués sur le site à certaines périodes de l'année. Que ces réunions ont été déterminées par les cycles solaires ou lunaires cela reste néanmoins une hypothèse. De même, on peut logiquement conclure que ceux qui ont construit le site ont vécu là-bas aidés de ressources apportées par des fidèles. Les archéologues ont estimé que jusqu'à 500 personnes auraient été nécessaires pour extraire des piliers de 20 tonnes et pour les déplacer de la carrière à leur destination, sur une distance allant de 100 à 500 mètres. Toutefois, Schmidt croit effectivement que le maintien de la communauté des constructeurs a été la véritable raison pour laquelle nos ancêtres ont "inventé" l'agriculture: ils ont commencé à cultiver les herbes sauvages sur les collines afin de soutenir cette population sédentaire. En bref, il croit que «la religion a été inventé pour forcer et motiver les gens à faire de l'agriculture".
Effectivement, un peuple de cueilleurs ne se nourrissant exclusivement que de fruits, de baies sauvages et de racines, et buvant l’eau des sources et des fleuves, ne pourrait pas travailler sinon à travailler aux arts, aux sciences et aux jeux, etc. Une population aussi libre ne peut accepter l’esclavage. L’agriculture serait la première conséquence qui représenterait la première apparition du totalitarisme politique aidée d’une religion verticale puissante. Le changement alimentaire a peut-être dû générer une modification générale des mentalités. Les temples autrefois pacifiques, philosophiques, chamaniques, magiques, auraient été détourné de leur utilisation. Les nouveaux enseignements auraient encouragé à manger des lapins, des porcs, etc, pouvant conférer aux humains la même force et les mêmes caractéristiques que les fauves puisque ceux-ci étaient carnivores.
Le même raisonnement primitif et raciste envers les animaux appliqué au genre humain donnera le cannibalisme. Les tribus faibles n’étant que des ersatz d’animaux qui s’ignorent pour ces nouveaux capitalistes de l’âge de pierre. L’apparition de l’agriculture, en plus d’être aussi la conséquence de la disparition d’arbres fruitiers, est ainsi liée au monothéisme, à la chasse, à l’alimentation carnée et au cannibalisme, au totalitarisme, à l’exploitation économique de l’homme par l’homme, à tout ce qui a crée le malheur des hommes. Et la Bible garde un souvenir de cette époque car dans la genèse Dieu crée l’homme et la femme végétariens, puis, chassés du paradis terrestre, leurs enfants offrent des sacrifices au nouveau dieu du mal ; Abel sacrifie de la viande et Caïn des fruits et des baies, et ce nouveau dieu mauvais préfère l’offre d’Abel à celle de Caïn…La messe est dite !
Ainsi il apparaît que la nature se dégradant à cause de son exploitation sans bornes, cela détruit beaucoup trop d’arbres fruitiers et les incendies de forêts, la sécheresse font disparaitre les sources d’eau. On crée l’agriculture, on force au travail abrutissant et on crée le mythe du péché originel. C’est une hypothèse valide si on prend la perspective qu’à l’époque la destruction des forêts nourricières est la seule solution pour imposer ce système totalitaire de l’industrialisation et du culte du pouvoir suprême qui met un terme aux temps chamaniques.
L’âge d’or se termine dans le sang et le feu. Aujourd’hui, dans les régions du tiers-monde et même aujourd’hui en Europe, les firmes privées payent des gens pour faire des incendies volontaires afin d’accentuer leurs monopoles alimentaires et produire une hausse des denrées. Tout cela dans le but de détruire en Europe, comme c’est le cas malheureusement pour l’Afrique, toute forme d’autonomie alimentaire. Ce qui a pour conséquence des famines, des maladies et des conflits armés sans fin.
En plus de paraître avoir une signification rituelle, Göbekli Tepe, avec ses gros blocs de pierre décorés avec goût, révèle que ses créateurs avaient une capacité extraordinaire et une familiarité avec la maçonnerie en pierre et la sculpture. Que nos ancêtres il y a plus de 10,000 ans étaient tellement qualifiés est une découverte archéologique qui réduit à néant le faisceau de croyances sur l'origine de la civilisation.
Comme pour les sculptures, pourquoi certains et pas d'autres animaux choisis? Pourquoi les représentations ne semblent pas avoir une organisation claire ou apparente, mais semblent être une collection assez aléatoire? La vérité est que nous ne savons pas. Dans les civilisations plus tard, tous ces animaux ont reçu des attributs divins. Certaines cultures ont choisi de représenter les serpents parce que ces animaux perdent leur peau, ils été donc considérés comme un symbole de renaissance. D'autres ont opté pour le même animal pour des raisons différentes. Jusqu'à présent, il n'y a aucun moyen de savoir quelles étaient les croyances des créateurs et des utilisateurs du lieu Göbekli Tepe.
Certains observateurs ont fait remarquer que certaines des grues sont représentées avec les genoux de l'homme et ont suggéré qu'une forme de chamanisme a été pratiquée à l'intérieur de ce temple. Les autres sites ont révélé des sculptures d'un mélange de l'animal et de l'homme, en particulier celle du corps humain doté d'un oiseau à tête humaine. Comme cela s'est passé des milliers d'années plus tard, les anciens Egyptiens utilisaient ce symbole comme un hiéroglyphe pour représenter le ba, l'âme de l'homme libéré du corps au moment du décès ou pendant le vol chamanique.
Andrew Collins a particulièrement insisté sur le potentiel chamanique de ces sites dans la Turquie moderne. L'image de la femme a été représentée nue montrant ses cheveux sous la forme d'un chapeau de champignon hémisphérique. Le côté d'un pilier à Göbekli Tepe comprend une série de serpents avec des têtes en forme de champignon, quatre se tournent vers la même direction et un cinquième monte à leur rencontre, tandis que d’autres serpents entrelacés, sur un autre pilier, portent des bonnets en forme de champignon, huit en haut et neuf au fond. Est-ce la preuve d'un rituel impliquant les champignons hallucinogènes ou autres substances psychotropes?
Des os de vautours ont été trouvés à Nevali Cori, Göbekli Tepe et Jerf el-Ahmar (en Syrie). Une grotte communal, Shanidar, dans les monts Zagros au nord de l'Irak, contenait une série d'ailes d'oiseaux "recouvertes d'ocre rouge ». Les restes ont été datés de 8870 av JC. Les ailes sont soupçonnées d'avoir été utilisées dans une cérémonie, mais précisément la manière reste inconnue. Toutefois, il est connu que, dans un passé lointain, les gens de cette région plaçaient les corps des morts sur des constructions hautes et laissaient les vautours manger leur chair. Les représentations d'une telle coutume d’exhumation macabre au néolithique ont été trouvées sur une peinture murale dans Çatal Höyük. Fait intéressant, des ossements humains ont été récemment trouvés dans le sol qui occupait autrefois les niches derrière les mégalithes à Göbekli Tepe. Schmidt affirme: «... les anciens chasseurs amenaient les cadavres de leurs parents ici, et les installaient dans des niches de pierres. Les cadavres ont ensuite été exhumés. "Pas seulement des vautours mais les animaux sauvages semblent avoir pris part à ce rituel. Cela peut expliquer pourquoi tant d'animaux sont représentés sur les piliers T: peut-être que le peuple qui a construit ces sites a estimé que "quelque chose" des morts vivaient dans ces animaux. Ou peut-être que cela faisait parti de rites consistant à forcer certains animaux à manger de la viande humaine pour les rendre belliqueux, dans le but de les dresser et d’en faire des armes de guerre utiles.
Berceaux de la civilisation
Ce qu'on sait c'est que Göbekli Tepe et ses emplacements de sites gémellaires ont repoussé l'âge du bâtiment monolithique beaucoup plus loin dans le temps. Auparavant, nous avons cherché à l'orée de Stonehenge et des pyramides d'Egypte, mais nous constatons maintenant que nos ancêtres étaient capables de transporter des pierres massives et de construire leurs propres constructions autour de 12.000 ans. Même si une structure comme le Sphinx a été souvent considéré comme une sculpture posée sur une autre bien plus ancienne datant aux alentours de 10.000 ans, la réaction immédiate pourrait maintenant être: «Et alors? Ce n'est pas un cas unique. » Les événements tels que la disparition de l'Atlantide ou de la Grande Inondation reprennent d’autant plus de crédibilité.
Notre histoire ancienne est devenue beaucoup plus intéressante et complexe. Les cultures qui ont suivi la création de Göbekli Tepe avaient domestiqué les porcs, les moutons, les bovins et les caprins et les espèces de blé cultivées telles que l'engrain. En effet, une analyse récente a montré que la première culture de blé domestique a eu lieu à Karacadag, une montagne à 32 kilomètres de Göbekli Tepe. Autres céréales domestiques tels que le seigle et l'avoine ont également leur origine ici. Selon Schmidt, cette aventure a commencé 8000 avant JC.
Il est facile et tentant de mettre sur cette région une étiquette comme "le berceau de la civilisation», mais autre fait avéré, c'est qu'il a déjà été démontré que le maïs a été conçu au Mexique dans le même temps, seulement il faut souligner ici combien les frontières de la «civilisation» sont repoussées sur les deux continents. En fait, il existe des preuves de moutons de Barbarie cultivés par nos ancêtres en Afrique du Nord dès 18.000 av JC. En outre, quelques grains de blé amidonnier ont été trouvés sur le site palestinien de Nahal
Oren, ce qui suggère que la culture de cette plante s'est produite il y a aussi 14.000 av JC.
En tous les cas, il est clair que Göbekli Tepe n'est pas le seul site de cette période. Il peut recevoir le grand mérite d’avoir braqué les projecteurs sur cette période fascinante, mais un autre site, Karahan Tepe, 63 km à l'est de Urfa dans les montagnes Tektek, mérite l'attention. Découvert en 1997 et étudié par l'archéologue Bahattin Çelik de la Société Historique Turque, il a été daté de 9500-9000 av JC. Il y a un certain nombre de piliers T ainsi que les hauts-reliefs d'une fresque de serpents et d'autres semblables à ceux de Göbekli Tepe. Couvrant une superficie de 325.000 m2, Karahan Tepe est beaucoup plus grand que Göbekli Tepe. Les piliers en pierre sont espacés de 1,5 à 2,0 mètres et dépassent au-dessus du niveau du sol, en attente d'un archéologue pour les exposer pleinement. D’autres pierres sculptées comprennent le torse d'un homme nu et de la roche polie par des formes de chèvres, de scorpions, de fourmis, de gazelles et de lapins.
Il est trop tôt pour tirer des conclusions à partir de ces sites extraordinaires, en dehors du fait que notre histoire n'est plus ce que nous connaissions. Mais, tout comme Jericho a prouvé en partie que la Bible contient des faits historiques, ces sites peuvent encore justifier certains des mythes sumériens, qui affirme que l'agriculture, l'élevage et le tissage a été apporté à l'humanité de la montagne sacrée Du-Ku, qui était habitée par les divinités Anunnaki. Bien qu'il soit peu probable que cette montagne ait été Göbekli Tepe, nous sommes probablement
dans les environs à la frontière des montagnes du Taurus.
Autour de 8000 avant JC, les descendants des créateurs de Göbekli Tepe ont abandonné les réalisations sur leurs ancêtres et enseveli leur temple sous des milliers de tonnes de terre, obtenant la création de la colline artificielle, un "ventre", un tumulus immense que nous voyons aujourd'hui. Si des découvertes ont lieu, donnez-nous les informations, faites nous part des découvertes que nous n'hésiterons pas à publier sur notre site.
Pourquoi ont-ils fait ce genre de tumulus demeure une réponse inconnue, mais c'était une décision qui a permis de conserver le monument pour la postérité, malgré une quantité extraordinaire de temps et d'efforts. Schmidt fait valoir que le paysage local a commencé à changer à cette époque: que les arbres ont été abattus, le sol a commencé à perdre de sa fertilité, le secteur est devenu aride et nu, et les gens étaient forcés de se déplacer ailleurs. Serait-ce à cette époque qu'ils ont commencé à faire leur descente et, mille ans plus tard, mis en place ce qu'on appelle la civilisation sumérienne?
Un tel scénario n'est qu'une possibilité.
Même dans l'Égypte ancienne, les constructions religieuses ont souvent été abandonnées si elles ne sont pas démantelées avant après un certain temps parce qu'elles appartenaient toujours à "cycle" de temps précis. Si tel était le cas avec Göbekli Tepe, cela voudrait dire que la connaissance de l'astronomie remonte à la nuit des temps. Les cinq dernières décennies ont radicalement transformé notre compréhension de la période 10,000-4000 av JC, plus précisément le niveau de "civilisation" que nos ancêtres avaient atteint à cette époque, cela désormais ne devrait plus surprendre personne. Et il semble que c'est une donnée que quelque part, même des villes plus anciennes sont en attente d'être découvertes.
Toutefois, il est également clair que l'entrée dans la mentalité de ces chasseurs-cueilleurs, au vu de leur rapport aux animaux et à la mort, exigera des années d'étude. D’où leur venait leur savoir, leur art de l’architecture ? Existerait-il quelque part une civilisation encore plus ancienne ? Hélas, c'est un domaine où les archéologues osent peu à cause d’une culture trop maigre et conservatrice qui ne se recoupe pas avec d’autres cultures, d’une ignorance grandissante et d’un mépris brutal institutionnalisé concernant les travaux d’archéologues non occidentaux (exemple : l’archéologue musulman qui a découvert les pyramides de Bosnie), d’un matérialisme pesant et d’un manque d’imagination spéculative déconcertant. Déjà, d'autres sites sont en lice pour voler la gloire de Göbekli Tepe. L’un de ces sites a été mentionné précédemment, celui de Jerf el-Ahmar, situé le long de l'Euphrate en Syrie, a été daté de 9600-8500 av JC. D'autres sites seront certainement bientôt soumis aux mêmes applications. Il est probable qu'ils sauront tous nous révéler une autre partie de notre passé, mais ceci est une autre histoire.
Cet article, en collaboration avec Joseph Kirchner de Wikistrike qui livre ici une version approfondie et unique de l’article, est paru dans sa version précédente dans Nexus Magazine, Volume 16, Numéro 4 (Juin-Juillet 2009) et Darklore (tome 4).
Notre ami Robert M. Schoch, légende vivante de l'archéologie contemporaine, s'est rendu à Göbekli Tepe.
Confirmation du culte des champignons hallucinogènes suspecté à Göbekli Tepe :
Les Européens consommaient-ils des champignons hallucinogènes il y a 6000 ans ?
13 dessins retrouvés dans la grotte de Selva Pascuala, en Espagne, intriguent les chercheurs. Ils pourraient représenter des champignons aux propriétés hallucinogènes.
Pour les paléontologues, ça ne fait guère de doute. Nos ancêtres se défonçaient aux champis, probablement dans le cadre de rites religieux de types chamaniques. La question est de déterminer à quand remonte cette pratique.
Dans cette grotte proche du village de Villar del Humo, où l'on distingue clairement une peinture représentant un taureau, deux chercheurs ont repérés ce qui semble être la représentation du champignon hallucinogène local, le Psilocybe hispanica.
La forme du dessin correspond en effet à celle du Psilocybe hispanica, qui a la particularité de ne pas posséder d'anneau. "Son pied varie également de droit à sinueux, comme sur la peinture murale", note un des chercheurs cité par New Scientist.
Ce serait la plus ancienne preuve de consommation de champignons hallucinogènes en Europe. Il existe toutefois en Algérie une trace antérieure : un dessin représentant l'espèce du Psilocybe mairei datant d'il y a 7000 à 9000 ans. |
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source: wikistrike.com
La cité perdue de Machu Picchu
Machu Picchu. Tiahuanaco et les Mystères des Cités Incas
A l’arrivée des conquistadors espagnols au 16è siècle, l’empire Inca s’étendait le long de la côte pacifique et de la cordillère andine, de la frontière nord de l’actuel Equateur jusque dans le Chili central, englobant l’ensemble du Pérou et la quasi-totalité de la Bolivie.
Les différentes parties de ce vaste empire étaient reliées entre elles par un réseau de routes. Les forces espagnoles surent d’ailleurs tirer profit de ces routes pour avancer jusqu’au cœur de l’empire Inca.
Extermination et destructions ont malheureusement fait perdre à jamais à l’humanité une grande partie des richesses de cette civilisation. Les sites archéologiques qui sont parvenus jusqu’à nous restent pour la plupart des énigmes.
Machu Picchu ou Tiahuanaco nous transmettent un savoir et nous délivrent des messages importants pour l’avenir de l’humanité.
Je suis intimement persuadée que les légendes ne sont pas le fruit de l’imagination de quelques peuplades primitives. Héritage oral pour la plupart, elles sont là pour nous rappeler que, malgré toute notre technique sophistiquée, il nous reste le plus important à apprendre.
Saurons nous les déchiffrer à temps ?
Machu Picchu : la cité perdue des Incas
Machu Picchu n’a jamais été découvert par les conquistadors et les missionnaires espagnols. Elle a ainsi pu échapper aux pillages.
Vue d'ensemble de Machu Picchu. Image robennals
Ce n’est qu’en 1911 que Hiram Bingham, jeune explorateur américain, découvrit cette cité.
De tous les grands sites archéologiques qui témoignent de la puissance de l’empire Inca, le plus surprenant est Machu Picchu.
Cette cité se dresse à un endroit presque inaccessible. Elle demeure une énigme et on ne sait toujours pas à quand remonte sa construction.
Murs et maisons qui relient les différents niveaux des terrasses. Image Amy Allcock.
Les ruines se situent à 2 800 m d’altitude, entre deux pics andins appelés Huayna Picchu (jeune pic) et Machu Picchu (vieux pic).
C’est un lieu d’une beauté inouïe et unique dans le monde.
"Secteur agricole" situé en dehors de la cité. Image Carnaval King 08
Quand a été bâti Machu Picchu ?
Les archéologues traditionalistes s’accordent à dire que la construction ne peut remonter avant le début du 15è siècle.
Mais d’autres archéologues ont contesté cette hypothèse.
Machu Picchu est un lieu unique. Image 00dann .
Rolf Müller, professeur d’astronomie, qui a étudié le site a affirmé dans les années trente que les vestiges comportaient des alignements astronomiques significatifs.
En appliquant des calculs complexes, il en arriva à la conclusion que la cité avait été construite entre 4 000 et 2 000 avant notre ère.
Construction circulaire qui serait un observatoire astronomique. Image auntjojo
Bien évidemment, cette théorie est considérée comme une hérésie. En effet, cela voudrait dire que Machu Picchu est plus ancienne que la pyramide de Kheops.
Le lac Titicaca
La Paz, capitale de la Bolivie, est nichée au creux d’un cirque situé à plus de 3 000 m au dessus du niveau de la mer.
Le lac Titicaca se situe aujourd’hui à près de 4 000 m au dessus du niveau de la mer.
Les alentours du lac sont jonchés de coquillages fossilisés.
Bien que vivant à plusieurs centaines de kilomètres de l’océan Pacifique, les poissons et crustacés du lac appartiennent en majorité à des espèces océaniques.
Lac Titicaca . Image Julia Manzerova .
Sa faune marine démontre que le lac était autrefois plus salé. En fait, il est évident que les eaux étaient marines.
Donc, à une certaine époque, l’ensemble de l’Altiplano a été soulevé. Les eaux marines ainsi que sa faune se sont retrouvées emprisonnées dans les Andes.
Cette précision géologique est importante pour comprendre les contradictions manifestes entre ce que nous livrent les sédiments et les roches et la théorie officielle sur la construction de Tiahuanaco.
Lac Titicaca . Image quinet
A moins de 20 km du lac et plus de 30 m au dessus des côtes actuelles, se dressent les vestiges monumentaux de Tiahuanaco.
Tiahuanaco : la cité du mystère
Dès le 16è siècle, les conquistadors entendirent parler de légendes entourant cette cité. Ils y découvrirent des ruines abandonnées depuis déjà longtemps.
Depuis, plusieurs chercheurs entreprirent des études archéologiques pour dater l’origine de la cité.
Arthur Posnanski conclut que les origines de cette cité remonteraient à plus de 10 000 ans. Les archéologues plus orthodoxes exprimèrent leur désaccord et avancèrent comme date la plus ancienne 100 ans avant notre ère.
Monolithes dressés au centre de l'enceinte du temple. Image So_P
Le point le plus déroutant est que la cité avait autrefois un port, les vestiges sont là pour en attester. Ce port était situé sur le rivage du lac Titicaca.
Donc ces vestiges que nul ne peut nier posent le problème suivant :
Les grandes transformations géologiques s’effectuent sur de très longues périodes. L’ensemble de l’Altiplano a été soulevé, sans doute à l’occasion des bouleversements géologiques qui présidèrent à la formation de l’Amérique du Sud.
Il est prouvé que Tiahuanaco était autrefois au bord du lac. Partant de ce fait, soit depuis sa construction, le niveau du lac a considérablement baissé ; soit, le terrain sur lequel se situe la cité s’est surélevé.
Le problème c’est que le soulèvement de l’Altiplano s’est produit avant l’apparition de l’homme.
Le Fraile, une des sculptures les plus importantes de Tiahuanaco. On ignore le rôle et l'identité de ce personnage. Image So_P .
Alors quand Tiahuanaco a-t-il été construit ?
Le Professeur A.Posnansky a consacré 50 ans à étudier la cité. Il a livré ses conclusions dans un ouvrage intitulé Tiahuanacu : The Cradle of American Man.
Il y expose ses calculs archéo-astronomiques qui ont été corroborés par plusieurs savants dont le Docteur Hans Ludendorff (Directeur de l’observatoire astronomique de Postdam à l’époque), plusieurs astronomes et astrophysiciens.
Sa conclusion est la suivante :
Les alignements solaires des diverses structures ont été déterminés en fonction d’observations des cieux.
Les astronomes confirment que cette observation est largement antérieure à 500 avant notre ère.
La date de – 15 000 ans avancée par Posnansky est beaucoup plus vraisemblable.
Tiahuanaco a donc été édifié bien avant l’aube des temps préhistoriques.
Des espèces disparues
Le monument le plus spectaculaire de Tiahuanaco est sans conteste la Porte du soleil. Pesant 10 tonnes, elle est célèbre pour les frises de son linteau.
La porte du soleil. La frise du grand linteau représente des personnages ailés, dominés au centre par le dieu aux Sceptres, baptisé Viracocha. Image So_P .
On peut distinguer sur la base de cette frise une tête d’éléphant. Le dessin est inattendu car les proboscidiens ont disparu d’Amérique du Sud à la fin du Pléistocène c’est-à-dire il y a 10 000 ans.
.Posnansky . Tiahuanacu : The Cradle of American Man
Une autre espèce identifiée qui apparaît est le Toxodon, un mammifère amphibien qui a prospéré en Amérique du Sud à la fin du Pliocène (1,6 millions d’années) et s’est éteint à la fin du Pléistocène (vers – 12 000 ans).
On trouve pas moins de 46 têtes de toxodontes ciselées dans la frise.
Les narines proéminentes de cette représentation sont celles d'un animal semi-aquatique.A.Posnansky . Tiahuanacu : The Cradle of American Man
L’animal apparaît également sur des poteries.
D’autres représentations d’espèces disparues ont été découvertes sur le site : le Shelidoterium et le Macrauchenia.
Le Macrauchenia était un ongulé sud-américain qui a disparu il y a 10 000 ans.
Macrauchenia. "Sur la Terre des Monstres Disparus". BBC 1996.2002
Il est à noter que la fin du Pléistocène a marqué une extinction de nombreuses espèces à travers le monde.
En effet, à la fin de cette période, tous les animaux porteurs de trompe, les éléphantidés, les félins aux dents de sabre, les chalicothères et bien d ‘autres espèces sur tous les continents se sont éteints.
Pourtant, les représentations sont bien là et par définition, on ne peut dessiner ou sculpter que ce que l’on connaît.
Ces animaux ont bien été représentés d’après nature.
Cela confirme sans aucun doute quoiqu’en disent les archéologues « traditionalistes » que Tiahuanaco a bien été construit avant la fin du Pléistocène.
Un site inachevé
Tiahuanaco n’a jamais été achevé. Les travaux et représentations ont été arrêtés comme si la civilisation qui avait érigé ces bâtiments s’était brusquement éteinte.
Il semble probable qu’un évènement brutal soit survenu. Un cataclysme semble avoir frappé la cité au onzième millénaire avant notre ère.
Statue mesurant 2,8 mètres de haut, appelée monolithe Ponce. Image Theodore Scott
La découverte d’une flore lacustre mêlée à des ossements humains tendrait à prouver qu’il s’agit d’une inondation.
Une chose est sure et les géologues le confirment, des tremblements de terre ont ravagé la région. Ils eurent pour conséquence de faire monter le niveau des eaux.
Le climat devint beaucoup plus froid.
Ce qui est encore plus surprenant c’est que la population n’a pas quitté Tiahuanaco immédiatement. En effet, on a retrouvé des preuves d’expériences agricoles sophistiquées.
Ces expériences semblaient avoir pour objectif de compenser la détérioration du climat.
Notamment, des analyses chimiques de plantes ont été effectuées.
Mais par qui ? A une époque où nos ancêtres vivaient encore dans des grottes.
Selon des articles parus dans le magazine Nature, la dernière inversion géomagnétique a eu lieu il y a 12 400 ans.
Cette date coïncide étrangement avec la disparition de la civilisation de Tiahuanico et de nombreuses espèces animales sur Terre.
A quand la prochaine catastrophe planétaire ? La réponse est peut-être dans l’alignement des structures.
Nous ne le saurons sans doute jamais, de même que cette civilisation restera probablement une légende aux yeux de la communauté scientifique traditionaliste. |
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Ville souterraine de Derinkuyu en Turquie
Un habitant de Derinkuyu découvre une ville souterraine en cassant un mur
Un habitant de Derinkuyu (dans la région de Cappadocia, l'Anatolie centrale, la Turquie), en cassant un mur de sa chambre , il découve stupéfié que derrière ce mur était cachée une pièce mystérieuse qu'il n'avait jamais vu et cela l'a mené de pièce en pièce à une autre et une autre et cela par le plus grand des hasards...sans le savoir il avait découvert la ville souterraine de Derinkuyu, dont les premiers pièces pourrait avoir été creusé par le Hittites autour 1400 av. J.-C.
Il s'est retrouvé à quarante mètres de profondeur, mais on estime la profondeur à 85 mètres.
on a découvert 20 niveaux Seulement huit peut être visité aux niveaux les plus hauts; d'autres sont partiellement bloqués ou limités aux archéologues et les anthropologues qui étudient Derinkuyu.
Image de la ville souterraine de Derinkuyu
Appartement Derinkuyu
La ville a été utilisée comme un refuge pour des milliers de gens vivant au sous-sol pour la protection des invasions fréquentes qu'a subi Cappadocia, aux temps divers de leur occupation par les premiers Chrétiens.
http://rustyjames.canalblog.com/archives/2011/01/31/20264118.html
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Ces suppositions concernant les invasions Chrétiennes appartiennent à leur auteur, d'autres supposent que ces grottes auraient plus de 10000 ans et leur construction n'est aujourd'hui pas réellement comprise. Il existe en effet un vaste réseau d'aération, qui sont le signe d'une connaissance très poussée en ingénieurie.
La population estimée pouvant habiter dans cette ville serait de 20000 à 30000 personnes selon certains scientifiques. Ce sujet est abordé dans la 2eme saison de "Anciens Alient" disponible sur ce site internet.
Autres article :
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De l'extérieur, il faut savoir qu'elle est là pour la repérer. Il faut la chercher. L'entrée n'est qu'un petit bâtiment de terre battue, guère différent des maisons qui l'entourent. Ce n'est qu'une fois cette porte franchie que commence la longue descente dans la ville sous la ville, dans la cité souterraine de Derinkuyu.
En Cappadoce, la roche volcanique est friable. Alors on y a toujours creusé. Des églises, des maisons, des monastères, des villages entiers. Et quand il fallait se protéger, on ne creusait plus à la surface, dans les collines, mais sous la terre. Personne ne sait vraiment combien de villes souterraines sont encore dissimulées dans le sol de Cappadoce. On en a déjà retrouvé cent cinquante, on estime qu'il en reste au moins autant à découvrir. Si vous discutez avec les gens, vous tomberez vite sur quelqu'un qui vous dira que son beau-frère a déniché une entrée dans son jardin, mais qu'il garde le secret pour que les archéologues ne ravagent pas ses plantations...
Ici, on n'a jamais aimé se battre. Cultiver et vivre en paix, voilà une bonne manière de laisser les jours couler. Mais certains en décidaient autrement. Les pillards passaient, année après année, été après été, les Arabes, les Mongols, même les Croisés, ces frères de religion, qui ne regardaient pas contre qui ils tiraient l'épée. Il fallait survivre en dépit de tout. S'enfermer loin du soleil en attendant la fin des razzias. Vivre au sein de la terre.
Au premier niveau sont installées les étables. Dans la roche si tendre sont creusées de petites mangeoires, et vous voyez les trous où se plantaient les anneaux pour attacher les bêtes. Oui, les animaux au premier niveau. Pour que l'odeur des déjections s'évacue le plus vite possible. Ensuite, un long couloir, terriblement étroit, s'enfonce en pente douce vers les profondeurs. Au milieu du parcours, une grande roue de granit trône sur le côté, attendant d'être roulée pour bloquer le passage. Les assaillants devaient d'abord briser la pierre, puis s'avancer un par un, en file indienne, à la rencontre des défenseurs.
Plus bas, vous arrivez à un second niveau où de grands espaces servaient de cuves de stockage pour les aliments. Au bout, un autre tunnel qui continue à descendre. Avec sa porte au milieu. Dans les niveaux inférieurs, toujours plus bas, ce sont les quartiers d'habitation. Une pièce par famille, et tous ces minuscules couloirs, ces petits escaliers aux marches usées par les pas, voilà l'espace de vie. Certaines salles, plus grandes, étaient utilisées pour l'école ou encore une fois pour le stockage. Ce trou, là, c'était le bain des baptêmes. Et celui-ci, l'endroit où le vin fermentait. Au huitième et dernier niveau, à soixante mètres de profondeur, il y a l'église, deux couloirs qui se croisent en formant une croix chrétienne. Quant à cette excavation en demi-cercle, juste à côté, c'était le confessionnal. Le pécheur entrait à gauche, le prêtre à droite, et le rocher abritait leur conversation.
Si vous venez à Derinkuyu hors saison, et que vous avez la patience d'attendre, vous pourrez en profiter en solitaire. Tout bruit s'éteint alors, il ne reste que le silence, le rien, à tel point que vos oreilles se mettent à bourdonner. Elles ont désespérément besoin d'entendre quelque chose. Le battement de votre coeur, le flux du sang dans vos veines. Du fond de la cité, vous jetez un coup d'oeil par le puits d'aération. Là-haut, tout là-haut, le rond de ciel bleu est si loin qu'il semble étranger. Après avoir absorbé encore un peu de silence, vous entamez la remontée. Lentement. Car votre respiration, justement, s'est faite plus lente, plus ample. Vos gestes sont devenus plus coulés, ils accompagnent la pierre et les murs si proches au lieu de se battre contre eux. La main sur une colonne, vous sentez le froid envahir votre bras, vous regardez votre haleine dessiner des nuages de vapeur dans l'air des profondeurs. C'est le moment, avant de sortir, d'explorer les recoins où il faut se mettre à quatre pattes pour progresser avant d'être bloqué par un éboulement ou une nouvelle porte de granit. Vos sens se font plus aiguisés, vous ressentez, de pièce en pièce, les différences d'humidité, de sonorité, d'odeur.
Vous ressortez enfin. Le soleil est là, il vous réchauffe, vous l'aviez oublié. Pendant quelques minutes, vous avez l'impression d'avancer à une allure plus réduite que le monde qui vous entoure. Et vous essayez de réaliser pleinement que dans cet espace souterrain où vous aviez trouvé la paix et le calme, vivaient entassées dix mille personnes qui se croisaient en rasant les murs, et qui, heure après heure, tandis que les pillards passaient, se languissaient de ce monde extérieur où vous avez eu tant de mal à revenir.
http://www.1000jours1001nuits.net/voyage/carnet/index.php?file_carnet=TUR_derinkuyu.txt |
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Après ce qui est possible également, c'est que l'humanité a évoluée jusqu'à un stade similaire au notre, au moins une fois dans l'histoire, et peut être plus. Et que des événements destructeurs, des cataclysmes, des apocalypses cycliques ont tout détruits, et que seul ceux qui s'y étaient préparé ont pu survivre.
Si ça arrivait aujourd'hui, seul ceux qui possèdent suffisamment de technologie et d'argents pour créer des bunker géant pourrai survivre, et alors, lorsqu'ils sortirait de terre des générations plus tard, leur technologie pourrait être prise par nos futurs descendants comme celles de "dieux".
Alors de nouvelles religions seraient crée, et l'histoire recommencerai à nouveau.
Ce n'est qu'une hypothèse. |
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xo a écrit: Il est a l'origine des idées sur les reptiliens si je ne m'abuse?
Pas exactement
L'idée de premiers visiteurs reptiliens vient des premières traductions des tablettes sumériennes qui relataient elles mêmes des fameux Annunaki.
Ce qu'il y a d'atypique avec A. Parks, c'est sa rigueur à tjs citer ses sources, à illustrer ses ouvrages des glyphes auxquels il fait allusion dans certains passages, à illustrer également d'artéfacts.. mais avant tout, son leitmotiv.
Il affirme avoir reçu nombre de rêves, parfois éveillés, le mettant en situation dans des contextes historiques et environnementaux décalés.
Il précise qu'il ne pense pas qu'il s'agisse de channeling, je crois qu'il a tout simplement une bonne disposition à l'auto hypnose et qu'il se soit infligé du rebirth.
Va savoir, il n'empêche qu'il a par la suite investi un travail considérable d'investigation et s'est taillé une qualité de linguiste hors pair dans l'étude des langues de la mésopotamie antique (sumérien, akkadien, égyptien)...
Pour ce qui concerne les Annunaki, il parle bien d'une espèce de type reptilienne extra terrestre.
Pour le reste, je vous souhaite une bonne lecture.
Je me permet de revenir sur ces statues de l'île de Pâques, mais elles sont vraiment magnifiques. Au dos de l'une d'elles, on devine des glyphes. Dommage que ça ne fasse pas parti des nouvelles du JT... |
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Merci Annunaki ! Et merci à Wikistrike et d'autres sites qui publient ces infos !
Découverte d'une pyramide en Indonésie plus grande que celles de Gizeh !
Le mont Sadahurip à Garut, à l'ouest de Java, appelé "la pyramide de garut", est actuellement en train d'être examiné par des équipes d'archéologues pour voir s'il ne serait pas en fait une structure humaine. Surprise, la science penche dans ce sens:
En utilisant des instruments géoélectriques afin de mesurer la résistance des différentes couches géologiques, ils ont déterminé qu'effectivement cette structure ne pouvait pas être de formation naturelle. Un relevé 3D de la topographie locale supporte également l'hypothése humaine.
Les analyses au Carbone 14 révélent que la terre daterait de 6 000 avant Jc alors qu le sol plus profonfd est quant à lui daté de 7 500 avant JC. Preuve irréfutable !
Nous allons de surpirse en surprise:
Avant que les archéologues ne se mettent au travail, ils ont pénétré différentes excavations et ont trouvé un certain nombre de roches couvertes d'écritures. Exceptionnel ! WikiStrike vous les présentera bientôt...
Les calculs montrent que cette pyramide est plus grande que celles du plateau de Gizeh , la hauteur étant estimée à au moins 200 m et aurait été construite vers 10 000 avant JC, à peu près à la même période que le site de Göbekli Tepe, en Turquie, la plus anciennepreuve de civilisation au monde à ce jour.
La Deutsche Orient-Gesellscaaft (DOG) du professeur Bonatz , actuellement à la tête des recherches, va rencontrer Stephen Oppenheimer de l'université d'Oxford afin d'accéder à des fonds et ainsir accélérer les fouilles et déterminer la validité des récentes trouvailles.
Des surprises restent donc encore à venir...
Vincent Rousseau pour WikiStrike
Source originale
Source : wikistrike |
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