La musique adoucit les moeurs
 
 
Sylvain
admin

11.11.2012 - 01h57

Musique pour méditation profonde... (à écouter dans les conditions appropriées )

[vidéos supprimées sur YouTube]

11.11.2012 - 09h28

Parfaitement ce dont j'ai besoin. Merci mec. (T'a vu qu'il est fort ce J. Goldman quand même... lol)

11.11.2012 - 09h55

[vidéo supprimée sur le site d'origine]


Nothing Else Matters (Rien d'autre n'a d'importance)

Nothing Else Matters est une chanson de Metallica, groupe de Trash Metal américain. Elle est la premiere grande balade du groupe et fut apparue dans le Black Album, en 1991.

Cette musique est à premiere écoute une chanson lente, justifiée par le sens de ses paroles, qui se résume à exprimer la tristesse du chanteur d'avoir été séparé d'une personne qu'il aime. Hetfield insiste sur le fait que, même séparés, les hommes doivent se souvenir de ce qu'ils ont ressentis.

Cette chanson vante aussi la force de l'amour, que James considère comme une confiance réciproque ouvrant vers de nouveaux horizons, il souligne aussi indirectement que même séparés, les êtres continuent de s'aimer ("no matter how far"). La chanson parle des aspects les plus importants de la vie : Hetfield nous dit qu'il faut croire en nous-même quoi qu'il arrive (couplet 1), qu'il faut vivre sa vie sans être influencé par les autres (couplet 2) et qu'il faut chaque jour ressentir de nouveles choses (couplet 3). La chanson aborde donc le thème de l'indépendance, obtensible uniquement si l'on ignore les pensées des autres (refrain).

L'interlude calme présent à la moitié de la chanson peut traduire le désinteressement dont Hetfield parlait dans le refrain. On pourrait donc penser qu'à part les points importants de la vie (croire en qui nous sommes, vivre sa vie, s'ouvrir à de nouveaux horizons, ne pas se préocuper des autres), rien d'autre ne compte (nothing else matters). Cette phrase est écrite dés le titre de la chanson et est récurente à chaque fin de couplet. Au niveau du son musical, la musique est très douce, moins violente que les précédentes créations du groupe, l'introduction (devenue mythique et très apprise par les joueurs de guitare amateurs) est mélodieuse et ceci n'est pas en contradiction avec le reste de la chanson : les couplets sont calmes et le changement de rythme lors du refrain reste parfaitement dosé. Vers la fin de la chanson, après que la chanteur ait exprimé sa joie par un "Yeahh ! " un solo commence, toujours en harmonie avec le reste, c'est à dire puissant bien que plus lent que ceux que le groupe avait jusqu'alors présenté.

L'orchestre que l'on entend derrière le groupe est là pour renforcer cet aspect mélodieux. Nothing else matters est une des plus grande réussites du groupe, non seulement par sa beauté et par la puissant de ses paroles mais aussi par le fait que c'est elle qui a permit de rendre le métal accessible à plus de monde qu'avant. La chanson a été reprise maintes et maintes fois, par Metallica comme par d'autres groupes (dont les instuments vont du piano aux violoncelles).

Nothing else matters, un nom dont on se souviendra.

13.11.2012 - 21h59


14.11.2012 - 22h20


14.11.2012 - 22h48



Merci Sylvain pour la découverte de ce morceau il y a quelque temps !

Lhex j'ai pensé à ce son avec notre discussion dans "bugs"
Sylvain
admin

15.11.2012 - 00h10

Ah, "Une table à 3" de Zen Men... Un morceau charmant et inspiré, tout est dans les paroles, écoutez et savourez !

15.11.2012 - 13h40



Thank's Xela pour la découverte du groupe

16.11.2012 - 22h45

Bonsoir,

Quitte à être un peu alternatif avec la tendance électro, ci après de vrais instruments et, me semble-t-il une vraie émotion... le concert commémoratif de la mort de George Harrison , 1 ans auparavant..

Il a été très difficile de sélectionner les moments de cette soirée (il y en a 4 ci-dessous qui, de mémoire, sont présentés de façon chronologique.

A cet égard, il est possible de télécharger sur Itunes le documentaire de Martin Scorsese sur George Harrison (un peu plus de 3 heures avec des témoins exceptionnels de la réalité des 60's et 70's

Je trouve qu'il a quelque chose de profondément humain au cours de cette cérémonie... Il y a l'amitié, la mémoire... Il y a l'amour... l'amour de musiciens pour leur pote, l'amour de leur propre mémoire, l'amour du public...











17.11.2012 - 05h05

En réponse directe, Zurvan, de Sir Richard Bishop, tiré de "While My Guitar Violently Bleeds" :

http://www.youtube.com/watch?v=b7tnkgLu5_Q