Ce reportage sur Tesla parle d'une expérience ayant mal tournée ayant détruit son atelier. D'autres sources parlent d'un règlement de compte avec sont investisseur qui n'appréciait pas le concept d'une énergie qu'il ne pouvait pas maîtriser et commercialiser.
Aujourd'hui, en plein "pic oil", dans une société ultra-dépendante à l'énergie, le nom de Tesla reviens dans certaines mémoires.
La vidéo parle d'un Haarp Russe, cela me parait d'avantage être une sorte de générateur électriques utilisant une énergie oubliée de beaucoup de monde ...
Pour ceux qui veulent aller plus loin, ci dessous une présentation d'un scientifique nommé Nassim Haramein, qui expose un certain nombre d'idées dérangeante sur un nouveau modèle structurel de l'univers. Un modèle ou l'énergie et à l'intérieur de tout, même du vide.
References
1. (a) Haramein, Nassim and Rauscher, Elizabeth A. (2003). “A Consideration of Torsion and Coriolis Effects in Einstein's Field Equations”, Bull. Am. Phys. Soc. S10016, Four Corners, AZ, Oct. 24.
(b) Haramein, Nassim and Rauscher, Elizabeth A. (2004). “The Origin of Spin: A Consideration of Torque and Coriolis Forces in Einstein's Field Equation” (abstract), Journal; in: R. L. Amoroso, B. Lehnert & J-P Vigier (eds.), Beyond The Standard Model: Searching For Unity In Physics (Proceedings of the Paris Symposium Honoring the 83rd Birthdayof Jean-Pierre Vigier) (pgs. 153-168). The Noetic Press, 2005.
2. Haramein, Nassim. (2004). “The Geometry of Space”, Publisher.
Déjà en 1980 après la chute du Shah d'Iran, mis en fonction après un coup d'état comme président de l'Iran par les USA, le détroit d'Ormuz avait été au cœur des préoccupations. Il s'agissait alors de la 2éme crise pétrolière mondiale. Pour rappel, la première était un soulèvement des pays de l'OPEP contre Israël et la guerre du Kipour en 1973. Et la 2éme en 1979 pour les raisons évoquées.
Ces 2 crises sont bien entendu ridicule en comparaison à celle qui vient et qui sera non plus une simple crise politique d'acheminement, mais bel est bien le début de la fin du pétrole, et ses conséquences géopolitiques mondiales.
Voici un document INA qui nous replace dans les inquiétudes de 1979 et qui reste cruellement d'actualité après l'annonce ce Mardi 27/12/11 d'une éventuelle fermeture du détroit par l'Iran.
Concrêtement, la vague de froid qui touche l'europe depuis deux semaines, va tuer aussi des idées...
Avec ce pic de consommation d'electricité qui caractérise ce mois de février ... c'est une bataille décisive que les anti-nucléaires ont perdu.
Sans l'autonomie électrique que ce cher pays possède grâce au nucléaire ... nous ne pourrions pas subvenir à nos besoins gigantesques actuels.
La population ne comprend toujours pas que les plus gros consommateurs ne sont pas les foyers individuels ... que les solutions existent, et qu'il faut les mettre en application... pour beaucoup de monde, le nucléaire devient irremplacable.
Les politiques vont vite creuver les opinions opposées avec un argument en béton : "sans le nucléaire, nous serions tous morts de froid".
signefurax a écrit:
Concrêtement, la vague de froid qui touche l'europe depuis deux semaines, va tuer aussi des idées...
Comment veux tu enlever des idées a une majorité qui n'en a pas...???
On préfère chauffer des stades et éclairer jour et nuit les enseignes des magasins plutôt que de prévoir des accueils pour sans abris.
Des qu'on parle de privilégier l'essentiels, on nous traite de Nazis Vert et que vaut mieux ca que de retourner a la bougie...
Comme dirais un slogan vu en manif...Entre le nucléaire et la bougie, il y a des idées!
Si tout se passe bien, vous devriez bientôt pouvoir adjoindre à votre chauffage central actuel un dispositif révolutionnaire de 400 à 500 dollars / euros vous permettant de chauffer votre maison avec une simple cartouche recyclable à base de poudre de nickel, pour moins de 20 dollars/euros par an.
(...)
Sources pour cet article :
L?interview d?Andrea Rossi le 15 janvier par le journaliste scientifique Sterling Allan (Pure Energy Systems News). Résumé en anglais ici. Transcription de l?interview en anglais ici.
Catalyseur d'énegie de Rossi et Focardi (Wikipedia)
Pour en savoir plus :
L?E-cat a déjà été présenté sur Agoravox le 22/12/11 (lien) et le 29/10/11 (lien), au lendemain de la démonstration semi-publique décisive à Bologne, d?un générateur E-cat industriel de 1 mégawatt.
Publications scientifiques (en anglais)
A detailed Qualitative Approach to the Cold Fusion Nuclear Reactions of H/Ni , Prof. Christos E. Stremmenos, Journal of Nuclear Physics, Mai 2011
Report on heat production during preliminary tests on the Rossi ?Ni-H? reactor, Levi G., Université de Bologne, Italie, Janvier 2011
Hydrogen/Nickel cold fusion probable mechanism, Prof. Christos E. Stremmenos, Bologne Italie, Journal of Nuclear Physics, Décembre 2010
A new energy source from nuclear fusion, Focardi S. & Rossi A., Université de Bologne, Italie, Mars 2010,
(photo Z-machine de "Sandia", Albuquerque, Nouveau Mexique, USA)
La Z machine est un générateur de rayons X, le plus puissant au monde dans les années 2010. Elle est implantée dans les locaux des laboratoires Sandia à Albuquerque au Nouveau-Mexique, États Unis d'Amérique. Conçue pour soumettre des matériaux à des conditions extrêmes de température et de pression, elle est principalement utilisée dans le but de rassembler les données nécessaires à la simulation informatique des armes nucléaires. Elle ouvre de nouvelles perspectives dans l'étude de la fusion nucléaire car elle crée des températures de plusieurs milliards de degrés.
Les premières expériences avec la Z machine ont été menées en 1996 ; elles ont produit un rayonnement X d'une puissance supérieure à 200 térawatts (200×1012 watts).
L'utilisation de deux réseaux concentriques de fils au lieu d'un seul a porté en 1997 la puissance rayonnée à 290 térawatts, correspondant à une température de 1,8 million de degrés.
La première expérience réussie de fusion de deutérium dans la Z machine a été annoncée en avril 2003 ; la température atteinte était de l'ordre de 11,6 millions de degrés, le diamètre de la capsule de combustible ayant été réduit de 2 mm à 0,16 mm (160 micromètres) en 7 nanosecondes (7×10?9 s).
Le 8 mars 2006, Sandia annonce dans un communiqué officiel avoir obtenu accidentellement un plasma d'une température supérieure à 2 milliards de degrés au sein de la Z-Machine. Le responsable de projet Chris Deeney a ajouté avoir reproduit plusieurs fois l'expérience afin d'en valider le résultat.
Le 2 novembre 2006, Sandia annonce dans un communiqué officiel les avancées réalisées sur les capsules de diamant qui permettront à terme de contenir le carburant nucléaire.
Le 24 avril 2007, Sandia annonce que la Z machine dopée de générateurs LTD (Linear Transformer Driver) peut fonctionner avec des impulsions ultra-brèves, ce qui la rapproche un peu plus d'un générateur à fusion à haut rendement.
Dans des expériences récentes (2004-2005) dont les résultats ont été rendus publics par Sandia en mars 2006, l'augmentation du diamètre du réseau de fils et le remplacement des fils de tungstène par des fils d'acier ont permis de mesurer dans les plasmas produits des températures ioniques de 2 à 3 milliards de degrés. Elles sont très largement supérieures aux températures requises pour la fusion des atomes d'hydrogène, deutérium ou tritium, et permettraient, en théorie sinon en pratique, la fusion d'atomes d'hydrogène avec des atomes plus lourds comme le lithium ou le bore ; ces deux réactions présentent l'avantage d'être réellement propres, dans la mesure où elles ne produisent ni neutrons ni déchets radioactifs (fusion aneutronique), ce qui n'est pas le cas des réactions basées sur le deutérium et le tritium.
Pour la première fois, la puissance rayonnée a dépassé (d'un facteur 3 à 4) l'estimation de l'énergie cinétique développée lors de la compression du plasma. L'origine de ce surcroît d'énergie reste encore incertaine, car seules de rares tentatives d'explication ont été publiées.
La première en date est celle de Malcolm Haines, professeur et chercheur en physique des plasmas à l'Imperial College de Londres; elle met en avant l'apparition possible, lors de la phase finale de la constriction, d'une myriade de micro-instabilités magnétohydrodynamiques dont l'énergie cinétique serait transférée aux ions, augmentant ainsi la température du plasma, puis aux électrons, lesquels la libéreraient en émettant des rayons X.
Des installations similaires à la Z-machine existent dans d'autres pays :
en Chine, le générateur QIANGGUANG-I du NINT (Northwest Institute of Nuclear Technology), proche de Xi'an (Shaanxi);
en France, le générateur SPHINX (anciennement générateur ECF du projet SYRINX) du Centre d'essais de Gramat (Lot);
en Grande-Bretagne, le générateur MAGPIE de l'Imperial College de Londres;
en Russie, le générateur GIT-12 de l'Institut d'électronique des courants forts à Tomsk.
Mais en ce qui concerne la France, d'après J-P Petit, on est asbeen avec notre installation, nous ne possédons pas de réelle Z-machine, par contre on se concentre sur ITER et la vente d'installations nucléaire du lobby des énergies...
Pourquoi la France investit-elle encore du temps et de l'argent dans des projets dangereux et dépassés comme ITER ou DEMO, censé "produire des résultats" en 2050...?
Il semblerai que nous ayons trouvé une source d'énergie pratiquement infinie basée sur une technologie electro-pulsée déjà découverte par Tesla.
Il est donc possible d'utiliser une énergie illimité et non polluante en remplacement de toute les autres énergies, et surtout du nucléaire conventionnel, de ITER et autre gouffres financiers inutiles.
Pendant que l'élite scientifique, militaire et économique Française rêve, les Russes, les Américains, les Chinois nous devancent déjà largement en ce qui concerne les découvertes en ce domaine.
Différents articles relancent l'intérêt porté à la Z machine, que les Etats-Unis et les Russes considèrent comme un enjeu stratégique.
Un article du physicien Jean-Pierre Petit dans le n° 74 (mai-juin) de la parfois controversée mais néanmoins fort utile revue Nexus, relance l'intérêt porté à la Z machine, alors que beaucoup s'interrogent sur la possibilité de trouver des substituts au nucléaire de fission pour produire de l'énergie utilisable. Jean-Pierre Petit lui-même est un scientifique controversé, pour des raisons complexes dont son intérêt pour les Ovni. Mais ses compétences dans le domaine des plasmas à haute température et plus généralement en physique atomique devraient le rendre incontournable sur ces questions.
Quoiqu'il en soit, la Z machine n'est pas un produit inventé par Jean-Pierre Petit, mais un dispositif expérimental auquel s'intéressent de nombreux États et des laboratoires renommés. On en trouve une description à laquelle nous vous renvoyons sur Wikipedia . Cet article fournit un grand nombre de liens et de références que nous ne reproduisons pas ici.
La Z machine est le plus puissant générateur de rayons X au monde. Les rayons X sont des rayonnements électromagnétiques constitués de photons. Ils sont connus et utilisés, notamment en médecine, depuis plus d'un siècle. Il s'agit de rayonnements ionisants, c'est-à-dire qu'ils ajoutent ou enlèvent des charges électriques aux atomes traversés, les transformant en ions, particules qui ne sont pas neutres électriquement. Pour les organismes vivants, ils sont potentiellement nocifs.
La Z machine est installée dans les laboratoires Sandia à Albuquerque au Nouveau-Mexique,. Elle a été conçue vers 1975 à partir d'une idée relativement simple du russe Valentin Smirnov, envoyer dans une bobine de fils très fins de puissants courants électriques provoquant la fusion de certains de ses fils sous la forme d'un plasma à très haute température. Le procédé a été développé par les militaires américains à partir de 1996 pour contrôler des matériaux soumis à des conditions extrêmes de température et de pression. Notamment pour tester la résistance des enceintes à de fortes émissions irradiantes, par exemple les ogives nucléaires soumises à des armes anti-missiles susceptibles de rendre inopérants leurs circuits électroniques.
A la suite de plusieurs essais, il a été découvert que l'on pouvait obtenir pendant quelques nanosecondes des cordons de plasma pouvant atteindre quelques milliards de degré, soit des centaines de fois la chaleur régnant au coeur du soleil et dix fois celle d'une bombe thermonucléaire. Différents perfectionnement permettent désormais à la machine de se comporter comme un générateur de fusion nucléaire appliqué notamment au deuterium (isotope de l'hydrogène).
(...)
Cependant, les températures extrêmes produites par une Z machine, soit dans un espace de quelques millisecondes à quelques secondes jusqu'à deux milliards de degrés, seraient en principe suffisantes pour amorcer n'importe quel processus de fusion, réutilisable pour la production industrielle d'énergie. On pourrait donc éviter les investissements coûteux et les processus non encore maîtrisés liés au programme Iter.
Un centre d'étude internationale pourrait être mis en place pour étudier ces perspectives, mais les résistances de ceux qui veulent éviter la prolifération de « bombes H du pauvre », comme celle des organismes impliqués dans ITER, rendraient aujourd'hui cette perspective peu crédible. S'y ajoutent dorénavant l'opposition de principe des anti-nucléaires.
Nous pensons pour notre part que les Européens, par l'intermédiaire de telle ou telle des structures de recherche dont ils disposent, ne devraient pas laisser aux Américains et aux Russes, toujours très intéressés, le monopole de recherches futures sur la Z machine.
Jean-Paul Baquiast
Institut d'Etudes Politiques de Paris, DES de Droit Public et d'économie Politique. ENA. http://www.jean-paul-baquiast.fr/
11/05/2011
"ITER sera un Tokamak (terme inventé par les russes), dans lequel l'énergie magnétique est utilisée pour contenir un plasma chaud de manière continue dans un conduit annulaire (tore). C'est la technique du confinement magnétique. Le JET français était récemment encore le plus grand tokamak du monde. TORE SUPRA est plus petit, mais il est équipé d'aimants supraconducteurs, plus efficaces, mais fragiles. Avec le futur ITER qui est un tokamak géant équipé lui aussi d'aimants supraconducteurs, on espère arriver un jour à confiner suffisamment longtemps un plasma pour entretenir une fusion deutérium-tritium en continu et en tirer de l'énergie. Mais cela pose des problèmes difficiles à résoudre, et en plus, la réaction, n'étant pas aneutronique, produit des déchets radioactifs, même si c'est beaucoup moins que les centrales à fission d'uranium.
Dans la z-machine, beaucoup plus rustique et moins coûteuse, le magnétisme est utilisé pour compresser violemment (striction) un plasma durant un temps très bref. C'est la striction magnétique, que l'on pourrait utiliser pour provoquer des réactions de fusion de manière discontinue (petites explosions en série). Les très hautes températures obtenue par la z-machine de Sandia permettent d'envisager la fusion quasi aneutronique hydrogène-bore, qui ne dégage pratiquement que des particules chargées pouvant être captées directement pour produire de l'électricité, sans pièces mobiles, ce qui réduit encore les coûts.
C'est pour cela qu'on pu dire qu'il y a entre le tokamak et la z-machine une différence un peu semblable à celle entre la machine à vapeur et le moteur à explosion."
Il n'y a qu'a voir le slogan d'Iter "Une énergie pour notre avenir".
Quand tu vois la gueule du site internet déjà ça fait peur : http://www.iter.org/fr/accueil
Déjà en 1998 tout était dit, voici une vidéo de présentation en anglais qui explique le fonctionnement de la Z-machine de Sandia très simplement.
Depuis 1998 ces informations sont publiques et malgré ça le gouvernement continue à promouvoir ITER... Il serait bon de remballer notre fierté et d'admettre l'échec d'ITER et de toute notre politique sur l'énergie nucléaire telle qu'elle est actuellement, c'est à dire extrêmement polluante, dangereuse, et surtout complètement débile étant donné les avancées actuelles en matière d'énergie avec la (les) Z-Machines dans lesquels investissent les grandes puissances.
Nous sommes totalement largué en France, et il serait bon d'investir massivement dans ces technologies pour la production électrique et remplacer les centrales actuelles plutôt que de fermer les yeux, de régresser et de détruire la planète avec de multiples Fukushima.
Il est vraiment temps de faire un grand saut en avant dans les solutions énergétiques pour en finir avec le nucléaire, le pétrole, le gaz de schiste, ainsi que le charbon qui est de plus en plus utilisé alors que c'est l'énergie fossile qui dégage le plus de CO2. La Chine produit 83% de son électricité dans des centrales au charbon, pour l'Australie c'est 80%, pour l'Inde 70%, et pour les USA 50%.
Sylvain a écrit:
Il est vraiment temps de faire un grand saut en avant dans les solutions énergétiques pour en finir avec le nucléaire, le pétrole, le gaz de schiste, ainsi que le charbon qui est de plus en plus utilisé alors que c'est l'énergie fossile qui dégage le plus de CO2.
[Construire le futur - Le soleil sur Terre - vidéo supprimée sur le site d'origine]
Documentaire plus accessible concernant la Z. Ils mettent au même point Iter/Megajoule et la Z, mais la Z est bien plus prometteuse, plus économique, et surtout basée sur une réaction aneutronique Bore-Hydrogène au lieu de Tritium-Deutérium générant des déchets radioactifs.
Quand je dis plus économique, c'est de l'ordre de 15Milliards d'euro actuellement pour ITER (sans compter DEMO), et de quelques millions pour la Z...