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Bug vidéo? "reptilien", tirons les choses au clair
Bonjour à tous,
Je souhaiterais obtenir l'avis de personnes qui s'y connaissent en vidéo.
Je fait référence au décalage d'image à 7'37" sur la vidéo Les nouveaux chiens de garde (CSOJ) de l'article d'une durée de 9min20.
Les visages de deux des personnes présentes bug (celle tout à gauche et celle tout à droite).
En effet, suite quelques recherches sur internet sur les UFO, aliens, anciennes civilisations terrestres disparues, etc. il est apparu que de nombreuses vidéos plus ou moins convaincantes sur les soi-disants "reptiliens", apparaissent.
Il s'agirait d'une race avec une technologie de camouflage avancée, possédant une peau proche de celle du reptile, mais humanoïde du style homme-lézard.
Bref, je ne vais pas m'attarder sur la description qui varie selon les sources.
Toutefois, c'est vrai qu'il y a certaines vidéos avec des bugs dont on peut se demander la cause, en particulier pour les novices en la matière:
Sur des extraits de vidéo souvent live/en direct, des visages ont des bugs qui peuvent durer beaucoup plus longtemps comme ici où c'est très court. Ce qui est étonnant est que seul les parties découvertes de certaines personnes ont des "erreurs" et non tout l'image de la vidéo...
Merci de m'éclaircir et de donner votre avis. |
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Patrick Le Lay
Patrick Le Lay est particulièrement réputé pour ses analyses perçues comme franches (ou brutales), incisives (ou cyniques) et sujettes à polémique, de même que par sa propension à cautionner les raccourcis pris par certains de ses journalistes. Le dernier raccourci employé par Jean-Pierre Pernaut lui valut une condamnation prononcée par la 17ème chambre correctionnelle de Paris, en même temps que celle de
l'animateur du 13 heures (le 28 novembre 2008), pour diffamation envers le mouvement TFP (Tradition, Famille, Propriété).
Une polémique fit rage en juillet 2004 à la suite de la publication de ses propos recueillis dans Les Dirigeants français et le changement par la société de conseil EIM, qui y présentait les réponses de dirigeants tels que Patrick Le Lay, Michel Bon (ex-France Télécom), Robert Louis-Dreyfus (LD Com), Michel Pébereau (BNP Paribas), Henri de Castries (Axa), à des questions portant sur les nouveaux défis des entreprises françaises face au changement.
Voici cette citation :
« Il y a beaucoup de façons de parler de la télévision. Mais dans une perspective 'business', soyons réaliste : à la base, le métier de TF1, c'est d'aider Coca-Cola, par exemple, à vendre son produit.
[…]
Or pour qu'un message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau du téléspectateur soit disponible. Nos émissions ont pour vocation de le rendre disponible : c'est-à-dire de le divertir, de le détendre pour le préparer entre deux messages. Ce que nous vendons à Coca-Cola, c'est du temps de cerveau humain disponible.
[…]
Rien n'est plus difficile que d'obtenir cette disponibilité. C'est là que se trouve le changement permanent. Il faut chercher en permanence les programmes qui marchent, suivre les modes, surfer sur les tendances, dans un contexte où l'information s'accélère, se multiplie et se banalise…
[…]
La télévision, c'est une activité sans mémoire. Si l'on compare cette industrie à celle de l'automobile, par exemple, pour un constructeur d'autos, le processus de création est bien plus lent ; et si son véhicule est un succès il aura au moins le loisir de le savourer. Nous, nous n'en aurons même pas le temps ! […] Tout se joue chaque jour sur les chiffres d'audience. Nous sommes le seul produit au monde où l'on 'connaît' ses clients à la seconde, après un délai de vingt-quatre heures. »
Patrick Le Lay (2004)
"Marchand de cerveaux"
Le Lay s'explique sur Télérama le 07 Septembre 2004 :
« Ce n'était pas une interview officielle. Le MEDEF m'avait appelé en me disant : on interroge des dirigeants d'entreprise sur le changement et le mouvement. Je ne me souviens plus précisément de cet entretien, mais, comme souvent, j'ai dû parler deux heures à bâtons rompus et tenir ces propos pendant la conversation.
Je ne reconnais cependant pas le métier de TF1 dans cette formule et je ne me retrouve pas dans les propos qu'on me prête : on me transforme en marchand de cerveaux !
Je reconnais que cette formule était un peu caricaturale et étroite. Mais, encore une fois, c'était une conversation et j'ai l'habitude de forcer le trait pour faire comprendre les concepts.
Le métier de TF1, c'est l'information et le programme (fiction divertissement, sport, magazines de découverte). Nous sommes une grande chaîne populaire et familiale dont l'objectif est de plaire à un maximum d'audience. Nous vivons de la publicité, mais ce sont nos clients qui mettent au point les spots que nous diffusons. En réalité, que vendons-nous réellement à nos clients ? Du temps d'antenne.
La logique de TF1 est une logique de puissance. Nous vendons à nos clients une audience de masse, un nombre d'individus susceptibles de regarder un spot de publicité.
Pour les annonceurs, le temps d'antenne ne représente rien d'autre que des contacts clients. De l'attention humaine. En particulier celle de la fameuse ménagère de moins de 50 ans, largement décisionnaire dans les achats de produits alimentaires, entretien ménager et de beauté. »
NOUVELOBS.COM | 07.09.04
Alors qu'à la fin des années 80 :
« Le projet de reprise de TF1 que nous vous présentons aujourd'hui est bâti autour de quelques idées simples. Tout d'abord respecter le téléspectateur. [...] En second lieu, nous avons cherché à donner une dynamique nouvelle à la création française. Faire absorber au public français des séries américaines, ce n'est pas une fatalité. [...] Je crois que le fonds de commerce, la réputation d'une chaîne, elle est faite bien sûr de son audience, mais elle est faite aussi de sa réputation. Et une chaîne de télévision qui prétend être la première en France ne peut pas le rester uniquement sur la diffusion des programmes les plus simples à absorber.[...] La culture française est menacée, c'est vrai. Mais la culture française doit résister. Parce que la culture, elle exprime le besoin et le désir de vivre ensemble, parce que la culture exprime une vraie communauté de mémoire, une vraie communauté de projet. »
Déclaration de P. Le lay en 1986, lors de l'audition pour la reprise de TF1 qui venait d'être privatisé par le gouvernement Chirac.
« On ne vit plus qu'avec les chiffres de l'audimat. [...]. Passer une émission culturelle sur une chaîne commerciale à 20 h 30, c'est un crime économique ! C'est quand même à l'État d'apporter la culture, pas aux industriels. »
Patrick Le Lay, 9 septembre 1987, Libération.
Patrick Le Lay Président Directeur Général de TF1 pendant 20 ans, de 1988 à 2008.
Source
En février 2010, Claude Berda (AB Production) devient membre du conseil d'administration du groupe TF1 en remplacement de Patrick Le Lay.
Après avoir bercé la jeunesse des années 80, voici que l'homme d'affaire du club Dorothée est maintenant PDG de TF1, remplaçant l'homme qui affirme détenir une entreprise de "Marchand de temps de cerveau humain".
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