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Pas de souci, en me relisant j'ai pu voir aussi que cela pouvait être perçu autrement, alors que c'était simplement une parenthèse très large pour dire en gros ce que je trouve qu'il ne tourne pas rond dans ce monde! Nous sommes encore bien trop divisé malheuresement sûr terre pour nous rendre compte que ce nous avons perdu ce qui nous était le plus fondamental et qui unit toute chose, tout les concept de l'art de science et de religion aujourd'hui ne valent plus rien car ils sont reculé trop profondement dans leur carcan, je rêve de voir le jour ou la conscience s'unira pour là seule et unique fin de la conscience elle même, ou toute chose et tout être sera coopératif dans un sens qui harmonisera la multiplicité dans l'unicité par la prise de conscience des lien entre toute chose.
D'ailleurs, dans la racine du mot intelligence, nous trouvons "inter" et "ligar" qui signifier entre-lier, donc là capacité à transformer le multiple en unique par sa seule transcendance, là véritable science serait donc de connaitre les liens entre chaque choses, comme par exemple l'on peut appliqué une onde à un organe, à une émotion, à une couleurs, à une espèce, à une planète, à un ensemble qui est régit par la fusion de toute ces ondes dans un plus vaste ensemble qui forme donc sa propre onde.
Bien sûr chacun pourrait appliqué là même chose pour d'autres domaines, je parle des ondes car c'est par ce chemin là que j'apprends à accéder à ce vaste univers, ou j'ai pour seule allié mon intuition pour en vérifier là justesse!
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Extrait de Gnosis de Boris Mouravieff:
Dans le premier tome de Gnosis, nous avons déjà fait référence plusieurs fois à la coexistence de deux races essentiellement différentes : l'une constituée d'Hommes, et l'autre d'Anthropoïdes.
[...] Les Écritures Saintes contiennent plus d'une référence au sujet de la coexistence sur notre planète de ces deux humanités, qui sont maintenant de forme similaire mais d'essence différente.
[...] L'ivraie humaine, les êtres de la race anthropoïde, sont les descendants de l'humanité pré-adamique. La principale différence entre l'homme pré-adamique contemporain et l'homme adamique - une différence qui n'est pas perçue par les sens - est que le premier ne possède pas les centres supérieurs développés [la conscience émotionnelle] qui existent chez le second et qui, bien que déconnectés de sa conscience ordinaire depuis la Chute [l'Événement marquant l'arrivée de la race d'hommes], lui offrent cependant une possibilité réelle d'évolution ésotérique [d'éveil]. Mis à part cela, les deux races sont similaires : elles possèdent les mêmes centres inférieurs [la conscience matérielle/matérialiste], la même structure de la Personnalité et le même corps physique, bien que la plupart du temps cela soit plus prononcé chez l'homme pré-adamique que chez l'homme adamique... (p. 108-109).
Une race, littéralement, dont la physionomie est la même, mais à laquelle il manquerait totalement la faculté émotionnelle?
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Sujet déjà débattu sur l'ancien forum... Pour ma part je trouve ça trop clivant. C'est peut-être vrai, mais si c'est le cas, j'ai choisi l'humanité ayant des sentiments et du coeur, peut-être parce que je fais parti de celle la...
Je n'aime pas cette idée de la psychopathie, même si elle est réelle, cela fait trop longtemps que les psychopathes ont le pouvoir, il est temps d'unir tout les êtres de cette planète, qu'ils soit psychopathes & associés, ou doués de sentiments. Si ils n'ont que l'intellect pour projeter leur vision du monde, ils arriveront à comprendre et à s'adapter comme ils ont su le faire jusqu'à
présent.
L'humain et le primate on tout deux cette capacité de coopération, mais le primate le fera toujours si il peut en retirer un avantage personnel. L'évolution, de quelque origine qu'elle soit, à découvert la coopération altruiste dans un but commun qui permet à tout les hommes d'être reconnu et entre-aidé sans en attendre d'apport personnels. Je rêve du jour ou nous cesserons d'être des singes et deviendrons humains. |
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"Car notre rapport a autrui a troujours un but et que la domination est encrée dans nos génes..."
La domination est inscrite dans nos gênes et celle du singe, tout comme la coopération.
L'humain sait par contre coopéré, mais de manière altruiste, ce que ne sait pas faire le singe.
"L'homme n'est ni bon ni méchant, il est perfectible" Confucius
"Et une femme qui portait un enfant dans les bras dit,
Parlez-nous des Enfants.
Et il dit : Vos enfants ne sont pas vos enfants.
Ils sont les fils et les filles de l'appel de la Vie à elle-même,
Ils viennent à travers vous mais non de vous.
Et bien qu'ils soient avec vous, ils ne vous appartiennent pas.
Vous pouvez leur donner votre amour mais non point vos pensées,
Car ils ont leurs propres pensées.
Vous pouvez accueillir leurs corps mais pas leurs âmes,
Car leurs âmes habitent la maison de demain, que vous ne pouvez visiter,
pas même dans vos rêves.
Vous pouvez vous efforcer d'être comme eux,
mais ne tentez pas de les faire comme vous.
Car la vie ne va pas en arrière, ni ne s'attarde avec hier.
Vous êtes les arcs par qui vos enfants, comme des flèches vivantes, sont projetés.
L'Archer voit le but sur le chemin de l'infini, et Il vous tend de Sa puissance
pour que Ses flèches puissent voler vite et loin.
Que votre tension par la main de l'Archer soit pour la joie;
Car de même qu'Il aime la flèche qui vole, Il aime l'arc qui est stable."
Khalil Gibran
Ce poème a été apporté par une enfant de 10 ans dans une classe de CM2. La maitresse n'aurai jamais imaginé proposer un texte comme celui ci à des enfants de 10 ans.
Un des enfants à dit après que le texte ai été lu a haute voix :
"En fait nous sommes la flèche, et nos parents sont l'arc. Mais alors... Qui est l'archer?"
Un autre enfant à répondu "peut être qu'un jour nous sommes la flèche, plus tard nous devenons l'arc, et peut-être que plus tard, nous pouvons devenir l'archer?"
Pour ma part, je préfère croire que nous sommes en constante évolution, je préfère croire en nous. Peut-être que je me trompe, peut-être y a t'il des psychopathes, peut-être que ce monde restera à un stade animal perpétuellement, et vu nos actions aujourd'hui, si c'est le cas, j'ose croire qu'il ne durera pas longtemps.
Je ne crois pas que nos rapports à autrui sont toujours dans le but de dominer. Sinon quel serait l'intérêt du mot abnégation?
Désolé d'être optimiste, tu as peut-être raison, le pessimisme, la peur, l'angoisse sont peut-être un meilleur gage d'avenir que la croyance aveugle en un monde meilleur.
Porte toi bien l'ami. |
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manicas a écrit:
je peux déduire quand je lis çà que le monde est monde et ne changera pas car il y aura toujours des individus peux scrupuleux pour diriger. Car notre rapport a autrui a troujours un but et que la domination est encrée dans nos génes...
Ca rejoint un peu l'hypothèse des 2 races... Je ne sais pas si c'est la cause de l'absence de scrupules et d'empathie de certains humains. Je crois plutôt que la nature fondamentale de tout humain est positive mais qu'elle peut être obscurcie, et que cette obscurité peut être dissipée.
Je ne crois donc pas que ce soit une fatalité. D'autre part, des lois justes et un Etat juste peuvent dans un premier temps équilibrer ou neutraliser ces tendances négatives, puis les réduire en créant les conditions favorables à l'éducation et l'éveil des consciences (au lieu de faire exactement le contraire comme actuellement).
xo a écrit:
Un autre enfant à répondu "peut être qu'un jour nous sommes la flèche, plus tard nous devenons l'arc, et peut-être que plus tard, nous pouvons devenir l'archer?"
Intuition très profonde.
Il se peut en effet que la vie soit un processus de formation des âmes, celles-ci étant amenées à devenir la conscience créatrice de nouveaux univers... C'est une hypothèse qu'on retrouve dans "L'Incal" de Moebius et Jodorowsky. |
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Sagesse Indienne
Peu importe comment tu gagnes ta vie.
Ce que je veux savoir, c'est l'objet de ce désir qui brûle en toi à t'en faire mal ; ce que je veux savoir,
c'est si tu oses, ne serait-ce que rêver de réaliser le désir profond de ton coeur.
Peu importe l'âge que tu as.
Je veux savoir si tu es prêt à risquer de passer pour un fou, au nom de l'amour,
au nom de tes rêves secrets, au nom de la simple aventure d'être vivant.
Peu m'importe quelles planètes sont en conjonction avec ta lune.
Je veux savoir si tu as touché le centre de ta tristesse, si tu t'es ouvert aux trahisons de la vie
ou si tu t'es ratatiné, refermé de peur de ressentir une douleur de plus.
Je veux savoir si tu peux t'asseoir avec la douleur, la mienne ou la tienne, et rester là sans bouger,
sans essayer de la cacher, de l'éviter ou de la travestir.
Je veux savoir si tu peux être un avec la joie, la mienne ou la tienne ; si tu peux danser sauvagement,
laisser l'extase te remplir jusqu'au bout des doigts et des orteils sans nous prévenir constamment
de faire attention, d'être réaliste sans nous rappeler à chaque seconde que l'être humain
a des limites dont on doit tenir compte.
Peu importe que l'histoire que tu racontes soit vraie ou fausse.
Je veux savoir si tu es capable de décevoir quelqu'un pour rester fidèle à toi-même ;
si tu peux supporter d'être accusé de trahison pour ne pas trahir ton âme ;
si tu peux être sans foi et cependant digne de confiance.
Je veux savoir si tu peux continuer de voir la beauté même quand ce n'est pas
très joli au jour le jour et si tu as choisi de nourrir ta vie à cette source.
Ils partagent tous le même souffle.
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Chef Seattle
Comment pouvez-vous acheter ou vendre le ciel, la chaleur de la terre ?
L'idée nous paraît étrange. Si nous ne possédons pas la fraîcheur de l'air et le miroitement de l'eau, comment est-ce que vous pouvez les acheter ?
Chaque parcelle de cette terre est sacrée pour mon peuple.
Chaque aiguille de pin luisante, chaque rive sableuse, chaque lambeau de brume dans les bois sombres, chaque clairière et chaque bourdonnement d'insecte sont sacrés dans le souvenir et l'expérience de mon peuple.
La sève qui coule dans les arbres transporte les souvenirs de l'homme rouge.
Les morts des hommes blancs oublient le pays de leur naissance lorsqu'ils vont se promener parmi les étoiles. Nos morts n'oublient jamais cette terre magnifique, car elle est la mère de l'homme rouge. Nous sommes une partie de la terre, et elle fait partie de nous. Les fleurs parfumées sont nos soeurs; le cerf, le cheval, le grand aigle, ce sont nos frères. Les crêtes rocheuses, les sucs dans les prés, la chaleur du poney, et l'homme, tous appartiennent à la même famille.
Aussi lorsque le Grand chef à Washington envoie dire qu'il veut acheter notre terre, demande-t-il beaucoup de nous. Le Grand chef envoie dire qu'il nous réservera un endroit de façon que nous puissions vivre confortablement entre nous. Il sera notre père et nous serons ses enfants. Nous considérons donc, votre offre d'acheter notre terre. Mais ce ne sera pas facile. Car cette terre nous est sacrée.
Cette eau scintillante qui coule dans les ruisseaux et les rivières n'est pas seulement de l'eau mais le sang de nos ancêtres. Si nous vous vendons de la terre, vous devez vous rappeler qu'elle est sacrée et que chaque reflet spectral dans l'eau claire des lacs parle d'événements et de souvenirs de la vie de mon peuple. Le murmure de l'eau est la voix du père de mon père.
Les rivières sont nos frères, elles étanchent notre soif. Les rivières portent nos canoës, et nourrissent nos enfants. Si nous vous vendons notre terre, vous devez désormais vous rappeler, et l'enseigner à vos enfants, que les rivières sont nos frères et les vôtres, et vous devez désormais montrer pour les rivières la tendresse que vous montreriez pour un frère. Nous savons que l'homme blanc ne comprend pas nos moeurs. Une parcelle de terre ressemble pour lui à la suivante, car c'est un étranger qui arrive dans la nuit et prend à la terre ce dont il a besoin. La terre n'est pas son frère, mais son ennemi, et lorsqu'il l'a conquise, il va plus loin. Il abandonne la tombe de ses aïeux, et cela ne le tracasse pas. Il enlève la terre à ses enfants et cela ne le tracasse pas. La tombe de ses aïeux et le patrimoine de ses enfants tombent dans l'oubli. Il traite sa mère, la terre, et son frère, le ciel, comme des choses à acheter, piller, vendre comme les moutons ou les perles brillantes. Son appétit dévorera la terre et ne laissera derrière lui qu'un désert.
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