source: Commentaire inspiré de l'Alchimie Taoïste, et d'autres influences ancestrales.
La spiritualité est difficilement pénétrable. Presque insondable. Il faut s’y enfoncer brusquement, comme un premier plongeons dans l’eau. Chacun peut ressentir ce besoin de spiritualité. Peut être une cause finalement de la vie sur terre !
C’est par la sincérité que le plongeon est possible. La sincérité permet d’atteindre le cœur , le coeur permet d’atteindre la spiritualité. On nous a accoutumé qu’être spirituel est dangereux. Pourtant la spiritualité est omniprésente dans notre quotidien. Jusqu’à notre mort. Le commencement de la spiritualité vient toujours d’une situation difficile. Puisque dans les situations de danger, la sincérité est commandée par l’instinct, l’intuition, la réactivité. L’instinct commande la sincérité, la sincérité commande le cœur, le coeur commande la spiritualité. La répétition de situations difficiles dans notre vie nous oblige à faire le plongeon un moment ou un autre dans la spiritualité.
Utilisé de façon active, la spiritualité est une importante mesure de protection. C’est une élévation qui protège contre des attaques extérieurs, ainsi l’agitation extérieurs peine à perturber la spiritualité. C’est que les sages appellent la vertu durable, le moment ou notre spiritualité devient solide et ne demeure pas l’effet du hasard et du moment.
Nous sommes habitués et familiarisés avec les choses mauvaises. Le danger, la souffrance, la misère. Nous sommes habitués à nous sortir des événements du moment, mais sans jamais véritablement décider de nos choix. Le danger provient de ce que nous voulons accumuler trop de chose dans notre vie. La spiritualité permet de s’écarter de ce danger. La prospérité de certains aux profits de la prospérité du peuple constitue un amoindrissement radical de la spiritualité. Parce que certains hommes font passer la religion pour de la spiritualité. La spiritualité émane de l’énergie, non de la croyance. Elle n’a donc rien a voir avec la religion.
Ainsi, l’instinct commande la sincérité, la sincérité commande le cœur, le coeur commande la spiritualité qui naît dans l’humilité face aux événements. L’humilité et l’instinct fonctionne bien ensemble. Il faut alors entreprendre une démarche vers la spiritualité en acceptant de se sentir légèrement diminué. Notre couche spirituel inférieur se renforce alors. Il faut accepter de refreiner ces instincts de colère. On ne doit jamais rougir de sa simplicité ou de sa vaine apparence. Une force intérieur va surgir. Les sentiments deviennent plus précis, la sincérité opère. Au commencement de la spiritualité, d’humble moyen peuvent parfaitement suffire. Au départ, la spiritualité fait appel à la façon de penser, non a la façon d’agir.
La spiritualité doit donc reposer sur quelque chose de clair. Elle n’est pas un espace vide. Il faut s’attacher à ce qu’elle brûle en nous. Comme l’éclat de la nature sur terre. Celui qui parvient à ressentir sa clarté, devient plus lumineux, il ressent alors une forme d’énergie. C’est ainsi que le soleil, la lune, les céréales, l’herbe et les arbres fonctionnent. Il faut cultiver en soi cette docilité volontaire imposée par l’univers.
On peut donc ensuite s’attacher à répandre cette clarté autour de nous comme le cycle journalier du soleil. Ainsi la spiritualité s’étend chaque jour davantage et pénètre la nature des hommes. L’homme spirituel contribue à l’œuvre de la nature, peut être la cause de la vie sur terre ! A la première heure du matin, notre spiritualité s’est trouvée isolée du monde extérieur dans le sommeil. Les impressions s’entrecroisent entre les activités et la hâte de l’extérieur et le repos de l’intérieur. Le commencement de chaque chose porte et contient les germes de tout ce qui viendra ensuite. Alors on peut choisir de gémir et de se lamenter sur le monde. On peut choisir aussi de ne plus rien craindre ni d’espérer sans fondement. On peut choisir d’accepter le néant de toutes choses. Il s’agit alors d’une véritable conversion vers la spiritualité et non d’un changement éphémère. Comme une guérison à la racine. C’est la vertu durable.
Aucun châtiment n’est bon, aucune brutalité n’est nécessaire. L’œuvre du perfectionnement de soi importe d’extirper les mauvaises habitudes en tolérant celles qui sont inoffensives. Ainsi se trouve représentée naturellement l’attraction naturelle des sexes l’un pour l’autre. La sincérité qui mène à la spiritualité, mène aussi à des fondements de vie sociale. Il faut tenter d’influer notre jugement des choses par la persévérance de la spiritualité. La spiritualité repose beaucoup sur l’effet d’attractions mutuelles. Elle est dans la joie. Dans une constance mesurée de la joie, douce et durable, le cœur se remplit de spiritualité, il s’affine, se constitue. On peut d’ailleurs reconnaître la nature de toutes choses dans le ciel et la terre par les attractions qu’elles exercent.
Devenons alors réceptif à notre spiritualité, cessons de conseiller dans tous les domaines. Soyons libre.
Quel beau texte Kaly... inaugural de surcroît de l'égrégor de ces nouveaux espaces
Je crois que la spiritualité est a-ambivallente, c-a-d qu'elle fusionne la dimension personnelle (conscience de soi) avec le collectif (le groupe d'appartenance)
L'idéologie de la laïcité pervertie à détourné bon nombre d'entre nous de notre attention à cette dimension de notre être vivant
La spiritualité est une expérience méta-subjective (j'sais pas trop ce que ça veut dire mais ), ce n'est pas une question de techniques ou de logique(s), cela ne peut se partager mais cela peut se vivre ensemble
Merci Kali,
Un texte magnifique à l'aune d'une nouvelle ère d'échanges, d'une nouvelle voie chargée de sens.
Sic itur ad astra - devise des frères Mongolfier - c'est ainsi que l'on sélève vers les étoiles...
La spiritualité émane de cette energie d'abstraction et en même temps de cette unité, de cette universalité merveilleuse.
Quel beau texte et quelle beauté que ce premier message !
La sagesse n'attend pas forcément le nombre des années. La preuve avec cette interview de Bentinho Massaro, un jeune "éveillé", à propos de la conscience...
Echkart Tolle, "La Conscience de L'Être":
"Même lorsque je rencontre des gens ou que je me promène dans la ville, faisant des choses ordinaires, le monde m'apparaît comme des frémissements à la surface de l'être. Au dessous du monde des perceptions sensorielles et de l'activité mentale, il y a l'immensité de l'être. Il y a une vaste étendue, une vaste immobilité, et une petite activité frémissante à la surface, qui n'est pas séparée, tout comme les vagues ne sont pas séparées de l'océan.
Je ne perçois donc aucune séparation. Il n'y a pas de séparation entre l'être et le monde manifesté, entre le manifesté et le non-manifesté. Mais le non-manifesté est tellement plus vaste, profond et grand que ce qui se passe dans le manifesté. Chaque phénomène dans le manifesté est de si courte durée et si fugitif qu'effectivement, dans la perspective du non-manifesté qui est l'être ou la présence au-delà du temps, on peut presque dire que tout ce qui se produit dans le domaine du manifesté ressemble à un jeu d'ombres. C'est comparable à de la vapeur ou de la brume, où de nouvelles formes surgissent et disparaissent sans cesse. Pour celui qui est profondément enraciné dans le non-manifesté, le manifesté pourrait très facilement être qualifié d'irréel. Je ne le qualifie pas d'irréel car il ne m'apparaît pas comme étant séparé de quoi que ce soit.
Tout ce qui est réel est l'être lui-même. Seul existe la conscience, la conscience pure.
L'essence de toute forme est ce qui est immortel. Même l'essence d'un brin d'herbe est l'immortel. C'est pour cette raison que le monde des formes est sacré. Le domaine du sacré n'est pas exclusivement l'être ou le non-manifesté car même le monde de la forme, je le considère comme sacré. (...)
Nous recherchons tous la plénitude de la vie, ce sentiment de sagesse ou d'auto-réalisation, grâce à un événement futur. Il est impossible d'y arriver. Vous ne pouvez qu'être maintenant. Et vous ne pouvez sentir ce pouvoir qu'au présent, car c'est le pouvoir de votre Être.
Un être humain qui vit en connexion avec cela et agit ou interagit devient une bénédiction pour la planète, alors que la personne non-éveillée pèse lourdement sur la planète. L'être non-éveillé est lourd, et la planète souffre de millions d'êtres non-éveillés. Le fardeau pour la planète est à la limite du supportable. Je le ressens parfois, comme si la planète disait "assez, ça suffit, pitié."
« Il n'y a pas d'autre science, au sens vrai du terme, que la science de l'amour »
Roger Godel
Les années passèrent et je fus pris au piège de conflits affectifs particulièrement douloureux et complexes. J'avais en mains, théoriquement, tous les éléments capables de les résoudre. Seule, la présence d'un ami compréhensif pouvait m'aider dans cette période cruciale.
Je me confiai donc à Roger Godel.Cet entretien fut inoubliable. Avec une compréhension et une tendresse véritablement paternelles — pour moi totalement inconnues — il me déclara :
« Cher ami, je ne puis vous dire combien je suis ému de la confiance que vous me faites de me livrer aussi spontanément, aussi totalement vos difficultés intérieures. » Après un long silence, tenant compte de mes dispositions profondes, il me dit ce qui suit :
« La Réalité est semblable à un vaste océan perpétuellement en mouvement. A la surface des eaux apparaissent des milliards de vaguelettes évanescentes. Leur déferlement produit une écume formée d'innombrables petites bulles apparaissant et disparaissant d'instant en instant. Vous et moi, les êtres que vous avez introduits dans vos conflits affectifs, sont un peu semblables à ces bulles évanescentes. Si vous restez au niveau des interférences, des images, des identifications, des singularités provisoires inhérentes aux bulles, vous vous enfoncez dans des conditionnements, dans des douleurs sans fin. Votre être vrai dans ma comparaison, c'est l'eau, l'eau totale, l'Océan. Tâchez de vous pénétrer de cette vision océanique des êtres et des choses. Par ceci vous ne niez pas les singularités provisoires mais vous les situez à leur juste place. Alors vous pourrez être libre d'elles. »
Talisman a écrit:
La Réalité semblable à un vaste océan
« Il n'y a pas d'autre science, au sens vrai du terme, que la science de l'amour »
Roger Godel
Les années passèrent et je fus pris au piège de conflits affectifs particulièrement douloureux et complexes. J'avais en mains, théoriquement, tous les éléments capables de les résoudre. Seule, la présence d'un ami compréhensif pouvait m'aider dans cette période cruciale.
Je me confiai donc à Roger Godel.Cet entretien fut inoubliable. Avec une compréhension et une tendresse véritablement paternelles — pour moi totalement inconnues — il me déclara :
« Cher ami, je ne puis vous dire combien je suis ému de la confiance que vous me faites de me livrer aussi spontanément, aussi totalement vos difficultés intérieures. » Après un long silence, tenant compte de mes dispositions profondes, il me dit ce qui suit :
« La Réalité est semblable à un vaste océan perpétuellement en mouvement. A la surface des eaux apparaissent des milliards de vaguelettes évanescentes. Leur déferlement produit une écume formée d'innombrables petites bulles apparaissant et disparaissant d'instant en instant. Vous et moi, les êtres que vous avez introduits dans vos conflits affectifs, sont un peu semblables à ces bulles évanescentes. Si vous restez au niveau des interférences, des images, des identifications, des singularités provisoires inhérentes aux bulles, vous vous enfoncez dans des conditionnements, dans des douleurs sans fin. Votre être vrai dans ma comparaison, c'est l'eau, l'eau totale, l'Océan. Tâchez de vous pénétrer de cette vision océanique des êtres et des choses. Par ceci vous ne niez pas les singularités provisoires mais vous les situez à leur juste place. Alors vous pourrez être libre d'elles. »
Robert Linssen
En se référant à cette métaphore de l'océan, je dirais que c'est moins du domaine de la spiritualité que de la lucidité, de la clarté d'esprit que de prendre un tel recul.
Après, je me trompe peut-être. Mais de mon point de vue, être lucide sur ce qu'on est, c'est juste répondre à "Connais-toi toi-même". Et dans ce cas, je ne vois pas en quoi cela m'aiderait à comprendre pourquoi je vois une part divine dans chaque être vivant (oui,je suis animiste).
Je veux dire que le recul sur soi n'est pas forcément lié à la notion du sacré.
Zkalpalito a écrit:
J'ai l'impression, Toshio, que ton acception de la notion de sacré exclut le rationnel de ce qui est sacré. Cela rejoint les théories du désenchantement du monde. Finalement, on reste alors sur une définition classique du sacré, c'est-à-dire qu'on le considère comme ce qui s'oppose à ce qui est utile et rationnel. Et pourquoi le rationnel ne pourrait-il pas lui aussi être sacré ? Je ne pense pas que la raison humaine doive être exclue du sacré. Ce qui en doit être exclu est bien plutôt le calcul utilitaire ; c'est-à-dire non la raison elle-même, mais la rationalité instrumentale.
Effectivement, j'ai du mal à associer ce qu'on appelle l'intellect, la raison et la spiritualité que je considère comme du domaine du sacré. Certes, la raison peut mener à la spiritualité, mais la clarté d'esprit telle qu'on nous la présente dans ce sujet me fait davantage penser à l'intuition, ce sens psychique qui touche plus à la sensibilité, à la conscience, à l'empathie plutôt qu'au calcul.
Bon, j'avoue que je suis finalement d'accord avec la métaphore de l'océan, que la prise de recul n'est pas nécessairement liée uniquement à une réflexion systémique ou je ne sais quoi de pragmatique. En fait, ce qui me rend perplexe, c'est que la limite entre profane et sacré quand on parle de conscience est très fine. Pas facile de trancher dans du mou ^^
La pathologie égotique d’une fausse croyance en la séparation d’avec le tout génère une névrose paranoïaque autodestructrice. Cette croyance obstrue notre réceptivité aussi sûrement qu’un volet fermé arrête la lumière. C’est d’elle et uniquement d’elle que procède toutes les guerres, toutes les compétitions et toutes les violences. En effet, dans un organisme sain et communicant, les cellules du foie n’envient ni ne font la guerre aux cellules de la peau ! L’idée même d’un isolement individuel, d’un salut individuel, d’un bonheur individuel suffit à occulter le lien de vie et à égarer l’humanité. La détresse qui s’en suit rend vulnérable à toutes sortes de fausses promesses, comme celles d’une divinité en dehors du monde qui dicte des lois, soumet par la peur et la menace, désigne des peuples élus, propose des sauveurs ou des paradis artificiels dans un ailleurs improbable, ou promeut la souffrance comme moyen de rédemption. Le but de la manœuvre est de masquer au plus grand nombre le potentiel immédiat d’illumination et d’éveil accessible directement par une connexion énergétique avec la matrice originelle : notre Terre-Mère.
Ainsi l’humanité en est venue à croire que le monde autour d’elle était un danger mortel contre lequel elle devait se prémunir et se battre à coup d’antibiotiques, de pesticides et d’armes en tout genre. Cette idée schizophrénique coupe le lien vital d’avec la seule vraie source d’amour inconditionnel, la sagesse organisatrice de notre matrice commune: la Terre-Mère. Elle voue l’humanité à une autodestruction programmée. Elle a été mise en place dans un bain de sang par l’élimination physique de la gnose chamanique (l’expérience directe par la vision augmentée) et de tous ses adeptes des temps anciens, avec un point final culminant en pays Cathare. Elle est entretenue savamment par une bande de psychopathes impuissants en mal de domination qui ont façonné tous les pouvoirs pyramidaux artificiels religieux, politiques, financiers et sociaux. Ils craignent et méprisent la nature, ses attributs et relèguent les règnes minéral, végétal et animal à des objets, sources potentielles de profits.
Cette idée de séparation doit être consciemment et quotidiennement éradiquée par tous ceux qui souhaitent la paix et l’harmonie.
"Ce sujet aurait plus ça place dans la rubrique Religions et plus précisément l'origine des religions mais je le poste ici pour appronfondir le sujet si je puis dire"
La Gnosis n'est pas une Religion, c'est la Doctrine Synthèse.
Gnosis est Connaissance Illuminée des Mystères de la Vie et de la Mort, Anthropologie Sacrée. Gnosis est le Quatrième Chemin.
« On dit qu'il existe Sept grandes religions et plus de cinq mille sectes, mais nous, les Gnostiques, nous affirmons qu'il existe uniquement une grande Religion : La Vérité. Seul celui qui a le vécu de ce qu'on appelle la « Vérité » est profondément Religieux. A l'origine de tout courant religieux ou philosophie religieuse, il y a la Gnosis, Science des sciences. Elle contient les principes éternels qui amènent l'incarnation de la Vérité, de l'Immortalité. »
L'Immortalité n'est pas une propriété avec laquelle on naît, mais elle peut être acquise :
1. Le chemin du fakir
2. Le chemin du moine
3. Le chemin du yogui
4. Le chemin de l'homme équilibré
Quatrème Chemin : Recherche de la fusion avec la Divinité, incarnation de la Divinité par la synthèse de la pratique de ces chemins.
La Gnosis ou « le Quatrième Chemin » est la doctrine synthèse : l 'homme équilibré est amené dans sa vie quotidienne à la pratique du fakirisme (exercice de la volonté ), du moine (exercice de l'Inspiration émotionnelle), du yogi (maîtrise du mental et développement des facultés latentes de l'homme pour s'unir à Dieu). L'homme du Quatrième Chemin travaille et équilibre l'Intellect, l'Émotion, le Mouvement , l'Instinct et le Sexe. Ce sont là, les cinq vérités.
Ceux qui incarnèrent la Vérité vécurent le Quatrième Chemin. Ils pratiquèrent la Gnosis, fondèrent les grandes Religions et les grandes Écoles Initiatiques, tels que Buddha, Hermès, Sérapis, Krishna, Quetzalcoatl, Samaël, etc. Eux ont dissous l'Égoisme ou les défauts psychologiques et ont incarné ce qui s'appelle la Vérité. De ce fait, ils se rendirent Immortels.
Le mental peut reconnaître uniquement ce qu'il connaît. Le Mental ne connaît pas la Vérité. La Vérité n'appartient pas au temps. La Vérité est ce qui est inconnu d'instant en instant. Le choc d'opinions opposées permet de découvrir des vérités relatives, mais pas la Vérité Absolue.
Jésus de Nazareth, par exemple, est un corps vivant de la Vérité, parce qu'il l'incarna et de fait, se fit homme vraiment libre.
C'est déjà une abhération que l'on soit divisé par plusieurs religion et voir même par plusieurs point de vu qui s'entrechoc entre eux, ça n'a rien de beau, c'est informe, grotesque et misérable, je n'ai pas lu de livre sûr la gnose, je connaissais ce terme sans en connaitre réellement le sens qui lui est attribué, mais j'ai toujours su qu'il n'y avais qu'une seule vérité et que toute interprétation de celle ci était illusion et division, qu'il fallait ne faire qu'un avec toute la multiplicité de son être pour y accéder, mais depuis ma naissance je n'ai pas encore pu clairement le vivre, car la multiplicité des vérité relative nous à tous plongé dans l'obscurité et que tout chemin à l'intérieur de l'une d'elle me parait à l'avance futile et vain.
Tu l'assimille à une religion si je comprends bien mais ce n'est pas le cas, la gnosis plus exactement nous invinte à nous découvrir de l'intèrieur, l'essentiel est là, il faut bien arriver à comprendre ceci, la gnose n'est pas une religion.
Si je devais la définir en terme simple je dirais qu'elle est un principe qui mêne à l'illumination, en gros pour faire simple et j'insiste sur le (pour faire simple) le message qu'elle nous transmet c'est connais toi toi même ce qu'il ne faut pas confondre avec un repli sur soi ce qui mènerais à s'isoler des autres alors qu'en réalité nous sommes tous connecté à la source.
J'ajouterais pour finir qu'il n'y à pas de livre sur la gnose, la gnose est gnose !